Comment construire son offre de service quand on est freelance

 

Lorsqu’on se lance en tant que freelance ou indépendant, l’un des premiers défis consiste à construire une offre de service claire, attractive et cohérente. Cependant, il est crucial de comprendre que créer une offre ne garantit pas automatiquement sa vente. L’offre doit être conçue de manière stratégique pour répondre aux besoins du marché tout en restant alignée avec ses propres aspirations et compétences. Cet article vous guide à travers les différentes étapes pour construire une offre solide et percutante, tout en abordant la question complexe des tarifs.

1. Comprendre ce qu’est une offre de service

 

L’offre de service est une description précise de ce que vous proposez à vos clients. Elle inclut la promesse de transformation que vous apportez et les bénéfices concrets que votre client peut attendre. Trop de freelances commettent l’erreur de surcharger leur offre avec des détails complexes : le nombre d’heures, les options et autres spécificités techniques. Bien que ces aspects aient leur importance, ils ne doivent pas éclipser la promesse de base et la valeur ajoutée que vous offrez. Concentrez-vous sur ce que votre service va transformer pour votre client : quels problèmes résout-il, quelles opportunités ouvre-t-il ?

Conseil pratique : Formulez une promesse forte et claire, par exemple : « Je vous aide à augmenter votre visibilité sur le web grâce à une stratégie de contenu optimisée ».

2. La recherche de marché : un pilier essentiel

 

Construire une offre pertinente nécessite une bonne connaissance du marché. Avant de fixer vos tarifs et de définir les contours précis de votre offre, il est essentiel de savoir ce qui se passe dans votre secteur. Une recherche approfondie vous permet d’identifier les tendances, de comprendre comment les autres free-lances structurent leurs offres et de repérer les lacunes que vous pourriez combler.

Étapes pour une recherche efficace :

  • Étudiez les offres de vos concurrents directs et indirects.
  • Analysez ce que les clients recherchent via des sondages, des témoignages ou des forums.
  • Identifiez les tarifs pratiqués sur le marché.

3. Définir ses tarifs : entre analyse et intuition

 

Déterminer ses tarifs est l’une des étapes les plus délicates lorsqu’on construit son offre de service. Il existe deux approches complémentaires pour y parvenir : l’analyse du marché et le ressenti personnel.

Analyse du marché : Examinez les prix pratiqués par d’autres free-lances dans votre domaine. Cela vous donnera un point de référence pour situer vos propres tarifs. Attention cependant à ne pas calquer vos prix sur ceux de la concurrence sans comprendre la valeur ajoutée que vous pouvez apporter de manière unique.

Ressenti personnel : La définition de vos tarifs doit également tenir compte de votre confort et de votre ressenti. Un tarif juste est un tarif avec lequel vous vous sentez en accord, et qui vous motive à donner le meilleur de vous-même. Pour cela, il est souvent judicieux de partir de votre tarif horaire.

Calcul du tarif horaire : Pour déterminer votre tarif horaire de base, prenez en compte vos frais (loyer, électricité, cotisations sociales, etc.) ainsi que le niveau de vie que vous souhaitez maintenir. Ensuite, en fonction du nombre d’heures facturables par mois, établissez un tarif horaire minimum en dessous duquel il serait difficile de rentabiliser votre activité. À partir de ce tarif horaire, construisez vos forfaits ou packages.

4. Construire des packages : simplicité et clarté

 

Lorsqu’on crée une offre, il est tentant de détailler tous les aspects possibles, mais cela peut rapidement devenir contre-productif. Votre offre doit être simple et facile à comprendre. Évitez de trop vous perdre dans les détails. Concentrez-vous sur l’essentiel : la transformation que vous promettez.

Par exemple, si vous proposez des services de coaching, mentionnez que votre accompagnement inclut un suivi régulier et individualisé pour aider le client à atteindre ses objectifs. Le nombre d’heures, les options supplémentaires et les détails techniques peuvent être discutés ultérieurement.

Inclure du suivi : Pour les services de coaching ou de consulting, proposer un suivi asynchrone peut être un vrai plus. Cela permet au client de bénéficier de votre expertise même en dehors des séances planifiées. Cela peut se faire via des échanges par email, des notes vocales ou des applications de messagerie dédiées. Ce type de suivi enrichit la valeur perçue de votre offre et justifie des tarifs plus élevés.

