Entrepreneuriat : les 5 plus gros risques que j’ai pris et qui en ont valu la peine

 

Depuis que je suis entrepreneure, j’ai fait le choix de prendre certains risques pour être plus alignée dans ma vie professionnelle. Parmi les risques pris, 5 d’entre eux en ont valu la peine, en me permettant d’être plus confiante et épanouie dans la gestion de mon entreprise au quotidien. Voici donc les 5 risques en question : 

 

1/ Changer d’écosystème 

 

Lorsque je me suis mise à mon compte, je gravitais dans l’écosystème de l’économie sociale et solidaire (ESS), qui était une porte d’entrée facile dans l’entrepreneuriat, étant familière avec ce secteur par mon dernier emploi salarié. Mais j’ai rapidement compris que cet écosystème serait “hostile” à mes projets de développer mon activité grâce à un marketing très personnalisé et à des objectifs de chiffre d’affaires ambitieux. Nous n’avions en effet pas le même rapport à l’argent. C’est pourquoi, j’ai préféré prendre mes distances avec l’ESS pour développer mon entreprise dans un nouvel écosystème plus orienté “market” et repartir de zéro. Loi du hasard ou non, j’ai pu bénéficier de nouvelles opportunités qui m’ont permis d’être propulsée sur cette nouvelle scène. Le jeu en valait donc la chandelle. J’ai réitéré l’expérience avec ma sortie de l’écosystème de l’infopreneuriat.

 

2/ Montrer ma vulnérabilité

 

Depuis deux ans, j’ai fait le choix d’être totalement moi-même dans ma communication et d‘afficher ma part de vulnérabilité. Je n’arrivais plus à faire semblant, en affichant une vitrine d’entrepreneur à succès, dénué de faiblesses. J’ai donc commencé par révéler et afficher mes moments de doutes, ainsi que mes échecs. Et contre toute attente, j’ai pu attirer une nouvelle communauté qui s’identifiait à mon parcours et à ma personnalité. Qui l’eut cru ?

 

3/ Changer de métier trois fois

 

De community manager, je suis devenue consultante en communication digitale puis coach pour entrepreneurs (je vous épargne les différents positionnements dans ce dernier métier). Sans surprise, je me suis pris les foudres de coach certifiés, qui m’estimaient illégitime. Et pourtant, aucun client ne m’a demandé de certification. Mieux encore, je leur inspirais confiance tout en leur apportant des résultats concrets. Comme quoi, auto-proclamer son nouveau métier peut avoir du bon.

 

4/ Faire du marketing à ma sauce 

 

Je déteste le marketing digital tel qu’il est proposé aujourd’hui. Je n’aime pas la technique et je ne cherche pas non plus à créer une machine à gaz pour récolter des milliers de mails ni gagner des millions. Mais c’est seulement en prenant conscience de cela que j’ai arrêté les tunnels de vente, les séquences mails, les webinaires et j’en passe. Je fais aujourd’hui du marketing énergétique : j’attire les clients qui me ressemblent en communiquant d’une manière qui me semble plus alignée avec ma personnalité. Et ça marche ! 

 

5/ Affirmez des positionnements personnels 

 

Depuis que j’ai décidé d’être totalement moi sur le plan professionnel, j’ai pris le risque de communiquer sur des sujets qui sortaient du cadre de l’entrepreneuriat : je parle aujourd’hui de développement personnel, de santé naturelle, mais également de politique. Cette posture de l’entrepreneur-citoyen n’est pas sans risque mais elle a permis de polariser ma cible : j’ai bien sûr essuyé quelques pertes mais dans l’ensemble, j’ai fini par attirer des clients qui ont apprécié mon engagement. On attire les clients qui nous ressemblent.

 

Conclusion 

 

Voici donc les 5 plus gros risques pris en 4 ans d’entrepreneuriat. Cette prise de risques était nécessaire car aujourd’hui, je suis totalement alignée sur le plan professionnel, et je travaille avec des entrepreneurs qui souhaitent aujourd’hui le devenir à leur tour ! 

 

Et vous, quels sont les plus gros risques que vous avez pris et qui ont valu le coup ?

 

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