Réflexions sur le fitness et l’entrepreneuriat, inspirées de Sissy Mua

Je viens d’écouter l’épisode de podcast InPower de Louise Aubery, avec comme invitée Sissy Mua.
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Aujourd’hui, Sissy n’est plus seulement une fitgirl, mais une entrepreneure à la tête d’un empire (une app, une boutique de vente de vêtement fitness, une boutique de vente de compléments alimentaires). C’est la personnalité fitness la plus influente de France.
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En tant que consommatrice de l’app Trainsweateat, et fidèle abonnée de Sissy Mua depuis le confinement (comme beaucoup d’entre nous), j’ai profité d’un aller-retour d’1h30 de métro pour tendre l’oreille.
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Voici d’abord quelques informations que j’ignorais sur elle :
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– Elle a fait une école d’ingénieur avec une spécialité biologie
– Elle a travaillé seule sur son business jusqu’à 2018
– Elle a été confinée à Paris
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Et voici quelques apprentissages de son mindset entrepreneurial (sous forme de citations).
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3 citations sur le business et l’entrepreneuriat par Sissy mua

– “Ne pas confondre le stress positif et le stress néfaste”.

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Identifier ces deux formes de stress nous permet de prendre les meilleures décisions pour notre business, et savoir si on se lance dans un projet, ou au contraire, si on n’est pas prêt à y aller. C’est avec l’expérience que Sissy, qui s’est mis dans le rouge à plusieurs reprises peut maintenant faire preuve d’une certaine lucidité sur la faisabilité d’un projet. N’oublions pas qu’il est possible de refuser une opportunité car le moment n’est pas opportun. Le timing compte tout autant que le feeling ! 
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– “Le désespoir fait vendre”. 

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Et oui, c’est malheureusement vrai. C’est d’ailleurs les business tournées vers la réussite sociale qui font le plus vendre :
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– La réussite financière, car notre société valorise les riches
– Le dating et la séduction, car la norme sociale est d’être en couple
– Le fitness et le culte du corps, car notre société préfère les personnes minces.
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Cela dit, on peut appâter les gens avec du marketing, et leur vendre quelque chose de bon pour eux. Donnez-leur ce qu’ils désirent, offrez leur ce dont ils ont besoin, pour reprendre un adage connu (Seth Godin, mais je ne m’aventurerait pas sur cette affirmation).
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C’est d’ailleurs ce que fait Sissy dans sa stratégie de marketing, et reconnait elle-même être entrée dans le monde du fitness pour les “mauvaises raisons” (l’apparence physique) mais avoir continué pour les bonnes (la forme physique, le dépassement de soi )
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– “Il ne faut pas faire ce qui ne nous rend pas heureux”. 

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Cette citation semble simpliste mais combien de gens aujourd’hui subissent leur travail ou pensent qu’ils n’ont pas le droit au bonheur dans leur vie personnelle ? L’absence d’épanouissement est un redflag. Le bonheur, un greenflag. En tant qu’entrepreneur, j’ai pendant un temps subi des stratégies marketing avec lesquelles je n’étais pas alignée. Résultats : pas de résultats. Le marketing est énergétique : si vous aimez ce que vous faites, vous rayonnez. Si au contraire, vous appréhendez une technique de vente, ou si encore, vous subissez votre métier, vous rebutez vos prospects.
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Et enfin, une citation de Louise Aubery, : “Un client satisfait en ramène 10, un client insatisfait en fait perdre 10”. 
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C’est tout l’enjeu d’une bonne relation client. En tant qu’entrepreneure, il m’est arrivée à plusieurs reprises de céder à des demandes de remboursement client pour m’éviter une mauvaise e-réputation. Dans un monde où tout va à 100 à l’heure, mieux vaut céder à court terme que de subir à long terme.
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Quelques réflexions sur le fitness, et le business d’une app à succès

Et pour finir, quelques réflexions sur le fitness et l’app Trainsweateat :
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Le fitness, une dynamique contradictoire :
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–  Une discipline ambassadrice du culte du corps et de la perte de poids dans une société où règne encore le diktat de la minceur.
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– Mais une discipline qui permet de développer la confiance en soi et l’intégration sociale, en augmentant sa forme physique et son apparence (sans pour autant proposer de transformation révolutionnaire)
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L’app Trainsweateat, économique et pratique à condition d’être au clair sur ses objectifs :
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– Tout d’abord, l’app est payante (mais à moindre coût), environ une dizaine d’euros par mois, mais les programmes proposés sont nombreux et intégrent les volets fitness et alimentation
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L’app propose un renouveau des programmes (un nouveau toutes les deux semaines environ), sur des thématiques différentes, avec ou sans matériel, ce qui permet de muscler différentes parties de son corps, de ne pas se lasser (et de se désabonner)
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– L’app est agréable à utiliser, les vidéos visuellement belles, et l’ambiance véhiculée par l’équipe donne une dimension humaine appréciable.
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– L’app est intéressante à condition d’être au clair sur ses objectifs. Comme le dit Sissy, on entre dans le fitness pour les mauvaises raisons (la perte de poids) et on y reste pour les bonnes (l’entretien physique), et cela a été mon cas.
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Aujourd’hui, mon corps n’est pas parfait mais je continue le fitness car :
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– C’est pratique et efficace : programme entre 15 et 30 minutes, avec ou sans matériel, à faire depuis chez moi.
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– J’adapte l’intensité du programme à ma forme physique.
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– Il y a suffisamment de vidéos pour ne pas me lasser.
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Je pratique en parallèle l’aikido et la marche régulière qui sont complémentaires, et mange sainement sans me priver. Cette combinaison me permet de rester en forme physique.
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Il manquerait bien sûr un coach personnalisé pour être sûr de bien pouvoir réaliser les exercices, mais le budget ne serait pas le même !
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Sur ce, bonne écoute !
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Entrepreneur et forte personnalité, un dosage au service de ton personal branding

Je vois beaucoup d’entrepreneurs apporter une attention particulière à l’image qu’ils donnent pour paraître irréprochable. Cependant, tu ne dois te forcer à adopter une posture sous prétexte que tu as une forte personnalité. Un personal branding marqueté, oui mais sans polir ta personnalité. Alors, comment opérer le bon dosage entre communication professionnelle et personnalité explosive ? On en parle dans cet article.

Dois-tu remettre en question ta personnalité si elle est clivante ?

Il y a quelques semaines, j’ai eu une discussion animée avec des personnes de mon entourage et je me suis remise en question : devrais-je modérer mes propos ? Ou encore lisser une partie de ma personnalité ? Devrais-je me soucier de la manière dont sont réceptionnés mes messages ?

Il n’est pas toujours aisé de savoir quelle est ta part de responsabilité dans une dispute. Es-tu allé trop loin ? Ou au contraire, as-tu bien fait de libérer ta parole ?

C’est ce qui m’est arrivé il y a quelques semaines dans un groupe WhatsApp de personnes que je pensais bien connaître et qui ont tenu de propos cinglants à mon égard. Je me suis donc immédiatement remise en question : suis-je trop vindicative ? Devrais-je édulcorer mes propos pour ne pas heurter la sensibilité/susceptibilité des autres ?

Et puis j’ai passé en revue les personnes les plus bienveillantes de mon entourage : mes amis proches.

  • Ai-je besoin de modérer mes propos avec eux ? Non.
  • Suis-je totalement moi-même avec eux ? Oui.

Tes amis proches, ou ta famille, qui te connaissent vraiment savent qu’il n’y a pas de malveillance dans tes affirmations. Ils sont fidèles car voient en toi des qualités qui les font rester auprès de toi. Ce sont eux qui resteront quand les autres partiront. Et c’est auprès d’eux qu’il faut que tu vois si tu as des ajustements à faire pour arrondir les angles 😉

En prenant conscience que j’étais globalement bien entourée et que jusqu’à présent, les seules personnes que j’ai fait fuir n’étaient pas des grandes pertes, j’ai décidé de ne plus lisser ma personnalité pour qu’elle plaise au plus grand nombre.

Fini les pincettes :

  • Sur le plan amical : à quoi bon s’entourer de personnes qui ne comprennent pas ton humour ?
  • Sur le plan professionnel : à quoi bon travailler avec un collaborateur qui ne respecte pas ton mode de fonctionnement ?

Toutefois, pour être sûr que le problème ne vient pas de toi, voici ce que je te conseille : observe les relations qui sont arrivées et sorties de ta vie. Lesquelles sont sorties ? Pour quelle raison ? Était-est-ce toujours pour la même raison ? As-tu des regrets ?

A partir de cette petite analyse rétrospective, tu peux voir si tu as des choses à travailler chez toi ou bien si tu as bien fait de faire le ménage dans ton entourage. Mais sache une chose : si tu cherches à lisser ta personnalité pour rentrer dans un cadre, le naturel reviendra au galop ! Alors voici mon conseil pour améliorer tes relations sociales : si quelque chose ne va pas, soit tu en parles, soit tu t’en vas.

La vie est courte, ton emploi du temps est souvent rempli : ne perd pas ton temps avec des relations malsaines ou énergivores. Alors à quoi bon changer ta personnalité pour elles ?

La neutralité peut être un piège dans ta communication et ton personal branding

La neutralité est souvent valorisée, car associé à une forme de maturité et de maîtrise de soi. Face à cela, une personne qui affirme des opinions plus tranchées serait trop vindicative. Mais la neutralité à toute épreuve peut être dangereuse : dans un contexte où une situation d’injustice se produit, ne rien dire, c’est laisser dire.

Ne rien dire quand un proche se fait “lyncher” pour des propos tenus, c’est laisser opérer la violence. Ne rien dire quand un gouvernement prive sa population de droits, c’est laisser une dictature se mettre en place. L’absence de prise de position peut être une prise de position en elle-même. Le silence est une réponse. Ne l’oublions pas.

A plusieurs périodes de ma vie, j’en ai voulu à certains proches de ne pas m’avoir défendue lorsque je me suis sentie agressée. Aujourd’hui, je considère que cette neutralité est surtout un manque de courage. C’est pourquoi, je suis fière de pouvoir prendre position de plus en plus souvent quand une situation me révolte. Et j’accepte aujourd’hui de subir les foudres de mes détracteurs.

Est-ce jeter de l’huile sur le feu ? Non, c’est être en accord avec soi-même. Certes, on peut mettre des formes, mais le message doit être clair et affirmé. Si tu veux être aligné avec toi-même et affirmer ta personnalité en tant qu’entrepreneur, je te conseille d’oser t’écouter et affirmer tes opinions. Même si elles vont à l’encontre de la pensée courante.

C’est en osant dire “non” ou “stop” que des grands noms de l’histoire ont émergé : Nelson Mandela, Rosa Park, Ghandi, Jean Moulin… La neutralité à toute épreuve n’a jamais fait ressortir de grands noms dans l’histoire.  La neutralité à toute épreuve est une forme de connivence.

Pour développer un fort Personal Branding, basé sur une personnalité affirmée, sois toi-même et ose t’exprimer ! Si tu veux apprendre à affirmer ta personnalité et sortir du lot, j’ai une bonne nouvelle pour toi : ma formation sur le Personal Branding va pouvoir t’aider ! Et elle est prise en charge par ton CPF !

Le personal branding, désormais un critère SEO pour grimper dans les résultats de recherche !

Le Personal Branding ouvre de nouvelles opportunités auxquelles on ne s’attendait pas … 

En effet, les dernières évolutions du moteur de recherche Google semblent indiquer que le Personal Branding devient un critère dans le calcul de l’algorithme des positions dans les résultats de recherche !

Nous allons donc voir dans cet article comment mettre en place une vraie stratégie efficace de référencement naturel à partir de son Personal Branding

 

Personal branding et SEO : au delà du jargon entrepreneurial, une utilité plus que prouvée

 

Le Personal Branding, ou littéralement “marque personnelle”, est l’art de transformer son identité en un atout pour la vente de vos prestations. 

Grâce au Personal Branding, vous êtes connu et surtout reconnu pour votre expertise, votre fiabilité, votre sérieux, etc. C’est un élément supplémentaire de confiance et de réassurance lorsque vous vous adressez à un prospect. 

Google, quant à lui, a pour mission d’apporter la meilleure réponse possible à la recherche d’un internaute. Cette démarche implique la prise en compte de multitudes de facteurs, qui ont fait naître un métier : l’optimisation du référencement naturel (SEO).

Le référencement naturel, c’est donc l’art d’être le premier sur Google sur une requête précise. Ce graal garantit à celui qui l’obtient un flux de trafic gratuit et très qualifié sur son site. En effet, contrairement à tous les autres canaux d’acquisition que vous connaissez (LinkedIn, Facebook, Instagram …), Google est encore aujourd’hui le seul à répondre à une intention. Lorsqu’un internaute visite votre site, c’est qu’il a recherché une information ou un service précis. Il a un objectif en tête. Au contraire, sur les réseaux sociaux, les informations (organiques ou publicitaires) sont affichées aux utilisateurs sur la base de connexion sociale, d’intérêts et de comportement, mais l’intention n’est pas aussi directe que sur un moteur de recherche. 

Cette différence structurelle fait de Google, encore aujourd’hui, un canal de choix pour acquérir un trafic régulier, qualifié … et gratuit !

En 2019, Google a introduit un concept en particulier qui a clairement un impact sur le SEO : E-A-T pour Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness ou en français, l’expertise, l’autorité et la fiabilité. Il s’agit de critères qui viennent alimenter la notation de la qualité d’un site web. 

Il y a quelques mois seulement, Google a d’ailleurs publié les nouvelles consignes d’évaluation de la qualité de sites web qu’il donne aux “Search Quality Raters” (SQR). Ces SQR ont pour mission de tester manuellement et faire un retour détaillé à Google sur la qualité des résultats de recherche du moteur. Les SQR sont invités à regarder de près les 3 critères cités plus haut que sont l’expertise, l’autorité et la fiabilité d’un contenu et de son auteur. Ces 3 axes leur permettent d’évaluer la qualité d’une page sur une échelle allant de “Lowest” à “Highest”. 

Et c’est là que le sujet devient très intéressant pour toutes celles et ceux qui souhaitent utiliser le Personal Branding comme une nouvelle arme de leur SEO ! 

En effet, Google demande clairement aux SQR de vérifier les sources et les profils des auteurs et éditeurs de contenus dans le cadre de la notation

Ils sont ainsi plusieurs milliers à tester le moteur de recherche et en évaluer la pertinence des résultats chaque année.

Naturellement, ces consignes sont une mine d’or pour comprendre la philosophie actuelle du référencement naturel et la direction vers laquelle veut tendre Google pour s’améliorer. Historiquement confidentielles, elles sont désormais mises à disposition dans un sympathique document de 168 pages. 

 

 

Booster son SEO grâce au Bersonal branding en 6 étapes. 

 

Alors capitaliser sur sa marque personnelle pour améliorer son référencement naturel ? Il y a un certain nombre de bonnes pratiques que nous allons détailler ici, avec le nouveau prisme E-A-T de Google.

 

  1. Créer un site avec son nom

 

Lorsqu’on se lance en tant que freelance et que l’on souhaite travailler sur son Personal Branding, se pose généralement la question du nom de domaine. 

  • Dois-je utiliser une marque ? 
  • Dois-je utiliser mon nom propre ? 

Sur ce point, l’approche EAT de Google confirme ce que l’on pouvait supposer : il est indispensable d’utiliser son nom propre lorsque l’on parle de personal branding. Google doit pouvoir vous identifier, au même titre que vos prospects. Le moteur de recherche est aujourd’hui capable sans difficulté de comprendre ce que sont des “entités nommées”, autrement dit des noms propres. Il ne serait donc pas surprenant qu’il soit capable de catégoriser les individus selon leur savoir-faire. Pour que le message soit bien clair, il vous faut créer un site avec votre nom. 

 

     2. Respecter les fondamentaux du SEO “on page” 

 

Le SEO “on page”, c’est l’optimisation de votre site Internet pour le référencement naturel.

 

Une fois votre nom de domaine choisi, votre site Internet doit respecter naturellement les fondamentaux techniques que Google attend. C’est l’axe “Trustworthiness” du modèle E-A-T (ou fiabilité) qui est en jeu. Comment prouver à Google que vous êtes fiable ?

 

Parmi les grands principes : 

  • Le site Internet doit être rapide quelle que soit la connexion internet de l’internaute. 
  • Le site Internet doit être sécurisé : utiliser le protocole https.
  • Le site Internet doit être mobile : le site et son contenu doivent s’afficher de manière optimale, quel que soit l’appareil utilisé pour le consulter (smartphone, tablette, ordinateur..)

 

Il existe un certain nombre de critères à parfaitement respecter que vous pouvez d’ailleurs retrouver dans ces cours gratuits SEO.

 

    3. Identifier votre expertise et créer le bon contenu

 

Nous l’avons évoqué, le référencement naturel, c’est une question de mots-clés. Il faut lister les mots-clés sur lesquels on souhaite remonter. Pour les identifier, il est nécessaire de se poser les bonnes questions autour de son persona (votre cible)

  • Quel est mon coeur de métier ?
  • Qu’est-ce que j’apporte aux gens ? 
  • Quels problèmes est-ce que je résous pour eux ?
  • Quels sont mes points de différence de mes concurrents ?

 

A partir de ces réflexions sur votre audience, vous pouvez poser des hypothèses sur les mots-clés que les internautes peuvent utiliser pour vous trouver. L’enjeu n’est pas d’avoir un mot-clé recherché par des milliers de gens, bien au contraire. Il faut identifier les quelques requêtes, au démarrage, qui apporteront peut-être un trafic faible, mais extrêmement qualifié. 

Pour lister ces mots-clés, n’hésitez pas à interroger vos prospects ou vos anciens clients si vous en avez :

  • qu’aurais-tu recherché sur Google ? 
  • quels mots-clés me correspondent selon toi ? 

 

Une fois les premières hypothèses posées, vous pouvez :

  • analyser la concurrence : qui remontent sur ces requêtes ? Quelle est la qualité de leur contenu ? Comment puis-je apporter plus de valeur ajoutée aux internautes (et donc à Google !)
  • élargir votre recherche de mots-clés en utilisant des outils gratuits comme Ubbersuggest.

Cette liste de mots-clés vous permet ensuite de construire votre stratégie de contenus. Rappelez-vous : un mot-clé pour un contenu

La qualité de votre contenu sur votre activité viendra alimenter le E de E-A-T : votre Expertise. Google est aujourd’hui capable de donner une note très précise de votre savoir-faire. Ne le décevez pas !

    4. Le maillage interne

 

Le maillage interne est probablement le facteur d’optimisation d’un site Internet le plus efficace et moins utilisé par les webmasters. Le maillage interne, c’est la création de liens entre vos différents contenus. 

C’est une exercice difficile mais tellement indispensable ! Malheureusement, les plateformes comme WordPress, contrairement à ce qu’on pourrait penser, n’aident pas et génèrent parfois pleins de liens qui viennent disperser vos efforts. Vos liens doivent être intelligemment positionnés pour que cela ait du sens pour vos internautes et pour Google. Evitez les systèmes tags et autres nuages de mots par exemple, qui créent parfois des liens entre des articles qui n’ont rien à voir les uns avec les autres !

 

    5. Gérer sa visibilité sur les différentes plateformes

 

Cela peut paraître évident, mais votre visibilité en ligne va contribuer à votre Expertise et votre Autorité. Pour l’augmenter, pensez à identifier tous les réseaux sur lesquels il est pertinent pour vous d’être présents. 

