[Dossier] Affirmer sa personnalité sur le web, un véritable défi

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Arrivez-vous à être vous-même sur le web ?

▪Je suis Bélier, ascendant vierge
▪Cheval en astrologie chinoise
▪Generator 5/3 en Human Design
▪Type 3 en énneagramme,
▪Logisticienne en MBTI (ISTJT),
▪Pitta dans les doshas ayurvédiques,
▪Zèbre avec un QI incalculable en test psychologique.
▪J’ai un profil nomade de par mon groupe sanguin B+
▪Je suis également le résultat d’un test ADN composé de 93% d’ADN algérien, et née sous X.
▪Je suis également gauchère

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J’ai longtemps essayé de cerner ma personnalité et comprendre mon fonctionnement à travers différents courants de développement personnel. En fin de compte, j’ai surtout voulu me rassurer en rentrant dans des cases.
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Aujourd’hui, je n’arrive toujours pas à savoir dans quelle boite me mettre.
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Mais avec le recul, je trouve cela tellement plus rassurant, de ne pas être réduite à des résultats de tests ou des profils type !
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Votre personnalité est unique. Et pourtant, nous n’osons que trop peu la révéler de peur des jugements extérieurs. Les réseaux sociaux accentuent d’ailleurs cette peur.
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Il faut donc du courage pour s’affirmer, sans se cacher derrière un courant ou une case.
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C’est ce courage personnel et professionnel que j’ai décidé d’incarner, en exposant ma vulnérabilité à des milliers d’internautes, dont vous faites partie.
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Aujourd’hui, cette vulnérabilité me permet d’être totalement moi, sans chercher à garder la face, même dans des situations d’inconfort ou de faiblesse.
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Pour moi, être vulnérable c’est :
– raconter mon histoire
– raconter mes échecs personnels et professionnels
– exprimer mes peurs et mes doutes
– demander de l’aide
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Et vous, comment arrivez-vous à être vraiment vous-même sur le web ?

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Et si vous appreniez à parler de vos défauts ?

Il y a une chose dont on ne parle pas souvent sur les réseaux sociaux, ce sont nos défauts, les vrais (pas les défauts inventés en entretien d’embauche).

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Et pourtant, nous en avons tous. Alors plutôt que de les cacher, au risque de les voir ressortir au mauvais moment, mieux vaut les exposer, et apprendre à les dompter.

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Cela permettra à votre entourage professionnel mais également personnel de mieux vous cerner, prendre du recul sur vos actes et propos, et ne pas vous titiller sur vos axes de vulnérabilité.
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Une fois cela dit, je me lance !
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Voici les 4 traits de caractère qui me font défaut :
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– L’impatience (et la précipitation)
– La mauvaise foi (liée à un certain orgueil)
– L’absence de nuance (mon côté manichéen)
– Le contrôle (et la rigidité)
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Bien sûr, ces défauts sont des points sur lesquels je travaille. Mais ils restent des zones d’inconfort que je préfère afficher plutôt qu’enfouir. 
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Et vous, quels sont les défauts que vous aimeriez pouvoir communiquer à votre entourage professionnel (et personnel) ?
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Ces mécanismes de résistance qui vous empêchent d’avancer

Lorsque je me retrouve dans une situation bloquée, je fais régulièrement appel à de l’aide extérieure pour me faire accompagner. Dernièrement, j’ai fait appel à 2 thérapeutes sur des thématiques professionnelles et de santé.
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Ce qui est intéressant, c’est que pour ces deux domaines distincts, j’ai observé chez moi des mécanismes de résistance similaires.
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✅ Le premier, c’est de maintenir des routines inefficaces par peur de ne plus avoir de cadre
✅ Le deuxième, c’est de faire de la résistance, par peur du changement
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Concrètement, voici comment cela se manifeste.
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Dans le premier cas de figure, je reproduis mécaniquement des routines et les maintiens même lorsque leur efficacité est remise en question :
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? Persister à écrire ma newsletter au tutoiement, car je sais que mon audience s’en fiche éperdument
? Continuer le jeûne intermittent quand je n’en vois plus les effets bénéfiques sur mon corps ni ma santé
? Pratiquer le sport à fréquence (trop) soutenu quand je sais que je n’ai pas besoin de faire autant d’exercice
? Et pendant longtemps : écriture, lecture et méditation journalière, quand cela ne m’apportait pas de bien-être supplémentaire au quotidienne
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Dans le deuxième cas de figure, je refuse une solution qui me met dans l’inconfort, par peur de perdre mon temps.
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Par exemple :
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? Résister à l’idée de me rendre à des événements physiques par peur de perdre mon énergie
? Contourner les échanges téléphoniques (parfois plus simples) par peur des conversations qui s’éternisent
? Refuser de lancer de nouveaux produits, par peur de me fatiguer à les vendre

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Je vous rassure, les choses évoluent pour moi 😉
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J’ai d’ailleurs pris conscience que je confondais la notion de désalignement avec la sortie de ma zone de confort. Aujourd’hui, j’ai pris conscience qu’élargir ma zone de confort n’était pas un frein à mon alignement, mais au contraire, une perche tendue vers une activité toujours plus renouvelée et une vie remplie de nouvelles opportunités.
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J’ai encore du chemin à faire, mais identifier mes mécanismes de résistance m’a permis d’aller de l’avant.
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?Avez-vous identifié vos mécanismes de résistance ?
?Comment les combattez-vous ?

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Le bonheur n’est pas notre seul moteur pour avancer dans la vie

Il y a quelques temps, j’ai visionné une petite vidéo-enquête de Cyrus North sur la question du bonheur : sommes-nous heureux ?
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Pour cette enquête, il s’est rendu au Liban, s’entretenir avec des réfugiés syriens qui avaient tout perdu. Et en Californie auprès d’étudiants à qui rien ne manque.
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Il en tire les réflexions suivantes :

? Notre niveau de bonheur est relativement stable et revient généralement à une moyenne, indépendamment des tragédies que nous avons vécues (exemple des réfugiés syriens)

? Cela nous permet de comprendre qu’on ne se bat pas pour son bonheur, mais pour d’autres valeurs comme le besoin de justice, de liberté, de dignité etc.
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Notre vision occidentalisée du monde nous invite à placer le bonheur comme un accomplissement en soi. S’il demeure un facteur d’épanouissement, il est important de relativiser sa position dans notre échelle de valeur personnelle.
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✅ Si je suis partie à l’autre bout du monde avec un sac à dos, c’est pour retrouver ma liberté, et non pour être heureuse (d’ailleurs, je ne l’étais pas tant que ça)

✅ Si j’ai fait le pari risqué de me mettre à mon compte, c’est également pour assouvir mon besoin de liberté

✅ Si j’ai décidé de créer des blogs sur l’aikido ou des sujets politiques, ce n’est pas pour assouvir ma satisfaction personnelle, mais faire entendre ma voix, et parler au nom de ceux qui ne se sentent pas entendus.

✅ Si j’ai décidé de retrouver mes origines personnelles, c’est pour connaître mon histoire, quitte à apprendre des vérités difficiles à entendre
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Le bonheur est important, mais ce n’est pas toujours pour lui que vous déplacerez des montagnes. Savoir pourquoi vous vous démenez au quotidien vous permettra de mieux connaître vos valeurs et de les incarner réellement. C’est ainsi que vous serez aligné.
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Bonne réflexion

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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour vous affirmer dans votre vie personnelle et professionnelle, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

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