Mindset entrepreneurial : 5 clés pour développer un mental de fer et réussir en freelance

Si vous deviez établir UNE priorité sur laquelle vous focaliser pour développer votre entreprise, c’est bien votre mindset ! Se lancer dans l’entrepreneuriat est certes une aventure stimulante, mais qui exige une force mentale, une résilience et un mindset entrepreneurial solide pour faire face aux difficultés du quotidiens. Les résultats ne sont pas toujours immédiats, et la pression que l’on se met peut parfois freiner notre progression. Comprendre ces dynamiques est essentiel pour réussir en tant que freelance et c’est ce que je vous explique dans mon article du jour.


1. La persévérance face à l’incertitude

Dans le monde de l’entrepreneuriat, il est courant de ressentir que, malgré tous nos efforts, rien ne bouge. Cette impression de “brasser de l’air” peut être décourageante. Cependant, il est important de reconnaître que des changements se produisent souvent en arrière-plan, même s’ils ne sont pas immédiatement visibles. La régularité et la persévérance sont essentielles, car les résultats significatifs peuvent prendre des mois à se manifester.

“C’est difficile de se tenir à une stratégie quand on n’est pas sûr de la direction.”

Il est indispensable de maintenir le cap et de faire confiance au processus, même lorsque les résultats tardent à apparaître. Par exemple, de nombreux entrepreneurs ont dû persévérer pendant des années avant de voir leurs efforts récompensés, illustrant l’importance de la patience et de la détermination.


2. L’importance d’une communication régulière face à une audience silencieuse

Engager son audience est un défi majeur pour tout entrepreneur. Il arrive que, malgré des efforts soutenus, notre audience reste silencieuse, donnant l’impression d’un manque d’intérêt. Cependant, ce silence ne signifie pas une absence d’attention. Souvent, notre audience a besoin de temps pour réfléchir avant de passer à l’action. Une communication régulière et authentique peut aider à faciliter cette transition.

“Quand on communique davantage, cela aide l’audience à prendre une décision. Il ne faut pas abandonner.”

Par exemple, une entreprise qui partage régulièrement du contenu de qualité, même sans retour immédiat, peut constater une augmentation de l’engagement au fil du temps, démontrant l’importance de la constance dans la communication.


3. La pression entrepreneuriale : un frein à la réussite

Se mettre la pression pour réussir rapidement peut être contre-productif. Par exemple, lors de lancements de produits ou de formations, cette pression peut nuire aux résultats. En revanche, en relâchant cette pression et en adoptant une approche plus détendue, des opportunités inattendues peuvent se présenter.

“Personnellement, lorsque je fais des lancements en me mettant implicitement la pression, je n’ai pas de bons résultats.”

Adopter une approche de “marketing énergétique“, où l’on se concentre sur la sensibilisation plutôt que sur la vente directe, peut s’avérer plus efficace. Cette stratégie permet de créer un lien authentique avec l’audience, facilitant ainsi les conversions ultérieures. Par exemple, une entreprise qui partage des informations éducatives sans pousser à la vente peut attirer des clients potentiels qui apprécient cette approche non intrusive.


4. Le rôle du mindset dans la gestion des critiques et des doutes

Les entrepreneurs sont souvent confrontés à des critiques, notamment de la part de leur entourage qui ne comprend pas toujours leurs choix. Ces critiques peuvent semer le doute et affecter la confiance en soi. Il est donc essentiel de développer un mindset solide pour naviguer à travers ces défis et ne pas non plus se perdre dans des objectifs qui ne sont pas les nôtres..

“On est sans cesse amené à être questionné sur nos choix parce qu’on n’a pas choisi le chemin de la facilité.”

Un état d’esprit résilient permet de transformer les critiques en opportunités d’apprentissage et de rester concentré sur ses objectifs. Par exemple, un entrepreneur peut recevoir des commentaires négatifs sur son produit. Au lieu de se décourager, il peut utiliser ces retours pour améliorer son offre et mieux répondre aux besoins de sa clientèle.


5. Savoir demander de l’aide : l’importance du coaching

Même avec un mental fort, il est parfois nécessaire de solliciter un soutien extérieur. Faire appel à un coach peut offrir une perspective nouvelle et aider à surmonter les blocages.

