Les 10 piliers pour booster votre business d’entrepreneur tout en préservant votre énergie !

Pour booster votre business d’entrepreneur, la gestion de l’énergie et des priorités, ainsi que la prise de conscience de nos besoins sont des éléments essentiels. Dans cet article, je vous explique comment j’ai réussi à maximiser mon énergie au quotidien pour créer une vie d’entrepreneure plus épanouie, et surtout, comment vous pouvez les appliquer à votre cas personnel pour améliorer votre équilibre de vie pro/perso en tant qu’entrepreneur et booster votre business.

1. Prendre en compte mon rythme naturel pour optimiser mon emploi du temps

Pour optimiser à 100 % mon énergie, j’ai appris à supprimer les activités qui me prennent de l’énergie lorsque celle-ci est déjà faible. Par exemple, je limite énormément mes tâches personnelles et professionnelles en fin de journée, car mon énergie décline au fur et à mesure que la journée avance. En tant que chronotype “lion”, je suis particulièrement active le matin, mais ma productivité baisse l’après-midi et en soirée. C’est donc essentiel pour moi de ne pas gaspiller mon énergie dans des activités inutiles à ces moments-là. Pour booster mon business, j’ai besoin d’avoir des moments ressourçant au quotidien, c’est pourquoi j’optimise mes interactions sociales en fonction de ce qu’elles m’apportent personnellement et professionnellement.

2. Limiter les interactions sociales et privilégier la qualité 

Les interactions sociales peuvent être énergivores, surtout lorsqu’elles sont mal choisies ou mal cadrées. Et c’est encore plus le cas pour les introvertis comme moi. Pour cela, je choisis avec soin les moments où j’ai envie de voir des gens et, surtout, avec qui.

Gagner en énergie, c’est aussi s’entourer des bonnes personnes. Je fais en sorte de passer du temps avec des personnes qui m’inspirent, avec qui je partage une vraie connexion intellectuelle et émotionnelle. Les relations sociales qui nourrissent mon esprit sont des moments précieux que je recherche activement. C’est dans ces moments-là que mon énergie se revitalise. Ainsi, en tant qu’introvertie, je préfère limiter les interactions sociales et opter pour celles qui me stimulent et m’enrichissent.

3. Créer un environnement propice à mon bien-être

Mon environnement joue un rôle clé dans mon énergie. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai quitté la région parisienne pour vivre dans un endroit plus calme, à Rennes en Bretagne. Je choisis également de voyager pour me ressourcer. Par exemple, j’ai pris la décision de partir à Taïwan en février, non seulement pour mon bien-être personnel, mais aussi pour booster ma créativité et ma productivité professionnelle. Que je sois en France ou à l’étranger, mon enjeu est de préserver mes routines afin de me construire un cadre qui me structure. C’est de cette manière que j’arrive à préserver un équilibre de vie pro/perso tout en boostant mon business.

4. Adapter mon alimentation à mon organisme

Pour gagner en énergie, j’adapte mon alimentation en fonction de ce qui me convient à moi personnellement. Après avoir étudié mon profil alimentaire et mes besoins physiologiques, j’ai compris quels aliments me donnaient de l’énergie et lesquels me ralentissaient. Je connais aussi mon groupe sanguin (Groupe B +, nomade) et les tendances qui y sont associées, ce qui m’aide à mieux comprendre ce qui me convient. Mais au-delà des théories, c’est avant tout mon ressenti personnel qui guide mes choix. Et c’est en prenant soin de mon alimentation que je booste mon énergie et donc, indirectement, celle de mon business.

5. Prendre soin de mon sommeil

Le sommeil est primordial pour maintenir une énergie optimale. Je sais que j’ai besoin de 7 à 8 heures de sommeil pour être vraiment reposée. Pour moi, cela signifie me coucher entre 23 h et 23 h 30, et me réveiller entre 7 h et 7 h 30, selon les saisons. Le plus important est de ne pas avoir à me réveiller avec une alarme : mon corps doit se réguler naturellement, ce qui me permet de commencer ma journée de manière plus sereine et pleine d’énergie.

6. S’éloigner des écrans et des sources de stress

Je prends régulièrement des pauses sans écrans pour m’éloigner de la surcharge mentale et du stress. Le téléphone, notamment, peut devenir un piège de distraction et de mal-être. C’est pour cela que j’ai pris l’habitude de ne plus dormir avec mon téléphone dans la même pièce, et j’ai même acheté un réveil pour ne pas avoir à l’utiliser dès mon réveil. Je me protège également des nouvelles constamment négatives qui envahissent les médias. Bien sûr, je reste informée, mais je choisis soigneusement le moment et la manière dont je consomme l’information. Cela me permet de me concentrer sur l’essentiel sans être accablée par des nouvelles anxiogènes. Ce n’est pas que je refuse de savoir ce qui se passe dans le monde, c’est juste que je choisis de ne pas me laisser envahir par ce qui me stresse inutilement.

7. Pratiquer une activité physique régulière et adaptée

Pour conserver un corps en forme et une énergie optimale, j’ai intégré l’activité physique régulière dans mon quotidien. J’adapte mes séances à mes besoins : des exercices courts mais intenses pour entretenir mon physique, comme le fitness, et de l’aïkido, car j’aime les arts martiaux, et je peux ainsi  rester active tout en entretenant mon lien social. Le sport me permet de gagner en énergie au quotidien en oxygénant mon cerveau. Et c’est en gagnant en énergie que je peut être plus performante pour mon business.

 

8. Trouver des stratégies commerciales fluides pour mon business

En tant qu’entrepreneure, j’ai choisi une stratégie business qui s’appuie sur mes forces. J’utilise l’inbound marketing, avec une combinaison de newsletter, de référencement naturel (SEO) sur Google et de contenu sur les réseaux sociaux. L’écriture est une activité fluide et agréable pour moi, et c’est par ce biais que j’attire mes clients. Cette approche me permet d’allier plaisir et efficacité dans mon activité professionnelle. C’est en adoptant des stratégies commerciales qui vous ressemblent que vous pourrez booster votre business.

9. Vivre une vie épicurienne

Le sens de la vie, selon moi, c’est se faire plaisir. Qu’il s’agisse de voyager, de savourer de bons repas, de passer du temps avec des personnes de qualité ou tout simplement de prendre soin de soi, chaque petit moment de bonheur contribue à nourrir notre énergie. Que ce soit un spa, un massage ou une soirée tranquille, ces instants sont essentiels pour équilibrer notre vie professionnelle et personnelle. Ils permettent de vivre pleinement, de se ressourcer et de rester motivé dans notre quotidien d’entrepreneur.

10. Prendre soin de soi avec le Self-Care au quotidien

Le self-care est une partie intégrante de mon bien-être. Je me permets d’accepter que, parfois, mon énergie émotionnelle soit moins élevée, par exemple pendant mes règles, et je ne me force pas à avancer à un rythme trop rapide. J’utilise des outils comme la méditation, l’écriture ou des conversations avec moi-même pour traiter mes émotions. Prendre soin de moi signifie aussi m’offrir des moments de plaisir, que ce soit par des repas gourmands, des moments avec mes amis ou des petites choses simples qui me rendent heureuse.


Prêt à optimiser votre énergie et créer une vie d’entrepreneur plus épanouie ?

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Si vous vous reconnaissez dans ces piliers et que vous souhaitez les intégrer à votre quotidien pour booster votre busines, je vous invite à réserver mon Coaching Time to Plan. Ce coaching individuel a été conçu pour vous aider à :

 

  • Optimiser votre énergie chaque jour en vous alignant avec votre rythme naturel.
  • Gérer efficacement votre temps et vos priorités pour éviter l’épuisement sur des tâches inutiles.
  • Créer un environnement propice à votre bien-être et à votre réussite entrepreneuriale.
  • Prendre soin de vous grâce à des routines qui respectent vos besoins et votre fonctionnement

En plus de cette séance de coaching, vous bénéficierez d’un suivi illimité asynchrone pendant un mois, via e-mail et WhatsApp (textes et vocaux), pour répondre à toutes vos questions et vous accompagner tout au long de votre parcours.

Je limite ce coaching à 10 places disponibles en décembre pour garantir un suivi de qualité.

Réservez dès maintenant votre place et commencez à transformer votre quotidien d’entrepreneur en cette fin d’année, pour commencer 2025 de bon pied !

Freelance : comment trouver un équilibre de vie pro/perso quand on travaille de chez soi

Trouver un équilibre de vie pro/perso n’est pas simple quand on est entrepreneur ! En effet, entreprendre, surtout en tant que freelance, est souvent une activité solitaire. Il est vrai que travailler depuis chez soi peut paraître idyllique, mais cette liberté s’accompagne d’un défi majeur : poser un cadre et des limites pour préserver sa santé mentale. Dans ce contexte, la frontière entre vie professionnelle et personnelle devient floue, et il est facile de se perdre dans un quotidien où le travail peut occuper toute la place. Dans cet article, j’ai souhaité partager avec vous mon retour d’expérience personnelle et mes conseils pour vous aider à entreprendre sans sacrifier votre équilibre de vie au quotidien. Bonne lecture.

 

Préserver son équilibre de vie pro/perso : un travail du quotidien pour les freelances

Lorsqu’on est dans le flow, et que l’on est absorbé par ses tâches, il n’est pas toujours facile d’imposer des limites claires. Pourtant, cet équilibre est essentiel, même pour les entrepreneurs qui pensent y être insensibles. Le sujet de l’équilibre entre vie pro et vie perso en tant qu’entrepreneur me tient particulièrement à cœur, bien que, personnellement, je n’ai jamais eu l’impression d’être directement concernée.

Pourquoi ? Parce que je suis une personne extrêmement autodisciplinée et organisée. Voici un exemple du cadre de vie que je me suis imposée (et qui me correspond)  : je prends trois repas par jour, j’atteins les objectifs raisonnables et réalisables que je me fixe (car je ne sous-estime pas le temps des tâches, bien au contraire ! ), je fais du sport plusieurs fois par semaine (Hiit, Aikido, course à pied), j’entretiens ma vie sociale et je travaille régulièrement sur moi (je pense que le développement personnel et le travail introspectif est indispensable quand on est entrepreneur). Ces habitudes m’ont longtemps donné l’impression d’être à l’abri du stress et des déséquilibres.

Mais en réalité, ce n’est pas suffisant.

Le stress invisible de la vie connectée

En tant que freelance, je passe de longues heures devant des écrans, que ce soit pour travailler, interagir sur les réseaux sociaux ou gérer mes projets (mon temps d’écran est incroyablement élevé). Ce rythme effréné, associé à la connexion permanente, peut générer un stress invisible, qui finit par s’accumuler sans que je m’en rende compte.

J’ai pris conscience de mon niveau de stress en observant l’impact de ces habitudes sur mon état mental et physique. Je me suis aperçue que je me sens beaucoup mieux lorsque je prends des pauses, que je coupe les écrans ou que je m’éloigne des réseaux sociaux. Ces moments de déconnexion sont devenus essentiels pour retrouver mon calme et ma clarté mentale.

C’est ainsi que j’ai décidé d’introduire dans ma routine des coupures régulières pour marcher, prendre l’air ou simplement me consacrer à des activités éloignées des écrans. Je me suis par exemple achetée un réveil matin pour ne plus que mon téléphone dorme avec moi dans ma chambre.

Quelques conseils pratiques pour un équilibre pro/perso en freelance

Si, comme moi, vous travaillez depuis chez vous, voici quelques conseils que j’ai intégrés dans ma routine. Bien qu’ils ne soient pas révolutionnaires, ils constituent des rappels essentiels pour préserver votre santé mentale et physique :

1. Aérez votre logement pour oxygéner votre cerveau

L’air frais a un effet immédiat sur notre concentration et notre bien-être. En ouvrant vos fenêtres chaque jour, vous stimulez votre esprit et créez un environnement plus sain pour travailler.

2. Prévoyez des moments sans écran

Nous sommes constamment connectés, ce qui peut rapidement nous épuiser mentalement. Pour contrer cela, j’ai pris l’habitude de prévoir des moments sans écran. Comme mentionné plus haut,  j’ai récemment acheté un réveil pour ne plus dépendre de mon téléphone le soir ou le matin. Je m’interdis également de consulter mon téléphone avant le petit-déjeuner.

Ces petites actions permettent de commencer la journée sur une note calme et de limiter l’exposition aux écrans en dehors des heures de travail.

3. Allez marcher et écoutez des podcasts

Sortir pour une simple promenade peut sembler anodin, mais c’est une habitude extrêmement bénéfique. Si vous avez du mal à trouver la motivation, donnez-vous un objectif simple, comme écouter un podcast inspirant ou éducatif. Cela transforme votre marche en un moment productif et agréable.

4. Faites des activités sociales ou sportives

En travaillant depuis chez soi, on peut facilement perdre contact avec le monde extérieur. Pourtant, interagir avec d’autres personnes est crucial pour maintenir un bon équilibre. Intégrez des activités sociales ou sportives à votre routine pour passer du temps avec des humains, loin des écrans. Cela vous permettra de recharger vos batteries et d’éviter l’isolement.

L’importance de s’auto-réguler quand on est freelance

En tant que freelance, l’équilibre de vie repose entièrement sur vous. Contrairement à un salarié, vous n’avez pas de cadre fixe imposé par un employeur. Vous devez donc apprendre à vous auto-réguler et à poser vos propres limites pour préserver votre santé mentale.

Cela implique de :

  • Identifier vos besoins personnels et professionnels.
  • Planifier des pauses et des moments de déconnexion dans votre emploi du temps.
  • Être attentif à votre niveau de stress et à ses manifestations, même subtiles.

Le stress, souvent inconscient, peut avoir des conséquences graves sur votre bien-être à long terme. C’est pourquoi il est essentiel de prendre les devants pour maintenir un équilibre sain entre vie professionnelle et personnelle.

Pourquoi cet équilibre de vie est essentiel ?

 

Travailler sans limites peut sembler efficace à court terme, mais cela mène souvent à l’épuisement ou au burn-out. En établissant des routines et des habitudes qui favorisent cet équilibre, vous serez non seulement plus productif, mais aussi plus épanoui dans votre travail et votre vie personnelle.

De plus, un freelance équilibré inspire confiance à ses clients. En montrant que vous savez vous organiser et prendre soin de vous, vous projetez une image de professionnalisme et de maîtrise.

Conclusion : ne sous-estimez pas l’importance du cadre

 

Même si ces conseils peuvent sembler basiques, ils sont des piliers fondamentaux pour trouver un équilibre en tant que freelance. Si vous avez du mal à poser un cadre ou si vous vous sentez dépassé, il est important de demander de l’aide ou d’en parler avec des personnes de confiance.

N’oubliez pas : préserver votre santé mentale et physique est un investissement sur le long terme, pour vous et pour votre activité.

 

Et si vous trouviez enfin le bon équilibre pour entreprendre sereinement ?

Être freelance, c’est souvent marcher sur un fil entre liberté et surcharge. Mais il est possible de structurer votre quotidien pour vivre pleinement votre vie pro et perso, sans culpabilité ni épuisement.

C’est exactement ce que je vous propose avec une séance de coaching individuelle Time to Plan.(10 places seulement en décembre !)

Pendant cette session, on mettra à plat vos priorités selon vos objectifs et on construira une organisation sur-mesure, qui vous ressemble vraiment ! Pour que vous soyez pleinement accompagné, vous bénéficierez aussi d’un mois de suivi pour ancrer vos nouvelles habitudes et ajuster si besoin. Si vous avez besoin d’un coach pour vous permettre d’atteindre vos objectifs sans vous épuiser, ce coaching est fait pour vous ! 

 

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Comment écrire un article SEO-Friendly qui attire du trafic (sans sacrifier la qualité)

En tant que freelance ou entrepreneur, vous avez probablement entendu qu’écrire des articles optimisés pour le SEO est essentiel pour attirer du trafic sur votre site. Mais une inquiétude demeure : comment rester fidèle à son style et écrire des textes qui nous ressemblent, tout en séduisant Google ? Peut-on réellement produire du contenu engageant, humain, et optimisé pour les moteurs de recherche sans se transformer en une machine à mots-clés ? Et surtout, qu’en est-il de ces rumeurs selon lesquelles Google pénaliserait les contenus écrits par des IA comme ChatGPT ?

Dans cet article, nous allons répondre à ces questions et vous fournir des conseils concrets pour écrire des articles SEO-friendly qui sont autant un plaisir à écrire qu’à lire. Si vous cherchez à adopter une stratégie durable qui ne sacrifie ni votre authenticité ni votre motivation, cet article est pour vous.


1. SEO et authenticité : deux alliés, pas des opposés

 

L’idée reçue selon laquelle SEO rime avec articles fades, bourrés de mots-clés, est dépassée. Google a évolué. Son objectif n’est pas de classer en priorité les contenus “robotisés”, mais ceux qui répondent au mieux aux intentions de recherche des utilisateurs. En d’autres termes, vous n’avez pas besoin de sacrifier votre style pour plaire à Google.

Ce que Google veut vraiment :

  1. Un contenu pertinent : Répondez précisément à une question ou un problème que votre audience cherche à résoudre.
  2. Une expérience utilisateur de qualité : Des articles bien structurés, clairs, et faciles à lire.
  3. Une valeur ajoutée : Proposez des informations utiles ou des perspectives nouvelles, plutôt que de répéter ce qui existe déjà.

Exemple concret :

  • Si vous êtes freelance en graphisme, évitez les sujets trop généralistes comme “Les bases du design graphique”. Optez plutôt pour “5 astuces pour choisir une palette de couleurs qui capte l’attention (et convertit vos prospects)”. Non seulement vous répondez à une problématique spécifique, mais vous apportez une perspective unique en tant que graphiste expérimenté.

En tant qu’auteur, votre objectif est donc simple : écrire des articles qui répondent aux besoins de votre audience tout en restant fidèles à votre voix. Cela demande un certain équilibre entre les techniques d’optimisation et votre créativité.


2. Google Sanctionne-t-il les contenus écrits par ChatGPT ?

Beaucoup se demandent si Google peut détecter et pénaliser les articles générés par des intelligences artificielles comme ChatGPT. La réponse est rassurante : Google ne sanctionne pas automatiquement les contenus créés par une IA.

Ce que Google cherche à éliminer, ce sont les contenus de mauvaise qualité, qu’ils soient générés par des humains ou par des machines. Autrement dit, ce n’est pas l’origine du contenu qui importe, mais :

  • Son utilité pour le lecteur.
  • Sa clarté et sa structure.
  • Son originalité.

Les clés pour éviter tout risque :

  • Apportez une touche humaine. Utilisez ChatGPT comme un assistant, mais enrichissez le contenu avec vos propres idées, anecdotes, et points de vue.
  • Relisez et adaptez. Ne publiez jamais un texte généré tel quel. Assurez-vous qu’il reflète votre personnalité et votre expertise.
  • Focalisez-vous sur l’intention de recherche. Que cherche vraiment l’utilisateur en tapant sa requête ? Votre contenu doit répondre à cette intention mieux que n’importe quel autre.

Exemple concret :
Vous êtes coach en marketing digital et vous écrivez un article sur “Comment créer une stratégie de contenu efficace”. Plutôt que de simplement lister des étapes, racontez une expérience :

“En 2022, j’ai travaillé avec une cliente dans le domaine du bien-être. Sa stratégie de contenu stagnait à cause de sujets trop larges comme ‘Les bienfaits de la méditation’. Nous avons recentré ses efforts sur des thèmes spécifiques comme ‘5 techniques de méditation pour surmonter l’anxiété au travail’, et ses articles ont doublé leur trafic en trois mois.”

En fin de compte, ChatGPT peut être un excellent outil pour structurer vos idées ou générer des brouillons, mais c’est votre touche personnelle qui fera la différence.


3. Comment écrire un article SEO-Friendly et humain

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Passons maintenant à la méthode. Voici une approche pas à pas pour créer des articles optimisés pour Google et engageants pour vos lecteurs.

Étape 1 : Choisissez un sujet qui vous passionne

Un bon article SEO commence par un sujet qui vous parle. Si le sujet ne vous stimule pas, cela se ressentira dans votre écriture, et vous aurez du mal à maintenir cette stratégie sur le long terme.

Exemple :

  • Vous êtes développeur freelance : au lieu de rédiger un article générique sur “Comment coder en Python”, parlez de “Les erreurs les plus courantes des débutants en Python (et comment les éviter)”.

Étape 2 : Identifiez les mots-clés pertinents

Les mots-clés sont essentiels pour être visible sur Google, mais leur utilisation doit rester naturelle.

  • Utilisez des outils comme Ubersuggest, Ahrefs ou Google Keyword Planner pour identifier des expressions pertinentes (par exemple, “rédiger un article SEO-friendly” ou “comment écrire un blog optimisé”).
  • Privilégiez les mots-clés longue traîne, qui sont moins concurrentiels et souvent plus précis.

Astuce concrète :
Si vous ciblez des freelances en rédaction, optez pour un titre comme “Comment les rédacteurs freelance peuvent optimiser leurs articles pour Google sans perdre leur authenticité. Cela répond à une requête spécifique et attire votre audience idéale.

Étape 3 : Structurez votre contenu

Un article bien structuré est non seulement agréable à lire, mais aussi mieux compris par Google. Voici une structure simple et efficace :

  • Introduction : Posez une question ou introduisez un problème.
  • Corps de l’article : Divisez-le en sections logiques avec des sous-titres. Chaque section doit aborder un aspect spécifique du sujet.
  • Conclusion : Résumez les points clés et proposez une action concrète.

Exemple :
Vous écrivez sur “Les meilleures stratégies pour trouver des clients en freelance”. Structurez votre article comme suit :

  1. Les bases pour identifier votre client idéal.
  2. Les plateformes incontournables pour freelances en 2024.
  3. Le rôle du bouche-à-oreille et du networking.
  4. Pourquoi investir dans un site vitrine.

4. Intégrez le Storytelling pour captiver vos lecteurs

Un des meilleurs moyens de rendre vos articles engageants est d’intégrer du storytelling. Une bonne histoire peut transformer un sujet technique en une lecture captivante. C’est d’ailleurs ce que font les plus grandes marques. Et cette stratégie marche aussi pour le storytelling des freelances.

Comment intégrer le storytelling :

  • Commencez par une anecdote. Par exemple : “Quand j’ai écrit mon premier article SEO-friendly, j’étais persuadé qu’un simple mot-clé répété suffirait. Résultat : zéro trafic. Puis, j’ai appris à structurer mes articles et à répondre aux vraies questions de mes lecteurs.”
  • Illustrez vos points avec des exemples concrets. Cela rend vos explications plus tangibles et mémorables.
  • Humanisez vos conseils. Partagez vos réussites, mais aussi vos échecs.

5. Pourquoi écrire des articles qui ont du sens

La clé pour réussir sur le long terme avec une stratégie de contenu est de rester aligné avec vos valeurs et votre vision. Si vous vous forcez à écrire des articles sur des sujets qui ne vous intéressent pas ou de manière impersonnelle, vous risquez rapidement de vous épuiser.

Exemple :
Si vous êtes freelance en photographie, écrivez sur “Comment capturer des portraits qui racontent une histoire (même sans équipement coûteux)” au lieu d’un sujet plus générique comme “Les bases de la photographie de portrait”. Cela vous permettra de rester motivé tout en vous connectant à votre audience.


Conclusion :

Écrire des articles SEO-friendly ne signifie pas écrire comme une machine. En combinant les bonnes pratiques techniques avec votre authenticité, vous pouvez créer du contenu qui attire non seulement le trafic, mais aussi la confiance de votre audience.

Rappelez-vous : ce qui vous différencie, c’est votre voix. Utilisez les outils comme ChatGPT pour vous aider, mais ne laissez jamais une machine raconter votre histoire à votre place.

 

Prêt à transformer votre contenu en une véritable stratégie pour attirer vos clients ?

C’est ce que nous allons mettre ensemble avec mon coaching Stratégie de contenu express.

En une séance, voici les résultats attendus :

🌟 Vous mettrez en place une stratégie de contenu efficace qui attirera des clients sans avoir à démarcher.
🌟 Nous construirons ensemble votre calendrier éditorial, étape par étape.
🌟 Vous apprendrez à surfer sur une audience plus large que la vôtre pour maximiser votre impact.
🌟 Vous développerez votre marque personnelle pour accroître votre visibilité et votre notoriété.
🌟 Et surtout, vous maîtriserez les bases pour booster votre positionnement sur Google et attirer naturellement vos clients idéaux.

Transformez votre manière de communiquer et faites de votre contenu un outil puissant de croissance pour votre entreprise !

 

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Réussir en Freelance : comment développer durablement votre business

Se lancer en freelance ou développer son activité entrepreneuriale est un véritable défi stimulant mais qui demande une préparation ! Que vous soyez indépendant, entrepreneur ou freelance expérimenté, ce chemin exige non seulement des compétences techniques et stratégiques, mais aussi une introspection profonde pour ajuster votre mindset, vos priorités et vos choix. Dans cet article ultra-complet, je partage mes retours d’expérience et des conseils concrets sur le développement de votre activité, l’augmentation de votre visibilité et la croissance de votre chiffre d’affaires, tout en cultivant un équilibre de vie pro/perso durable.

1. Mindset : poser les fondations de la réussite

 

Votre état d’esprit est la clé de votre réussite en freelance. Il ne s’agit pas uniquement de compétences techniques ou stratégiques, mais aussi de la manière dont vous vous percevez, percevez vos clients et abordez les défis.

L’importance d’un entourage stimulant : cultiver un réseau positif et inspirant

L’entourage joue un rôle déterminant dans votre réussite en tant que freelance. Il est essentiel de vous entourer de personnes qui vous motivent, vous inspirent et vous poussent à vous dépasser. Un réseau de qualité peut être une véritable source d’énergie et de conseils précieux. Que ce soit des mentors, des collègues freelances, ou même des amis partageant une vision positive de l’entrepreneuriat, ces relations vous permettent de rester motivé(e) et de surmonter les périodes de doute. Lors de mes débuts, j’ai créé un groupe Facebook pour les freelances de l’ESS et du développement durable, où nous pouvions échanger, partager des ressources et des opportunités. Ce groupe est devenu un lieu de soutien et de conseils, mais aussi un moyen de me sentir moins seul(e) dans mon parcours entrepreneurial. Entourez-vous de personnes qui vous challengent et vous encouragent à vous améliorer constamment. Les échanges avec des individus qui partagent des valeurs similaires à vous renforcent non seulement votre motivation, mais aussi votre vision à long terme. Un entourage stimulant est un atout précieux pour rester dans un état d’esprit positif et pour surmonter les obstacles du quotidien en freelance. Si j’ai réussi à me lancer en freelance, c’est sûrement grâce au développement de mon réseau entrepreneurial : afterwork, cafés en one to-one, groupes Facebook…l’introduction de ce nouvel entourage m’a  permis en 2017 de rencontrer des personnes chez qui l’entreprneuriat était une nouvelle norme et dans laquelle on pouvait réussir.

La désacralisation de l’échec : une opportunité d’apprentissage, pas un frein

L’échec est souvent perçu comme une catastrophe, mais en tant que freelance, il est indispensable de changer cette perception. Au lieu de le voir comme un obstacle insurmontable, il convient de l’envisager comme une étape d’apprentissage nécessaire pour avancer. L’échec n’est pas une fin, mais un moyen de se réajuster, d’améliorer ses pratiques et de mieux comprendre ses erreurs pour éviter de les répéter. Dans mon propre parcours, j’ai connu plusieurs échecs, notamment lors de mes premières collaborations ou dans la gestion de mes offres, mais ces erreurs m’ont permis de faire de précieux ajustements (qui n’a pas facturé à perte à ses débuts ?) . Par exemple, j’ai compris qu’un mauvais choix d’accompagnement ou un manque de préparation pour un projet ne signifiait pas que je n’étais pas fait(e) pour être freelance, mais que je devais réévaluer mes priorités et mes méthodes. Aujourd’hui, je vois chaque échec comme un terrain fertile pour la croissance personnelle et professionnelle. En désacralisant l’échec, vous lui permettez de devenir une alliée qui vous enseigne à évoluer, plutôt qu’un fardeau qui freine votre ambition. Attention, il ne s’agit pas de faire comme si l’échec n’était pas douloureux, mais de le relativiser : oui, ça fait mal, mais ça nous apprend toujours quelque chose, sur nous ou sur les autres.

 

Le rapport à l’argent : ce que vos tarifs indiquent de votre valeur

 

En tant que freelance, travailler sur votre rapport à l’argent est crucial pour réussir durablement. Il est facile de tomber dans le piège de sous-évaluer ses services par peur de ne pas trouver de clients ou de perdre des contrats. Toutefois, un tarif trop bas peut véhiculer un message négatif, celui d’un manque de confiance en soi ou en ses compétences. Ce rapport à l’argent est souvent influencé par nos croyances limitantes, héritées de notre éducation ou de notre environnement. Apprendre à voir l’argent comme un outil nécessaire à la pérennité de votre activité est primordial. Cela nécessite de comprendre que l’argent ne doit pas être perçu comme une fin en soi, mais comme une conséquence de la valeur que vous apportez. Fixer des prix justes (pour soi), respectueux de votre expertise, et apprendre à communiquer sur la valeur que vous proposez permet de développer une relation plus saine et plus épanouissante avec vos clients et avec votre propre activité. L’importance de ce travail sur soi ne doit pas être sous-estimée : il vous aide non seulement à mieux gérer vos finances, mais aussi à renforcer votre confiance en vous et votre capacité à négocier de manière plus assertive.

2. Le Personal Branding : faites de votre personnalité un atout

Dans un marché saturé, votre différence ne réside pas seulement dans vos compétences, mais dans qui vous êtes et comment vous vous présentez.

  • Racontez votre histoire : Votre parcours, vos échecs, vos réussites et vos valeurs créent une connexion émotionnelle avec votre audience. C’est ce qu’on appelle le storytelling, et il est pratiqué par les plus grandes marques tout comme les freelances. Par exemple, j’intègre souvent mes erreurs d’entrepreneur dans mes contenus pour montrer que le succès n’est pas linéaire.

 

 

  • Créez une présence cohérente en ligne : Votre site web, vos réseaux sociaux et vos supports de communication doivent refléter une image claire et professionnelle. Utilisez des visuels de qualité, un ton adapté à votre cible et des messages percutants.

 

  • Astuce : Développez une stratégie de contenu qui répond aux besoins de votre cible. Publiez régulièrement des articles, vidéos ou posts LinkedIn pour renforcer votre crédibilité et votre visibilité.

 

3. Inbound Marketing : attirez vos clients idéaux

Le marketing n’est pas réservé aux grandes entreprises. En freelance, une stratégie bien pensée peut transformer votre activité.

  • Identifiez votre cible : Qui sont vos clients idéaux ? Quels sont leurs besoins, leurs problèmes et leurs aspirations ? En répondant à ces questions, vous pouvez mieux orienter vos offres et vos messages.
  • Apprenez à vendre sans vendre : Une erreur que j’ai longtemps faite était d’attendre que mes clients viennent à moi. Aujourd’hui, je privilégie des approches subtiles, comme offrir du contenu gratuit de qualité pour établir une relation de confiance.
  • Investissez dans les bons outils : Un site web bien conçu, un CRM pour gérer vos relations clients, ou encore une newsletter pour rester en contact avec votre audience sont des investissements essentiels.
  • Astuce : Analysez vos performances marketing régulièrement. Quelles actions génèrent des résultats ? Mettez votre énergie là où cela compte vraiment.

4. L’organisation : structurez vos journées

 

Être freelance, c’est gérer plusieurs casquettes : producteur, marketeur, comptable, commercial… Sans organisation, le risque de surmenage est grand.

  • Planifiez vos journées : Utilisez des outils comme Google Calendar ou Notion pour structurer vos semaines et hiérarchiser vos priorités.
  • Fixez des limites claires : Pour éviter l’épuisement, délimitez vos horaires de travail et apprenez à dire non.
  • Automatisez ce qui peut l’être : Des tâches comme la facturation, le suivi des paiements ou les rappels clients peuvent être gérées automatiquement grâce à des logiciels adaptés.
  • Mon erreur : Pendant longtemps, je n’ai pas su poser de limites, ce qui m’a conduit à l’épuisement. Aujourd’hui, je sais que structurer mon temps est aussi important que de trouver des clients.

5. Équilibre Vie Pro / Vie Perso : cultivez la durabilité

Le succès ne se mesure pas uniquement en termes financiers. Il repose aussi sur votre bien-être mental et physique. L’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est essentiel pour une carrière durable.

  • Écoutez votre rythme naturel : Chaque freelance est différent. Il est important de connaître vos moments de productivité maximale et de respecter vos besoins en termes de travail et de repos. Si vous êtes une personne matinale, planifiez les tâches difficiles le matin. Si vous êtes plus productif l’après-midi, adaptez votre emploi du temps en conséquence.
  • Alimentation et hygiène de vie : Une alimentation saine et équilibrée est indispensable pour maintenir votre énergie et votre concentration. Optez pour des repas riches en nutriments, des fruits, des légumes, des protéines maigres, et des graisses saines. Un corps bien nourri est un corps performant.
  • Sommeil réparateur : Le manque de sommeil est un des plus grands ennemis de la productivité. Assurez-vous de dormir suffisamment, entre 7 et 8 heures par nuit. Le sommeil est essentiel pour régénérer votre corps et votre esprit.
  • Routine équilibrée : Prévoyez du temps pour des activités physiques, de la méditation, des loisirs, et pour passer du temps avec vos proches. Ces moments de détente et de plaisir sont tout aussi importants que vos heures de travail. Le surmenage entraîne de l’épuisement, de la perte de créativité, et du stress.
  • Réévaluez vos priorités régulièrement : Ce qui était important pour vous au début de votre activité peut évoluer avec le temps. Adaptez-vous aux changements pour maintenir un équilibre sain entre votre travail et vos besoins personnels.
  • Astuce : Le succès à long terme repose sur un équilibre sain entre vos ambitions professionnelles et vos besoins personnels. Ne négligez jamais votre bien-être.

6. Se faire accompagner : un investissement, pas une dépense

Un point fondamental que j’ai appris avec l’expérience est l’importance de se faire accompagner quand on est freelance.

  • Choisissez vos coachs avec soin : Ne vous laissez pas séduire par les promesses. Vérifiez l’alignement entre leurs méthodes et vos besoins. J’ai investi dans des coachings qui ne me convenaient pas, ce qui m’a coûté du temps et de l’argent. Aujourd’hui, je sais choisir des professionnels en phase avec mes objectifs.
  • Voyez cela comme un investissement : Un bon accompagnement peut vous faire gagner des mois, voire des années de tâtonnements. Il ne s’agit pas d’une dépense, mais d’un accélérateur de croissance.
  • Définissez vos priorités : Avant de vous engager, identifiez clairement ce que vous attendez : plus de clients ? Une meilleure organisation ? Une stratégie marketing solide ?
  • Mon conseil : Soyez très au clair sur vos attentes avant d’investir, mais prêtez également attention à la personnalité de votre coach pour que vous soyez compatibles.

7. Leçons tirées de mes erreurs d’entrepreneure

Personne n’échappe aux erreurs, mais elles peuvent devenir des tremplins si on sait en tirer les bonnes leçons.

  • Investir au mauvais endroit : J’ai perdu du temps et de l’argent dans des accompagnements mal choisis. Aujourd’hui, je m’assure que mes investissements sont alignés avec mes objectifs et ma personnalité.
  • Trop vouloir en faire seul : Pendant longtemps, j’ai cru que tout gérer seule était un signe de force. Mais déléguer ou demander de l’aide est souvent plus efficace.
  • Ignorer mon intuition : J’ai parfois suivi des stratégies qui ne me ressemblaient pas, avec peu de résultats. Aujourd’hui, j’écoute davantage mon intuition.
  • Astuce : Prenez du recul régulièrement sur vos erreurs pour en tirer des enseignements concrets.

 

Conclusion : prenez le temps de construire une activité qui bous ressemble

 

Réussir en freelance est un parcours personnel autant que professionnel. Cela demande une stratégie solide, un travail sur soi et la capacité à faire les bons choix, même après des erreurs.

Rappelez-vous que chaque action, chaque décision, vous rapproche de vos objectifs. Entourez-vous des bonnes personnes, valorisez votre travail et, surtout, prenez soin de vous dans ce voyage. Votre succès ne dépend pas uniquement de vos compétences, mais aussi de votre capacité à évoluer avec confiance et résilience.

Si vous souhaitez aller plus loin et être accompagné(e) dans ce processus, sachez que ce n’est pas une faiblesse, mais une force. Le bon accompagnement peut être le coup de pouce nécessaire pour transformer vos rêves en réalité.

 

Et si vous pensez que je suis la bonne personne, je vous propose une séance sans engagement pour débloquer votre situation, quelque soit votre objectif business !

 

Comment construire son offre de service quand on est freelance

 

Lorsqu’on se lance en tant que freelance ou indépendant, l’un des premiers défis consiste à construire une offre de service claire, attractive et cohérente. Cependant, il est crucial de comprendre que créer une offre ne garantit pas automatiquement sa vente. L’offre doit être conçue de manière stratégique pour répondre aux besoins du marché tout en restant alignée avec ses propres aspirations et compétences. Cet article vous guide à travers les différentes étapes pour construire une offre solide et percutante, tout en abordant la question complexe des tarifs.

1. Comprendre ce qu’est une offre de service

 

L’offre de service est une description précise de ce que vous proposez à vos clients. Elle inclut la promesse de transformation que vous apportez et les bénéfices concrets que votre client peut attendre. Trop de freelances commettent l’erreur de surcharger leur offre avec des détails complexes : le nombre d’heures, les options et autres spécificités techniques. Bien que ces aspects aient leur importance, ils ne doivent pas éclipser la promesse de base et la valeur ajoutée que vous offrez. Concentrez-vous sur ce que votre service va transformer pour votre client : quels problèmes résout-il, quelles opportunités ouvre-t-il ?

Conseil pratique : Formulez une promesse forte et claire, par exemple : « Je vous aide à augmenter votre visibilité sur le web grâce à une stratégie de contenu optimisée ».

2. La recherche de marché : un pilier essentiel

 

Construire une offre pertinente nécessite une bonne connaissance du marché. Avant de fixer vos tarifs et de définir les contours précis de votre offre, il est essentiel de savoir ce qui se passe dans votre secteur. Une recherche approfondie vous permet d’identifier les tendances, de comprendre comment les autres free-lances structurent leurs offres et de repérer les lacunes que vous pourriez combler.

Étapes pour une recherche efficace :

  • Étudiez les offres de vos concurrents directs et indirects.
  • Analysez ce que les clients recherchent via des sondages, des témoignages ou des forums.
  • Identifiez les tarifs pratiqués sur le marché.

3. Définir ses tarifs : entre analyse et intuition

 

Déterminer ses tarifs est l’une des étapes les plus délicates lorsqu’on construit son offre de service. Il existe deux approches complémentaires pour y parvenir : l’analyse du marché et le ressenti personnel.

Analyse du marché : Examinez les prix pratiqués par d’autres free-lances dans votre domaine. Cela vous donnera un point de référence pour situer vos propres tarifs. Attention cependant à ne pas calquer vos prix sur ceux de la concurrence sans comprendre la valeur ajoutée que vous pouvez apporter de manière unique.

Ressenti personnel : La définition de vos tarifs doit également tenir compte de votre confort et de votre ressenti. Un tarif juste est un tarif avec lequel vous vous sentez en accord, et qui vous motive à donner le meilleur de vous-même. Pour cela, il est souvent judicieux de partir de votre tarif horaire.

Calcul du tarif horaire : Pour déterminer votre tarif horaire de base, prenez en compte vos frais (loyer, électricité, cotisations sociales, etc.) ainsi que le niveau de vie que vous souhaitez maintenir. Ensuite, en fonction du nombre d’heures facturables par mois, établissez un tarif horaire minimum en dessous duquel il serait difficile de rentabiliser votre activité. À partir de ce tarif horaire, construisez vos forfaits ou packages.

4. Construire des packages : simplicité et clarté

 

Lorsqu’on crée une offre, il est tentant de détailler tous les aspects possibles, mais cela peut rapidement devenir contre-productif. Votre offre doit être simple et facile à comprendre. Évitez de trop vous perdre dans les détails. Concentrez-vous sur l’essentiel : la transformation que vous promettez.

Par exemple, si vous proposez des services de coaching, mentionnez que votre accompagnement inclut un suivi régulier et individualisé pour aider le client à atteindre ses objectifs. Le nombre d’heures, les options supplémentaires et les détails techniques peuvent être discutés ultérieurement.

Inclure du suivi : Pour les services de coaching ou de consulting, proposer un suivi asynchrone peut être un vrai plus. Cela permet au client de bénéficier de votre expertise même en dehors des séances planifiées. Cela peut se faire via des échanges par email, des notes vocales ou des applications de messagerie dédiées. Ce type de suivi enrichit la valeur perçue de votre offre et justifie des tarifs plus élevés.

5. Valoriser l’expertise et le temps individualisé

 

L’un des principaux facteurs qui permettent de justifier un tarif élevé est l’expertise que vous apportez. Ce n’est pas simplement l’expérience accumulée au fil des années, mais la capacité à proposer des solutions précises et efficaces. Par ailleurs, le temps de travail individualisé est ce qui a le plus de valeur aux yeux de nombreux clients.