 

           a) Google My Business

 

C’est un incontournable : il vous faut une page Google My Business ! Elle permet :

  • de récupérer des avis de vos clients
  • d’indiquer à Google où se situe votre activité et donc vous faire remonter par dessus votre site Internet dans des encarts dédiés.

 

A ce sujet, dans votre réflexion autour de vos mots-clés, n’oubliez pas la dimension locale !

 

Certes, votre activité peut peut-être se faire en ligne. Donc oui, vous pouvez en théorie vous adresser au monde entier. Mais peut-être que vos visiteurs n’ont pas cela en tête et chercherons un expert proche de chez eux !

La dimension locale, dans une logique de Personal Branding, est cohérente et plutôt attendue par Google. Elle ne sera pas bloquante si votre activité s’accélère à une échelle nationale voire internationale.

 

        b) Les réseaux sociaux

La relation entre Google et les réseaux sociaux a toujours été très ambivalente. D’un côté, Google aimerait beaucoup avoir accès aux informations qui y sont partagées. De l’autre, les réseaux sociaux les gardent jalousement car elles sont justement leur richesse.

Et en même temps … Google reste un canal d’acquisition pour les réseaux sociaux justement, donc il a accès parfois à certaines données. Par exemple :

  • la partie publique de votre page Facebook
  • vos articles Medium
  • vos articles LinkedIn

 

Ici, il faut être habile pour éviter de tomber dans le piège du duplicate content (le contenu dupliqué est pénalisé par Google). Plusieurs options s’offrent à vous : 

 

=> 1ère option. La meilleure selon moi est d’avoir un contenu adapté à un média : ce que vous publiez sur un réseau social est différent de ce que vous publiez sur un autre et sur votre site. Le format, le ton et l’approche doivent s’adapter aux règles de chaque canal pour en garantir le meilleur impact. Mais c’est du boulot ! 

 

=> 2ème option. Lorsque vous réutilisez sur votre site un contenu que vous publiez sur une partie publique d’un réseau social, utilisez la balise “Canonique” qui indique à Google que le contenu de votre site est une duplication volontaire d’un contenu présent ailleurs. Cela vous évitera des déconvenues.

 

Par ailleurs, Google considère aussi que l’expertise peut aussi être tout à fait informelle : il existe des experts dans tous les domaines, qui sont des amateurs passionnés et qui créent du contenu de grande qualité. Cela peut signifier que Google va également analyser dans tous les cas :

– Les contributions de qualité des auteurs sur des sites comme des forums ou des espaces de Q&A (Quora …)

– Les articles invités de qualité

– Les avis sur des sites comme Yelp, Amazon, Google Shopping …

 

       6. Optimisez votre autorité

 

La question de l’autorité a pour ancêtre celle des fameux “back-links”. Autrefois, Google suivait l’adage suivant : “Plus vous avez de liens retours, plus vous gagnerez de positions dans les résultats de recherche”.

Mais les temps ont bien changé ! 

 

Même si la présence de liens retours contribuent sans aucun doute aujourd’hui au référencement naturel, l’impact est bien plus nuancé. Google regarde de nombreux critères autour du lien, comme : 

  • l’autorité du domaine : est-ce que le lien est placé sur un site lui-même de confiance ?
  • le contexte du lien : le lien placé est-il dans un contexte de contenu qui fait sens pour l’internaute (dans un article ..)
  • l’ancre du lien : est-ce qu’elle n’est pas trompeuse ?
  • etc ..

 

Mais dans le cadre de l’autorité, Google va certainement analyser de nouvelles sources de données comme les citations en tant que source (sans nécessairement de back-links !) sur des sites à forte autorité (Comme Wikipedia par exemple ou des journaux). 

 

Pour résumer, Google cherchera à répondre à la question : parle-t-on de cet individu ? Est-il reconnu comme une référence sur son domaine ?

 

Conclusion et quelques astuces EAT !

 

D’autres bonnes pratiques peuvent être suivies pour booster votre E-A-T :

  • Les informations qui concernent l’auteur/l’éditeur de votre site web doivent être facilement accessibles. 
  • L’auteur du contenu d’une page (un article …) doit être clairement stipulé
  • La réputation (les avis) doivent être au global très positifs (Mais Google comprend très bien qu’on ne peut pas avoir 100% de satisfaction, donc pas d’inquiétude en cas de pépin!)
  • L’autorité de l’auteur est reconnue : prix remportés, etc …. Il ne faut donc pas hésiter à rappeler son parcours sur une page “Auteur” de votre site par exemple.

 

Par ailleurs, Google donne des exemples d’actions manuelles à réaliser par les fameux SQR pour vérifier la réputation d’un site ou d’un auteur. Vous pouvez d’ailleurs vous-même faire cet exercice avec votre propre identité. 

Par exemple, pour vérifier la réputation d’un site comme yezalucas.com :

 

  • [Yeza Lucas -site:yezalucas.com]: Une recherche qui concerne Yeza Lucas et qui exclut le site yezalucas.com

 

Ce type de recherche serait-il également automatiquement intégré dans l’algorithme de Google … ? Nul ne sait !

 

Mais il est vraisemblable de penser que Google tente d’automatiser les tâches qu’ils demandent de réaliser aux SQR, et de confronter les résultats avec l’analyse humaine. 

 

Historiquement, quand on parlait de référencement naturel, on parlait d’un triptyque contenus, performance et de back-links. Le sens de l’histoire, c’est un nouveau paradigme bien plus large où les contenus deviennent l’expertise, la performance devient la fiabilité et les back-links sont l’autorité. Le personal branding en ce sens pourrait donc devenir un critère majeur du SEO dans les prochaines années !

 

Cet article est proposé par Edouard Schlumberger, fondateur de Oudini et coach SEO.

Stratégie de contenu et copywriting, les 2 indispensables de ta communication

Avoir un business en ligne demande de te rendre visible pour pouvoir sortir du lot et rentabiliser ton entreprise. Réseaux sociaux, newsletter, blog, podcast, les formats sont aussi nombreux que intéressants mais il est indispensable de mettre en place une stratégie de contenu adaptée pour avoir des résultats à moyen et long terme. Et quoi de mieux qu’utiliser le copywriting pour créer des contenus qui te ressemblent ? Je t’explique comment bien combiner ces deux outils qui peuvent sont la base de toute communication réussie !

Commencer par poser les bases avec une stratégie de contenu

Tu as certainement entendu parler de génération de lead, de développement d’audience et tu te demandes sans doute comment parvenir à atteindre de tels objectifs. Et si je te disais que ta stratégie de contenus peut être déterminante et être un puissant outil pour y parvenir ?

Il n’y a pas de recette miracle et tous les entrepreneurs qui t’inspirent ont adopté cette même méthode : une stratégie de contenu adaptée et une écriture personnelle pour développer leur marque. Avant tout, ta stratégie de contenu doit te permettre d’atteindre tes objectifs à moyen et long terme et doit être adaptée à ta cible.

Mettre en place une stratégie de contenu nécessite :

  • Une audience cible. Cela ne sert à rien de vouloir plaire à tout le monde. Demande-toi à qui tu souhaites t’adresser, en général il s’agit d’une audience que tu peux transformer en clients.
  • Des idées de sujet. Note toutes les questions auxquelles tu souhaites répondre. Tu peux t’inspirer de ton expérience, de questions posées par ton entourage, de la veille que tu fais autour de ton domaine professionnel, de l’actualité…
  • Un support adapté : ne te lance pas dans la vidéo ou le podcast si tu n’es pas à l’aise avec ces médias. Tu peux très bien commencer par un blog et une newsletter et diversifier tes supports de communication dans quelques mois, rien n’est figé !
  • Lister des médias à forte audience sur lesquels tu aimerais apparaître pour gagner en visibilité

Tu l’as sans doute compris, tu dois penser à une communication qui se veut efficace, réalisable et qui te ressemble ! Ces 3 critères rendront ta création de contenu agréable et tu y prendras du plaisir, sinon ça se ressentira et ça ne marchera pas !

Pour lister tous ces éléments, tu peux tout simplement créer un tableau ou tout regrouper sur un logiciel tel que Trello pour avoir une vision globale de tes actions à mener dans les semaines à venir.

Du copywriting à ton image !

Créer du contenu nécessite de respecter quelques règles de base, notamment en référencement naturel si tu souhaites te lancer dans un blog. En plus d’avoir une structure claire de tes contenus (titre, introduction, sous titres pour chaque paragraphe, conclusion et visuels adaptés), il faut te demander par rapport à quel mot clé tu souhaites apparaître sur les moteurs de recherche. Rien ne sert de viser le mot clé « graphiste » si tu es par exemple rédacteur web. Tes contenus doivent respecter une certaine logique sur plusieurs aspects.

Après avoir listé les idées de sujets que tu aimerais développer, tu vas naturellement te dire que ça ne sert à rien puisque ces sujets sont déjà traités. Je vais simplement ajouter une chose : tous les sujets ont déjà été abordés par de nombreuses personnes mais aucune n’a ton vécu, ton regard, ton expertise alors fonce !

Pour créer des contenus qui te ressemblent, le copywriting peut être ton meilleur allié ! On veut connaître ton point de vue, ton caractère, te découvrir à travers ton écriture si tu lances un blog. En clair, on a envie de découvrir ta personnalité pour faire appel à tes services et on appelle ça le branding ! N’essaie pas de ressembler aux autres dans le style d’écriture, utilise le ton qui t’est propre. Si ton univers est décalé, montre-le et ne te force pas à avoir un ton plat ou corporate. Tu as envie d’aborder un sujet sensible ou quelque peu tabou comme l’échec ou les difficultés au quotidien de l’entrepreneur ? Ce genre de sujet fait toujours réagir et permet aussi de connaître ton avis, je ne peux que te conseiller de le faire !

Ta personnalité, ton authenticité, les valeurs que tu véhicules à travers tes contenus, le lien que tu vas créer, voilà ce que l’on veut ressentir peu importe le sujet !

Tu peux d’ailleurs compléter par une présence sur les réseaux sociaux où tu partagerais un peu ton quotidien, sur Instagram par exemple ! Mais revenons à notre stratégie de contenus au service de tes objectifs.

Pour te faire connaître davantage, penses à proposer des articles invités que tu peux écrire sur les sites d’autres entrepreneurs ou sur des médias influents. Quoiqu’il en soit, tes contenus doivent avoir un objectif clair :

  • apporter une information sur un sujet
  • répondre à une problématique
  • te positionner en tant qu’expert

La base de toute communication reste la régularité, il est donc important de t’amuser dans ta stratégie. Ne te force pas à écrire 2 contenus par semaine si tu es plus à l’aise avec un contenu par semaine et une newsletter tous les 15 jours par exemple. Tu pourras réajuster à tout moment et pourquoi pas varier ton format de communication. Après tout, tu auras peut-être envie de lancer ton propre podcast dans quelques mois !

Petit conseil : pour ne pas te noyer dans ta communication, je te conseille d’avoir des contenus d’avance grâce à un planning éditorial . Cela te permettra d’avoir l’esprit tranquille et de ne pas te mettre de pression supplémentaire chaque semaine en voyant que tu n’as pas écrit d’article !

Sois réactif pour une stratégie de contenu efficace !

Ta stratégie de contenu ne peut se faire sans une veille. Pour cela, des actions simples peuvent être mises en place comme :

  • Analyser les plus lus, partagés, commentés : cela te permettra d’ajuster ta stratégie
  • Répondre à une question posée par une personne de ton audience à travers un article dédié si tu estimes qu’un post sur les réseaux sociaux ne suffit pas
  • Te tenir au courant de l’actualité dans les thématiques que tu souhaites aborder, pour avoir de nouvelles idées de sujets ou réagir à une information importante

Ce type d’action te permet d’avoir une communication parfaitement adaptée à ton audience, prouve que tu prends en compte les retours de tes abonnés, que tu sais réagir rapidement. Enfin n’ignore pas tes abonnés : réponds à leur commentaire, sois disponible. Cela contribue grandement à ton image de marque. Il serait dommage de produire du contenu et ne pas te montrer présent ensuite. Tu peux par exemple dédier une plage horaire quotidienne pour montrer à ton audience que tu ne l’oublies pas et souhaite garder un lien privilégié. Ne l’oublie pas, chaque action compte ! 

Conclusion :

Communiquer n’est pas toujours facile et un regard extérieur peut parfois nous aider y voir plus clair et confirmer nos choix. Si tu es perdu dans ta stratégie de communication ou si tu estimes avoir besoin d’aide pour atteindre tes objectifs, n’hésite pas à me contacter pour que l’on voit comment je peux t’aider. Et si tu as envie de mieux comprendre comment le copywriting fonctionne, n’oublie pas qu’une formation gratuite est à ta disposition !

Réserve ton appel découverte : https://calendly.com/yezalucas/appel-decouverte

[Etude de cas] 5 marques françaises devenues mémorables grâce au storytelling

Dans le domaine du marketing, plus précisément le marketing de contenu, le storytelling est un terme très fréquemment utilisé. Si ce terme ne t’est pas familier ou que tu n’arrives pas à lui donner une définition, sache que concrètement : le storytelling, c’est l’art de raconter des histoires. A l’écrit, à l’oral, peu importe le moyen. L’objectif de ce type de contenu est de marquer durablement les esprits en racontant une histoire authentique, qui permet de s’identifier à une personne ou à une marque. Pourquoi en passer par ce type de stratégie marketing ? Pour devenir une marque plus forte, développer l’adhésion d’une communauté de fans, développer sa notoriété.

Apple, Nike, Disney… ce ne sont pas les produits qui nous viennent à l’esprit quand on pense à ces grands noms de l’industrie américaine. Non, on pense à des univers bien singuliers. Et ces univers sont mémorables grâce à un puissant storytelling autour de ces marques fortes dans des domaines concurrentiels. Les marques qui utilisent le storytelling ne se différencient pas par une politique de prix agressive mais par un sentiment de confiance autour de la marque en question.

En France, le storytelling est également utilisé par les marques pour toucher l’imaginaire des consommateurs dans le but de les transformer en nouveaux clients. Un storytelling réussi fait appel aux éléments suivants : des valeurs, une identité visuelle, une histoire, un ton, un positionnement. Devenir une marque forte grâce au storytelling, c’est le cas de 5 marques que j’ai choisi d’étudier dans cet article. 

Ysé : la marque de lingerie  qui montre de vrais corps de femmes

Créée en 2012, Ysé opte pour un positionnement bien particulier dans l’univers de la lingerie féminine : sublimer le corps des femmes grâce à la lingerie. Ysé entend montrer des femmes de tous les jours : avec des formes, et un petit bonnet.  Et pour ça, la marque choisit de ne pas tricher et offre des produits sans rembourrages pour permettre aux femmes d’aimer leur corps tel qu’il est. La marque mise également sur la qualité, en adaptant ses modèles à différentes morphologies de petits bonnets, car tous les seins ne sont pas les mêmes. Ces produits sont d’ailleurs fabriqués principalement en Europe grâce à un savoir-faire local.

Ysé s’est faite connaître par des campagnes de lingerie cohérentes dans laquelle elle montre des femmes aux corps “imparfaits” (selon les standards de la mode). Des femmes auxquelles il est facile de s’identifier. Dans la longue description du post ci-dessous, les lectrices sont invitées à consulter la page A propos de la marque pour se familiariser avec ses valeurs. C’est d’ailleurs cette identification aux mannequins et à la marque qui crée de l’engagement autour d’Ysé sur les réseaux sociaux.

A travers son positionnement, Ysé met en avant ses valeurs. La marque offre des produits d’une grande qualité fabriqué principalement en Europe grâce à un savoir faire local. Et derrière ces valeurs, il y a quatre femmes : Laura, Caroline, Daphné et Charlotte. Dans la page A propos de son site web, le storytelling de Ysé est mis en avant grâce à une humanisation de la marque, par son histoire. Cette histoire, c’est celle des parcours croisés des quatre fondatrices qui, grâce à leurs expériences ont voulu proposer des produits répondant à un besoin essentiel : sublimer le corps des femmes grâce à une lingerie d’exception.

Ce qu’il faut retenir de la marque : Ysé, c’est donc une marque forte, humanisée, définie par un storytelling axé autour d’un positionnement et de valeurs bien définis. Ysé choisit donc de construire une stratégie de façon à créer une marque d’appartenance.

 

Energie Fruit : un savoir faire local pour des produits de beauté naturels

 

Au rayon beauté de votre magasin Monoprix se trouve une autre marque française qui prend une certaine ampleur : il s’agit d’Energie Fruit. Cette marque a construit son univers et son branding d’une identité visuelle forte puisque le dessin a une place prédominante. C’est ce trait artistique qui rend la marque si facilement reconnaissable.

Au delà de son identité visuelle, Energie Fruit a vraiment travaillé son storytelling en présentant l’histoire de ses deux fondatrices. Histoire que l’on retrouve dans le packaging de tous leurs produits et dont le nom des fondatrices est présent sur le logo. Cette histoire, c’est celle de Sophie et Carole-Ann, deux citadines qui ont décidé de déménager avec leurs familles respectives dans le sud de la France, en Provence, pour créer leur entreprise de produits de beauté.

 

Un logo au nom des fondatrices

                                                   

                      

 

La page A propos (notre aventure) n’est pas négligée. Au contraire, c’est une des pages les plus importantes du site web.Toute l’histoire et le concept de la marque y sont résumés.

 

La vidéo de présentation de la marque est d’ailleurs principalement axée vers le storytelling des fondatrices, plus que sur les produits proposés :

https://www.facebook.com/EnergieFruit/videos/1894004527304957/

 

Ce qu’il faut retenir de ce storytelling vidéo :

  • Energie Fruit, c’est d’abord une grande amitié
  • De cette amitié est né un projet commun
  • De ce projet, impliquant toute la famille, en résulte un lieu : la Provence
  • De ce lieu proviennent 95 % des composantes des produits : locaux et naturels
  • Ces produits, sont, à l’image de la vie des deux fondatrices : pour toute la famille

Merci Handy : vendre des gels hydroalcooliques sans passer pour un hypocondriaque 

 

Restons dans un univers coloré avec Merci Handy ! Merci Handy ce sont ces produits de beautés aux couleurs d’arc-en-ciel. Merci Handy s’est principalement fait connaître avec ses gels hydroalcooliques ayant pour mascotte une licorne. Qu’est-ce qui fait le bon storytelling de cette marque par rapport à celui des concurrents ?

D’abord, un copywriting propre à la marque.

 

  • Un slogan catchy : Merci Handy ! Facile à retenir, impactant.
  • La punchline de la marque est également décalée : “nous créons des cosmétiques du quotidiens pratiques et colorés avec des ingrédients cleans et des extraits d’arc-en-ciel”. Le message est clair : tout est dit.
  • Le ton employé est également maîtrisé : simple, avec un tutoiement et un humour qui crée une proximité avec sa communauté.
  • Les noms des produits, sont eux également décalés : unicorn, namasté, flower power en disent long sur l’univers dans lequel Merci Handy nous propulse

 

Exemple de page à propos du site au ton décalé, empreint d’humour

 

Ensuite une identité visuelle à l’image du copywriting utilisé par la marque : il s’agit d’un univers de marque à prendre au 1000ème degrés à l’image d’une marque qui ne se prend pas au sérieux. Les arcs-en-ciel et les licornes sont omniprésents dans la communication de Merci Handy. On parle des licornes comme si elles existaient et on les fait vivre dans les produits vendus. On est donc bien loin d’un univers ultra corporate de bien des marques de ce domaine !