5. Valoriser l’expertise et le temps individualisé

 

L’un des principaux facteurs qui permettent de justifier un tarif élevé est l’expertise que vous apportez. Ce n’est pas simplement l’expérience accumulée au fil des années, mais la capacité à proposer des solutions précises et efficaces. Par ailleurs, le temps de travail individualisé est ce qui a le plus de valeur aux yeux de nombreux clients.

Exemple concret : Un free-lance peut proposer un coaching de groupe à un tarif compétitif, mais un accompagnement personnalisé sera naturellement plus cher. Si vous offrez plusieurs heures de coaching individualisé et des retours spécifiques sur les projets de vos clients, votre offre devient plus précieuse et, par conséquent, justifie un prix plus élevé.

6. Les stratégies de tarification avancées

 

Option de tarification basée sur la valeur : Une autre approche consiste à tarifer en fonction de la valeur perçue par le client plutôt que sur la base du coût horaire. Si vous aidez un client à augmenter son chiffre d’affaires de manière significative, votre service prend une autre dimension et peut être tarifé en conséquence.

Offres de forfaits : Proposer des offres packagées avec des options claires peut simplifier le processus de décision pour le client. Par exemple, un free-lance en graphisme peut offrir trois forfaits : un de base, un intermédiaire et un premium, chacun incluant des prestations de plus en plus élaborées.

Tarification évolutive : Lorsque vous démarrez, il peut être judicieux de commencer avec des tarifs compétitifs pour acquérir de l’expérience et constituer un portfolio. Au fur et à mesure que votre expertise et votre réputation grandissent, vous pouvez ajuster vos tarifs à la hausse.

7. Comment rendre votre offre irrésistible

 

Pour que votre offre attire et convainque, elle doit être bien plus qu’une simple liste de services. Une offre irrésistible doit :

  • Résoudre un problème clair : Montrez que vous comprenez les besoins de votre client et que votre service est la solution.
  • Mettre en avant les bénéfices : Exprimez non seulement ce que vous faites, mais aussi ce que cela va changer pour votre client.
  • Rassurer avec des preuves sociales : Les témoignages et études de cas apportent de la crédibilité à votre offre.

8. Réviser et ajuster

Enfin, il est important de considérer la construction de son offre de service comme un processus évolutif. Une fois votre offre initiale créée, soyez prêt à la revoir et à l’ajuster en fonction des retours des clients et de l’évolution de votre marché. Si un certain type de service est particulièrement demandé, envisagez d’en faire un élément central de votre offre. De même, si des clients potentiels trouvent vos tarifs trop élevés ou trop bas, il peut être pertinent de réajuster vos prix pour qu’ils reflètent mieux votre expertise et la valeur que vous apportez.

Conclusion

Construire une offre de service efficace en tant que free-lance requiert une combinaison de recherche de marché, d’auto-évaluation et de stratégie. En vous concentrant sur la promesse que vous offrez, en définissant des tarifs justes basés à la fois sur l’analyse du marché et sur votre propre ressenti, et en proposant un suivi qui valorise le temps individualisé, vous poserez des bases solides pour réussir. N’oubliez pas que le succès de votre offre dépendra autant de la qualité du service rendu que de la manière dont vous la présentez et l’ajustez dans le temps.

 

Comment trouver des clients en ligne quand on est Freelances ou indépendant

Trouver des clients en ligne est essentiel pour tout indépendant, freelance ou entrepreneur souhaitant développer son activité. Internet regorge d’opportunités, mais se démarquer et attirer des clients demande une stratégie réfléchie et cohérente. Dans cet article, je vais partager des conseils pratiques et des exemples personnels sur comment attirer des clients grâce au référencement Google, au personal branding, aux articles invités et à d’autres stratégies de communication authentiques.

 

1. L’importance du référencement Google

 

Le référencement naturel (SEO) est l’une des méthodes les plus durables pour attirer des clients. Être bien positionné sur les moteurs de recherche permet de générer un flux constant de visiteurs qualifiés sur votre site.

 

Mon expérience : L’un des piliers de ma stratégie de prospection est mon blog optimisé pour le SEO. En créant du contenu pertinent pour mon audience, j’attire des freelances, entrepreneurs et thérapeutes à la recherche de solutions pour développer leur activité. Cela m’apporte des contacts réguliers sans publicité payante.