“Si vous pensez avoir tout essayé et que vous n’arrivez pas tout seul à sortir du cercle vicieux du doute, un regard extérieur bienveillant peut faire toute la différence.”

Un coach peut aider à clarifier les objectifs, renforcer la confiance en soi et élaborer des stratégies efficaces pour avancer. Le coaching pour entrepreneurs est un accompagnement individuel qui s’adresse aux entrepreneurs répondant à des besoins divers :  acquisition client,  communication authentique, développement d’un mindset pour faire face aux difficultés de l’entrepreneuriat. Dans cet article, je vous donne quelques conseils à mettre en place avant de vous faire coacher.


Conclusion

L’entrepreneuriat est un parcours exigeant qui nécessite un mental de fer et un mindset solide. Il est essentiel de persévérer malgré les incertitudes, de maintenir une communication régulière et authentique avec son audience, de gérer la pression entrepreneuriale et de savoir demander de l’aide lorsque nécessaire. En adoptant ces approches, vous maximisez les chances d’obtenir les résultats que vous espérez !

[Dossier Mindset] Quelques Bullet points de leçons de vie (en vrac)

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Mes 3 grands mantras de freelance pour entreprendre au quotidien

Être entrepreneur, c’est faire face à l’adversité au quotidien.
Avec l’expérience, on tire assez rapidement des leçons de ses erreurs, et plus généralement, une philosophie de vie sur le plan business.
Voici donc mes 3 mantras pour entreprendre sereinement au quotidien.
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1/ Tant que c’est pas signé, c’est pas fait

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Un prospect aura beau vous promettre la lune, si le contrat n’est pas signé, ne vous enflammez pas. Attendez et demandez des actes, et non des mots.
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2/ Si le client crée un malaise avec un retard de paiement, vous devez créer un malaise en le relançant

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Votre argent vous est dû. Ne soyez pas gêné de le demander. Ce n’est pas vous qui êtes responsable de cette situation délicate, c’est votre client qui vous a mis dedans !
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3/Vous êtes votre propre cadre

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Vous n’êtes pas soumis aux ordres d’un patron, vous gérez vos horaires et vos missions. Le cadre, c’est vous. A vous donc d’organiser vos journées, de construire vos routines et optimiser votre emploi du temps en fonction de votre rythme naturel et de votre équilibre de vie pro/perso !
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Entre entrepreneur, c’est certes faire le choix de la précarité mais c’est avant tout faire le choix de sa liberté ! Alors soyez maître de votre relationnel, de votre organisation, et surtout, de vos décisions !
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Bonne réflexion
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33 ans et 33 vérités sur ma vie professionnelle

Sur mon parcours universitaire et mes diplômes :

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– J’ai un parcours classique (et non “atypique” comme la plupart des gens aiment l’affirmer)
– Mes études en science politique n’ont rien avoir avec mon travail actuel mais m’ont permis d’être structurée et synthétique
– Je ne regrette pas d’avoir raté les concours de la fonction publique
– Je n’ai pas de diplôme de coach
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Sur mes routines entrepreneuriales : 

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– Je ne fais pas de yoga et ne médite pas
– Je ne lis pas de romans ni de livres de startupers à succès
– J’ai des routines entrepreneuriales simples mais durable (petit dej, check des notifications et mails, sport)
– Le cadre, l’organisation, la planification et les routines me rassurent
– Je suis accro à mon téléphone et ce n’est pas une déformation professionnelle
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Sur l’argent et les finances : 

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– Je ne fais pas l’autruche sur le plan pro 
– Je paye mes fournisseurs le jour même où je reçois leur facture
– Je n’ai pas peur de relancer un client qui me doit de l’argent
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Sur le marketing et la communication : 