Exemple concret : Un free-lance peut proposer un coaching de groupe à un tarif compétitif, mais un accompagnement personnalisé sera naturellement plus cher. Si vous offrez plusieurs heures de coaching individualisé et des retours spécifiques sur les projets de vos clients, votre offre devient plus précieuse et, par conséquent, justifie un prix plus élevé.

6. Les stratégies de tarification avancées

 

Option de tarification basée sur la valeur : Une autre approche consiste à tarifer en fonction de la valeur perçue par le client plutôt que sur la base du coût horaire. Si vous aidez un client à augmenter son chiffre d’affaires de manière significative, votre service prend une autre dimension et peut être tarifé en conséquence.

Offres de forfaits : Proposer des offres packagées avec des options claires peut simplifier le processus de décision pour le client. Par exemple, un free-lance en graphisme peut offrir trois forfaits : un de base, un intermédiaire et un premium, chacun incluant des prestations de plus en plus élaborées.

Tarification évolutive : Lorsque vous démarrez, il peut être judicieux de commencer avec des tarifs compétitifs pour acquérir de l’expérience et constituer un portfolio. Au fur et à mesure que votre expertise et votre réputation grandissent, vous pouvez ajuster vos tarifs à la hausse.

7. Comment rendre votre offre irrésistible

 

Pour que votre offre attire et convainque, elle doit être bien plus qu’une simple liste de services. Une offre irrésistible doit :

  • Résoudre un problème clair : Montrez que vous comprenez les besoins de votre client et que votre service est la solution.
  • Mettre en avant les bénéfices : Exprimez non seulement ce que vous faites, mais aussi ce que cela va changer pour votre client.
  • Rassurer avec des preuves sociales : Les témoignages et études de cas apportent de la crédibilité à votre offre.

8. Réviser et ajuster

Enfin, il est important de considérer la construction de son offre de service comme un processus évolutif. Une fois votre offre initiale créée, soyez prêt à la revoir et à l’ajuster en fonction des retours des clients et de l’évolution de votre marché. Si un certain type de service est particulièrement demandé, envisagez d’en faire un élément central de votre offre. De même, si des clients potentiels trouvent vos tarifs trop élevés ou trop bas, il peut être pertinent de réajuster vos prix pour qu’ils reflètent mieux votre expertise et la valeur que vous apportez.

Conclusion

Construire une offre de service efficace en tant que free-lance requiert une combinaison de recherche de marché, d’auto-évaluation et de stratégie. En vous concentrant sur la promesse que vous offrez, en définissant des tarifs justes basés à la fois sur l’analyse du marché et sur votre propre ressenti, et en proposant un suivi qui valorise le temps individualisé, vous poserez des bases solides pour réussir. N’oubliez pas que le succès de votre offre dépendra autant de la qualité du service rendu que de la manière dont vous la présentez et l’ajustez dans le temps.

 

Comment trouver des clients en ligne quand on est Freelances ou indépendant

Trouver des clients en ligne est essentiel pour tout indépendant, freelance ou entrepreneur souhaitant développer son activité. Internet regorge d’opportunités, mais se démarquer et attirer des clients demande une stratégie réfléchie et cohérente. Dans cet article, je vais partager des conseils pratiques et des exemples personnels sur comment attirer des clients grâce au référencement Google, au personal branding, aux articles invités et à d’autres stratégies de communication authentiques.

 

1. L’importance du référencement Google

 

Le référencement naturel (SEO) est l’une des méthodes les plus durables pour attirer des clients. Être bien positionné sur les moteurs de recherche permet de générer un flux constant de visiteurs qualifiés sur votre site.

 

Mon expérience : L’un des piliers de ma stratégie de prospection est mon blog optimisé pour le SEO. En créant du contenu pertinent pour mon audience, j’attire des freelances, entrepreneurs et thérapeutes à la recherche de solutions pour développer leur activité. Cela m’apporte des contacts réguliers sans publicité payante.

 

Conseils pratiques :

  • Identifiez les mots-clés pertinents grâce à des outils comme Ahrefs ou SEMrush. (et demandez à vos clients ce qu’ils tapent sur Google lorsqu’ils ont une problématique business)
  • Rédigez des articles de qualité qui répondent aux questions de votre audience.
  • Optimisez vos pages avec des titres accrocheurs et des balises structurées (H1, H2, etc.).

2. Le Personal Branding : se démarquer par l’authenticité

 

Le personal branding est essentiel pour établir une connexion de confiance avec votre audience. Se montrer authentique et transparent permet de se démarquer et de fidéliser ses clients.

 

Mon approche : Depuis mon lancement en 2017, j’ai réussi à développer plusieurs communautés en ligne en misant sur l’authenticité et la proximité. J’ai créé une communauté de freelances dans l’économie sociale et solidaire et le développement durable via un groupe Facebook, où je donnais des conseils personnalisés et réalisais des lives vidéo réguliers. J’ai également développé une communauté d’entrepreneurs grâce à des rendez-vous en ligne dans un groupe Facebook, tout en organisant des rencontres hors ligne dans des cafés. Cette stratégie m’a permis de créer un lien fort et authentique avec mon audience.

Conseils pratiques :

  • Publiez régulièrement sur les réseaux sociaux en partageant vos réussites et vos échecs.
  • Utilisez la vidéo pour humaniser votre communication.
  • Offrez de la valeur ajoutée à travers des conseils et des contenus interactifs.

 

3. Les articles invités pour atteindre une audience plus large

 

Écrire des articles invités sur des plateformes reconnues est une manière efficace de toucher une audience plus large et d’affirmer votre expertise.

Exemple personnel : J’ai publié des articles invités sur des médias comme Maddyness et FrenchWeb, où j’ai partagé mon expérience entrepreneuriale (alors que j’avais très peu d’expérience dans l’entrepreneuriat et pas de chiffre d’affaires)  Ces articles ont significativement boosté ma visibilité et ont contribué à l’augmentation de mon chiffre d’affaires. En choisissant des médias dont la ligne éditoriale correspond à votre domaine d’expertise, vous gagnez en crédibilité.

Conseils pratiques :

  • Sélectionnez des médias alignés avec votre secteur d’activité.
  • Proposez des sujets pertinents et en phase avec la ligne éditoriale du média.
  • Incluez des liens vers votre site ou vos ressources pour renforcer votre présence en ligne.

 

4. Interviewer des experts pour élargir sa visibilité

 

Interviewer des experts ou des figures influentes est une autre méthode pour toucher une plus grande audience. Ces experts, en partageant le contenu, élargissent votre portée.

Pourquoi ça marche : Lorsqu’une personne influente partage votre contenu avec sa communauté, votre travail bénéficie d’une exposition accrue et d’une légitimité instantanée.

Conseils pratiques :

  • Invitez des leaders d’opinion à des entretiens vidéo ou écrits.
  • Préparez des questions qui mettent en avant leur expertise tout en valorisant votre propre contenu.
  • Assurez-vous de promouvoir ces interviews sur vos canaux de communication.

 

5. Créer et animer sa propre communauté en ligne

 

Développer une communauté en ligne est une méthode puissante pour fidéliser votre audience et renforcer votre autorité.

Mon expérience : J’ai développé des communautés en ligne en proposant des conseils, des lives et des réponses personnalisées aux questions de mes membres. Cette interaction constante m’a permis de renforcer les liens avec mon audience et d’instaurer une relation de confiance. En parallèle, j’ai également organisé des événements en ligne et hors ligne pour maintenir l’engagement.

Conseils pratiques :

  • Créez un groupe Facebook ou canal Telegram où vous partagez des conseils et des actualités.
  • Publiez du contenu régulièrement, comme des astuces pratiques et des questions-réponses.
  • Organisez des webinaires et des sessions de coaching pour encourager la participation.

 

6. Les formations en ligne : une opportunité à ne pas négliger

 

Les formations en ligne peuvent être une source de revenus et un moyen de démontrer votre expertise. Cependant, elles nécessitent une stratégie de lancement solide.

Mon expérience : J’ai constaté que lancer une formation en ligne demande de nombreuses actions de communication : webinaires, emails, témoignages clients, etc. C’est un processus qui requiert du temps et de l’énergie, mais qui porte ses fruits lorsqu’il est bien exécuté.

Conseils :

  • Planifiez votre communication en amont avec un calendrier éditorial.
  • Mettez en avant des études de cas et des témoignages.
  • Intégrez des démonstrations en direct pour engager votre audience.

Conclusion

Attirer des clients en ligne est un travail de longue haleine qui requiert stratégie et authenticité. Que vous choisissiez le SEO, le personal branding, les articles invités, ou la création de communautés, il est essentiel de diversifier vos approches. Restez fidèle à vos valeurs, offrez de la valeur ajoutée, et investissez du temps dans des relations durables avec votre audience

 

 

Comment développer une stratégie de contenu efficace avec l’inbound marketing et le personal branding

 

Aujourd’hui, nombreux sont les entrepreneurs qui se tournent vers la publicité payante et les réseaux sociaux pour gagner en visibilité. Pourtant, une autre approche plus durable et authentique existe : une stratégie de contenu basée sur l’inbound marketing, associé à un personal branding fort. Cette méthode permet de développer une communication sincère et organique, attirant ainsi naturellement des clients sans avoir à démarcher activement. Dans cet article, nous explorerons comment adopter cette stratégie, en mettant l’accent sur l’importance de l’authenticité, du SEO et des réseaux sociaux pour attirer des prospects qualifiés.

 

1. L’authenticité au cœur du Personal Branding

 

Une stratégie de contenu basée sur un  personal branding consiste à créer une image de soi unique et authentique qui reflète vos valeurs et votre personnalité. Dans un monde où la concurrence est omniprésente, il est essentiel de se différencier. Le secret réside dans l’authenticité. En tant qu’entrepreneur, il est important de ne pas chercher à construire une image parfaite. Partager ses réussites, mais aussi ses échecs et ses moments de doute, est ce qui permet de créer une véritable connexion avec ses clients.

Personnellement, je mets en avant ma sensibilité et ma vulnérabilité, ce qui m’aide à me rapprocher de mes clients. Je ne cherche pas à dissimuler mes imperfections ou à donner l’image d’une personne sans failles. Au contraire, je montre que derrière chaque succès se cache aussi des moments difficiles, ce qui résonne avec mes clients, souvent eux-mêmes confrontés à des challenges.

Il est néanmoins important de préciser que divulguer des aspects de votre vie privée n’est pas une obligation. Chacun choisit le degré d’intimité qu’il souhaite partager. Pour ma part, je choisis soigneusement les éléments de ma vie qui renforcent mon écosystème et qui permettent à mes clients de me voir comme un être humain, mais je garde aussi une part de mystère.

 

2. L’Inbound Marketing : attirez vos clients avec du contenu à forte valeur ajoutée

 

L’inbound marketing repose sur la création de contenus utiles et pertinents pour attirer des clients potentiels. Contrairement aux méthodes classiques de prospection où il faut aller chercher les clients, l’inbound marketing permet aux prospects de venir à vous.

Cela peut inclure la publication régulière d’articles de blog, l’envoi de newsletters, la création de lead magnets comme des ebooks ou des vidéos de formation à télécharger gratuitement, ou encore des pages de vente bien référencées. Ces outils permettent de capter l’attention de votre audience et de la convertir en prospects qualifiés.

Dans mon cas, je n’ai jamais eu besoin de démarcher activement mes clients. La création régulière de contenus pertinents m’a permis de bâtir une relation de confiance avec mon audience. Les visiteurs viennent d’eux-mêmes chercher des solutions à leurs problèmes, et cela se traduit souvent par des demandes de services ou de coaching. C’est ainsi que l’inbound marketing fonctionne : en apportant de la valeur avant de proposer une offre.

 

3. Le SEO : optimisez votre présence en ligne

 

Le SEO (référencement naturel) est un levier essentiel pour faire en sorte que vos contenus soient trouvés sur Google. Il existe plusieurs aspects à travailler pour améliorer son référencement et gagner en visibilité :

• Optimisation de la fiche Google My Business : Une fiche bien renseignée, avec des avis clients et des informations actualisées, vous permettra de vous positionner localement et d’attirer des prospects près de chez vous.

Référencement local : Travailler le SEO de votre page d’accueil et optimiser votre site pour le référencement local permet à Google de mieux comprendre où vous êtes situé et de vous rendre plus visible dans les résultats locaux.

• Référencement thématique : Le référencement de votre blog est également crucial. Publier des articles autour de thématiques spécifiques, comme l’inbound marketing, le personal branding ou d’autres sujets en lien avec votre domaine d’activité, favorise votre positionnement sur des requêtes ciblées.

Publications régulières : Pour être visible sur Google, il est important de publier fréquemment, que ce soit des articles de blog ou des publications sur les réseaux sociaux. La régularité permet d’envoyer des signaux positifs à Google et améliore votre positionnement au fil du temps.

Les avis clients et les témoignages jouent également un rôle clé dans le référencement, en apportant une preuve sociale. En montrant que vos clients sont satisfaits de vos services, vous renforcez la confiance et incitez d’autres prospects à se tourner vers vous.

4. Les réseaux sociaux  : renforcez votre notoriété grâce à une vitrine crédible

 

Bien que l’inbound marketing repose principalement sur la création de contenu, les réseaux sociaux ne doivent pas être négligés. Ces plateformes sont essentielles pour vous rendre visible, développer votre notoriété et construire une crédibilité. Toutefois, il est crucial de choisir les plateformes et les formats qui correspondent à votre personnalité.

Si vous n’aimez pas la vidéo ou que vous n’êtes pas à l’aise avec des plateformes comme TikTok, ce n’est pas grave. Le plus important est de choisir ce qui vous convient le mieux. L’écrit reste un excellent moyen de communication. En tant qu’entrepreneur, vous pouvez publier des articles sur des plateformes comme LinkedIn, partager des réflexions sur X ou encore poster des photos sur Instagram.

Les réseaux sociaux sont avant tout une vitrine, mais aussi un moyen d’interagir avec votre communauté. En engageant des conversations et en répondant aux questions de vos abonnés, vous montrez votre expertise et renforcez votre image. Cependant, il est important de ne pas juste être visible. Être actif sur les réseaux sociaux et montrer que vous êtes engagé dans votre domaine est ce qui vous permettra de vous démarquer.

 

5. La newsletter et les tunnels de vente : des outils de conversions client

 

Dans le cadre d’une stratégie de contenu, la newsletter est un outil puissant pour créer une relation de confiance avec vos abonnés. En envoyant régulièrement des contenus pertinents, vous gardez vos prospects engagés et vous nourrissez une relation à long terme.

De plus, les tunnels de vente simples, comme des pages de vente bien structurées et des lead magnets attractifs, permettent de guider vos prospects dans leur parcours d’achat. Ces éléments, combinés à un référencement optimisé, vous aident à convertir un visiteur en client sans pression.

 

6. La preuve sociale : renforcez la confiance et attirez vos clients

Le cas des recommandations Linkedin pour mieux référencer votre profil

La preuve sociale est un élément clé de l’inbound marketing. Les témoignages clients, les recommandations et les avis sont essentiels pour crédibiliser votre offre. Si vos clients satisfaits parlent de vous, cela rassure les prospects et renforce la confiance. Dans mon cas, les témoignages de mes clients sur les résultats qu’ils ont obtenus grâce à mes conseils sont un facteur déterminant pour attirer de nouveaux clients.

Partager des avis et des témoignages sur votre site, vos réseaux sociaux ou dans vos newsletters est un moyen de renforcer votre légitimité et de montrer que vous avez déjà apporté de la valeur à d’autres.

 

7. Restez authentique et évitez le syndrome de l’objet brillant

 

L’une des erreurs les plus fréquentes est de se laisser guider par le syndrome de l’objet brillant : courir après chaque nouvelle tendance sans se poser de questions. Pour réussir en inbound marketing, il est important de rester fidèle à vous-même et de ne pas vous forcer à adopter des formats ou des plateformes qui ne vous correspondent pas.

Avant de vous lancer dans une nouvelle stratégie, posez-vous la question suivante : qu’est-ce que mes clients cherchent réellement ? En répondant à leurs besoins, en leur offrant des solutions, et en étant régulier dans vos efforts, vous créerez une véritable relation qui durera.

Conclusion : la stratégie de contenu basée sur l’inbound marketing, un investissement sur le long terme.

 

En conclusion, l’inbound marketing, combiné à un personal branding authentique, vous permet de créer une communication forte et durable avec vos clients. En étant vous-même, en partageant votre expertise et vos expériences, vous attirez à vous des prospects qui vous ressemblent. Le SEO, les réseaux sociaux, les newsletters, les tunnels de vente et la preuve sociale sont des éléments complémentaires qui renforcent votre visibilité et votre crédibilité.

N’oubliez pas que l’objectif est d’être authentique et de rester fidèle à vos valeurs. Prenez le temps de construire une stratégie de contenu qui vous ressemble, qui répond aux besoins de vos clients et qui vous permettra de générer des résultats à long terme. Ne vous laissez pas emporter par les dernières tendances, mais concentrez-vous sur ce qui fonctionne pour vous et vos clients.

 

Vous êtes prêt à mettre en place votre propre stratégie d’inbound marketing ?

Si vous souhaitez apprendre à développer votre personal branding et attirer des clients sans avoir à démarcher activement, je suis là pour vous accompagner !

Que vous soyez entrepreneur, coach ou professionnel, si vous voulez améliorer votre visibilité sur le web et attirer des clients de manière plus authentique, je vous invite à réserver votre séance de Stratégie de Contenu Express. Ensemble, nous trouverons la stratégie d’inbound marketing qui correspond à votre activité !

 

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Voici ce que nous allons faire ensemble en une heure :

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Organisation réaliste et durable : créer des routines qui fonctionnent pour les Entrepreneurs

L’organisation est la pierre angulaire de la réussite entrepreneuriale, mais une organisation trop rigide peut devenir un piège. L’objectif n’est pas de créer des routines strictes qui imposent une pression constante, mais de mettre en place des pratiques réalistes et durables qui favorisent l’efficacité tout en préservant votre bien-être. Cet article vous guidera dans l’élaboration de routines qui vous permettront de jongler avec vos responsabilités professionnelles tout en cultivant un équilibre de vie personnel sain. Car c’est en prenant soin de vous que vous pourrez donner du sens à vos journées, tant sur le plan professionnel que personnel.

1. Pourquoi une organisation réaliste est essentielle pour les entrepreneurs

 

 

L’entrepreneuriat peut rapidement devenir accablant si vous ne gérez pas efficacement votre temps et vos priorités. La clé est de créer une organisation qui répond à vos objectifs tout en respectant vos limites. L’un des principaux défis des entrepreneurs est de maintenir un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle. Négliger l’un ou l’autre peut mener à l’épuisement et à une perte de motivation. Une organisation réaliste permet de gérer votre emploi du temps de manière à ce que votre travail et vos moments de détente se complètent, plutôt que de s’opposer.

 

L’impact de l’épuisement professionnel


Des routines trop ambitieuses peuvent entraîner une surcharge de travail, augmentant le stress et le risque de burn-out. En revanche, une organisation réaliste inclut des moments de pause et de réflexion, ce qui vous permet de rester productif sans compromettre votre bien-être. Se réserver des temps pour soi, pour faire du sport, manger correctement, ou pratiquer des activités qui vous plaisent, peut sembler secondaire, mais c’est en réalité essentiel pour rester épanoui et motivé.

2. Comprendre vos objectifs et contraintes

Avant de construire une routine, il est essentiel de connaître vos objectifs professionnels, mais aussi vos besoins personnels. Un entrepreneur efficace est celui qui sait équilibrer ses impératifs professionnels et ses moments de ressourcement. Lorsque vous prenez en compte vos priorités personnelles (temps pour les repas, sport, loisirs), vous créez un emploi du temps qui favorise votre épanouissement général.

 

Analyser ses contraintes personnelles et professionnelles

 


Quelles sont les tâches urgentes dans votre activité ? Quels sont les moments de la journée où vous vous sentez le plus énergique ? Parallèlement, quels moments de la journée souhaitez-vous dédier à des activités qui nourrissent votre bien-être ? Cette réflexion vous permet de planifier de manière réaliste et de ne pas sacrifier votre santé physique ou mentale pour le travail.

 

3. Les fondations d’une routine durable

Une routine efficace repose sur l’équilibre et la flexibilité. Voici quelques principes clés pour l’établir.

 

Commencer petit


Il est important de commencer par des actions simples et peu chronophages. Plutôt que de vouloir tout changer d’un coup, intégrez progressivement de nouvelles habitudes. Par exemple, commencez par consacrer 10 minutes chaque matin à la planification de la journée et à une réflexion sur vos priorités. Cela vous aide à rester concentré tout en préservant de l’espace pour vous.

 

Adaptez votre planning pour inclure des moments pour vous


Une organisation réaliste implique aussi d’avoir des plages horaires dédiées à des activités non professionnelles. Cela peut inclure des moments pour prendre un vrai déjeuner, faire du sport, ou simplement se détendre. Planifiez des pauses régulières, au même titre que vos rendez-vous professionnels, pour préserver votre énergie et éviter le surmenage.

 

Prendre des pauses pour se ressourcer


L’organisation durable n’est pas uniquement une question de productivité, mais aussi de bien-être. En intégrant des moments de pause dans votre journée, vous favorisez la créativité et la concentration. Ces pauses sont essentielles pour maintenir une bonne santé mentale et physique. Par exemple, faire une courte marche après une session de travail intense peut non seulement vous permettre de vous aérer l’esprit, mais aussi de booster votre énergie pour la suite de la journée.

4. Exemples personnels : comment j’applique ces principes

Dans ma propre expérience, l’une des clés pour éviter l’épuisement est de ne jamais surcharger mon emploi du temps. J’ai tendance à avoir une légère surestimation du temps nécessaire pour accomplir mes tâches, ce qui me permet d’avoir des journées plus satisfaisantes. En planifiant des marges de manœuvre, je m’assure d’atteindre mes objectifs sans pression excessive, ce qui me permet de rester motivée et épanouie.

Il est aussi essentiel de s’autodiscipliner, surtout quand on est seul à gérer son emploi du temps. Cela peut être difficile, car personne ne nous impose des horaires ou des responsabilités fixes, mais cette discipline personnelle est ce qui nous aide à maintenir un rythme de travail constant et productif.

J’utilise Google Agenda pour organiser mes journées. Je note toutes mes tâches et événements dans mon agenda, mais je ne m’impose pas une rigidité à tout prix. Si je sens qu’une tâche ne convient pas à mon niveau d’énergie ou qu’elle ne s’intègre pas bien dans la journée, je n’hésite pas à la déplacer à un autre moment. Pour moi, l’important est que tout soit fait à un moment donné, mais je m’adapte en fonction de mes besoins et de mon humeur du moment. Cela me permet de garder un bon équilibre et de ne pas me sentir débordée, tout en respectant mes objectifs.

Je travaille très bien à domicile sans distraction, mais si le cadre de travail à la maison rend le respect de votre routine difficile, en raison des distractions ou du manque d’un environnement propice à la concentration, vous pouvez toujours travailler ailleurs, que ce soit dans un café ou un espace de coworking. Cela changera votre cadre de travail et vous aidera à renouer avec une meilleure organisation et à respecter vos habitudes.

5. Des exemples de routines efficaces

 

 

Mettre en place des routines efficaces ne signifie pas uniquement travailler sans relâche. Voici quelques exemples de pratiques qui favorisent un équilibre entre productivité et bien-être.

Routine matinale de 30 minutes


Un exemple classique consiste à commencer la journée avec une courte routine : 5 minutes pour réfléchir à vos priorités, 15 minutes pour organiser vos tâches et 10 minutes pour prendre soin de vous, que ce soit en faisant une activité physique ou en vous préparant un petit-déjeuner nourrissant. Mais il est important de noter que ce genre de routine n’est qu’un exemple. Ce qui compte, c’est que vous trouviez ce qui fonctionne pour vous. Si une routine matinale trop stricte vous épuise, ajustez-la en fonction de ce qui vous semble le plus adapté à votre rythme.

 

Bilan de fin de journée


À la fin de chaque journée, prenez 10 minutes pour faire le point sur vos réalisations et ajuster votre planning pour le lendemain. Ce moment vous permet non seulement de valoriser vos réussites, mais aussi de préparer un nouveau jour en toute sérénité.

 

Sessions de travail par intervalles


La technique Pomodoro, avec des sessions de travail de 25 minutes suivies de 5 minutes de pause, est idéale pour maintenir un rythme productif sans se fatiguer. Après chaque série de 4 sessions, accordez-vous une plus longue pause (15 à 30 minutes) pour vous détendre, faire une activité physique, ou prendre un repas.

6. Conseils pour tenir vos habitudes

 

Maintenir une routine efficace sur le long terme nécessite de l’engagement et des ajustements réguliers.

 

Suivi régulier


Utilisez un carnet ou une application de suivi pour mesurer vos progrès et identifier les ajustements nécessaires. Des outils comme Notion, Google Calendar ou des applications dédiées à la gestion de tâches peuvent vous aider à organiser vos journées tout en assurant un suivi de vos habitudes.

 

Automatiser les tâches simples


La technologie peut être votre alliée pour alléger votre emploi du temps. Par exemple, automatiser des tâches comme la gestion de vos emails ou de vos rendez-vous grâce à des outils comme Zapier ou Calendly permet de gagner du temps pour se concentrer sur des activités plus importantes ou sur vous-même.

Lier vos habitudes à des objectifs personnels


Lier vos routines à des objectifs personnels de long terme permet de maintenir une motivation constante. Par exemple, vous pouvez fixer des objectifs liés à votre bien-être (faire 30 minutes de sport par jour, méditer tous les matins, etc.) et les relier à vos objectifs professionnels.

 

7. Les erreurs à éviter

 

Même avec la meilleure organisation, certains pièges sont à éviter pour maintenir un équilibre sain.

 

Surcharger son emploi du temps


Bien qu’il soit tentant de maximiser chaque minute de votre journée, trop de tâches dans un emploi du temps peuvent créer une pression inutile. Laissez des moments libres dans votre agenda pour vous détendre ou gérer les imprévus.

Ne pas prendre de pauses


L’oubli des moments de pause est une erreur fréquente. Si vous ne vous accordez pas de répit, votre productivité peut en souffrir. Prenez des pauses régulières pour faire le plein d’énergie, que ce soit en faisant du sport, en cuisinant ou en profitant de moments de loisirs.

 

Ignorer l’équilibre travail-vie personnelle


L’erreur la plus courante dans l’organisation des entrepreneurs est de tout sacrifier au travail. Si vous ne préservez pas un équilibre entre vos obligations professionnelles et vos besoins personnels, vous risquez de vous épuiser rapidement. Les moments de détente, les loisirs et le temps passé avec vos proches sont essentiels pour recharger vos batteries et maintenir une motivation à long terme.

 

Conclusion : trouver la routine qui vous correspond

 

Il n’y a pas de solution universelle en matière d’organisation et de gestion du temps. La meilleure routine ou la meilleure organisation est celle que vous arriverez à tenir sur le long terme, en fonction de vos besoins et de votre réalité personnelle. Si vous constatez que vous avez du mal à vous tenir à une routine, c’est probablement qu’elle n’est pas adaptée à votre mode de vie, et il est important de la réajuster.

Évitez de suivre des injonctions externes comme « méditation tous les matins », « routine matinale parfaite », ou autres pratiques populaires si elles ne vous conviennent pas. Ce qui compte avant tout, c’est de respecter votre propre rythme et de construire des habitudes qui vous permettent de rester productif sans vous épuiser. Chaque petite victoire est un pas vers une organisation durable et une vie professionnelle épanouie.

En fin de compte, une bonne organisation n’est pas un fardeau à porter, mais une façon de vous soutenir dans l’accomplissement de vos projets. Si vous trouvez une méthode flexible, réaliste et durable, vous pourrez non seulement être productif, mais aussi rester serein et épanoui dans votre travail et votre vie personnelle.

L’organisation ne doit pas être une source de pression. Au contraire, elle doit être une ressource pour vous aider à naviguer dans vos journées sans vous sentir accablé. Commencez avec de petites habitudes que vous pourrez adapter en fonction de vos besoins et de vos objectifs, et vous verrez des résultats durables, tant sur le plan professionnel que personnel.

 

Si vous souhaitez passer à l’action, je vous propose un accompagnement personnalisé avec mon coaching One shot Time to Plan !

Entrepreneur : comment optimiser son organisation et sa productivité pour un meilleur équilibre de vie Pro/Perso

Être entrepreneur ou freelance, c’est être son propre patron. Cela offre une grande liberté, mais aussi une autonomie qui peut parfois se transformer en un défi. Sans une organisation rigoureuse, la gestion de son temps devient vite un casse-tête et l’équilibre de vie pro/perso en prend un coup. Entre les deadlines serrées, les clients exigeants et l’envie de maintenir une vie personnelle épanouie, il est facile de se laisser submerger.

Dans cet article, je vous propose une approche concrète et personnalisée pour optimiser votre productivité et réussir à mieux gérer votre quotidien de freelance et surtout, préserver votre équilibre de vie pro/perso en tant qu’entreprneeur. L’objectif est de trouver un équilibre qui vous permette non seulement d’être productif, mais aussi de préserver votre bien-être.

1. Connaître et respecter son rythme biologique : l’importance des Chronotypes

 

Tout d’abord, comprendre son propre rythme biologique est essentiel pour maximiser sa productivité. Si vous êtes freelance ou entrepreneur, vous avez la liberté de choisir vos horaires, ce qui peut jouer un rôle majeur dans votre efficacité.

Exemple personnel : En tant que chronotype “Lion”, je suis plus énergique et créative le matin. C’est pourquoi je réserve les premières heures de la journée à mes tâches les plus importantes : rédaction de contenu, planification de mes projets et traitement des mails. Cela me permet d’être concentrée et de produire un travail de qualité lorsque je suis au sommet de ma forme.

À l’inverse, en début d’après-midi, je me permets des pauses pour recharger mes batteries. Travailler en fonction de son chronotype permet non seulement de mieux gérer ses pics d’énergie, mais aussi de ne pas épuiser son corps et son esprit en s’attaquant aux tâches les plus complexes lorsque l’on est fatigué.

2. Prendre soin de son corps pour “booster” son esprit

 

Il est essentiel de ne pas négliger l’impact que l’activité physique a sur la productivité. Travailler de longues heures sans interruption peut sembler efficace, mais cela peut aussi mener à l’épuisement et à une baisse de performance. Pour moi, l’exercice physique est crucial pour maintenir un équilibre de vie sain et soutenir ma productivité.

Je pratique l’Aïkido trois fois par semaine entre midi et deux, un moment qui me permet de me ressourcer. Non seulement l’Aïkido est une activité physique, mais c’est aussi un moment social, où je peux échanger avec des pratiquants passionnés. De plus, je fais également du fitness à la maison trois à quatre fois par semaine en suivant des vidéos sur une application mobile (Trainsweateat). Cela m’aide à garder une bonne condition physique, à évacuer le stress et à rester concentrée.

Pourquoi c’est important pour vous ? L’activité physique libère des endorphines, améliore la circulation sanguine et réduit le stress. En tant que freelance, il est crucial de maintenir un équilibre entre activité mentale et physique. Prendre des pauses actives et intégrer des moments de sport dans votre routine vous aidera à être plus alerte et à éviter le burnout.

3. Optimiser son alimentation pour maintenir un haut niveau d’energie

L’alimentation joue un rôle fondamental dans la gestion de l’énergie au quotidien. Après avoir testé le jeûne intermittent, j’ai réalisé que ce n’était pas adapté à mon corps. Je me sentais faible pendant la journée, ce qui affectait ma capacité à être productive.

Aujourd’hui, je privilégie un petit déjeuner faible en glucides, composé de fromage blanc et de pommes cuites, accompagné d’un café au lait avec mousse grâce à un mousseur électrique. Ce type de petit déjeuner me permet de rester énergique tout au long de la matinée sans provoquer de baisses de régime.

Conseil pratique : évitez les sucres rapides le matin. Privilégiez plutôt des protéines et des graisses saines pour vous donner une énergie durable et éviter les pics de glycémie. Cela contribuera à améliorer votre concentration et à éviter les coups de fatigue en milieu de journée.

4. Structurer sa journée avec un time blocking souple

 

Une des erreurs fréquentes en freelance ou dans l’entrepreneuriat en général est de ne pas bien structurer sa journée, ce qui conduit souvent à un travail dispersé et inefficace. Pour éviter cela, j’utilise une méthode appelée time blocking, qui consiste à diviser ma journée en blocs de temps dédiés à des tâches spécifiques.

Exemple concret : ma journée commence tôt, avec une session de travail créatif le matin. Ensuite, je bloque des plages horaires pour les appels avec les clients et les tâches administratives. Je m’assure également de réserver du temps pour les pauses actives, comme ma pratique de l’Aïkido ou des moments de fitness. Ce type de planning me permet de rester concentrée et de ne pas me laisser submerger par les interruptions ou les tâches urgentes.

 

En revanche, je reste flexible en écoutant mon niveau d’énergie : je n’hésite pas à faire une pause ou une sieste si la fatigue se fait ressentir. Mon organisation fluide me permet d’introduire de la flexibilité dans le cadre, en déplaçant mes blocs dans mon agenda si besoin.

 

5. La discipline : un devoir, pas une question de motivation

 

En tant que freelance ou entrepreneur, il est essentiel de se discipliner. J’ai appris à me convaincre que le travail est un devoir et que, même si la motivation n’est pas toujours présente, il est important de s’y tenir.

Exemple personnel : en matière d’organisation, j’ai une routine bien définie et je m’impose des contraintes qui ont du sens pour moi. Par exemple, je me lève à la même heure tous les jours (et sans réveil) même si je n’ai pas forcément envie de commencer à travailler. Je ne me demande pas si j’ai envie ou non de travailler ; cela fait partie de mes engagements envers mes projets et mes clients. Cette autodiscipline me permet de réaliser des tâches même quand l’inspiration n’est pas au rendez-vous (par contre, je suis rigide, c’est le pendant de la rigueur xD).

6. Ne pas surcharger ses journées pour éviter l’épuisement

 

Un autre aspect important est de ne pas surcharger sa journée. J’ai tendance à sous-estimer le temps nécessaire pour accomplir une tâche, mais cela me permet de ne pas être trop ambitieuse et de rester réaliste.

Exemple personnel : je veille à me fixer des objectifs réalisables chaque jour, plutôt que de tenter de tout faire. En fin de journée, je suis souvent satisfaite de ce que j’ai accompli, même si la journée n’a pas été aussi productive que prévue. Cela m’évite de me sentir découragée et me permet d’apprécier mes réalisations.

Mon emploi du temps n’est ainsi volontairement jamais surchargé car je me connais : je ne peux travailler intensément pendant longtemps. Les moments de “vide” me permettent de mieux gérer l’imprévu, mais surtout, d’être sure de pouvoir réaliser tous mes objectifs quotidiens sans difficulté.

7. L’importance de l’autodiscipline et de la gestion des priorités

 

L’une des grandes forces des freelances et des entrepreneurs est leur capacité à prendre des décisions autonomes. Toutefois, cette liberté peut devenir un piège si elle n’est pas bien gérée. En me basant sur mon profil en Human Design (Générateur 3/5), je sais que mon énergie est plus efficace quand je choisis des projets qui résonnent profondément en moi.

Conseil pratique : apprenez à dire non à ce qui ne vous inspire pas et concentrez-vous sur des projets qui correspondent à vos passions et vos valeurs. Cela vous permettra non seulement de maintenir une motivation élevée, mais aussi de donner votre meilleur de manière durable.

Conclusion : devenir un Freelance organisé et productif

 

En tant que freelance ou entrepreneur, il est fondamental de trouver un équilibre entre les exigences professionnelles et personnelles. En comprenant vos rythmes naturels, en structurant votre journée efficacement, en prenant soin de votre corps et en vous imposant une discipline interne, vous pouvez non seulement optimiser votre productivité, mais aussi préserver votre bien-être.

En appliquant ces conseils au quotidien, vous serez en mesure de mieux gérer votre temps, de rester concentré sur vos objectifs et d’éviter le burnout. La clé réside dans l’équilibre : un corps sain, un esprit organisé, et une approche réaliste de vos capacités.

 

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Comment améliorer son SEO rapidement quand on est entrepreneur ou freelance ?

En tant qu’entrepreneur ou freelance, le référencement naturel (SEO) est un levier essentiel pour booster la visibilité de votre activité en ligne. Être bien positionné sur les moteurs de recherche comme Google vous permet d’attirer des clients sans avoir à investir massivement dans des publicités payantes. Mais comment optimiser votre SEO rapidement lorsque vous démarrez ? Que vous ayez un site web ou non, il existe des stratégies efficaces à mettre en place pour améliorer votre référencement. Cet article vous donnera des conseils concrets et des exemples pratiques pour y parvenir.

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1. Optimiser votre présence locale avec Google My Business

Si vous êtes entrepreneur ou freelance et que vous n’avez pas encore de site web, la première étape pour améliorer votre SEO rapidement est de créer un profil Google My Business. Cet outil gratuit vous permet d’apparaître sur Google Maps et dans les résultats de recherche locale, même sans site web. C’est crucial pour être localisé par vos clients potentiels dans votre ville.

Prenons mon exemple, Yéza Lucas, coach pour entrepreneurs à Paris. En optimisant mon profil Google My Business, j’ai pu apparaître en première position sur Google pour la requête “coach entrepreneur Paris”. Ce résultat n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une stratégie bien pensée.

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Voici comment optimiser votre profil Google My Business :

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  • Remplissez toutes les informations : assurez-vous que vos coordonnées (adresse, numéro de téléphone, horaires) sont à jour.
  • Ajoutez des mots-clés pertinents : décrivez votre activité en utilisant des mots-clés recherchés par vos clients potentiels. Par exemple, “coach entrepreneur Paris” est un mot-clé que mes clients tapent pour me trouver.
  • Obtenez des avis clients : les avis positifs sont essentiels pour améliorer votre crédibilité et votre référencement. Encouragez vos clients à laisser un avis après chaque service rendu.

En utilisant Google My Business, vous bénéficiez d’une visibilité locale et, même sans site web, vous pouvez attirer des prospects dans votre région. Lorsque vous créerez un site, cette présence viendra compléter et renforcer votre stratégie SEO globale.

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2. Les recommandations LinkedIn : un levier sous-estimé

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Les réseaux sociaux jouent également un rôle dans l’amélioration de votre référencement, en particulier LinkedIn. Ce réseau est devenu incontournable pour les freelances et entrepreneurs. Contrairement à une idée répandue, les recommandations sur LinkedIn n’influencent pas directement votre SEO dans les moteurs de recherche comme Google. Cependant, elles contribuent à renforcer votre crédibilité et votre autorité professionnelle, deux aspects essentiels pour attirer des clients. Un profil LinkedIn bien optimisé, riche en recommandations, vous aide à vous démarquer et peut améliorer votre visibilité dans les recherches sur LinkedIn lui-même.

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Par ailleurs, les mots-clés présents sur votre profil LinkedIn (dans votre titre, vos expériences, et votre résumé) peuvent améliorer votre référencement dans les recherches LinkedIn, ce qui peut indirectement booster votre visibilité globale en ligne. N’oubliez pas de solliciter des recommandations de la part de vos clients et collaborateurs pour renforcer la crédibilité de votre profil.

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3. Référencement thématique vs référencement local

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Image réalisée par Dall-E

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En matière de SEO, il est important de distinguer le référencement thématique et le référencement local.

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  • Le référencement thématique consiste à produire du contenu de qualité autour d’un sujet spécifique lié à votre expertise. Cela peut se faire à travers des articles de blog optimisés pour des mots-clés précis. Par exemple, si vous êtes consultant en marketing digital, écrire des articles sur des sujets tels que “comment améliorer son SEO” ou “stratégie de contenu” vous positionne comme un expert dans votre domaine. Ce type de référencement est particulièrement utile pour attirer un public national ou international, et non limité à une zone géographique. Vous pouvez même viser des mots-clés spécifiques comme “consultant SEO Paris” pour vous placer sur des requêtes thématiques et géolocalisées.

 

  • Le référencement local, quant à lui, vise à vous positionner sur des requêtes liées à un emplacement géographique précis. Google My Business joue un rôle clé dans cette stratégie, tout comme l’insertion d’expressions géographiques dans votre contenu, telles que “coach entrepreneur Paris”. Ce type de SEO est crucial si votre activité repose sur un public local et si vous avez besoin d’être trouvé par des clients dans une zone spécifique.

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Il est donc essentiel de combiner ces deux approches : produire des contenus thématiques tout en optimisant votre présence pour le référencement local.

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4. Créer du contenu pertinent pour votre audience

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Rédigez du contenu ciblé pour votre audience (exemple personnel de l’Aikido pour mon autre blog)

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Le contenu est roi en SEO, et écrire des articles de blog pertinents et optimisés est l’une des meilleures stratégies pour améliorer rapidement votre référencement. Le contenu thématique vous aide à gagner en autorité dans votre domaine. Par exemple, écrire régulièrement des articles sur des sujets qui intéressent vos clients, comme “les meilleures stratégies pour entrepreneurs” ou “comment optimiser son SEO en freelance”, vous positionnera comme un expert dans votre domaine.

Ces articles doivent inclure des mots-clés pertinents, des liens internes et externes vers des ressources de qualité, et répondre aux questions que se posent vos clients. Une bonne stratégie de contenu améliore la visibilité de votre site sur des requêtes spécifiques, tout en générant un trafic organique de qualité.

