[Dossier] Adopter un mindset résilient à tout épreuve quand on est entrepreneur

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

A lire, si vous doutez de vos capacités à atteindre vos objectifs

 

Il y a 20 ans, je voulais parler anglais fluidement, aujourd’hui, mon anglais est courant

Il y a 18 ans, je voulais vivre aux Etats-Unis, aujourd’hui, j’ai vécu une année d’échange universitaire en Californie,

Il y a 13 ans, je voulais être plus mince, aujourd’hui, j’ai un corps qui me plait,​

Il y a 10 ans, je voulais posséder MacBook, aujourd’hui j’écris depuis son clavier,

Il y a 8 ans, je voulais retrouver ma famille biologique, aujourd’hui je l’ai retrouvée

Il y a 5 ans, je désespérais de ne pas avoir de relation sérieuse, aujourd’hui j’en vis une.

Il y a 3 ans, je rêvais de porter un hakama et une ceinture noire d’aïkido, aujourd’hui c’est chose faite,

Il y a 2 ans, je voulais réussir à vendre des prestations sans CPF, aujourd’hui, j’y arrive,

Tout vient à point à qui sait attendre.

Lorsque vous vous impatientez, repensez à vos aspirations du passé,

Regardez comme vous avez avancé !

Aujourd’hui, j’ai de nouveaux rêves et projets :

Découvrir le pays du soleil levant,

Me réveiller le matin, et voir nettement,

Ne plus m’épuiser à tout vouloir contrôler,

Découvrir d’autres pièces cachées de mon identité,

Publier dans un grand média papier

Obtenir mon permis B et conduire sans peur,

Ecrire un livre et le publier chez un éditeur,

Mais chaque chose en son temps.

Je vois maintenant les choses sereinement,

Pour chacune de mes aspirations,

je sais qu’il y aura réalisation.

C’est ça, la loi de l’attraction.

C’est à l’aune de vos réalisations passées que vous trouverez la foi pour avancer.

Bonne réflexion,

 

Comment préserver son énergie quand on est entrepreneur

 

En écoutant votre rythme naturel.
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Votre rythme naturel, c’est le message que votre corps vous communique lorsque vous le sollicitez.
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Si votre corps réagit positivement, c’est que vous êtes à son écoute.Si votre corps lutte (de manière chronique) pour réaliser ce que vous lui demandez, c’est que vous n’êtes pas à l’écoute de votre rythme naturel.
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Si je prends mon exemple, je sais que je peux optimiser mes journées de la manière suivante :
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🔹 Matin : réaliser des tâches de fond (deep work)
🔹 Début d’après-midi : appels clients/prospects (ou sieste)
🔹 Fin d’après-midi : activités sportives
🔹 Soirée : film/série ou vie
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Cette division journalière selon notre niveau d’énergie se rapproche de l’approche “chronotype”, 4 profils “animaux” correspondant chacun à des ryhtmes différents (tendance Lion pour ma part). L’alimentation a également un rôle à jouer dans l’écoute de notre corps, et c’est pourquoi un travail sur son profilage alimentaire n’est pas à négliger.
Cette organisation n’est bien sûr pas rythmée à la lettre mais en suivant cette tendance, je m’économise au quotidien.
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Alors fini les routines matinales imposées, les heures de travail inefficaces, le manque de temps pour soi.
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A court et moyen terme, je gagne en sommeil, en énergie, en sérénité et en épanouissement. A long terme, je gagne en années de vie en bonne santé.
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👉Et vous, connaissez-vous votre rythme naturel ?
👉Le prenez-vous en compte dans votre organisation au quotidien ?

 

 

Comment entreprendre sereinement

 