Les ingrédients magiques et les larmes de licornes

 

Enfin, une communauté très engagée autour de la marque sur les réseaux sociaux. Merci Handy a construit son univers pour une communauté de fans de licornes et crée de l’engagement avec elle sur Facebook et Instagram : jeux concours, challenges, questions et défis sont au programmes des publications sur ces deux réseaux sociaux. La marque raconte également des histoires, notamment sur Instagram :

Publication Instagram sur le compte de Merci Handy

Sur Facebook, le ton est également décalé mais les publications sont différentes. La marque a déployé une réelle stratégie de communication adapté à chaque réseau social. La stratégie de communication se veut friendly et ça marche, l’e réputation de la marque se fait toute seule, les clients et abonnés en sont les meilleurs ambassadeurs. Cet univers quelque peu décalé est toute la force de cette marque et joue des codes et des conventions pour marquer les esprits. Quoi de mieux pour fidéliser une audience ?

Publication Facebook sur la page de Merci Handy

 

Ce qu’on doit retenir du storytelling de Merci Handy : une communication moderne et décalée pour nous projeter dans un univers singulier : celui de la licorne. C’est grâce à ce 1000ème degré d’humour que la marque a créé un storytelling unique. Une stratégie osée pour se différencier avec brio dans un secteur ultra concurrentiel !

 

Adopteunmec : permettre aux femmes d’être aux rênes de leur vie sentimentale

 

Autre univers, autre marque : l’univers du dating. Et le plus populaire en France reste…Adopteunmec !  Adopteunmec, c’est un univers aux couleurs rose bonbon et noir, mêlant un aspect girly et noir. D’une part la féminité et  le sentimentalisme, d’autre part, le mystère et l’élégance. Pourquoi parler du storytelling d’Adopteunmec ?

 

Parce qu’il est très fort ! Si adopteunmec est une marque forte aujourd’hui, c’est grâce à plusieurs points :

  • Un copywriting provocateur. Adopteunmec, c’est d’abord un slogan accrocheur et significatif à l’image du “pourquoi” de l’entreprise :  adopteunmec, c’est un site qui donne le pouvoir aux femmes d’être actrices de leur vie sentimentale. En termes de copywriting, le vocabulaire utilisé par la marque est provocateur : on parle de panier, de produits locaux, de nouvelle collection. En somme, les hommes sont chosifiés comme sur un étalage de produits en grande surface.

Devanture du site web d’Adopteunmec, à l’image d’un site e-commerce.

  • Un univers intimiste ou les moeurs sont inversées : lorsque l’on se balade sur le site web, on est très rapidement projeté dans un univers de boudoir rose bonbon où la femme est reine. Elle ne sont pas cueillies, mais au contraire, choisissent les fruits à mettre dans leur panier. La métaphore du supermarché est ici très forte, notamment à travers le logo de la marque. Donner aux femmes le pouvoir de choisir, c’est d’ailleurs l’objet de la nouvelle campagne de publicité d’Adopteunmec que l’on peut voir dans les rues et métros.

 

Cendrillon est maintenant un jeune homme regagnant son carrosse

 

  • Des contenus réguliers véhiculant le message de la marque : articles de blog, événements, réalisations, témoignages clients sous forme d’anecdote…les contenus invitent le visiteur à faire sien le message de la marque : grâce à Adopteunmec, on peut réellement trouver l’amour. La ligne éditoriale est adaptée aux objectifs tout en tenant compte du public cible pour lui apporter des contenus de valeur.

 

Ce qu’il faut retenir du storytelling d’Adopteunmec : un positionnement singulier pour renverser les tendances des sites de rencontre. Un copywriting volontairement provocateur pour créer un univers singulier autour de la femme. Un message clair et identifiable grâce à des contenus réguliers et des visuels très reconnaissables. En clair, une stratégie assumée, des mots clés pertinents… autant d’éléments qui font tout le succès de la marque.

 

Marie Morin : des desserts comme à la maison 

 

Et pour finir, j’avais envie de parler d’une marque que j’apprécie tout particulièrement : il s’agit de Marie Morin ! Marie Morin, c’est le haut de gamme du dessert. La première fois que j’ai goûté un dessert Marie Morin, j’ai gardé en tête le goût et la qualité du produit. Je n’ai jamais été déçue par aucun dessert !

Alors que dire du storytelling de Marie Morin ?

Le message de la marque est clair : proposer des desserts comme à la maison. Et pour répondre à ça, la marque mise sur une qualité de produits exceptionnelle. Contrairement aux marques présentées précédemment dans cet article, Marie Morin séduit d’abord par ses produits avant de séduire par son histoire.

C’est en étant marquée par la qualité des produits, que je me suis renseigné sur la marque. Et là, très belle surprise quand j’ai découvert que les produits étaient issus d’une entreprise familiale bretonne. C’est l’histoire de Marie et Alain Morin et de leurs enfants, qui ont décidé de travailler ensemble à la création d’un projet commun, aujourd’hui exporté outre atlantique.

Le packaging est d’ailleurs à l’image des valeurs et de l’histoire de l’entreprise : des produits uniques, vendus à l’unité, dans des pots en verre, en signe de durabilité. Le logo est simple mais percutant : le noir évoque ici le haut de gamme et le jaune, la chaleur des produits maisons.

Le storytelling de la marque est également basé sur un savoir faire local : des produits français, du terroir, avec des ingrédients naturels. C’est la touche Marie Morin.

La transparence et la traçabilité de la marque Marie Morin

Le savoir-faire local de Marie Morin est également mis en avant dans les contenus proposés par la marque : chaîne Youtube et blog invitent le visiteur à consulter les recettes des produits proposés, mais également de rencontrer les fournisseurs locaux pour suivre la traçabilité des produits. Cette transparence permet au consommateur d’avoir une grande confiance en la marque.

Ce qu’il faut retenir de Marie Morin : Une marque unique dont la communication n’est pas omniprésente mais une qualité qui fait la différence et qui lui permet de se distinguer de ses concurrents. Son histoire familial lui permet un storytelling attachant.

Conclusion

A travers cet article, j’ai voulu présenter 5 études de cas de marques françaises dont le storytelling les rend uniques. Sans être toujours proches des projecteurs, ces marques touchent une communauté spécifique grâce à un message impactant et ciblé. C’est de cette manière et grâce à un positionnement singulier, qu’elles ont pu raconter leur histoire et devenir des références dans leur milieu, et même au-delà. Pense donc à étudier ton marché, tes cibles, à définir ta stratégie et créer des contenus ciblés. En plus de développer ton référencement naturel, cela te permettra de promouvoir l’image de marque qui te définit le mieux !

 

👉 Si tu veux aller plus loin, j’ai crée une formation gratuite sur le formation sur le copywriting, qui te permettra de vendre plus facilement et de fédérer une audience autour de ton activité grâce à ta plume.

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus 🤠

Dévoiler ma véritable personnalité m’a permis de reconstruire mon business

Entrepreneure depuis presque deux ans, je me suis lancé bille en tête sans questionnement sur mes réelles aspirations. J’ai quitté le salariat dans l’urgence, car je ne le supportais plus, mais sans pour autant avoir un projet entrepreneurial rodé, et encore moins une réflexion sur mes désirs personnels les plus profonds. Mon objectif : la réussite (laquelle ?). Mon talon d’Achille : la mauvaise connaissance de moi. Résultats : en quasiment deux ans, j’ai réalisé trois pivots dans mon activité car je n’étais pas alignée, et surtout ne m’étais jamais posé la question de mon propre épanouissement professionnel. Aujourd’hui, j’ai décidé de révéler ma réelle personnalité, avec son lot de sensibilité et de fragilité. Aujourd’hui, j’ai décidé de mettre mon histoire personnelle au service de ma communication pour être encore plus authentique. Aujourd’hui j’arrête de me censurer pour rester alignée.

Toute une vie professionnelle sous le signe du devoir et de la contrainte 

J’ai passé ma scolarité et le début de ma vie professionnelle à essayer de rentrer dans des cases : avoir de bonnes notes, avoir un boulot stable, avoir un conjoint, avoir un appartement bien comme il faut. Ma vie était dictée par le signe de la pression sociale. Mon estime de moi était dépendante de ma réussite sociale et professionnelle. J’adaptais ma personnalité aux attentes de mes relations sociales et affichais l’image que je pensais qu’on attendait de moi. La perfection était donc mon ultime quête. La comparaison, ma manie la plus destructrice. Si tu es familier avec les tests ennéagramme, je suis le type 3, le battant, qui dans ses périodes les plus sombres, cherche à être aimé pour sa réussite et non pour qui il est.

Et puis j’ai compris que je n’y arriverais pas. Je ne pourrais pas faire semblant d’être heureuse dans un job qui me tuait jour après jour. Je ne pourrais pas être en couple juste pour être intégrée socialement. Je ne pourrais pas faire semblant de vivre une vie qui n’est pas la mienne. Quitter mon emploi salarié a été la plus importante, la plus courageuse (et sûrement la meilleure) de mes décisions prises ces deux dernières années. Je suis sortie de mon grand sommeil comme le dit si bien Jen Sincero. Mais le plus dur restait encore à venir.

Je me suis lancée comme freelance en communication digitale sans trop préparer mon lancement. La communication digitale, c’était rassurant, j’en avais un peu fait lors de mon dernier job salarié. Je ne me suis donc pas posé de questions et suis partie sur cette lancée : je serai community manager. Et puis je me suis ennuyée. Le manque de stimulation intellectuelle m’a donc dirigée vers le consulting en communication digitale, qui était l’évolution logique de cette première activité entrepreneuriale. Encore insatisfaite, je suis devenue coach pour entrepreneure, parce que j’aimais bien accompagner des hommes et des femmes de manière individualisée sur leurs projets. De plus, j’ai un bon sens de l’empathie. La voie était donc toute trouvée.

Mais là encore, même si mon activité me plaît aujourd’hui, elle a encore été longtemps gouvernée par le signe de la contrainte : esclave de mes mails, victime de mes mantras les plus destructeurs “je dois”, “il faut”, et handicapée par des croyances limitantes “je suis nulle en“ (l’école n’a pas aidé), “ces clients n’ont pas d’argent”, “je dois en baver pour réussir”, “seule ma réussite professionnelle me permettra d’être reconnue aux yeux des autres”.

J’ai réalisé que j’étais un bloc de croyances limitantes : mon éducation mais également mon manque de confiance en moi m’ont mis en tête des pensées sur la réussite mais également l’argent et les relations sociales bien définies. Et le problème des croyances limitantes, ce n’est pas tant de les déconstruire que de les identifier !

Et c’est là que le développement personnel m’a sauvée.

Mon grand réveil personnel et entrepreneurial : quand j’en ai eu marre de faire semblant

 

Quand on n’est pas aligné, on finit par le payer un jour ou un autre. Du moins, quand on en prend conscience et qu’on se réveille.

J’ai commencé à m’intéresser au développement personnel il y a six mois. D’abord en lisant des grands classiques (qui ne me parlaient pas), puis en mettant en place des routines et des habitudes (lecture, écriture, méditation…), des lectures choisies (enfin ! ), des thérapies alternatives (hypnose, magnétisme…) et enfin en travaillant sur moi : qui suis-je vraiment ? Comment l’assumer ? Comment construire un projet en cohérence avec mes véritables besoins.

Mon manque d’alignement plombait régulièrement mon business. J’ai donc décidé de récolter un maximum de feedbacks sur moi de la part de mes proches, anciens profs et managers pour mieux comprendre l’image que je donnais à mon entourage. J’ai récemment fait un test de personnalité pour mieux comprendre mon propre fonctionnement (le type 3, tu te souviens ?) et j’ai revu ma communication pour identifier les points qui pourraient me permettre d’être la meilleure version de moi-même : mon moi authentique, sans censure.

Pour ça,  j’ai listé les sujets que je m’empêchais d’aborder dans mes articles et j’y ai travaillé : relations personnelles, échecs, croyances limitantes… Cet article est le premier d’une série de contenus beaucoup plus profonds et transparents sur moi. Moi coach, moi Yéza. J’ai donc arrêté de faire semblant de n’afficher que la partie visible de l’iceberg. Déjà parce qu’elle n’est pas entièrement représentative de qui je suis, et qu’en plus, elle met une distance avec mes lecteurs qui idéalisent ma vie. Et Inversement, je me suis rendu compte que c’est cette même sensibilité qui me touchait et m’attirait chez d’autres personnalités que je suis : Nicole Ferroni qui pleure sincèrement lors d’une de ses chroniques, le discours sincère  d’Emma Watson à l’Onu pour l’égalité Hommes-Femmes

Aujourd’hui, je fais le pari d’entreprendre en étant moi.

Entreprendre en étant moi : qu’est-ce que ça veut dire

Tout dépend de chaque personnalité. Mais c’est d’abord entreprendre sans se censurer : pas facile hein ? Ca veut dire qu’il est essentiel d’identifier les points de blocage dans sa propre communication : mettre une photo de soi, s’exprimer en ligne, exprimer le fond de sa pensée, identifier ce qui est vraiment contraignant pour soi.

Si je prends mon propre exemple : je n’aime pas le networking, je n’ai pas envie de faire une chaine de vidéo Youtube, la prise de parole en public me stresse profondément. En revanche, j’aime les échanges spontanés avec ma communauté, organiser des événements pour elle, j’adore écrire, j’aime lire des livres de développement personnel, et j’ai envie que mes activités extra-professionnelles prennent plus de place dans ma vie.

Entreprendre sans se censurer, c’est également avoir une vision pour son entreprise et pour sa vie : si l’argent n’entrait pas en considération, qu’est-ce qui te rendrait heureux ? La question du bonheur, je ne me l’étais jamais posé. Je me l’interdisais. Aujourd’hui, j’ai fait la liste de toutes les choses qui m’em****daient dans mon activité, toutes celles qui me faisaient vraiment vibrer et toutes celles que j’aimerais faire mais que je n’ose pas faire…par peur.

C’est d’ailleurs la peur qui va nous empêcher d’être vraiment nous : qu’en dira-t-on ? Et si je rate ? Et pourtant, rien n’arrive sans risque : si tu es prêts à te relever, tu te relèveras ! J’aime d’ailleurs beaucoup cette phrase de Lyvia Cairo : “si tu as peur mais que tu es excité à la fois fonce ! Si tu as juste peur, mais que tu ne ressens pas de vibration, n’y va pas !”

Aujourd’hui, je sais que la marche vers l’accomplissement de moi n’est pas finie, et elle ne le sera peut-être jamais. Mais en attendant, la vie continue  et je continue d’aider celles et ceux qui souhaitent briller grâce à leur authenticité et à leur personnalité. Parce qu’au fond, la personne la plus difficile à aider, c’est nous-même, et non les autres !

Conclusion

Devenir la meilleure version de soi-même n’est pas chose facile. Cette démarche implique de révéler à soi-même et au monde son véritable “moi”. Celui qu’on n’assume pas toujours et pourtant celui qui aura le plus d’impact pour toucher son public. Quand le message est sincère, vient le rayonnement. Et quand on est rayonnant, on est attirant. Aujourd’hui, j’ai décidé de rayonner en exposant ma sensibilité et ma véritable personnalité. Et ça passe par l’écriture !

Et si toi aussi, tu mettais un peu plus d’âme dans tes contenus ?

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Comment développer son Personal Branding sur LinkedIn

Le Personal Branding est un mot bien ancré dans la sphère entrepreneuriale en 2019. On entend parler de la marque personnelle des entrepreneurs, des freelances, des dirigeants et on se représente pour cela une communication massive basée sur un bon storytelling. Il y a quelques mois, j’avais écrit un article dans lequel j’étudiais le Personal Branding sur Instagram. Aujourd’hui, je m’intéresse au Personal Branding sur LinkedIn.

Pourquoi développer sa marque personnelle sur LinkedIn ? Parce que LinkedIn est avant tout un réseau social, et non seulement un outil de prospection (pour les entrepreneurs) ou de recherche d’emploi (pour les salariés). Développer son Personal Branding sur LinkedIn, c’est donc sortir de la masse et faire passer un message impactant auprès d’un public ciblé.

Y a-t-il des codes à respecter ? Des actions à prohiber ? J’en parle dans mon article.

 

Pour travailler son Personal Branding sur LinkedIn, il faut avant tout être visible

 

LinkedIn est un réseau social professionnel très puissant. Au delà de sa fonction “recherche d’emploi” et “prospection”, c’est un réseau social dont la portée naturelle des publications peut être très élevée. Contrairement à Facebook, où il faut payer pour espérer être visible (pour les pages entreprises), l’algorithme de LinkedIn est plus clément et favorise vraiment la visibilité des publications qui génèrent de l’engagement (likes, commentaires, partages). On peut donc faire des “buzz” sur des publications sans pour autant avoir un grand nombre d’abonnés.

C’est le cas d’Alexandra Hoffman, consultante en gestion de crise, qui a partagé une vidéo de Tim Ferriss qui a fait un carton sur LinkedIn. Alexandra a près de 660 abonnés, or sa publication à touché plus de 10 000 personnes et obtenu plus de 300 likes.

 

Si ces pics de visibilités sont maîtrisés (vous buzzez sur un sujet en lien avec votre thématique) alors, vous développez votre marque personnelle.  C’est pourquoi, votre profil doit avant tout être irréprochable.

La visibilité passe également par le référencement naturel de votre profil sur le moteur de recherche LinkedIn. Et oui, avec un profil complet et bien optimisé, on devient facilement visible et on peut voir avec satisfaction, son profil en tête de liste sur une requête précise.

Sur la requête “reconversion professionnelle”, Sonia Valente, ancienne cliente, est passé en deuxième position sur le moteur de recherche LinkedIn sur près de 1 118 010 résultats, en quelques mois seulement ! Notre travail de référencement a porté ses fruits.

Alors comment optimiser votre profil LinkedIn ?

De plusieurs manières :

  • En travaillant votre titre de poste en choisissant les mots-clés sur lesquels vous souhaitez ressortir. Exemple : Coach en Personal Branding
  • En soignant la rédaction de votre résumé, qui comportera les mots-clés sur lesquels vous souhaitez ressortir ainsi qu’une description claire, professionnelle mais pourquoi pas décalée.

C’est le cas de Charlotte Appietto, fondatrice de Pose ta Dem’, qui manie sérieux et humour sur son profil LinkedIn.

 

  • En détaillant vos différentes expériences professionnelles mais également bénévoles : pour cela, utiliser vos mots-clés principaux ainsi que des bullet points vous fera gagner en visibilité mais également en lisibilité.  

J’ai pris mon profil en exemple pour mettre en avant les mots clés utilisés ainsi que la lisibilité grâce aux bullet points.

 

  • En renommant vos images avec vos mots clés : même les images que l’on charge pour un post ou un article)
  • En mettant en valeur les bonnes compétences sur votre profil : ces compétences doivent être adaptées au poste sur lequel vous souhaitez vous positionner. Eviter également de remplir cette section avec des compétences génériques de type bureautique si vous ne souhaitez pas être remarqué ou reconnu pour celles-ci.