 

Conseils pratiques :

  • Identifiez les mots-clés pertinents grâce à des outils comme Ahrefs ou SEMrush. (et demandez à vos clients ce qu’ils tapent sur Google lorsqu’ils ont une problématique business)
  • Rédigez des articles de qualité qui répondent aux questions de votre audience.
  • Optimisez vos pages avec des titres accrocheurs et des balises structurées (H1, H2, etc.).

2. Le Personal Branding : se démarquer par l’authenticité

 

Le personal branding est essentiel pour établir une connexion de confiance avec votre audience. Se montrer authentique et transparent permet de se démarquer et de fidéliser ses clients.

 

Mon approche : Depuis mon lancement en 2017, j’ai réussi à développer plusieurs communautés en ligne en misant sur l’authenticité et la proximité. J’ai créé une communauté de freelances dans l’économie sociale et solidaire et le développement durable via un groupe Facebook, où je donnais des conseils personnalisés et réalisais des lives vidéo réguliers. J’ai également développé une communauté d’entrepreneurs grâce à des rendez-vous en ligne dans un groupe Facebook, tout en organisant des rencontres hors ligne dans des cafés. Cette stratégie m’a permis de créer un lien fort et authentique avec mon audience.

Conseils pratiques :

  • Publiez régulièrement sur les réseaux sociaux en partageant vos réussites et vos échecs.
  • Utilisez la vidéo pour humaniser votre communication.
  • Offrez de la valeur ajoutée à travers des conseils et des contenus interactifs.

 

3. Les articles invités pour atteindre une audience plus large

 

Écrire des articles invités sur des plateformes reconnues est une manière efficace de toucher une audience plus large et d’affirmer votre expertise.

Exemple personnel : J’ai publié des articles invités sur des médias comme Maddyness et FrenchWeb, où j’ai partagé mon expérience entrepreneuriale (alors que j’avais très peu d’expérience dans l’entrepreneuriat et pas de chiffre d’affaires)  Ces articles ont significativement boosté ma visibilité et ont contribué à l’augmentation de mon chiffre d’affaires. En choisissant des médias dont la ligne éditoriale correspond à votre domaine d’expertise, vous gagnez en crédibilité.

Conseils pratiques :

  • Sélectionnez des médias alignés avec votre secteur d’activité.
  • Proposez des sujets pertinents et en phase avec la ligne éditoriale du média.
  • Incluez des liens vers votre site ou vos ressources pour renforcer votre présence en ligne.

 

4. Interviewer des experts pour élargir sa visibilité

 

Interviewer des experts ou des figures influentes est une autre méthode pour toucher une plus grande audience. Ces experts, en partageant le contenu, élargissent votre portée.

Pourquoi ça marche : Lorsqu’une personne influente partage votre contenu avec sa communauté, votre travail bénéficie d’une exposition accrue et d’une légitimité instantanée.

Conseils pratiques :

  • Invitez des leaders d’opinion à des entretiens vidéo ou écrits.
  • Préparez des questions qui mettent en avant leur expertise tout en valorisant votre propre contenu.
  • Assurez-vous de promouvoir ces interviews sur vos canaux de communication.

 

5. Créer et animer sa propre communauté en ligne

 

Développer une communauté en ligne est une méthode puissante pour fidéliser votre audience et renforcer votre autorité.

Mon expérience : J’ai développé des communautés en ligne en proposant des conseils, des lives et des réponses personnalisées aux questions de mes membres. Cette interaction constante m’a permis de renforcer les liens avec mon audience et d’instaurer une relation de confiance. En parallèle, j’ai également organisé des événements en ligne et hors ligne pour maintenir l’engagement.

Conseils pratiques :

  • Créez un groupe Facebook ou canal Telegram où vous partagez des conseils et des actualités.
  • Publiez du contenu régulièrement, comme des astuces pratiques et des questions-réponses.
  • Organisez des webinaires et des sessions de coaching pour encourager la participation.

 

6. Les formations en ligne : une opportunité à ne pas négliger

 

Les formations en ligne peuvent être une source de revenus et un moyen de démontrer votre expertise. Cependant, elles nécessitent une stratégie de lancement solide.

Mon expérience : J’ai constaté que lancer une formation en ligne demande de nombreuses actions de communication : webinaires, emails, témoignages clients, etc. C’est un processus qui requiert du temps et de l’énergie, mais qui porte ses fruits lorsqu’il est bien exécuté.

