Bilan d’un mois d’arrêt du jeune intermittent : un soulagement !

Depuis près d’un an et demi, j’ai pratiqué le jeûne intermittent. Initié au Mexique, il m’avait permis de soulager mon système digestif, d’obtenir une plus belle peau et de m’affiner. Cependant, après plus d’un an de pratique, j’ai constaté une baisse des effets bénéfiques de ce nouveau “régime alimentaire” :

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? Difficultés de concentration le matin
? Retour des problèmes de peau (lié à un manque de detoxification du foie)
? Plus d’effet sur le poids
?Retour des problèmes digestifs
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Après réflexion, j’ai décidé de me faire accompagner par une spécialiste du profilage alimentaire, afin de savoir quelle alimentation me correspondrait le mieux mais également de travailler mon rapport au corps.
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Un accompagnement alimentaire et psychologique

Après avoir rempli des questionnaires d’informations, nous avons pu observer un trouble de la glycémie (dont les symptômes de trouble de la vision, ou d’hypoglycémie étaient devenus des signes identifiables).
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Nous avons donc mis fin au jeûne intermittent, en réintroduisant des petits déjeuners protéinés et non sucrés.
S’ajoutait à cela, une expérimentation pour réguler la glycémie : supprimer les glucides pendant deux semaines.
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L’exercice n’a pas été facile (saute d’humeur, épuisement) et je me suis vite rendue compte à quel point les glucides étaient un carburant pour l’organisme. J’ai tout de même tenu bon, et après deux semaines, sur conseil de ma thérapeute, j’ai réintroduit les glucides, en limitant les aliments trop transformés et les sucres raffinés.
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En parallèle de cette expérimentation, j’ai réduit ma pratique sportive, qui était devenue excessive et qui était inadaptée à une consommation drastiquement réduite de glucides.
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Arrêt du jeûne intermittent : un bilan positif

Voici donc le bilan que je tire de ce mois d’expérimentation :
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Du plaisir, et de l’énergie retrouvée pendant toute une matinée grâce à la réintroduction des petits déjeuners
Un sevrage du sucre (pour une addiction qui pourrait revenir)
Un soulagement corporel lié à la réduction de l’activité sportive, à laquelle j’ai privilégié la marche (j’ai appris que trop de sport pouvait devenir inflammatoire pour les muscles et créer de la rétention d’eau surtout chez les profils Pita)
La perte d’un kilo sur la balance (c’est peu mais j’avais troqué les glucides contres les lipides, ce qui limite le déficit calorique)
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Et la suite ?
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Continuer à écouter mon corps :
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– En pensant à un équilibre alimentaire sur la semaine et non sur un repas
– En pendant à prendre du plaisir à chaque repas (arrêter d’intellectualiser mon rapport à la nourriture)
– En rééquilibrant mes apports en glucides et lipides
– En apprenant à manger plus lentement pour sentir la satiété plus rapidement
– En continuant à travailler sur mon rapport au corps : ne pas me comparer à la période où j’estimais avoir un corps parfait, car derrière une silhouette parfaite, se cache souvent une alimentation restrictive (même inconsciente) et un mode de vie particulier (au Mexique, je vivais seule, et ne mangeais que très peu de sucre et d’alcool. Aujourd’hui, je vis en couple, et j’ai une vie sociale. Les deux modes de vie rendent la comparaison caduque)
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Conclusion : un nouvel apprentissage sur mon fonctionnement interne 

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Cet accompagnement (que je poursuis) m’a permis de comprendre mon fonctionnement interne et ma rigidité mentale :
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– Car je poursuivais des habitudes qui me fatiguaient tout en étant consciente de leur inefficacité (jeûne intermittent, sport excessif)
– Car ces routines obsolètes me donnaient malgré tout un cadre, et ce n’est que dans un cadre que je me sens rassurée
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Mais depuis plusieurs années, les avancées vers une vie non régie par le contrôle sont réelles. Et j’y travaille un peu plus chaque jour.
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? Et vous, quelle expérience similaire avez-vous pu tester ? Qu’avez-vous appris ?

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Les 7 bienfaits de l’éducation à la santé à court et long terme

L’éducation à la santé est un investissement fondamental à mes yeux.

Depuis quelques années, la santé est devenue une valeur très importante pour moi, comme l’est aujourd’hui la liberté, la justice et l’indépendance.

Comme le rappelle l’OMS dans sa définition, une bonne santé ne se définit pas seulement par le fait de ne pas être malade : la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité”.

S’il est possible d’éduquer les adultes à la santé, il est toujours plus facile d’éduquer les plus jeunes à la santé car les déconditionnements seront moindres.

Au-delà de l’âge et du milieu social, la santé est pour moi une valeur (et ce n’est pas grave si on ne la définit pas comme une priorité) dont l’éducation donne naissance à des bienfaits non négligeables.

Voici donc les 7 bienfaits de l’éducation à la santé sur les citoyens, jeunes et moins jeunes, à court et long terme. 