Compétences mises en avant sur le profil de Danilo Duchesnes, consultant expert en publicité Facebook.

 

  • En demandant des recommandations sur votre profil pour augmenter la visibilité mais également la légitimité de votre profil  : Beaucoup n’osent pas demander à leur ancien employeur ou à leurs clients des recommandations. Or, celles-ci sont vivement appréciées par l’algorithme de LinkedIn. De plus, elles contribuent à affirmer votre notoriété sur ce réseau social professionnel. Alors prenez votre courage à deux mains et allez voir ces personnes avec qui vous avez collaboré ! Au pire, ce sera juste un non 🙂

J’ai repris mon exemple personnel pour montrer mes recommandations données et reçues

 

  • En rajoutant des réalisations à votre profil pour améliorer votre référencement par le moteur de recherche : peu de personnes le savent mais cette petite astuce favorise la remontée de votre profil dans le moteur de recherche LinkedIn. Pour cela, il vous faut tout simplement lister les publications que vous souhaitez mettre en avant.

Ces publications sont listées sur votre profil et contribuent à votre référencement sur LinkedIn

 

  • En développant un nombre de relations qualifiées : si vous avez 100 relations sur LinkedIn, la première chose que l’on va se dire, est que vous n’êtes pas influent (et encore moins visible). Si vous n’êtes pas influent, il est difficile de montrer que vous développer une marque personnelle forte. C’est pourquoi, il est important de développer un réseau professionnel qualifié sur LinkedIn. Commencer par rajouter les profils que vous souhaitez avoir dans votre réseau grâce aux recherches par type de poste. Lorsque vous dépassez les 500 relations, LinkedIn vous considère comme un expert. Et les autres utilisateurs de LinkedIn vous donnent plus de crédit. 500 relations qualifiées, ce n’est pas la mer à boire. Alors, où en êtes-vous ? 😉

Notoriété et visibilité vont ainsi de paire pour développer votre Personal Branding sur LinkedIn.

Etre visible est essentiel. Apparaître comme une pointure de votre thématique l’est tout autant. C’est pourquoi, vous devez maîtriser les codes de la communication sur LinkedIn pour développer votre notoriété.

 

Comment développer votre Personal Branding et votre notoriété sur un réseau professionnel comme LinkedIn ?

 

Pour maîtriser votre Personal Branding sur LinkedIn, vous devez être proactif. Nous venons de voir comment rendre visible votre profil et le professionnaliser. Maintenant, il va falloir passer à l’étape 2 : la communication.

Pour développer votre Personal Branding sur Linkedin, vous allez devenir une référence, un modèle à suivre sur ce réseau social. Comment ?

En produisant des contenus réguliers

Articles, posts, vidéos, vous pouvez variez les plaisirs. Montrez que vous maitrisez votre sujet et ne vous privez pas pour partager vos contenus. C’est de cette manière que vous deviendrez leader d’opinion.

 

C’est le cas de Neil Patel, entrepreneur à succès avec son article sur le marketing de contenu. Écrit de manière très simple, très claire et direct, il reflète bien la marque personnelle de l’entrepreneur.

 

 

Autre exemple d’un salarié très actif et influent sur LinkedIn : Patrick Barrabé (plus de 33 000 abonnés). Car il n’y a pas que les entrepreneurs qui peuvent travailler leur Personal Branding.

 

Plus vous serez régulier dans vos contenus, plus la portée naturelle de vos posts augmentera et plus votre marque personnelle se développera.

 

En maîtrisant les codes de LinkedIn pour développer votre marque personnelle 

  • Trouvez des bons titres de sujets qui cartonnent sur Buzzsumo
  • Optez pour une technique de rédaction efficace : donnez envie de cliquer sur votre publication en instaurant une part d’intrigue (si vous sautez à la ligne après votre première phrase, les curieux vont vouloir cliquer sur votre publication pour pouvoir lire la deuxième phrase )
  • Choisissez un style qui marche sur LinkedIn. Il y a des thématiques qui marchent particulièrement bien sur LinkedIn : vous avez plus de chance que vos publications rencontrent un succès si elles obéissent aux règles suivantes :

Raconter une histoire (ton personnel et storytellé)

Utiliser une infographie

Ecrire un texte fort en émotion (ton personnel et storytelling)

Taguer quelqu’un d’influent

✔ Parler de ses valeurs

✔ Parler de ses clients

Quelques exemples de posts qui répondent à ces règles :

 

Nicolas Piatowski, cofondateur des Geeks des Chiffres, se confie avec un ton très personnel en racontant son histoire.

 

Infographie réalisée par un dirigeant d’entreprise qui a cartonnée

 

  • Utiliser la règle des 3/1 : Trois publications qui ne vendent pas un produit ou un service (valeurs, tendances) pour 1 post qui vend. Mais en règle général, j’aurais tendance à vous dire d’éviter de vendre directement, car cela peut freiner les personnes qui vous lisent. Quand vous vendez de manière outrancière, sans apporter de valeur (ou peu), vous montrez un manque. Et ce manque va à l’encontre de la construction d’une marque personnelle forte.

Conclusion 

Le Personal Branding sur LinkedIn est un sujet à part entière. Il obéit à des codes précis et a pour enjeu son image de marque. LinkedIn est aujourd’hui un réseau social incontournable chez les entrepreneurs, les dirigeants mais également les salariés. Savoir développer son Personal Branding pour faire la différence et sortir du lot devient indispensable pour s’élever et devenir une référence. N’oubliez pas que LinkedIn est la première vitrine que vous renvoyez de vous sur le web. Alors, si je tombe sur votre profil, que vais-je trouver ?

👉Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle 🤠

Onur Karapinar : devenir la meilleure version de soi-même grâce à la force des habitudes

Onur Karapinar est un jeune auteur, fondateur de la revue Essentiel sur Médium, chroniqueur au Manal Show, mais également grand lecteur de livres pratiques. Depuis trois ans, son travail porte sur une question essentielle : quels sont les ingrédients qui font la réussite personnelle et professionnelle ? Sa recherche de réponses à cette question est également sa propre quête de sens à laquelle il va répondre en lisant de manière acharnée, en résumant ses lectures, mais également en étudiant la force des habitudes pour devenir la meilleure version de soi-même. Depuis le 7 mars, Onur a publié son premier ouvrage “Petites habitudes, Grandes réussites : 51 pratiques inspirantes pour devenir la meilleure version de soi-même” dans lequel il partage trois ans de réflexion qui nous permettront de devenir acteur de nos propres réussites personnelles et professionnelles.

 

1- Qui est Onur Karapinar ?

Je suis auteur du livre Petites habitudes, Grandes réussites : 51 pratiques inspirantes pour devenir la meilleure version de soi-même (Éditions Eyrolles). C’est un livre qui présente un cadre éprouvé pour créer de nouvelles habitudes, se défaire de ses mauvaises routines et s’améliorer de 1 % chaque jour. J’explique comment la mise en place de petites habitudes permet de sortir des boucles stériles et de réorienter son énergie dans la bonne direction. C’est un véritable guide pratique qui cherche à aider quiconque souhaitant reprendre le contrôle de sa vie, atteindre ses objectifs et libérer son plein potentiel grâce à la mise en place d’habitudes saines qui aboutiront à des résultats remarquables sur le long terme. Pour ceux qui veulent en savoir plus, je présente mon livre dans cet article.

Ma mission est d’inciter les personnes à devenir la meilleure version d’eux-mêmes de manière à ce qu’elles puissent vivre en accord avec leurs aspirations. Je cherche à diffuser des habitudes saines pour aider à mieux vivre et penser. Dans mes écrits, je mets l’accent sur les habitudes dans leur potentiel à soutenir l’amélioration de soi et accroître ses performances à long terme. Pour cela, je consulte énormément de contenu (articles, conférences, podcasts), je parcours des best-sellers pour résumer l’essentiel des bonnes pratiques afin d’aider quiconque à devenir un meilleur leader, un entrepreneur plus efficace, un penseur plus réfléchi et un citoyen plus averti.

Je suis fondateur d’Essentiel, une publication francophone sur Médium qui partage de grandes idées pour libérer son potentiel. La ligne éditoriale se veut présenter des articles utiles, inspirants, actionnables et qui s’adresse à l’intelligence de ses lecteurs. Ainsi, je cherche à rassembler des auteurs/experts/leaders en devenir à partager leurs leçons de vie et apprentissages dans l’intérêt de contribuer à cette vision de bon sens.

Par ailleurs, je suis aussi chroniqueur dans le podcast du Manal Show, une émission qui se veut une véritable capsule inspirante pour aider à devenir la meilleure version de soi-même. Tous les mois, je chronique deux livres de mon choix et en présente trois leçons qui me semblent essentielles à retenir.

2- En écoutant ton interview pour le Manal show, une chose m’a surprise : tu ne lis pas les livres que tu résumes en entier. Quelle est ta méthode pour aller à l’essentiel d’un ouvrage ?

À l’époque, je cherchais un moyen de lire des livres plus rapidement afin de gagner du temps pour accélérer mon apprentissage. Après quelques recherches, je tombe sur un livre (Effortless Reading – Vu Tran) qui promet de multiplier sa lecture par 3 en faisant deux fois moins d’efforts, et ce, sans avoir la moindre compétence en lecture rapide. L’auteur a affirmé avoir lu plus de 800 livres en 3 ans grâce à sa méthode.

Au départ, j’étais vraiment dubitatif. Mais après lecture de son ouvrage, j’étais convaincu qu’avec une bonne organisation, il était possible de lire des ouvrages avec efficacité et efficience. Et la bonne nouvelle c’est que cette méthode est accessible à tous. Par contre, cela s’applique uniquement aux ouvrages pratiques, ne cherchez pas à lire des romans avec.

Vu Tran a développé une méthode, la lecture délibérée, qui consiste à consulter un livre à travers plusieurs étapes, chacune avec un objectif, une rapidité et un niveau de compréhension différent. Grâce à cela, je me suis totalement décomplexé dans mes lectures d’ouvrage non fictionnel et cela m’a permis de déconstruire le mythe de lire un livre en entier pour en apprécier ses apprentissages.

Pour résumer la méthode de lecture délibérée, il s’agit de choisir le bon livre à lire. Pour cela, il faut connaître ses forces, ses faiblesses et sa situation actuelle afin de pouvoir concentrer toute son énergie dans son problème prioritaire. Il y a une question magique pour cela : quel est votre objectif final en lisant ce livre ? Car lire efficacement nécessite de commencer avec une intention claire.

Une fois que l’on a clarifié ses intentions et que l’on connaît intimement le problème que l’on veut résoudre dans sa vie alors on peut alors commencer à choisir le bon livre pour le parcourir efficacement. L’objectif n’est pas de lire rapidement ou de tout lire dans une courte période de temps, mais plutôt de choisir un chapitre pertinent pour soi-même et le consulter à son rythme. Certains chapitres qui sont bons pour vous ne le seront pas pour d’autres et vice et versa.

D’abord, on lit la quatrième de couverture qui présente l’ouvrage et son auteur. Ensuite, on lit le sommaire, l’introduction, on peut parcourir rapidement le premier chapitre et la conclusion. Après avoir exploré le livre, il s’agit de trouver le chapitre qui le plus susceptible de répondre à la grande question que l’on se pose. Une fois trouvé, on peut le lire à sa vitesse naturelle, sans pression. Enfin, une fois que l’on a terminé le chapitre, on dépose le livre, car après chaque lecture, vous avez besoin de vous donner du temps pour comprendre et appliquer ce que vous avez découvert dans l’ouvrage non fictionnel.

Avoir découvert cette méthode de lecture délibérée a vraiment changé ma façon de lire pour s’emparer rapidement de n’importe quel ouvrage et en ressortir avec l’essentiel à retenir par rapport à mes besoins. La vie est trop courte pour lire de mauvais livres.

3- Tu es le fondateur d’Essentiel sur Médium, une publication qui génère 50 000 visiteurs uniques par mois : comment définirais-tu Essentiel ?

Pour être totalement transparent, je ne sais pas si la publication génère vraiment 50 000 personnes uniques par mois. Au moment où j’écris ces lignes, Medium m’indique qu’il y a plus de 70 000 vues par mois et en moyenne 1 981 personnes uniques par jour qui visitent la publication (soit environ 60 000 visiteurs mensuels si l’on suit cette logique). C’est encourageant pour inciter toujours plus de personnes intéressantes à écrire pour Essentiel afin qu’elles puissent gagner en visibilité, en crédibilité, et même convaincre des personnes à faire appel à leurs services (si elles en proposent ). D’ailleurs si vous êtes intéressés, vous pouvez lire ce court article. Tout est indiqué pour me contacter et savoir ce que l’on pourrait faire ensemble et savoir comment l’on pourrait s’entraider, car je suis vraiment dans le rapport gagnant-gagnant.

Pour répondre à la question, Essentiel est une publication qui cherche à étendre les bienfaits du bon sens. C’est-à-dire rappeler des évidences que cette société malade de croissance cherche à étouffer pour servir ses intérêts économiques et politiques.

Quand on dit de quelque chose qu’il est « Essentiel », par définition, cela signifie que c’est un élément indispensable et fondamental pour que quelque chose existe. Si l’on prolonge cette réflexion, l’essentiel c’est aussi un caractère constant, distinctif des différents individus d’un genre, d’une espèce et d’une variété. Comme le disait Léonard de Vinci, « dans la nature, tout a toujours une raison. Si vous comprenez cette raison, vous n’avez plus besoin de l’expérience ».

À mon sens, il y a quatre piliers auxquels on devrait prêter attention si l’on souhaite prospérer dans ce siècle et se placer dans une logique de contributeur, qui participe dans la réalisation d’un projet de bien commun, plutôt que de celle du consommateur qui épuise l’énergie des autres.

Il y a l’entrepreneuriat pour tous ceux qui veulent s’affranchir d’un système qui les oppresse parce qu’ils ne se retrouvent pas du tout dans le modèle du salariat. Ainsi, la seule façon d’y remédier, c’est de devenir son propre patron en créant ses conditions de travail par une activité en accord avec sa passion, sa vocation et sa mission.

Il y a la productivité pour faire un meilleur usage de son temps, de son énergie et de son attention.

Il y a l’inspiration pour se rendre compte qu’il est possible de mener une vie saine, attractive et paisible en se nourrissant d’idées issues des personnes qui ont réussi à accomplir des projets à haut niveau. L’inspiration ne se limite pas uniquement à suggérer ou à conseiller des actions, c’est aussi une manière de se déconditionner des influences extérieures malsaines qui empêchent d’atteindre son plus grand potentiel.

Enfin, il y a le développement personnel, même si je déteste ce mot parce qu’il peut être accolé à des charlatans qui promettent de changer sa vie en un temps record avec des techniques à court terme qui frôlent l’imposture. Ma conception du développement personnel s’apparente à tout ce qu’il soit possible de faire pour grandir, croître et évoluer dans sa vie. C’est une amélioration continue, une capacité de se réinventer, de s’améliorer dans différents domaines pour optimiser tout ce qui participe à l’équilibre de l’être humain. C’est une approche proactive, pragmatique et rationnelle.

La publication Essentiel, telle que je la conçois, est un espace d’expression qui permet à quiconque de présenter des leçons de vie inspirantes et des apprentissages pertinents à une audience de qualité qui cherche à s’améliorer jour après jour, qui cherche à se dépasser au quotidien et à tendre vers l’excellence. Les ennemis à terrasser pour y parvenir ? L’ignorance, la médiocrité et la bêtise.

4- Aujourd’hui, malgré ta renommée sur le web, tu dis ne pas vivre de ton activité. En 2019, les choses vont changer : comment vas-tu t’y prendre pour monétiser ton activité ?

Je ne sais pas si j’ai une « renommée » sur le web, mais par contre je suis certain que ce que je fais est utile et aide des gens à mieux vivre et penser dans leurs défis et problématiques.

Quand j’ai commencé à écrire en 2016, je me suis posé une seule question à laquelle je tente de répondre dans mon travail : quels sont les ingrédients qui font la réussite personnelle et professionnelle ?

Étant obsédé par l’optimisation du potentiel humain, j’ai parcouru énormément de contenu pour tâcher de trouver des réponses ou du moins des modèles récurrents dans ce qui est à l’origine d’une vie meilleure.

Autrement dit, avant même de chercher à m’adresser à une audience, je me suis lancé dans une quête personnelle pour trouver des réponses pertinentes. Progressivement, une audience s’est mise à me suivre et des personnes m’ont encouragé à poursuivre l’écriture de mes articles, car cela leur était utile. Avec le temps, je me suis mis à comprendre et à expérimenter ce que je découvrais sur l’entrepreneuriat, la productivité, la santé au travers de petites habitudes saines. Progressivement, cela a eu des effets inespérés en moi et j’ai pu amorcer des réflexions qui m’ont permis d’en arriver là où j’en suis aujourd’hui.

Par exemple, lorsque l’on fait le choix de ne pas être un salarié parce que l’on ne peut pas se soumettre à une autorité et que l’on se refuse à épouser les valeurs morales et politiques d’un leader qu’on ne respecte pas, on doit alors se créer ses propres conditions de travail pour s’épanouir et aider les personnes que l’on peut servir à travers ses produits et services.

Avant de commencer, je ne connaissais rien en marketing, j’avais quelques notions en entrepreneuriat, mais rien de solide pour se lancer sérieusement. Ce qui a fait la différence dans mon travail, c’est que je suis profondément animé d’une mission qui me pousse à me surpasser pour inspirer et aider un maximum de personnes à se libérer de leur matrice.

Aujourd’hui, j’ai bien plus d’expérience et de recul pour comprendre que pour pouvoir vivre et pérenniser cette activité qui me passionne, je me dois de la monétiser.

Mon mentor, Benoît Wojtenka, m’a appris trois leçons essentielles dans l’entrepreneuriat : il faut donner avant de recevoir, apprendre à vendre, bien s’entourer pour progressivement changer d’état d’esprit. Pour ma part, je cherche à être d’une générosité désarmante. J’ai publié une centaine d’articles gratuitement sur Medium. Cela comprend des résumés de best-sellers dont beaucoup ne sont même pas encore traduits en français, des leçons de vie et des apprentissages ou encore des traductions issues des meilleurs articles que j’ai pu découvrir dans Medium.

De cette manière, lorsque l’on découvre mon travail pour la première fois, on ne peut qu’être surpris de la quantité de contenus que l’on peut trouver sur les thématiques aussi variées que la productivité, le développement personnel et même le sens de la vie. Le lecteur curieux aura envie d’en savoir plus sur moi et de s’inscrire à ma newsletter pour nourrir une relation plus régulière avec mon travail.

Pour ma stratégie de monétisation, je mise sur le qualitatif. Mon livre est mon premier produit payant, car il m’a réclamé trois ans de travail. Dans les mois à venir, je proposerai une gamme de produits et des services haut de gamme afin de satisfaire les besoins de mon audience.

Il y aura un service d’accompagnement premium (des heures exclusives pour résoudre un problème précis à travers plusieurs séances de coaching), des formations en ligne (pour rendre mes savoirs et mes solutions scalables et accessibles au plus grand nombre sans avoir à me répéter), des ateliers en présentiels (masterclass payantes pour faire des exercices, travailler sur soi pour avancer sur un sujet ou apprendre une nouvelle compétence), mais aussi des événements/rencontres à moindre coût réservé à mes abonnés les plus fidèles pour étendre mon réseau et savoir comment l’on peut mutuellement s’entraider.