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– J’ai une créativité illimitée en matière de contenu 
– J’aime consommer des contenus courts
– J’adore parler de moi et faire des retours d’expérience
– J’aime écrire des contenus et aimerais être principalement payée pour mes retours d’expérience personnelle
– J’écris pour des leurs paresseux, car je consulte moi-même des contenus en diagonal
– Je ne suis pas sur TikTok
– Je n’utilise pas ChatGPT (et il me fait pas peur)
– Je n’aime pas les lancements de formation en ligne (et déteste ce type de copywriting)
– Je n’aime pas la technique dans le marketing, et ne souhaite pas m’y intéresser
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Sur ma vision de l’entrepreneuriat (et de son mode de vie) :

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– J’aime être freelance et ne cherche pas à scaler (je ne veux pas de salariés, ni de contraintes administratives)
Je travaille pour voyager et m’offrir des moments de plaisir au quotidien
– J’aimerais voyager plus et tirer les avantages d’être freelance
– J’apprécie les interventions en présentiel quand elles sont ponctuelles
– J’aime les déplacements professionnels qui me font voir du pays
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Sur les relations professionnelles au quotidien : 

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– Je n’aime pas le travail en équipe
– Je n’aime pas les visios
– Je n’aime pas le networking 
– Je préfère les échanges asynchrones que les appels énergivores
– Je n’ai pas peur de demander des avis clients
– Je ne pousse pas la vente (même quand ça va pas financièrement)
– Je ne supporte pas l’autorité et les contraintes externes
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Et vous, vous connaissez-vous vraiment bien en tant qu’entrepreneur ? Quels constats tirez-vous de votre vie professionnelle ?
Etre indépendant, c’est s’offrir une meilleure qualité de vie
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3 ans d’accomplissement personnels et professionnels

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Aout 2021
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Hier soir, je me suis remémoré mes trois dernières années. Que s’était-il passé en 3 ans ? J’ai donc décidé d’ouvrir mon petit carnet et d’écrire les chamboulements et avancées dans ma vie personnelle et professionnelle. Et je n’ai pas été déçue !

Sur le plan professionnel : 
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– En 2019, j’ai décidé d’adopter une communication plus vulnérable et de me dévoiler plus dans mes contenus. Un pari risqué mais qui a porté ses fruits !
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– En 2020, je génère des chiffres d’affaires mensuels à 5 chiffres. J’atteins 25 000 euros de CA pour mon meilleur mois. Du jamais vu. Ma stratégie de prise en charge CPF porte ses fruits.
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– En 2021, je simplifie mon business et travaille environ 15h par semaine. J’assume ainsi que je ne cherche pas à faire du chiffres, ni de scaler mon activité mais au contraire de mettre mon activité au service de mon mode de vie. Sur un autre plan, je décide d’ouvrir un PEA, une assurance vie pour assurer ma retraite et prendre en main mes finances professionnelles et mon épargne personnelle.
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Sur le plan personnel : 
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– En 2019, je retrouve ma famille biologique grâce à des tests ADN. Clairement, je n’y croyais pas. Je sais maintenant d’où je viens et qui je suis.
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– En 2020, je pars faire le tour du monde seule, entre voyage et travail. Jamais je n’aurais pensé le faire aussi rapidement.
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– En 2021, je connais l’amour réciproque. J’avais presque perdu espoir. D’autres avancées surviennent également, comme ma décision d’assainir mes relations parentales, d’arrêter la pilule pour des questions de santé, mais également de commencer un nouvel art martial.
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La vie est pleine de surprises mais c’est votre état d’esprit et l’initiation de démarches constructives qui permettront à vos projets de se réaliser !
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Alors, que pouvez-vous initier comme changement dès maintenant ?
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[Dossier] Adopter un mindset résilient à tout épreuve quand on est entrepreneur

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

A lire, si vous doutez de vos capacités à atteindre vos objectifs

 

Il y a 20 ans, je voulais parler anglais fluidement, aujourd’hui, mon anglais est courant

Il y a 18 ans, je voulais vivre aux Etats-Unis, aujourd’hui, j’ai vécu une année d’échange universitaire en Californie,

Il y a 13 ans, je voulais être plus mince, aujourd’hui, j’ai un corps qui me plait,​

Il y a 10 ans, je voulais posséder MacBook, aujourd’hui j’écris depuis son clavier,

Il y a 8 ans, je voulais retrouver ma famille biologique, aujourd’hui je l’ai retrouvée

Il y a 5 ans, je désespérais de ne pas avoir de relation sérieuse, aujourd’hui j’en vis une.