1/ Se reconnecter à son corps et à ses émotions 

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Se reconnecter à son corps permet de mieux connaître son organisme et son fonctionnement. Pour cela, il est indispensable d’être à l’écoute des manifestations de son corps : fatigue physique, émotionnelle, émotions positives et localisation des vibrations dans le corps, faire des connexions entre une émotions et un organe, et de manière générale, être conscient de son état d’humeur pour prendre du recul sur une situation.

A titre d’exemple, j’arrive maintenant à prendre conscience de mon irritabilité, et l’expliquer (syndrome pré-menstruel par exemple), ou de mes moments de stress ou de joie, mais surtout, de savoir quels hormones sont sollicités dans ces changements d’émotion (endorphine, dopamine, cortisol, adrénaline), et quels symptômes physiques peuvent être liés à ces émotions (irruptions cutanées par exemple).

Je sais également quels aliments et compléments peuvent calmer ou réactiver ces différentes hormones.

De même, je sais analyser mon état émotionnel et mes blocages psychologiques et n’hésite pas à solliciter une aide extérieure pour avancer en fonction de l’angle sur lequel je souhaite démarrer cet accompagnement (écriture, thérapies brèves, respirations, méditation, ésotérisme…)

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2/ Miser sur la santé pour faire le pari de la longévité 

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Faire un pari sur sa bonne santé, c’est éviter des complications médicales plus tard et ne pas dépendre de médicaments aujourd’hui. Parier et investir sur sa santé, c’est vivre plus longtemps mais surtout, mieux !

A titre d’exemple, j’ai arrêté la pilule il y a maintenant 6 mois, pour ne pas dépendre d’un cachet pour réguler mes hormones. Aujourd’hui, je purifie mon foie pour le nettoyer de plus de 15 ans d’hormones de synthèse.

De même, je fais attention à ne pas dépendre de compléments alimentaires (même si ce ne sont pas des médicaments) pour laisser à mon corps le soin de s’auto-soigner (dans la mesure du possible). 

Enfin, je fais le pari d’une bonne santé en travaillant sur mon hygiène de vie au quotidien : le combo sport+alimentation+sommeil+détente que mon emploi du temps d’entrepreneur me permet participe grandement à cette hygiène de vie au quotidien. 

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3/Avoir une vision globale de la santé

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Je n’ai pas d’enfants, mais si j’en avais, je leur transmettrais cette éducation à la santé dès leur plus jeune âge : 

 

  • En mangeant des produits non transformés dans la mesure du possible
  • En les soignant avec de la médecine douce dans la mesure du possible
  • En privilégiant le développement de leur immunité naturelle dans la mesure du possible
  • En redonnant son sens au contact physique, indispensable à tout être humain
  • En veillant à la bonne santé psychologique grâce à une observation des signes d’alerte

 

La santé ne se limite pas à l’alimentation, ou au sport, mais doit être comprise globalement, comme un état physique et mental.

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4/Faire des économies au quotidien

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Bien manger n’est pas forcément synonyme de débourser. Certes, on peut investir dans des produits plus onéreux ou des compléments alimentaires. Mais ce n’est pas la seule condition pour être en bonne santé.

 

Acheter des légumes au marché (même non bio), limiter le gluten (riz, maïs, pommes de terre), manger moins de viande (qui est chère), consommer davantage d’oléagineux (fort apport en protéines), et limiter l’achat de produits sucrés et produits transformés est possible sans surcoût. 

 

De même, faire de l’activité physique n’est pas nécessairement coûteux : courir, marcher, faire le ménage…sont des activités du quotidien qui contribuent à vous dépenser à moindre frais

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5/Innover grâce à la dimension ludique de l’éducation à la santé 

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L’éducation à la santé peut être vue comme un jeu, surtout en famille. On peut ainsi : 

  • Faire ses courses en famille pour découvrir de nouveaux aliments 
  • Composer des repas colorés grâce à des recettes innovantes (même seul, ça nous permet de casser la routine)
  • Faire ses propres produits :  pâtes à tartiner, pains ou yaourts
  • Faire des séances de sport en famille (ou avec un ami)

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6/ Investir sur son corps et son esprit en les ménageant

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L’éducation à la santé nous apprend à prendre soin de notre enveloppe corporelle. 

 

Notre corps est notre maison. Une maison ambulante, qui nous porte à travers les années et qui abrite un esprit que l’on tâchera de préserver sain. 

 

Prendre soin de sa santé, c’est ménager son corps :

  • En ne le brutalisant pas trop (attention aux efforts trop violents, plus on avance dans l’âge)
  • En lui laissant des moments de récupération (bon sommeil, étirements, massages)
  • En le nourrissant sainement (attention à la junk food sur du long terme sur la santé)

 

Gardons en tête que le coût d’une hospitalisation est plus cher que l’achat de compléments alimentaires et huiles essentielles. Si on peut bien manger sans se ruiner, il est indispensable de ne pas lésiner sur la qualité des aliments (non transformés que l’on achète).