Nous sommes des animaux sociaux. Notre vie dépend de notre relation que nous entretenons avec les gens. Savoir pourquoi les gens font ce qu’ils font est l’un des outils les plus importants que nous pouvons posséder, sans quoi nos autres talents et aptitudes ne pourraient nous mener bien loin.

Je mise sur la communauté, car c’est le modèle qui me correspond le mieux à mes valeurs. J’aime apprendre et transmettre. Je préfère ainsi garder une liste de courriels qualitative plutôt que quantitative. C’est-à-dire que si quelqu’un est inactif pendant 2-3 mois, je peux supprimer son courriel de ma liste. D’ailleurs, c’est ce que je précise lors de mon message de bienvenue à tout nouvel abonné de ma newsletter, car je préfère être honnête. Je cherche à avoir une relation qualitative avec 1 000 personnes. Si je peux satisfaire et aider ces 1 000 vrais fans qui adorent ce que je fais et qui seront prêts à me soutenir, alors je pourrais vivre décemment de mon activité en créant des produits et services adaptés à leurs besoins.

Ceux qui sont les plus actifs dans ma newsletter se retrouvent VIP, ils auront accès à mes annonces surprises (ex. une rencontre à Paris avec d’autres abonnés), services et produits en avant-première. C’est ma manière de récompenser et fidéliser ceux qui veulent entretenir une relation plus forte avec moi. Je pense aussi à créer un système d’abonnement payant pour offrir plus de privilèges exclusifs à mes abonnés les plus loyaux. Tout cela s’inscrit dans une stratégie à long terme où le relationnel et la confiance priment avant tout.

5- Dans ton livre, tu parles productivité et habitudes : en quoi les habitudes peuvent-elles changer notre rapport au monde, à notre vie personnelle et professionnelle ?

D’après une étude, entre 40 et 50 % de ce que nous faisons ne relève pas de décisions éclairées, mais de nos routines. Ça vous semble étonnant ? D’accord, alors prenez un instant pour réfléchir à toutes les habitudes que vous avez. Si vous êtes sérieux, vous verrez qu’il vous faudra un bon moment avant de recenser l’intégralité de ce que vous faites au quotidien. C’est parce qu’une est habitude est, par définition, une action ou comportement que vous avez reproduit tellement de fois que cela en est devenu plus ou moins automatique. Que cela soit du petit-déjeuner que vous prenez le matin ou des dents que vous vous brossez le soir, tout le monde a des habitudes qui guident subtilement sa vie pour le meilleur ou pour le pire.

En vertu de l’effet cumulé, de petites habitudes peuvent aboutir à de grands résultats dans le temps. Cela veut dire que ce que nous faisons au quotidien finit par déterminer les résultats positifs ou négatifs que nous pourrions obtenir dans les années qui viennent.

Avoir de mauvaises habitudes dégrade non seulement la qualité de vie d’un individu, mais finit aussi par être à la source de ses plus grandes frustrations. Si nous prenons une personne insatisfaite de sa vie, vous pouvez être certain que l’on peut en retrouver les causes dans de mauvaises habitudes qui l’ont empêché de devenir la personne qu’elle voulait être, de monter une entreprise, de trouver l’amour, et d’avoir un entourage de qualité.

À l’inverse, avoir de bonnes habitudes peut améliorer sa qualité de vie, sa santé, son bien-être et soutenir un meilleur équilibre personnel et professionnel. Cela peut se manifester par faire du sport, méditer, lire un livre, suivre un régime alimentaire sain ou rester en contact avec ses proches et sa famille. À son plus haut degré, de bonnes habitudes permettent de créer de la liberté. Si l’on automatise la résolution des problèmes des décisions les plus simples de sa vie, on peut ainsi se consacrer à des tâches plus intéressantes.

Les mauvaises habitudes, elles, nous entravent au quotidien. Si une personne à des mauvaises habitudes financières, elle va toujours se retrouver à découvert. Si une personne à des mauvaises habitudes de santé, elle va être constamment manque d’énergie et être fatiguée. Si une personne à de mauvaises habitudes de productivité, elle va toujours être stressée, se disperser, rendre son travail en retard et cela pourrait même déboucher par un licenciement ! Si une personne à de mauvaises habitudes sociales, elles pourraient se retrouver dans un cercle vicieux qui risque de neutraliser ses talents, son bien-être et alimenter une profonde anxiété dans sa vie.

Notre environnement détermine grandement notre comportement. Depuis petit, nos parents, nos profs, et nos amis affinent, raffinent et façonnent nos croyances et, in fine, ce que nous sommes et devons faire pour les satisfaire afin de se sentir acceptés et validés. Certaines personnes n’ont entendu qu’un seul son de cloche pour vivre sa vie. Le poncif éculé du « Fais de bonnes études et tu auras un bon travail » n’est pas valable pour tout le monde. Cette conception du travail où l’on mène une carrière stable et garantie s’effrite, car le marché, cette main invisible, ne cesse d’interroger la pertinence de chacun dans ces activités. Nous sommes appelés à être agiles, à préférer la petite embarcation de fortune, plutôt que de rester dans la conformité et la rigidité du paquebot. Les générations qui viennent vont devoir apprendre plusieurs nouveaux métiers pour faire face à la destruction massive organisée par l’émergence de plus en plus prégnante de l’intelligence artificielle.

Seulement aujourd’hui, du fait de l’hyper accélération de la société, nous sombrons dans la démesure et nous perdons pied avec une réalité, des repères et le bon sens qui nous permettait jusqu’alors d’assurer le développement humain dans son essence. Les sociétés sont de plus en plus liquides et nous n’avons plus de quoi envisager la stabilité personnelle, ni nous raccrocher à une identité pour agir et penser en société. Nos habitudes de vie et de travail se trouvent chamboulées et constamment sous le feu d’annonceurs en quête de notre attention pour nourrir une croissance folle et malsaine à long terme. Il est insensé de prôner une croissance infinie dans un monde avec des ressources finies.

De ce fait, beaucoup de personnes expriment un manque de sens dans leurs activités, car ils ont le sentiment de ne pas être utiles à société. De nombreuses personnes sont frustrées aujourd’hui parce qu’elles ont suivi ce qu’un système leur a demandé d’être ou de devenir pour servir des intérêts sur lesquels elles n’ont aucune emprise. Si l’on assiste à une telle explosion dans la reconversion professionnelle, c’est parce que des personnes comprennent qu’il est possible d’envisager une autre voie pour vivre décemment et avoir du sens dans sa vie sans subir l’asservissement du salariat.

Si vous changez la structure qui influence ou encourage vos comportements, votre comportement changera automatiquement. De petits changements de comportement, si elles sont répétées au quotidien, peuvent devenir des habitudes saines qui conduiront à de grandes réussites à long terme. Nous sommes ce que nous faisons par répétition. En raison de leur grand pouvoir, les habitudes représentent l’un des meilleurs moyens que je connaisse pour retrouver le contrôle de sa vie et se reprendre en main. De plus, avoir une connaissance intime de ce sujet offre une grille de lecture passionnante sur le monde car apprendre à changer ses habitudes, c’est apprendre à se réinventer pour toujours.

6- Quels conseils donnerais-tu pour faire la promotion de son livre ?

Premier conseil, clarifier son positionnement, c’est-à-dire décider à qui s’adresse votre livre. Cela peut être une communauté, ou une personne d’un certain âge qui a des besoins précis.

Par exemple, mon livre s’adresse vraiment au grand public parce que tout le monde veut se débarrasser de ses mauvaises routines et implémenter de bonnes habitudes dans sa vie. Ainsi, j’ai préféré définir trois grandes problématiques auxquelles mon livre saura répondre : ceux qui ont parfois le sentiment de passer à côté de leur vie, ceux qui veulent atteindre leurs objectifs, mais qui ne savent pas par où commencer, et enfin ceux qui veulent tirer le meilleur d’eux-mêmes à travers une logique d’optimisation.

Deuxième conseil, déterminer ce que votre public fait. C’est-à-dire avoir une connaissance intime de ce qu’ils font. Où vont-ils ? Qu’est-ce qu’ils lisent ? Comment consultent-ils l’information ? Quelles sont leurs sources d’inspirations ? Quelles sont leurs peurs et leurs aspirations ?

Une fois que l’on a un positionnement clair et que l’on sait ce que ce public veut, on est en mesure de s’adresser à eux dans leur intérêt avec sincérité et authenticité parce qu’on est convaincu que ce qu’on l’a produit va véritablement les aider à résoudre un problème qui les embarrasse dans leur vie.

Autrement dit, la promotion n’est qu’un outil pour s’adresser aux bonnes personnes. Il n’y a rien de pire que de faire très bien quelque chose qui n’avait pas besoin d’être fait. D’où l’importance de bien connaître son public avant. Dans l’ensemble, il est nécessaire de présenter l’opportunité, la transformation et les bienfaits que peut procurer votre produit ou votre service.

Troisième conseil, penser à long terme. Je ne pense pas qu’il faille uniquement miser sur un lancement explosif au début et reposer sur cette dynamique pour des ventes à long terme. Ainsi, il est intéressant de cultiver une attitude positive à propos de son livre. Cela pourrait être par raconter l’histoire, la raison pour laquelle vous avez écrit votre livre, ou encore comment cela peut aider les autres et comment le monde saura tirer parti de votre livre. De plus, il y a aussi des conférences, des interviews, des ateliers, des chroniques audios, des invitations qui peuvent permettre à l’auteur de promouvoir son livre à travers de multiples formats. Il y a l’embarras du choix, mais il faut aussi savoir se préserver, car cela peut bouleverser l’équilibre personnel et professionnel.

7- Question Personal Branding maintenant : À quoi veux-tu qu’on associe ton nom aujourd’hui, et dans 10 ans ?

Dix ans c’est loin… Qui sait de quoi l’avenir sera fait avec l’épuisement des ressources, l’effondrement écologique, l’émergence fulgurante de l’intelligence artificielle et des crises politiques qui menacent l’humanité.

Au regard du travail que j’ai pu produire jusqu’à présent, on peut m’identifier comme une personne qui s’intéresse à optimiser le potentiel humain grâce aux habitudes. Je cherche à proposer une approche pragmatique, proactive et qui s’adresse à toute personne qui cherche à tendre vers l’excellence et à s’initier à de nouvelles pratiques pour mieux vivre et penser sa vie.

On oublie les solutions court-termistes qui vendent du rêve en promettant et devenir riche en travaillant 4 heures par semaine ; on se méfie de ces solutions miracles qui promettent à quiconque de perdre 10 kg en 21 jours.

Apprendre à penser à long terme, c’est se définir une vision, c’est-à-dire une aspiration inspirante, attractive et visualisable dans ce que l’on peut apporter pour aider autrui ou accomplir ce que l’on souhaite. Une fois que l’on a défini le cap, on s’organise autour d’objectifs et d’habitudes qui permettront de garantir et de favoriser l’expression constante des actions qui nous orientent chaque jour dans la bonne direction. Alors oui, ça sera long, périlleux et parfois difficile, mais c’est pourtant nécessaire pour accomplir de grands projets.

8-  Où peut-on te trouver ?

Le mieux pour être en contact avec moi, c’est de s’abonner à ma newsletter : La Minute Essentielle. Chaque semaine, je partage du contenu pour améliorer ses habitudes, accroître ses performances et s’inspirer des meilleures pratiques pour mieux vivre et penser. De plus, dès votre inscription, vous recevrez un guide pratique de 96 pages (87 petites habitudes pour libérer son potentiel) qui partage quelques extraits pratiques de mon livre Petites Habitudes, Grandes Réussites : 51 pratiques inspirantes pour devenir la meilleure version de soi-même. Je partage aussi d’autres contenus, mais ça, c’est une surprise !

Il y a mon site internet pour découvrir mes travaux. Il y a mon profil Medium pour lire mes derniers articles. Si vous voulez rester en contact avec mon actualité professionnelle, ajoutez-moi sur Linkedin.

👉Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle 🤠

Comment développer son personal branding sur Instagram ?

Si tu es freelance et que tu cherches à développer ta marque personnelle, tu as peut-être envisagé de développer ta communication sur Instagram. Et tu as raison ! Aujourd’hui, ce réseau social cartonne et n’est pas uniquement fait pour les métiers dits “visuels” de type graphisme et restauration. Instagram est en 2019, un fabuleux outil pour travailler son personal branding quand on est freelance créatif, consultant ou coach. Instagram permet-il de trouver des clients ? A quoi bon mettre en scène sa vie professionnelle ? Je réponds à ces questions dans mon article.

Instagram n’est pas qu’un réseau social pour les métiers dits “visuels” 

Il y a encore quelques années, Instagram était exclusivement réservé aux particuliers et aux métiers baignants dans un univers visuel  : restauration, graphisme, mode etc. Rien de plus normal quand on sait que ce réseau social a été conçu pour partager des photos et non des textes et contenus écritq (aucun lien hypertexte ne fonctionne dans les légendes de photos sur Instagram).

Aujourd’hui, Instagram est devenu un réseau social en plein essor et s’ouvre à d’autres catégories d’entrepreneurs : les coachs, les consultants et freelances créatifs (copywriters, rédacteurs, community managers).

En comprenant qu’Instagram était un fabuleux outil pour développer sa marque personnelle (personal branding), beaucoup de freelances se le sont approprié pour communiquer sur leur activité.

La particularité d’Instagram en 2019 ?

  • Un réseau qui permet de mettre en scène sa vie en créant une fausse intimité : en montrant les backstages (les coulisses) de sa vie professionnelle, les freelances peuvent créer un lien de proximité avec leur communauté.

Dans cette photo, Danilo Duchesnes, consultant en Facebook ads, explique une mésaventure entrepreneuriale qui lui est arrivé : une cliente qui décide de mettre fin à sa collaboration avec lui.

Dans cette publication, Danilo explique en toute transparence, les erreurs qu’il a commises dans sa relation client et s’expose au regard de ses abonnés. Il ne cherche pas à cacher ses difficultés ou “échecs” au contraire, il les mets en scène.

Résultat, un taux d’engagement (commentaires, likes) très élevé et des commentaires très positifs.

 

  • Jouer avec la diversité des contenus et des textes : Instagram est un réseau qui permet de cumuler visuels (vidéos ou photos) et légendes. En 2019, l’Instablog, ces longues légendes qui accompagnent les photos publiées favorisent l’engagement sur ces contenus visuels

   

        

Dans cette publication, je parle également de relation client et témoigne d’un aveux : la nécessité d’écouter au mieux les demandes de mes clients pour tenir compte de leurs besoins. Ici : le besoin d’une cliente de se voir de visu et pas derrière un écran. J’explique que j’ai eu tendance à délaisser le “réel” mais que rien ne vaut une relation en face à face pour échanger avec son client.

Comment développer sa notoriété et sa visibilité sur Instagram ?

 

Contrairement à Facebook, Instagram permet de développer sa visibilité plus facilement (à moindre frais). L’algorithme de Facebook empêche les pages entreprises de développer la portée de leurs publications sans mettre la main au porte monnaie (publicité Facebook).

Même s’il est recommandé de sponsoriser quelques publications Instagram, le système de hashtags permet tout de même de développer sa visibilité sur ce réseau social (ce qui n’est pas le cas de Facebook).

Comment choisir les bons hashtags pour être visible ?

il est recommandé d’utiliser plusieurs catégories de hashtags :

  • les hashtags de marque : #tonnomdemarque ou #tonslogan pour développer la notoriété de ta marque sur ce réseau social
  • les hashtags thématiques en lien avec ton activité (#viedefreelance, #personalbranding, #entrepreneure)
  • les hashtags de localisation : #paris15, #grandtheatre
  • les hahstags en lien avec la publication : #macbookair #chailatte #teletravail car l’algorithme Instagram analyse la cohérence entre les hahstags et la publication.

 

Dans cette publication de Pose ta dem, on a des # de localisation, des # thématiques, un # de marque et des # contextuels

 

Dans les trois derniers cas, il faut étudier la popularité d’un hashtag : ni trop concurrentiel (populaire)  ni pas assez.

Si tu es un entrepreneur français, privilégie le hashtag #frenchentrepreneur (17 000 publications) et/ou #entrepreneur si tu es une femme (75 000 publications) plutôt que #entrepreneur (près de 45 millions publications)

Près de 71 000 publications pour le hashtag #entrepreneure, c’est beaucoup moins que sur le hashtag #entrepreneur, beaucoup trop concurrentiel pour se positionner dessus

                                        

 

De cette manière, il est déconseillé de copier-coller un bloc de hahstags sur une publication comme c’était le cas jusqu’à fin 2018.

Comment générer de l’engagement sur Instagram ? 

En postant les photos qui marchent le mieux :  ce sont des photos qui sont belles sur le plan esthétiques : qualité photo, mise en scène mais surtout avec des humains ! Tu verras que les photos où tu montres ton visage génèrent beaucoup plus d’engagement que les autres.

 

Exemple de publication au ton personnel sur le compte d’une freelance consultante marketing. Beaucoup d’engagement généré.

En sondant ta communauté dans tes stories : les stories ce sont ces photos et vidéos à la une qui s’affichent pendant 24h et qui disparaissent. Leurs particularités : proposer une infinité d’effets et mises en scène pour rendre le contenu de la story amusant et interactif : dans cette mise en scène, les questions et sondages sont de très bons moyens de sonder ta communauté.

Questions-réponse en story

et retour de mes abonnés

 

En écrivant des textes engageants  (Instablog) dans la légende de ta photo, tu peux générer beaucoup d’engagement autour de tes publications sur Instagram,  comme c’est le cas de Céline qui propose des mini coachings mais également des réflexions personnelles sur l’entrepreneuriat.

 

Céline, consultante en communication digitale engagée partage sa vision de l’entrepreneuriat auprès de ses abonnés

Comment acquérir de nouveaux abonnés sur Instagram ?

Développer sa notoriété grâce à un fort engagement est essentiel pour fédérer une communauté autour de ta marque personnelle. Cependant, il te faut également être visible et pour ça, quelques actions de growthhacking sont indispensables.

 

Pour gagner des abonnés qualifiés sur Instagram, il existe deux solutions simples :

  • Le growthhacking en suivant des comptes et hashtags relatifs à ton secteur d’activités : il est intéressant de liker, commenter et suivre les personnes et hahstags que tu auras définis comme utiles pour ton secteur d’activité.

Pour ma part, j’ai automatisé cette partie moins “fun” d’Instagram en utilisant un robot qui se charge de ce travail et que je propose gratuitement aux clients avec qui je travaille.

  • Les concours et partenariats influenceurs pour gagner des abonnés rapidement :

Les concours sont un excellent moyen de gagner rapidement des abonnés sur Instagram grâce aux règles de participations : pour gagner 30 minutes de coaching  avec moi, je peux :

  • demander aux participants de liker ma publication de concours
  • la commenter
  • taguer un ami et suivre mon compte.

Une fois cela fait, je pourrais tirer au sort le gagnant.

Les partenariats influenceurs peuvent te permettre de booster ton concours : en demandant à l’influenceur de partager ton concours auprès de sa communauté en échange d’un produit, d’un service ou d’une rémunération.

Jeu concours partagé entre une entreprise (@ASmilingPet et un influenceur @Nalalechatnoir)

 

Instagram, un outil pour trouver des clients ?