Il y a 3 ans, je rêvais de porter un hakama et une ceinture noire d’aïkido, aujourd’hui c’est chose faite,

Il y a 2 ans, je voulais réussir à vendre des prestations sans CPF, aujourd’hui, j’y arrive,

Tout vient à point à qui sait attendre.

Lorsque vous vous impatientez, repensez à vos aspirations du passé,

Regardez comme vous avez avancé !

Aujourd’hui, j’ai de nouveaux rêves et projets :

Découvrir le pays du soleil levant,

Me réveiller le matin, et voir nettement,

Ne plus m’épuiser à tout vouloir contrôler,

Découvrir d’autres pièces cachées de mon identité,

Publier dans un grand média papier

Obtenir mon permis B et conduire sans peur,

Ecrire un livre et le publier chez un éditeur,

Mais chaque chose en son temps.

Je vois maintenant les choses sereinement,

Pour chacune de mes aspirations,

je sais qu’il y aura réalisation.

C’est ça, la loi de l’attraction.

C’est à l’aune de vos réalisations passées que vous trouverez la foi pour avancer.

Bonne réflexion,

 

Comment préserver son énergie quand on est entrepreneur

 

En écoutant votre rythme naturel.
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Votre rythme naturel, c’est le message que votre corps vous communique lorsque vous le sollicitez.
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Si votre corps réagit positivement, c’est que vous êtes à son écoute.Si votre corps lutte (de manière chronique) pour réaliser ce que vous lui demandez, c’est que vous n’êtes pas à l’écoute de votre rythme naturel.
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Si je prends mon exemple, je sais que je peux optimiser mes journées de la manière suivante :
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? Matin : réaliser des tâches de fond (deep work)
? Début d’après-midi : appels clients/prospects (ou sieste)
? Fin d’après-midi : activités sportives
? Soirée : film/série ou vie
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Cette division journalière selon notre niveau d’énergie se rapproche de l’approche “chronotype”, 4 profils “animaux” correspondant chacun à des ryhtmes différents (tendance Lion pour ma part). L’alimentation a également un rôle à jouer dans l’écoute de notre corps, et c’est pourquoi un travail sur son profilage alimentaire n’est pas à négliger.
Cette organisation n’est bien sûr pas rythmée à la lettre mais en suivant cette tendance, je m’économise au quotidien.
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Alors fini les routines matinales imposées, les heures de travail inefficaces, le manque de temps pour soi.
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A court et moyen terme, je gagne en sommeil, en énergie, en sérénité et en épanouissement. A long terme, je gagne en années de vie en bonne santé.
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?Et vous, connaissez-vous votre rythme naturel ?
?Le prenez-vous en compte dans votre organisation au quotidien ?

 

 

Comment entreprendre sereinement

 

​​​C’était le sujet du live que nous avons co-animé avec @amel_qouba_coach.therapeute
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Dans ce live, nous nous sommes intéressées au travail à réaliser sur soi (introspection, mindset, et stratégie) pour se reconvertir et/ou se lancer dans l’entrepreneuriat.
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Nous avons évoqué l’ensemble des éléments qui contribuent à entreprendre sereinement :
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✅ L’hygiène de vie et les routines structurantes
✅ La connaissance de son propre fonctionnement intellectuel et biologique
✅ L’aspect pratique et financier
✅ La capacité à demander de l’aide
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Avant de se reconvertir (dans l’entrepreneuriat), voici donc les 3 points à garder en tête :
✅ Faire le point financièrement : aurais-je un chômage ? ai-je un capital personnel ? Une famille qui puisse me soutenir ? Peut-on me prêter de l’argent ? Puis-je emprunter ? Puis-je travailler à mi-temps pour assurer cette transition ? Ai-je suffisamment de ressources financières pour tenir 6 mois à un an ?
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✅ Adopter un mindset (état d’esprit) entrepreneurial : puis-je investir dans de la formation/accompagnement même si je n’ai pas encore de clients ? Suis-je prêt à accepter la précarité financière régulière qu’implique ce nouveau choix de vie ? Suis-je bien entourée ? Ai-je des entrepreneurs dans mon entourage ?
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✅ Prendre des décisions courageuses mais rationnelles : quitter son job avant de vivre de son activité pour franchir le pas de l’entrepreneuriat
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Une fois lancé, on peut entreprendre sereinement et de manière pérenne grâce à une hygiène de vie au quotidien qui implique de :
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✅ Se créer une routine (sportive, méditative…)
✅ Ecouter son rythme naturel (comprendre son chronotype- faire son human design ou tout simplement s’observer)
✅ Adopter une alimentation saine et non restrictive
✅ Dormir suffisamment
✅ Maintenir un niveau de stress bas
✅ Maintenir une hygiène émotionnelle (auto-thérapie par l’écriture, par un travail de respiration ou un accompagnement si on en ressent le besoin)
✅ Remettre en cause ce rythme de vie s’il ne nous correspond plus