Conseils :

  • Planifiez votre communication en amont avec un calendrier éditorial.
  • Mettez en avant des études de cas et des témoignages.
  • Intégrez des démonstrations en direct pour engager votre audience.

Conclusion

Attirer des clients en ligne est un travail de longue haleine qui requiert stratégie et authenticité. Que vous choisissiez le SEO, le personal branding, les articles invités, ou la création de communautés, il est essentiel de diversifier vos approches. Restez fidèle à vos valeurs, offrez de la valeur ajoutée, et investissez du temps dans des relations durables avec votre audience

 

 

Comment développer une stratégie de contenu avec l’inbound marketing et le personal branding

 

Aujourd’hui, nombreux sont les entrepreneurs qui se tournent vers la publicité payante et les réseaux sociaux pour gagner en visibilité. Pourtant, une autre approche plus durable et authentique existe : une stratégie de contenu basée sur l’inbound marketing, associé à un personal branding fort. Cette méthode permet de développer une communication sincère et organique, attirant ainsi naturellement des clients sans avoir à démarcher activement. Dans cet article, nous explorerons comment adopter cette stratégie, en mettant l’accent sur l’importance de l’authenticité, du SEO et des réseaux sociaux pour attirer des prospects qualifiés.

 

1. L’authenticité au cœur du Personal Branding

 

Une stratégie de contenu basée sur un  personal branding consiste à créer une image de soi unique et authentique qui reflète vos valeurs et votre personnalité. Dans un monde où la concurrence est omniprésente, il est essentiel de se différencier. Le secret réside dans l’authenticité. En tant qu’entrepreneur, il est important de ne pas chercher à construire une image parfaite. Partager ses réussites, mais aussi ses échecs et ses moments de doute, est ce qui permet de créer une véritable connexion avec ses clients.

Personnellement, je mets en avant ma sensibilité et ma vulnérabilité, ce qui m’aide à me rapprocher de mes clients. Je ne cherche pas à dissimuler mes imperfections ou à donner l’image d’une personne sans failles. Au contraire, je montre que derrière chaque succès se cache aussi des moments difficiles, ce qui résonne avec mes clients, souvent eux-mêmes confrontés à des challenges.

Il est néanmoins important de préciser que divulguer des aspects de votre vie privée n’est pas une obligation. Chacun choisit le degré d’intimité qu’il souhaite partager. Pour ma part, je choisis soigneusement les éléments de ma vie qui renforcent mon écosystème et qui permettent à mes clients de me voir comme un être humain, mais je garde aussi une part de mystère.

 

2. L’Inbound Marketing : attirez vos clients avec du contenu à forte valeur ajoutée

 

L’inbound marketing repose sur la création de contenus utiles et pertinents pour attirer des clients potentiels. Contrairement aux méthodes classiques de prospection où il faut aller chercher les clients, l’inbound marketing permet aux prospects de venir à vous.

Cela peut inclure la publication régulière d’articles de blog, l’envoi de newsletters, la création de lead magnets comme des ebooks ou des vidéos de formation à télécharger gratuitement, ou encore des pages de vente bien référencées. Ces outils permettent de capter l’attention de votre audience et de la convertir en prospects qualifiés.

Dans mon cas, je n’ai jamais eu besoin de démarcher activement mes clients. La création régulière de contenus pertinents m’a permis de bâtir une relation de confiance avec mon audience. Les visiteurs viennent d’eux-mêmes chercher des solutions à leurs problèmes, et cela se traduit souvent par des demandes de services ou de coaching. C’est ainsi que l’inbound marketing fonctionne : en apportant de la valeur avant de proposer une offre.

 

3. Le SEO : optimisez votre présence en ligne

 

Le SEO (référencement naturel) est un levier essentiel pour faire en sorte que vos contenus soient trouvés sur Google. Il existe plusieurs aspects à travailler pour améliorer son référencement et gagner en visibilité :

• Optimisation de la fiche Google My Business : Une fiche bien renseignée, avec des avis clients et des informations actualisées, vous permettra de vous positionner localement et d’attirer des prospects près de chez vous.

Référencement local : Travailler le SEO de votre page d’accueil et optimiser votre site pour le référencement local permet à Google de mieux comprendre où vous êtes situé et de vous rendre plus visible dans les résultats locaux.