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5. Maintenir une fréquence de publication régulière

Image réalisée par Dall-E

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La régularité de publication est cruciale pour l’optimisation de votre SEO. Google privilégie les sites qui sont mis à jour fréquemment avec du contenu frais. En publiant régulièrement des articles de blog ou du contenu pertinent, vous montrez aux moteurs de recherche que votre site est actif et que vous continuez d’apporter de la valeur à vos visiteurs.

Cela ne signifie pas qu’il faut publier chaque jour, mais il est recommandé de garder un rythme constant. Par exemple, publier un article par semaine ou tous les quinze jours est une excellente stratégie pour maintenir une présence régulière dans les résultats de recherche. Si vous ne tenez pas cette cadence, l’engagement de vos lecteurs et votre visibilité pourraient en pâtir.

6. Comprendre l’importance des réseaux sociaux pour booster votre SEO

 

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Les réseaux sociaux sont des leviers puissants pour augmenter votre visibilité et indirectement votre référencement. Chaque partage, like ou commentaire sur vos publications sociales renforce votre autorité en ligne.

LinkedIn, Facebook, Instagram ou Twitter peuvent aider à générer du trafic vers votre site ou votre profil, tout en augmentant votre notoriété. En partageant du contenu de qualité, vous attirez non seulement l’attention de vos abonnés, mais aussi celle des moteurs de recherche qui voient ces interactions comme des signaux positifs. Plus vos contenus sont partagés, plus vous augmentez vos chances d’être mieux référencé.

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7. Vérifier la vitesse de chargement et l’optimisation technique

 

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Un autre aspect souvent négligé en SEO est l’optimisation technique de votre site. Google privilégie les sites qui se chargent rapidement et qui offrent une expérience utilisateur fluide. Voici quelques points à optimiser :

  • La vitesse de chargement : Assurez-vous que votre site se charge rapidement. Utilisez des outils comme Google PageSpeed Insights pour vérifier et améliorer la rapidité.
  • Le design responsive : Votre site doit être optimisé pour tous les types d’appareils, en particulier les mobiles.
  • L’optimisation des images : Compressez vos images pour éviter qu’elles ne ralentissent votre site.

Une bonne optimisation technique améliore non seulement le classement de votre site dans les moteurs de recherche, mais améliore aussi l’expérience utilisateur, ce qui se traduit par un meilleur taux de conversion.

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8. Collaborer avec un expert en SEO

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Si vous voulez aller plus loin dans l’optimisation de votre SEO, il peut être judicieux de faire appel à un expert en référencement. Un consultant SEO  pourra vous aider à définir une stratégie sur mesure, en fonction de vos objectifs et de votre marché. Faire appel à un spécialiste vous permet de bénéficier d’un audit approfondi de votre site, de recommandations concrètes, et d’un suivi pour maximiser votre visibilité en ligne.

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Conclusion

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Améliorer rapidement son SEO en tant qu’entrepreneur ou freelance nécessite de combiner plusieurs leviers : optimisation locale avec Google My Business, réseaux sociaux comme LinkedIn, production de contenu pertinent, et optimisation technique. En appliquant ces stratégies, vous pouvez rapidement booster votre visibilité et attirer de nouveaux clients. Que vous ayez ou non un site web, ces actions concrètes vous permettront de vous démarquer et de vous positionner comme un expert dans votre domaine.

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Comment trouver des clients quand on est coach freelance

 

Trouver des clients en tant que coach freelance est souvent l’une des plus grandes préoccupations, notamment lorsqu’on démarre ou que l’on souhaite développer son activité. Dans le coaching, la concurrence est rude aujourd’hui quand tout le monde peut s’improviser coach. Si les certifications peuvent rassurer certains types de clients, elles ne sont pas la clé pour attirer une clientèle solide. Ce qui fait la différence, c’est la manière dont vous vous positionnez sur le marché, comment vous construisez votre notoriété et surtout, comment vous faites preuve d’autorité et de crédibilité dans votre domaine. Dans cet article, nous allons explorer des stratégies concrètes autour du personal branding, du référencement naturel sur Google, de la preuve sociale et de la stratégie de contenu,  vous aider à attirer des clients.

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1. Le Personal Branding : Faites de votre nom votre marque personnelle

Le personal branding est essentiel pour les coachs freelance. Il s’agit de la manière dont vous vous présentez, comment vous êtes perçu par votre audience, et comment vous construisez une image cohérente autour de votre expertise. Le personal branding va bien au-delà de votre logo ou des couleurs de votre site web. Il s’agit de votre histoire, de votre ton de voix, et de la manière dont vous communiquez avec votre public.

a. Racontez votre histoire

Les gens ne veulent pas seulement un coach, ils veulent quelqu’un avec qui ils se sentent connectés. En partageant votre parcours, vos expériences et les raisons pour lesquelles vous êtes devenu coach, vous humanisez votre marque et créez un lien émotionnel avec votre audience. Si je prends mon exemple personnel, j’ai commencé l‘Aikido et l’entrepreneuriat la même année en 2017, et je fais aujourd’hui le parallèle entre ces deux disciplines qui nourrissent mes réflexions. J’ai également parlé de ma vie personnelle, de mon adoption et de mes différentes communautés (Aikido, entrepreneuriat, réflexions sociétales, couple et sexualité). Ces expériences l’ont conduit à développer une approche unique du coaching. Ce genre de récit authentique attire l’attention et reste en mémoire.

b. Développez une identité unique

Votre personal branding doit se refléter dans tout ce que vous faites, depuis la manière dont vous parlez à vos clients jusqu’à votre présence en ligne. Soyez cohérent : si vous prônez une approche centrée sur le bien-être et la sérénité, votre communication doit refléter cela. Un exemple simple est de choisir un ton bienveillant dans vos publications et d’utiliser des visuels apaisants sur votre site web et vos réseaux sociaux.

2. Le référencement naturel sur Google (SEO) : soyez visible pour vos clients

 

Être visible en ligne est essentiel pour attirer des clients. Si votre site web ou votre contenu n’apparaît pas dans les résultats de recherche, vous passerez à côté de nombreuses opportunités. Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimization) est la stratégie qui consiste à optimiser votre présence en ligne pour apparaître en tête des résultats sur Google.

a. Optimisez votre site web pour le SEO

Votre site web doit être optimisé pour les moteurs de recherche. Cela signifie que vous devez identifier les mots-clés que vos clients potentiels sont susceptibles de rechercher et les intégrer de manière naturelle dans vos contenus. Par exemple, si vous êtes coach en développement personnel, des termes comme “coach en développement personnel à Paris” ou “coach freelance en gestion du stress” doivent figurer dans vos titres, descriptions et articles de blog. Pour ma part, j’ai travaillé le référencement de ma page d’accueil en l’axant sur les mots clés “coach entrepreneur Paris”, ce qui me permet d’être visible en première page Google mais aussi sur Google my business grâce à ma fiche qui contient plus de 54 avis.

b. Créez du contenu régulier pour améliorer votre SEO

Un blog est un excellent moyen de renforcer votre SEO. En publiant régulièrement du contenu utile et pertinent, vous améliorez vos chances d’apparaître dans les résultats de recherche. A titre d’exemple, j’écris depuis 2017 des articles sur de nombreux sujets en lien avec l’entrepreneuriat, du mindset à l’organisation en passant par la définition de ses objectifs, la construction de son offre de service, ou la communication authentique. Ces contenu démontrenr mon expertise tout en améliorant ma visibilité.

3. La Preuve Sociale : l’importance des témoignages et avis clients

Les clients potentiels veulent être rassurés sur la qualité de vos services. C’est là que la preuve sociale entre en jeu. Les témoignages, avis clients et références sont des éléments puissants pour convaincre de nouveaux clients.

 

a. Collectez des témoignages de vos clients satisfaits

Après chaque coaching, demandez à vos clients de laisser un témoignage sur votre site ou sur des plateformes comme Google My Business (qui contribue également à votre référencent naturel). Ces avis servent de validation externe et renforcent la confiance des prospects. Par exemple, vous pourriez partager des témoignages de clients expliquant comment votre approche unique a transformé leur vie. J’ai réalisé des études de cas client ici pour vous donner quelques exemples.

 

b. Utilisez des études de cas

Les études de cas sont un autre moyen de montrer comment vous avez aidé vos clients à atteindre leurs objectifs. Par exemple, vous pouvez décrire un client qui, grâce à votre coaching, a réussi à mieux gérer son stress en entreprise et à retrouver un équilibre de vie. Ces exemples concrets montrent l’efficacité de vos services et aident les prospects à se projeter.

 

4. L’Inbound Marketing et la stratégie de contenu personnalisée

 

L’inbound marketing consiste à attirer les clients vers vous plutôt que de les démarcher directement. La meilleure manière de le faire est à travers une stratégie de contenu bien pensée, où vous partagez des informations précieuses qui répondent aux besoins et aux défis de vos clients.

a. Créez du contenu pertinent et ciblé

Le contenu que vous produisez doit être conçu pour répondre aux problèmes spécifiques de vos clients cibles. Par exemple, si vous êtes coach pour les entrepreneurs stressés, écrivez des articles ou créez des vidéos sur des sujets comme « Comment gérer le stress en tant qu’entrepreneur » ou « Stratégies pour rester productif sans s’épuiser ». Chaque contenu doit être pensé pour apporter une valeur réelle et susciter l’intérêt des personnes qui pourraient avoir besoin de vos services.

b. Utilisez des formats variés

En plus des articles de blog, pensez à varier les formats pour toucher un public plus large. Vous pouvez créer des vidéos courtes sur Instagram, proposer des webinaires ou des podcasts. Yéza Lucas pourrait, par exemple, proposer un webinaire gratuit sur l’utilisation des principes de l’Aikido dans la gestion des émotions et des conflits professionnels. Cela permet non seulement de partager votre expertise, mais aussi de créer un lien plus direct avec votre audience.

c. Les newsletters pour rester en contact avec votre audience

Une newsletter régulière est un excellent moyen de maintenir le lien avec vos prospects et clients actuels. Proposez du contenu exclusif, des conseils, ou des retours d’expérience dans vos emails pour montrer que vous êtes toujours actif et pertinent dans votre domaine. Cela peut aussi être l’occasion de promouvoir de nouveaux services ou des offres spéciales.

5. Les articles invités et les podcasts : étendre votre portée grâce à des médias établis

 

Les articles invités et les apparitions dans des podcasts sont d’excellents moyens de vous positionner en tant qu’expert dans votre domaine tout en atteignant une nouvelle audience. En publiant du contenu sur des sites reconnus, vous bénéficiez de la notoriété de ces plateformes et gagnez en visibilité auprès de prospects potentiels. Cela vous permet de développer votre personal branding tout en générant du trafic vers votre propre site web.

a. Mon expérience avec les articles invités et podcasts

J’ai personnellement utilisé cette stratégie pour élargir ma visibilité en tant que coach freelance. J’ai eu l’opportunité d’écrire des articles invités pour des médias influents comme Maddyness, Frenchweb, Le HuffPost, Les Echos Start, et Webmarketing & Com. Ces publications m’ont permis de partager mon expertise avec une audience plus large et de démontrer ma capacité à allier entrepreneuriat, coaching et principes de l’Aikido.

En plus de ces articles, j’ai également été invité sur plusieurs podcasts pour discuter de l’entrepreneuriat, de la gestion du stress, et de l’Aikido appliqué à la vie professionnelle. Ces invitations ont non seulement renforcé ma crédibilité en tant que coach, mais ont aussi attiré des clients qui ont découvert mon approche à travers ces canaux.

 

b. Comment tirer parti des articles invités et podcasts

Pour maximiser l’impact des articles invités et des apparitions dans les podcasts, il est important de cibler des publications qui touchent votre audience idéale. Commencez par identifier les médias et blogs qui sont lus par vos prospects potentiels, et proposez-leur des sujets qui correspondent à leurs intérêts. Lorsque vous écrivez un article invité, assurez-vous d’inclure un lien vers votre site web ou une page de capture d’emails pour transformer cette visibilité en leads potentiels.

De la même manière, les podcasts vous permettent d’atteindre des personnes qui pourraient ne pas lire de blogs ou d’articles, mais qui consomment du contenu audio pendant leurs déplacements ou leurs temps libres. Prenez contact avec des podcasteurs dans votre domaine et proposez des sujets pertinents qui peuvent intéresser leurs auditeurs.

Ces stratégies vous permettront de bâtir votre notoriété et de diversifier vos sources de clients en attirant des prospects de manière organique.

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6. Les certifications de coach : une option, mais pas une obligation

Beaucoup de coachs se demandent s’ils doivent absolument obtenir une certification pour attirer des clients. Bien que cela puisse rassurer certains, la certification n’est pas une garantie de succès. Ce qui compte avant tout, c’est votre capacité à démontrer vos compétences, à inspirer confiance, et à apporter des résultats.

a. Le poids de l’expérience et de la satisfaction client

Des clients satisfaits et des témoignages positifs sont beaucoup plus puissants qu’une certification pour convaincre de nouveaux prospects. Personnellement, j’ai coaché de nombreux coachs certifié à qui on n’avait pas appris à vivre de leur activité. Je ne suis pas coach certifiée mais ma preuve sociale et mon expertise de terrain ont construit ma légitimité. 

b. Une certification si nécessaire pour certains types de clients

Cela dit, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou avec des entreprises qui demandent des qualifications officielles, avoir une certification peut être utile. Toutefois, ne faites pas de la certification un frein à votre développement : votre valeur est dans ce que vous apportez, pas dans vos diplômes.

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Conclusion : trouver des clients en tant que coach freelance

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Attirer des clients en tant que coach freelance demande de la stratégie et de la patience, mais avec une approche centrée sur le personal branding, un bon référencement, la preuve sociale et une stratégie de contenu efficace, vous pourrez bâtir une clientèle solide. Ne vous fiez pas uniquement aux certifications pour attirer des clients, mais plutôt à votre capacité à créer du contenu pertinent, à démontrer votre expertise, et à humaniser votre marque. À travers ces actions, vous créerez une notoriété durable et établirez votre positionnement en tant que coach freelance de confiance, je le fait depuis 2017, en construisant une image authentique et en démontrant mon expertise mais également ma personnalité et mes valeurs à travers son parcours.

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👉Envie de vous lancer dans le coaching en tant que freelance ? 

Vous pouvez télécharger mes 4 ressources pour devenir un coach opérationnel

Si vous êtes déjà sensibilisé au sujet, ma formation Devenir un coach opérationnel en 4 semaines devrait vous intéresser. Elle est basée sur mon expertise de terrain (en plus, je vous suis H24 pendant toute la durée de la formation :D)

 

[Dossier Stratégie de contenu] Tout sur les coulisses de 7 ans de contenus !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle de production de contenus et de créativité !

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Mon processus d’écriture : immersif et intrusif

On me fait souvent remarquer que je produis beaucoup de contenus.
Je ne m’en cache pas, l’écriture fait partie de mes routines.
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Et pour cause, voici mon processus d’écriture :
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J’écris sur ce qui m’inspire : des conversations, des situations, des événements…la stimulation intellectuelle me nourrit et je capture des moments d’échange pour les transformer en contenu.

Je peux écrire sur commande à condition d’être immergée dans un contexte me permettant de me projeter dans l’univers sur lequel on me demande d’écrire (en assistant à un événement par exemple)

✅ Concernant ma capacité à produire des contenus réguliers s’inspirant de mon quotidien, je sais qu’ils peuvent faire l’objet de malentendus.
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En effet, si de la frustration peut émaner chez mes lecteurs, notamment lorsqu’ils m’ont inspirée, sachez qu’il vaut mieux être à l’origine de mes futurs contenus que de ne rien m’inspirer du tout.
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Et en toute honnêteté intellectuelle, je cite mes sources, sauf lorsque l’anonymat demande à être préservé.
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Et vous, quel est votre processus d’écriture ?

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Je n’écris pas pour vendre

Je n’écris pas pour vendre.

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Je gravite dans le secteur du coaching et de l’infopreneuriat. Mes contenus mettent en avant mon histoire et la narrent de manière authentique.
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Pour autant, je n’écris pas pour vendre.
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Ma vulnérabilité et mes erreurs ne me mettent pas toujours en valeur.
Ma communication envahissante peut être déboussolante.
Les sujets de mes publications ne collent pas toujours avec mon offre de prestation.
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Pourtant, je suis formée au marketing et au copywriting
Pourtant, je pourrais joindre à mes narrations, un appel à l’action
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Mais je suis trop familière aux techniques de vente et de persuasion pour les mettre en application.
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Pour autant, j’aime écrire de manière méthodique et structurée.
Pour autant, j’aime utiliser des figures de style pour m’exprimer.
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Mais mon premier objectif n’est pas d’écrire pour générer des revenus
Mon objectif est d’abord d’aller de l’avant en accouchant de mes contenus
Mon objectif est ensuite de permettre à mes lecteurs de se sentir soutenus
Mon objectif est enfin de me faire plaisir en écrivant de manière régulière et continue
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Et vous, pourquoi écrivez-vous ?
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Mon process pour capitaliser sur mes contenus en 6 étapes

Je produis des contenus depuis 2017.
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En chiffres, cela donne :

✅ 789 publications Instagram sur mon compte Yéza Lucas (et je ne vous parle pas de mes autres comptes thématiques…)

✅ 230 articles de blogs (et je ne vous parle pas de mon blog sur l’aikido)

✅ Un nombre incalculable de newsletters (comptez une par semaine depuis 2017)

✅ Une cinquantaine d’articles invités sur Maddyness, Webmarketing & Com‘ , Frenchweb, Les Echos Start, Le Journal du CM, Le Huffpost et j’en passe

✅ Une vingtaine d’interviews pour des entreprises et médias divers.
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Voici donc mon process pour capitaliser sur mes contenus :
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1/ Publication du contenu sur les réseaux sociaux : Facebook, Instagram et Linkedin
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2/ Publication du contenu en story sur mon compte Instagram, ma page Facebook pro et mon compte Facebook perso.
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3/ Programmation du contenu sur ma newsletter, qui a souvent quelques mois d’avance de contenus car sa fréquence est hebdomadaire contrairement aux posts sur les réseaux sociaux qui sont spontanés et qui peuvent être quotidiens.
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4/ Copier-coller du contenu sur un compteur de mot en ligne :

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? En dessous de 500 mots, j’ajoute le contenu à mon fichier « posts à combiner » pour en faire une brique d’un article thématique sur un sujet spécifique (avec d’autres posts combinés)

? Au dessus de 500 mots, le post peut devenir un article de blog
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5/ Publication de l’article combiné sur mon blog, ou en tant qu’article invité dans un média, si la thématique de l’article colle avec la ligne éditoriale du média.
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6/ Quelques mois (mais également années) plus tard, je rediffuse le contenu en story sur mes réseaux sociaux
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Et vous, comment capitalisez-vous sur vos contenus ?

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[Dossier Entrepreneuriat] Les basiques du business en ligne !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle de business en ligne, de marketing et de e-réputation !

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Et si on en finissait avec les propositions de valeur toutes faites ?

Depuis que je gravite dans l’écosystème de l‘infopreneuriat, j‘ai vu passer un bon nombre de punchlines. Ces slogans, résultant d’une proposition de valeur marketés sont souvent très formatés.
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Et pour cause, les conventions dans le marketing digital invitent les entrepreneurs à définir une cible, une offre, et un positionnement.
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Si l’idée a un fondement, et permet d’éviter l’éparpillement (surtout quand on se lance), la frustration est grande lorsqu’on réalise qu’une proposition de valeur ne nous permet pas toujours de communiquer sur les différentes casquettes de notre activité (et je ne parle même pas des slasheurs).
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Pour ma part, j’ai longtemps mis en valeur l’aspect très opérationnel et “sexy” de mon activité avec une punchline claire : attirer un flux de clients réguliers sans démarcher.
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Mais en réalité, mes prestations ne se limitent pas à cela : 
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– Je travaille sur le mindset et les croyances limitantes des entrepreneurs
– J’interviens dans leur travail d’organisation
– Je les aides à construire une vision et des objectifs clairs
– Etc
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Bref, je ne suis pas une coach spécialisée, et ne rentre donc pas dans une case définie par une proposition de valeur unique.
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Mais la bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas (uniquement) votre proposition de valeur qui attire l’attention de vos clients.
Ce n’est pas non plus elle qui les fera passer à l’acte d’achat.
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Ce qui vous permettra de vendre est un tout : 
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– Votre présence en ligne
– Votre e-réputation (références, avis…)
– Votre référencement
– Votre page à propos
– Vos pages de vente
– Votre capacité à convertir à l’oral
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Dans ce contexte, votre proposition de valeur n’est qu’un élément parmi d’autres.
Alors plutôt que de passer des jours à chercher la petite phrase qui fera fureur et la changer au prochain positionnement, commencez par dire ce que vous faites, avec des mots simples. Le reste suivra 🙂
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C’est un travail que je viens de réaliser et que je vous partage.
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Vous voulez savoir quel est mon métier ?  C’est parti !

Je coache et je forme à l’entrepreneuriat, au marketing digital, au mindset et à l’organisation.

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J’écris pour vous, quand vous me laissez carte blanche.
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J’inspire, avec des retours d’expérience personnelle sur l’entrepreneuriat, l’équilibre de vie pro/perso, le développement personnel et le digital nomadisme.
Et vous ?
Besoin d’être rassuré ?
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Quelques chiffres : 
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✅ 6 ans d’expertise dans l’entrepreneuriat
✅ 6 ans de contenus réguliers
✅ 8 références de médias pour parutions presse
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? 53 avis Google
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? 1ère position des résultats de recherche Google sur la requête « coach entrepreneur Paris »
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Alors qu’en dites-vous ?
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Faut-il avoir un nom de domaine à son nom quand on est entrepreneur ?

Depuis que je coache des entrepreneurs, une question revient souvent : est-il pertinent d’utiliser son propre nom comme nom de domaine professionnel ?
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Je ne suis pas catégorique sur la question, toutefois c’est un choix que j’encourage. Et voici pourquoi.
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1/ On n’a pas besoin de changer de nom de domaine quand on fait pivoter ou évoluer son activité

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Pivoter dans son activité est une étape fréquente chez les entrepreneurs. Dans ce contexte, mieux vaut avoir un nom de domaine personnel (nom + prénom) pour plus de flexibilité. Si votre nom de domaine est un mot clé de votre activité “lecommunitymanager.com“, que vous changez de métier ou de domaine d’activité (de la restauration à l’automobile), un nom de domaine spécialisé deviendra vite obsolète. Certes, vous pourrez toujours le changer ou faire une redirection d’URL, mais la perte de temps ne sera pas négligeable.
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2/ On ancre une marque personnelle forte 

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Un nom de domaine personnel (nom+prénom) vous permet de développer une marque personnelle forte, surtout quand vous êtes freelance. Votre nom de domaine est ainsi à votre image, colle avec le contenu de votre site web, et contribue à booster votre personal branding.
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3/ Un nom de domaine personnel n’impacte pas votre référencement naturel 

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Pas besoin d’utiliser un mot clé “métier” dans votre nom de domaine pour augmenter votre SEO sur Google. Le référencement de votre page d’accueil avec des informations géographiques, ou sectorielles sera suffisant (ex : coach pour entrepreneur à Paris). De plus, vos avis Google et vos articles de blog vont également contribuer à booster votre référencement naturel.
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Conclusion : vous n’avez pas besoin d’avoir un nom de domaine impersonnel pour paraitre professionnel. Un nom de domaine à votre nom ou à celui de votre marque vous permettra d’asseoir votre branding, votre référencement et sera plus durable dans le temps, tant sur le plan économique que marketing.
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Et vous, quel choix avez-vous fait ?
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7 conseils pour rendre plus visible votre entreprise sur le web gratuitement

Depuis plusieurs années, le référencement est devenu ma première source d’acquisition client. En travaillant mon référencement local, j’ai pu arriver en première page Google sur des requêtes spécifiques.
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Voici donc 7 conseils pour développer la visibilité de ton entreprise. Mais n’oubliez pas, il vous faudra régulièrement faire des petits contrôles pour évaluer l’évolution de votre référencement. Bon courage !
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– Pour être visible sur Google, il faut vous demander : qu’est-ce que vous taperiez sur Google si vous cherchiez quelqu’un comme vous ?
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– Pour être bien référencé, mieux vaut ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier (Google my business, site web, réseaux sociaux, sources externes)
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– La preuve sociale (Avis google, commentaires site web, avis page Facebook, nombre d’abonnés Instagram) contribuent au référencement de votre entreprise
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– L’optimisation de votre profil Linkedin lui permet de remonter dans les résultats de recherche du réseau social mais également sur Google
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– Sur un site web, l’optimisation de votre page d’accueil contribue à votre référencement local et vos articles de blog contribuent à votre référencement thématique
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– La notoriété est tout aussi importante que la visibilité pour trouver des clients
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– La confiance se dirige d’abord vers les résultats de recherche non sponsorisés

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[Dossier organisation] L’organisation, une compétence indispensable pour entreprendre !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle d’organisation et de productivité !

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5 observations personnelles sur l’organisation et productivité :

– Les cartes mentales et les post-it sont très prisés des individus à la pensée en arborescence mais n’aident pas à transformer les idées en actions concrètes
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– Pour s’organiser, on peut utiliser des outils très simples (suite Google par ex)
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– Passer du temps à rechercher le meilleur outil est une belle démonstration de procrastination
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– Le perfectionnisme est une manifestation de la procrastination
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– Dans l’entrepreneuriat, pour se rapprocher de la perfection, il faut oser faire de nombreux essais imparfaits
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Comment gérer son organisation quand on a une pensée en arborescence ?

Si beaucoup d’entrepreneurs ont du mal à s’organiser, c’est en partie car leur pensée se disperse !
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– Ils débordent de créativité et se laissent submerger par leurs idées
– Ils ont du mal à rester focalisé sur un fil directeur et partent dans des digressions
– Ils manque d’esprit de synthèse et d’efficacité
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En conséquence :
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– Leurs rendez-vous et réunions débordent toujours.
– Ils finissent rincés sans avoir traité l’ensemble des sujets souhaités.
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Concrètement, ils n’arrivent pas à passer de l’idée à l’action.
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Cette pensée en arborescence peut-être problématique au quotidien si elle n’est pas canalisée et recentrée.
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Étant moi-même au coeur d’un processus créatif grâce à la production de contenus réguliers, j’ai dû mettre en place un système pour coupler créativité et organisation.
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Aujourd’hui, dès qu’une nouvelle idée me vient, elle est inscrite dans un outil qui me permet de la planifier et traiter ultérieurement.
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Cet outil me permet de ne pas laisser mes idées s’envoler et de la traiter en tant voulu.
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Mettre en place une nouvelle méthode pour optimiser son temps et ses idées peut demander un temps d’adaptation.
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Mais ce temps de restructuration est essentiel, surtout quand on a une pensée en arborescence !
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Peu de gens pourraient faire mon métier 

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Lorsque je présente mon activité professionnelle aujourd’hui, et surtout, mon emploi du temps, certains jugent que je mène une vie oisive.
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– Je travaille peu.
– Je consacre du temps à mes routines sportives, alimentaires et sociales;
– J’organise mon emploi du temps comme bon me semble.
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Dans une société où beaucoup se vantent de travailler jusqu’à pas d’heure, j’ai en effet choisi d’aller à contre-courant.
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Toutefois, mon métier comprend son lot de contraintes (choisies), et que peu pourraient gérer au quotidien :
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–  Je travaille seule, à domicile et je m’auto-discipline chaque jour pour atteindre mes objectifs (sans difficulté)

–  J’ai une capacité à produire des contenus réguliers dans différents domaines (entrepreneuriat, aikido, développement personnel)

–  Je suis efficace, réactive et organisée et peux ainsi travailler bien en peu de temps
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Alors oui, on pourrait dire que j’ai de la chance.
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Mais ma situation professionnelle est le résultat d’une combinaison entre compétences spécifiques (organisationnelles, rédactionnelles, communicationnelles) et de choix de vie (définition de mes priorités).
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Je pourrais bien sûr céder à l’injonction du “travailler plus pour gagner plus”, en meublant mon emploi du temps.
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Mais je n’en ai pas envie. Je garde en effet une vision écologique de ma santé mentale et physique et choisis ainsi de me ménager, tout en profitant des plaisirs de la vie au quotidien (resto entre amis, aikido le midi, voyages au bout du monde, activités culturelles régulières).
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Certains privilégient le travail et diront se reposer quand ils seront mort, pour ma part, je préfère me reposer de mon vivant pour mieux apprécier ma vie quotidienne et mon travail.
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A méditer…et surtout, bonne année !

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[Dossier Intelligence artificielle] : Création de contenu, business en ligne et IA

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle d’intelligence artificielle, de ChatGPT et de lien avec l’entrepreneuriat !

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Bonne lecture.

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Mon retour d’expérience personnelle sur ChatGPT en 6 points 

En tant que créatrice de contenu, j’étais un peu réticente à utiliser chatGPT.
Mais suite à un post de The BBoost, qui a suscité ma curiosité, je me suis dit qu’il serait idiot de ne pas tester le potentiel de cette IA en matière de ressources stratégiques et d’idées, notamment sur le plan professionnel.
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Voici mes retours d’expérience :
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1/ Un logiciel bluffant en matière de structuration et de rédaction de contenu 

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Que ce soit pour la rédaction d’un article de blog, d’un mail de vente, pour la création d’un programme de formation ou d’un leadmagnet, ChatGPT sait rédiger de manière synthétique et organisée.
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2/ Une AI pertinente pour développer une stratégie commerciale

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ChatGPT peut trouver les hashtags les plus pertinents par rapport à un secteur d’activité, trouver les mots clés les plus utilisés par notre cible sur Google, ou définir les problématiques principales de clients d’un secteur d’activité

3/ Une AI pour valider notre niveau de compétence sur un sujet 

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ChatGPT nous permet de valider notre niveau de compétence sur un sujet ou une stratégie à opérer dans un domaine d’activité, ce qui peut-être rassurant !
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4/ Attention au piège du travail prémâché 

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Le piège, lorsqu’on peut générer un contenu structuré en quelques secondes, c’est de faire appel à ChatGPT systématiquement, c’est de ne plus chercher à réfléchir. Et plus on devient fainéant, moins on est en mesure de développer sa créativité.
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5/ Les limites de ChatGPT

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L’AI est fabuleuse mais comprend des limites. Elle n’est pas capable de communiquer avec émotion et véhiculer une certaine sensibilité ou vulnérabilité. Et c’est pourtant ce qui peut manger dans une page de vente ou dans tout texte faisant appel au copywiriting. 
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ChatGPT demande (encore) une certaine relecture avant validation lorsqu’il s’agit de la production d’un contenu.
Par ailleurs, ChatGPT n’est pas en mesure de fournir des noms de concurrents, ou des meilleures personnes dans un domaine d’activité, ni des tarifs moyens de prestations de freelance ou d’entrepreneurs.
Enfin, il manque de connaissance sur des domaines spécifiques (j’ai testé avec l’Aikido).
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6/ Les évolutions à prévoir pour ChatGPT

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Pour qu’il soit plus performant, il serait intéressant d’intégrer ChatGPT aux CMS comme WordPress, aux auto-répondeurs (logiciels de newsletters), mais également aux logiciels de création graphiques pour produire des contenus à adaptés aux demandes des utilisateurs : newsletter, articles de blog optimisés pour le référencement, affiches ou visuels à partir d’un script (une première version perfectible existe aujourd’hui sur Canva). Ce n’est qu’une question de temps avant que ces innovations voient le jour.

Conclusion

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ChatGPT, comme Dall-E (intégré dans sa version payante), sont des IA facilitant le travail des professionnels mais également des particuliers. Mais ChatGPT ne doit pas se substituer à l’intelligence humaine, qui moins sollicitée pourrait être amenée à décliner. La créativité est un muscle, qui au repos finit par se ramollir.
Que les consultants et créateurs de contenus se rassurent, ChatGPT ne propose pas de contenus personnalisés, ni “humain”, et cela se voit. Les retours d’expérience personnelle sont des contenus à l’abri de l’invasion de l’iA. Et heureusement !
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Dall-e 3 via Bing : atouts et limites

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Depuis quelques semaines, j’ai testé l’IA pour créer des images à partir d’un texte. Parmi les outils existants, j’ai choisi Dall-E 3, via Bing (oui, le moteur de recherche de Microsoft).
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Après des centaines de prompts (textes), voici mes retours.
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Les atouts de Dall-E 3 via Bing :

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– Le logiciel est gratuit (et sans limite si vous changez d’adresse mail après les 15 prompts gratuits). Vous n’avez pas besoin de vérifier votre adresse email, et pouvez ainsi en générer à l’infini.
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– Le logiciel est très simple d’utilisation : vous tapez le texte, l’image apparaît après 30 secondes environ.
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– Le logiciel est doté d’une grande créativité, c’est bluffant !
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Voyons maintenant les limites de Dall-E 3 via Bing : 

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– Le prompt est limité en nombre de mots, ce qui implique de faire des choix dans notre descriptif d’image
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– Il n’existe pas de possibilité de travailler à partir d’un contenu importé : par conséquent, impossible de vous voir atteindre la lune sur une licorne rose !
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– Les noms propres ne sont pas reconnus : quelques noms de héros de séries TV sont enregistrés dans la base de données, mais vous n’êtes pas sur Google image !
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– Le logiciel a une connaissance sémantique limitée sur des domaines spécifiques : j’ai fait le test avec l’aikido, et clairement, l’IA n’a pas été conçue par des pratiquants 😉
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– Les détails ne sont pas toujours finalisés : vous pouvez vous retrouver dans un décors réaliste, mais avec des humains à 4 doigts ou sans visage (dommage).
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– Il n’y a pas de possibilité d’upgrader cette version et il n’existe pas d’option payante pour avoir accès à une meilleure version (plus rapide, plus précise, sans limite de mots).
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En résumé, Dall-E 3 via Bing est un très bon outil d’IA pour générer des images artificielles réalistes et d’une belle qualité. Toutefois, des limites techniques restent importantes. Par conséquent, il serait difficile de pouvoir proposer des prestations payantes à partir de cette version limitée de Dall-E 3 via Bing (même si ce n’est pas mon attention).
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Si l’IA sera sûrement amenée à évoluer dans les prochains mois voire années, elle reste expérimentale aujourd’hui dans ses versions gratuites.
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Et vous, quelle IA facile d’utilisation conseilleriez-vous pour générer des images artificielles ?
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Conclusion : L’IA, une menace pour les business désincarnés 

Freelances, moins vous incarnerez vos services et plus vite ils seront remplacés par des IA.
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Aujourd’hui, l’intelligence artificielle est capable de créer :
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– des logos
– des visuels
– des articles SEO friendly
– des stratégies social media
– le contenu de leadmagnets
– le plan de formations en ligne.
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Dans ce même contexte, plus vous automatiserez vos activités, plus elles perdront de leur dimension humaine et plus vite elles deviendront remplaçables par des robots.
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Par conséquent, le coaching, la formation en présentiel, les journées d’immersion, ou encore les soins physiques sont des activités qui ne pourront jamais être remplacées par une intelligence artificielle. Ou du moins, pas sans une grande perte de qualité.
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Dans un monde où l’on prône l’automatisation des process et des business pour être plus libre, il devient paradoxalement dangereux pour votre propre entreprise de vous retirer totalement du processus de conception et de vente de vos produits et services.
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Car là où l’humain n’est pas, l’IA l’emportera.

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10 règles élémentaires pour écrire fluidement sur le web

J’entends régulièrement des clients et des proches déplorer leurs capacités rédactionnelles et assimiler ces difficultés à un handicap.

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Il est vrai que lorsqu’on communique sur le web, ou tout simplement, lorsqu’on souhaite s’exprimer à titre professionnel, l’écrit devient incontournable.

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Mais la fatalité n’existe pas. 

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La fluidité rédactionnelle repose sur deux paramètres : 

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– La régularité, favorisant une certaine dextérité rédactionnelle

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– La maîtrise de 10 règles fondamentales de grammaire, de vocabulaire, de syntaxe, de ponctuation, de conjugaison mais également de persuasion que je vais vous dévoiler dans cet article.

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1/ Sur la forme : quelques règles simples pour fluidifier votre écriture 

– Diversifiez les verbes employés

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Développer ses capacités rédactionnelles passe par une diversification de son vocabulaire. 

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Dans ce cadre, il est important d’apporter de la précision dans les verbes employés.

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Concrètement : 

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  • Limiter l’emploi des auxiliaires “Être” et “Avoir » à tout va, car chaque activité, état ou action possède un verbe qui lui est propre.

 

  • Limiter l’usage des verbes “permettre”, “mettre”, “faire” et  « dire » pour les mêmes raisons (liste non exhaustive)

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– Maîtrisez les bases de la ponctuation :

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  • Lisez vos phrases à haute voix pour savoir où placer les virgules dans une phrase
  • Commencez une phrase par une majuscule, et terminer là par un point
  • Pensez à ajouter un espace avant et après les deux points “:”, ne mettez pas de majuscule après les « : », un espace après une virgule “,” et utilisez trois points de suspension, ni plus ni moins “…”

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Heureusement, les correcteurs automatiques et les dictées scolaires d’un lointain passé peuvent nous le rappeler 😉

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– Syntaxe : prêtez attention à la place des mots dans une phrase

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La place de l’adverbe, notamment, est importante. 

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Exemple : 

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Premier jet : vivez vraiment une vie qui vous ressemble

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Correction : vivez une vie qui vous ressemble vraiment

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Par ailleurs, il est important d’adopter des formules propres à l’expression écrite. A titre d’exemple, lorsqu’on pose une question, la place du sujet et du verbe est inversée. On évite également les formules du type “est-ce que”.

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Concrètement, on ne dit pas : “est-ce que vous aimez la grammaire ?” mais “aimez-vous la grammaire ?”.

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La familiarité passe également par l’usage des “mauvais” mots : “des fois” au lieu de “parfois” est un cas courant. 

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Je vous épargne également les expressions courantes à bannir “ la fille à “ au lieu de “ la fille de” , “ je sais pas c’est quoi” au lieu de “ je ne sais pas ce que c’est”, mais qui relèvent surtout de l’expression orale.

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De même, on ne met pas un point d’interrogation quand on s’interroge sans poser de question. 

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Exemple : 

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Erreur : on peut se demander si la place du verbe et du sujet est inversée dans cette phrase ?

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Correction : on peut se demander si la place du verbe et du sujet est inversée dans cette phrase. 

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– Mettez-vous à la place de votre interlocuteur

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Il est important de savoir se mettre à la place de son interlocuteur en lui facilitant la lecture de votre texte. 

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Concrètement : 

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  • Soyez concis et allez à l’essentiel. 
  • Aérez votre présentation en sautant des lignes
  • Insérez des images si vous écrivez un article de blog
  • Soulignez ou mettez en valeur les mots importants
  • Gardez votre fil conducteur même si vous donnez des exemples.

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– Evitez ces fautes d’orthographes les plus fréquentes

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Ne confondez pas le futur et le conditionnel, notamment à la première personne du singulier.

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Exemple : 

  • Demain j’irai au cinéma (futur)
  • Demain, j’irais bien faire un tour au marché” (conditionnel)

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Ne mettez pas de “s” à la deuxième personne du singulier des verbes du 1er groupe à l’impératif.

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Exemples :  “Mange”, “arrête”. 

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Attention également aux fautes d’orthographes fréquentes sur ces mots : 

  • Parmi (sans s), tant pis (en deux mots), au temps pour moi (et non “autant”, même si cette deuxième version commence à être acceptée), plein (invariable)

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2/ Sur le fond : quelques règles de base pour rester convaincant 

 

– Fixez-vous un objectif et gardez-le en tête 

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Concrètement, quelle est l’idée principale de votre propos ? Et si par hasard, vous vous perdez dans votre cheminement de pensées, revenez à l’essentiel en vous demandant :  qu’ai-je envie de dire ?

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Posez-vous cette question à voix haute et répondez-y à voix haute également.

Comme le rappelle Boileau : “Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire viennent aisément” .

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– Visualiser l’audience à laquelle vous écrivez quand vous écrivez 

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Pour être convaincant, il faut s’adresser à un public identifié et pour donner cette impression à l’écrit, il est important de limiter l’usage des verbes pronominaux non conjugués

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Exemple : 

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Premier jet : comment changer sa vie en 1 semaine ?

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Correction : comment changer VOTRE vie en 7 jours ?

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Dans un contenu voué à la vente, attention à ne pas interchanger le vouvoiement et le tutoiement. Optez pour une forme avec laquelle vous êtes à l’aise et gardez-là. 

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De même, faites attention à ne pas confondre le vouvoiement de politesse avec le vouvoiement pluriel. Pour vous aider à y voir clair, demandez-vous toujours si vous vous adressez à une seule personne ou à un groupe ! 

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Attention également à l’usage des injonctions moralisatrices : “tu dois” , “il faut”. Très culpabilisantes, voire agressives, elles peuvent créer une distance avec vos lecteurs. 

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– Apportez de la précision dans le vocabulaire employé

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Je le constate souvent dans les pages de vente de formations que je corrige  : l’argumentaire manque de précision et par conséquent, la projection dans l’univers décrit par l’entrepreneur devient difficile.