C’est la grande question que beaucoup de freelances se posent 😉

La fonction première d’Instagram pour un freelance est de faire connaître son activité et la rendre visible. Ce réseau social permet de montrer des moments de vie que l’on ne pourrait pas montrer sur d’autres réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn ou Twitter.

Néanmoins, en développant sa visibilité sur Instagram et en professionnalisant son compte, on peut augmenter les chances d’être contacté par des prospects.

Comment professionnaliser son compte Instagram ?

 

  • En mettant en avant des stories sur son compte via les “highlights” (catégories thématiques dans lesquelles on range des stories) : je recommande d’utiliser des vignettes uniformisées qui donnent un aspect plus professionnel au compte.

 

Exemple d’une freelance hypnothérapeute

 

  • En utilisant des liens Linktree dans sa bio Instagram  (seul endroit où l’on peut mettre des liens valides) pour faciliter la navigation vers ton site web depuis un téléphone mobile

Quand on clique sur le lien linktree de ma bio Instagram, on tombe sur ce menu, beaucoup plus ergonomique depuis un téléphone mobile

 

  • En développant des messages automatiques (direct message) pour obtenir des leads (emails) : téléchargement d’ebook ou de cours gratuits.

 

Ma clientèle ne vient pas directement d’Instagram, mais j’ai réussi à obtenir :

  • Des prospects
  • Des leads
  • Des interviews

Instagram montre une autre face de mon activité qui touche et sensibilise plus mes prospects et potentiels partenaires. Pour en savoir plus sur mon activité, ils se dirigeront ensuite vers mon site web. C’est donc une porte d’entrée à ne pas négliger pour développer ton activité.

Conclusion 

Instagram est un outil quasi incontournable à qui souhaite développer sa visibilité rapidement sur le web. Si tu travailles avec des freelances et des particuliers, ce réseau social devient indispensable. Pour travailler ton Personal Branding sur Instagram, je te conseille de créer une fausse intimité en te dévoilant pour montrer à tes abonnés l’humain qui est derrière l’entrepreneur. C’est cette sensibilité qui te permettra de créer de l’engagement avec eux. Afin d’être régulier, tu peux développer un planning éditorial de tes publications sur ce réseau tout en laissant une part de spontanéité survenir. C’est la clé d’un personal branding réussi sur ce réseau 😉

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus 🤠

 

 

La stratégie de contenu : les étapes essentielles pour développer son personal branding

Sais-tu à quoi correspond la stratégie de contenu et ses avantages ? En tant que freelance, tu as besoin de développer ta visibilité sur le web et tu as déjà dû entendre parler de stratégie de communication : elle t’aide à trouver des clients sans prospecter et s’inscrit dans une démarche d’inbound marketing (ou marketing entrant). La stratégie de contenu consiste à produire des contenus (articles, vidéos, audio), en accord les uns avec les autres grâce à une ligne éditoriale définie par rapport à tes objectifs, et les diffuser sur les réseaux sociaux. Le but ? Améliorer ta visibilité, ton expertise et ta notoriété (branding). Si tout semble facile, il se pourrait que passer à la pratique soit un peu plus compliqué. Dans cet article, je t’explique les 3 étapes essentielles pour mettre en place ta stratégie de contenu. Ces étapes te permettront de mettre en place ta stratégie éditoriale, savoir comment communiquer sur les réseaux sociaux et lesquels utiliser pour faire la différence par rapport à tes concurrents et selon tes cibles.

 

1 – Les 3 étapes pour mettre en place une stratégie de contenu 

 

Etape 1 : Définis une ligne éditoriale cohérente pour développer ta stratégie de contenu 

 

La première étape de ta stratégie de contenu consiste à définir ta ligne éditoriale. La ligne éditoriale comprend les thématiques que tu vas aborder dans tes contenus web tels que des articles sur ton blog ou tes vidéos. Mais comment aborder plusieurs thématiques tout en restant cohérent ? Rien de plus simple : pars de l’ADN de ton entreprise :

  • Quels sont les services ou produits que tu proposes ?
  • Quelles sont les valeurs que tu souhaites mettre en avant ?
  • Quels sont tes traits de personnalité que tu souhaites valoriser dans tes contenus (personal branding) ?

 

Si tu remarques que l’une des thématiques a un lien avec ces trois questions, tu peux alors l’intégrer à ta ligne éditoriale. Dans le cas contraire, il peut être intéressant de créer un blog à part 😉

J’échange avec beaucoup de freelances slasheurs qui ont deux ou plusieurs activités : une activité de prestation de service en freelance (graphiste, rédacteur web, copywriter…) et une passion pour des thèmes divers (écologie, alimentation, sport…). Ils ne savent pas comment articuler ces activités.

Mon conseil : si les deux activités n’ont rien avoir entre elles, mieux vaut les séparer pour garder un cohérence dans sa ligne éditoriale.

stratégie de contenu

Prenons l’exemple d’Anaelle : Anaelle est consultante en stratégie éditoriale et blogueuse. Sur Le Stylo Vert, son site professionnel, elle tient une partie blog sur des sujets liés à la rédaction web et à l’écriture.

Sur La Révolution des tortues, son blog personnel, elle se consacre à des sujets liés à l’écologie, au zéro déchet et au développement durable.

Anaelle a fait le choix de deux blogs car elle définit deux lignes éditoriales.

 

Etape 2 : Etablis une liste de sujets à traiter dans ta ligne éditoriale

Après avoir défini clairement ta ligne éditoriale, il va falloir entrer dans le vif du sujet en listant des idées, des sujets que tu vas pouvoir traiter dans tes contenus.

Tu peux faire comme moi et les lister de manière brute dans un tableau Excel ou sur un logiciel comme Trello.

Voilà ce que ça donne pour moi :

 

stratégie de contenu

Ne te mets pas de barrières, liste toutes les idées qui te viennent. Il ne s’agit pas d’écrire les articles tout de suite, mais te prouver que tu peux parler de ces différents sujets. Liste des idées sans te poser de question et sans restriction de façon à te prouver que tu as de la ressource !

Mon conseil : ne te limite pas à des sujets en lien avec ta thématique. Tu es freelance ? Fais donc des retours sur ton expérience dans le monde de l’entrepreneuriat. Tu peux parler des défis que tu t’es lancé, tu peux parler de tes erreurs, de tes réussites. Tu l’auras compris, tu peux inclure la thématique « entrepreneuriat » dans ta ligne éditoriale. Pense toujours à créer des contenus à forte valeur ajoutée pour te démarquer plus facilement. Ils te permettront d’ailleurs d’atteindre tes objectifs plus facilement.

 

Etape 3 : Une fois que ta liste de sujets est prête, construis ton planning éditorial

 

Ta liste de sujets est prête ? On passe maintenant à la planification pour anticiper la production de contenus !

Quelle fréquence pour publier tes contenus ? Il n’y a pas de règles, mais si tu as du temps, je te conseille une newsletter et un article de blog par semaine.

(Attention, la newsletter ne doit pas être un résumé de ton article de blog ! Mais je t’en reparlerai un peu plus bas 🤓 )

Tu peux te dire que tous les lundis sortira un article de blog, et tous les mardis une newsletter.

Mon conseil : rassure-toi en te prouvant que tu peux programmer des contenus pour les six prochains mois. Si tu te lances, c’est rassurant de savoir que tu auras l’esprit tranquille pour quelques mois pour plusieurs semaines sans devoir créer du contenu en continu et dans le stress.

Il faut également prendre en compte la communication de tes contenus sur les réseaux sociaux. Un article de blog c’est 30% de rédaction et 70% de communication. Et on en parle tout de suite.

 

2 – Stratégie de contenu : Où communiquer et diffuser ses contenus ?

stratégie de contenu

Il te faut avant tout une stratégie de communication digitale solide !

Tes articles de blog sont prêts et publiés sur ton blog ? Super ! Mais le problème, c’est que tu n’as pas de trafic organique. Résultat : personne ne voit tes contenus. Mais heureusement, les réseaux sociaux peuvent t’aider à résoudre ce problème. Les réseaux sociaux sont un excellent levier pour développer ou fidéliser ton audience, ton image de marque et trouver des prospects ! Tu vois où je veux en venir ! Une stratégie social média est indispensable pour compléter ta stratégie de contenu !

 

Quels canaux de communication choisir pour ta stratégie de contenu ?

Tout dépend de ton activité et de ta cible 🤓 (réponse de normand, je sais). Vouloir être présent sur tous les réseaux sociaux n’est pas utile et te demandera un temps considérable que tu pourrais consacrer à tes missions par exemple.

 

Tu es freelance copywriter et tu travailles avec des startups ?

  • Linkedin peut-être un bon canal de communication avec ta cible
  • Twitter aussi, si tu es déjà actif sur ce réseau (sinon oublie-le, car se développer sur Twitter prend trop de temps aujourd’hui).

 

Tu es coach pour entrepreneur ?

Globalement, je recommande de développer LinkedIn dans la plupart des activités de freelancing pour ta stratégie de contenu.

Facebook ? Facebook peut-être utile si tu fais de la publicité (avec un objectif de trafic) pour tes articles de blog. Pourquoi de la pub ? Parce qu’avec l’algorithme actuel de Facebook qui mine la visibilité des pages entreprise, il est quasiment impossible de développer la portée organique de tes publications (et articles).

 

Comment adapter ton message aux différents réseaux sociaux ?

 

En tenant compte des spécificités des différents réseaux sociaux et de tes abonnés sur ces différentes plateformes :

  • Un article de blog sur Instagram est un flop
  • Une photo de ton chai latte prise dans ton coworking sur Twitter est un bide

 

Voici comment j’utilise mes différents réseaux sociaux :

– Mon blog est l’endroit d’où partent mes contenus

– Instagram : mon espace de créativité.

– Le mailing : le lieu qui rassemble les intimes qui veulent du contenu à forte valeur ajoutée. .

Ma page Facebook : le support de pub’ et de com’ pour mes formations et contenus. .

– Mon profil Linkedin : des contenus plus “coup de gueule” et “experts”

 

Petite aparté concernant la newsletter

Ta newsletter ne doit pas être une copie de ton article de blog. Tu peux avoir un article de blog sur un sujet précis, et traiter d’une autre thématique dans ta newsletter. Pourquoi est-ce mieux de ne pas faire un copier coller ? Tout simplement pour que ton audience garde un intérêt à te lire et remarque une plus-value dans la lecture de ta newsletter.

 

Et maintenant, comment devenir visible avec ta stratégie de contenu ?

En développant ta communauté sur les réseaux sociaux ET ta newsletter. Il te faut des abonnés qualifiés pour que tes contenus soient reçus avec intérêt puis repartagés. Une communauté fidèle génère de l’engagement autour de tes contenus et contribue à développer ta notoriété. Des abonnés convaincus seront tes meilleurs ambassadeurs !

Pour développer une communauté forte, il faut choisir un ou deux canaux de communication pertinents pour ton activité et les développer à fond.

Je te conseille de commencer à les développer de manière organique puis à partir de 500 abonnés, envisager des actions de growth hacking : robots sur LinkedIn et Instagram par exemple.

Pour ta newsletter, tu peux dès à présent proposer un leadmagnet (cours par mail, E-book) en échange d’un mail.

 

3 – Comment rendre ta stratégie de contenu unique et efficace

stratégie de contenu

Une bonne stratégie de contenu est basée sur un bon copywriting.

 

Un bon copywriting c’est une écriture fluide, personnelle et empathique. Pour ça, parle de toi à la première personne, accouche tes émotions et livre-toi sur ton papier.

Définir une stratégie c’est bien, savoir apporter du contenu pertinent et l’écrire de la bonne manière c’est mieux ! Ce qui touche ton audience ce n’est pas la véracité scientifique de tes propos, ce n’est ni le sujet en lui-même, mais ton regard sur un sujet en particulier.

N’aie pas peur d’aborder un sujet qui a déjà été traité 1000 fois. Si tes lecteurs te lisent c’est parce qu’ils veulent ton point de vue personnel. C’est pour ça qu’ils te suivent et te lisent.

Tes vrais fans, ce sont ceux qui te suivent depuis ton lancement, ceux qui ouvrent tous tes mails et les lisent avec attention, ceux qui ont choisi de faire de toi leur référence dans la thématique que vous avez en commun. 

Et pour devenir cette référence, tu dois leur apporter de la valeur ajoutée avec des contenus pertinents.

La valeur ajoutée ce n’est pas le savoir que l’on peut trouver partout sur internet en libre accès.

La valeur ajoutée c’est ceci : ton expertise + ton expérience + ton point de vue. 

Et sur cela, personne ne peut rivaliser avec toi car tes concurrents auront beau avoir autant d’expertise que toi ou plus d’expérience, ils n’auront pas vécu ta propre expérience personnelle et ne porteront pas le même regard que toi sur un sujet donné.

C’est pourquoi, tu dois te servir de tes propres ressources personnelles pour te démarquer et sortir du lot

Tous les sujets ont déjà été traité de toute façon 😉

Mon conseil pour ne pas t’autocensurer : arrête de regarder les sujets que traitent tes concurrents. Tu vas te mettre trop de pression à vouloir les copier pour obtenir un résultat médiocre.

Développe ta visibilité grâce à ton SEO

Pendant longtemps, j’ai négligé cette étape, et je me suis rendue compte que pour toucher plus de monde, il fallait que j’optimise mon référencement naturel pour être mieux positionnée dans les résultats de moteurs de recherche. Et ça passait par revoir le SEO de mes articles :

  • J’ai donc commencé par Installer Yoast (sur WordPress)
  • J’ai défini les bons mots clefs sur lesquels je voulais être positionnée avec une étude sur Yooda Insight (gratuit)
  • J’ai revu mes balises titres et métadescriptions
  • J’ai revu mes liens internes et externes
  • J’ai revu la nomination de mes images

L’objectif du référencement naturel c’est de pouvoir être trouvé facilement en première page Google en tapant un mot clé.

Si on tape freelance « personal branding » je sais qu’on tombe sur un de mes articles.

Mon conseil : si tu décides de faire des articles invités auprès de médias dont le trafic et l’optimisation SEO est bonne( Maddyness, Le journal du CM), tu vas pouvoir développer à la fois ta visibilité et ta notoriété. Bien sûr choisis ces médias sociaux selon ton public cible !

Dans ce cadre je me suis fixée comme objectif de proposer un article invité par mois à un média à grosse audience. Je te conseille d’en faire autant 🤠

 

Sois rigoureux et patient dans ta stratégie de contenu

Une stratégie de contenu est une stratégie long terme : tu ne verras les résultats qu’en quelques mois. Pourquoi ? Parce qu’il faut que ta communauté se construise, que ton nom se fasse entendre et que ton référencement naturel fasse effet.

Mais c’est ta régularité qui te permettra de te démarquer du lot. .

 

  • Ritualise la production de tes contenus : tous les lundis, j’écris un article de blog et une newsletter
  • Programme la publication de tes articles ET leur communication sur les réseaux sociaux
  • Programme des articles invités dans des médias plus influents que toi
  • Interview des personnes influentes dans ta thématique en leur demandant de repartager le contenu en question
  • Réalise des cas pratiques de clients pour montrer ton expertise
  • Autorise-toi une dose de spontanéité de temps à autre pour tester la température avec ton audience
  • Analyse les contenus qui t’amènent le plus de trafic et d’engagement (taux de conversion, trafic sur ton site internet avec Google Analytics par exemple)
  • Rectifie le tire en fonction des résultats et de l’évolution de tes objectifs pour garder une stratégie digitale efficace 🤓

 

Conclusion

 

Tu connais maintenant les différentes étapes pour mettre en place une stratégie de contenu efficace en prenant en compte tous les éléments dont tu as besoin : les idées de contenu, la stratégie, la planification, la diffusion et la différentiation. Si tu as besoin d’aller plus loin et de te faire accompagner dans la mise en place de ta stratégie de contenu, je te propose un appel stratégique de 30 minutes 🙂

[Etude de cas]Bruno Maltor : le digital nomad au Personal Branding maîtrisé

Bruno Maltor est un influencer et précurseur du digital nomadisme. A 28 ans seulement, il est suivi sur les réseaux sociaux par des milliers de personnes qui l’accompagnent et le soutiennent dans ses voyages autour du monde. Parti d’un simple blog “Votre tour du monde” créé en 2012, Bruno est aujourd’hui un blogueur, YouTubeur et Instagramer de renom. Mettant sa personne en retrait à ses débuts, il développe aujourd’hui une véritable stratégie de Personal Branding auprès de sa communauté en s’affichant sur les réseaux sociaux et en interagissant régulièrement avec son audience. Retour sur la stratégie de Personal Branding de ce voyageur connecté.

1 – Pourquoi la stratégie de Personal Brandng de Bruno Maltor est-elle efficace ?

 

Bruno Maltor est un précurseur dans sa thématique : le digital nomadisme. Il a fait rêver des milliers de voyageurs français et internationaux. Aujourd’hui influenceur, il a développé des partenariats internationaux pour accroitre sa visibilité et monétiser son activité.

Je n’évoquerai pas la stratégie d’affiliation et de partenariats de Bruno Maltor dans cet article : d’une part, parce que je ne la connais pas, et d’autre part, car il n’est pas question de cela dans mon article. L’objectif est ici d’étudier une stratégie de Personal Branding visible et analysable grâce à la présence digitale de Bruno Maltor sur le web et les réseaux sociaux.

Une e-réputation impeccable sur le web et les réseaux sociaux 

 

Lorsque l’on tape son nom sur Google, on trouve :

  • Son site web
  • Ses réseaux sociaux
  • Des articles élogieux sur lui

 

 

Il apparaît également en première page de recherche sur la requête “blogueur voyage” et en deuxième position du classement des influenceurs voyage francophone dans Grazia.

 


Qu’est-ce qui séduit chez Bruno Maltor ?

 

  • Il est jeune et dynamique
  • Il est souriant et sympathique
  • Il fait rêver des milliers de voyageurs du monde entier
  • Il rend ses voyages et contenus accessibles (grâce à ses tutos dont on parlera plus bas)
  • Il interagit avec sa communauté au quotidien
  • Il est généreux dans les contenus qu’il partage (photos, conseils)
  • Il prône une vision du tourisme : le slow tourisme
  • Il est transparent sur les questions budgétaires et répond avec honnêteté sur le sujet
  • Il défend le territoire français en faisant la promotion de la France à travers ses voyages dans l’hexagone
  • Il a également un fort engagement humanitaire et écologique
  • Il adopte un style vestimentaire simple  : jean, baskets, casquette en arrière (qui fait partie de son style)

Quelle stratégie pour le blog “Votre tour du monde” ?

  • Un blog de voyage qui existe depuis 2012
  • + de 2 millions Visiteurs uniques en 2017
  • Une stratégie de contenus écrits et  déclinés en vidéo :
  • Très bon SEO
  • Affiliation
  • Un style personnel même si la priorité est à la chaîne YouTube sur laquelle le blog renvoie
  • Stratégie de contenu mixte : des Interviews d’habitants locaux + articles personnels + des  contributeurs (articles invités) pour nourrir le blog

II – Comment Bruno Maltor travaille-t-il son Personal Branding sur les réseaux sociaux ?

Bruno Maltor a un profil influent sur Linkedin (plus de 23 427 abonnés) bien que LinkedIn ne soit pas son canal de communication principal.