• Référencement thématique : Le référencement de votre blog est également crucial. Publier des articles autour de thématiques spécifiques, comme l’inbound marketing, le personal branding ou d’autres sujets en lien avec votre domaine d’activité, favorise votre positionnement sur des requêtes ciblées.

Publications régulières : Pour être visible sur Google, il est important de publier fréquemment, que ce soit des articles de blog ou des publications sur les réseaux sociaux. La régularité permet d’envoyer des signaux positifs à Google et améliore votre positionnement au fil du temps.

Les avis clients et les témoignages jouent également un rôle clé dans le référencement, en apportant une preuve sociale. En montrant que vos clients sont satisfaits de vos services, vous renforcez la confiance et incitez d’autres prospects à se tourner vers vous.

4. Les réseaux sociaux  : renforcez votre notoriété grâce à une vitrine crédible

 

Bien que l’inbound marketing repose principalement sur la création de contenu, les réseaux sociaux ne doivent pas être négligés. Ces plateformes sont essentielles pour vous rendre visible, développer votre notoriété et construire une crédibilité. Toutefois, il est crucial de choisir les plateformes et les formats qui correspondent à votre personnalité.

Si vous n’aimez pas la vidéo ou que vous n’êtes pas à l’aise avec des plateformes comme TikTok, ce n’est pas grave. Le plus important est de choisir ce qui vous convient le mieux. L’écrit reste un excellent moyen de communication. En tant qu’entrepreneur, vous pouvez publier des articles sur des plateformes comme LinkedIn, partager des réflexions sur X ou encore poster des photos sur Instagram.

Les réseaux sociaux sont avant tout une vitrine, mais aussi un moyen d’interagir avec votre communauté. En engageant des conversations et en répondant aux questions de vos abonnés, vous montrez votre expertise et renforcez votre image. Cependant, il est important de ne pas juste être visible. Être actif sur les réseaux sociaux et montrer que vous êtes engagé dans votre domaine est ce qui vous permettra de vous démarquer.

 

5. La newsletter et les tunnels de vente : des outils de conversions client

 

Dans le cadre d’une stratégie de contenu, la newsletter est un outil puissant pour créer une relation de confiance avec vos abonnés. En envoyant régulièrement des contenus pertinents, vous gardez vos prospects engagés et vous nourrissez une relation à long terme.

De plus, les tunnels de vente simples, comme des pages de vente bien structurées et des lead magnets attractifs, permettent de guider vos prospects dans leur parcours d’achat. Ces éléments, combinés à un référencement optimisé, vous aident à convertir un visiteur en client sans pression.

 

6. La preuve sociale : renforcez la confiance et attirez vos clients

Le cas des recommandations Linkedin pour mieux référencer votre profil

La preuve sociale est un élément clé de l’inbound marketing. Les témoignages clients, les recommandations et les avis sont essentiels pour crédibiliser votre offre. Si vos clients satisfaits parlent de vous, cela rassure les prospects et renforce la confiance. Dans mon cas, les témoignages de mes clients sur les résultats qu’ils ont obtenus grâce à mes conseils sont un facteur déterminant pour attirer de nouveaux clients.

Partager des avis et des témoignages sur votre site, vos réseaux sociaux ou dans vos newsletters est un moyen de renforcer votre légitimité et de montrer que vous avez déjà apporté de la valeur à d’autres.

 

7. Restez authentique et évitez le syndrome de l’objet brillant

 

L’une des erreurs les plus fréquentes est de se laisser guider par le syndrome de l’objet brillant : courir après chaque nouvelle tendance sans se poser de questions. Pour réussir en inbound marketing, il est important de rester fidèle à vous-même et de ne pas vous forcer à adopter des formats ou des plateformes qui ne vous correspondent pas.

Avant de vous lancer dans une nouvelle stratégie, posez-vous la question suivante : qu’est-ce que mes clients cherchent réellement ? En répondant à leurs besoins, en leur offrant des solutions, et en étant régulier dans vos efforts, vous créerez une véritable relation qui durera.

Conclusion : la stratégie de contenu basée sur l’inbound marketing, un investissement sur le long terme.