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Exemple vu sur une page de vente : 

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Premier jet : grâce à ma formation, vous allez vivre pleinement.

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Correction : grâce à ma formation, vous allez vivre pleinement une vie qui vous ressemble. 

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Avec un complément d’objet direct, la phrase devient tout de suite plus impactante !

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– Donnez des exemples personnels pour humaniser votre argumentaire

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Plus vous donnez des exemples, plus il devient facile de visualiser votre chemin de pensée, ou encore de développer une connexion émotionnelle avec vous (notamment si vous utilisez des exemples personnels). 

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Vous pouvez raconter une anecdote personnelle, ou bien évoquer un cas client par exemple.

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Gardez en tête que les retours d’expériences personnelles sont très efficaces pour créer une connexion émotionnelle avec votre lecteur, qui pourra facilement s’identifier à votre parcours ou votre histoire. C’est tout l’enjeu du storytelling, permis grâce à une technique d’écriture spécifique : le  copywriting (l’art d’écrire pour vendre). 

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– Conclure votre argumentaire par un appel à l’action 

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L’appel à l’action permet à votre lecteur de ne pas refermer la page de votre mail ou de votre article de blog sans rien entreprendre suite à sa lecture. 

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Exemple : 

 

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Conclusion  : 

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Voici quelques règles et principes élémentaires pour écrire fluidement sur le web. Bien sûr, la pratique sera nécessaire au développement d’une certaine dextérité. Toutefois, il ne tient qu’à vous de passer à l’action. Gardez en tête que lorsque vous vous lancez, votre audience est encore petite. C’est donc le bon moment pour faire vos gammes sans trop vous exposer. Par la suite, votre audience se développera en même temps que la qualité de vos contenus. Bonne synchronisation, non ?

Alors qu’attendez-vous pour vous y mettre ! 

 

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Réflexions sur le fitness et l’entrepreneuriat, inspirées de Sissy Mua

Je viens d’écouter l’épisode de podcast InPower de Louise Aubery, avec comme invitée Sissy Mua.
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Aujourd’hui, Sissy n’est plus seulement une fitgirl, mais une entrepreneure à la tête d’un empire (une app, une boutique de vente de vêtement fitness, une boutique de vente de compléments alimentaires). C’est la personnalité fitness la plus influente de France.
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En tant que consommatrice de l’app Trainsweateat, et fidèle abonnée de Sissy Mua depuis le confinement (comme beaucoup d’entre nous), j’ai profité d’un aller-retour d’1h30 de métro pour tendre l’oreille.
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Voici d’abord quelques informations que j’ignorais sur elle :
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– Elle a fait une école d’ingénieur avec une spécialité biologie
– Elle a travaillé seule sur son business jusqu’à 2018
– Elle a été confinée à Paris
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Et voici quelques apprentissages de son mindset entrepreneurial (sous forme de citations).
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3 citations sur le business et l’entrepreneuriat par Sissy mua

– “Ne pas confondre le stress positif et le stress néfaste”.

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Identifier ces deux formes de stress nous permet de prendre les meilleures décisions pour notre business, et savoir si on se lance dans un projet, ou au contraire, si on n’est pas prêt à y aller. C’est avec l’expérience que Sissy, qui s’est mis dans le rouge à plusieurs reprises peut maintenant faire preuve d’une certaine lucidité sur la faisabilité d’un projet. N’oublions pas qu’il est possible de refuser une opportunité car le moment n’est pas opportun. Le timing compte tout autant que le feeling ! 
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– “Le désespoir fait vendre”. 

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Et oui, c’est malheureusement vrai. C’est d’ailleurs les business tournées vers la réussite sociale qui font le plus vendre :
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– La réussite financière, car notre société valorise les riches
– Le dating et la séduction, car la norme sociale est d’être en couple
– Le fitness et le culte du corps, car notre société préfère les personnes minces.
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Cela dit, on peut appâter les gens avec du marketing, et leur vendre quelque chose de bon pour eux. Donnez-leur ce qu’ils désirent, offrez leur ce dont ils ont besoin, pour reprendre un adage connu (Seth Godin, mais je ne m’aventurerait pas sur cette affirmation).
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C’est d’ailleurs ce que fait Sissy dans sa stratégie de marketing, et reconnait elle-même être entrée dans le monde du fitness pour les “mauvaises raisons” (l’apparence physique) mais avoir continué pour les bonnes (la forme physique, le dépassement de soi )
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– “Il ne faut pas faire ce qui ne nous rend pas heureux”. 

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Cette citation semble simpliste mais combien de gens aujourd’hui subissent leur travail ou pensent qu’ils n’ont pas le droit au bonheur dans leur vie personnelle ? L’absence d’épanouissement est un redflag. Le bonheur, un greenflag. En tant qu’entrepreneur, j’ai pendant un temps subi des stratégies marketing avec lesquelles je n’étais pas alignée. Résultats : pas de résultats. Le marketing est énergétique : si vous aimez ce que vous faites, vous rayonnez. Si au contraire, vous appréhendez une technique de vente, ou si encore, vous subissez votre métier, vous rebutez vos prospects.
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Et enfin, une citation de Louise Aubery, : “Un client satisfait en ramène 10, un client insatisfait en fait perdre 10”. 
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C’est tout l’enjeu d’une bonne relation client. En tant qu’entrepreneure, il m’est arrivée à plusieurs reprises de céder à des demandes de remboursement client pour m’éviter une mauvaise e-réputation. Dans un monde où tout va à 100 à l’heure, mieux vaut céder à court terme que de subir à long terme.
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Quelques réflexions sur le fitness, et le business d’une app à succès

Et pour finir, quelques réflexions sur le fitness et l’app Trainsweateat :
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Le fitness, une dynamique contradictoire :
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–  Une discipline ambassadrice du culte du corps et de la perte de poids dans une société où règne encore le diktat de la minceur.
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– Mais une discipline qui permet de développer la confiance en soi et l’intégration sociale, en augmentant sa forme physique et son apparence (sans pour autant proposer de transformation révolutionnaire)
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L’app Trainsweateat, économique et pratique à condition d’être au clair sur ses objectifs :
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– Tout d’abord, l’app est payante (mais à moindre coût), environ une dizaine d’euros par mois, mais les programmes proposés sont nombreux et intégrent les volets fitness et alimentation
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L’app propose un renouveau des programmes (un nouveau toutes les deux semaines environ), sur des thématiques différentes, avec ou sans matériel, ce qui permet de muscler différentes parties de son corps, de ne pas se lasser (et de se désabonner)
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– L’app est agréable à utiliser, les vidéos visuellement belles, et l’ambiance véhiculée par l’équipe donne une dimension humaine appréciable.
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– L’app est intéressante à condition d’être au clair sur ses objectifs. Comme le dit Sissy, on entre dans le fitness pour les mauvaises raisons (la perte de poids) et on y reste pour les bonnes (l’entretien physique), et cela a été mon cas.
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Aujourd’hui, mon corps n’est pas parfait mais je continue le fitness car :
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– C’est pratique et efficace : programme entre 15 et 30 minutes, avec ou sans matériel, à faire depuis chez moi.
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– J’adapte l’intensité du programme à ma forme physique.
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– Il y a suffisamment de vidéos pour ne pas me lasser.
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Je pratique en parallèle l’aikido et la marche régulière qui sont complémentaires, et mange sainement sans me priver. Cette combinaison me permet de rester en forme physique.
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Il manquerait bien sûr un coach personnalisé pour être sûr de bien pouvoir réaliser les exercices, mais le budget ne serait pas le même !
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Sur ce, bonne écoute !
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[Dossier Mindset] Quelques Bullet points de leçons de vie (en vrac)

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Mes 3 grands mantras de freelance pour entreprendre au quotidien

Être entrepreneur, c’est faire face à l’adversité au quotidien.
Avec l’expérience, on tire assez rapidement des leçons de ses erreurs, et plus généralement, une philosophie de vie sur le plan business.
Voici donc mes 3 mantras pour entreprendre sereinement au quotidien.
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1/ Tant que c’est pas signé, c’est pas fait

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Un prospect aura beau vous promettre la lune, si le contrat n’est pas signé, ne vous enflammez pas. Attendez et demandez des actes, et non des mots.
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2/ Si le client crée un malaise avec un retard de paiement, vous devez créer un malaise en le relançant

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Votre argent vous est dû. Ne soyez pas gêné de le demander. Ce n’est pas vous qui êtes responsable de cette situation délicate, c’est votre client qui vous a mis dedans !
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3/Vous êtes votre propre cadre

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Vous n’êtes pas soumis aux ordres d’un patron, vous gérez vos horaires et vos missions. Le cadre, c’est vous. A vous donc d’organiser vos journées, de construire vos routines et optimiser votre emploi du temps en fonction de votre rythme naturel et de votre équilibre de vie pro/perso !
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Entre entrepreneur, c’est certes faire le choix de la précarité mais c’est avant tout faire le choix de sa liberté ! Alors soyez maître de votre relationnel, de votre organisation, et surtout, de vos décisions !
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Bonne réflexion
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33 ans et 33 vérités sur ma vie professionnelle

Sur mon parcours universitaire et mes diplômes :

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– J’ai un parcours classique (et non “atypique” comme la plupart des gens aiment l’affirmer)
– Mes études en science politique n’ont rien avoir avec mon travail actuel mais m’ont permis d’être structurée et synthétique
– Je ne regrette pas d’avoir raté les concours de la fonction publique
– Je n’ai pas de diplôme de coach
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Sur mes routines entrepreneuriales : 

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– Je ne fais pas de yoga et ne médite pas
– Je ne lis pas de romans ni de livres de startupers à succès
– J’ai des routines entrepreneuriales simples mais durable (petit dej, check des notifications et mails, sport)
– Le cadre, l’organisation, la planification et les routines me rassurent
– Je suis accro à mon téléphone et ce n’est pas une déformation professionnelle
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Sur l’argent et les finances : 

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– Je ne fais pas l’autruche sur le plan pro 
– Je paye mes fournisseurs le jour même où je reçois leur facture
– Je n’ai pas peur de relancer un client qui me doit de l’argent
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Sur le marketing et la communication : 

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– J’ai une créativité illimitée en matière de contenu 
– J’aime consommer des contenus courts
– J’adore parler de moi et faire des retours d’expérience
– J’aime écrire des contenus et aimerais être principalement payée pour mes retours d’expérience personnelle
– J’écris pour des leurs paresseux, car je consulte moi-même des contenus en diagonal
– Je ne suis pas sur TikTok
– Je n’utilise pas ChatGPT (et il me fait pas peur)
– Je n’aime pas les lancements de formation en ligne (et déteste ce type de copywriting)
– Je n’aime pas la technique dans le marketing, et ne souhaite pas m’y intéresser
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Sur ma vision de l’entrepreneuriat (et de son mode de vie) :

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– J’aime être freelance et ne cherche pas à scaler (je ne veux pas de salariés, ni de contraintes administratives)
Je travaille pour voyager et m’offrir des moments de plaisir au quotidien
– J’aimerais voyager plus et tirer les avantages d’être freelance
– J’apprécie les interventions en présentiel quand elles sont ponctuelles
– J’aime les déplacements professionnels qui me font voir du pays
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Sur les relations professionnelles au quotidien : 

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– Je n’aime pas le travail en équipe
– Je n’aime pas les visios
– Je n’aime pas le networking 
– Je préfère les échanges asynchrones que les appels énergivores
– Je n’ai pas peur de demander des avis clients
– Je ne pousse pas la vente (même quand ça va pas financièrement)
– Je ne supporte pas l’autorité et les contraintes externes
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Et vous, vous connaissez-vous vraiment bien en tant qu’entrepreneur ? Quels constats tirez-vous de votre vie professionnelle ?
Etre indépendant, c’est s’offrir une meilleure qualité de vie
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3 ans d’accomplissement personnels et professionnels

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Aout 2021
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Hier soir, je me suis remémoré mes trois dernières années. Que s’était-il passé en 3 ans ? J’ai donc décidé d’ouvrir mon petit carnet et d’écrire les chamboulements et avancées dans ma vie personnelle et professionnelle. Et je n’ai pas été déçue !

Sur le plan professionnel : 
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– En 2019, j’ai décidé d’adopter une communication plus vulnérable et de me dévoiler plus dans mes contenus. Un pari risqué mais qui a porté ses fruits !
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– En 2020, je génère des chiffres d’affaires mensuels à 5 chiffres. J’atteins 25 000 euros de CA pour mon meilleur mois. Du jamais vu. Ma stratégie de prise en charge CPF porte ses fruits.
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– En 2021, je simplifie mon business et travaille environ 15h par semaine. J’assume ainsi que je ne cherche pas à faire du chiffres, ni de scaler mon activité mais au contraire de mettre mon activité au service de mon mode de vie. Sur un autre plan, je décide d’ouvrir un PEA, une assurance vie pour assurer ma retraite et prendre en main mes finances professionnelles et mon épargne personnelle.
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Sur le plan personnel : 
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– En 2019, je retrouve ma famille biologique grâce à des tests ADN. Clairement, je n’y croyais pas. Je sais maintenant d’où je viens et qui je suis.
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– En 2020, je pars faire le tour du monde seule, entre voyage et travail. Jamais je n’aurais pensé le faire aussi rapidement.
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– En 2021, je connais l’amour réciproque. J’avais presque perdu espoir. D’autres avancées surviennent également, comme ma décision d’assainir mes relations parentales, d’arrêter la pilule pour des questions de santé, mais également de commencer un nouvel art martial.
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La vie est pleine de surprises mais c’est votre état d’esprit et l’initiation de démarches constructives qui permettront à vos projets de se réaliser !
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Alors, que pouvez-vous initier comme changement dès maintenant ?
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[Dossier] Copywriting : l’authenticité est-elle vraiment au goût du jour ?

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Storytelling : vous n’êtes pas obligé de raconter des success stories pour sortir du lot ! 

Lorsque je propose à mes clients d’écrire sur LinkedIn, une partie d’entre eux freine des quatre fers.
Et pour cause, ils ne s’identifient pas aux publications qu’ils voient défiler sur leur fil d’actualité.
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En effet, narcissisme et egotrip ne sont pas les voies choisies par tous.
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A titre personnel, je pense d’ailleurs qu’il faut éviter de :
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? Tomber dans le narcissisme sans apporter de valeur ajoutée à son audience
? Adopter un style de communication qui ne nous correspond pas
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En revanche, on peut : 
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✅ Communiquer sur des retours d’expérience personnelle sans succes story à l’appui (en exposant une problématique rencontrée dans sa vie d’entrepreneur par exemple, et ce, même si on n’a pas encore trouvé de solution)
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✅ Adopter un support de communication avec lequel on est à l’aise (si vous n’aimez pas l’écrit, n’écrivez pas. Si vous n’aimez pas la vidéo, ne faites pas de vidéo)
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✅ Et surtout, prendre conscience qu’une communication impersonnelle axée sur son seul domaine d’expertise ne suffit pas à sortir du lot (si vous êtes coach et que vous ne parlez que de coaching, sans parler de vous, vous n’intéresserez pas vos clients)
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Il est d’ailleurs difficile de communiquer sur le web, sans avoir recours à des mots, et ce, même si vous êtes un créatif ayant recours à des visuels (graphiste, photographe, peintre …). Concrètement : une image ne se suffit pas à elle-même lorsque vous cherchez à faire ressortir votre personnalité et votre authenticité dans vos contenus et votre communication en ligne.
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Cette communication personnalisée, empreinte de vulnérabilité répond à deux objectifs : 
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? Inspirer confiance, grâce à une communication humaine
? Adopter une stratégie d’acquisition client simple et authentique
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Et vous, quel style de communication est fluide pour vous ? 
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10 secrets autour de six années de contenus réguliers 

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Cela fait maintenant 6 ans que je produis des contenus réguliers pour mon activité d’entrepreneure, mais également pour mon blog d’aikido (aikido-millennials.com depuis 2020). La régularité de mes publications est facilitée par une gymnastique intellectuelle à prendre, mais également par quelques “secrets” que voici :
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? Je lis très peu (sauf des BD et quelques livres de développement personnel )
? Je ne m’inspire pas des autres (et encore moins des entrepreneurs à succès)
? Je ne me relis pas (ou peu) et passe plus de temps à communiquer qu’à écrire
? Je m’inspire de mon environnement (situation, conversation)
? Je ne décide jamais en avance du format de contenu que je vais écrire et l’adapte selon la longueur et la thématique du contenu (post, article, article invité)
? Je n’ai pas de stratégie de contenu car l’expérience me montre que j’aurais une nouvelle idée au moment où j’en aurai besoin
? J’adapte la forme de mes contenus à une lecture en diagonal (titre percutants, introduction, sous titres, images, conclusion, appel à l’action)
? Je relis mes phrases à voix haute pour être sûr qu’elles sonnent bien
?J’écris ce qui sort de mon coeur, sans filtre, pour permettre à mes lecteur de s’identifier à des situations et de créer une connexion avec eux
?Je ne suis pas copywriter et ne sais pas écrire pour vendre (ni écrire sur commande)
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Voici donc 6 secrets autour de 6 années de contenus réguliers : et vous, quels sont les vôtres ?
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Contenus : le piège du Chat GPT

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On n’en parlera jamais assez. Le Chat GPT a bel et bien débarqué.
C’est une nouvelle opportunité pour les créateurs de contenus, de produire une multitude de contenus en un rien de temps.
Pour les procrastinateurs, c’est également l’occasion de s’atteler à la tâche.
Cependant, le web est saturé de contenus.
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L’heure n’est pas à la production de contenus, mais à la distinction des contenus : personnalisation des articles, exposition de sa sensibilité, réalisation de retours d’expérience personnels. Ce type de contenu est le seul que l’intelligence artificielle ne pourra pas concurrencer.
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Mieux, ces contenus sont les rares seuls qui captent encore l’attention des internautes aujourd’hui.
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Je le répète depuis 2017, vous ne devez pas vous limiter à vous exprimer sur votre domaine d’expertise ou sur votre secteur d’activité. Votre vie entrepreneuriale est toute aussi digne d’intérêt !
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Pour être professionnel, arrêtez d’être impersonnel.
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On ne cesse de nous parler d’engagement, pourtant je n’ai jamais vu autant de contenus aussi barbants !
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Certes ChatGPT peut être une perche, mais ne doit pas être une béquille ! 
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Aujourd’hui, pour être un producteur de contenu qui sort du lot, il vous faut :
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✅ Des capacités rédactionnelles (je vous rassure, ça s’apprend)
✅ Une capacité à mobiliser votre créativité de manière continue (inspirez vous de votre quotidien, et vous ouvrirez le champs des possibles)
✅ Ecrire avec votre sensibilité (et toucher votre cible)
✅ Comprendre qu’il faut passer plus de temps à communiquer (70%) qu’à écrire (30%) et ainsi devenir visible
✅ Publier hors de vos propres canaux pour développer votre notoriété (articles invités)
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Ne vous placez pas en concurrence avec ChatGPT, ou avec d’autres producteurs de contenus.
Suivez votre propre calendrier, écoutez votre inspiration et ne doutez pas !
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Bon courage,
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[Dossier] Les salon professionnels : grand messe ou véritable levier d’acquisition ?

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

Un autre regard sur les salons professionnels 

Pendant 5 ans je n’ai fait que de l’inbound marketing.
Mais aujourd’hui, le marché du contenu est de plus en plus saturé.

Je pense proposer des contenus de qualité se différentiant par une réelle vulnérabilité mais ça ne suffit pas.

Nous restons tributaire des algorithmes.

À côté de cela, je ressens le besoin de me reconnecter au monde réel.

Le petit monde névrosé des infopreneurs ne me correspond plus.

Il y a quelques mois, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis mise à la prospection sur des salons (et je suis de nature introvertie). Et surprise ! Non seulement je n’ai pas été épuisée (ma pire crainte est de me vider de mon énergie) et en plus de cela, mes prospects étaient réceptifs ! J’en suis à mon 9e salon depuis la rentrée 2022.

Mais cette réussite ne relève pas du miracle : je sais ce que je vends et suis confiante de la qualité de mon travail.

Pourtant, je n’ai pas perdu 5 ans en mettant les œufs dans le même panier : quand je me suis lancée à mon compte, je n’avais pas d’expérience et il m’aurait été difficile d’aborder les entreprises avec autant d’aisance.

Aujourd’hui, mon expertise me permet de m’orienter vers une double stratégie :
1/ l’inbound marketing, car je sais faire
2/ le terrain, pour toucher une nouvelle cible tout en créant un lien humain.

Quant à la prospection à froid, j’ai encore du mal à ne pas tomber dans le mail semi- automatisé, mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis non 😉

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7 manières de rentabiliser votre présence à un salon professionnel

Ce matin, j’étais au salon B2B Summit, qui s’est tenu au Parc des Princes à Paris.

Un salon professionnel, ce sont des opportunités, mais également beaucoup d’énergie déployée. C’est pourquoi, il est important de rentabiliser sa présence sur place. Voici donc 7 manières de rentabiliser sa présence à un salon professionnel.

1/Se fixer des objectifs

Il est important de préparer son salon en se fixant un ou des objectifs précis :
✅ Nombre de prises de contact
✅ Renseignements sur un secteur d’activité
✅ Réponse à des questions précises…

Sans cela, vous pouvez rentrer bredouille. En effet, plus les salons sont grands, plus le risque de ne pas savoir par quoi commencer est grand.

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2/Préparer en amont sa visite de stand

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Vous cherchez des clients ?

Savez-vous qui sont vos prospects parmi les exposants ?

Il est important de vous renseigner sur les différentes entreprises présentes mais également de préparer votre accroche (pitch) pour aborder les différents stands.

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3/ Privilégier les rencontres en petit comité

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Si les salons proposent de grandes conférences, il existe également des formats plus adaptés au dialogue : ateliers, espace networking…

Si vous souhaitez interagir avec les professionnels présents, choisissez un format d’événement adapté à l’échange.

Rebondissez sur un élément, demandez à votre interlocuteur de présenter son activité, ou encore, jetez-vous à l’eau en affirmant votre objectif de réseautage !

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4/ Trouver un partenaire de visite

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Aller à un salon, c’est banaliser une demi journée voire une journée pour développer votre activité. Le monde, les déplacements, et la configuration de l’événement peuvent le rendre fatigant. Y aller avec quelqu’un peut alors vous donner de la motivation pour vous y rendre. Sur la photo ci-dessus, j’y étais avec Claire Garcia !

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5/ Continuer l’échange après le salon

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La prise de contact ne se limite pas au cadre de l’événement. Au contraire, elle doit se prolonger par une trace écrite, ou une prise de rendez-vous.

Vous n’êtes pas la seule personne que vos prospects verront dans la journée, alors veillez à ce qu’il se souvienne de vous !

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6/ Assister à des conférences ciblées pour mettre à jour ses compétences

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Assister à des conférences ne va pas forcément vous permettre de développer votre réseau ou de trouver des clients.

Toutefois, les conférences vous permettent de mettre à jour vos compétences ou bien de vous rassurer par rapport à ce que vous savez.

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7/ S’immerger dans l’événement pour développer votre créativité

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Avant de me rendre au salon du B2B, je n’avais pas prévu d’écrire une publication sur les salons professionnels. Et pourtant, cette expérience immersive m’a donné 3 idées de contenus (dont ce post) !

Assister à un événement, c’est nourrir sa créativité et développer votre stratégie de contenu. A l’heure de ChatGPT, il est temps de faire du retour d’expérience un contenu à forte valeur ajoutée.

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Salons professionnels : 4 process à automatiser pour favoriser la venue de profils introvertis

Les salons sont la hantise des introvertis. D’ailleurs, j’en suis une.
J’ai dû me faire violence pour me déplacer puis interagir avec d’autres professionnels à cette occasion.
Pourtant, de petites optimisations pourraient faciliter les premières accroches et les échanges pour ce public en retrait.

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1/ Des stands plus avenants aux messages plus ‘intelligibles’

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Il n’est pas toujours facile de déceler les propositions de valeurs des entreprises représentées sur les stands de participants : dans le pire des cas, un simple logo est affiché, et l’entreprise est représentée par un salarié derrière son ordinateur.
Difficile dans ce contexte d’initier une conversation quand on est introverti.

Il pourrait être intéressant d’afficher un message clair, de vulgariser son activité à travers une communication plus simple, et plus claire, et ainsi permettre aux visiteurs de comprendre de quoi il s’agit.

Participer à un salon B2B ne veut pas dire qu’il faut utiliser un langage que ses clients ne comprennent pas

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2/ Des ateliers pratiques

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Les conférences peuvent aborder des sujets intéressants, mais le visiteur reste passif. Pour favoriser les échanges, le format atelier pratique (ou workshop) peut-être plus adapté car l’introverti devient proactif, et ne cherche pas à se donner une contenance pour masquer son inactivité (comme boire son 3e café près de la machine à café, ou pianoter sur son téléphone)

Mieux, avec le format worshop, il apprend, découvre ou monte en compétences dans un contexte plus interactif, voire ludique.

De plus, les travaux de groupe favorisent les échanges entre participants et peuvent créer des synergies au-delà de l’atelier.

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3/ Des prises de rendez-vous en amont

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La réservation de rendez-vous en amont du salon est une motivation plus engageante pour amener un introverti à se déplacer. Le rendez-vous individuel le place dans une situation plus confortable dans cette démarche individualisée

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4/ Des speed-meetings

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Le speed-meeting est le speed-dating professionnel : il favorise les interactions rapides et multiples en un temps moindre. Pour un introverti, ce format cadré est plus accessible qu’un événement de networking dans un salon où il sera livré à lui-même pour se greffer à une conversation de groupe.

L’ensemble de ces solutions existe mais gagnerait à être automatisé pour encourager la venue de profils introvertis, dont le bruit, le monde et la peur de faire le premier génère stress et appréhension.

 

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Conclusion

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Les salons professionnels peuvent être un puissant levier d’acquisition client à condition de préparer sa venue. Si l’heure est au digital, le présentiel et le relationnel restent des valeurs indémodables pour créer des synergies professionnelles. Rappelez-vous qu’il est important de diversifier sa stratégie et de ne pas mettre tous vos oeufs dans le même panier.

 

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[DOSSIER] Marketing digital : arrêtons d’être des clones

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

Vous ne le savez pas encore, mais vous êtes une source d’inspiration

Il y a quelque temps, j’avais publié un petit post appelant à prendre du recul sur les “success stories” des entrepreneurs sur les réseaux sociaux.

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Après quelques semaines de “scroll” supplémentaires sur Linkedin, je vais encore plus loin : les seuls posts trouvant grâce à mes yeux sont les posts authentiques. Ceux qui parlent d’échec, et ceux qui ne finissent pas systématiquement en happy ending.

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Car je pense qu’on peut inspirer par le courage de sa sincérité, au-delà des résultats obtenus.

Au delà des réseaux sociaux, ce sont encore une fois les images réalistes qui m’inspirent le plus :

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– Des personnes authentiques, qui n’affichent pas qu’une façade de leur vie,- Des films montrant des vies “normales” vivant le meilleur et le pire,

– Des publicités montrant la diversité des corps qui existent

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Aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus accepter cette vision sociétale culpabilisatrice, dans laquelle nous ne sommes jamais “assez”.

Aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus tendre vers une norme qui blesse, mais que peu osent questionner.

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Aujourd’hui, j’ai décidé d’être mon propre curseur.

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Et ce n’est qu’en acceptant l’imperfection de ma vie et de mon business, que je pourrais restituer des expériences de plus en plus authentiques.

Pour vibrer votre sincérité, sortez des carcans, acceptez vos imperfections et devez à votre tour, une véritable source d’inspiration.

A vous de jouer !

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Imaginez un réseau social sans like, sans réaction, sans partage et sans “vue”

Je suis sûre que nous ne publierions pas de la même manière.
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Les interactions flattent notre égo et nous incitent à publier toujours plus, quitte à user avec outrance d’un storytelling romancé et séducteur.
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Sur un canal de diffusion sans réactions, nous le chercherions pas à séduire, mais à informer, ou partager des expériences constructives.
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Nous communiquerions moins sur nos victoires personnelles, et nos névroses seraient on ne peut plus maîtrisées.
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✅ C’est ce que l’on trouve dans des réseaux sociaux familiaux, comme Famileo,

✅ C’est ce qu’on commence à trouver sur Telegram et sa diffusion verticale de l’information,

✅ C’est ce que je commence à mettre en place sur mon Linkedin, canal sur lequel je n’ai pas énormément d’engagement.
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Communiquer de manière personnalisée est une excellente chose, à condition d’apporter une vraie valeur à ceux qui vous lisent, et de ne pas céder au diktat des algorithmes. Oui, être authentiquement soi n’est pas chose simple sur le web.
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Alors soyez honnête avec vous-même : vous ne supportez plus les contenus creux et narcissiques de votre réseau ? Filtrez donc vos propres contenus :
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? Parler de vous, c’est ok si vous pouvez faire de votre cas une vérité universelle.

? Une vérité universelle existe quand votre audience s’identifie à vos propos.

? Pour cela, demandez-vous comment ce qui vous permet de vous identifier aux propos de X.
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Bien sûr, on ne supprimer des années d’égo-trip en un claquement de doigts, mais appliquer ces quelques règles nous permettrait de faire un premier écrémage de nos réseaux sociaux, pour redonner de la visibilité à ces réflexions pertinentes, enfouies sous des kilomètres de contenus névrosés.

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Formations marketing : et si on allait à l’essentiel

Depuis que je suis dans l’écosystème de l’infopreneuriat, j’ai suivi beaucoup de formations et accompagnement en marketing.

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Dans ces formations en ligne, l‘essentiel est enveloppé de nombreuses couches de superflus.
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Et disons le clairement, ces formats ne me correspondent pas.
En effet, lorsque sur 45 minutes de vidéos, je trouve 5 minutes de contenu utile, je suis un peu frustrée.
Certes, la formation était bien packagée, les contenus bien soignés sur la forme. Mais le standing ne peut seul être le moteur d’un achat. Il peut même parfois cacher une absence de fond.
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Plus tard, j’ai moi-même créé mes propres formations et vendu des ateliers. Et dans ces cas de figure, j’ai longtemps eu peur de “faire trop court”, ou de ne pas proposer un standing ultra haut de gamme.
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Derrière ces craintes, trois croyances : 
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– celle que les clients veulent des formats longs pour être rassurés sur leur achat.
– celle de ne pas pouvoir facturer “cher” lorsque le format est court
– celle que les clients achètent un beau produit avant un bon produit
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Et pourtant lorsqu’on creuse un peu, on observe qu’une audience réclame souvent quelque chose de clair et concis.
Elle ne cherche pas à perdre des heures dans des formations interminables.
Elle se fiche de l’interface que vous utilisez, si le message est clair et intelligible
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Alors si vous faites partie de la team “cash pistache” (comme m’appelle mon amie Daphné), assumez votre concision et votre simplicité, c’est une grande valeur ajoutée !
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Produisez, proposez, ajustez !
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Vendez-vous vraiment des offres que vous achèteriez ? 

Comme régulièrement, j’ai décidé de me faire accompagner sur des problématiques personnelles et professionnelles.
Ce que j’aime dans ces accompagnements, c’est l’absence d’engagement. De plus, les séances sont courtes (environ une heure) mais efficaces.
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Ce format n’est pas celui qu’on préconise dans l’ écosystème de l’infopreneuriat, dans lequel on construit des offres souvent complexes (des packages), rentables et sécurisantes mais dans lesquelles on ne se met pas assez à la place du client.
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Je m’explique : une offre rentable et sécurisante, c’est une offre qui invite le client à s’engager dans la durée, pour assurer un suivi mais également pour sécuriser son chiffre d’affaires sur quelques mois.
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La démarche est légitime, mais il n’est pas facile, d’un point de vue client, de s’engager lorsqu’on n’a pas encore vu les résultats d’un accompagnement. Cette frilosité touche encore plus une clientèle de particuliers.
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Aujourd’hui, je m’adresse à des entreprises mais je n’ai pas envie de leur proposer quelque chose que je n’achèterais pas moi-même.
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C’est pourquoi, j’ai décidé de proposer du coaching one shot, à la séance, avec un suivi sur un mois.
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L’engagement est ainsi limité mais justifié :
– Une séance de coaching pour débloquer un problème
– Un mois de suivi pour assurer une réactivité pour toute question, relecture ou soutien (mails, notes vocales avec réponse sous 24h)
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J’avais pour habitude de proposer cette option à mes anciens clients.
Aujourd’hui, je l’ouvre à tous.
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Je propose un tarif unique pour un mois d’accompagnement sans engagement
à 400 euros TTC (comprenant le prix de la séance de coaching et le suivi illimité sur un mois)
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Si vous avez une problématique que vous souhaitez régler rapidement, appelons-nous brièvement pour faire un point, vous pourrez ensuite passer à l’action rapidement grâce à une séance de coaching avec moi sans engagement !
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Marketing, non définir votre avatar client n’est pas toujours pertinent

Dans l’écosystème du marketing, on théorise souvent la définition du client idéal. Cette recherche nous permet de savoir avec qui on aimerait travailler, en revanche, elle n’est pas toujours réaliste.

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Lorsqu’on travaille sur des problématiques vastes (développement personnel, thérapies, entrepreneuriat), il n’est pas toujours facile et pertinent de commencer par définir son avatar client.
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Si vous êtes coach en développement personnel, vous pouvez vous adressez à monsieur ou madame tout le monde,
Si vous êtes thérapeute, c’est la même chose.
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C’est pourquoi, il peut être intéressant et stratégique d’aborder en priorité la question du message, avant d’aborder celle de la cible :
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Quelle est votre activité ? Quel message voulez-vous transmettre ? Quelle transformation proposez-vous ?
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Travailler sur votre message et proposition de valeur avant de viser votre cible vous permettra de rayonner en attirant les bons clients à vous.
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C’est tout le principe du marketing énergétique.
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Alors si votre cible est trop large, laissez-là se qualifier elle-même grâce à la vision et au message que vous allez communiquer.
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Bonne réflexion,
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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour entreprendre, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

[Dossier] Pression sociale : s’affranchir des carcans pour mener une vie plus libre

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Votre vie n’est pas une checklist d’obligations professionnelles et personnelles

“Tu ne devrais pas tarder pour faire des enfants, après ce sera trop tard”

“Tu es trop difficile, il n’est pas si mal”

“C’est important d’avoir son permis de conduire, au cas où”

“Tu devrais acheter maintenant”

“Il faut que tu te mettes aux cryptos”

“Tu devrais méditer, ça te ferait du bien”

Vie professionnelle :

“Tu devrais redevenir organisme de formation, les clients tombent tout seul”

“Tu devrais passer une nouvelle certification pour être plus crédible”

” T’as pas de KPI ?”

“Tu obtiendrais de meilleurs résultats si tu travaillais plus”

“Tu devrais faire des Reels sur Insta, ça marche bien”

“T’es toujours pas sur Tiktok ?”

Votre vie n’est pas une checklist d’obligations sociales et professionnelles.

Vous n’avez pas à être ambitieux
Vous n’avez pas à prendre de risques
Vous n’avez pas à vivre une vie plombante
Vous n’avez pas à rentrer dans un moule qui vous étrique
Vous n’avez pas à craindre de réveiller les peurs de votre entourage

Je n’ai qu’une vie, mais je l’espère suffisamment longue pour faire toutes les choses que je souhaite, au moment où je l’ai décidé.

D’ailleurs, même lorsque je pourrais avoir des regrets, je me dis que si telle chose ne s’est pas faite, c’est que je n’étais pas prête.

Les pires décisions sont celles que vous prenez sous pression

Agir au bon moment pour soi, c’est vivre une vie alignée et sans regret.
Agir en suivant une pression externe, c’est vivre une vie d’effort, conduisant au remord.

Il n’est jamais trop tard pour corriger le tir.
Et vous, avez-vous (re)pris les rênes de votre vie ?

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Les vacances : reflet d’un mode de vie normé et (souvent) inadapté

Nous sommes en plein mois d’août. Pour beaucoup, c’est un moment de pause estivale plus communément appelé “vacances”. J’emploie des guillemets car la réalité des vacances n’est pas toujours en adéquation avec le sentiment de bonheur qu’elle implique.

Et pour cause :

– Sur le plan sociétal, les vacances représentent une vision normée de ce que devrait être l’aboutissement d’une année de labeur. En termes d’image, les plages de sable fin symbolisent cet accomplissement. Il n’y a qu’à taper le mot “vacances” sur Google image pour en faire le constat.

– Sur le plan social, les vacances représentent un moment de bonheur, et d’oisiveté qu’il est important d’exhiber (les réseaux sociaux accentuent cette tendance, et j’en suis moi-même victime). Les injonctions au voyage ou encore au farniente sont nombreuses et contribuent à l’instauration d’une pression sociale pour faire de cette période, un moment exceptionnel. “Profiter à fond”, ou encore, “déconnecter” sont des mots qui reviennent régulièrement dans les conversations avec notre entourage. C’est un peu comme cette fameuse soirée du nouvel an, dans laquelle il est attendu que l’on fasse quelque chose de festif et tardif.

– Sur le plan biologique, les vacances ne sont pas toujours écologiques. Beaucoup passent d’une période de travail intense à une pause “forcée”. Le rythme est cassé, et le corps ne s’y retrouve pas. La fameuse “déconnexion” est d’ailleurs difficile. C’est un peu comme faire la fête tout le week-end pour décompresser de la semaine.

– Sur le plan “visionnaire”, le concept de vacances nous amène à repenser nos modes de vie. Si l’oisiveté est l’aboutissement d’une vie de travail, pourquoi ne pas repenser son emploi du temps et son organisation personnelle ? C’est dans ce contexte que l’entrepreneuriat (ou le télétravail dans un premier temps) prend tout son sens : gérer son organisation comme on le souhaite et alterner quotidiennement moments de travail et plaisir (et je ne vous parle même pas du digital nomadisme). Pourquoi attendre la retraite pour s’octroyer des moments d’évasion, des projets…

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Non, le Quiet Quitting n’est pas une nouvelle tendance générationnelle !

Le Quiet Quitting n’est pas une nouvelle tendance générationnelle ! Il s’agit simplement du reflet d’une vision (assumée) du travail.

Je vois de plus en plus d’articles évoquant le “quiet quitting”, un anglicisme évoquant le désengagement de salariés désabusés, décidant de faire le minimum syndical.

Cette envolée médiatique sur le sujet soulève une problématique :

Nous n’avons toujours pas compris (et accepté) que nous puissions avoir un rapport différent au travail :

– Le travail peut en effet être au coeur de notre vie et lui donner un sens
– Le travail peut-être une activité alimentaire permettant de financer un mode de vie
– Le travail peut-être une activité épanouissante permettant un équilibre de vie professionnelle et personnelle

Dans ce cadre, ne pas se donner corps et âme pour un job est un scénario possible et ne devrait pas être culpabilisant pour celui qui le choisit.

Or, dans le contexte actuel, le quiet quitting est perçu comme une tendance générationnelle capricieuse au “jemenfoutisme”.

Et si les jeunes avaient tout compris ?
Personnellement, je n’ai pas attendu 2022 pour quiet quitter.

Une hiérarchie trop imposante, une alternance entre pression démesurée et bore out, ainsi qu’un salaire dérisoire et des heures supplémentaires non rémunérées m’ont vite fait comprendre que je ne me tuerais pas au travail.

En 2017, j’ai donc dit stop.

Aujourd’hui entrepreneure, mon rapport au travail est simple : mon activité doit être suffisamment flexible et rémunératrice pour soutenir mon mode de vie.
Elle ne doit pas être stressante ni génératrice de mal être.

Alors même si le Quiet Quitting est surmédiatisé et exploité à outrance par la génération Tiktok, il est le reflet d’un rapport désabusé au travail.

Et si, au lieu de pointer du doigt une tendance médiatique, on prenait enfin en considération les besoins des travailleurs, salariés ou non, génération Z ou non.

A méditer

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Poser ses limites et vivre une vie selon ses valeurs

Lorsque l’on se retrouve dans des situations d’inconfort, et notamment dans les relations interpersonnelles, la question de nos propres limites se pose : comment poser ses limites, et surtout comment les définir ?

Poser ses limites, c’est savoir dire non.
Connaître ses limites, c’est savoir dire non dans une situation particulière.

Cet exercice est intéressant car il permet de faire ressortir nos valeurs les plus ancrées.

– Lorsqu’on ne se sent pas respecté
– Lorsqu’on vit une privation de droit ou liberté
– Lorsqu’on se sent frustrée, colérique, anxieux ou gêné pour une raison X ou Y

Pour ma part, j’ai appris à identifier mes limites dans des situations d’inconfort et de frustrations :
– pendant la crise sanitaire (privation de liberté de mouvement)
– dans les relations professionnelles (humiliation et infantilisation)
– dans mes relations intimes (manque de respect)
– dans mes relations sociales (épuisement relationnel)

Dans ces différentes situations, mon instinct de survie se réveille de manière viscérale pour tirer la sonnette d’alarme. Et cette sonnette, c’est celle de l’affirmation de mes valeurs, à travers l’identification de mes limites.

Me jurant de ne plus ressentir ces émotions négatives, j’ai ainsi fixé des jauges de tolérance (en terme d’effort). Cela me permet de plus facilement m‘affirmer pour vivre une vie alignée, selon mes valeurs.