 

Etre trop cérébral :  un handicap mais un avantage face à l’adversité

Dans la vie quotidienne, on me dit souvent que je suis trop cérébrale.

Etre trop cérébral, c’est analyser et intellectualiser TOUT ce qui nous arrive, en passant du travail, aux activités extra-professionnelles en passant par la conduite et la vie intime.
Dans ce cadre, notre cerveau devient notre pire ennemi : impossible de lâcher-prise sur des activités oisives, et impossible de se détendre au quotidien et encore moins de détendre son corps.

Je suis régulièrement victime de ce trop plein d’activité cérébrale dans des activités qui ne devraient pas solliciter autant de réflexion.
En aikido par exemple, être trop cérébrale m’empêche de ressentir les sensations et de détendre mon corps. Ce qui est contre-productif (mais je me soigne).

Lorsque je passais mon permis (que je n’ai toujours pas), mon cerveau peinait à analyser toutes les interactions et coordonner mes mouvements. Résultats, je ne prenais aucun plaisir à la conduite, et vivais un état de stress permanent.

Quand on est trop cérébral, on a du mal à déconnecter le mental, et penser nous prend beaucoup trop d’énergie.

En revanche, être cérébral comprend son lot d’avantages, face à l’adversité.

Etre cérébral me permet ainsi d’avoir une très bonne analyse de mes problèmes et de chercher des solutions concrètes.

Etre cérébrale me permet également de routiniser et ritualiser mon quotidien. Concrètement, je fais mon lit le matin, je fais du sport tous les jours, je mange équilibré et j’adopte une discipline de vie et de travail à laquelle je ne derrogerai pas, peu importe mon état émotionnel.

Comme je le dis souvent à mes clients : on ne dirige pas une entreprise avec ses émotions.

Etre cérébral ne se contrôle (malheureusement) pas.
Le lâcher-prise ne se commande pas non plus.
En revanche, l’accepter permet de gagner du temps au quotidien en comprenant son fonctionnement.
Mieux encore, ce fonctionnement peut être avantageux dans certains cas de figure, pour ne pas se laisser déborder par ses émotions.

?Et vous, connaissez-vous votre fonctionnement ? L’acceptez-vous ou essayez-vous de fonctionner différemment ?

 

Entrepreneuriat : 4 conseils pour savoir si vous devez persévérer ou arrêter une activité qui stagne

Cours en ligne

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver de connaiître des moments de stagnation d’activité aboutissant sur une perte de motivation.
Pendant ces moments, la question est souvent la suivante : dois-je persévérer ou me résigner ?

Alors, si vous ne savez pas si vous êtes dans la persévérance ou dans l’acharnement, voici 4 pistes qui vous aideront à prendre une décision :

1/ Quand l’envie n’est plus là, il est temps arrêter

Quand vous perdez toute stimulation intellectuelle liée à la conduite de votre projet entrepreneurial, c’est que vous n’êtes tout simplement plus aligné avec ce dernier. Concrétement, votre activité ne fait plus sens et vous n’arrivez plus à déployer de l’énergie pour la relancer. Dans ce cadre, mieux vaut chercher une autre voie.