 

En conclusion, l’inbound marketing, combiné à un personal branding authentique, vous permet de créer une communication forte et durable avec vos clients. En étant vous-même, en partageant votre expertise et vos expériences, vous attirez à vous des prospects qui vous ressemblent. Le SEO, les réseaux sociaux, les newsletters, les tunnels de vente et la preuve sociale sont des éléments complémentaires qui renforcent votre visibilité et votre crédibilité.

N’oubliez pas que l’objectif est d’être authentique et de rester fidèle à vos valeurs. Prenez le temps de construire une stratégie de contenu qui vous ressemble, qui répond aux besoins de vos clients et qui vous permettra de générer des résultats à long terme. Ne vous laissez pas emporter par les dernières tendances, mais concentrez-vous sur ce qui fonctionne pour vous et vos clients.

 

Prêt à mettre en place votre propre stratégie d’inbound marketing ?

Si vous souhaitez discuter de la manière dont vous pouvez développer votre personal branding et attirer des clients sans avoir à démarcher activement, je serais ravie de vous accompagner dans cette démarche. Que vous soyez entrepreneur, coach ou professionnel souhaitant améliorer sa visibilité, contactez-moi pour échanger sur vos objectifs. Ensemble, nous trouverons les stratégies qui vous conviennent le mieux.

Vous pouvez me laisser un message ou simplement m’envoyer un e-mail à contact@yezalucas.com pour commencer cette conversation.

Organisation réaliste et durable : créer des routines qui fonctionnent pour les Entrepreneurs

L’organisation est la pierre angulaire de la réussite entrepreneuriale, mais une organisation trop rigide peut devenir un piège. L’objectif n’est pas de créer des routines strictes qui imposent une pression constante, mais de mettre en place des pratiques réalistes et durables qui favorisent l’efficacité tout en préservant votre bien-être. Cet article vous guidera dans l’élaboration de routines qui vous permettront de jongler avec vos responsabilités professionnelles tout en cultivant un équilibre de vie personnel sain. Car c’est en prenant soin de vous que vous pourrez donner du sens à vos journées, tant sur le plan professionnel que personnel.

1. Pourquoi une organisation réaliste est essentielle pour les entrepreneurs

 

 

L’entrepreneuriat peut rapidement devenir accablant si vous ne gérez pas efficacement votre temps et vos priorités. La clé est de créer une organisation qui répond à vos objectifs tout en respectant vos limites. L’un des principaux défis des entrepreneurs est de maintenir un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle. Négliger l’un ou l’autre peut mener à l’épuisement et à une perte de motivation. Une organisation réaliste permet de gérer votre emploi du temps de manière à ce que votre travail et vos moments de détente se complètent, plutôt que de s’opposer.

 

L’impact de l’épuisement professionnel


Des routines trop ambitieuses peuvent entraîner une surcharge de travail, augmentant le stress et le risque de burn-out. En revanche, une organisation réaliste inclut des moments de pause et de réflexion, ce qui vous permet de rester productif sans compromettre votre bien-être. Se réserver des temps pour soi, pour faire du sport, manger correctement, ou pratiquer des activités qui vous plaisent, peut sembler secondaire, mais c’est en réalité essentiel pour rester épanoui et motivé.

2. Comprendre vos objectifs et contraintes

Avant de construire une routine, il est essentiel de connaître vos objectifs professionnels, mais aussi vos besoins personnels. Un entrepreneur efficace est celui qui sait équilibrer ses impératifs professionnels et ses moments de ressourcement. Lorsque vous prenez en compte vos priorités personnelles (temps pour les repas, sport, loisirs), vous créez un emploi du temps qui favorise votre épanouissement général.

 

Analyser ses contraintes personnelles et professionnelles

 


Quelles sont les tâches urgentes dans votre activité ? Quels sont les moments de la journée où vous vous sentez le plus énergique ? Parallèlement, quels moments de la journée souhaitez-vous dédier à des activités qui nourrissent votre bien-être ? Cette réflexion vous permet de planifier de manière réaliste et de ne pas sacrifier votre santé physique ou mentale pour le travail.

 

3. Les fondations d’une routine durable

Une routine efficace repose sur l’équilibre et la flexibilité. Voici quelques principes clés pour l’établir.

 

Commencer petit


Il est important de commencer par des actions simples et peu chronophages. Plutôt que de vouloir tout changer d’un coup, intégrez progressivement de nouvelles habitudes. Par exemple, commencez par consacrer 10 minutes chaque matin à la planification de la journée et à une réflexion sur vos priorités. Cela vous aide à rester concentré tout en préservant de l’espace pour vous.

