[Cas client] Axelle : Concrétiser son rêve d’international grâce à une stratégie de développement rodée

Je viens de finir trois mois de coaching avec Axelle, fundraiser pour organisations non profit. Axelle est freelance depuis 4 ans et a construit un business model qui lui permet d’avoir de la visibilité sur l’année. Cependant, deux choses lui manquaient dans son activité : le besoin de challenge, en développant son activité à l’international et trouver un équilibre de vie pro/perso pour entreprendre plus sereinement. 

Durant ces trois mois d’accompagnement, nous avons travaillé sur le déblocages des croyances limitantes d’Axelle pour lui permettre de voir grand, nous avons également remis à plat son organisation pour travailler moins et gagner plus (rien que ça !). Nous avons fait pivoter l’activité d’Axelle vers une dimension internationale et enfin développer son attractivité grâce à une communication renouvelée. 

 

Ouvrir le champ de possibles et combattre ses croyances limitantes grâce à une vision claire

 

Lorsque nous avons commencé notre coaching, Axelle avait une idée de ce qu’elle voulait pour son entreprise mais s’interdisait de voir grand. En travaillant sur la vision et les objectifs d’Axelle, nous avons débloqué une chose : les projets personnels d’Axelle (ses passions) pouvaient devenir des projets professionnels rémunérés à terme. 

Axelle est une grande passionnée de théâtre et de danse, mais ne l’avait jusqu’à présent jamais imaginé comme un projet d’envergure professionnelle. En travaillant sur la vision d’Axelle, nous avons visualisé le futur de la danse pour Axelle : un projet de direction d’une compagnie artistique d’ici 10 ans. De même, Axelle aspire à développer des responsabilités politiques citoyennes et locales sur un plan personnel. En creusant le sujet, nous avons fait de cette aspiration un projet d’engagement politique de long terme. Axelle avait également en tête depuis plusieurs années la reprise d’études par un doctorat, et a pu faire le lien à moyen terme entre ce souhait et les activités d’enseignement qu’elle mène actuellement. 

En débloquant ses croyances limitantes, Axelle a pu réaliser que ses passions, engagements et centres d’intérêt pouvaient être rémunérés. 

Une fois sa vision claire, nous avons défini des objectifs à un an et trois ans pour Axelle. Quand la vision permet de se projeter, les objectifs, eux, permettent de passer à l’action. C’est ce que nous avons fait en définissant des objectifs à court terme pour Axelle : ces objectifs mesurables sont actionnables dès maintenant. Ainsi, Axelle s’est fixée comme objectifs à un an de reprendre la danse, prendre part au conseil d’administration d’une association locale où elle était bénévole, à poursuivre ses activités d’enseignement mais également d’activer son réseau pour développer son projet professionnel à l’international. 

A trois mois (durée de notre coaching), Axelle s’est fixée comme objectif d’avoir un plan d’action clair et s’être formée (Mooc) sur le modèle économique des associations, et d’obtenir 30 000 euros de chiffre d’affaires annuel…ce qu’elle a obtenu ! Axelle a même décroché sa première mission à l’échelle européenne. 

Revoir son offre et son organisation pour changer d’échelle (travailler moins pour gagner plus) 

Une fois le cadre fixé, nous nous sommes intéressées au modèle économique (business model) d’Axelle, pour lui permettre de trouver le bon équilibre entre sa vie personnelle et professionnelle. L’objectif : travailler moins pour gagner plus. 

Dans son activité, le plus gros du travail d’Axelle est la prospection. Et ce n’est pas ce qui la passionnait le plus. Nous avons donc revu son modèle économique pour réduire la part de prospection de son emploi du temps et développer le consulting. Alléger son emploi du temps a également permis à Axelle de consacrer plus de temps au développement de son entreprise et donc à sa stratégie de marketing et communication (dont nous reparlerons un peu plus bas). 

Axelle était également victime du syndrome de l’imposteur qui l’amenait systématiquement à se comparer à son ancien mentor, plus expérimenté. Ce syndrome de l’imposteur l’empêchait de développer une offre de service plus stratégique (le conseil) et d’augmenter ses tarifs. 

J’ai donc conseillé à Axelle de rencontrer et d’échanger avec d’autres professionnels de son métier pour en savoir plus sur leur répartition temps/argent. Ce travail de veille concurrentielle/réseautage a permis à Axelle de comprendre qu’elle pouvait être plus productive sur les tâches qui lui semblaient jusqu’ici chronophages. 

Grâce au travail de recueil d’avis clients et de témoignages que je lui ai demandé, Axelle a également compris qu’elle avait suffisamment d’expérience et de légitimité pour s’affirmer comme professionnelle dans son activité et augmenter ses tarifs ! 