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7/ Ralentir à l’ère de l’instantané 

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L’éducation à la santé passe par un apprentissage de la patience

  • En apprenant à mâcher lentement pour mieux digérer
  • En apprenant à respirer pour réduire notre stress
  • En apprenant à faire soi-même et à assembler plutôt que de consommer tout prêt 
  • En apprenant à nous écouter et nous libérer des injonctions sociétales
  • En apprenant à prendre de la hauteur pour tenir dans le marathon qu’est la vie en société
  • En apprenant à éteindre notre télé et accueillir les nouvelles avec recul et sérénité

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Conclusion 

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Voici donc les 7 bienfaits de l’éducation à la santé à court et long terme. Ces bienfaits peuvent être transmis aux nouvelles générations mais aussi se mettre en application dès maintenant car il n’est jamais trop tard pour reprendre sa vie en main et rectifier le tir ! 

Plus généralement, la santé (et l’hygiène de vie) est l’une des 6 valeurs sur lesquelles j’ai décidé de construire ma vie : parmi elles, figurent, également, la liberté et l’indépendance, la quête de justice, le travail introspectif, la vision professionnelle, l’organisation et l’efficacité.

 

?Si ces valeurs font écho en vous, mais que vous n’arrivez pas à les incarner dans votre quotidien, je vous propose de vous accompagner sur un plan professionnel et personnel pour y arriver pas à pas en me contactant ici 

Rapport au corps : ces tabous que j’ose enfin révéler 

En tant que femme, j’ai longtemps subi des complexes physiques que je n’ai pas assumé. Aujourd’hui, pour m’en débarrer, j’ai décidé d’en parler et d’assumer ces petits défauts qui font partie de moi. Cette conscientisation de mes “problèmes” me permet ainsi de m’en libérer et je l’espère, donner le courage à d’autres femmes de ne plus se cacher pour vivre une vie plus assumée et épanouie. Alors de quoi s’agit-il ? De petits complexes physiques mais également du regard que je porte sur moi, souvent déformé.

 

1/ Le syndrome de dysmorphophobie, et si on en parlait ?

 

L’autre jour, je me suis surprise en flagrant délit de dysmorphophobie.

La dysmorphophobie, c’est quoi ?

 

C’est tout simplement le fait de ne pas se voir comme on est réellement, en faisant un focus sur un défaut physique et en lui donnant des proportions disproportionnées. 

Cela peut concerner un bouton, ou bien la perception de son corps comme plus gros qu’en réalité.

Le problème de la dysmorphophobie, c’est qu’elle peut devenir obsessionnelle et miner le moral de manière très sévère. 

Alors comment éviter les dépressions passagères liées à ce syndrome obsessionnel ?

 

1- En prendre conscience.  Et c’est quasiment le plus dur.

 

Mais voici quelques pistes : 

 

Si vous vous sentez gros, surveillez votre poids une fois par semaine (et le mieux, avec une balance connectée qui évalue votre masse graisseuse et votre masse musculaire). Il ne faut bien entendu pas vous peser après avoir mangé, ou pendant vos règles pour mesdames. Je ne suis pas une adepte de la pesée obsessionnelle, surtout quand votre rapport au corps n’est pas sain, mais dans le cadre de la dysmorphophobie, cela peut aussi contribuer à vous remettre les idées en place quand vous partez dans des délires.

 

Si vous avez l’impression d’avoir des boutons partout, arrêtez de vous regarder à 2 millimètres du miroir et prenez-vous en photo à une distance raisonnable. La photo permet d’avoir un aperçu plus objectif. Si vous avez besoin d’un avis extérieur, demandez à votre entourage ce qu’il en pense (bien sûr il faut être prêt à psychologiquement accepter le regard de l’autre) 

 

2 – Agir concrètement 

 

– Arrêtez dans un premier temps de vous regarder dans un miroir. Si vous savez que cela va vous faire du mal, regardez-vous une fois par jour.

 

– Restez occupé : c’est en ne faisant rien et en s’ennuyant que l’on peut prendre autant de temps pour s’observer et se dénigrer. Avoir l’esprit occupé vous permettra de ne pas sombrer dans un nouveau délire.

 

– Vous faire aider sur le plan physique : si un défaut physique vous gêne vraiment et qu’il peut disparaître, vous pouvez consulter des spécialistes : dermatologue, naturopathe, nutritionniste… Je suis convaincue qu’il existe des solutions pour chaque mal physique, mais gardez en tête que le stress et la dépression ont des répercussions sur votre corps, donc n’oubliez pas de traiter le fond du problème !

 

– Vous faire aider sur le plan psychologique : si votre dysmorphophobie vous empêche de vivre, un travail sur vous peut vous permettre de comprendre les causes de ce trouble obsessionnel et renforcer votre confiance et estime de vous. Par chance, les solutions sont très diverses (hypnose, psychiatrie, thérapies brève…)

 

La meilleure façon de se libérer d’un trouble, c’est de le reconnaître et d’en parler. Ce n’est pas une honte, et il ne faut pas le cacher.

Si je fais ce post aujourd’hui, c’est que je suis passée par là, et que j’ai des petites rechutes de temps à autre. Mais aujourd’hui, je l’ai conscientisé et le fait de me reprojeter dans cet état émotionnel terrible me donne envie de ne plus jamais laisser ma perception faire des siennes ! 