​​​C’était le sujet du live que nous avons co-animé avec @amel_qouba_coach.therapeute
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Dans ce live, nous nous sommes intéressées au travail à réaliser sur soi (introspection, mindset, et stratégie) pour se reconvertir et/ou se lancer dans l’entrepreneuriat.
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Nous avons évoqué l’ensemble des éléments qui contribuent à entreprendre sereinement :
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✅ L’hygiène de vie et les routines structurantes
✅ La connaissance de son propre fonctionnement intellectuel et biologique
✅ L’aspect pratique et financier
✅ La capacité à demander de l’aide
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Avant de se reconvertir (dans l’entrepreneuriat), voici donc les 3 points à garder en tête :
✅ Faire le point financièrement : aurais-je un chômage ? ai-je un capital personnel ? Une famille qui puisse me soutenir ? Peut-on me prêter de l’argent ? Puis-je emprunter ? Puis-je travailler à mi-temps pour assurer cette transition ? Ai-je suffisamment de ressources financières pour tenir 6 mois à un an ?
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✅ Adopter un mindset (état d’esprit) entrepreneurial : puis-je investir dans de la formation/accompagnement même si je n’ai pas encore de clients ? Suis-je prêt à accepter la précarité financière régulière qu’implique ce nouveau choix de vie ? Suis-je bien entourée ? Ai-je des entrepreneurs dans mon entourage ?
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✅ Prendre des décisions courageuses mais rationnelles : quitter son job avant de vivre de son activité pour franchir le pas de l’entrepreneuriat
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Une fois lancé, on peut entreprendre sereinement et de manière pérenne grâce à une hygiène de vie au quotidien qui implique de :
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✅ Se créer une routine (sportive, méditative…)
✅ Ecouter son rythme naturel (comprendre son chronotype- faire son human design ou tout simplement s’observer)
✅ Adopter une alimentation saine et non restrictive
✅ Dormir suffisamment
✅ Maintenir un niveau de stress bas
✅ Maintenir une hygiène émotionnelle (auto-thérapie par l’écriture, par un travail de respiration ou un accompagnement si on en ressent le besoin)
✅ Remettre en cause ce rythme de vie s’il ne nous correspond plus

 

Etre trop cérébral :  un handicap mais un avantage face à l’adversité

Dans la vie quotidienne, on me dit souvent que je suis trop cérébrale.

Etre trop cérébral, c’est analyser et intellectualiser TOUT ce qui nous arrive, en passant du travail, aux activités extra-professionnelles en passant par la conduite et la vie intime.
Dans ce cadre, notre cerveau devient notre pire ennemi : impossible de lâcher-prise sur des activités oisives, et impossible de se détendre au quotidien et encore moins de détendre son corps.

Je suis régulièrement victime de ce trop plein d’activité cérébrale dans des activités qui ne devraient pas solliciter autant de réflexion.
En aikido par exemple, être trop cérébrale m’empêche de ressentir les sensations et de détendre mon corps. Ce qui est contre-productif (mais je me soigne).

Lorsque je passais mon permis (que je n’ai toujours pas), mon cerveau peinait à analyser toutes les interactions et coordonner mes mouvements. Résultats, je ne prenais aucun plaisir à la conduite, et vivais un état de stress permanent.

Quand on est trop cérébral, on a du mal à déconnecter le mental, et penser nous prend beaucoup trop d’énergie.

En revanche, être cérébral comprend son lot d’avantages, face à l’adversité.

Etre cérébral me permet ainsi d’avoir une très bonne analyse de mes problèmes et de chercher des solutions concrètes.

Etre cérébrale me permet également de routiniser et ritualiser mon quotidien. Concrètement, je fais mon lit le matin, je fais du sport tous les jours, je mange équilibré et j’adopte une discipline de vie et de travail à laquelle je ne derrogerai pas, peu importe mon état émotionnel.

Comme je le dis souvent à mes clients : on ne dirige pas une entreprise avec ses émotions.

Etre cérébral ne se contrôle (malheureusement) pas.
Le lâcher-prise ne se commande pas non plus.
En revanche, l’accepter permet de gagner du temps au quotidien en comprenant son fonctionnement.
Mieux encore, ce fonctionnement peut être avantageux dans certains cas de figure, pour ne pas se laisser déborder par ses émotions.

👉Et vous, connaissez-vous votre fonctionnement ? L’acceptez-vous ou essayez-vous de fonctionner différemment ?

 

Entrepreneuriat : 4 conseils pour savoir si vous devez persévérer ou arrêter une activité qui stagne

Cours en ligne

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver de connaiître des moments de stagnation d’activité aboutissant sur une perte de motivation.
Pendant ces moments, la question est souvent la suivante : dois-je persévérer ou me résigner ?

Alors, si vous ne savez pas si vous êtes dans la persévérance ou dans l’acharnement, voici 4 pistes qui vous aideront à prendre une décision :

1/ Quand l’envie n’est plus là, il est temps arrêter

Quand vous perdez toute stimulation intellectuelle liée à la conduite de votre projet entrepreneurial, c’est que vous n’êtes tout simplement plus aligné avec ce dernier. Concrétement, votre activité ne fait plus sens et vous n’arrivez plus à déployer de l’énergie pour la relancer. Dans ce cadre, mieux vaut chercher une autre voie.