Aujourd’hui, je m’entoure de personnes me tirant vers le haut,
Aujourd’hui, j’assume ne pas être une fêtarde
Aujourd’hui, j’assume ne pas aimer le bruit et le monde
Aujourd’hui, j’assume ne pas vouloir me tuer au travail et profiter de la vie
Aujourd’hui, j’ai trouvé le mode d’emploi pour mener une vie selon mes valeurs.
Aujourd’hui, j’ai trouvé la clé de mon épanouissement personnel, social et professionnel.

Lorsque vous ne vous sentez pas à l’aise dans une situation,
Lorsque vous ressentez une émotion négative forte,
Lorsque vous vous sentez épuisé
C’est que vous avez atteint vos limites.
Maintenant, il restera à les assumer et les poser.

Et vous, avez-vous identifié vos limites ?

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4 conseils pour vous affirmer dans vos relations interpersonnelles

Au quotidien, il nous arrive de ne pas savoir gérer nos relations personnelles et professionnelles. Non-dits, manque d’affirmation de soi, mensonges, esquives..nos peurs, nos angoisses et notre égo nous amènent à jouer un rôle qui nous empêchent d’avoir des relations saines.
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Alors comment s’affirmer dans nos relations interpersonnelles ?
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En refusant l’attente : Qu’il s’agisse de l’attente d’une réponse d’un futur employeur ou de l’attente d’un message que l’on ne reçoit pas, ce sentiment désagréable génère de l’incertitude et nous sape le moral. A nous de prendre les devants pour être fixé sur une situation de suspens interminable. Oublions notre égo, il s’en remettra !
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En refusant la frustration : non-dit au travail, besoins non comblés dans la sphère privée, ces situations génèrent une bonne dose de frustration qu’il est difficile à gérer. Pour ma part, j’ai décidé d’en finir avec la frustration, et poser carte sur table dans mes relations interpersonnelles : j’ai opté pour une communication 100% authentique et transparente, livrant mes attentes, mes besoins, avec leur lot de vulnérabilité au passage. Encore une fois, laissez votre ego au placard !
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✅ En posant votre cadre : lorsque vous déterminez les contours d’une relation, vous affirmez vos principes, vos valeurs, les interdits, et surtout, le sens que vous voulez faire prendre à une relation. De cette manière, vous tenez les rênes d’une relation personnelle ou professionnelle, et assainissez vos rapports au quotidien.

✅ En poussant votre interlocuteur à se positionner par rapport à ce cadre : une fois le cadre posé, votre interlocuteur peut accepter vos conditions ou les refuser. Précisons que l’indécision n’est pas une réponse (ou tout simplement considérée comme un non). Si le risque d’une affirmation de soi dans les relations interpersonnelles existe, il vous permettra surtout de faire un écrémage dans votre entourage.
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?Et vous, qu’est-ce qui bloque la fluidité dans vos relations personnelles et professionnelles ?

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Je n’aime pas lire (de romans), c’est grave docteur ?

 

Il y a quelques jours, mon père m’a rendu visite. Pour sa venue, et comme à son habitude, il m’a offert un livre. Un roman. L’attention est louable, excepté que je ne lis pas. Ou du moins, peu, et encore moins des romans. Mon père le sait, mais il insiste pour me partager (à tord ou à raison) sa passion de la lecture.

J’ai donc réessayé pour la Xème fois de me remettre à lire des romans.
Mais l’expérience n’est toujours pas concluante : fatigue visuelle, déconcentration…le plaisir n’est pas au rendez-vous.

Et pour cause, mon hyperconnectivité. Je passe un nombre d’heure incalculable devant un écran, et peine à faire des “efforts” en terme de lecture romanesque

Pourtant j’écris régulièrement et fluidement et densément
Pourtant, j’arrive à lire plus facilement des libres pratiques.
Pourtant, je ne fais pas énormément de fautes d’orthographe
Pourtant j’aime les histoires
Pourtant, j’ai beaucoup lu étant plus jeune.

Je me suis donc posé la question : ne pas lire de roman fait-il de moi une personne inculte ? Me provoque-t-il des lacunes au niveau de ma culture générale et de mon développement cognitif et intellectuel ? Dois-je persévérer à l’instar d’un exercice pratique ou attendre le fameux déclic pour m’y remettre en prenant du plaisir ?

Je n’ai pas la réponse.

Aujourd’hui, je ne lis toujours pas mais si demain je lisais,
j’arriverais à m’offrir des petits plaisir à moindre prix
j’arriverais à m’évader en un clin d’oeil
j’apprendrais à ne jamais m’ennuyer

Ce que je sais, c’est que je dois trouver un sens dans ma démarche.
Et le sens ne peut se trouver dans une injonction extérieure.

Alors aujourd’hui, je ne lis toujours pas
Je n’aime toujours pas les musées
Je n’aime toujours pas “les expos”
Je ne médite toujours pas
Je ne fais toujours pas de yoga
Et je suis toujours addict aux écrans.

Chaque chose en son temps, et les choses peuvent ne jamais arriver.
Le mieux est de l’accepter, de l’assumer et ne pas le vivre comme un échec, mais un trait de notre personnalité.

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La vision normée de la réussite, une entrave au bonheur

On a tendance à penser la réussite à travers les injonctions sociétales que l’on subit.

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Le problème, c’est qu’on nous impose une vision normée de la réussite :
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? Un CDI (la sécurité)
? Un bon salaire (la réussite financière)
? Une grande maison (la propriété)
? Une grosse voiture (la réussite matérielle)
? Un conjoint et un beau mariage (le statut social)
? Des enfants (la fertilité et la descendance)
? Un corps de rêve (la séduction)
? Une vie sociale débordante (le bonheur passant par la sociabilité)
? Des vacances au soleil (la vision normée du repos mérité)
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Dans ce contexte, tout modèle alternatif semble moins valorisé : la famille recomposée ou non hétérosexuelle, le célibat, l’entrepreneuriatOr la réussite n’est pas seulement financière, ni sociale ou sociétale :
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La réussite financière est relative. Certes, l’argent peut nous permettre de vivre plus confortablement, mais il est important de rester aligné en gardant en tête ce qui fait vraiment sens pour nous
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✅ La réussite personnelle est une réussite sous-estimée : notre propre évolution et cheminement intellectuel, notre capacité à prendre soin de nous, à bien nous entourer, à progresser dans un domaine d’activité…sont des pavés vers le chemin du bonheur et de l’accomplissement de soi
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✅ La réussite sociale n’est pas celle que l’on pense. Une réussite sociale peut également consister à savoir s’émanciper des normes, de la pression sociale et du conformisme. Elle nous permet d’être pleinement nous, en nous écoutant.
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La réussite organisationnelle joue un rôle essentiel dans notre qualité de vie : car oui, se libérer du temps et ne pas être esclave d’un planning que nous n’avons pas décidé est un signe de liberté et de sérénité au quotidien.
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Si la notion de réussite détient une connotation positive, à nous de mettre derrière ce concept, des éléments que seul nous, savons favorables à notre bonheur personnel.
Faisons fi de la norme et fions nous à notre feeling.

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Introvertis : et si vous arrêtiez de vous forcer à sociabiliser ?

 

Etre introverti, ce n’est pas être timide, car un introverti aime les interactions sociale.

✅ Quand tu es introverti, tu te ressources seul. Quand tu es extraverti, tu te ressources avec les autres.

✅ Quand tu es introverti et qu’on (un extraverti) te dit de te forcer à sortir pour te ressourcer, tu vas juste perdre le peu d’énergie qu’il te reste.

✅ Quand tu es introverti et que tu le sais, tu apprends à dire non pour te préserver, tu déculpabilises, et tu vis ton quotidien de manière plus apaisée.

Ne lutte pas contre ton mode de fonctionnement.

La société est faite pour les extravertis, pour les chronotypes ours, et que sais-je encore. Si le modèle de vie sociale et professionnelle “imposé” ne te convient pas, invente le tien :

✅ Gère tes interactions sociale comme il te semble bon,
✅ Construis un emploi du temps qui correspond à ton rythme naturel (à terme)

Bonne réflexion,

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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour vous affirmer dans votre vie personnelle et professionnelle, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

[Dossier] Adopter un mindset résilient à tout épreuve quand on est entrepreneur

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

A lire, si vous doutez de vos capacités à atteindre vos objectifs

 

Il y a 20 ans, je voulais parler anglais fluidement, aujourd’hui, mon anglais est courant

Il y a 18 ans, je voulais vivre aux Etats-Unis, aujourd’hui, j’ai vécu une année d’échange universitaire en Californie,

Il y a 13 ans, je voulais être plus mince, aujourd’hui, j’ai un corps qui me plait,​

Il y a 10 ans, je voulais posséder MacBook, aujourd’hui j’écris depuis son clavier,

Il y a 8 ans, je voulais retrouver ma famille biologique, aujourd’hui je l’ai retrouvée

Il y a 5 ans, je désespérais de ne pas avoir de relation sérieuse, aujourd’hui j’en vis une.

Il y a 3 ans, je rêvais de porter un hakama et une ceinture noire d’aïkido, aujourd’hui c’est chose faite,

Il y a 2 ans, je voulais réussir à vendre des prestations sans CPF, aujourd’hui, j’y arrive,

Tout vient à point à qui sait attendre.

Lorsque vous vous impatientez, repensez à vos aspirations du passé,

Regardez comme vous avez avancé !

Aujourd’hui, j’ai de nouveaux rêves et projets :

Découvrir le pays du soleil levant,

Me réveiller le matin, et voir nettement,

Ne plus m’épuiser à tout vouloir contrôler,

Découvrir d’autres pièces cachées de mon identité,

Publier dans un grand média papier

Obtenir mon permis B et conduire sans peur,

Ecrire un livre et le publier chez un éditeur,

Mais chaque chose en son temps.

Je vois maintenant les choses sereinement,

Pour chacune de mes aspirations,

je sais qu’il y aura réalisation.

C’est ça, la loi de l’attraction.

C’est à l’aune de vos réalisations passées que vous trouverez la foi pour avancer.

Bonne réflexion,

 

Comment préserver son énergie quand on est entrepreneur

 

En écoutant votre rythme naturel.
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Votre rythme naturel, c’est le message que votre corps vous communique lorsque vous le sollicitez.
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Si votre corps réagit positivement, c’est que vous êtes à son écoute.Si votre corps lutte (de manière chronique) pour réaliser ce que vous lui demandez, c’est que vous n’êtes pas à l’écoute de votre rythme naturel.
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Si je prends mon exemple, je sais que je peux optimiser mes journées de la manière suivante :
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? Matin : réaliser des tâches de fond (deep work)
? Début d’après-midi : appels clients/prospects (ou sieste)
? Fin d’après-midi : activités sportives
? Soirée : film/série ou vie
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Cette division journalière selon notre niveau d’énergie se rapproche de l’approche “chronotype”, 4 profils “animaux” correspondant chacun à des ryhtmes différents (tendance Lion pour ma part). L’alimentation a également un rôle à jouer dans l’écoute de notre corps, et c’est pourquoi un travail sur son profilage alimentaire n’est pas à négliger.
Cette organisation n’est bien sûr pas rythmée à la lettre mais en suivant cette tendance, je m’économise au quotidien.
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Alors fini les routines matinales imposées, les heures de travail inefficaces, le manque de temps pour soi.
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A court et moyen terme, je gagne en sommeil, en énergie, en sérénité et en épanouissement. A long terme, je gagne en années de vie en bonne santé.
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?Et vous, connaissez-vous votre rythme naturel ?
?Le prenez-vous en compte dans votre organisation au quotidien ?

 

 

Comment entreprendre sereinement

 

​​​C’était le sujet du live que nous avons co-animé avec @amel_qouba_coach.therapeute
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Dans ce live, nous nous sommes intéressées au travail à réaliser sur soi (introspection, mindset, et stratégie) pour se reconvertir et/ou se lancer dans l’entrepreneuriat.
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Nous avons évoqué l’ensemble des éléments qui contribuent à entreprendre sereinement :
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✅ L’hygiène de vie et les routines structurantes
✅ La connaissance de son propre fonctionnement intellectuel et biologique
✅ L’aspect pratique et financier
✅ La capacité à demander de l’aide
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Avant de se reconvertir (dans l’entrepreneuriat), voici donc les 3 points à garder en tête :
✅ Faire le point financièrement : aurais-je un chômage ? ai-je un capital personnel ? Une famille qui puisse me soutenir ? Peut-on me prêter de l’argent ? Puis-je emprunter ? Puis-je travailler à mi-temps pour assurer cette transition ? Ai-je suffisamment de ressources financières pour tenir 6 mois à un an ?
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✅ Adopter un mindset (état d’esprit) entrepreneurial : puis-je investir dans de la formation/accompagnement même si je n’ai pas encore de clients ? Suis-je prêt à accepter la précarité financière régulière qu’implique ce nouveau choix de vie ? Suis-je bien entourée ? Ai-je des entrepreneurs dans mon entourage ?
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✅ Prendre des décisions courageuses mais rationnelles : quitter son job avant de vivre de son activité pour franchir le pas de l’entrepreneuriat
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Une fois lancé, on peut entreprendre sereinement et de manière pérenne grâce à une hygiène de vie au quotidien qui implique de :
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✅ Se créer une routine (sportive, méditative…)
✅ Ecouter son rythme naturel (comprendre son chronotype- faire son human design ou tout simplement s’observer)
✅ Adopter une alimentation saine et non restrictive
✅ Dormir suffisamment
✅ Maintenir un niveau de stress bas
✅ Maintenir une hygiène émotionnelle (auto-thérapie par l’écriture, par un travail de respiration ou un accompagnement si on en ressent le besoin)
✅ Remettre en cause ce rythme de vie s’il ne nous correspond plus

 

Etre trop cérébral :  un handicap mais un avantage face à l’adversité

Dans la vie quotidienne, on me dit souvent que je suis trop cérébrale.

Etre trop cérébral, c’est analyser et intellectualiser TOUT ce qui nous arrive, en passant du travail, aux activités extra-professionnelles en passant par la conduite et la vie intime.
Dans ce cadre, notre cerveau devient notre pire ennemi : impossible de lâcher-prise sur des activités oisives, et impossible de se détendre au quotidien et encore moins de détendre son corps.

Je suis régulièrement victime de ce trop plein d’activité cérébrale dans des activités qui ne devraient pas solliciter autant de réflexion.
En aikido par exemple, être trop cérébrale m’empêche de ressentir les sensations et de détendre mon corps. Ce qui est contre-productif (mais je me soigne).

Lorsque je passais mon permis (que je n’ai toujours pas), mon cerveau peinait à analyser toutes les interactions et coordonner mes mouvements. Résultats, je ne prenais aucun plaisir à la conduite, et vivais un état de stress permanent.

Quand on est trop cérébral, on a du mal à déconnecter le mental, et penser nous prend beaucoup trop d’énergie.

En revanche, être cérébral comprend son lot d’avantages, face à l’adversité.

Etre cérébral me permet ainsi d’avoir une très bonne analyse de mes problèmes et de chercher des solutions concrètes.

Etre cérébrale me permet également de routiniser et ritualiser mon quotidien. Concrètement, je fais mon lit le matin, je fais du sport tous les jours, je mange équilibré et j’adopte une discipline de vie et de travail à laquelle je ne derrogerai pas, peu importe mon état émotionnel.

Comme je le dis souvent à mes clients : on ne dirige pas une entreprise avec ses émotions.

Etre cérébral ne se contrôle (malheureusement) pas.
Le lâcher-prise ne se commande pas non plus.
En revanche, l’accepter permet de gagner du temps au quotidien en comprenant son fonctionnement.
Mieux encore, ce fonctionnement peut être avantageux dans certains cas de figure, pour ne pas se laisser déborder par ses émotions.

?Et vous, connaissez-vous votre fonctionnement ? L’acceptez-vous ou essayez-vous de fonctionner différemment ?

 

Entrepreneuriat : 4 conseils pour savoir si vous devez persévérer ou arrêter une activité qui stagne

Cours en ligne

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver de connaiître des moments de stagnation d’activité aboutissant sur une perte de motivation.
Pendant ces moments, la question est souvent la suivante : dois-je persévérer ou me résigner ?

Alors, si vous ne savez pas si vous êtes dans la persévérance ou dans l’acharnement, voici 4 pistes qui vous aideront à prendre une décision :

1/ Quand l’envie n’est plus là, il est temps arrêter

Quand vous perdez toute stimulation intellectuelle liée à la conduite de votre projet entrepreneurial, c’est que vous n’êtes tout simplement plus aligné avec ce dernier. Concrétement, votre activité ne fait plus sens et vous n’arrivez plus à déployer de l’énergie pour la relancer. Dans ce cadre, mieux vaut chercher une autre voie.

2/ Quand le timing financier est mauvais : faire une pause (temporaire)

Si vous êtes dans le rouge, arrêtez-vous ! Non pas pour jeter l’éponge, mais pour vous ressourcer financièrement. Job alimentaire à mi-temps ou à plein temps, prêt, ou épargne personnelle, tous les moyens sont bons pour vous refaire une santé financière. N’oubliez pas que votre priorité est d’abord de pouvoir payer votre loyer et vos dépenses incompressible. On n’entreprend durablement que sereinement.

3/ Quand on apprécie pas le chemin mais que le résultat : changer de voie

Dans l’imaginaire collectif, l’entrepreneuriat est souvent signe de réussite financière. Mais le mythe de l’entrepreneur à succès peut en désillusionner plus d’un. En effet, entreprendre est un long chemin qu’il vaut mieux apprécier pour ne pas être dégoutté de son activité. Si vous voulez devenir riche, mais que vous n’aimez ni votre activité, ni travailler à son développement, vous faites fausse route ! Entreprendre est une activité précaire mais également énergivore (surtout au début). Si vous n’appréciez pas la route, ne l’empruntez pas.

4/ Quand il manque une aide extérieure : persévérer

Vous êtes lancé mais vous ne voyez pas de résultats ? Fixez-vous d’abord une limite de temps pour tester votre activité seul.

Quelques mois suffisent à savoir si vous avez besoin d’une aide extérieure ou non. Si c’est le cas, prenez le temps de choisir la personne qui vous aidera au mieux à booster votre activité. Mais avant cela, vous pouvez déjà vous demander dans quoi vous avez besoin d’aide : s’agit-il de marketing ? De mindset ? De prestataires ? De matériel ? Se former et se faire accompagner est une étape quasi nécessaire pour entreprendre avec succès. Si vous êtes à vos débuts, testez par vous-même, puis choisissez l’aide la plus appropriée (et prioritaire) pour avancer vers le succès !
Voici donc 4 conseils pour vous aider à analyser votre baisse d’activité avec lucidité et prendre la meilleure décision en toute connaissance de cause !
A vous de jouer !

L’agilité mentale : la plus grande force des entrepreneurs

L’une des principales qualités des entrepreneurs est d’être agile.
L’agilité, c’est la capacité à développer une flexibilité mentale pour rebondir dans toutes les situations.

En effet, entreprendre, c’est d’abord tester, observer et réagir.

Par conséquent, voici les 3 compétences maîtrisées par un entrepreneur agile :
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1/ La capacité à pivoter
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Pivoter, c’est entamer un changement dans l’orientation que prend son activité : changer de cible, changer de modèle économique ou même, changer d’activité !
On pivote lorsqu’on réalise que l’on fonce dans un mur, sur le plan économique (mauvaise conjoncture externe ou modèle économique fragile) ou en termes de stimulation intellectuelle (lorsqu’on n’est plus aligné).
Pivoter, c’est accepter la peur du changement et se confronter à l’incertitude. Mais c’est surtout, prendre un nouvel envol pour remettre son entreprise sur de bons rails !
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2/ La capacité à demander de l’aide
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L’humilité est l’une des plus grandes qualités des entrepreneurs qui réussissent. Savoir que l’on ne sait pas faire et accepter de demander de l’aide est un grand pas réalisé autour de la conscience de ses propres limites. Et pour cause, on ne peut pas tout réussir seul et sans aide. En tant qu’entrepreneur mais également en tant que personne, il m’arrive régulièrement de demande de l’aide auprès de professionnels lorsque je réalise que je n’arrive pas à régler les problèmes que je rencontre. Cela me permet de bénéficier d’un miroir qui m’aide à prendre du recul sur moi. Demander de l’aide, c’est accepter une main tendue pour aller de l’avant.
L’égo ne nous permet ni d’être heureux, ni d’entreprendre de manière sereine et pérenne. Alors, laissons le de côté et faisons-nous aider.
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3/ La capacité à rebondir après un échec
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Qui entreprend expérimente. Et qui expérimente se trompe (souvent). L’échec n’est pas un drame, c’est au contraire une manière de mémoriser et d’évoluer. Il est plus facile de bien faire lorsqu’on s’est trompé une fois, car on comprend la cause de son échec. En dédramatisant l’échec, on le transforme en apprentissage, voire même en en tremplin pour s’élever et monter les échelles de manière exponentielle. La vie nous met des bâtons dans les roues, c’est en s’y prenant les pieds qu’on apprend à mieux poser ses pieds pour avancer sur ce long sentier sur lequel nous nous trouvons.
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Bonne réflexion !
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? Si vous sentez que vous n’arrivez pas à vous imposer un cadre, je vous ai préparé un Ebook pour entreprendre sereinement en trouvant le bon équilibre pro/perso ?

[DOSSIER] Marketing digital : attention au syndrome de l’objet brillant

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

 

Payer pour être publié dans un grand média : une bonne idée ?

 

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver d’être démarché par des journalistes nous proposant un article ou une interview dans un média de renom.

 

Cela m’est déjà arrivé.

 

Et à chaque fois, l’hésitation est là.

 

Etre publié dans un grand médias, c’est avant tout :

– Développer sa notoriété facilement

– Accroître sa visibilité rapidement

 

Mais les sommes à payer ne sont pas anodines.

 

Alors au lieu de vous fournir une réponse catégorique, je préférerais que vous vous posiez les bonnes questions :

 

– Avez-vous un vrai besoin de développer votre visibilité ?

– Avez-vous mis une stratégie dans ce sens ?

– Si elle ne marche pas, savez-vous pourquoi ?

– Pouvez-vous vous permettre de payer 1000, 2000 ou 3000 euros pour cela ?

– Pensez-vous que les retombées seront suffisamment durables pour obtenir un retour sur investissement ?

 

Je me suis posée ces questions, et voici ce qui a motivé ma réponse :

 

– J’ai développé depuis 5 ans, un très bon référencement naturel

– Je trouve régulièrement des clients sans démarcher grâce à ce référencement ainsi qu’une stratégie de contenu rodée

– Ce n’est jamais un contenu unique qui me rapporte l’ensemble de mes prospects

– Ma plus-value est de proposer à mes clients de trouver des clients gratuitement sans démarcher : payer serait une contradiction avec ce que je propose.

 

Voici pourquoi j’ai décliné cette proposition.

 

Bien entendu, c’est à vous de prendre la bonne décision en fonction de votre situation personnelle !

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Communication : le piège de la restitution d’expérience “à succès”

 

Il y a quelques mois, j’ai connu une baisse de régularité dans la publication de mes contenus. C’est une première pour moi qui ait toujours été très régulière. Mais il y a une première fois pour tout, et surtout, un contexte qui peut justifier certains manquements :

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?Un déménagement en cours

?Une priorisation de mes contenus sur mon blog consacré à l’aïkido 

?Une difficulté à répartir mes contenus entre articles personnels et contenus à destination de mes clients

 

Mais au-delà des excuses, un autre argument explique cette baisse de rythme : ma volonté de faire des retours d’expérience “à succès”.

Concrètement, j’ai pour habitude d’attendre une certaine prise de recul sur une situation, ou encore une issue positive pour restituer mon expérience. Or, j’ai pris conscience que je ne pouvais pas toujours attendre le fameux “happy ending” pour aborder un sujet.

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✅D’abord, car je ne connais pas que des expériences à succès

✅Ensuite, parce que cela m’éloigne de mes lecteurs qui pourraient ne plus se sentir représentés par une Xième entrepreneur à succès.

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Or ma marque de fabrique est, pour ceux qui me connaissent, l’authenticité.

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J’ai donc décidé de m’exprimer de nouveau et d’affirmer que dorénavant, je ferais des retours d’expériences sans filtre, quand bien même je serai encore dans le doute ou le questionnement.

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?Un retour d’expérience reste un contenu à forte valeur ajouté même si le succès n’est pas à la clé

?Un retour d’expérience est toujours une longueur d’avance prise sur son audience

?Un retour d’expérience reste avant tout un bilan authentique et singulier d’une personnalité à laquelle votre audience est humainement connectée

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Alors comme moi, ne vous censurez plus et mettez fin au diktat des retours d’expérience à succès

Vous serez plus aligné avec votre communication mais également votre communauté

 

L’urgence, le mauvais levier pour prendre une décision d’achat

En marketing, on utilise un levier spécifique pour pousser à l’acte d’achat : ce levier, c’est la notion d’urgence.

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Concrètement, on crée une opportunité factice ou une illusion de rareté pour créer de la frustration chez le consommateur. Dans ce contexte, le consommateur se retrouve face à un choix : acheter maintenant, sans avoir la tête reposée, ou laisser passer une “opportunité”.

.En tant qu’entrepreneur, j’ai moi-même usé de ce levier pour inviter mes prospects à acheter.

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Mais ce n’est pas une technique avec laquelle je suis à l’aise car :

? la notion d’urgence est souvent un leurre

? le client n’a pas toujours réfléchi et peut regretter sa décision.

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Avec le recul, je comprends maintenant pourquoi les opérations marketing de type “lancement” (de produit) ne me réussissent pas.

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Pour trouver des clients profondément motivés, il est pour moi plus intéressant d’adopter une communication authentique et régulière. 

 

Certes, elle touchera moins de clients d’un coup, mais elle visera des individus ayant pris connaissance de leur besoin et en pleine possession de leurs moyens.

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La rentrée est une belle occasion pour un nouveau départ, mais à condition d’avoir défini vos objectifs en amont !

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Si c’est le cas, je vous propose un coaching individuel pour :

 

✅Voir des résultats avant la fin de l’année

✅Commencer la rentrée en toute sérénité

✅Saisir ce coup de boost que vous avez tant cherché

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C’est le moment d’avancer !

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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour entreprendre, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

 

Comment se libérer des injonctions quand on est entrepreneur

Quand on est entrepreneur, il nous arrive régulièrement de subir une pression sociale pour gagner toujours plus d’argent mais également pour rentrer dans des normes en matière de marketing. Cette pression sociale est perverse car elle nous fait intérioriser des injonctions nous poussant à faire des choix avec lesquels nous ne sommes pas alignés. Non conscientes, ces injonctions nous épuisent au quotidien et peuvent nous conduire à une forme de burn out entrepreneurial. Alors comment se libérer de cette pression et de ces injonctions quand on est entrepreneur ? Voici quelques éléments de réponse.

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Echanger son temps contre de l’argent n’est pas une honte !

Depuis que je me suis formée à l’entrepreneuriat, on ne cesse de me dire qu’il ne faut plus vendre son temps contre de l’argent.

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Cela peut être vrai, mais tout dépend de l’objectif que l’on se fixe : scaler ? Maintenir un niveau de chiffre d’affaires stable ? Garder un contact humain au quotidien ?

Certes, échanger son temps contre de l’argent a ses limites dans une perspective de développement exponentiel de son activité.
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Mais il faut déjà se demander quels sont vos objectifs avec des questions très concrètes : 
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– Votre chiffre d’affaires vous convient-il ?
– Si non, de combien souhaiteriez-vous l’augmenter ?
– Pourquoi ?
– Cela implique-t-il un changement dans la structure de votre modèle économique ?
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Sans oublier une question fondamentale : prenez-vous du plaisir au quotidien dans votre activité ?
Plus précisément, il faut demander si le temps que nous consacrons à nos clients est une source de plaisir.
J’ai coaché un certain nombre de thérapeutes pour qui le rapport humain (voire en présentiel) est essentiel à leur quotidien.
J’ai vu des coachs qui se forçaient à proposer des offres de coaching collectif alors qu’ils préféraient coacher en séance individuelle.
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Nous nous formatons en nous formant, mais nous oublions de nous poser les questions essentielles du sens et du plaisir.
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Car sans cela, il est impossible d’être aligné, et sans alignement, toute perspective de développement tombe à néant.
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Reconnectez-vous à vos aspirations réelles.
Oubliez le “il faut” et les notions de succès qui ne vous sont peut-être pas adaptées.
Faites ce qui vous fait vibrer…ou du moins, un premier pas affirmé !
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Entrepreneuriat : on n’est pas obligé de se former à tout ! 

business en ligne
Depuis que je suis entrepreneure, je suis confrontée à la tentation de me former et me spécialiser dans une multitude de thématiques plus ou moins vastes.
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Lorsque j’étais community manager, je voulais me former à la vidéo et à la publicité Facebook.
Depuis que je suis coach, on m’a régulièrement suggéré d’obtenir une certification de coach.
Depuis que j’ai introduit une dimension “développement personnel” dans mes coachings, on me conseille de compléter mon approche avec une formation de thérapeute.
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Alors oui, la tentation de la formation permanente est là.
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Mais cette tentation vient surtout combler une peur : celle de ne pas être à la hauteur.
C’est tout l’enjeu du fameux syndrome de l’imposteur dont beaucoup d’entrepreneurs sont victimes.
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Par conséquent :
– On passe son temps à se former
– On ne capitalise jamais sur ses acquis
– On n’ose pas prendre confiance en soi 
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Mais on n’est pas obligé de se former sur tout ! 
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Ce n’est pas grave de ne pas être un couteau suisse
Ce n’est pas grave de ne pas être le meilleur de son domaine
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Ce qui compte, c’est d’être suffisamment compétent pour aider ses clients
Ce qui compte, c’est d’être au clair avec son champ de compétences
Ce qui compte, c’est de savoir où l’on va professionnellement
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Car formation sans vision, n’est que perdition.
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Il est difficile de penser “outside the box” quand on est entrepreneur

Depuis que je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, j’ai appliqué des bonnes pratiques de marketing et me suis souvent (et inconsciemment) alignée sur des codes qui ne me correspondaient pas toujours.

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Mais l’ennui, avec ce formatage, c’est qu‘il devient extrêmement difficile de penser hors des clous :
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Quand il s’agit de vendre un produit, on pense webinaire, page de vente et appel découverte.
Quand il s’agit de créer une nouvelle offre, on s’aligne sur les tarifs des voisins et on inclut dans son package toutes sortes d’éléments qui ne font pas toujours sens pour nous (accès à une communauté, messagerie asynchrone, accès formation)
Quand on veut consolider une audience qualifiée, on pense volume de liste et publicité.
Quand on veut vendre par mail, on pense mailing quotidien
Quand on n’arrive pas à vendre sur un lancement, on éprouve un sentiment d’échec et de honte.
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Mais sans réelle adhésion, un modèle peut vite devenir un dictat ! 
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Alors certes, ces modèles ont fait leur preuve, mais ils restent des paradigmes et non des vérités universelles ! 
J’ai longtemps suivi et appliqué ces stratégies, mais moins j’étais alignée avec elles, et moins j’arrivais à vendre.
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Et c’est une conversation avec des amis entrepreneurs qui m’a confortée dans l’idée qu’il fallait s’accrocher et persévérer à suivre sa voie, en pensant en dehors des clous.
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Dans ce petit groupe d’entrepreneurs, l’une d’entre elle a expérimenté depuis quelques mois une autre manière de communiquer, en faisant totalement abstraction de ces injonctions liées à la vente :
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– Elle vend sans page de vente
– Elle affiche des tarifs élevés 
– Et elle augmente son chiffre d’affaires de mois en mois. 
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Le secret de sa témérité ?
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– Accepter qu’elle peut échouer
– Suivre son alignement comme unique chemin
– Véhiculer une énergie communicative, proche de ce que j’appelais dans un article, le “marketing énergétique”. 
Alors comment penser hors des clous ? 
– Prenez conscience de ce qui vous gène ou vous prend de l’énergie dans votre communication
– Prenez conscience des injonctions que cette communication implique (il faut, je dois…)
– Demandez-vous maintenant : si vous étiez sûr de vendre, que feriez-vous ?
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Bonne réflexion ….outside the box 😉
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Conclusion

Il est difficile de se libérer des injonctions quand on est entrepreneur. La pression sociale et l’absence de garantie de succès nous amènent à douter et ne pas nous écouter. Et pourtant, sans cette peur de l’échec et de perte de chiffre d’affaires, nous ferions surement des choix plus consentis, et surtout plus alignés pour mener notre entreprise sur la route d’un succès 100% personnalisé.
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Personal Branding: comment s’affirmer dans ses contenus ?

Dans l’écosystème de l’infopreneuriat, on entend à longueur de journée qu’il faut oser être soi dans sa communication et dans ses contenus. Seulement, il n’est pas toujours facile d’assumer sa singularité au regard des critiques négatives qu’elle peut susciter. Cette appréhension de la critique peut nous conduire à ne plus rien publier ou d’attendre une validation extérieure. Mais ce frein psychologique brime notre spontanéité, notre créativité et notre authenticité. Alors comment réussir à s’affirmer dans ses contenus au quotidien ? Voici mon retour d’expérience.

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Avis et conseils : attention à qui vous influence

La semaine dernière, j’ai échangé avec une cliente dont le père critiquait la valorisation de son engagement citoyen dans sa communication.

Prise de doute, elle m’a demandé si communiquer sur cet engagement était inapproprié sur ses réseaux sociaux professionnels.
Sa question a immédiatement résonné en moi car cela fait maintenant 4 ans que je m’interroge régulièrement sur ce sujet, en vivant des périodes de doute.
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Je lui ai donc fait part de deux témoignages personnels : 
J’ai choisi de prendre le risque de communiquer ouvertement sur mes engagements citoyens auprès de mon audience.
Si j’avais écouté une partie de mon entourage, je ne l’aurais sûrement pas fait.
Aujourd’hui, j’ai perdu quelques prospects, j’en ai gagné d’autres, mais au final, mon audience est maintenant avertie, mes clients partagent mes valeurs, et je n’ai pas de frustration dans ma communication.
Autre témoignage : 
J’ai fait le choix de communiquer sur mes expériences de vie personnelles quand elles permettaient à mon audience de s’en inspirer.
Mais sur certains sujets intimes, ma mère m’a fait part de son malaise.
Or, ces sujets sont importants pour moi, et en parler peut aider mon audience.
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Si j’ai fait le choix de ne pas l’écouter, c’est parce : 
– Nous ne sommes pas de la même génération
– Nous n’avons pas la même personnalité
– Nous ne communiquons pas auprès d’un même public.
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Quelques années plus tôt, une entrepreneure d’une cinquantaine d’années m’avait aussi fait la réflexion qu’il fallait vouvoyer son audience pour faire “pro”.
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Mais encore une fois, tout est une question de cible, et d’alignement !
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Alors quand vous doutez, posez-vous les questions suivantes : 
– Ne pas communiquer de telle manière/sur tel sujet vous crée t-il de la frustration ?
– Votre audience est-elle prête à vous suivre si vous êtes 100% vous-même ?
– Que savez-vous de la personne qui vous a donné ces fameux conseils ? Quelle est sa personnalité ? De qui est composé son entourage/sa cible ?  Comment communique-t-elle ? Cette communication vous parle-t-elle ?
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Faites attention à qui vous influence ! 😉
Soyez vigilant : un conseil bien intentionné n’est pas toujours le plus adapté à votre personnalité.
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Comment mieux gérer les critiques négatives sur vos contenus ?

Depuis que je rédige des contenus pour mes différents projets, je réalise que j’affirme de plus en plus mes opinions, et ce, de manière assez spontanée.

Si certains se retrouvent dans cette franchise, d’autres émettent plus de réserves sur cette communication sans filtre.
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Pour tout vous dire, je me suis beaucoup remise en question à la réception de critiques acerbes : 
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– Devrais-je arrondir les angles ou lisser mes contenus ?
– Cette franchise mettrait-elle mon activité en danger ?
– Suis-je assez solide pour encaisser la critique ?
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Après une profonde réflexion, j’ai décidé de ne pas me censurer dans mon expression, quitte à faire un écrémage de mon audience.
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En revanche, toutes les critiques ne sont pas malveillantes, et il me fallait trouver un moyen de mieux les recevoir, sans affectation ni agressivité.
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Je me suis donc demandée : 
– Ce que je ressentais lorsque je recevais une critique : de l’agacement et une envie impulsive de répondre au tac au tac (ce que je ne fais pas)
– Ce qui m’affectait dans la critique  : la sensation qu’on dévalorise mon travail et l’impression d’être critiquée par des gens qui n’ont jamais monté un business, jamais écrit un contenu, jamais pris position sur des sujets épineux
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Pour aller plus loin et mieux gérer la critique, je me suis donnée comme ligne de conduite d‘analyser l’intention derrière la critique : 
– Qui me critique : a-t-on un passif virulent ? La personne a-t-elle des conflits d’intérêt à défendre ?
– Quel est le message de cette critique : une remarque sur le fond ? La forme ? Le ton est-il bienveillant ? Agressif ?
– La critique est-elle constructive ? Son auteur propose-t-il des conseils ? Préconise-t-il des solutions alternatives ?
– Suis-je ouverte à l’échange et au dialogue ? Clairement, vous avez le droit de dire “non”. Lorsque je publie des contenus sur Aikido-millennials par exemple, je fais le choix de ne quasiment plus commenter car répondre me prend de l’énergie pour des critiques attaquant mon grade, ma jeunesse ou ma personne. Ce n’est évidemment pas toujours le cas, mais c’est le choix que j’ai fait pour me préserver.
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C’est maintenant à l’aune de ces critères que j’analyse les critiques qui sont faites à l’égard de mes contenus pour prendre plus de hauteur et moins être dans l’affect.
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Ne nous leurrons pas, je ne suis pas devenue un yogi zen pour autant.
En revanche, je prends le temps de
..et c’est mon écran qui m’en remercie 😉
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Et vous, comment gérez-vous la critique au quotidien ?
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Conclusion

Etre 100% authentique dans ses contenus demande un certain courage pour assumer les critiques potentielles. Mais cela nous permet d’éviter de vivre une frustration chronique : celle de ne pas oser être soi. Alors le jeu en vaut-il la chandelle ? C’est à vous de voir. Mais sachez que si malgré le risque, vous assumez cette communication authentique, vous pouvez être sur d’attirer les bons clients à vous.
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L’organisation : la bête noire des entrepreneurs

L’organisation des entrepreneurs est un véritable fléaux !  Et si beaucoup d’entrepreneurs ont du mal à s’organiser, c’est en partie car leur pensée se disperse !

– Ils débordent de créativité et se laissent submerger par leurs idées
– Ils ont du mal à rester focalisé sur un fil directeur et partent dans des digressions
– Ils manque d’esprit de synthèse et d’efficacité

En conséquence.
– Leurs rendez-vous et réunions débordent toujours.
– Ils finissent rincés sans avoir traité l’ensemble des sujets souhaités.

Concrètement, ils n’arrivent pas à passer de l’idée à l’action.

Cette pensée en arborescence peut-être problématique au quotidien si elle n’est pas canalisée et recentrée.

Alors voici quelques conseils concrets pour recadrer son organisation quand on est entrepreneur !

 

L’organisation des entrepreneurs : un fléau très répandu 

organisation des entrepreneurs

Savez-vous quel est le plus gros handicap des entrepreneurs qui m’entourent aujourd’hui ?

Il s’agit de l’absence d’organisation.
 
Or, dans la vie quotidienne, une mauvaise organisation fait perdre en efficacité et en énergie.
 
Ayant pour objectif d’avoir du temps libre au quotidien, j’ai très rapidement travaillé sur mon organisation et suis aujourd’hui régulée comme un militaire.
 
Mais ce n’est évidemment pas souhaitable pour tout le monde ?
 
En revanche, si votre objectif est de profiter de plus de temps libre car vous croulez sous les tâches du quotidien, voici quelques vérités :
 
✅  Vous avez de la place pour vos priorités, même si votre emploi du temps paraît blindé
✅ A terme, vous pouvez  réussir à tout faire, mais il vous faudra déléguer ou reporter les tâches non prioritaires
 Mieux vaut commencer petit mais régulièrement plutôt que ne rien faire parce vous visiez  plus grand
 
Alors certes, je suis indépendante, et n’ai pas d’enfant à charge mais, il y a des choses que vous pouvez mettre en place même avec un emploi du temps chargé :
 
? Vous pouvez déléguer une partie de vos tâches au quotidien (à votre conjoint, à votre femme de ménage, à vos prestataires, et exceptionnellement à votre famille/amis)
? Vous pouvez commencer votre emploi du temps plus tôt ou finir plus tard (pour faire du sport ou lancer votre projet entrepreneuriat par exemple)
? Vous pouvez trouver un outil adapté pour centraliser toutes vos tâches à faire (Google Agenda, avec plusieurs agenda pro et perso par exemple)
? Vous pouvez sacraliser des créneaux pour vos priorités sans y déroger (rendez-vous médicaux, rédaction de contenu, moment pour vous)
 
Dans tous les cas, un planning serré vous invite à être beaucoup plus efficace dans vos tâches du quotidien.
 