Il utilise son compte Twitter comme relai de ses réseaux sociaux principaux : il renvoie sur son compte Instagram et sa chaîne Youtube qui sont ses canaux de communication privilégiés.

Le Personal Branding de Bruno Maltor sur Instagram 

Instagram est le canal de communication privilégié de Bruno Maltor. C’est ici qu’il communique quotidiennement auprès de sa communauté.

Grâce à des stories régulières, Bruno développe son engagement sur ce réseau social plus intimiste. C’est sur Instagram qu’il dévoile l’arrière scène (backstage) de ses voyages et de son activité de blogueur.

Profil technique de son compte Instagram :

Abonnés : 171 k abonnés (pour 607 abonnement, soit un très bon ratio ! )

Engagement : 6,44 (average + capture écran)

Contenus : De très beaux visuels, des photos de lui régulièrement, une interaction avec sa communauté

Fréquence des publications : une publication tous les trois jours

 

Bruno Maltor a choisi de développer son Personal Branding en faisant le choix de se mettre de plus en plus en avant sur les réseaux sociaux. Il a d’ailleurs sondé sa communauté sur le sujet dans cette publication : 

 

Bruno teste sa stratégie de personal branding en s’adressant directement à sa communauté, Il la sollicite d’ailleurs régulièrement avec des concours, ce qui lui permet de faire grossir son nombre d’abonnés et développer son taux d’engagement photo concours (avec les rayures et le téléphone en haut)

Note : les post avec le plus d’engagement sont d’ailleurs les jeux concours ainsi que les posts où Bruno parle de lui avec un ton très personnel. Le storytelling est une clé non négligeable pour développer un lien avec son audience.

 

Le personal Branding de Bruno Maltor sur sa Chaine YouTube

 

La chaîne YouTube a trois ans mais Bruno Maltor se met en avant sur la chaîne depuis 2 ans se met en avant.

Profil technique de sa chaine YouTube :

Abonnés : 60 000 abonnés

Vues  : moyenne de 30 K par vidéo

Particularité du réseau social : Répond aux questions posées sur Instagram

Particularités techniques : contenu d’expert avec sous-titres, bonne qualité image et montages travaillés 

Evolution technique : Professionnalisation de la qualité vidéo depuis 1 an

Scénario : Appels à l’action pour s’abonner et le suivre sur d’autres RS

Fréquence : Bruno s’engage à faire une vidéo par semaine en 2019

 

La chaîne Youtube est le deuxième canal de communication privilégié de Bruno Maltor avec Instagram. C’est ici qu’il s’exprime de vive voix et s’adresse à sa communauté en répondant à ses questions.

 

 

Le Personal Branding de Bruno Maltor sur sa page Facebook  :

 

Facebook est le réseau social sur lequel Bruno a le plus d’abonnés mais clairement pas un réseau privilégié pour toucher sa communauté. En cause ? Un algorithme Facebook qui plombe la portée organique des publications des pages. En revanche, Bruno a choisi de développer sa communauté en parallèle de sa page via deux groupes Facebook qu’il anime à fréquence régulière pour rencontrer sa communauté.

 

Profil technique de sa page Facebook :

 

  • Titre : Votre tour du monde (comme le blog)
  • Mentions j’aime : 190K mais moins d’engagement que sur Instagram (avec un algorithme Facebook qui n’aide pas à développer la visibilité de ses publications)
  • Communauté : il crée un vrai lien avec la communauté : Le verre des voyageurs (2 groupes Facebook)
  • Repost : Bruno repost automatiquement des photos de son compte Instagram mais avec moins d’engagement
  • Fréquence des publications : une publication tous les trois jours

 

C’est la communauté réelle de Bruno développée par le Verre des voyageurs qui apporte une grande plus-value à sa page Facebook .

 

Même avec plusieurs milliers d’abonnés, Bruno tient à rencontrer sa communauté, ce qui donne une image positive en le rendant accessible !

 

Conclusion

Bruno Maltor a progressivement réorganisé sa stratégie de communication depuis deux ans en plaçant le Personal Branding au coeur de son développement. Il a vite compris que pour toucher sa communauté, il fallait personnaliser ses contenus pour lui permettre de s’identifier à sa vie de blogueur et redonner de l’humain à un influenceur de renom.

La disponibilité et l’accessibilité de Bruno lui donne ainsi un fort capital sympathie et lui permet de toucher de plus en plus de voyageurs francophones à travers le monde.

Si comme Bruno, tu souhaites développer ta marque personnelle sur Instagram, je te propose qu’on en parle de vive voix 😉

 

Danilo Duchesnes : au delà du consultant, un expert en Personal Branding

Danilo Duchesnes est un consultant expert en publicité Facebook et Instagram. En un an, il a su développer son audience et sa notoriété, non grâce à la publicité Facebook mais par une habile stratégie de contenu. En un an, Danilo a multiplié par dix le trafic de son site web et est devenu la référence dans sa niche. En un an, il a su développer sa marque personnelle et la travailler sur ses différents canaux de communication. Dans cette interview, Danilo revient sur sa stratégie de Personal Branding, sur le choix de ses réseaux sociaux, et nous donne ses meilleurs conseils pour réussir en freelance, avec ou sans pub ! 

1 – Qui est Danilo Duchesnes ? 

Danilo Duchesnes

Je vais commencer par dire ce que je fais, c’est le plus simple 🙂

Depuis un an, je suis consultant en marketing digital avec une spécialisation dans la publicité Facebook/Instagram.

Au quotidien, je travaille avec des entrepreneurs et des PME. Je gère leurs campagnes de publicité Facebook/Instagram ou je les conseille dans la création de leurs campagnes.

Je propose aussi de la formation en présentiel et en ligne sur le même sujet. Pour la formation, je me tourne plus vers des agences, entrepreneurs ou consultants 🙂

Bien sûr, je ne fais pas que ça de mes journées …

Je suis aussi blogueur. Au départ, je bloguais sur le marketing digital et mon blog était très centré sur l’apprentissage. C’est comme ça que je me suis fait connaitre.

Maintenant, j’essaye de plus en plus d’ajouter une touche personnelle à mon blog en y partageant des expériences et des leçons que j’apprends dans mon parcours d’entrepreneur.

Pour terminer, je passe de plus en plus de temps à animer ma communauté grandissante sur les réseaux sociaux. Je fais par exemple des Lives Facebook pour communiquer de manière plus « directe » avec ceux qui me suivent et bientôt des meetups j’espère 🙂

Du point de vue personnel, j’aime beaucoup lire, voyager, faire du sport, rencontrer de nouvelles personnes … Tout ce qu’il y a de plus « normal ».

Je me suis lancé dans l’entrepreneuriat pour justement pouvoir faire toutes ces choses sans être freiné par les contraintes du salariat.

2 – Spécialiste de la publicité Facebook, tu travailles également ton Personal Branding sur Instagram. Comment développes-tu ta marque personnelle sur ce réseau social ?

Danilo Duchesnes

Oui, depuis peu en fait !

Il y a encore 2 mois, mon compte Instagram contenait seulement des photos de moi en vacances …

Comme tu t’en doutes, ce n’était pas vraiment représentatif de ce que je fais au jour le jour.

Et comme tu le sais, Instagram est avant tout un réseau social de storytelling où tu vas partager des photos de toi, des vidéos et des Stories pour raconter ton histoire, ce que tu fais de tes journées, partager tes passions, etc.

Mon compte Instagram ne reflétait pas ça du tout.

En octobre, je me suis dit qu’il fallait que ça change.

Pour vous donner du contexte, j’ai une communauté active sur Facebook (plusieurs milliers de personnes), un bon réseau sur LinkedIn et un compte Twitter où je suis aussi actif.

Sur ces 3 réseaux, je publie du contenu « expert », c-à-dire un contenu où je partage des conseils marketing, des astuces, les dernières actualités de Facebook/Instagram, etc.

L’objectif, c’est de me positionner comme expert.

C’est principalement de cette façon que je développe mon personal branding grâce aux réseaux sociaux.

Les personnes qui me suivent me voient comme un expert du marketing Facebook … mais n’en savent pas beaucoup sur moi et ma personnalité.

Je publie parfois des contenus sur ma vie personnelle, mais ce n’est pas suffisant. En plus, je ne fais pas beaucoup de vidéos, donc ça n’aide pas.

Jusqu’à septembre, mon compte Instagram reflétait pas grand-chose sur qui je suis et ce que je fais au quotidien.

C’est là que j’ai pensé à m’en servir comme un outil pour partager plus de choses sur mon quotidien : faire du storytelling.

L’idée, c’est d’utiliser Instagram pour illustrer mon quotidien, partager des éléments de ma vie personnelle (un endroit qui m’a inspiré, une leçon que j’ai apprise, etc.) et dans le même temps véhiculer des valeurs importantes pour moi.

Je pense à la persévérance, l’honnêteté, le partage, la sympathie, l’indépendance, etc.

L’objectif, ce n’est donc pas de me positionner comme un expert, comme sur les autres réseaux sociaux.

Je veux qu’à travers mes posts sur Instagram, les personnes qui me suivent apprennent à me connaitre au-delà de mes articles de blog ou des posts « expert » que je fais sur les autres réseaux sociaux.

Je vous donne un exemple :

https://www.instagram.com/p/BpZVWgoFxSV/

 

Sur cette photo, j’aurais pu mettre une légende banale du genre « Work hard, play hard » ou « Toujours au téléphone. #working #businessman ».

Le problème, c’est que tout le monde fait ça.

À la place, j’ai choisi de raconter une anecdote où j’explique qu’un client m’a appelé un samedi, sans que je m’y attende, pour mettre fin à notre collaboration.

J’explique pourquoi le client m’a quitté, quelles erreurs j’ai faites et ce qu’on peut retenir de cette expérience.

De cette façon, les personnes qui me suivent apprennent à mieux me connaitre et apprennent également des choses qui pourraient leur être utiles dans leur activité.

Et en plus, l’histoire que je raconte dans la légende est en lien avec la photo de moi au téléphone …

Voilà pourquoi j’ai inclus Instagram dans ma stratégie de personal branding : pour montrer mon côté humain tout simplement 🙂

 

“Sur Facebook, LinkedIn et Twitter, c’était beaucoup plus difficile de montrer des photos de moi sans que ça paraisse narcissique.”

 

Sur Instagram, c’est la meilleure chose que vous puissiez faire.

Si vous avez besoin de conseils pour vous servir d’Instagram et développer votre personal branding, voici ce que je vous conseille :

  • Observer les comptes Instagram d’amis ou influenceurs que vous appréciez et avec qui vous partagez les mêmes valeurs. Cela vous donnera un peu d’inspiration au début.
  • Faites régulièrement des shootings photo pour avoir des photos de très bonne qualité (la qualité de vos photos est très importante sur Instagram).
  • Publiez 2 à 3 fois par semaine
  • Boostez vos publications pour toucher plus de monde
  • Écrivez des légendes captivantes : racontez une anecdote, partagez un conseil, donnez votre point de vue, prenez position (très important pour montrer qui vous êtes).
  • Posez des questions à la fin de chaque publication pour engager la discussion avec vos abonnés
  • Partagez du contenu dans vos Stories pour montrer à votre communauté les coulisses de votre activité : parlez devant la caméra, montrez où vous vous trouvez en ce moment, récoltez du feedback sur vos idées, etc.

3- La publicité Facebook/Instagram est-elle incontournable pour un indépendant qui veut se faire connaitre aujourd’hui ?

expert personal branding

Je serais tenté de dire que « oui » comme je fais de la publicité Facebook/Instagram tous les jours mais la réponse est non 🙂

J’en suis la preuve.

Je me suis fait connaitre grâce à mon blog, et pas en faisant de la publicité Facebook.

C’est mon blog qui m’aide à faire grandir ma communauté sur Facebook. C’est mon blog qui incite ceux qui le lisent à s’inscrire à ma Newsletter. Et c’est dans ma Newsletter que j’invite régulièrement mes abonnés à me rejoindre sur les réseaux sociaux.

Bien sûr, c’est un travail de long-terme mais ça fonctionne toujours.

Il y a aussi YouTube qui peut permettre à n’importe qui de se faire connaitre.

On l’oublie mais Youtube est un site web plus visité que Facebook

Le nombre de personnes qui s’y rendent tous les jours pour s’éduquer ou se divertir est phénoménal.

En plus, YouTube fonctionne à la fois comme un réseau social (avec les commentaires et les recommandations) et un moteur de recherche.

Si tu t’y prends bien, tu peux avoir de milliers de personnes qui découvrent ton contenu grâce à la recherche et/ou aux recommandations (si ta vidéo est très appréciée, elle sera recommandée à la fin d’une vidéo ou sur la barre latérale à gauche).

Par contre, pour l’entrepreneur qui n’est pas prêt à s’investir dans le blogging ou la création de vidéos, mais préfère plutôt utiliser Facebook et Instagram pour gagner en visibilité et trouver de nouveaux clients, je lui conseillerai d’investir dans la publicité Facebook.

Danilo Duchesnes

Facebook a de nombreux objectifs publicitaires pour atteindre tous les objectifs que vous avez envie :

  • Augmenter le trafic de votre site
  • Vendre en ligne
  • Attirer des gens en point de vente
  • Développer votre communauté

Le grand intérêt de la publicité Facebook, c’est de pouvoir être visible sur un réseau social qui n’est plutôt à fait gratuit pour les entreprises …

La portée organique d’une Page Facebook professionnelle est très faible. Peu de gens verront vos contenus si vous ne payez pas.

La concurrence est tellement importante sur Facebook que c’est presque le seul moyen d’être visible sur la plateforme.

Sur Instagram, c’est moins le cas mais avec la croissance inarrêtable du nombre d’utilisateurs, cela sera pareil dans quelques années.

En résumé, si vous dépendez principalement de Facebook et Instagram pour votre communication et la promotion de votre activité, je vous conseille fortement d’apprendre la publicité Facebook et investir 100€ par mois pour commencer.

C’est un bon point de départ si vous débutez.

4 – En parlant de visibilité, tu t’es fait connaître grâce à une stratégie d’articles invités dans le journal du CM et Webmarketing & Com’. Comment as-tu développé cette stratégie et quel impact a-t-elle eu sur ton activité ?

Oui, voilà.

C’est de cette façon que je me suis fait connaitre au tout début.

J’ai cherché à écrire des articles invités régulièrement sur des blogs influents où je savais que ma cible s’y rendait pour apprendre le marketing digital.

Comme ces blogs sont connus, un grand nombre de personnes les visitent chaque jour en quête d’apprendre et de se « cultiver » sur le marketing.

expert en personal branding
Ce qu’ils recherchent, c’est des articles à haute valeur ajoutée : avec des exemples, des statistiques, des études de cas, etc.

Alors, j’ai tout simplement proposé à leurs auteurs d’écrire des articles longs, utiles et informatifs à la fois.

Avec leur accord, j’ai pu mentionner les articles de mon propre blog et inviter ceux qui ont lu l’article jusqu’au bout à se rendre sur mon site pour télécharger un ebook gratuit.

Cette stratégie m’a permis de développer rapidement une audience et construire ma liste mail !

Ensuite, j’ai commencé à produire plus d’articles sur mon site et à en parler sur ma Newsletter.

Il y avait à peine quelques centaines de personnes inscrites sur ma Newsletter à l’époque 🙂

Pendant un an, j’ai publié 1 à 2 articles invités par mois sur 7 ou 8 blogs différents.

Au final, produire des articles invités ne m’a pas permis de générer directement des demandes pour mes services. Cela m’a plus servi pour me faire connaître, promouvoir mon site et développer de nouveaux partenariats grâce à la notoriété acquise grâce à ces sites.

Si vous voulez en savoir plus sur la stratégie des articles invités, j’en ai parlé dans cet article qui vous explique comment faire connaitre votre site web ! 🙂

5 – En tant qu’expert d’un réseau social, penses-tu qu’il faille être présent sur toutes les plateformes pour travailler sa marque personnelle ?

 

Oui et non.

Oui parce que plus tu es actif sur les réseaux sociaux, plus il y a des chances qu’on te découvre.

C’est ce que j’ai fait pour développer mon personal branding. Je suis actif chaque semaine sur :

  • Facebook
  • Twitter
  • LinkedIn
  • Instagram
  • Mon blog
  • Mon Groupe Facebook
  • Ma Newsletter

À force de voir mes conseils partout sur le web, je pense que certains ont dû se dire que j’étais sérieux dans ce que je fais.

Danilo Duchesnes

Évidemment, je ne vous conseille surtout pas d’être présent sur toutes ces plateformes dès le début (j’y reviendrai un peu plus loin).

La deuxième chose que je veux ajouter sur l’importance d’être présent sur plusieurs plateformes sociales, c’est que chaque plateforme a son propre « langage » et ses propres codes.

Par exemple, Facebook va vous permettre de débattre sur une actualité avec votre communauté ou de développer une émission live hebdomadaire (ce n’est pas vraiment possible sur Instagram ou LinkedIn par exemple).

Instagram, c’est l’idéal pour parler de vous sans avoir l’air narcissique.

L’objectif, ça ne doit pas être de vendre vos services sur Instagram mais plutôt de montrer qui vous êtes, raconter votre histoire, montrer votre personnalité. Ce n’est pas ce que vous allez pouvoir faire sur LinkedIn par exemple.

Et puisque je parle de LinkedIn, LinkedIn est parfait pour vous construire une réputation d’expert. Attention, si vous êtes dans un secteur comme la mode ou le fitness et que vous vendez vos produits à des particuliers (simple exemple illustratif), je ne pense pas que ça soit utile d’être sur LinkedIn.

Maintenant, devriez-vous être vraiment présent sur toutes les plateformes ?

Non, et c’est d’autant plus vrai si vous débutez.

Parmi les réseaux sociaux que j’ai cités, vous avez vu que je n’ai pas mentionné Pinterest ou Snapchat parce que je sais que ma cible ne s’y trouve pas.

Quand j’ai débuté, j’ai juste commencé par bloguer une fois par semaine et utiliser un peu Facebook/Twitter. L’idée, c’était de ne pas m’éparpiller dès le début en essayant de publier du contenu pertinent pour chaque plateforme.

Mon conseil, c’est de vous concentrer au début sur un ou 2 réseaux sociaux, si possible les 2 plateformes où vous savez que votre audience s’y trouve le plus souvent.

Développez votre communauté et votre personal branding lentement mais sûrement sur ces plateformes.

Dès que vous les maitrisez et que vous avez compris ce que veut vraiment votre audience, faites la transition vers d’autres plateformes en invitant votre audience à vous retrouver là-bas aussi.

6 – Comment vois-tu le développement de ton activité dans les prochains mois ?

Dans les prochains mois, je me vois continuer comme consultant.

Mon objectif, c’est de pouvoir travailler sur moins de projets mais des projets plus rémunérateurs. Généralement, ce sont aussi des projets sur le long terme 🙂

Danilo Duchesnes

J’adore le consulting mais c’est parfois un peu chronophage surtout quand on travaille sur plus de 5 projets (c’est ce que j’ai constaté pour moi avec les publicités Facebook).

De cette façon, j’aurai plus de temps pour développer mes programmes de formation en ligne.

J’ai débuté cette seconde activité en septembre et je compte aller plus loin que de proposer des programmes de formation.