Faire pivoter son offre vers un projet à dimension internationale 

Nous nous sommes ensuite intéressées à la manière dont Axelle allait pouvoir faire pivoter son activité vers une clientèle internationale. Pour cela, nous sommes parties sur des bases simples : définir ce qu’Axelle entendait par “l’international” (Europe ? monde?), et réseauter de manière qualitative. Pour pouvoir trouver des clients internationaux, il faut être entouré d’un réseau international mais aussi se débarrasser d’une approche trop conceptuelle de “l’international”.  En échangeant avec des professionnels de son secteur, Axelle a posé le cadre géographique de son développement futur (Europe puis autres régions du monde) et elle s’est ouverte des opportunités. Elle a ainsi pu activer des contacts et obtenu sa première mission à dimension internationale ! 

Une fois le réseau lancé, il était plus facile pour Axelle de définir un positionnement spécifique : plutôt que de changer intégralement son offre pour s’adapter à une clientèle nouvelle, elle a simplement redéfini son persona et adapté son offre actuelle (accompagnement dans la recherche de financements privés et appui à la réflexion stratégique). 

La deuxième dimension à considérer pour développer son projet international était la production de contenus ciblés. Nous avons donc élaboré une stratégie de contenu intégrant des interviews et articles de blog s’adressant à cette cible internationale mais surtout mis en place une régularité dans la production et la communication autour de ces contenus ! 

Développer son attractivité en ligne et hors ligne grâce au pouvoir d’une communication ciblée

 

Axelle a toujours été convaincue de l’utilité de produire des contenus pour développer son activité et viser les bons clients…mais n’avait pas pris le temps de construire une stratégie de contenu structurée avec de la régularité. Nous nous sommes donc attelées à ce travail. L’objectif de cette stratégie de contenu était double : affirmer l’ancrage d’Axelle à l’international grâce à des contenus spécialisés, et attirer un flux de clients réguliers sans démarcher grâce à des contenus réguliers, à forte valeur ajoutée et surtout personnalisés ! 

La première chose sur laquelle nous avons travaillé était de lever une barrière mentale à la production de contenu pour Axelle : produire régulièrement ne veut pas dire y passer beaucoup de temps. 

Au début de notre coaching, Axelle avait une newsletter qu’elle publiait tous les deux mois et qui contenait deux articles de blog. Il semblait impossible à Axelle de réduire la fréquence. Quand nous avons décortiqué sa newsletter, j’ai compris que c’était le travail de veille informative qui prenait le plus de temps à Axelle, et pourtant c’était le moins plaisant à faire pour elle. Pourquoi le faisait-elle ? Encore une fois, pour se sentir plus légitime en apportant des informations documentées à son audience. Mais en échangeant, Axelle a compris que ce n’était pas sur ce point qu’elle pouvait apporter une plus-value et se démarquer : les newsletters de type “curation” existaient déjà dans son domaine. Axelle a donc revu l’intégralité du contenu de sa newsletter pour renforcer son style personnalisé avec une touche d’humour et proposer des contenus originaux. 

Axelle a ainsi construit une newsletter plus légère à fréquence plus rapprochée (une fois par mois). Celle-ci comprendrait un édito, un article de blog alternant deux types de sujets : des interviews de fundraisers dans d’autres pays du monde “Fundraiser d’ailleurs” (pour développer la dimension internationale de son activité) et un article de blog “Les Parenthèses d’Axelle” dans lequel elle donne son point de vue sur un sujet lié au fundraising. 

En faisant de sa stratégie de contenu une priorité, Axelle a pu sacraliser du temps pour écrire et a ainsi obtenu des retours positifs de son audience. Des encouragements qui vont la pousser à poursuivre ce travail rigoureux ! 

 

Conclusion

 

Ce fut un plaisir de travailler avec Axelle, qui a su rapidement prendre conscience de son besoin de regard extérieur pour prendre du recul sur son activité et qui a mis en place les moyens pour arriver à atteindre ses objectifs. Elle a réussi à s’affirmer dans le domaine du fundraising et se sent maintenant légitime pour faire face à la concurrence. Elle a pu trouver un rythme et une rigueur qui lui ont permis de faire d’elle sa propre cliente en se mettant en priorité (et pas faire des clients sa seule priorité). Aujourd’hui, Axelle a une feuille de route et sait où aller pour avancer. Elle sait également entendre la sonnette d’alarme de son corps pour ralentir et prendre du temps pour elle. Ce qui lui permet d’entreprendre plus efficacement mais surtout plus sereinement ! 

 

Le mot de la coachée :J’ai été accompagnée par Yéza Lucas pendant 3 mois. J’avais besoin de quelqu’un ayant le sens de l’écoute, de la franchise et qui m’aide à trouver l’énergie nécessaire pour changer d’échelle. Et Yéza a parfaitement rempli sa mission ! Elle m’a aidée à faire le point sur mes projets tant professionnels que personnels, à plus ou moins long terme. Grâce à son empathie, Yéza m’a permis d’aborder ma 4e année d’entrepreneuriat en toute sérénité”

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