2/ Quand le timing financier est mauvais : faire une pause (temporaire)

Si vous êtes dans le rouge, arrêtez-vous ! Non pas pour jeter l’éponge, mais pour vous ressourcer financièrement. Job alimentaire à mi-temps ou à plein temps, prêt, ou épargne personnelle, tous les moyens sont bons pour vous refaire une santé financière. N’oubliez pas que votre priorité est d’abord de pouvoir payer votre loyer et vos dépenses incompressible. On n’entreprend durablement que sereinement.

3/ Quand on apprécie pas le chemin mais que le résultat : changer de voie

Dans l’imaginaire collectif, l’entrepreneuriat est souvent signe de réussite financière. Mais le mythe de l’entrepreneur à succès peut en désillusionner plus d’un. En effet, entreprendre est un long chemin qu’il vaut mieux apprécier pour ne pas être dégoutté de son activité. Si vous voulez devenir riche, mais que vous n’aimez ni votre activité, ni travailler à son développement, vous faites fausse route ! Entreprendre est une activité précaire mais également énergivore (surtout au début). Si vous n’appréciez pas la route, ne l’empruntez pas.

4/ Quand il manque une aide extérieure : persévérer

Vous êtes lancé mais vous ne voyez pas de résultats ? Fixez-vous d’abord une limite de temps pour tester votre activité seul.

Quelques mois suffisent à savoir si vous avez besoin d’une aide extérieure ou non. Si c’est le cas, prenez le temps de choisir la personne qui vous aidera au mieux à booster votre activité. Mais avant cela, vous pouvez déjà vous demander dans quoi vous avez besoin d’aide : s’agit-il de marketing ? De mindset ? De prestataires ? De matériel ? Se former et se faire accompagner est une étape quasi nécessaire pour entreprendre avec succès. Si vous êtes à vos débuts, testez par vous-même, puis choisissez l’aide la plus appropriée (et prioritaire) pour avancer vers le succès !
Voici donc 4 conseils pour vous aider à analyser votre baisse d’activité avec lucidité et prendre la meilleure décision en toute connaissance de cause !
A vous de jouer !

L’agilité mentale : la plus grande force des entrepreneurs

L’une des principales qualités des entrepreneurs est d’être agile.
L’agilité, c’est la capacité à développer une flexibilité mentale pour rebondir dans toutes les situations.

En effet, entreprendre, c’est d’abord tester, observer et réagir.

Par conséquent, voici les 3 compétences maîtrisées par un entrepreneur agile :
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1/ La capacité à pivoter
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Pivoter, c’est entamer un changement dans l’orientation que prend son activité : changer de cible, changer de modèle économique ou même, changer d’activité !
On pivote lorsqu’on réalise que l’on fonce dans un mur, sur le plan économique (mauvaise conjoncture externe ou modèle économique fragile) ou en termes de stimulation intellectuelle (lorsqu’on n’est plus aligné).
Pivoter, c’est accepter la peur du changement et se confronter à l’incertitude. Mais c’est surtout, prendre un nouvel envol pour remettre son entreprise sur de bons rails !
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2/ La capacité à demander de l’aide
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L’humilité est l’une des plus grandes qualités des entrepreneurs qui réussissent. Savoir que l’on ne sait pas faire et accepter de demander de l’aide est un grand pas réalisé autour de la conscience de ses propres limites. Et pour cause, on ne peut pas tout réussir seul et sans aide. En tant qu’entrepreneur mais également en tant que personne, il m’arrive régulièrement de demande de l’aide auprès de professionnels lorsque je réalise que je n’arrive pas à régler les problèmes que je rencontre. Cela me permet de bénéficier d’un miroir qui m’aide à prendre du recul sur moi. Demander de l’aide, c’est accepter une main tendue pour aller de l’avant.
L’égo ne nous permet ni d’être heureux, ni d’entreprendre de manière sereine et pérenne. Alors, laissons le de côté et faisons-nous aider.
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3/ La capacité à rebondir après un échec
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Qui entreprend expérimente. Et qui expérimente se trompe (souvent). L’échec n’est pas un drame, c’est au contraire une manière de mémoriser et d’évoluer. Il est plus facile de bien faire lorsqu’on s’est trompé une fois, car on comprend la cause de son échec. En dédramatisant l’échec, on le transforme en apprentissage, voire même en en tremplin pour s’élever et monter les échelles de manière exponentielle. La vie nous met des bâtons dans les roues, c’est en s’y prenant les pieds qu’on apprend à mieux poser ses pieds pour avancer sur ce long sentier sur lequel nous nous trouvons.
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Bonne réflexion !
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? Si vous sentez que vous n’arrivez pas à vous imposer un cadre, je vous ai préparé un Ebook pour entreprendre sereinement en trouvant le bon équilibre pro/perso ?