 

2/ Acné hormonal : un gros tabou chez les femmes

 

Il y a quelques semaines, je me sentais au plus mal : mon apparence physique avait affecté mon moral.

Et pour cause, un dérèglement hormonal lié à un changement de pilule.
Je me suis retrouvée avec la peau grasse et de l’acné sur le visage. Une horreur !

J’ai donc passé quelques semaines avec le moral à zéro en évitant les miroirs pour ne pas déprimer ou encore me toucher le visage et empirer la situation.

Dans ce genre de situation, notre confiance en nous en prend un sacré coup.

Mais pire encore, ces boutons ont refait surface avec leur lot de mauvais souvenirs d’adolescence puis de précédents dérèglements hormonaux qui m’avaient psychologiquement achevés, et ce dans des périodes très difficiles de ma vie :

– Ma relation sous tension avec ma belle-mère été 2007
– Ma recherche d’emploi chaotique pendant 9 mois en 2015
– Le premier confinement au printemps 2020

Ces trois périodes traumatisantes ont eu des répercussions sur mon corps, qui a somatisé par un acné hormonal. Un enfer !

Aujourd’hui, si j’en parle, c’est parce que je sais que c’est un sujet tabou sur lequel il est difficile de s’exprimer car les boutons nous renvoient à l’adolescence et touchent à intégrité physique et surtout à notre égo. Mais ils ne sont que l’expression d’un mal-être.
Car s’il y a bien une chose dont j’ai pris conscience grâce à la naturopathie, c’est que derrière chaque mal physique, se cache une réponse psychologique.

Alors, il y a quelques semaines, je me suis lâché la grappe :
– J’ai accepté que je n’étais pas au top physiquement
– J’ai compris que la situation n’était que temporaire (je le savais au fond de moi)
– J’ai accepté de prendre mon mal en patience car j’avais un plan pour me débarrasser de cet acné.

Et ce lâcher-prise a largement contribué à la disparition de mes spots cutanés.

Alors vous vous demandez peut-être quel est ce plan ?

– Réutiliser mes produits de beauté habituels une fois en France, dont j’avais épuisé le stock depuis quelques semaines au Mexique
– Hydrater ma peau au lieu de l’assécher pour éviter un regain de sébum
– Faire une cure de zinc une fois rentrée en France
Réduire mon stress, grâce à l’écriture, l’acceptation de mon mal-être et en m’offrant un massage
– Reprendre mon ancienne pilule une fois rentrée, ou tout simplement arrêter la pilule pour ne pas dépendre d’un cachet pour réguler mes hormones.

J’ai aussi “involontairement” arrêté ma pilule mexicaine un peu avant la fin de ma plaquette car j’avais l’impression d’avaler du poison à chaque cachet.

Et c’est à ce moment-là que ma peau s’est transformée, et que l’acné a commencé à disparaître. Et pour cause :
– J’étais heureuse de rentrer
– J’avais accepté l’idée que je n’étais pas au top physiquement
– Je savais que j’allais trouver une solution

Si vous avez des problèmes de peau dont vous avez honte, ne les cachez plus, mais parlez-en, identifiez les potentielles causes psychologiques de ce mal physique, et surtout, faites-vous aider par un professionnel :

Si vous souffrez d’acné hormonal, le traitement est intérieur et non extérieur, c’est pourquoi la naturopathie va traiter la cause du problème, et ne se limite pas à des crèmes de surface.
Il existe bien sûr d’autres options, mais j’ai fait le choix d’une solution naturelle, et les résultats ne se sont pas fait attendre.

Et leçon de l’histoire, j’ai décidé d’arrêter la pilule de manière progressive ?

J’espère que ce post permettra d’aider des femmes (car ce sont les principales intéressées) qui vivent des périodes de mal-être. Car rassurez-vous, chaque problème contient sa solution !

Bon courage ?

 

3/ Comment assainir sa relation à la nourriture ?

 

Il y a 15 ans, j’ai suivi un régime alimentaire qui m’a quasiment fait perdre 20 kg. 

Au départ, j’étais suivi par une nutritionniste, et par la suite, j’ai continué toute seule, avec toutes les dérives que cela implique. 

 

Je n’ai jamais été anorexique dans le sens où je ne me suis jamais faite vormir. Mais mentalement, ce régime m’avait affectée et ma relation à la nourriture était devenue malsaine.

Car le plus dur dans un régime, ce n’est pas tant la perte de poids que la phase de stabilisation. 

 

Et cette phase de la stabilisation se compose de deux choses :

– La réintroduction d’aliments “bannis” pour la perte de poids (pour vous dire le niveau des régimes de l’époque)

– La déculpabilisation dans notre relation à la nourriture.

 

Et c’est ce deuxième élément qui est le plus dur.

Et je ne vais pas vous mentir, je ne suis pas à 100% guérie, même si cela ne m’empêche pas de vivre.