C’est pourquoi, une organisation efficace vous permet de vous recentrer sur l’essentiel :
✅ Passer du temps qualitatif avec votre entourage
✅ Prioriser et ritualiser les tâches indispensables à votre activité et à votre bien-être
✅ Déléguer ce que vous ne pouvez pas faire aujourd’hui
 
Ce ne sera peut-être pas parfait, mais si vous gagnez quelques heures de temps et de sommeil dans la journée, vous aurez remporté votre pari sur la durée ! ?
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L’organisation des entrepreneurs peut impacter leur équilibre de vie pro/perso 

organisation des entrepreneurs
Vous est-il déjà arrivé de vous sentir épuisé alors que vous vous êtes trouvé particulièrement inefficace ?

De  vous en vouloir de vous être dispersé et ne pas avoir su respecter vos priorités de la journée ?

De faire des to do list à rallonge sans prendre en compte les imprévus du quotidien ?

Si c’est le cas, c’est que votre organisation mérite d’être optimisée !

Pourquoi votre organisation est-elle aussi importante au quotidien  ?

Une bonne organisation vous permet d’atteindre vos objectifs tout en préservant votre équilibre de vie pro/perso
Elle vous permet d’en finir avec la perte de temps et la procrastination
Elle vous permet d’en finir avec le stress et la culpabilisation

Je coache des entrepreneurs depuis maintenant 4 ans et leur bête noire numéro 1 est très souvent l’organisation :

? Leurs objectifs ne sont pas clairs
? Ils ont une mauvaise estimation du temps des tâches
? Ils ne centralisent pas leurs tâchent dans un agenda unique
? Ils se laissent parasiter par des événements imprévus
? Ils ne font pas de pauses
? Ils ont du mal à concilier équilibre de vie professionnel et personnel
? ils n’ont pas le sens des priorités et procrastinent en réalisant des tâches non prioritaires.

Très souvent, ils finissent leur semaine sur les rotules en culpabilisant de ne pas avoir été efficaces.

Cette absence d’efficacité génère chez eux un grand stress et les plongent dans le cercle vicieux de la procrastination.

Si vous vous reconnaissez dans ce profil, c’est qu’il est temps de reposer les bases de votre organisation pour être plus efficace et plus efficace dans votre quotidien !
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Organisation des entrepreneurs : arrêter de surcharger son planning par peur du vide

organisation des entrepreneurs
On connaît tous une personne qui aimerait que ses journées fassent 72 heures, et qui passe son temps à courir après la montre.Cette personne, c’est peut-être vous.Et vous n’êtes pas seul.Ce qui est étonnant, c’est ce décalage entre le fait de vivre dans une société où être occupé est bien vu, et la quête de temps libre.

Alors posez-vous la question : voulez-vous plus de temps libre ou plus de temps pour pouvoir gérer un planning surchargé ? 

Il est d’ailleurs possible que vous surchargiez votre emploi du temps par peur du vide, de l’ennui ou de l’absence d’activité.

Ça a longtemps été mon cas.

Si votre rapport au temps vous handicape au quotidien, voici mes conseils :

Supprimez (ou limiter) les activités qui ne vous donnent pas de plaisir, et qui ne sont pas essentiels à payer vos factures et à combler votre bien-être. Pour ma part, j’ai réussi à supprimer tous les rendez-vous professionnels inutiles de mon agenda.

✅ Apprenez à laisser reposer votre cerveau en prenant du temps pour vous : marcher, cuisiner, écrire, vous entretenir, dormir… votre niveau de stress va baisser drastiquement et votre qualité de vie faire un bond. Aujourd’hui j’ai appris à m’ennuyer, et je ne cours pas après le temps

✅ Limitez les activités qui ne vous prennent de l’espace mental et qui minent votre moral. Pour ma part, il s’agit des réseaux sociaux, sur lesquels je passe trop de temps. Ils ne parasitent pas mon emploi du temps, en revanche, ils affectent ma santé mentale et m’empêchent de faire le vide.

Et vous, à quelle étape en êtes-vous dans cette quête d’équilibre de vie ?

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Conclusion : 

L’organisation des entrepreneurs est une véritable bête noir. Une mauvaise organisation leur prend ainsi temps et énergie tout en menaçant leur équilibre de vie pro/perso. Souvent sujets à la dispersion, les entrepreneurs n’arrivent pas à se créer un sas de décompression et puisent dans leurs réserves d’énergie, impactant ainsi leur hygiène de vie. Heureusement, des routines peuvent être mises en place pour gagner en efficacité sur la durée.
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Si vous souhaitez mettre fin à la course infernale contre la montre et ne plus subir une organisation plus que bancale, j’ai rédigé un ebook qui va vous intéresser. Et je vous propose de le télécharger en dessous !

Entrepreneuriat : les 5 plus gros risques que j’ai pris et qui en ont valu la peine

 

Depuis que je suis entrepreneure, j’ai fait le choix de prendre certains risques pour être plus alignée dans ma vie professionnelle. Parmi les risques pris, 5 d’entre eux en ont valu la peine, en me permettant d’être plus confiante et épanouie dans la gestion de mon entreprise au quotidien. Voici donc les 5 risques en question : 

 

1/ Changer d’écosystème 

 

Lorsque je me suis mise à mon compte, je gravitais dans l’écosystème de l’économie sociale et solidaire (ESS), qui était une porte d’entrée facile dans l’entrepreneuriat, étant familière avec ce secteur par mon dernier emploi salarié. Mais j’ai rapidement compris que cet écosystème serait “hostile” à mes projets de développer mon activité grâce à un marketing très personnalisé et à des objectifs de chiffre d’affaires ambitieux. Nous n’avions en effet pas le même rapport à l’argent. C’est pourquoi, j’ai préféré prendre mes distances avec l’ESS pour développer mon entreprise dans un nouvel écosystème plus orienté “market” et repartir de zéro. Loi du hasard ou non, j’ai pu bénéficier de nouvelles opportunités qui m’ont permis d’être propulsée sur cette nouvelle scène. Le jeu en valait donc la chandelle. J’ai réitéré l’expérience avec ma sortie de l’écosystème de l’infopreneuriat.

 

2/ Montrer ma vulnérabilité

 

Depuis deux ans, j’ai fait le choix d’être totalement moi-même dans ma communication et d‘afficher ma part de vulnérabilité. Je n’arrivais plus à faire semblant, en affichant une vitrine d’entrepreneur à succès, dénué de faiblesses. J’ai donc commencé par révéler et afficher mes moments de doutes, ainsi que mes échecs. Et contre toute attente, j’ai pu attirer une nouvelle communauté qui s’identifiait à mon parcours et à ma personnalité. Qui l’eut cru ?

 

3/ Changer de métier trois fois

 

De community manager, je suis devenue consultante en communication digitale puis coach pour entrepreneurs (je vous épargne les différents positionnements dans ce dernier métier). Sans surprise, je me suis pris les foudres de coach certifiés, qui m’estimaient illégitime. Et pourtant, aucun client ne m’a demandé de certification. Mieux encore, je leur inspirais confiance tout en leur apportant des résultats concrets. Comme quoi, auto-proclamer son nouveau métier peut avoir du bon.

 

4/ Faire du marketing à ma sauce 

 

Je déteste le marketing digital tel qu’il est proposé aujourd’hui. Je n’aime pas la technique et je ne cherche pas non plus à créer une machine à gaz pour récolter des milliers de mails ni gagner des millions. Mais c’est seulement en prenant conscience de cela que j’ai arrêté les tunnels de vente, les séquences mails, les webinaires et j’en passe. Je fais aujourd’hui du marketing énergétique : j’attire les clients qui me ressemblent en communiquant d’une manière qui me semble plus alignée avec ma personnalité. Et ça marche ! 

 

5/ Affirmez des positionnements personnels 

 

Depuis que j’ai décidé d’être totalement moi sur le plan professionnel, j’ai pris le risque de communiquer sur des sujets qui sortaient du cadre de l’entrepreneuriat : je parle aujourd’hui de développement personnel, de santé naturelle, mais également de politique. Cette posture de l’entrepreneur-citoyen n’est pas sans risque mais elle a permis de polariser ma cible : j’ai bien sûr essuyé quelques pertes mais dans l’ensemble, j’ai fini par attirer des clients qui ont apprécié mon engagement. On attire les clients qui nous ressemblent.

 

Conclusion 

 

Voici donc les 5 plus gros risques pris en 4 ans d’entrepreneuriat. Cette prise de risques était nécessaire car aujourd’hui, je suis totalement alignée sur le plan professionnel, et je travaille avec des entrepreneurs qui souhaitent aujourd’hui le devenir à leur tour ! 

 

Et vous, quels sont les plus gros risques que vous avez pris et qui ont valu le coup ?

 

Envie de développer votre activité en étant 100% aligné ? 

Ma formation Slowpreneur Attraction va vous plaire ! Elle va vous permettre d’attirer des clients réguliers grâce à votre personnalité sans démarcher !

Et cerise sur le gateau, la formation est prise en charge par votre CPF !

 

C’est quoi le courage professionnel ?

Ce matin, grosse claque au réveil ! J’ai reçu le message d’un prospect qui a décidé d’annuler notre appel en raison de mes positionnements sur la crise actuelle. Ce prospect avait autour de lui des proches devenus complotistes et cela l’avait affecté. En outre, nos points de vue divergents sur la situation actuelle ont servi de blocage à notre collaboration.

 

Doute et remise en question : une étape saine dans un processus d’affirmation professionnelle 

J’ai d’abord eu un moment de doute : ai-je fait le bon choix de rentrer dans cette voie ?

Puis d’incompréhension : alors que je venais de publier un post sur la tolérance des avis divergents, et une série de posts sur l’humanité en pleine crise, je me prenais un coup de fouet en pleine figure.

Mais en prenant un peu de recul, je me suis rappelée que mes avancées passent par l’action, l’expérimentation et parfois les erreurs.

C’est dans cette logique d’itération que j’ai pu développé de nombreux projets parallèles à mon activité :

?CM for good, qui était mon collectif de community managers

?Le réseau des freelances de l’ESS et du Développement Durable, une communauté d’entrepreneurs de l’Economie sociale et solidaire et qui vit aujourd’hui toute seule, sur Facebook

?@aikidomillennials , qui est mon blog spécialisé dans l’aikido

?@alerelibre, qui est mon nouveau projet sur Instagram, dans lequel je m’exprime sans filtre sur la crise actuelle, tout en proposant des pistes de changement alternatif et des messages de solidarité et d’humanité.

Je donne également de mon temps :

✅ J’ai rejoint l’équipe de campagne de la Ligue Ile de France en Aikido

✅ Je produis des contenus réguliers pour partager mes réflexions sur l’entrepreneuriat, mais aussi le développement personnel et le digital nomadisme

✅ Je donne du temps de bénévolat pour des interventions (@yossglobal , @novaa.expertise et bientot @wemind.io )

Voici donc ce que mes réflexions m’ont permis de construire, pour moi, mais également pour différentes communautés.

Heureusement, c’est en échangeant avec des personnes bienveillantes (poke @nellydancer , @anneclaire_meret , @steven.renaissance ) que j’ai réalisé que prendre position était un acte courageux, surtout à visage découvert.

 

Ces échanges m’ont également fait prendre conscience du difficile équilibre entre tolérance et ouverture envers l’autre, et devoir personnel d’affirmer ses convictions haut et fort.

Car ce n’est pas dans le silence que le monde change.

Je ne vais pas me faire que des amis mais on dit souvent qu’on est la moyenne des personnes qui nous entourent.

Alors que le vent balaye les feuilles mortes et ramène les fleurs du printemps !

 

Alors, c’est quoi le courage professionnel ?

 

Ce n’est pas la première dois qu’un prospect refuse de travailler avec moi en raison de mes points de vus affirmés : ça m’est arrivée à deux autres reprises.

Ce n’est clairement pas agréable, et cela sème le doute en moi.

Mais aurais-je pu faire autrement ?

Oui j’aurais pu ne rien communiquer.

Mais je n’aurais pas été alignée pour cette décision.

Pourquoi ?

Parce que mon activité professionnelle est imprégnée de ma vie personnelle.
Et inversement.
De même, le projet @alerelibre est imprégné de Yéza Lucas.

De plus, j’ai depuis quelques années entamé un travail d’affirmation de moi, et je ne vais pas tout rayer d’un coup, à la moindre difficulté.

Mais cette difficulté est accentuée par la communication à l’ère des réseaux sociaux.

Ces hauts-parleurs des temps modernes propulsent une opinion au-delà de ce que l’on puisse espérer. Ainsi, chaque message est amplifié, et parfois même, mal interprété.

C’est pour cela que la prise de risque est d’autant plus grande quand on décide d’engager une prise de position personnelle dans une sphère professionnelle.

Mais, si je regarde mon historique professionnel, j’ai déjà pris de gros risques :

✅ Quitter un job difficile à obtenir parce que je ne me sentais pas respectée
✅ Me lancer dans l’entrepreneuriat avec un très faible chômage
Changer de secteur d’activité à deux reprises
✅ Changer de métier à 3 reprises en 3 ans
Assumer ma vulnérabilité dans ma communication professionnelle
✅ Dire merde à des clients qui ne respectaient pas mon travail
✅ Dire merde à l’écosystème de l’infopreneuriat.

Et au final, est-ce que j’en ai subi les conséquences ?

? J’ai certes perdu des abonnés et clients
♥ Mais j’en ai retrouvé d’autres à qui ma communication parlait vraiment

Aujourd’hui, j’assume tout simplement une nouvelle prise de risque.
Plus challengeante, car elle touche un sujet vraiment “brûlant”.

Mais je ne vais pas me justifier sur mes positions
Je ne vais pas chercher à convaincre celui qui n’a regardé qu’en surface les contenus que je propose.

 

Tout comme je ne cherche plus à convaincre un client non convaincu, je ne cherche plus à convaincre un citoyen qui n’est pas prêt à entendre mes propos.
Je sais aujourd’hui comment mettre mon énergie au bon endroit pour rayonner. Et je sais que mes mots touchent d’autres individus.

On dit souvent “une de perdue, 10 de retrouvées”.Pour ma part, je pense que ce sera “10 de perdues, une de retrouvée”

Mais quelle trouvaille !  😀

 

Enfin sortir des dogmes du marketing digital

Bien qu’entrepreneur du web, j’ai pris mes distances avec l’écosystème de l’infopreneuriat et de tous les dogmes qu’il véhicule. Et pour cause, j’en ai été la première victime : je me suis ainsi retrouvée à appliquer des stratégies qui ne me ressemblaient pas et qui se sont avérées inefficaces.

Je tombe régulièrement sur des posts d’entrepreneurs (et notamment de coachs) qui adoptent une posture extrêmement catégorique sur les sujets dont ils s’emparent :
“Tu dois faire ça pour réussir”, “il te faut une seule offre”, “tu dois être plus ambitieux sur ton CA”, “tu dois avoir une vision plus grande que toi”, “tu dois t’inspirer des meilleurs”. Mais…non.

Aujourd’hui, en tant que coach, j’apprends à mes clients à s’écouter, avant de copier machinalement ce qu’on leur a appris. C’est de cette manière qu’ils pourront briller grâce à leur authenticité. Dans cet article, je dénonce 3 tabous qui freine la réussite des entrepreneurs.

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Je “dois” suivre LA stratégie pour réussir.

 

 

Pour mon marketing, on m’a dit qu’il fallait…

STOP.
J’entends de plus en plus d’entrepreneurs regretter d’avoir suivi les conseils d’amis/marketeurs/prestataires qui les ont guidé dans une impasse.
Voici les exemples les plus fréquents : 
– On m’a dit qu’il me fallait un site web
– On m’a dit qu’il me fallait une page de vente
– On m’a dit qu’il me fallait un compte Instagram
– On m’a dit qu’il me fallait qu’une offre
– On m’a dit qu’il fallait que je fasse du high ticket
– On m’a dit que je devais trouver une spécialisation
– On m’a dit qu’il me fallait une niche
Tous ces conseils sont des généralités qui sont devenus des dogmes dans le milieu du marketing digital. 
Le problème des dogmes, c’est qu’ils ne laissent pas place aux particularités et aux individualités.
Or, l’entrepreneuriat est une réalité multiple, et doit donc prendre en compte les aspirations et la situation de chaque entrepreneur.
J’ai moi-même été victime de ces dogmes. Et ça ne m’a pas réussi.
Aujourd’hui, pour développer son entreprise et utiliser le marketing comme un allié, il faut picorer et non gober.
Quand on picore, on prend des petites quantités en prenant ce qu’il y a de bon à prendre pour soi, et en laissant le reste.
Quand on gobe, on digère mal.
Si tu es une éponge, que tu te sens influencé par tous les avis qui te seront donnés, recentre-toi sur l’essentiel :
– Comment aimes-tu vendre ?
– Est-ce pertinent de choisir une seule cible ou offre ?
– Quelle action serait selon toi prioritaire pour trouver des clients ?
Suis ton intuition, écoute ton bon sens, et si tu n’y arrives pas, fais-toi aider de quelqu’un qui te pose les questions, au lieu de te donner les réponses 🙂
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Une communication autocensurée, par peur de sortir du lot 

 

Il y a quelques jours, j’échangeais avec des deux clients, qui souffraient du décalage entre leur communication et la valeur qu’ils sont capable d’apporter (l’un à un futur employeur, l’autre à ses clients).
Leur image n’était pas à la hauteur de leur potentiel et cela était une vraie source de frustration au quotidien.
Mon premier client, en recherche d’emploi, n’arrivait pas à retranscrire l’ensemble de son expertise et de ses qualités humaines sur un CV et une lettre de motivation.
 
Mon second client n’arrivait pas à exprimer avec autant de puissance, la valeur et la transformation qu’il peut apporter à ses clients.
 
Car oui, l’expérience n’est pas toujours synthétisable, et les mots ne peuvent pas toujours retranscrire la pensée. Ce sont là les limites du copywriting, et des propositions de valeur synthétiques, qui nous sont souvent demandées.
 
Alors comment démontrer notre valeur autrement ?
 
En misant sur des éléments de communication concrets pour faire la jonction entre la vitrine (un CV, un site web etc…) et la réalité de notre expertise.
 
Pour cela, plusieurs solutions sont possibles :
– Une mise en avant de travaux pratiques
– Des témoignages
– Des articles de blog ou tout type de contenu
 
Tous les moyens sont bons, du moment qu’ils sont des éléments tangibles reflétant une expertise.
 
Prenons mon exemple :
J’ai à plusieurs reprises pivoté dans mon activité (du community management au consulting puis au coaching, puis à différentes formes de coaching…). Ce qui m’a permis d’affirmer ma légitimité n’est pas la mise à jour de mes services sur mon site internet, ni quelconque certification, mais mes différents contenus, et expertise clients.
 
J’ai pu devenir coach parce que j’ai commencé par coacher (sans demander l’approbation de qui que ce soit en amont), de manière informelle, puis en proposant des services à prix avantageux, et enfin en me servant de mes témoignages clients pour affirmer ma vraie valeur.
 
Ton site web est le dernier élément de ta communication à adapter pour refléter l’ensemble de ta valeur, de ton expertise ou de ton potentiel.
 
– D’abord parce qu’une refonte de site internet est coûteuse
– Ensuite parce qu’il faut un certain recul sur soi, pour trouver les bons mots à afficher sur cette vitrine du web
 
Pour que ta vitrine puisse refléter l’ensemble de ton expertise, commence par apporter des éléments concrets, et rassure ton client, ou ton employeur.
 
Alors, qu’as-tu à me montrer concrètement ? 🙂
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Marketing digital : des process de ventes épuisants, mais contournables

” On se fait une visio ?”

Argh, voici une question à laquelle il est souvent difficile de dire non, et pourtant, tout le monde n’aime pas la visio.
C’est mon cas par exemple.
Je sais que beaucoup de professionnels ont tendance à privilégier la visioconférence car elle permet de voir les interactions de son interlocuteur, mais soyons honnête, je n’aime pas ça.
Et je vais te dire pourquoi  :
La visio peut être perturbante : Regarder l’autre peut empêcher de bien se concentrer sur ses propos : c’est une des raisons pour laquelle je propose des rendez-vous téléphoniques à mes prospects mais également à mes clients en coaching
– La visio peut-être fatigante : être en visio, c’est se concentrer pour paraître présentable, contrôler les émotions sur son visage, en faisant attention à son image, son environnement et ses propos. En plus de cela, il faudra prêter attention aux propres de notre interlocuteur sans être perturbé par le cadre de la visio (le fameux chat qui passe derrière l’écran par exemple)
– La visio ne convient pas aux profils multitâches et hyperactifs : c’est bien évidemment mon cas, comme tu t’en doutes. Je n’arrives pas à me concentrer sur une seule chose lorsque j’écoute : comme pour un podcast, j’ai besoin de réaliser une deuxième activité non intellectuelle, en parallèle. Mais, la pratique de ce multi-tasking est compliquée en visio car souvent très mal vu (oui, je lève un tabou).
Alors, si tu sens que tu es plus performant au téléphone, affirme-le !
Si tu préfères les rendez-vous physiques, propose-les !
Mais restez dans un mode de communication qui sera à ton avantage : ta voix sera plus posée, et tu convertiras mieux 🙂
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Conclusion  :

Il n’est certes pas toujours facile de résister à la pression qui nous pousse à standardiser notre marketing : parce que ça marche pour X, on se dit que cela marchera aussi pour nous.
Ce n’est pas parce que ça a marché pour X que ça marchera pour toi !
Chacun a sa manière d’apprendre et brandir des injonctions catégoriques à tout va peut être nuisible à leurs lecteurs/abonnés/clients.

Ce qui marche pour l’un ne marche pas forcément pour l’autre.

Où est passée la nuance chez ces entrepreneurs devenus dogmatiques ?

Où est passé leur sens de la responsabilité vis à vis de leur communauté ?

La vie, ce n’est pas du tout noir ou du tout blanc.
L’entrepreneuriat non plus.

Alors s’il vous plait, coachs, formateurs, consultants, gourous, faites preuve d’humilité.

Au nom de vos clients et de vos abonnés, arrêtez d’affirmer, mais proposez.

Les recettes toutes faites sont dangereuses.
Donnez plutôt les ingrédients.
Chacun composera sa soupe.

A bon entendeur.

Comment j’ai développé mon authenticité dans ma vie personnelle et dans l’entrepreneuriat

Depuis maintenant deux ans, j’ai fait le pari d’adopter une communication authentique sur le plan professionnel. Cette communication se traduit par une prise de risque : celle de l’exposition de ma sensibilité et de ma vulnérabilité. Deux ans plus tard, je suis totalement alignée avec cette communication qui m’a permis de lever un certain nombre de tabous personnels et professionnels, mais surtout permettre l’identification de mes lecteurs et abonnés. Alors comment développer une communication authentique sans bullshit  ? Comment entamer cette transition ? Voici mon retour d’expérience et mes conseils pour parfaire votre personal branding !

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I- Un constat : l’ennui face à une communication “lisse” 

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communication authentique personal branding

J’ai intégré l’écosystème de l’infopreneuriat, dans lequel, il est valorisé de se mettre en avant. Dans ce cadre, le personal branding a tout à fait sa place. Mais, la plupart du temps, il s’agit d’une communication de surface, dans laquelle, on apprend peu sur la personnalité de l’entrepreneur qui communique. Seulement, une fausse intimité qui fait surface (Instagram est très pratique pour cela). 

Mais en voyant ces entrepreneurs aux vies “parfaites”, j’ai ressenti un décalage. D’autant plus que je m’auto-censurais à parler de sujets “tabous” et “profonds” qui auraient intéressé d’autres entrepreneurs. 

Alors en 2019, j’en ai eu marre de faire semblant, et j’ai fait tomber les masques : j’ai commencé à parler de sujets plus personnels, j’ai commencé à parler d’échecs et d’erreurs, et j’ai commencé à parler d’argent. 

Et contre toute attente, cette vulnérabilité a trouvé écho auprès de mes abonnés grâce à une forte identification à mon parcours. Un pari risqué, mais un défi relevé ! 

 

2 – Communication authentique : exposer sa vulnérabilité étape par étape 

 

communication authentique personal branding

 

On ne passe pas du jour au lendemain d’une communication corporate à une communication sensible. Le mieux est d’y aller petit à petit : d’abord pour vous, et ensuite pour votre audience.

Pour ma part, j’ai commencé à aborder des sujets sur lesquels je me sentais à l’aise de parler avec le recul : mes anciennes erreurs et échecs par exemple. 

Car il est évidemment plus facile de parler avec retrospective d’une période sombre de notre passé professionnel (ou personnel) une fois le problème réglé.

Quand on n’a pas de client, il est toujours plus difficile de le crier haut et fort.

Mais détabouiser l’échec est déjà un premier pas ! Cela a également une vocation cathartique (sans vouloir rentrer dans la psychologie de comptoir ;-))

Par ailleurs, j’ai également fait le choix de communiquer sur des sujets plus personnels et intime, dans la mesure où je ne dissocie pas l’entrepreneur de l’humain (c’est mon point de vue). C’est également pour cela que lorsque je coache des entrepreneurs, je travaille sur l’aspect “business” mais également “développement personnel”.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligé d’adopter une communication similaire à la mienne. Vous devez adopter une communication qui vous ressemble avant tout. Et pour cela, il ne doit pas y avoir de frustrations  : si vous décidez de ne pas aborder un sujet, il faut que cela soit par choix “stratégique” et non par peur. Maintenant, savez-vous distinguer les deux ?

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3 – Communication authentique : puiser sa créativité dans son propre parcours 

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communication authentique

Je ne puise pas ma créativité dans les livres (je lis très peu, voire pas), ni dans des entrepreneurs dits “inspirants”. Je puise ma créativité dans mon quotidien et mon histoire personnelle. 

 

Concrètement, comment cela se traduit-il ?

 

  • Je vais m’inspirer de mes échanges quotidiens avec mes clients, mes amis, mais aussi les personnes que je croise. Je vais tirer les leçons d’une situation que j’ai vécu la veille, et l’utiliser pour écrire un post, un article ou une newsletter. J’ai rendu mon cerveau totalement perméable à mon quotidien pour en faire une source de créativité personnelle et infinie. Résultats : en 4 ans d’entrepreneuriat, je n’ai jamais puisé mes ressources de contenus, et je sais que dans 2 ans, je continuerai à trouver l’inspiration.

 

  • Je m’inspire également de mon parcours de vie personnel, en n’hésitant pas à mobiliser des moments intimes : mon adoption, mes relations personnelles, ma perte de poids. Bien sûr, chaque souvenir mobilisé, a son utilité. Mon but n’est pas de tomber dans le mélodrame, mais d’apporter de la valeur. Et pour rendre mes propos plus parlants et impactants, ces bribes de ma vie intimes peuvent avoir leur place. 

 

Encore une fois, rien ne vous oblige à faire comme moi. Ce qui compte, c’est que vous soyez à la fois à l’aise, et non frustré dans votre communication 🙂 

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4 – Personal Branding : exposer son cheminement et ses réflexions pour inspirer  

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communication authentique

Depuis plus récemment, je commence à exposer mes réflexions en cours sur l’entrepreneuriat ou la vie. Je pose des questions de société, et ouvre la porte à des débats (sans pour autant prétendre faire de la philosophie). 

Ce qu’il est important de retenir ici, c’est que je commence à poser des questions dont je n’ai pas les réponses. Je m’expose en situation de trouble, quand il y a encore un an, j’attendais d’être sortie du tunnel pour m’exprimer. Encore une fois, j’opte pour une posture plus vulnérable et risquée. Mais c’est comme cela que je me reconnais en termes d’image et de communication. 

J’ai récemment exposé publiquement mon manque d’alignement, ma difficulté à lier travail et voyage au Costa Rica, mon pivot vers le développement personnel…tout cela sans avoir forcément trouvé réponse à toutes les questions que je soulève. 

Je vais donc un pas plus loin dans la vulnérabilité. 

Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’angle que j’ai choisi d’adopter, vous pouvez soulever ces débats en faisant parler des clients fictifs par exemple. Cela vous permettra de voir comment sont reçus vos messages et réflexions 🙂

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Conclusion  

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Adopter une communication purement authentique n’est pas chose aisée. Elle invite souvent à sortir de sa zone de confort. Pour y arriver, il faut d’abord avoir pris conscience que l’image que l’on renvoie à travers notre communication ne nous ressemble pas. Or, pour attirer des clients qui vous ressemblent, il va falloir opérer ce petit “switch”. Évidemment, un changement radical n’est pas forcément souhaitable. Commencez par y aller petit à petit, jusqu’à ce que vous soyez à l’aise avec vos nouveaux contenus et qu’ils soient faciles et fluides à produire. Comme disait un certain Boileau : “ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire, viennent aisément”. C’est ainsi que votre communication authentique sera au service d’un personal branding redoutablement efficace ! 

Bilan d’un mois de digital nomad au Costa Rica : entre liberté et fatigue

Pour éviter de subir un troisième confinement français, j’ai décidé de partir au Costa Rica pendant un mois, pays réputé pour sa biodiversité mais aussi sa sécurité. Je viens d’achever un mois en tant que digital nomad au Costa Rica et j’aimerais vous proposer un bilan de ce séjour, sans filtre, comme à mon habitude 🙂  Pendant un mois, j’ai arpenté les différents paysages du pays, découvert sa culture, rencontré des locaux et non locaux. Voici donc mon bilan humain, financier et culturel de ce mois de Pura Vida.

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1 – La “pura vida”, un mode de vie décontracté, auquel nous ne sommes pas habitués 

 

Une soirée détente à Puerto Viejo, cote caribéenne du Costa Rica, ou Bob Marley est un dieu local

 

“Pura vida” est une expression populaire au Costa Rica que l’on utilise à toutes les sauces. C’est une sorte de “Hakuna Matata” local, ce qui signifie “pas de soucis”. Et c’est vrai que les ticos (habitants du Costa Rica), ne sont pas des gens stressés. Ils prennent la vie comme elle vient avec ses aléas, tout en relativisant les malheurs qu’elle apporte.

Les coupures d’électricité, la lenteur du service dans un restaurant…tout cela fait partie de la vie, et que peut-on y faire après tout ?  

En tant que sérieuse “control freak” qui aime planifier ses journées, j’ai dû m’adapter à ce mode de vie plus “slow”, où la notion du temps n’est pas la même que dans nos pays occidentaux. Et c’est vrai qu’il n’y a souvent aucune raison d’être si pressé ?

D’ailleurs, planifier mes différentes excursions en amont a souvent été vain car rien ne se prévoit à l’avance ici et tout se fait au dernier moment. C’est une autre mentalité qu’il faut comprendre pour bien vivre son séjour au Costa Rica.

Heureusement pour moi, les ticos que j’ai rencontrés sont pour la plupart extrêmement généreux et prêt à nous aider dès qu’ils le peuvent (surtout quand la barrière de la langue peut être handicapante). 

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2 – Un émerveillement sur le plan visuel et humain

 

Cascade de Rio Céleste (en vrai il y a 15 touristes derrière moi)

Le Costa Rica est un pays dont la biodiversité est très riche : depuis 30 ans, le pays a entamé une politique de reforestation, comprend 5% de la biodiversité mondiale, et 25% de son territoire est devenu des parcs nationaux protégés. 

J’ai pu observer une faune propre aux pays tropicaux (singes, tapirs, paresseux, toucans, colibris…) et une végétation digne d’une jungle amazonienne. 

Au-delà de ces paysages protégés, le Costa Rica est riche de rencontres stimulantes et régulières. Chaque nouvelle opportunité est une rencontre et chaque rencontre créée une nouvelle opportunité.

Ici les interactions avec les locaux et voyageurs sont faciles !

On rencontre les gens partout : dans les hôtels et auberges de jeunesse, dans le bus, dans les bars, dans les excursions, mais également si on pratique une activité régulière. Je me plaignais à Paris de ne pas voir de nouvelles têtes, le problème a été résolu ici !?

Chaque rencontre est facile, et m’a permis de découvrir les raisons du voyage de chacun et son parcours de vie (pour les digital nomads et backpackeurs) mais aussi de découvrir des lieux inédits et de pratiquer mon espagnol avec les locaux. 

C’est la diversité de ces rencontres qui rend la planification obsolète ! ?
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3 –  Une bonne hygiène de vie sur le plan physique et alimentaire 

 

Les “naturales” sont des fruits mixés, souvent sans sucre ajouté, que l’on commande régulièrement pour se rafraichir et faire passer l’attente du plat qui peut tarder à arriver 😉

 

Pendant ce mois au Costa Rica, j’ai énormément marché : une moyenne de 10 km par jour, auxquelles s’additionne mon sport quotidien (jogging/hiit). 

A côté de cela, j’ai peu bu et n’ai pas abusé de sucreries. Résultats : j’ai perdu du poids.

Au niveau de mes habitudes alimentaires, j’ai peu cuisiné et mon régime était fait de tortillas/avocat/tomates/frijoles(purée de haricot rouge)/fromage, car je n’avais pas le courage de me lancer dans de la cuisine dans des cuisines communes….

J’ai également beaucoup mangé de fruits, sous forme naturelle (ananas, mangues, pipas fresca) ou en jus sans sucres ajoutés. 

Au restaurant, je demandais à changer les papas (pommes de terre) et patacones (bananes plantains) contre des légumes. Car au Costa Rica, la nourriture est grasse, souvent frite et les légumes se font rares (d’ailleurs les ticos sont bien portants…)

Sur le plan bien être, j’ai fait quelques massages pour réduire mon stress du quotidien, et je commence à instaurer le massage dans mes habitudes de vies (ici moins cher qu’en France, mais pas donné pour autant). 

Je ne médite pas à proprement parler (avec un CD de Christophe André) mais je marche souvent seule, et c’est pour moi une façon d’observer la nature en pleine conscience, sans trop réfléchir, et d’apprécier ce qu’elle m’offre (souvent des animaux observés dans leurs activités quotidiennes). 

Bref, en période de pandémie, s’entretenir le corps et l’esprit est la meilleure des choses pour booster ses défenses immunitaires 🙂

Sur le plan sanitaire (Covid), les ticos mettent à disposition des vrais lavabos et du savon devant chaque restaurant et structure touristique, et la prise de température est assez fréquente pour rentrer dans un lieu clos. Le port du masque est obligatoire dans les lieux publics fermés, même si dans les caraïbes et sur la côte pacifique, on peut avoir tendance à facilement l’oublier. Aujourd’hui, le Costa Rica s’en sort bien mieux que la France avec des mesures moins restrictives..mais au delà de ces mesures, je pense que le mode de vie “pura vida” réduit beaucoup le stress et l’anxiété, et renforce également les défenses immunitaires 

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4- Mais des galères du quotidien inévitables 

 

S’assurer d’avoir une bonne connexion wifi, le combat permanent au Costa Rica

 

Partir à l’autre bout du monde comprend aussi son lot de galères, et le Costa Rica n’échappe pas à la règle !

Tout commence par un jetlag, avec un décalage horaire de 7 heures : il faut donc bien penser à calculer l’heure des rendez-vous professionnels pour éviter les incompréhensions. 

Il faut également bien se rappeler que le Costa Rica a différents climats et emporter les vêtements adaptés, ce qui n’a pas été mon cas. Effectivement, le Costa Rica était pour moi, un pays chaud, et humide : je n’avais donc pas prévu assez de vêtements chauds pour San José (la capitale, venteuse, et dont les nuits sont fraîches) et Monteverde, dans les montagnes où j’ai dû demander une couverture supplémentaire à l’hôtel et acheter un legging chaud.

Outre le climat, les moustiques peuvent gâcher une partie de votre séjour. Malgré les différents anti-moustiques, je me suis faite dévorer en me réveillant la nuit pour me gratter, ce qui est extrêmement désagréable. 

L’autre problématique que j’ai rencontré au Costa Rica a été technologique : problèmes de coupures d’électricité dans les Caraïbes (pas très pratique quand on est digital nomad), mauvaise connexion dans beaucoup d’hôtels et difficulté à comprendre les offres d’abonnement locaux pour utiliser internet sur mon téléphone. Résultat : j’ai payé cher (et c’est mon prochain point).

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5 – La question fondamentale du budget au Costa Rica 

 

Au Costa Rica, on paye en Dollars, ou en Colones, la monnaie locale

Le Costa Rica, comme son nom l’indique, n’est pas une destination économique. On le surnomme d’ailleurs la Suisse de l’Amérique latine (et ce n’est pas pour sa verdure et ses vaches). 

Certes, je le savais en théorie en lisant les nombreux commentaires et avis sur le pays en amont de mon voyage. Mais je l’ai surtout expérimenté au quotidien. 

En un mot : TOUT est payant. 

Les plages, les cascades, les parcs, l’ensemble des excursions…quasiment rien n’est gratuit. 

Je comprends évidemment le besoin de protéger les sites naturels, mais j’ai beaucoup eu l’impression d’un touriste qu’on cherche à faire raquer. Par ailleurs, cette billetterie à l’entrée de chaque site “casse” la dimension “découverte spontanée” de la nature car on sait souvent exactement ce qu’on va voir.

Beaucoup de paiements se font en liquide, ce qui rend la comptabilité difficile..heureusement, en tant qu’entrepreneur, j’ai bien traqué mes dépenses pour me faire une note de frais globale à la fin du mois ! 

De plus, la vie locale n’est pas “cheap” : pour un repas au resto, comprenant un plat et une boisson, vous vous en sortez pour l’équivalent de 12 euros. Certes, moins cher qu’en France…mais beaucoup plus qu’à Lisbonne où j’étais en novembre ! 

En dehors des excursions, j’ai également payé cher mes différents hébergements : j’ai dû dépenser presque 900 euros pour me loger. Je précise que je choisissais à chaque fois un hébergement en chambre individuelle avec salle de bain privative, mais j’avais besoin d’être dans ce confort pour bien travailler. 

Autre source de dépense : mon forfait téléphonique avec abonnement local. Bien que l’achat d’une carte Sim ne coûte qu’un dollar, vous aurez besoin d’un forfait internet. J’ai choisi un forfait de 4 gigas que je renouvelais chaque semaine…l’équivalent de 8 euros par semaine. A cela s’ajoutait mon forfait Sosh + mon pass Costa Rica Sosh pour le début de mon séjour et que j’utilise en back up lorsque je n’avais plus de donnés mobiles. 

J’ai donc dû dépenser près de 90 euros de forfait internet ce mois-ci.

Pour mon prochain voyage, je pense changer de forfait et passer chez free qui propose 25 gigas de données mobiles pour 20 euros par mois. 

Mais c’est en dépensant trop d’argent que l’on apprend ?

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6 – Un équilibre de vie difficile à trouver

 

Entre voyage et digital nomadisme

Pendant ce mois au Costa Rica, j’ai beaucoup bougé, pour découvrir le pays mais aussi pour trouver un endroit où je me sente bien. J’ai donc fini ce mois fatiguée, car j’étais plus en mode baroudeuse que nomade “posée”.

J’ai beaucoup culpabilisé de cette situation quand je regardais mes amis digital nomad bien installés au Mexique. Moi, j’étais dans un entre deux, attirée par la conquête du Costa Rica, pas alignée sur le plan professionnel et en quête d’un lieu que j’aurais pu appeler “maison”.  Même en tant que digital nomad.

Alors j’ai pris une décision difficile pour moi : celle de faire un break. J’ai d’abord culpabilisé car je sortais à peine d’une semaine de vacances en Laponie. Mais mon corps et ma tête en avaient besoin. 

Et puis, en observant la vie d’autres digital nomades, j’ai compris ce qu’il me manquait pour me poser  :

  • Des activités extra-professionnelles régulières pour me créer une routine (je n’ai pas pu pratiquer l’aïkido régulièrement)
  • Une vie citadine dans laquelle le piéton reprend ses droits (je vous assure que ce n’est pas le cas au Costa Rica) 
  • Une offre culturelle développée (le Costa Rica est un pays de nature, et non de culture)

 

Et je pense trouver cela dans ma future destination : Oaxaca, Mexico ! Capitale de la gastronomie mexicaine, cette ville me permettra également de pratiquer l’aïkido à main nu (très important pour moi), de déambuler dans les rues et découvrir la culture locale du pays. 


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Conclusion : une belle découverte, mais qui a ses limites

 

Pour conclure cette expérience de digital nomadisme au Costa Rica, je dirais que j’ai vécu une belle expérience dans le pays de la pura vida :  mon premier pays d’Amérique Latine, qui m’a challengé dans ma pratique de l’espagnol, et de la vie seule sur un continent lointain. Sur le plan personnel, j’ai appris à me poser les bonnes questions, me ressourcer pour savoir ce qui me correspondait et ne me correspondait pas. Sur le plan professionnel, j’ai utilisé ce temps pour faire le vide grâce à un break nécessaire. Cap maintenant vers une nouvelle destination, que je souhaite plus posée, et encore plus satisfaisante grâce à cette première expérience au Costa Rica ! Pura vida. 

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?Si vous vous  voulez réveiller le digital nomade en vous et franchir le pas,  mon programme “Reprendre sa vie en main dans un contexte de crise”, va vous plaire !

Programme pris en charge par le chèque numérique à hauteur de 500 euros ?

 

Quelle stratégie d’investissement choisir pour ton entreprise ?

En tant qu’entrepreneur, on nous parle souvent d’investissement. Mais dans quoi ? Quand ? Et comment ? C’est la question que beaucoup se posent. Concrètement, voici sans filtre mon retour d’expérience sur 4 ans d’investissements pour le développement de mon entreprise.

 

La culture de l’investissement : un état d’esprit à adopter avant même de se lancer dans l’entrepreneuriat

Si tu es entrepreneur, as-tu la culture de l’investissement ?