Booste ton mindset pour le développement de ton business !

Qui n’a jamais connu ce moment où notre famille demande ce qu’on veut faire de notre vie alors qu’on en a tout juste une vague idée ? Et bien sûr l’entourage est là pour saboter le peu de confiance en nous soumettant son avis alors qu’il ne connait rien à ce secteur ! Alors comment faire sauter les barrières dressées par nous-mêmes ou l’entourage ? Je t’explique ici comment booster le développement de ton business. C’est aussi une histoire de mindset ?

Ne te limite aux avis peu fondés de ton entourage à propos de ton business

Il y a quelques années, lorsque je cherchais mon premier job après mes études, on m’avait tenu un drôle de discours. Toute jeune diplômée d’un Master en science politique, je cherchais du travail dans le secteur de l’éducation au développement durable. Mon entourage m’a bien sûr dit que c’était bouché.

Et lorsque je me présentais à des événements, en parlant de ma recherche d’emploi, on me disait toujours que c’était mon secteur était bouché. Et évidemment, ce sont encore ces mêmes personnes qui ne connaissent rien à ton secteur qui te diront comment trouver du boulot. Si je leur avais dit que j’avais voulu être coach, elles m’auraient dit que c’est trop concurrentiel.

Et pourtant, je ne m’en sors pas trop mal pour quelqu’un qui s’est formé sur le tas, en créant son job sur mesure. Si tu te laisses guider par ton entourage non expert pour faire des choix déterminants, tu risques de passer à côté de ton bonheur.

Plus généralement, si je prends du recul sur ma situation, voici ce que je retiens :

  • Toutes les décisions que j’ai prises ont marché (prendre des cours d’aïkido et de chant, quitter Bordeaux pour bouger à Lyon, puis déménager à Paris, me lancer dans l’entrepreneuriat, ne pas renoncer à trouver un appartement qui me plaise, même en étant indépendant)
  • Toutes celles que j’ai subies ont raté (suivre des cours de latin au collège, passer mon permis, intégrer une classe prépa, passer des concours de la fonction publique).

Concrètement, si j’avais un enfant aujourd’hui :

  • Je ne lui mettrais pas la pression vers une voie dite d’excellence qui ne lui conviendrait pas
  • Je l’accompagnerais et le soutiendrais dans ses démarches pour son projet, et ce, même si cette filière est a priori bouchée, et même si je ne sais pas si ce métier existe (il existera peut-être demain, ou bien, il le créera peut-être lui-même, s’il sent un besoin sur le marché)
  • Je veillerai à ce qu’il se donne le moyen de ses objectifs, en le responsabilisant dès le plus jeune âge sur les choix qu’il fait

J’ai eu la chance de pouvoir coacher des étudiants qui ont eu le courage d’affirmer une voie alternative : celle de l’entrepreneuriat et de l’intrapreneuriat. Et je suis admirative de leur volonté, car à leur âge je n’envisageais même pas l’entrepreneuriat comme une voie.

Quel est le secret de ces étudiants-entrepreneurs ?

  • Une auto-discipline de fer
  • Des parents entrepreneurs qui soutiennent leur enfant
  • Une humilité en acceptant l’aide extérieure

Alors doit-on en baver avant de faire ce que l’on aime ?

Non. Et on peut même gagner du temps en s’écoutant, ou en écoutant ses enfants. Car combien de collégiens, lycéens et étudiants ai-je vu abandonner une voie choisie par leurs parents car elle ne correspondait pas à leur propre choix ? Beaucoup trop.