 

Cette culpabilisation intervient quand je fais des excès : 

– Quand je mange trop

– Quand je bois trop 

– Quand je m’autorise un craquage trop sucré

 

Mais derrière cette culpabilisation se posent des questions liées à l’estime de moi : pourquoi et pour qui dois-je rester “au top” physiquement ?

 

Car il y a bien un décalage entre ce que je sais et ce que je sens :

– Je sais que je resterai séduisante même avec 5kg en plus

– Je sais que chaque kilo pris peut-être perdu (et je sais comment)

– Et  j’ai conscience que je suis victime du dictat imposé par la mode, et ce que devrait être le corps idéal de la femme.

 

Alors comment assainir son rapport à la nourriture quand on a conscience du problème ?

 

– Anticiper la manière dont on va se sentir après un repas (sensation de lourdeur, sentiment de culpabilité) pour éviter les excès 

– Arrêter de combattre la frustration irrésistible en se posant la question : vais-je vraiment le regretter ? Car il vaut mieux succomber maintenant à la bouchée que se jeter après coup sur le plat tout entier

– Avoir une vision globale sur son alimentation à la semaine : c’est la théorie des 80/20 : 80% de repas sains, 20% d’écarts. Pour ma part, je pratique le jeûne intermittent, soit 2 repas par jour, couplé avec une pratique sportive quotidienne, ce qui limite aussi les dégâts lors d’écarts.

– Ne pas diaboliser les aliments : car rien n’est mauvais s’il est un plaisir, à condition de savoir gérer les quantités

 

Voici donc mes notes à moi-même volontairement publiques pour entretenir une relation plus saine avec la nourriture au quotidien 🙂

 

Conclusion : vous ne pouvez pas toujours être au top !

 

Comme beaucoup de femme, je me suis longtemps mis beaucoup de pression pour avoir une apparence physique plaisante. Le problème, c’est que cela demande beaucoup d’énergie : 

– Pour s’épiler régulièrement
– Pour ne pas s’habiller comme un sac
– Pour cacher ces petits défauts qu’on n’assume pas.
Et le pire dans tout ça, c’est que les autres nous aurait volontairement accepté sans toutes ce “travail”. Et quand je dis les autres, je pense aussi aux conjoints.
J’échangeais avec une amie récemment, dont les complexes physiques et mentaux l’empêchent d’être totalement elle-même avec son conjoint.
– Elle a du mal à se montrer toute palote en hiver
– Elle n”assume pas toujours ses formes
– Et sur le plan mental, elle n’ose pas lui montrer sa vulnérabilité de peur d’être moins désirable à ses yeux.
Mais ici encore, c’est beaucoup d’énergie dépensée pour cacher ce que l’autre aurait volontairement accepté.
Et derrière tous ces efforts, se niche un manque de confiance et d’estime de soi. Car l’estime de soi est inconditionnelle : elle implique que l’on s’aime malgré les boutons, malgré les bourrelets, et malgré les doutes.
La confiance en soi, elle aussi, devrait être suffisamment forte pour ne pas remettre en question notre capacité à plaire.
Alors faisons-nous confiance et lâchons-nous la grappe !
Car nous-même aimons notre entourage malgré leurs petits défauts, et nous acceptons les défauts physiques et vulnérabilités des personnes qui partagent notre vie. Alors pourquoi, inversement, ces derniers se montreraient-ils intolérants à notre égard ?
Bien sûr, il ne s’agit pas de se laisser totalement aller, en arrêtant de se laver ou en faisant nos besoins la porte ouverte, mais pour vivre au mieux son quotidien seul ou à deux, mieux vaut accepter ces petits défauts que la vie nous a fourni en contrepartie de ces rayonnantes qualités.
Et comme le disait Antoine de Saint-Exupéry : on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux.
Amour à moi
Amour à vous

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Renforcer son système immunitaire durablement grâce à la santé naturelle !

Renforcer son système immunitaire naturellement, est-ce vraiment possible ? En tant qu’individus, nous sommes soumis à du stress quotidien. Ce stress a des impacts non négligeables sur notre santé mentale mais également des répercussions physiques. Et c’est généralement à ce moment qu’on se réveille et qu’on peut se poser des questionnements de fond : comment renforcer son système immunitaire durablement ? La médecine traditionnelle est-elle la seule réponse à mes maux physiques ?
De même que pour ma découverte du développement personnel, ce sont les petites alarmes de mon corps qui m’ont ouvert à de nouvelles pratiques plus adaptées à mes besoins. Je m’ouvre donc à la santé naturelle. Dans cet article, je propose un retour d’expériences de la santé naturelle à travers 3 problématiques : la gestion du stress, la perte de poids, et l’hygiène de vie. De cette manière, on verra qu’il est possible de renforcer son système immunitaire sur le long long terme.
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Renforcer son système immunitaire en évacuant le stress du quotidien

renforcer son système immunitaire

Costa Rica, février 2021 : je décide de faire un break professionnel et me ressourcer. Le repos, un des piliers pour renforcer son système immunitaire.