2/ Quand le timing financier est mauvais : faire une pause (temporaire)

Si vous êtes dans le rouge, arrêtez-vous ! Non pas pour jeter l’éponge, mais pour vous ressourcer financièrement. Job alimentaire à mi-temps ou à plein temps, prêt, ou épargne personnelle, tous les moyens sont bons pour vous refaire une santé financière. N’oubliez pas que votre priorité est d’abord de pouvoir payer votre loyer et vos dépenses incompressible. On n’entreprend durablement que sereinement.

3/ Quand on apprécie pas le chemin mais que le résultat : changer de voie

Dans l’imaginaire collectif, l’entrepreneuriat est souvent signe de réussite financière. Mais le mythe de l’entrepreneur à succès peut en désillusionner plus d’un. En effet, entreprendre est un long chemin qu’il vaut mieux apprécier pour ne pas être dégoutté de son activité. Si vous voulez devenir riche, mais que vous n’aimez ni votre activité, ni travailler à son développement, vous faites fausse route ! Entreprendre est une activité précaire mais également énergivore (surtout au début). Si vous n’appréciez pas la route, ne l’empruntez pas.

4/ Quand il manque une aide extérieure : persévérer

Vous êtes lancé mais vous ne voyez pas de résultats ? Fixez-vous d’abord une limite de temps pour tester votre activité seul.

Quelques mois suffisent à savoir si vous avez besoin d’une aide extérieure ou non. Si c’est le cas, prenez le temps de choisir la personne qui vous aidera au mieux à booster votre activité. Mais avant cela, vous pouvez déjà vous demander dans quoi vous avez besoin d’aide : s’agit-il de marketing ? De mindset ? De prestataires ? De matériel ? Se former et se faire accompagner est une étape quasi nécessaire pour entreprendre avec succès. Si vous êtes à vos débuts, testez par vous-même, puis choisissez l’aide la plus appropriée (et prioritaire) pour avancer vers le succès !
Voici donc 4 conseils pour vous aider à analyser votre baisse d’activité avec lucidité et prendre la meilleure décision en toute connaissance de cause !
A vous de jouer !

L’agilité mentale : la plus grande force des entrepreneurs

L’une des principales qualités des entrepreneurs est d’être agile.
L’agilité, c’est la capacité à développer une flexibilité mentale pour rebondir dans toutes les situations.

En effet, entreprendre, c’est d’abord tester, observer et réagir.

Par conséquent, voici les 3 compétences maîtrisées par un entrepreneur agile :
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1/ La capacité à pivoter
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Pivoter, c’est entamer un changement dans l’orientation que prend son activité : changer de cible, changer de modèle économique ou même, changer d’activité !
On pivote lorsqu’on réalise que l’on fonce dans un mur, sur le plan économique (mauvaise conjoncture externe ou modèle économique fragile) ou en termes de stimulation intellectuelle (lorsqu’on n’est plus aligné).
Pivoter, c’est accepter la peur du changement et se confronter à l’incertitude. Mais c’est surtout, prendre un nouvel envol pour remettre son entreprise sur de bons rails !
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2/ La capacité à demander de l’aide
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L’humilité est l’une des plus grandes qualités des entrepreneurs qui réussissent. Savoir que l’on ne sait pas faire et accepter de demander de l’aide est un grand pas réalisé autour de la conscience de ses propres limites. Et pour cause, on ne peut pas tout réussir seul et sans aide. En tant qu’entrepreneur mais également en tant que personne, il m’arrive régulièrement de demande de l’aide auprès de professionnels lorsque je réalise que je n’arrive pas à régler les problèmes que je rencontre. Cela me permet de bénéficier d’un miroir qui m’aide à prendre du recul sur moi. Demander de l’aide, c’est accepter une main tendue pour aller de l’avant.
L’égo ne nous permet ni d’être heureux, ni d’entreprendre de manière sereine et pérenne. Alors, laissons le de côté et faisons-nous aider.
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3/ La capacité à rebondir après un échec
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Qui entreprend expérimente. Et qui expérimente se trompe (souvent). L’échec n’est pas un drame, c’est au contraire une manière de mémoriser et d’évoluer. Il est plus facile de bien faire lorsqu’on s’est trompé une fois, car on comprend la cause de son échec. En dédramatisant l’échec, on le transforme en apprentissage, voire même en en tremplin pour s’élever et monter les échelles de manière exponentielle. La vie nous met des bâtons dans les roues, c’est en s’y prenant les pieds qu’on apprend à mieux poser ses pieds pour avancer sur ce long sentier sur lequel nous nous trouvons.
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Bonne réflexion !
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👉 Si vous sentez que vous n’arrivez pas à vous imposer un cadre, je vous ai préparé un Ebook pour entreprendre sereinement en trouvant le bon équilibre pro/perso 🙂