Je veux développer une communauté forte d’entrepreneurs et marketeurs qui croient au marketing numérique comme « outil » indispensable pour développer leur entreprise.

7 – Où peut-on te trouver ?

 Vous pouvez me retrouver sur Facebook et Instagram bien sûr !

Je vous invite aussi à lire mon blog, je publie un article par semaine. Si cela vous intéresse, voici les sujets que j’aborde :

  • Partage d’expérience
  • Publicité Facebook
  • Marketing digital

A bientôt j’espère !

👉Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle 🤠

expert en personal branding

Les 4 erreurs de Personal Branding qui minent ta e-réputation

Le Personal Branding est très en vogue dans le milieu entrepreneurial. Il est une des conditions d’une bonne e-réputation sur le web. Et pour cause, il s’agit d’une stratégie redoutablement efficace pour faire de soi son propre produit et se démarquer dans un marché ultra-concurrentiel. Grâce au Personal Branding, un entrepreneur s’applique une stratégie commerciale à lui même et peut ainsi trouver des clients sans avoir à les démarcher. C’est ce qu’on appelle l’inbound marketing.

Et pourtant, le Personal Branding doit être manipulé avec précaution. Parler de soi, c’est très bien, mais pas n’importe comment ! Dans cet article, je t’explique les quatre erreurs à éviter lorsque tu le lances dans une stratégie de Personal Branding.

1 – Ne pas tomber dans l’égocentrique  : condition d’une bonne e-réputation

 

e-réputation

Le piège le plus commun dans lequel peut tomber un entrepreneur est celui de l’égocentrisme. Quand on applique une stratégie de Personal Branding, il est naturel de parler de soi, de son expérience, de son expertise, et de son histoire.

Parler de toi te permet certes de créer une connexion avec ton audience ou ta communauté. Mais attention à ne pas la négliger au passage ! Ta communauté a besoin que ton discours lui parle et pour ça il faut que tu lui parles ! Pose lui des questions, attaque ses problèmes, encourage-là dans ses avancées et surtout, identifies-toi à elle !

Tu dois développer un sentiment d’empathie pour que ta communauté adhère à ton discours.

Mets-toi à la place des personnes qui te suivent : arriverais-tu à accrocher au discours de quelqu’un qui ne parle que de lui ? Et bien non, tu te lasserais. Alors pour éviter de perdre tes abonnés jours après jour, recentre-toi sur le plus important : ta communauté et ses problématiques entrepreneuriales.

2 – Ne dévoile pas toute ta vie privée pour ne pas mettre en péril ta e-réputation

 

personal branding e-réputation

Autre erreur dans laquelle il est facile de tomber : révéler toute ta vie privée. Il est vrai que le Personal Branding va te permettre de te dévoiler pour créer un lien émotionnel avec ta communauté. Tu vas donc pouvoir mobiliser des anecdotes personnelles pour créer une connexion avec ceux qui te suivent. Mais tu ne dois pas pour autant tout dire !

Tes anecdotes personnelles servent à une objectif professionnel : montrer que tu es humain, et parler à d’autres humains en utilisant des références communes.

Il faut donc que tu crées une fausse intimité, et non révéler toute ton intimité. Ton intimité, c’est ta vie privée et elle doit rester privée pour te préserver. Garde une part de mystère et tu verras que ta communauté sera d’autant plus intriguée par ta personne.

Lorsque tu travailles ton Personal Branding, ta e-réputation doit être irréprochable.

Attention à tes photos de soirées alcoolisées ou en été à la plage.

Attention à tes opinions politiques et religieuses.

Ne me méprends pas, tu peux faire de ces deux derniers éléments des clefs de ta marque personnelle (options politiques, religieuses) mais il te faut les assumer totalement.

Si tu choisis de développer une stratégie de Personal Branding, rien ne doit être dit ou fait par accident.

3 – Ne copie pas le style de tes références pour développer ton Personal Branding

 

e-réputation

Erreur assez fréquente, mais néanmoins préjudiciable que celle du “plagiat involontaire”. Le plagiat involontaire, c’est le fait de copier le style d’une de tes références par mimétisme. Admettons que tu sois formateur : pour créer des formations et les vendre, tu vas t’inspirer de mastodontes de la formation. Chacun d’eux à son style, sa manière de communiquer, sa stratégie de vente et sa propre communauté.

Lorsque tu te lances, tu vas possiblement reproduire les styles de ces entrepreneurs que tu suis et admires. Le problème, c’est que tu ne vas pas te démarquer d’eux si tu communiques comme eux. Tu seras seulement une version moins connue d’eux, ce qui va impacter ta e-réputation.

Pour être la meilleure version de toi-même : il faut que tu adoptes ton propre style, et ça, seul le temps te permettra de le trouver.

Alors inspire-toi, produis des contenus, mais fais le avec le ton avec lequel tu es le plus à l’aise : tutoiement, vouvoiement, peu importe ! Communique naturellement, et tu trouveras ainsi ton propre style.

C’est de cette manière que tu laisseras ta propre trace.

 

4 – Personal Branding : ne tombe dans le misérabilisme

 

é-réputation personal branding

Dernier revers du Personal Branding : tomber dans le misérabilisme.

Je m’explique : si tu es présents sur des réseaux sociaux comme Facebook et LinkedIn, tu te rends compte que ce qu’on voit en général, ce sont des publications enthousiastes de succès personnel et professionnel.

Sur Facebook, on montre des photos de vacances qui font rêver, des photos de famille et de bons moments entre amis.

Sur LinkedIn, on partage ses succès professionnels, son changement de poste et son évolution de carrière.

Alors oui, il s’agit d’une vitrine ! La face découverte de l’iceberg. Mais tu ne dois pas pour autant montrer la face cachée du même iceberg.

Pourquoi ? Parce qu’en terme de communication, cela serait tout simplement désastreux.

Et pour cause, je vois régulièrement des posts LinkedIn et Facebook de contacts au bord de la dépression.

C’est triste, et je compatis. Mais l’image négative que renvoie quelqu’un qui va mal à des conséquences terribles sur son activité et sa e-réputation.

Si tu traverses une période de blues sur le plan professionnel et que tu l’affiches, penses-tu vraiment que cette image que tu renvois va attirer les personnes qui te suivent ?

Non au contraire ! Tu véhicules des ondes négatives et ta communauté s’éloignera de toi.

En revanche, lorsque tu as surmonté ces difficultés personnes ou professionnelles, tu peux écrire un article expliquant comment tu as réussi à t’en sortir. Et surtout, comment tu peux aider les autres à s’en sortir à leur tour ! Et c’est seulement là que ton Personal Branding sera efficace !

 

Conclusion 

Travailler ton personal branding te permettra de briller grâce à ton authenticité et ta personnalité. Mais il s’agit d’une stratégie centrée sur toi, et tu dois donc faire attention à ton plus grand ennemi : toi-même. Deviens la meilleure version de toi-même et montre la meilleure image de toi-même pour maitriser ta marque personnelle.

Mais commençons par le début :  sais-tu ce qu’on trouve-sur toi lorsqu’on tape ton nom sur Google ? Maitrises-tu ta e-réputation ?

Pour aller plus loin, je te propose de télécharger le guide du Personal Branding 🙂

Et je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus 🤠

Comment développer ton Personal Branding en tant que freelance ? [cas pratiques à l’appui]

Depuis que je me suis lancée, je remarque qu’une grande partie des besoins des freelances qui lisent mes contenus concerne….tadam …le Personal Branding !  Et oui, le Personal Branding (ou marque personnelle) est un vaste sujet dans l’entrepreneuriat sur lequel il est impossible de faire abstraction.

Alors commençons par le début : qu’est-ce que le Personal Branding ?

Il s’agit d’une stratégie de marketing avec laquelle tu vas te mettre en avant et devenir ton propre produitToutefois, le Personal Branding trouve à son fondement une démarche sincère : il s’agit d’apprendre à te connaitre pour parler de ton entreprise avec émotion en l’incarnant.  C’est pourquoi le Personal Branding dépasse la simple auto-promotion aveugle. 

Concrètement, le Personal Branding te permet d’apprendre à :

Te connaître    Te faire connaître ✔ Afin de te faire reconnaître  ✔ Et ne plus avoir à démarcher ! 

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1 – Comment développer ton personal branding en tant que freelance ?

personal branding

Danilo Duchesnes : expert en Facebook ads qui maitrise parfaitement son personal branding

La première chose à faire est d’apprendre à te connaître : 

✔Quelle est ton histoire ?
✔Pourquoi as-tu décidé de te lancer en freelance ?
✔Quelles sont les valeurs qui façonnent ton projet entrepreneurial?

Après ce premier travail d’introspection, on va s’intéresser à ta singularité et à ton authenticité .

✔ Qu’est-ce qui te démarque des autres freelances qui vendent les mêmes services que toi ?
✔ Pourquoi devrait-on te choisir toi, et non un autre ?

La singularité est en fait le seul angle qui va te permettre de te démarquer de tes concurrents car aucun d’entre eux ne peut rivaliser avec toi au niveau de ta personnalité (ton histoire, tes valeurs, tes aspirations).

En clair, contrairement aux compétences qui sont les mêmes pour beaucoup de professionnels, la personnalité, elle est unique, et un puissant outil de différentiation que je vais t’apprendre à exploiter !

Etude de cas en Personal Branding : Justine Arma, Social media manager spécialisée dans l’industrie musicale

personal branding

Justine Arma, experte en musical branding : cas pratique à lire

Et c’est ce que j’ai fait avec Justine, que j’ai coachée.

Justine est Social Media Manager pour un public de musiciens et labels. 

Dans l’univers de la Musique, Justine est énormément sollicitée par des artistes. Pourquoi ? Parce qu’elle su développer sa marque personnelle au milieu de gros labels impersonnels !

Grâce à notre collaboration, Justine a pu :

✔ Affirmer et rehausser ses tarifs de freelance

✔ Mettre en place une stratégie de contenu régulière pour travailler son Personal Branding

✔ Obtenir des résultats rapides et gratifiants 

Aujourd’hui, Justine vit de son activité (elle a fait 3000 euros de C.A ce mois-ci, son plus gros chiffre !) et à su développer une nouvelle offre de Musical Branding à destination de son public de musiciens.

De plus, elle est contactée parce qu’on la trouve authentique et humaine !

Si elle s’était cachée derrière son entreprise, en se faisant passer pour une agence, (comme beaucoup de freelances font), elle ne se serait jamais différenciée de ses concurrents !

Justine applique désormais le Personal Branding à son domaine d’activité et a créé son propre musical Branding 🙂

Si tu veux t’inspirer du cas de Justine, tu peux lire son cas pratique 🙂

👉A toi de passer à l’action maintenant 🤠: pourrais-tu me donner une action que tu mettrais en place pour développer ta notoriété ?

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2- Personal Branding : ton positionnement est-il suffisamment clair ?

personal branding

Charlotte Appietto, fondatrice de Pose ta Dem’ a su s’imposer dans le secteur de la reconversion grâce à une marque forte

Identifie ta cible et tes concurrents pour renforcer et clarifier ton Personal Branding

Maintenant que tu as appris à te connaître, il faut maintenant que apprennes à te faire connaître !

Et pour ça, il faut que ton positionnement soit clair.

Définir ton positionnement, c’est d’abord :

✔ Identifier ta cible (et ses problématiques)
✔ Identifier tes concurrents (et leur proposition de valeur)

Puis :

✔ Trouver une proposition de valeur forte pour t’imposer (pourquoi irait-on te voir toi et non un de tes concurrents?)

Et enfin :

✔ Développer un style qui t’es propre (authenticité, style d’écriture, style vestimentaire, ton employé)

Pour te donner mon exemple personnel (encore) : je suis coach en Personal Branding.

Ma cible : je m’adresse à un public d’entrepreneurs. Mes spécificités : le développement d’activité, avec une approche basée sur la personnalité de l’entrepreneur

Mes concurrents : des formateurs en ligne s’adressant à un public d’infopreneurs

Ma proposition de valeur : Attirez un flux de clients réguliers grâce à votre personnalité

Mon style : beaucoup de spontanéité, des phrases courtes et simples, un brin d’humour (si tu le perçois..) et du peps !

C’est en faisant ce travail de positionnement que tu deviendras une référence dans ton domaine d’expertise. Et c’est à partir de là que tu seras sollicité pour intervenir à l’occasion d’événements divers (ateliers, séminaires, webinaires, interventions).

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Cas pratiques de Julie et Sonia : deux entrepreneures qui ont su affirmer leur personnalité

Je travaille en ce moment avec deux clientes, Sonia et Julie qui ont chacune un projet différents, mais qui étaient bloquées à une même étape de la construction de leur projet.

A un moment clé où elles se lancent dans un nouveau projet entrepreneurial, un problème survient rapidement : celui de leur cible.

La cible, le persona, l’avatar, peu importe le nom qu’on lui donne…c’est l’objet de tout tes messages, celui pour lequel tu as choisi de te lancer dans l’aventure entrepreneurial.

Ton persona, c’est la raison pour laquelle tu crées ton produit ou ton service.

Le problème, c’est que si tu le définis mal, c’est très compliqué par la suite d’arriver à le toucher.

Mes deux clientes ont essayé de définir leur persona de manière théorique, en s’aidant des méthodes que l’on peut trouver sur le web comme la définition de son client idéal.

Mais le problème avec cette méthode, c’est qu’elle est complètement théorique.

On ne touche pas les gens qu’on aimerait toucher. On touche les gens qui ont un réel besoin.

Comment trouver ce besoin me diras-tu ?

Et bien tout simplement en regardant autour de toi. Et c’est précisément  en partant de ce point qu’on a procédé pour trouver le persona de mes deux clientes.

personal branding
Julie est coach intime, elle accompagne des femmes et des hommes dans l’épanouissement de leur vie sexuelle. Pour construire son persona, nous sommes parties de son entourage : ses amis, qui font régulièrement appel à elle pour lui confier leurs problèmes intimes dans leur couple. Lire le cas pratique de Julie

 

De cette manière, Julie a pu trouver les bons mots pour toucher sa cible qu’elle connait déjà très bien !

Pour Sonia, l’approche a été un peu différente. Sonia est coach en reconversion professionnelle pour un public de femmes trentenaires qui aspirent à être plus épanouie dans leur travail. Elle les aide à sortir des carcans de normes sociales qui ne leur correspond pas.

Pour trouver le persona de Sonia, nous sommes parties…de Sonia ! Car elle incarne elle même cette femme qui a su se libérer d’un travail dans lequel elle ne se reconnaissait pas pour construire son propre métier, sur mesure. Lire le cas pratique de Sonia. 

👉Que peut-on retenir de ces deux exemples ?

Le persona, il se construit en partant de l’existant.

Si tu es lancé, tu peux construire ton ou tes persona en fonction des différents profils de tes clients.

Si tu n’es pas lancé ou que tu décides de te repositionner, n’invente pas des clients et des besoins. Pars de ce que tu connais 🙂

Je ne sais pas si tu as remarqué, mais les communautés ont le vent en poupe depuis quelques temps, notamment dans l’entrepreneuriat.

Les formateurs, freelances et startup s’y mettent. Et c’est une bonne chose pour toi aussi si tu veux développer ta visibilité auprès d’une audience de fans !

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3 -Ta communauté, c’est l’élément clé de ton Personal branding

personal branding

La communauté Edeni crée par Hélène de Vestele

Créer une communauté permet de fédérer un groupe de personnes autour d’un intérêt commun, et dans le cadre d’une stratégie de Personal Branding, l’interêt, c’est toi.

En tant que créateur, tu vas pouvoir développer ta visibilité en mettant ton expertise au service de cette communauté.

 

Pourquoi fédérer une communauté autour de ta marque personnelle ?

Avant tout, lorsque tu décides de créer une communauté, poses-toi d’abord la question : pourquoi ? Pourquoi regrouper ces utilisateurs au sein d’un groupe Facebook ? Pourquoi rassembler ces professionnels du digital dans un groupe Meetup ou d’un mailing ?

✔ D’abord parce qu’une communauté, ça sert à fédérer autour d’un intérêt commun ou d’une personne. L’idée, c’est de proposer à des internautes qui ne se connaissent pas d’interagir autour de problématiques communes que tu vas régler.

✔ Ensuite, parce qu’une communauté sert également à être sondée. Derrière un écran, des dizaines, des centaines voire des milliers de personnes peuvent te donner leur feedback sur un produit ou un service. Ce retour direct te permettra de rapidement cerner les besoins de ton marché.

Enfin, parce qu’une communauté  te sert également à être identifié comme acteur de référence d’un domaine d’activité. Dans le cadre d’une stratégie de Personal Branding, ce point demeure le plus important. Concernant les communautés d’entraide, les administrateurs de ces communautés deviennent des personnalités identifiables et influentes au sein d’un groupe Facebook.

A titre d’exemple, Céline Pod est devenue la star des Entrepreneuses qui déchiiiiirent, communauté de plus de 32 000 membres, soit l’équivalent de la ville de Biarritz ! 🏖Son personal branding en a fait l’égérie du groupe.

 

personal branding

Communiquer sur ta communauté te permettra de fédérer de nouveaux membres mais également de développer ta visibilité ! Tu as tout à y gagner 👌

Si tu es sur Facebook, il y a beaucoup de chance que tu sois membre d’un groupe. Peut-être parce que tu t’es  dit qu’intégrer une communauté pourrait  t’apporter. Et tu as raison !

Les communautés permettent de créer des synergies avec d’autres membres que tu n’aurais jamais connu autrement.

La communauté a ainsi détrôné le forum en terme de réactivité et de transparence (puisque l’on sait qui répond).

Comment développer ta communauté ?

personal branding

Tristan Duhamel rassemble sa communauté autour de Déclic Ecologique

Pour développer ta communauté, il faut d’abord la fédérer autour d’un centre d’intérêt commun : toi, ta marque, ta thématique. Ensuite il faudra définir le canal de rassemblement et de communication pour échanger avec cette communauté au quotidien. Enfin, il te faudra la rencontrer danns la vraie vie (dans la mesure du possible) pour créer un vrai lien avec elle.

En tant qu’animatrice de communautés, je mets en place des actions de community management hebdomadaires pour susciter la confiance, mais surtout permettre aux membres qui n’oseraient pas, d’exprimer leurs craintes, difficultés, émotions mais aussi succès !

personal branding

J’organise également des rencontres en réel, comme tu vois sur la photo ci-dessus du Réseau des Freelances de l’ESS et du Développement durable et ci-dessous dans l’afterwork des Inébranlables Slowpreneurs.

Si tu veux construire ta marque personnelle, construire une communauté va être la première action de communication que tu vas lancer.

🔹Comment créer une communauté à ton image ?
🔹Comment la faire connaître ?
🔹Comment l’animer chaque semaine sans t’épuiser ?

On en parle plus en détail dans la formation “Attirer un flux de clients réguliers grâce au Personal Branding“.

Conclusion

Développer une stratégie de Personal Branding peut sembler fastidieux. Pourtant avec une vision, une structure et de l’organisation, on peut rayonner dans sa thématique. C’est en créant une marque personnelle forte qu’il devient possible de sortir du lot et de se faire contacter sans avoir à démarcher. Les rapports de force sont ainsi inversé entre le freelance et le client. Pour aller plus loin, je te propose de télécharger mon guide du Personal Branding pour les freelances.

Et je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus 🤠