Il t’arrive sûrement d’être stressé dans ton quotidien d’entrepreneur.
Depuis la crise sanitaire, j’ai eu quelques montées de stress extrêmes qui ont eu des répercussions physiques sur mon corps. J’ai par exemple eu des dérèglements hormonaux qui m’on crée des plaques d’acné au début du confinement. Dans l’optique de régler ce problème physique, mais surtout dans une optique plus globale de renforcer son système immunitaire durablement, j’ai consulté plusieurs spécialistes :
 J’ai d’abord consulté une dermatologue :
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❌ Traitement prescrit : des cachets qui m’ont rendue malade pendant 3 jours, et des crèmes qui brûlaient la peau (que je n’ai même pas essayées)Puis j’ai contacté une gynécologue :
❌ Traitement prescrit : un changement de pilule en augmentant la dose. Je n’ai pas voulu tenter l’expérience, et je me suis tournée vers une autre ressource : la naturopathie. La naturopathie a été une révélation !.
Je n’ai jamais vraiment été très convaincue de l’efficacité de la médecine alternative, même si je n’y ai jamais été fermée.
J’ai tout de même décidé de jouer le jeu en contactant une naturopathe bien notée sur Google (comme quoi les avis Google my business, ça sert, et je le dis et redis à mes clients ?)J’ai donc été accueillie pendant 1h30, et ai reçu une prescription longue comme le bras que je vais te résumer.Cette prescription est aujourd’hui la base de ma recette anti-stress :.✅ Pour régler le fond du problème, nous avons travaillé sur la digestion : des compléments alimentaires m’ont permis de restructurer ma flore intestinale (car beaucoup de
problèmes de peau viennent de la digestion, elle même perturbée par le stress)✅ Nous avons également travaillé sur l’apaisement de mon mental avec des sons binauraux, pour me détendre au quotidien, notamment lors des sessions de travail intense, et avant de dormir

✅ Nous avons travaillé sur la respiration avec des exercices de cohérences cardiaques pour réguler le stress quotidien

✅ Et nous avons convenu qu’il allait falloir me déconnecter de l’actualité en éteignant la radio (éteinte depuis maintenant avril) et en m’offrant des vacances (ce que je me suis forcée à faire, et ai réussi !)

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Résultats : plus un bouton en deux semaines !

Aujourd’hui, je complète cette routine avec des éléments essentiels à mon quotidien :

✅ Changer régulièrement d’environnement de travail (bosser dans un café) ou de cadre de vie (sortir de Paris)
✅ Me faire plaisir : partir en vacances, m’offrir une part de gâteau, un massage, etc.
✅ Laisser ma colère s’exprimer pour réussir à me calmer par la suite (j’ai besoin de laisser mes émotions s’exprimer, et non de les neutraliser)
✅ Transcrire par écrit mes problèmes et trouver une solution pour chacun d’entre eux

Combattre le stress, c’est éviter les irruptions cutanées mais surtout renforcer son système immunitaire plus durablement !

Et toi, comment gères-tu ton stress ?

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Renforcer son système immunitaire grâce à la perte de poids

Comment perdre du poids de manière ludique ?

renforcer son système immunitaire

J’ai perdu 5 kg au premier confinement, grâce à un rééquilibrage alimentaire

 

J’ai perdu du poids par choix lors du premier confinement. Rien de dramatique au départ, mais je voulais me sentir mieux dans mon corps.
Je me suis faite aider par les conseils de Brice Pellerin et Insaf Aouadi pour le rééquilibrage alimentaire, et par Marion Mourrin et Nathalie Appietto pour un travail plus précis sur la digestion, le stress, le sommeil et l’hygiène de vie en général.
Je me suis amusée à tester de nouvelles recettes, acheter de nouveaux produits, adopter de nouveaux rythmes (faire du sport à jeun, jeuner…) qui ont rendue l’expérience ludique !
Par la suite, j’ai reperdu du poids en Amérique latine grâce à un contexte favorable : beaucoup de marche (10 000 pas par jour en moyenne), sport régulier, moins d’alcool (je sors moins et je le digère moins), jeûne intermittent depuis tout récemment) et surtout, moins de stress.
 J’avais déjà des bonnes bases mais j’ai travaillé des points précis pour avoir le ventre moins gonflé, affiner mes cuisses ou encore ne pas laisser le stress avoir des répercussions physiques sur mon corps.
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Voici les grands principes à connaître : 
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✅ Ecouter sa satiété (pas facile pour moi, qui ne la sent que trop tardivement)
✅ Ne pas se priver (pas facile pour moi, qui ait un sens de ce que je “devrais” faire ou mangé, très affirmé
✅ Limiter l’alcool
✅ Limiter le sel
✅ Limiter le sucre, surtout le matin : et si tu essayais les petits déjeuners salés ?
✅ Pratiquer le jeune intermittent de temps à autre pour permettre à la digestion d’opérer
✅ Pratiquer de la marche régulière (de mon expérience, ça affine plus que le cardio)
✅ Pratiquer un peu de cardio mais sans excès, pour taper dans les graisses plus rapidement (j’ai fonctionné avec des vidéos Youtube HIIT pendant le premier confinement)
✅ Appliquer la règle des 70/30 : 70% de rigueur, 30% de cheat meal (les 80/20 me semblent difficile à tenir usr le long terme)
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Mais je me garderais de te donner des conseils nutritionnels sur le gluten, le lactose, le végétal : chaque organisme digère les aliments d’une manière qui lui est propre. Ce n’est pas parce qu’on dit que le gluten est mauvais que vous le digérez mal !
Je précise également que j’ai toujours eu une très bonne santé et condition physique, et ce, même dans des périodes de surpoids ou d’IMC très bas (j’ai perdu 15 kg quand j’avais 15 ans, avec un régime qui aujourd’hui m’aurait semblé trop restrictif).
Et au final ? Ben je me sens mieux renforcer son système immunitaire
Mais au delà de la perte de poids, je prends plus conscience de ce qui est bon ou non pour ma santé et j’y veille !
Par ailleurs, c’est grâce à la perte de poids, dès l’adolescence, que j’ai pris conscience de la force de ma volonté ?
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Renforcer son système immunitaire en challengeant son corps avec le jeûne intermittent