?Pourquoi en parler ?

Parce que c’est la rentrée et que parce que je suis sûre que parmi ceux qui vont me lire, il y a des personnes qui ne se sont pas encore lancées et qui projettent de le faire en cette fin d’année.

?Alors de quoi s’agit-il ?

Il s’agit de comprendre l’intérêt d’investir avant même d’avoir des résultats. Investir dans un local, investir dans de l’accompagnement, investir dans du matériel…

Quand on se lance, on n’a pas forcement beaucoup de ressources, et on a une mentalité de salarié : ne pas prendre de risque sans garantie. Et pourtant, c’est avec en lâchant le cordon ombilicale, que l’on peut de nouveau respirer.

Je m’explique :

Si on attend de pouvoir vivre de son activité avant de lâcher son job, on va attendre longtemps, parce que garder le contrôle sur deux activités nous empêche d’avoir la disponibilité mentale de développer notre activité entrepreneuriale et déployer tout son potentiel.

(Et c’est pareil quand on est entrepreneur : il est difficile de voler de ses propres ailes si notre communication est brimée par un client concurrent par exemple. L’énergie sera mauvaise).

Mais revenons à l’investissement entrepreneurial : investir c’est faire un pari sur sa propre réussite.

Quand je me suis lancée, j’avais 1000 euros de chômage, 845 euros de loyer, et j’avais investi 1200 euros de formation. Et c’est précisément cet investissement qui a été le moteur de mon lancement :

Je me suis dit “Yéza, si tu ne te lances pas, tu auras dépensé (et non investi) pour rien”. Et c’est comme ça que je me suis lancée…non sans peur.

Et ça a marché ! Pas parce que je suis plus douée que les autres, mais parce que je me suis donnée à 200% et que je n’avais pas le choix : je ne pouvais pas rester salariée. J’ai donc suivi ma voie, qui s’est éclairée au fur et à mesure.

Aujourd’hui, j’arrive à distinguer les investissements professionnels et personnels :

Si je me place d’un point de vue personnel, je trouve qu’investir 100 euros de l’heure pour consulter un spécialiste est cher. Je trouve qu’investir près de 1000 euros dans un téléphone est très cher.

En revanche, si je me place d’un point de vue professionnel, je trouve qu’investir 1000 euros en coaching peut valoir le coup, et qu’investir 1000 euros de matériel informatique est un investissement rentable.

Tout est une question de point de vue. Il faut juste savoir avec quel prisme on regarde son projet entrepreneurial 🙂

Mon objectif, c’est de te faire gagner du temps : adopte le bon mindset avant de te lancer, et n’oublie pas de penser en terme d’investissement et non de dépenses tout au long de ta vie entrepreneuriale ?

 

Investissement : comment prendre des décisions rapidement ?

Quand on est entrepreneur, on est amené à prendre des décisions régulièrement. Beaucoup sont difficiles à prendre car elles touchent tes finances ?

Parmi elle, l’investissement.

L’investissement, c’est un mot que l’on entend et entend à longueur de journée quand on est entrepreneur. Et pourtant, investir dans son entreprise, c’est essentiel pour la développer.

C’est pourquoi un entrepreneur serein est un entrepreneur qui peut mobiliser les ressources financières pour accélérer la croissance de son entreprise.

Lorsqu’il contacte un prestataire, il doit avoir un budget à lui consacrer. Prends en compte la fourchette haute, pour ne pas tomber des nues !

Mais comment savoir si c’est un bon investissement ? 

?Un bon investissement doit te faire vibrer malgré la situation d’inconfort dans lequel il peut te mettre au début.

?Un bon investissement implique une prise de décision rapide : tu sais en 7 heures, si tu vas investir au fond de toi ou non. Même si tu prends ta décision finale en 7 jours. 

Pour prendre une décision rapidement en t’écoutant, pose-toi les questions suivantes : 

As-tu la trésorerie pour investir ?

Si c’est le cas : te mets-tu en danger ?

Si ce n’est pas le cas : cet investissement vaut-il la peine que tu mobilises des acteurs externes pour t’aider à investir ? 

En t’écoutant : cet investissement va-t-il faire du bien à ton entreprise  ? Et est-il prioritaire ?

 

Facteur risque : cet investissement va-t-il être rentabilisé ?

Si tu es entrepreneur, tu t’es sûrement dit que ce serait le bon moment pour investir.

Mais tu es peut-être un peu frileux…

Parmi les investissements, l’accompagnement pour développer ton entreprise est une bonne option.

Seulement, les offres d’accompagnement ne manquent pas. Alors comment savoir si tu vas faire le bon choix ?

 

Pour répondre à cette question, je te propose de procéder de la manière suivante :

❇️Fixe-toi 3 objectifs clairs (maximum) à atteindre pour l’accompagnement que tu choisis.

❇️Définis une temporalité raisonnable pour atteindre tes objectifs (tu ne vas pas forcement les atteindre en 1 mois)

❇️En fin d’accompagnement, fais le bilan des bénéfices émotionnels et chiffrés de cet accompagnement : qu’en retires-tu ?

 

Prenons un exemple :

Cette année, j’ai investi dans un accompagnement pour développer mon entreprise sur le plan structurel :

Mes objectifs était :

1) Dépasser les 100K

2) Structurer mes offres.

Ces deux objectifs sont des objectifs mesurables.

 

En revanche, j’ai sous-estimé les bénéfices émotionnels que cet accompagnement allait m’apporter :

Me sentir entourée et soutenue au quotidien

Me sentir sereine avec mes chiffres

M’inspirer du modèle économique de la structure qui m’accompagne

Découvrir de nouvelles opportunités professionnelles grâce au réseau que m’offre cet accompagnement

 

En somme, voici les 3 mots clés qui ressortent de cet accompagnement :

✴️Scalabilité

✴️Méthode

✴️Réseau

 

Maintenant à ton tour :

?Quel est l’investissement prioritaire de la rentrée pour développer ton activité ?

?Quels sont les objectifs chiffrés et mesurables que tu t’es fixé ?

?Quels sont les bénéfices émotionnels que tu pourrais en tirer ?

 

Faire le point : quels sont tes investissements prioritaires ?

C’est le début de l’année, et c’est le moment de se pencher sur tes investissements prioritaires au développement de ton entreprise.

 

En 2020, j’ai profité d’un fort afflux de trésorerie pour investir sur les chantiers suivants :

? Accompagnement au développement de mon entreprise dans un incubateur

? Accompagnement en stratégie financière pour piloter ma société

? Formation juridique pour mettre ma société dans la légalité 

? Accompagnement en publicité Facebook 

? Accompagnement pour gérer mes finances personnelles.

 

A coté de ces accompagnements ponctuels, j’ai collaboré au quotidien avec :

? Une assistante administrative 

? Une assistante opérationnelle

? Une rédactrice web

? Un cabinet comptable en ligne

 

Et des logiciels techniques payants : 

? Un auto-répondeur (Active Campaign)

? Une plateforme d’hébergement de formation (Podia)

? Un logiciel de visio-conférence (Zoom)

Au début, quand j’ai réalisé toutes les investissements que j’avais fait, j’ai pris peur. Mais je me suis rappelée que j’avais fait le choix de développer mon entreprise en créant une société, pour ne plus me limiter. J’ai fait le pari de la réussite de mon entreprise !  

Tous ces investissements ne m’ont pas en danger financièrement mais avec le recul, une partie d’entre eux a été réalisé sous pression entrepreneuriale. Cette de mon écosystème qui me pousse à investir à en perdre parfois le sens.

 

En 2021, j’ai opté pour une autre stratégie : investir uniquement sur ce qui est prioritaire à un moment T.

? Quelques logiciels techniques et de marketing

? Un comptable

? Une assistante administrative

Le reste n’est que ponctuel.

Il faut aussi dire qu’avec ma capacité à redonner régulièrement de nouvelles orientations pour mon activité, faire de lourds investissements structurels n’est pas adapté pour ma situation !

Et toi, as-tu déterminé tes priorités en terme d’investissement ?

 

Conclusion 

Investir dans ton entreprise est essentiel pour développer sa croissance. L’argent est une énergie et c’est donc en le faisant circuler qu’il pourra ainsi prospérer. Cependant, attention à ne pas le dilapider n’importe où et n’importe comment. Si en 2020, j’ai testé l’investissement massif, en 2021, je me suis recentrée sur les investissements essentiels, en misant sur les piliers de mon activité, essentiels à mon fond de roulement. J’investie donc moins, mais mieux, tout en prenant en compte un facteur essentiel de mon activité : ma propension à pivoter régulièrement, qui limitera mes gros investissements structurels. Voici donc mon dernier conseil : avant d’investir massivement, demande-toi d’abord si tu sais quel avenir tu réserves à ton entreprise demain !

 

Comment débloquer un business qui stagne ?

Lorsqu’on est entrepreneur, on passe par des périodes de stagnation qui génèrent du stress et de la frustration. Heureusement tout problème a sa solution ! Et voici les pistes que te propose si tu retrouves bloqué dans une situation inconfortable pour ton entreprise.

Analyser : pourquoi tu n’arrives pas à vendre alors que tu es à fond

T’es t-il déjà arrivé de donner toute ton énergie dans la vente d’un produit et n’avoir aucun retour sur investissement ?

C’est une chose qui arrive à beaucoup d’entrepreneurs.

Ca m’est personnellement arrivée.

C’est très frustrant, et très décourageant.

Mais plusieurs facteurs peuvent expliquer cet “échec” (ou apprentissage) et te permettre de relativiser les choses.

Et les voici :

Tu n’es pas aligné avec le produit que tu vends. Tu te persuades que c’est ce qu’il faut pour tes clients mais ce n’est au fond ni ce qu’ils veulent ni ce que toi tu souhaites pour eux. Tu as lancé ce produit parce qu’on t’a dit que c’est ce qui marcherait le mieux, en te vendant une recette miracle, mais au final, tu ne t’y retrouves pas, et énergétiquement parlant, tes clients le ressentent.

Ton offre n’est pas adaptée au contexte actuel. En période de crise comme c’est le cas aujourd’hui, tes clients n’ont sûrement pas de visibilité sur leur finances et sont peut être plus frileux à investir beaucoup et longtemps. As-tu pensé à une offre de crise ? Ou bien de mieux comprendre ce dont tes clients ont vraiment besoin en ce moment ? De l’accompagnement plus individualisé peut-être ? Sonde tes clients favoris avec une réelle conversation individualisée avec eux.

– Ton offre se noie dans la masse : encore une formation en ligne ! Voici ce que peut se dire ton client. Difficile d’innover, certes, mais il faut pourtant essayer de proposer quelque chose qui sorte du lot pour te démarquer de la concurrence : ta transformation est-elle bien claire ? Le format correspond-t-il à ce que ta cible recherche ? Achèterais-tu ton propre produit ?

-Tu manifestes le manque. Tu as besoin de faire du chiffre d’affaires donc tu vends ton offre, en plein stress, et encore une fois, énergétiquement parlant, ça ne marche pas. Pour attirer l’argent, il faut être déjà bien et détaché de ce besoin. Facile à dire, je sais. Pourtant, ce qui marchera, c’est de lâcher la pression financière pour vendre et te dire que si tu fais 0, ce n’est pas grave, mais que la possibilité est envisageable.

– Tu es à bout de souffle : c’est la fin de l’année, tu n’as pas fait de break depuis un moment et tu déploies toute ton énergie à vendre ce produit, dont tu vas avoir des difficultés à assurer la livraison. Tu n’as pas atteint tes objectifs de fin d’année : est-ce si grave ? Ton égo pourra s’en remettre, crois-moi. Et si tu préparais plutôt 2021 ?

Voici donc quelques raisons qui peuvent expliquer pourquoi tu n’arrives pas à vendre alors que tu te donnes à fond en ce moment. Rien de dramatique, je te rassure, cela fait partie de la vie de l’entrepreneur.

Maintenant regarde en arrière, dans quel état d’esprit étais-tu quand tu as vendu par le passé ? Quels étaient tes tarifs ? Ton offre était-elle différente ? Le contexte a-t-il changé ? Eclaire ton futur à l’aune des résultats passés.

 

Agir : et si tu mettais en place ton propre plan de relance ?

Comme tu le sais, nous vivons un contexte difficile avec la crise sanitaire et économique que nous traversons.

Le gouvernement n’aidera pas les indépendants, et certains entrepreneurs ont du mal à voir l’avenir sereinement.

Alors si tu ne peux pas bénéficier du plan de relance, pourquoi ne créerais-tu pas le tien ?

Et pour ça, je te propose de mettre en place une stratégie :

– Quel est ton plan d’action pour septembre à décembre ?

– Sur combien de temps vas-tu tester cette stratégie ?

– Qu’as-tu prévu de faire si cette stratégie de marche pas à mi-parcours ?

Je te conseille d’opter pour plusieurs scénarios :

– Si la stratégie fonctionne : quelle est l’étape d’après ?

– Si elle ne fonctionne pas, quel est ton plan B ? et ton plan C ?

Mets en place un plan d’action mois par mois jusqu’à la fin de l’année et évalue-le en fin de chaque moi à l’aide d’indicateurs clés pertinents pour ton activité.

De manière générale, je te conseille d’avoir un suivi de ces indicateurs clés de manière hebdomadaire pour que cela ne soit pas un trop gros effort.

Maintenant, que vas-tu faire pour relancer ton activité aujourd’hui ?

Penses-tu y arriver seul ?

Si ce n’est pas le cas et que tu as peur de perdre du temps, je te propose de m’envoyer ta stratégie pour te faire un retour rapide par téléphone (tu peux réserver un appel avec moi dans le lien dans ma bio)

Si par la suite, tu souhaites qu’on mette en place cette stratégie ensemble, je te proposerai un accompagnement et un suivi adapté pour cela.

Alors, prêt à relancer ton activité ?

 

Mon exemple en 2020 :  comment suis-je passée d’environ 3/4K mensuels en 2019 à une moyenne de 10K en 2020 ?  

1/ J’ai fait depuis l’an dernier un gros travail d’alignement avec mon business, pour m’écouter et faire les choses quand je le sens. Je suis de plus en plus sensible aux énergies, et quand je me force à mettre en place des actions de marketing que je n’aime pas, ça ne marche pas.

2/J’ai développé depuis 3 ans une régularité au niveau de mes contenus qui sont de plus en plus qualitatifs (dont une NL par semaine). Ces contenus m’ont permis de consolider ma communauté et de la renforcer (notamment en 2019 ou j’ai mis les bouchées doubles)

3/ J’ai beaucoup travaillé ma stratégie de référencement naturel pour être positionnée sur des mots clés très concurrentiels grâce à des articles de blog, mais également être la numéro 1 sur les requêtes locales (Paris) en recherche de coaching pour entrepreneurs

4/ Je développe ma notoriété à fond avec des articles invités réguliers, mais également des interventions dans d’autres entreprises “influentes” (les webinaires pendant le confinement m’ont permis de renforcer cette notoriété)

5/ Je rends l’investissement plus facile pour mes clients : je suis organisme de formation et facilite les prises en charge (CPF, OPCO) pour mes clients. Par ailleurs, je mets en place des facilités de paiement pour mes clients

6/ J’ai restructuré mes offres, pour les simplifier et être alignée avec ma politique de prix

7/ J’ai délégué mes tâches quotidiennes ou je n’apportais pas de valeur ajoutée (marketing opérationnel, administratif)

8/ Je m’entoure des meilleurs, et baigne dans un environnement ultra stimulant, et n’hésite pas à payer pour bénéficier d’une dynamique de groupe collective

9/ Je garde un mindset entrepreneurial en permanence : je passe à l’action le plus rapidement possible pour tester, peut être raté mais être fixée et réessayer

10/ Je n’hésite pas à demander de l’aide et me faire accompagner pour passer à l’étape supérieure de mon activité

Voici donc comment j’explique le “décollage de mon activité” même en période de crise, mais je reste toujours prudente car aucun entrepreneur n’est à l’abris d’une « rechute ».

Conclusion

Pour débloquer un business qui stagne, 2 étapes sont essentielles : analyser, puis passer à l’action. C’est surtout sur ce deuxième point qu’une partie des entrepreneurs pêche. Voici donc mes pistes pour t’aider à passer à l’action. Si tu te sens désemparé face à la crise que connait ton entreprise, je te propose qu’on échange de vive voix.

Comment sortir des cases et créer ses propres normes

La société, comme le monde de l’infopreneuriat nous impose une pression et des normes auxquelles il est difficile d’échapper. Pourtant, remettre en questions ces normes nous permettrait de mieux nous épanouir au quotidien. C’est en en prenant conscience que j’ai réussi à devenir une entrepreneuse et une femme plus libre. Et voici les ingrédients pour arriver à trouver la recette !

 

S’enlever la pression du quotidien pour mieux vivre sa vie 

Au quotidien, on a tendance à se mettre la pression sur différents points : 

Le travail

La réussite sociale

La réussite en couple

La performance physique

L’attractivité 

Cette pression nous pousse à rentrer dans des cases dans lesquelles on ne match pas forcément.

Toute ma vie, je me suis mise la pression pour rentrer dans ces cases :

? Travail 

? Logement

? Relations intimes

? Loisirs et relations sociales.

Et puis les années ont passé et j’ai commencé à dire “merde”.

Pourquoi subir tant de pression pour être aussi malheureuse ? Et si peu alignée ?

Aujourd’hui, j’ai réussi à me libérer de beaucoup de pression : 

Je me suis enlevée la pression financière

Je me suis enlevée la pression de l’aikido

Je me suis enlevée la pression d’une relation de couple

Je me suis enlevée la pression de mon apparence physique.

Quelle est ma recette miracle ?

Voici mes tips du moment : 

Je lutte contre le stress avec la naturopathie (compléments alimentaires + travail sur la digestion + son binauraux + respiration)

J’écoute mon corps pour réussir à lâcher prise : quand je me sens épuisée, je n’ai pas d’autre choix. 

J’apprends à gérer mes émotions avec l’EFT. Bien sûr, tout n’est pas encore parfait : il reste des choses à améliorer, mais je vis beaucoup mieux ma vie à 30 ans qu’à 20 ans. Et je pense que je serai encore plus épanouie dans 10 ans que maintenant. 

Nous le voyons en ces temps difficiles, la vie est courte, nos moments les plus joyeux peuvent nous être retirés. Alors arrêtons de vouloir rentrer dans des cases qui ne nous correspondent pas. Et vivons bien tant que nous le pouvons ! 

Enlevons-nous toute cette pression pour être totalement nous même et ne pas avoir de regrets pour les 10 prochaines années.

Et toi, te mets-tu la pression au quotidien ? Quelle serait la première action que tu pourrais mettre en place pour t’enlever un poids ?

 

Réussir à sortir des sentiers battus quand on est entrepreneur

Si tu es entrepreneur dans un secteur ultra-concurrentiel, il peut te sembler difficile de te démarquer du lot et devenir visible. Tout le monde applique les mêmes stratégies de marketing et au final, tout le monde se retrouve à dire et à faire la même chose.

Alors comment sortir du lot ?

En suivant ton intuition et en étant toi-même !

Pour cela, écoute-toi, et fais ce qui te parle. Si tu sens que tu devrais communiquer de telle manière à tel moment, vas-y ! Ne pense pas toujours stratégie mais ressens les choses.

Ensuite, apprends à être toi-même au quotidien quand tu entreprends. Pour cela, refuse les stratégiques qui ne te parlent pas, qui te prennent de l’énergie et qui feront de toi un mouton dans la prairie du marketing.

Ose innover et faire ce que personne ne fait (si ça te fait envie).

Quel risque prends-tu ? Une perte de ventes ? Peut-être.

Mais tu auras raté en étant toi-même.

Et mieux vaut échouer en s’écoutant qu’en se disant avec regret qu’on n’aurait pas dû suivre l’avis d’un autre.

Et c’est la même chose si ça marche. Tu auras ainsi la confirmation que t’écouter te permettra de prendre du plaisir au quotidien dans tes actions de communication, mais que tu n’es pas obligé d’en baver pour réussir.

Apprendre à être toi-même, c’est très difficile. Mais c’est un pari qu’il faut oser prendre pour enfin sortir des sentiers battus et se faire un nom dans la place 🙂

Arrêter de chercher l’inspiration chez les autres et devenir sa propre source d’inspiration

Je ne sais pas où tu puises ta créativité, mais pour moi, elle ne vient clairement pas de l’inspiration des autres.

 

Et j’ai mis du temps à l’assumer.

? J’ai pendant longtemps lu des livres sur l’entrepreneuriat,

? Ecouté des longs podcasts

? Assisté à des meetups d’entrepreneurs inspirants

? Observé le feed des réseaux sociaux des entrepreneurs en vogue

Et bien, tu sais quoi ?

Rien de cela ne m’a inspiré pour créer (et tu sais à quel point, je produis des contenus régulièrement depuis presque 4 ans).

Pire que ça, a miné ma créativité : 

Car je plagiais sans le vouloir

Car j’adoptais une communication qui n’était pas “moi”

Car je déprimais à regarder la vie parfaite de ces entrepreneurs qui ne laissent paraître aucune faille

Car analyser le parcours d’un inconnu ne me parlait souvent pas.

J’ai donc décidé d’assumer et d’arrêter de faire semblant de m’inspirer en devenant inclassable.

 

Et je me suis posée une question essentielle : qu’est-ce qui explique ma créativité et ma régularité dans mes contenus depuis 4 ans ? 

L’observation de ma vie quotidienne : mes interactions sociales sur le plan personnel et professionnel 

Mon parcours de vie, ses moments de joie et de drame

Mes relations clients

Mes échecs et mes victoires d’entrepreneure

Mes voyages

Mon lâcher-prise (quand j’y arrive) 

 

C’est tout ça qui forme la recette “magique” de ma créativité aujourd’hui. 

Cette créativité est unique car elle vient de mon expérience personnelle et de mon ressenti. 

Et toi, pourquoi ne créerais-tu pas une belle histoire qui dure ? 

Fais-toi confiance 🙂 

 

Conclusion

Les normes sont dans tous les domaines de ta vie, mais c’est seulement une fois que tu les auras identifiées que tu pourras sortir des cases. Sortir des cases fera peut-être de toi un outsider mais te permettra de mieux vivre ta vie, sans pression ni influence négative. Alors, tu commences quand ?

Ce que mon combat pour la liberté m’a permis d’accomplir pour mon entreprise et ma vie personnelle

La liberté est une valeur essentielle à mes yeux que j’incarne au quotidien à travers mes décisions. C’est au nom de la liberté que je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, mais également au nom de la liberté que je suis devenue digital nomade. Ces accomplissements personnels sont-ils égoïstes ? Peut-être, mais ils m’ont permis d’inspirer une grande partie de ma communauté, qui souhaite également passer à l’action. Cette vision ultra personnalisée que je porte n’est donc pas dépourvue d’impact. Si tu as de valeurs que tu portes au fond de toi, voici comment les exploiter pour mieux vivre de ta vie mais également aider toute une communauté !

La première étape vers ma liberté professionnelle a commencé il y a 3 ans, avec une grosse décision.

 

Il y a 3 ans, j’ai commencé le premier jour du reste de ma vie.

Il y a 3 ans, je quittais mon job salarié. Je me lançais non sans peur, dans le grand bain de l’entrepreneuriat.

Et pourtant, je suis allée au delà de ce que j’aurais pu imaginer :

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé vivre de son activité en quelques mois

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir générer plus de 10 000 euros par mois

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé publier dans des médias de renom

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé investir autant pour me former

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir louer un T2 dans le centre de Paris

Et pourtant, le moi d’aujourd’hui a réussi.

Par chance ?

Certainement pas.

Par travail et détermination oui.

Ai-je eu peur ?

Evidemment.

Mais la peur ne doit pas t’empêcher de passer à l’action. Elle doit être une excitation interne qui te pousse à aller vers ce que à quoi tu aspires réellement.

Alors, si tu t’écoutes vraiment, quelle décision vas-tu prendre ?

 

La deuxième étape a été une prise de conscience : la chance n’existe pas, elle se créé

Il y a quelques jours, j’étais dans la voiture avec ma mère et nous échangions sur mes futurs “voyages” en tant que digital nomade.

Je mets ici le mot voyage entre guillemets car il ne s’agit pas de vacances. Ce qui n’est pas forcément facile à faire comprendre à son entourage.

Mais là n’est pas la question.

Si je t’écris aujourd’hui, c’est parce qu’une de ses remarques m’a fait réagir.

Et cette remarque était la suivante : “tu es une privilégiée de pouvoir voyager comme cela, tout le monde n’a pas cette chance”.

Cette remarque aurait pu paraître anodine, mais j’ai réagi au quart de tour.

NON je ne suis pas plus privilégiée qu’une autre, j’ai fait des choix de vie :

– Celui de me mettre à mon compte, avec toute la prise de risque que cela implique (j’ai quitté un emploi mal payé ou mon chômage équivalait au SMIC) .

– Celui de ne pas avoir de vie de famille à 30 ans parce que ce n’est pas ma priorité actuellement

– Celui d’avoir investi pour me faire accompagner, et mettre en place des stratégies qui ont augmenté mon chiffre d’affaires, et par conséquent, ma trésorerie.

J’ai également des désavantages au quotidien que j’accepte :

La précarité économique

– La précarité sentimentale

– La précarité en termes de logement

Qu’est-ce qui empêche un salarié de quitter son job aujourd’hui ?

– Sa vie de famille

– Son prêt immobilier

Mais ce sont des choix de vie qu’il a fait dès le départ !

Maintenant, mes voyages coûtent-ils cher ?

– J’ai exposé dans un précédent article, et avec transparence, le coût mensuel d’un mois de digital nomadisme au Portugal et en Suède.

– Cela me coûte moins cher que de vivre à Paris

– J’ai aussi fait le choix de quitter mon appartement pour ne pas payer de double loyer (une décision difficile pour moi)

– Je peux aussi faire le choix de voyager dans des destinations plus économiques

– Et d’y rester plus longtemps pour amortir les prix des billets d’avion.

Pour contrebalancer cette remarque, et après avoir écouté ma réponse, ma mère m’a également dit que mes choix de vie étaient courageux, et qu’elle n’aurait pas réussi à faire la même chose.

Et c’est là qu’elle a pointé quelque chose de juste 

La plupart des gens n’auraient pas franchi le pas de l’entrepreneuriat ou du digital nomadisme, par peur.

Et quand j’affirme ça, je l’affirme sans jugement.

Il s’agit juste d’un constat.

Et c’était aussi mon cas il y a 4 ans, ou jamais je n’aurais envisagé l’entrepreneuriat comme une voie professionnelle car trop “risqué”, mais le salariat m’avait tellement fait souffrir que mes peurs ont disparu pour laisser place à l’action.

Et c’était le cas récemment où le traumatisme du premier confinement a ébranlé mon instinct de survie, qui m’a crié à gorge déployée : “FUIS ET RESTE LIBRE”.

La souffrance m’a fait faire des choix qui m’ont fait dépasser mes peurs.

Ce n’est pas de la chance.

C’est du courage.

Heureusement, cela paye.

Alors bien sûr, je suis plus privilégiée qu’une personne non éduquée, et sans aucune ressource. Mais pas plus que monsieur et madame tout le monde qui travaille 35 heures par semaine et qui profite de ses week-end, et de ses vacances.

On a souvent le choix, mais on n’en prend que peu souvent conscience. Et cette prise de conscience est le début d’un nouvel éveil dans ta vie personnelle ou professionnelle :

Tu peux dire non au conformisme d’une vie bien rangée

A la pression sociale du quotidien

A un patron tyrannique

Mais sortir des cases implique de prendre des risques.

Maintenant, tu te sens prêt ?

.

La troisième étape a été l’évangélisation de ma communauté : en devenant une source d’inspiration pour les entrepreneurs (mais pas que)

Depuis que je me suis lancée dans l’aventure digital nomade, j’ai essuyé un certain nombre de critiques (minimes certes), qui m’ont donné envie d’écrire ce petit post.

En effet, on m’a reproché (à moi, comme à d’autres digital nomads) d’être irresponsables de partir en période de crise sanitaire.

Je peux comprendre l’argument, même si j’ai du mal avec le jugement. Mais rappelons que les digital nomads sont principalement des travailleurs vivant seuls et qu’en période de confinement, la solitude devient très difficile à supporter. Voyager, pour un entrepreneur digital nomad, c’est acheter sa santé mentale, mais également sauver son business en sauvant sa créativité.

Pour ma part, je ne me suis jamais sentie aussi bien que depuis que j’ai trouvé dans le voyage, le sens de ma vie : je n’ai plus de colère, je suis de plus en plus créative, et mieux encore : j’inspire autour de moi.

Cette faculté d’inspiration est ce que mon amie Céline Afonso Tirel appelle le “self care inspirant” : il s’agit de se chouchouter et de travailler sur son propre bien-être, son propre mode de vie idéal, pour inspirer sa communauté et l’inviter à passer à l’action.

Depuis que je suis digital nomad, j’ai ainsi reçu des messages d’abonnés inspirés par mon mode de vie, et souhaitant eux aussi changer de vie, en prenant conscience que leur vie actuelle ne leur convenait plus et manquait de sens.

Une ancienne cliente, Alexia a même réussi à franchir le pas, en partant un mois seule, et sans ses enfants…au Brésil, son rêve ultime !

C’est pour moi une grande fierté.

Et si on en finissait avec la vision culpabilisatrice ?

On vous parlera souvent de vision professionnelle, mais cela ne fait pas sens pour tout le monde. Pour ma part, impossible de me projeter sur le plan professionnel car je me lasse très vite : ce qui me porte, c’est mon cadre et mon mode de vie. Plus tôt on le sait, plus tôt on l’assume.

Sur le plan professionnel, je fais en sorte de me créer le cadre le moins contraignant possible (d’où l’entrepreneuriat), en accord avec mon mode de vie (le digital nomadisme) et de mes forces (le coaching, grâce à une forte empathie).

Maintenant, la nature du coaching, elle peut changer. C’est pour ça que je reste ouverte à différentes opportunités sur le plan professionnel : depuis que je suis entrepreneure, je me suis concentrée sur le coaching business, car j’ai évolué dans un écosystème qui me demandait de me spécialiser.

Mais aujourd’hui, je réalise que je peux apporter bien plus qu’un accompagnement professionnel : je me sens capable d’aider des individus à changer de vie, sur le plan professionnel mais également personnel, en les poussant à passer à l’action.

Mes nombreuses expériences personnelles m’ont permis de vivre des épreuves qui sont aujourd’hui des briques que je peux utiliser pour aider mes clients à aller de l’avant !

Vous savez maintenant comment mon activité va évoluer 

De votre côté, je vous invite en ce début d’année à vous saisir des questions qui vous trottent dans la tête depuis un petit moment et y trouver la réponse la plus alignée avec vos aspirations : sans culpabilité, en laissant votre cœur trouver la voie.

Vous serez ainsi au bon endroit, au bon moment.

Et pour moi, c’est aujourd’hui, le Costa Rica  

La pura vida ! 

 

Conclusion

 

Et si demain nous retrouvions nos vies d’avant ?

Et si demain nous pouvions nous déplacer librement ?

Et si demain nous pouvions nous enlacer sans nous restreindre ?

Et si demain 2020 n’était qu’un mauvais souvenir ?

Et si, et si…ces suppositions sont basées sur un espoir, qui nous fait tenir, mais qui peut aussi nous clouer dans un immobilisme déconcertant.

L’absence de réponse, le manque de vision, nous empêche souvent de prendre des décisions, et nous rend dépendant des conjectures externes.

Et si, au contraire, on sortait de cette dépendance et qu’on devenait acteur de nos vies ?

Acteur de notre vie professionnelle, en prenant la décision de faire ce qui nous plait vraiment, entreprendre, ou quitter un job qui ne fait plus sens.

Acteur de notre vie personnelle, en décidant de ne pas subir une situation qui ne nous convient plus, et changer de cadre de vie ou d’être entouré des bonnes personnes.

Ce n’est peut-être pas le bon moment me diriez-vous ?

Au contraire, j’en suis persuadée !

Choisissons de nous laisser guider par nos rêves et non par nos peurs.

J’ai décidé d’agir, même si ma peur de partir seule était très forte.

J’ai décidé de dire au revoir à une vie que je connaissais, même si je prends le risque de ne pas la retrouver.

L’urgence a été pour moi un déclic pour cette nouvelle vie que je ne connais pas encore et qui se vivra au jour le jour. Je l’accepte maintenant.

Dans cette situation exceptionnelle, arrêtons de rester prudent car le pire est déjà là.

Redonnons du sens à nos vies, et vivons les pleinement.

YOLO.

 

3 étapes pour réussir à lâcher prise dans ta vie personnelle et professionnelle

Le lâcher-prise, on en entend parler à longueur de journée, mais sans vraiment réussir à le mettre en place. Pour ma part, j’ai essayé moult méthodes pour arriver à lever le pied sur mon activité comme dans ma vie personnelle, mais peu se sont avérée vraiment efficaces. J’ai donc décidé d’expérimenter ma propre méthode : voici donc mes 3 clés pour lâcher prise au quotidien ! 

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Etape 1 : pour lâcher prise au quotidien, il faut se lâcher les baskets pour se laisser enfin vivre !

lâcher prise au quotidien

Il y a quelques mois, je me suis lancée un défi : me foutre la paix.

Oui, l’expression est vulgaire mais le besoin était réel.

On a pour habitude de foutre la paix aux autres mais jamais à soi-même.

Et pourtant c’est indispensable pour vivre sereinement son quotidien.

Alors qu’ai-je fait concrètement ?

J’ai lâché prise au quotidien sur le plan professionnel : n’ayant pas pris de vraies vacances, j’ai commencé l’année sur les rotules. Fatigue, énervement, et mauvaise énergie. Sur les conseils de ma naturopathe, j’ai donc décidé d’arrêter de mettre mon focus sur mon activité et prendre un peu de recul.

J’ai lâché prise au quotidien au niveau de mon corps : j’avais pris un kilo et demi du fait du stress et de quelques apéros estivals, avec quelques boutons en prime. Au lieu de me focaliser sur cela, j’ai écouté mon corps, au niveau de mon alimentation mais également au niveau de mon activité physique : moins de cardio, plus de renfo !

J’ai enlevé de mon emploi du temps tout ce qui me prenait de l’énergie : j’ai décidé d’enlever toute source de stress et d’anxiété. C’est pourquoi, j’ai pris la grosse décision de changer de dojo en aikido, et de me concentrer sur ma pratique, et mon nouveau blog, en faisant abstraction des critiques.

Quels résultats ?

– Sur le plan professionnel, je me sens beaucoup plus reposée et d’attaque pour la rentrée. Cette quiétude m’a également permis d’attirer de nouveaux clients. Je crois aux énergies et quand on dégage du stress, du manque ou de l’épuisement, rien de bon ne vient à nous. Inversement, lorsqu’on est plus posé et détendu, les bonnes choses viennent à nous : c’est la loi de l’attraction.

  • Au niveau de mon hygiène de vie, j’ai décidé d’écouter mon ressenti, manger moins, dormir plus et devine quoi ? J’ai reperdu le kilo et demi en trop que j’avais pris et ai retrouvé une peau plus saine. Je remercie particulièrement ma naturo pour m’avoir donné les clés pour déstresser car bouton et prise de poids viennent d’une seule cause : le stress.

– Au niveau de mes sources d’anxiété, je me suis sentie soulagée en prenant cette grande décision de changer de dojo. J’ai bien sûr culpabilisé au début, me trouvant lâche de ne pas continuer dans ce club qui m’a accueillie pendant presque 4 ans. Mais en m’écoutant, j’ai préféré faire ce qui allait soulager mon mental. Tout comme sur le plan professionnel il y a 4 ans, une page avait besoin d’être tournée pour avancer.

Voici donc le bilan d’une semaine où je décide de me laisser tranquille. Les résultats ne se sont pas fait attendre. Et toi, te laisses-tu respirer ?

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Etape 2 : pour lâcher prise au quotidien, il faut réussir à instaurer des temps pour se ressourcer

lâcher prise au quotidien

Et oui, cette fois c’est décidé et planifié !

Si vous me suivez depuis un petit moment, vous avez dû voir que je n’ai pas pris de vacances cet été et que j’ai commencé l’année sur les rotules.

En fait, je n’avais pas anticipé le break estival, ni écouté mon réel besoin intérieur de faire une pause. J’avais certes dit à mes clients que je ne serais pas disponible pour assurer les coachings, mais en dehors de ça, mon cerveau cogitait, et je répondais à mes mails pro. Une déconnexion partielle qui non seulement me prenait de l’énergie, mais surtout qui m’empêchait de prendre du recul sur mon activité.

Résultat des courses : je n’ai évacué aucun stress.

Plus généralement, je n’ai jamais fait de vrais breaks depuis les études et depuis que je suis entrepreneur, cet entre deux permanent travail/pause ne m’a pas réussi et a beaucoup pesé sur ma fatigue mentale.

Cet été a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : j’ai connu une fatigue qui a précédé un gros désalignement professionnel. Heureusement pour moi, j’en ai rapidement tiré les leçons. C’est pourquoi, j’ai décidé de me ménager en cette fin d’année pour attaquer la rentrée avec un plein d’énergie.

Plus de vacances, c’est plus de temps pour laisser reposer mon corps (qui enchaîne les insomnies en ce moment), et surtout plus de place pour de la créativité, en prenant un certain recul sur mon activité.

Si les meilleures idées viennent dans la douche, ce n’est pas pour rien ! 😉

Alors comme j’ai toujours un peu de mal à ne rien faire, j’ai choisi de me mettre dans des conditions un peu extrêmes cette année en partant….en Laponie ! 

Et oui, je me fais vraiment plaisir. Au programme, chien de traineau, rennes, équitation, ski & raquette, et si la chance me sourie, observations des aurores boréales ! 

Je marque ainsi le coup en fêtant la nouvelle année dans ce cadre exceptionnel et en suivant ma nouvelle philosophie anti-covid : YOLO (you only live once).

J’avais prévu d’aller en Laponie dans un an, mais l’incertitude de l’état du monde en 2020 m’a donné envie de précipiter les choses et de profiter…dès que c’est possible ! C’est de cette manière que j’ai pu lâcher prise au quotidien pendant cette période hivernale !

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Etape 3 : pour lâcher prise au quotidien, il faut réussir à calmer son stress durablement 

lâcher prise au quotidien

Il t’arrive sûrement d’être stressé dans ton quotidien d’entrepreneur.

Depuis la crise sanitaire, j’ai eu quelques montées de stress extrêmes qui ont eu des répercussions physiques sur mon corps.

J’ai par exemple eu des dérèglements hormonaux qui m’on crée des plaques d’acnée au début du confinement.

Pour régler ce problème, j’ai d’abord consulté une dermatologue :

Traitement prescrit : des cachets qui m’ont rendue malade pendant 3 jours, et des crèmes qui brûlaient la peau (que je n’ai même pas essayées)

Puis j’ai contacté une gynécologue :

Traitement prescrit : un changement de pilule en augmentant la dose. Je n’ai pas voulu tenter l’expérience, et je me suis tournée vers une autre ressource : la naturopathie.

La naturopathie a été une révélation !

Je n’ai jamais vraiment été très convaincue de l’efficacité de la médecine alternative, même si je n’y ai jamais été fermée.

J’ai tout de même décidé de jouer le jeu en contactant une naturopathe bien notée sur Google (comme quoi les avis Google my business, ça sert, et je le dis et redis à mes clients ?)

J’ai donc été accueillie pendant 1h30, et ai reçu une prescription longue comme le bras que je vais te résumer.

Cette prescription est aujourd’hui la base de ma recette anti-stress :

Pour régler le fond du problème, nous avons travaillé sur la digestion : des compléments alimentaires m’ont permis de restructurer ma flore intestinale (car beaucoup de problèmes de peau viennent de la digestion, elle même perturbée par le stress)

Nous avons également travaillé sur l’apaisement de mon mental avec des sons binauraux, pour me détendre au quotidien, notamment lors des sessions de travail intense, et avant de dormir (les liens hypertextes renvoient vers les playlists que j’écoute)

Nous avons travaillé sur la respiration avec des exercices de cohérences cardiaques pour réguler le stress quotidien

Et nous avons convenu qu’il allait falloir me déconnecter de l’actualité en éteignant la radio (éteinte depuis maintenant avril) et en m’offrant des vacances (ce que je me suis forcée à faire, et ai réussi !)

Résultats : plus un bouton en deux semaines !

 

Aujourd’hui, je complète cette routine avec des éléments essentiels à mon quotidien :

Changer régulièrement d’environnement de travail (bosser dans un café) ou de cadre de vie (sortir de Paris)

Me faire plaisir : partir en vacances, m’offrir une part de gâteau, un massage, etc.

Laisser ma colère s’exprimer pour réussir à me calmer par la suite (j’ai besoin de laisser mes émotions s’exprimer, et non de les neutraliser)

Transcrire par écrit mes problèmes et trouver une solution pour chacun d’entre eux

 

 

Et toi, comment gères-tu ton stress pour lâcher prise au quotidien ?