Alors si tu as des enfants, encourage-les. Si toi-même tu n’es pas à ta place dans ton job ou ton activité, réagis ! Ce n’est pas simple de changer de vie, d’état d’esprit mais si ça bouillonne en toi alors fonce !

Comprends l’importance de se fixer des objectifs pour avancer

Il y a quelques semaines, je suis allée rendre visite à de la famille en Bretagne. En pleine période estivale, ma cousine de 17 ans souhaitait perdre un peu de poids pour être à l’aise en maillot de bain. Je lui ai alors demandé quelles étaient ses objectifs concrets en termes de perte de poids ? Mais avant tout, pourquoi voulait-elle en perdre : pour elle ? Pour les autres ?

Donner du sens à ses objectifs est essentiel à qui veut s’y tenir.

Une fois ses objectifs fixés, je me suis proposée de l’aider : je ne suis pas experte en nutrition mais j’ai perdu 15 kg lorsque j’avais 16 ans, et plus récemment, presque 4 kg pendant le confinement. Je connais donc les mécanismes de la perte de poids et surtout comment éviter de les reprendre !

Comme tu t’en doutes, la réussite sur ce plan tient dans un combo sport + alimentation. Je lui ai donc fait un petit programme. Pour le mettre à exécution, nous avons travaillé ensemble sur une séance de hiit (exercices fractionnés comprenant 30 secondes de cardio, et 30 secondes de renforcement musculaire/récupération active).

Après la séance, je l’ai vu totalement découragée. Et voici ce que je lui ai dit :

  • Ne te compare pas à un coach fitness ni à moi (car ça fait 15 ans que je fais du cardio)
  • Si tu veux y arriver, tu ne dois pas renoncer à la moindre difficulté
  • Le corps a une mémoire : il retient et s’améliore avec le temps
  • Regarde ce que tu ne savais pas faire il y a quelques mois ou années et que tu sais aujourd’hui faire à force de persévérance

Et je lui ai donné mon exemple :

  • Il y a 3 ans, je commençais l’aikido et je n’étais pas franchement douée. Aujourd’hui, j’ai encore un long chemin à faire, mais il m’arrive d’aider des aikidokas plus débutants que moi. J’ai donc pris conscience de ma progression.
  • Il y a 3 ans, je lançais mon activité entrepreneuriale. Je ne pensais pas me verser plus d’un smic. Aujourd’hui, je considère que j’ai des revenus confortables et que je suis une privilégiée (mais qui a travaillé dur pour en arriver là)
  • Il y a 3 ans, je ne pouvais pas envisager de manger du salé le matin. Aujourd’hui, j’ai changé cette habitude et suis capable de manger du saumon, des oeufs et autres protéines qui font du bien à mon corps. La pâte à tartiner ne sort plus du placard !

Et voici ce que l’on peut retenir des personnes qui arrivent à atteindre leurs objectifs :

  • Elles savent s’auto-discipliner (ne plus acheter de sucreries, c’est déjà la première base de l’auto-discipline)
  • Elles ne perdent jamais de vue leur objectif ( c’est pourquoi donner du sens à un objectif est essentiel )
  • Elles savent savourer les mini-victoires ( 500 grammes de perdu c’est une victoire et surtout un signe d’encouragement)
  • Elles savent que le succès n’est pas rectiligne (Dans tout succès, on passe par des phases de stagnation, qui sont normales)
  • Elles prennent du plaisir sur le chemin de leur succès (appliquer la règle des 80/20 de mon ami Brice Pellerin : 80% d’alimentation saine, 20% de plaisir coupable)

C’est d’ailleurs pour cette dernière raison que les régimes alimentaires restrictifs ne marchent pas, et qu’ils sont le meilleur moyen de reprendre tout le poids que l’on a perdu. Je t’ai volontairement donné un exemple qui n’a rien à voir avec le business mais je voulais te montrer à quel point forger ton mindset peut avoir un impact sur ta vie perso comme sur le développement de ton activité.

La vie est un marathon, il faut donc apprécier le chemin autant que la fin ! Tu as besoin d’être accompagnée ? Tu peux réserver un appel découverte pour qu’on en discute !