Comment le jeune intermittent peut te reconnecter aux besoins de ton corps ?

Je viens de terminer une semaine de jeûne intermittent ! Ce n’était pas un défi, mais plutôt une expérience spontanée.
Suite à quelques repas lourds, j’ai voulu laisser mon système digestif au repos…puis j’ai pris goût à la chose. Je me suis ainsi prise au jeu de manger deux repas par jour, le midi et le soir, pendant une semaine.
Et je te rassure, on peut passer 16 heures sans manger renforcer son système immunitaire
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Voici donc mes 7 conseils pour réaliser un jeûne intermittent :

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1 – N’en fais pas un challenge : j’ai réalisé une semaine de jeûne intermittent sans vraiment le vouloir. Je n’ai donc pas eu de grosses frustrations. Par contre, si tu jeûnes sous la contrainte, ton mental va en prendre un coup et tu risqueras de craquer !
2 – Donne du sens à ton jeûne : avant de te lancer dans un jeûne intermittent, demande-toi pourquoi tu le fais : pour perdre du poids ? Soulager ta digestion ? Etre plus à l’écoute de votre corps et de ses sensations ? Tester ta résistance physique ? Parce qu’on t’a dit que c’était bon pour toi ? Il n’y a pas de bonne raison, mais il y a votre raison. Et elle sera ton moteur ?
3 – Tu n’as pas besoin de manger autant que tu le penses : Il y a encore quelques années, il m’était inconcevable de commencer la journée sans petit déjeuner, ni de faire du sport à jeun. Aujourd’hui, c’est chose faite ! Moins nous mangeons, plus notre estomac se rétrécit. On s’habitue ainsi à ingurgiter des quantités plus petites, et on se retrouve en déficit calorique. C’est comme cela qu’on perd du poids.
4 – Manger moins, mais mangez mieux : outre le fait de réduire les quantités, le jeûne intermittent est également l’occasion de passer au scanner ton assiette : sans surprise, tu peux limiter les produits transformés, trop sucrés, salés, et l’alcool.
5 – Ta sensation de faim ne va pas durer : certes, tu vas avoir faim au début. Mais cette sensation ne dure pas ! Et c’est ça qui te permet de tenir longtemps sans manger. Mon conseil : garde des journées occupées pour faire un jeûne, sinon tu vas risquer de te focaliser sur ta faim.
6 – Pratique une activité physique en parallèle : l’alimentation va de paire avec une activité physique : pour ma part, j’ai réduit un peu le cardio, pour laisser plus de place à la marche et au renforcement musculaire. J’avais cette croyance que seul le cardio permettait de s’affiner, or c’est faux : la marche avec un léger déficit calorique est beaucoup plus efficace.
7 – Fais-toi suivre : si tu n’as pas de notion de rééquilibrage alimentaire, il peut être intéressant de faire appel à des professionnels de la santé : nutritionniste, naturopathe, coach… je me suis personnellement faite aidée par Insaf Aoudi, Marion Mourrin, Brice Pellerin, et Nathalie Appietto qui m’ont donné une feuille de route de l’alimentation équilibrée que j’ai su adapter à mon quotidien.
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Quel bilan tirer de ce jeune intermittent ?
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✅ Une silhouette affinée, car on puise dans les graisses en créant un déficit calorique
✅ Des repas mieux savourés, car moins nombreux, et plus qualitatifs
✅ Une expérience économique car on mange moins ?
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Alors, l’expérience te tente-t-elle ?
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En résumé : comment renforcer son système immunitaire durablement ? 

renforcer son système immunitaire

Soleil, activité physique, décompression…des fondamentaux que le quotidien nous fait oublier

Le printemps pointe le bout de son nez depuis quelques jours. Les journées vont se rallonger, les fleurs s’ouvrir, et le climat s’adoucir.C’est généralement pendant cette période que les virus hivernaux commencent à s’éteindre.

Le soleil et la vitamine D sont une arme essentielle pour protéger notre système immunitaire.