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Conclusion

Voici donc mes 3 étapes pour lâcher prise au quotidien, mais surtout se sentir plus serein au quotidien. Bien sûr, il ne s’agit que de mes recommandations personnelles, qui ne correspondent pas à tout le monde. Mais je suis une contrôle freak dure à cuire 😉 Si tu as ta propre méthode pour lâcher-prise dans ta vie personnelle ou professionnelle, sans bullshit et facile à appliquer, tu peux commenter cet article ! Hâte de te lire 🙂

 

lâcher prise au quotidien

Apprendre à se connaître pour se créer une vie sur mesure

L’entrepreneuriat et le développement personnel sont intimement liés. On ne peut entreprendre fluidement, sans s’épuiser si on ne prend pas en compte ses aspirations personnelles. Il est donc essentiel de penser à la vie à laquelle on aspire au quotidien. Certains parleraient de vision, je parlerais plutot de vie sur mesure. Mais pour cela, une petite introspection est nécessaire : connaitre ses atouts, ses points faibles, ses sources d’énergie, et d’épuisement…tous ces éléments vont te permettre de construire une vie sur mesure avec laquelle tu seras parfaitement alignée ! Cet article va donc te révéler… le secret du bonheur !

 

Capitalise sur tes forces pour arrêter de lutter au quotidien 

Pour bien commencer l’année sans t’épuiser, j’aimerais qu’on fasse un point sur ce qui va t’aider à aller de l’avant, fluidement : 

Et cette chose, c’est la connaissance de toi ! 

Original non ? 😉

Plus concrètement, je te propose de faire un point sur tes forces et tes faiblesses, pour en prendre conscience, mais surtout prendre les bonnes décisions à l’aune de cette connaissance de toi :  

Pour t’aider, j’ai fait le travail pour moi, et voici ce que ça donne.

 

Mes forces physiques et mentales et sociale :

 

– Des talents artistiques précis (écriture, chant, dessin)

La résilience à beaucoup d’épreuves de la vie

– Un bon système immunitaire qui me permet de rester en bonne santé

– Un bon cardio, qui me permet de ne pas m’épuiser physiquement

– Une bonne mémoire auditive pour retenir l’information utile

– Une grande persévérance/autodiscipline pour atteindre mes objectifs

– Du courage pour prendre des décisions difficiles mais nécessaires 

– Une grande capacité d’empathie pour me mettre à la place des autres

– Une capacité de sociabilisation pour interagir avec les autres

– Un sens de l’humour pour dédramatiser des situations ou faire de l’autodérision

 

Mais même étant née la Saint-Parfait, je ne suis pas dénuée de quelques défauts…dont j’ai conscience : 

 

Mes faiblesses intellectuelles et physiques et sociales : 

 

Des limites artistiques : mauvais sens du rythme, pas de capacité liée aux travaux manuels 

– Une incompréhension des chiffres et calculs qui sortent de ma logique 

– Une réticence pour tout ce qui révèle de la technique, qui me semble trop complexe

– Une faible acclimatation aux conditions climatiques extrêmes (la sélection naturelle aura raison de moi) 

– Une mauvaise capacité de concentration pendant une activité passive (lecture, films, musées…)

– Une mauvaise orientation dans l’espace

– Une mauvaise vue malgré une forte correction

– L’impossibilité de rester debout statique pendant longtemps 

– Une faible tolérance au bruit et à la foule (bon à savoir pour les activités sociales)

 

Transformer une faiblesse en force  : le cas de l’impatience.

 

On voit souvent l’impatience comme un vilain défaut. Mais être impatient peut également avoir du bon. Et principalement dans la sphère professionnelle.

Être impatient, ce n’est pas juste être une boule de nerfs au bord de l’explosion.

Non, être impatient, c’est aussi être proactif. Et voici comment l’impatience se transforme en qualité : 

 

– En relançant un client ou un partenaire jusqu’à obtenir une réponse #modewarrior. Relancer ne veut pas dire être impoli mais montre qu’on n’est pas dépendant du bon vouloir des autres pour obtenir une réponse. 

 

– En passant à l’action pour voir des résultats : plutôt qu’attendre que les résultats arrivent tout seul, être impatient permet de prendre les devants et initier de nouvelles actions, les tester et en tirer des conclusions ! 

 

– En acceptant de se prendre des murs, pour apprendre plus vite : en continuité du point précédent, être impatient, peut aussi dire, être moins réfléchi, mais cela permet de faire des erreurs rapidement, et se relever plus facilement. 

 

– En étant synthétique et en allant à l’essentiel : être impatient, c’est aller au plus vite pour atteindre son objectif. Ca peut également vouloir dire, avoir un esprit de synthèse, et éviter les blablas (les longues conversations et réunions stériles notamment)

 

Mais ce qui compte c’est de vivre une impatience heureuse. Et pour cela, deux règles : 

Bien connaître son fonctionnement interne pour savoir ce que nous savons et ne savons pas supporter

– Apprendre à mieux gérer ses émotions pour arrêter de contrôler ce qui ne vient pas de nous

 

Tout le monde ne peut pas se transformer en Yogi Zen. L’impatience est un tempérament, une part de notre personnalité. Le problème ne vient pas de l’impatience mais du degré de stress qu’elle peut générer. Et sur ce stress, on peut heureusement agir !

Outre le cas de l’impatience, cette prise de conscience de mes qualités et défauts me permet de savoir ce qui me correspond et ce qui ne me correspond pas dans la vie sur le plan personnel mais également entrepreneurial.

C’est ainsi en m’écoutant que je gagne du temps et de l’énergie, en déléguant ou refusant de faire ce qui ne me correspond pas. Du sommeil, en étant plus sereine au quotidien, mais également de l’argent car sur le plan énergétique, je deviens plus alignée 🙂 

C’est à ton tour ! 

? Quelles sont tes forces et tes faiblesses ?

? Maintenant liste les décisions personnelles et professionnelles que tu dois prendre cette semaine : si tu dois les prendre en connaissance de tes atouts et faiblesses, que vas-tu faire ? 

 

Construire ton business model idéal 

 

  • Quand on se lance dans l’entrepreneuriat, on a tendance à adopter les business models classiques que nous propose notre secteur d’activité.
  • Pour les freelances et entrepreneurs du digital, c’est la même chose. Peu de modèle “disruptif” comme on dit, et beaucoup de mimétisme.

 

Et pourtant, ces modèles ne nous correspondent pas forcément.

Et c’est en échangeant avec Laure Matsoukis que j’en ai vraiment pris conscience.

Dans l’écosystème des infopreneurs dont je fais partie, on utilise des modèles basés sur le marketing intensif. Et laisse-moi te dire que j’ai horreur de ça.


Faire des lancements.
Des tunnels et des pages de ventes.
Des séquences mails automatiques.
Des promotions à longueur de journée.
Des notions d’urgence qui n’en sont pas.
De la publicité en continue.

Bref, je ne m’y reconnais pas.

C’est pourquoi, j’ai décidé d’arrêter de faire semblant d’aimer ça, et de n’écouter que mon ressenti. Et pour cela, écoute les réactions de ton corps quand tu dois réaliser une action liée à ton business (marketing, communication, comptabilité, rendez-vous…)..

Te sens-tu vibrer pour cela ?
Au contraire, as-tu des réactions épidermiques ?

Alors comment créer ton business idéal ?

✅ Liste tout ce que tu aimes dans ton activité : quel temps souhaiterais-tu consacrer à ces tâches ? Quelle part de ton business model représenteraient-elles ?

✅ Liste tout ce que tu détestes dans ton activité : ces tâches sont-elles utiles ? Quelle solution te permettrait de ne plus avoir à les faire ?

✅ Liste les personnes dont tu aurais besoin pour t’entourer et te sentir serein au quotidien : de quels profils as-tu vraiment besoin : quel est le profil prioritaire en ce moment ?

✅ Maintenant, comment aimerais-tu te sentir au quotidien ? Qu’est-ce qui t’en empêche encore aujourd’hui ?

✅ Comment aimerais-tu développer ta clientèle ou vendre ton offre ? Qu’est-ce qui te valoriserait le plus et t’épuiserait le moins ?

? Maintenant, quelle est la première action – aussi petite soit-elle – à réaliser dès aujourd’hui et qui te permettra de sortir ce ton cercle vicieux et commencer à construire ton business model idéal ?


?Tu te sens déboussolé et tu as besoin d’une lumière extérieure, on peut en parler de vive voix ! Pour ça, tu peux réserver un créneau dans mon agenda, le lien est dans la bio 🙂

 

Garde en tête que si ton business n’a pas encore été créé par d’autres, tu en seras le précurseur ! ?

 

Construire ton cadre de vie idéal (avec un budget illimité) 

 

Que ferais-tu de tes journées si tu avais un budget illimité ?

La semaine dernière, je me suis demandée comment j’organiserais ma vie si j’avais un budget illimité.

 

Et voici, mes conclusions : 

Sur le plan professionnel, je coacherais des amis dans des lieux sympas /je ferais des immersions d’entrepreneurs à l’étranger/Je vendrais mes contenus dans un ebook.

Au niveau de ma qualité de vie au quotidien, je dormirais dans de la literie d’hôtel et j’aurais une baignoire.

Au niveau de mon bien être, j’irais dans un spa/jacuzzi/massage privé tous les soirs.

  • Sur le plan divertissement, je me payerais Canal on demand pour regarder tous les films qui me font envie et je prendrais des cours de chant Disney acapella avec Evynn Howens 
  • Au niveau de mes déplacements, je passerais mon permis à la pampa OU j’aurais un budget uber illimité.
  • Sur le plan “mode de vie”, je voyagerais (Suisse, Japon, Islande, Ecosse, Laponie, Birmanie, Bouthan, Nouvelle-Zélande, Tanzanie). Bref, je vivrais dans différents endroits en fonction de l’envie du moment.

 

Peut-être aurais-je même une maison en Suisse près d’un lac et un pied à terre au Japon (dans un ryokan). 

 

Au niveau accomplissement personnel, je ferais le pèlerinage de Shikoku et je l’offrirai à un ami ET je dormirai dans le nouveau camping Ghibli construit au Japon en 2021. 

J’ai donc repris tous ces points et me suis rendue compte que l’argent n’était quasiment pas une barrière pour réaliser mes rêves. Je peux en effet commencer petit (ce que je fais déjà avec mon mode de vie actuel) et planifier ces différents projets dans le temps.

 

? Conclusion : une  vraie libération et une foi en l’avenir ! 

Et toi qu’est-ce qui t’empêche encore de mener ta vie de rêve ?

 

Construire tes vacances idéales 

Il y a deux ans, je suis partie en vacances en Croatie avec une amie. 

Je vais te faire une confidence : malgré les photos postées sur les réseaux sociaux et les paysages de rêves, mes vacances n’étaient pas à l’image de ce qu’elles auraient pu être.

Pourquoi ?

Parce que je n’ai pas assez insisté sur le choix de la destination. 

 

Construire des vacances à mon image : ce que j’aurais dû faire

Nous sommes parties en Croatie, mais au fond de moi, j’aurais préféré le Monténégro ou la Slovénie. Moins de plages, moins de touristes, plus de paysages montagneux.

Je n’ai pas assez insisté sur le choix de destination et j’aurais dû.

J’ai eu du mal à supporter la chaleur et l’humidité croate et je ne parle pas du nombre délirant de touristes (oui je sais, c’était la pleine saison dans le pays qui a accueilli le tournage de Game of Thrones. What did you expect Yéza ? ?) Résultats : je n’étais pas du tout dans mon élément et comme j’avais ma part de responsabilité, je me suis un peu renfermée sur moi-même, ce qui n’est pas très agréable pour l’autre quand on voyage accompagné.

Mais la leçon de l’histoire est la suivante : ce voyage m’a permis de revoir ma définition personnelle du mot vacances, qui est sûrement différente de celles de beaucoup de personnes (si je gagne un voyage aux Caraïbes pour bronzer sur des plages de sable fin, tu peux être sûr que je revends mon billet).

 

Revenir à l’essentiel  : ce que m’ont permis ces vacances

 

Ces vacances m’ont tout de même permis de réfléchir et de penser à moi. Quelle est ma vérité ? Qu’est-ce qui me fait me sentir bien ? Qu’est-ce qui est facile pour moi ?

Et bien, voici le résultat de mes réflexions.

Ma voix intérieure m’a suggéré les choses suivantes : 

 

▪ Lâcher prise sur mon activité pour y porter un regard plus neuf 

▪ Choisir la voie la plus facile quand elle se présente 

▪ Faire plus de choses qui me font vraiment plaisir pour mieux ressentir le bonheur 

▪ Passer plus de temps avec ma famille 

▪ Ne pas dépendre des autres pour agir et faire les choses qui me semblent essentielles à mon bien être, même seule. 

 

Résultats : j’ai bloqué quelques jours pour moi à mon retour sur Paris pour : 

 

▪ Prendre le temps de me poser,

▪ Regarder de nouvelles séries sur Netflix,

▪ (Re) manger équilibré,

▪ Courir et faire de l’aikido,

▪ Profiter de l’air frais,

▪ Profiter de la ville désertée,

▪ Me balader sur mon beau vélo,

▪ Etre reconnaissante pour mon cadre de vie

 

Et planifier quelques petites escapades en dehors de Paris. 

Et si c’était aussi ça les vacances ?

? Et toi, que te suggère ta voix intérieure en ce moment ?

 

 

Conclusion :  comment avancer dans la vie 

 

Ces derniers temps, je me suis beaucoup plaint de la situation que nous connaissons tous actuellement.

J’avais besoin d’exprimer ma colère et mon sentiment d’injustice.

Cela m’a fait du bien d’extérioriser mes sentiments, mais je me suis malgré moi retrouvée dans une spirale négative, en dégageant les mauvaises énergies.

Il m’aurait été difficile de me contenir et de rester neutre. Cependant, j’ai ressenti le besoin d’aller de l’avant par la suite.

En effet, lorsqu’une situation qui ne nous convient pas se présente à nous, il existe 3 choix :

 

? La subir : mais ce n’est pas du tout dans ma nature de subir une situation que je trouve injuste.

? Se rebeller en agissant : mais n’ayant pas trouvé un rassemblement assez fort pour lutter, j’ai vite abandonné cette idée

? Fuir en prenant de la distance : dans ce contexte, la fuite n’est pas lâche, mais une façon de me préserver. J’ai donc choisi de prendre une distance physique avec mon lieu de vie : Paris.

 

Et c’est lors d’une insomnie, que j’ai construit mon plan de voyage 2021.

 

Mes objectifs avec ce plan de vie sont les suivants :

⭐ Changer d’environnement, pour aérer mon esprit qui manquait d’air frais

⭐ Découvrir d’autres cultures, de France, d’Europe et d’ailleurs

⭐Trouver un endroit où je me sens bien pendant la tempête et après.

 

Mes avantages :

✅ Ma trésorerie me permet de voyager modérément (et je peux sous-louer mon appartement)

✅ Mon métier est 100% digitalisé

✅ Je suis bien entourée sur le plan business grâce à de bons investissements réalisés en 2020.

 

Je vois une belle réussite dans tout ce processus de prises de décisions :

✅ J’arrive à voyager seule

✅ Je décide de m’écouter et de vivre en mode YOLO

 

Alors, si toi aussi, tu te demandes si tu peux avancer dans la vie, pose-toi les questions suivantes :

 

✔ Vis-tu dans un environnement apaisé ?

✔ Que peux-tu faire face à une situation qui te révolte ?

✔Qu’est-ce que tu rêves de faire et que tu t’empêches de faire sur le plan pro ? et personnel ?

✔ Quel serait le premier petit pas que tu puisses faire MAINTENANT?

 

Bonne réflexion !

 

 

 

 

 

Comment réussir à garder le cap pour votre entreprise pendant la crise en 2021

Personne n’est à l’abri d’une crise économique et la pandémie que nous avons subi en 2020 a touché tous les secteurs, tous pays confondus, en mettant toutes les activités à l’arrêt pendant plusieurs semaines. Dans ce contexte, comment entreprendre pendant la crise ? Je vous donne mes meilleurs conseils pour gérer au mieux cette situation particulière et savoir mettre tout ce temps au profit de votre business !

 

Repenser votre business model à l’heure de la crise 

 

Le Covid-19 a impacté beaucoup d’entreprises tributaires d’entreprises clientes. 

Que nous soyons à la tête d’un business en ligne ou non, nous ne sommes pas immunisés car l’économie ne fonctionne pas en vase clos.

 

Cela dit, il y a des secteurs plus affectés que d’autres par cette crise sanitaire et économique : 

✔ L’événementiel

✔ Le tourisme

✔ La restauration

 

Cet épisode dramatique peut être une belle occasion de repenser votre business model et de rebondir. 

 

➰ En numérisant une partie de son activité comme ça peut être le cas d’entreprises du secteur événementiel.

➰ En proposant des circuits locaux/court comme on pourrait le faire dans le secteur du tourisme et de la restauration 

➰ En développant une activité parallèle (side project) avec un modèle économique simple

➰ En créant un métier flexible et adaptable en cas de crise .

 

Ce qui ne tue pas rend plus fort, entend-on souvent. Alors n’oublions pas la crise une fois passée. Servons nous en pour construire des business plus solides, plus flexibles et plus résilients

Pour survivre en tant qu’individu, soyons résistant.

Pour survivre en tant qu’entrepreneur, soyons adaptable.

Pour repenser votre business model à l’heure de l’effondrement, soyons visionnaire.

 

Réussir à lâcher prise pendant la crise

Ca fait maintenant presque un an que nous connaissons des restrictions sanitaires liées à la crise du COVID et ce n’est pas fini.

Je ne vous cache pas que les premiers mois ont été difficiles :

  • Mentalement parce que je ne pensais pas vivre une situation comme cela un jour et que la transition était inexistante
  • Professionnellement parce que comme beaucoup, j’ai connu un ralentissement d’activité les premiers jours du confinement.

 

J’ai d’abord eu un sentiment de désespoir :

  • Plus de vie sociale
  • Plus de loisirs 

 

Puis de peur :

  • Peur d’une crise économique plombant mon activité
  • Peur des investissements déjà engagés pour développer mon activité .

 

Chaque matin, quand je me réveillais, je ne réalisais toujours pas la situation dans laquelle nous étions.

Puis, au bout de quelque temps, mon cerveau a accepté la situation.

 

Sur le plan personnel :

J’avais fait le deuil de ma vie sociale pour le temps jugé nécessaire.

J’ai réalisé que j’étais très bien entourée en observant les personnes qui prenaient de mes nouvelles.

J’ai accepté l’idée que toute idée de projet ou de planification était impossible.

 

Sur le plan professionnel 

 

J’ai échangé avec d’autres entrepreneurs pour connaître leur ressenti.

J’ai compris que j’avais fait les bons choix en terme d’investissement en voyant loin

Je n’ai pas arrêté de communiquer et j’ai voulu resserrer le lien avec ma communauté.

 

Alors comment passer de la déprime à l’action ?

 

  • En adaptant son organisation au confinement.

 

Pour moi ça ne change pas grand chose, mais j’ai introduit des moments pour des activités oisives à distance (aikido, chant, sport d’intérieur).

 

  • En voyant loin

 

La crise est un épisode temporaire, et je veux dès maintenant préparer l’après. j’agis aujourd’hui pour dans quelques mois. C’est de cette manière qu’il faut penser l’entrepreneuriat.

 

  • En étant reconnaissante

 

D’être bien avec moi-même, de savoir m’autodiscipliner, d’être créative, mais également d’avoir de la trésorerie, et une activité en ligne. 

 

  • En utilisant ma capacité de résilience

 

Pour m’adapter au changement, et le vivre du mieux possible, mais également pour puiser dans ma créativité pour adapter ma communication et mon activité. 

 

Et vous, comment vivez-vous cette période inédite ?

 

Pourquoi continuer à entreprendre en 2021, dans un contexte incertain ?

Pourquoi devenir entrepreneur en 2021 ?

J’ai récemment échangé avec des aspirants entrepreneurs qui se posaient la question de se lancer en cette période incertaine.

Ils étaient bloqués par un certain nombre de peurs qui les empêchaient de franchir le pas :

 

✅ Stabilité d’un job salarié

✅ Peur de ne pas joindre les deux bouts

✅ Absence de visibilité sur la durée de cette crise économique

 

Et c’est tout à fait compréhensible.

Seulement, le risque est dans l’ADN de l’entrepreneuriat.

Reste à définir si ce risque est modéré ou non.

 

? Vous mettez-vous en danger financièrement en vous mettant à ton compte ?

? Avez-vous un chômage d’au moins un an ou des ressources personnelles de côté ?

 

Ces questions sont essentielles à qui veut se lancer dans l’entrepreneuriat.

Par ailleurs, vous ne pouvez pas contrôler la conjoncture économique car elle est extérieure à vous.

Mais cette conjoncture n’est pas défavorable à tous !

 

Au contraire, certains entrepreneurs surfent sur la vague :

 

Les formateurs ayant digitalisé leur contenus

Les coachs

– Les entreprises qui font de la livraison

– L’industrie du papier toilette 😉

 

Vous aussi vous pouvez trouver un secteur qui cartonne !

Bien sûr, cela ne suffira pas à décoller d’un coup. Il vous faudra également définir un positionnement clair sur votre marché pour sortir du lot.

De même, il faudra construire une stratégie solide pour trouver des clients rapidement.

Tout ce travail demande de l’énergie mais en vaut la peine si vous rêvez de lancer votre projet entrepreneurial.

Et n’oubliez pas que vous n’êtes pas pas seul. D’autres entrepreneurs sont passés par là et pourront vous apporter soutien et conseils.

 

Lorsque je me suis lancée en 2017, j’ai énormément travaillé mon réseau pour obtenir le plus de recommandations de cet écosystème entrepreneurial.

 

Aujourd’hui, j’apporte également mon regard à des entrepreneurs débutants.

Et pour ceux qui sont vraiment déterminés, je les accompagne pour franchir le pas.

Si c’est votre cas, vous pouvez m’appeler pour échanger de vive voix.

 

L’entrepreneuriat est une opportunité qui s’offre à vous,  saisissez-là 🙂

 

Bilan : ce que m’a appris la crise économique que nous traversons 

Lorsque la crise est arrivée en 2020, j’étais paniquée.

Cette situation inédite m’avait mise dans tous mes états.

 

Deuxième confinement, j’ai décidé qu’on ne m’y reprendrai pas, et j’ai décidé d’adapter mon mode de vie à ces événements inédits, pour ne pas les subir.

C’est de cette manière que j’ai décidé soudainement d’être digital nomade pour trouver une flexibilité dans mon cadre de vie et de travail.

Sur ce point, j’ai compris qu’il fallait vivre au jour le jour, prendre des vols sans retour, et prendre une décision de dernière minute pour courir dans le pays le plus “safe”. De même, je réserve des Airbnb sur une courte durée au cas où la situation changerait.

C’est de cette même manière que j’ai décidé d’adapter mes contenus mais également mes offres au contexte actuel.

Il ne s’agit pas de changer mon positionnement ou ma ligne éditoriale mais d’être à l’écoute de mon audience.

Lorsqu’on entreprend il faut une grande capacité d’adaptation. Si tes clients ont peur de l’avenir et n’arrivent pas à se projeter, essaye de leur proposer des offres de courte durée, à moindre prix, mais qui bien sûr te demanderont moins de travail.

L’adaptation est une grande force qui vous permettra de devenir un entrepreneur résilient et ne pas subir une situation inconfortable.

 

Conclusion

 

Voici donc mes conseils pour mieux vivre 2021 :

– Prenez des décisions rapidement et rectifiez le tir si besoin.

– Trouvez ce qui vous donne de l’énergie en faites-en votre ressource

– Reconnectez-vous à ce qui vous est essentiel pour retrouver vos repères

 

2021 est là. Vous allez pouvoir entamer cette transition en douceur.

Comment construire des relations clients et prestataires durables

Pourquoi est-il aussi important de construire une relation client durable quand on est entrepreneur ? Etre entrepreneur, c’est avant tout savoir bien s’entourer. Partenaires, clients et prestataires sont plus que précieux pour avancer dans un écosystème où il ne fait pas bon d’être seul. Qu’il s’agisse de scaler ou tout simplement de limiter sa charge mentale au quotidien, construire des relations clients et prestataires durables est essentiel pour développer son entreprise sereinement. Mais comment s’y prendre pour instaurer une véritable confiance dans son entourage professionnel ? Pour ne pas commettre d’impairs ? Ou ne pas perdre du temps avec les mauvais collaborateurs ? Voici mes pistes.

 

I – Une relation client durable est avant tout une relation basée sur la confiance (fiabilité)

relation client durable

Comment bien choisir son prestataire dans le cadre d’une relation client durable

 

Dans ma vie personnelle comme professionnelle, je fais régulièrement appel à des personnes pour m’aider à aller de l’avant.

Seulement, il m’est arrivé à plusieurs reprises de perdre mon temps avec les mauvaises personnes :

  Des personnes peu sympathiques (rédhibitoire pour moi)

  • Des personnes peu encourageantes (en tant que coach, je suis très sensible à la bienveillance)
  • Des personnes peu pédagogues (explication vaseuses et non fondées comme si elles répétaient bêtement ce qu’elles avaient elles même appris sans comprendre)
  • Des personnes dont l’offre est floue (ce manque de clarté me refroidit et me donne l’impression qu’on veut m’arnaquer)
  • Des personnes qui manquent de légitimité (sans preuve sociale, j’ai du mal à voir un professionnel ou du moins envisager une collaboration de long terme)
  • Des personnes sûres d’elles aux résultats mitigés : certaines personnes n’ont aucun scrupule à brandir des résultats et une méthode qui ne marche pas pour tous..c’est pour moi un défaut d’humilité et de maturité professionnelle
  • Des personnes directives et non à l’écoute “fais ça” : là aussi, c’est le coach en moi qui parle : quand vous avez un client frileux en face de vous, rassurez le, ne le brusquez pas !

Ce que m’illustre ce constat : ce n’est pas parce qu’on est un sachant qu’on est un bon enseignant. La pédagogie tout comme l’empathie doivent être travaillées quand elles ne sont pas “naturelles”.

Je choisis les professionnels avec qui je travaille à l’aune des points vus plus haut.

Par conséquent, si vous sentez qu’un professionnel n’est pas fait pour vous, “n’attendez pas, changez !! »

 

Maintenant, comment trouver un prestataire fiable ?

 

Si vous commencez à développer votre entreprise, vous avez peut-être été confronté à la problématique du recrutement.

Pour passer à la vitesse supérieure de votre activité, il faut vous entourer d’une équipe, constituée de personnes de confiance.

Mais pour cela, il va falloir que vous soyez au clair sur vos besoins et vos attentes vis à vis d’un prestataire pour faire le bon recrutement.

Et surtout, trouver un prestataire fiable, ce qui n’est pas toujours tâche facile !

Certains vont par exemple vous faire faux bond du jour au lendemain en disparaissant dans la nature.

Mais c’est le revers de la médaille de travailler avec des freelances : flexibilité peut ainsi être synonyme d’absence d’engagement.

Au delà de ce manque de professionnalisme, il convient surtout d’identifier les bons indicateurs d’un prestataire fiable.

 

Et pour ça, voici mes 3 recommandations :

Vérifiez qu’il soit digne de confiance (avis clients, références, recommandations, présence en ligne)

Estimez si il a une vraie valeur ajoutée dans ses missions

Soyez sûr que la délégation ne soit pas chronophage : vous ne devez pas revérifier tout ce qu’il fait.

J’espère que ces recommandations pourront vous aider à gagner du temps dans votre recrutement !

 

Plus généralement, quelles sont les clés d’une bonne relation client durable ?

 

Il y a quelques jours, j’ai échangé avec une amie qui n’était pas contente de son assistante. Elle lui reprochait plusieurs choses dont des coûts cachés, et une relation déséquilibrée.

Si vous souhaitez commencer une relation saine avec un prestataire, il y a quelques étapes préliminaires à mettre en place :

– Vous demander ce que vous voulez déléguer et surtout pourquoi (parce qu’on vous a dit de le faire, parce que vous manquez de temps, parce que vous n’êtes pas compétent)

– Vous demander quelle relation prestataire vous souhaitez construire : affirmer une position hiérarchique ? De leadership ? Trouver un collaborateur ? Devenir un coaché/apprenant ?

– Quels sont les principes/valeurs sur lesquels vous êtes intransigeant et sur lesquels vous pouvez être flexible : ton utilisé borderline/réactivité des échanges ?

– Quel mode de communication utilisez-vous au quotidien pour échanger ? Avez-vous des points téléphoniques/physiques réguliers ?

– Avez-vous des process en place pour suivre les tâches du quotidien ?

Voilà comment construire des relations saines avec vos prestataires de service.

A vous de jouer !

 

II –  Une relation client durable est avant tout une relation équilibrée (plus de rapport hiérarchiques)

relation client durable

Comment vous faire respecter par vos prospects ?

 

Récemment, un prospect m’a contactée car intéressé par l’une de mes formations. Ayant un certain budget sur son compte CPF, il a souhaité compléter la formation en ligne avec quelques heures de coaching.

Je lui a annoncé un tarif, qui était légèrement supérieur à ce qu’il avait sur son compte CPF.

Il devrait donc compléter la différence (d’environ 200 euros).

Il m’a directement demandé de lui faire “un geste commercial” sans enlever d’heures de coaching, pour que la prestation rentre tout pile dans son budget CPF.

J’ai refusé.

Et surtout, je lui ai expliqué pourquoi :

Je prends du temps à éduquer mes clients et mon audience sur la notion d’investissement pour développer son activité sereinement, à travers des contenus réguliers.

Je ne fais pas de ristourne sur demande, et encore moins sur une formation financée à 90% par le CPF. C’est contraire à mes valeurs.

Les prises en charge sont un plus, une cerise sur le gâteau et non un moyen de “dilapider” son argent.

 

Définissez vos besoins réels en formation

Estimez combien vous pouvez investir

Voyez ensuite si vous pouvez bénéficier d’une prise en charge pour compléter

 

Pensez comme un entrepreneur, et donnez-vous les moyens de réussir ?

 

De manière générale, comment construire une relation client durable et saine ?

 

Il y a quelques jours, je me posais la question de qui étaient mes clients idéaux et…je les ai visualisés en 2 secondes ! 

– Ils sont responsables, et mettent en place les conseils que je leur donne

– Ils sont réfléchis et savent identifier leurs points de blocage

– Ils savent investir, et comprennent la valeur d’un accompagnement personnalisé

– Ils ne sont pas chronophages mais autonomes

– Ils sont flexibles au niveau des créneaux de nos rdv

– Ils ont le sens de l’humour et c’est agréable de les coacher

– Ils voient ce que je leur apporte, et je n’ai pas à prouver ma valeur auprès d’eux 

– Ils sont stimulants et m’inspirent dans leur parcours 

– Ils sont challengeants et me permettent de monter en compétence

– Ils pourraient être mes amis (et parfois le sont) et je peux être totalement moi-même avec eux

Ces clients ne courent pas les rues, me diriez-vous !

 

Peut-être, mais mieux vaut mettre votre énergie à rechercher vos clients idéaux plutôt que d’attirer “monsieur tout le monde” qui ne voit pas en vous la valeur ajoutée que vous pouvez lui apporter. 

Pas plus tard qu’hier, je discutais avec une amie consultante qui avait une grande peur : avoir ses clients insatisfaits. 

Le problème de cela, c’est qu’elle se pliait en quatre pour les satisfaire et travaillait plus que prévu. Elle n’osait pas non plus demander à ses clients de décaler un rdv qui ne l’arrangeait pas. Elle avait sans le vouloir une relation déséquilibrée avec ses clients, et par conséquent n’était pas libre.

Une relation client durable et saine est une relation entre collaborateurs, sur un même pied d’égalité, sans sacrifice.

Une relation client durable et saine n’implique pas d’être disponible H24, mais vous fixer vos propres règles en accord avec vos valeurs et les faire respecter.

Une relation client durable et saine implique que votre client reconnaisse votre expertise et vous considère à votre juste valeur. Cela implique qu’il ne discute pas vos tarifs et vous traite avec respect.

?Alors, avez-vous défini qui étaient vos clients idéaux ?

?Savez-vous construire une relation saine avec vos clients ? 

 

III – Une relation client durable est avant tout une relation basée sur l’écoute (compréhension des besoins de vos collaborateurs) 

relation client durable

Vos prospects ne savent pas ce dont ils ont vraiment besoin

 

Je me rends compte en échangeant avec des prospects plutôt “novices” qu’ils n’ont souvent aucun sens des priorités pour développer leur activité.

Par conséquent : ils vont investir au mauvais endroit au mauvais moment.

Quand on ne dégage pas de chiffre d’affaires, il serait urgent de commencer à se faire accompagner sur les bases du business avant d’investir dans une identité visuelle.

Quand on cherche à créer une communauté, il serait urgent de commencer par une stratégie de contenu et de communication avec de réfléchir à son site web.

Par ailleurs, beaucoup de prospects cherchent des solutions rapides à des problèmes structurels dont ils n’ont pas conscience.

Obtenir des likes sur un réseau social n’est pas la solution pour vivre de son activité, ni même la garantie d’un bon taux d’engagement.

Obtenir des certifications ne va pas non plus aider à trouver des clients.

En revanche, avoir une vision pour son business, et une stratégie de développement, oui.

Le prospect ne sait souvent pas ce dont il a besoin car il mobilise sa faible connaissance d’un sujet dont vous êtes l’expert. Ne vous laissez donc pas déstabiliser. Si vous voulez aider votre prospect :

✔️Proposez lui le meilleur pour lui (quitte à déléguer)

✔️Refusez sa demande si elle est inadéquate ou absurde

✔️Faites de la pédagogie : c’est votre rôle d’expert.

 

J’entends souvent ce vieil adage : “donnez leur ce dont ils ont besoin, vendez-leur ce qu’ils veulent”.

C’est un peu “tricky” : aller dans le sens du client peut certes aider à vendre, mais rompt totalement avec l’idée d’ “éducation” du client. 

Votre prospect peut faire les mauvais choix, mais s’en rendra compte…peut être trop tardivement.

Si vous voulez l’aider, proposez lui de tester par lui même pendant une période définie (3 mois par exemple), si ses finances lui permettent une phase de test, et d’ensuite évaluer sa stratégie. Si elle n’a pas marché, vous crédibilité en sortira renforcée.

Je m’adresse maintenant aux prospects en questions : laissez les experts vous guider, vous gagnerez en temps, en énergie et à terme, en argent. Acceptez d’avoir à remettre en cause votre mode de fonctionnement. Acceptez des conseils déstabilisants et faites preuve d’humilité pour avancer.

Je suis professionnelle, experte mais aussi prospect. Je sais me placer des deux côtés et reconnaître quand mes demandes sont inappropriées par rapport à mes besoins. Et c’est quand un professionnel m’en fait rendre compte, que je me rends compte que j’ai affaire à un véritable expert.

Prospects, pensez au bien de votre entreprise, et remettez-en vous aux experts, pour construire un business prospère.

 

Marre de courir après vos prospects : mais visez-vous les bons clients ?

 

Visez-vous les bons clients ?

L’une des plus grandes peurs des entrepreneurs est de perdre leurs clients. Et pour cela, ils n’hésitent pas à casser leurs tarifs. Le problème, c’est qu’on ne peut pas devenir une entreprise rentable avec un raisonnement basé sur la peur.

Mais la question de fond est : ces prospects après qui vous courrez sont-ils vraiment les bons ?

Et bien non !

Le bon client, c’est votre client idéal :

Celui qui achète parce qu’il croit en la transformation que vous pouvez lui apporter

Celui qui sait investir sur lui pour réussir

Celui que vous n’avez pas besoin de convaincre.

Alors comment trouver le client idéal ?

En définissant une politique tarifaire avec laquelle vous êtes aligné

En affirmant votre mode de fonctionnement

En filtrant les prospects “touristes”

Oui, c’est une stratégie plus risquée

Mais vous allez gagner du temps à ne plus vous entretenir avec des prospects non qualifiés.

Et c’est dans ce cadre que j’ai décidé d’afficher mes tarifs, même si c’est souvent déconseillé car, je suis alignée avec mes tarifs, j’ai des conversations plus fluides lors de mes appels découvertes et je filtre les prospects qui n’auraient de toute manière jamais été convaincus par ce que je leur propose.

Et vous, visez-vous les bons clients ?

Maintenant, faut-il relancer un prospect disparu  dans le cadre d’une relation client durable ?

 

A qui cela n’est-il pas déjà arrivé ? Rien n’est moins agréable que de se retrouver désemparé devant des prospects qui font les morts ? Comment réagir ? Harceler ou laisser tomber ?

Vous prenez le temps d’organiser un rendez-vous téléphonique avec votre prospect, de lui rédiger une belle proposition commerciale et POF ! Plus de prospect, disparu !

C’est très frustrant mais c’est courant. Et je vous rassure, vous n’êtes pas le seul à vous remettre en question.

Mais tu te demandes sûrement pourquoi tu t’es fait “ghoster” par ton prospects.

 

Alors voici les raisons de ce silence :

– Le prospect n’a pas trouvé votre proposition intéressante et il n’a pas pris la peine de vous répondre

– Le prospect n’a pas fait de votre offre une priorité et s’est laissé submergé par son quotidien.

 

C’est très simple mais c’est souvent ces deux raisons qui poussent votre prospect à faire le mort.

Maintenant, devez-vous relancer un client  ?

OUI, une première fois pour être fixé sur la réponse du prospect. Relancez entre une semaine et 10 jours après avoir envoyé votre proposition commerciale. Vous pouvez dire à votre prospect que vous avez besoin de vous organiser et qu’il vous faut une réponse, même négative.

Puis NON pour le harceler en permanence : mettez-vous à la place d’un prospect “lâche” ou qui n’ose pas vous dire non : répondriez-vous si vous vous faisiez harceler de messages ? Vous avez la réponse 🙂

Le silence est malheureusement une réponse. Et vous pouvez appliquer cette règle dans votre vie personnelle également !

Maintenant, comment éviter d’avoir un prospect qui disparaît ?

Finissez votre entretien en lui proposant un deuxième rendez-vous téléphonique pour faire le point sur sa décision.

Annoncez-lui une deadline pour réserver sa place dans un programme.

Jouez la carte de l’empathie : en lui disant que c’est très désagréable de ne pas avoir de réponse et que tu préférerais une réponse négative à un silence.

Et en amont : mettez en place un questionnaire de présélection pour éviter les “touristes”

Vous n’êtes pas responsable du comportement de votre prospect. Si malgré un appel découverte qualitatif et une relance, le prospect ne revient pas à vous, c’est que votre collaboration ne devait pas se faire

Et puis comme on dit, un de perdu, 10 de retrouvés  ! 

 

Pour conclure : êtes-vous bien entourés ?

 

A delà de la relation client et prestataire, c’est la question de l’entourage que cet article pose. Et c’est ultra important quand on est solo preneur de bien s’entourer.

Laissez moi vous donner un exemple de relation authentique et durable avec une amie et collaboratrice entrepreneure.

J’ai eu le plaisir de croiser le chemin de Céline Alfonso Tirel, lors de mon passage à Bordeaux. Cela fait presque deux ans que nous échangeons avec Céline via messages interposés, et nous savions que le feeling passerait de manière évidente de visu. Et tel fut le cas !

Et c’est d’ailleurs grâce à Danilo Duchesnes que cette mise en relation a été possible !

Nous avons abordé des sujets très divers et deux heures n’ont évidemment pas suffit à tout balayer. Parmi les sujets abordés :

La gestion de la vie pro/perso quand on est entrepreneur et les difficultés à “couper”

L’hygiène de vie au quotidien

La confiance en soi sur le plan pro et perso

La loi de l’attraction

Les relations clients et le besoin de cadrer

 

Céline fait partie de mes relations client durable qui m’enrichissent. Alors voici mon conseil : cultivez votre réseau et cultivez-le bien !

Vous n’avez pas besoin d’aller dans des rendez-vous mondains. Faites de l’individuel et créez des relations profondes avec vos relations

Si vous êtes éloignés géographiquement des grandes villes, regardez qui sont les entrepreneurs locaux, ou faites des visios en one to one le cas échéant.

Prenez régulièrement des nouvelles de votre réseau et donnez en en retour

Entourez-vous des meilleurs pour aller de l’avant et vous tirer vers le haut

Un bon réseau est une énorme valeur ajoutée car c’est une source de stimulation intellectuelle énorme mais également d’opportunités professionnelles. C’est pourquoi, accédez à un réseau peut être payant. Alors commencez par sortir de votre isolement, pensez qualité et non quantité, et ce, même si comme moi, vous êtes introverti (et oui! ).

Et vous, vous sentez-vous bien entouré sur le plan entrepreneurial ?

 

La trentaine : une révolution personnelle et entrepreneuriale en 5 points

Il y a quelques jours, je regardais des photos de moi d’il y a deux ans. J’en ai tiré le constat que j’avais bien changé…mais en mieux ! Mon apparence physique est aussi le reflet de ce qu’il se passe dans ma tête. Mon corps évolue ainsi avec moi. Mais plus généralement, de gros changements physiques et psychologiques s’opèrent quand on se rapproche de la trentaine. Et bien sûr, en tant qu’entrepreneur, notre activité suit le mouvement. Alors pour mieux vivre cette période transitoire, prendre conscience de ces changements permettra de les accompagner…en douceur.

 

1 – L’affirmation de soi, l’un des premiers changements remarquables de la trentaine

Depuis mes 28 ans, je commence à m’affirmer dans tous les domaines de ma vie. Ce travail d’affirmation de moi, est la résultante d’années de travail introspectif que le développeme