J’ai d’ailleurs une petite anecdote à te raconter à ce sujet :

Etant digital nomade (je travaille à distance depuis d’autres pays), je pratique l’aikido dans les différentes villes dans lesquelles je voyage. Au Mexique, où je suis actuellement, j’ai demandé à ma prof d’aikido pourquoi son club avait fait le choix de ne pas porter de masques et de pratiquer sans geste barrière pendant la pratique.

Elle m’a regardé, puis m’a répondu simplement : il fait chaud, et le soleil tue les virus.

Certes, l’explication n’est pas scientifique, mais depuis la fin de l’hiver, le nombre de cas et de morts baisse au Mexique (cela date d’avant l’arrivée du vaccin)

Leçon de l’histoire, reconnectons-nous à la nature, à la saisonnalité, mais également à notre corps, en renforçant notre système immunitaire.

Il y a quelques semaines, j’ai regardé le film “Vivante” de Alexandre Ferrini dans lequel des individus ayant vécu des maladies difficiles retrouvent la force de vivre grâce à une reconnexion à la nature, à l’alimentation et à une certaine spiritualité.

Thierry Casasnovas les guide dans cette régénération corporelle et mentale en leur proposant de confronter leur corps à des conditions extrêmes sur une courte période pour le rendre plus fort et résistant (températures froides, jeûne, cardio..)

Grâce à cette mise à l’épreuve du corps, l’immunité s’en trouve renforcée.

Sauna, jogging, jeûne intermittent, rééquilibrage alimentaire…on peut tous stimuler son immunité au quotidien (en étant suivi si on le sent mieux !)

Pour ma part, j’applique ces principes, ce qui m’a permis de renforcer mon système immunitaire (bien sûr, je ne nie pas qu’une part de génétique puisse aider).

 

Pour cela, on peut appliquer quelques principes de bases :

✅ Pratiquer une activité physique régulière (j’ai carburé avec la course à pied et le Hiit pendant le premier confinement)

✅ Manger des produits non transformés et variés (j’ai perdu 4kg pendant le premier confinement en combinant sport, et alimentation : moins de glucides, plus de protéines (en les variant), plus de légumes, moins de sucre, suppression des produits transformés, limitation de l’alcool (le diable c’est les skype apéros), sport à jeun, et quelques jeunes intermittents aujourd’hui)

✅ Limiter le stress : arrêter d’écouter les infos en continu, ça vous enlève du stress inconscient. L’écoute d’info en continu m’avait créé un dérèglement hormonal terrible, que j’ai pu régler en coupant toute info (alors que jusque là, l’écoute des infos ne me faisait ni chaud ni froid), en écoutant des sons binauraux, et en travaillant sur ma digestion (un naturopathe peut grandement vous aide)

Enfin, change d’air si tu peux le faire (j’ai quitté Paris au 2e confinement).

✅ Arrête de penser que les solutions toutes faites vont  t’aider à régler tes maux : somnifères, antidépresseur, vaccins sortis du chapeau, antibiotique automatique…Je n’ai pendant longtemps pas questionné cette médecine “dure”. Aujourd’hui, voyant que seule ma naturo faisait des liens entre mon mental et mon corps, et m’apportait des résultats concrets, j’ai pris mes distances avec les pilules magiques.

Je ne prendrai pas un vaccin sans prise de recul, alors que je suis en bonne santé.
Je ne prendrai pas de somnifère quand on peut prendre de la mélatonine
Je ne prendrai pas de traitement de surface pour la peau, quand on sait que le problème vient principalement des intestins
Je ne prendrai pas de doliprane si je sais que mon mal de tête est lié à de la fatigue
Si je déprime, je ferai tout mon possible pour sortir de cet état grâce à ma capacité de résilience.

Alors, prêt à prendre soin de ta santé ?

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Conclusion  :

J’ai toujours eu la chance d’avoir une bonne santé, et on ne peut nier le rôle de la génétique dans ce cadre. Mais des maux physiques et du stress m’ont permis de m’interroger sur mon rapport à mon corps : est-ce que je lui fais vraiment du bien au quotidien ? Est-ce que je le soigne comme il faut ? J’ai donc entamé une réflexion et un travail sur mon alimentation (rééquilibrage alimentaire), j’ai également challengé mon corps pour observer ses réactions (jeune intermittent) et booster mon immunité. J’ai travaillé sur mes problématiques de stress en revenant à l’essentiel : où se manifeste le stress dans le corps ? Aujourd’hui, je me suis ouverte à cette médecine naturelle, bien que je ne dénigre pas les bienfaits de la médecine traditionnelle dans certains cas. En plein voyage en Amérique latine, je découvre également que les plantes et les incantations sont une manière ancestrale de soigner les individus : pratiquant les soins énergétiques depuis près d’un an, je reconnecte ainsi avec ces pratiques ésotériques liant le corps et l’esprit, et qui m’ont débarrassée de nombreux désagréments du quotidien. Aujourd’hui, il me reste encore bien des blocages à lever concernant la médecine naturelle, mais j’avance à mon rythme. Voici donc mon premier retour d’expérience de ma découverte de la médecine naturelle !