 

Adaptez votre planning pour inclure des moments pour vous


Une organisation réaliste implique aussi d’avoir des plages horaires dédiées à des activités non professionnelles. Cela peut inclure des moments pour prendre un vrai déjeuner, faire du sport, ou simplement se détendre. Planifiez des pauses régulières, au même titre que vos rendez-vous professionnels, pour préserver votre énergie et éviter le surmenage.

 

Prendre des pauses pour se ressourcer


L’organisation durable n’est pas uniquement une question de productivité, mais aussi de bien-être. En intégrant des moments de pause dans votre journée, vous favorisez la créativité et la concentration. Ces pauses sont essentielles pour maintenir une bonne santé mentale et physique. Par exemple, faire une courte marche après une session de travail intense peut non seulement vous permettre de vous aérer l’esprit, mais aussi de booster votre énergie pour la suite de la journée.

4. Exemples personnels : comment j’applique ces principes

Dans ma propre expérience, l’une des clés pour éviter l’épuisement est de ne jamais surcharger mon emploi du temps. J’ai tendance à avoir une légère surestimation du temps nécessaire pour accomplir mes tâches, ce qui me permet d’avoir des journées plus satisfaisantes. En planifiant des marges de manœuvre, je m’assure d’atteindre mes objectifs sans pression excessive, ce qui me permet de rester motivée et épanouie.

Il est aussi essentiel de s’autodiscipliner, surtout quand on est seul à gérer son emploi du temps. Cela peut être difficile, car personne ne nous impose des horaires ou des responsabilités fixes, mais cette discipline personnelle est ce qui nous aide à maintenir un rythme de travail constant et productif.

J’utilise Google Agenda pour organiser mes journées. Je note toutes mes tâches et événements dans mon agenda, mais je ne m’impose pas une rigidité à tout prix. Si je sens qu’une tâche ne convient pas à mon niveau d’énergie ou qu’elle ne s’intègre pas bien dans la journée, je n’hésite pas à la déplacer à un autre moment. Pour moi, l’important est que tout soit fait à un moment donné, mais je m’adapte en fonction de mes besoins et de mon humeur du moment. Cela me permet de garder un bon équilibre et de ne pas me sentir débordée, tout en respectant mes objectifs.

Je travaille très bien à domicile sans distraction, mais si le cadre de travail à la maison rend le respect de votre routine difficile, en raison des distractions ou du manque d’un environnement propice à la concentration, vous pouvez toujours travailler ailleurs, que ce soit dans un café ou un espace de coworking. Cela changera votre cadre de travail et vous aidera à renouer avec une meilleure organisation et à respecter vos habitudes.

5. Des exemples de routines efficaces

 

 

Mettre en place des routines efficaces ne signifie pas uniquement travailler sans relâche. Voici quelques exemples de pratiques qui favorisent un équilibre entre productivité et bien-être.

Routine matinale de 30 minutes


Un exemple classique consiste à commencer la journée avec une courte routine : 5 minutes pour réfléchir à vos priorités, 15 minutes pour organiser vos tâches et 10 minutes pour prendre soin de vous, que ce soit en faisant une activité physique ou en vous préparant un petit-déjeuner nourrissant. Mais il est important de noter que ce genre de routine n’est qu’un exemple. Ce qui compte, c’est que vous trouviez ce qui fonctionne pour vous. Si une routine matinale trop stricte vous épuise, ajustez-la en fonction de ce qui vous semble le plus adapté à votre rythme.

 

Bilan de fin de journée


À la fin de chaque journée, prenez 10 minutes pour faire le point sur vos réalisations et ajuster votre planning pour le lendemain. Ce moment vous permet non seulement de valoriser vos réussites, mais aussi de préparer un nouveau jour en toute sérénité.

 

Sessions de travail par intervalles


La technique Pomodoro, avec des sessions de travail de 25 minutes suivies de 5 minutes de pause, est idéale pour maintenir un rythme productif sans se fatiguer. Après chaque série de 4 sessions, accordez-vous une plus longue pause (15 à 30 minutes) pour vous détendre, faire une activité physique, ou prendre un repas.

6. Conseils pour tenir vos habitudes

 

Maintenir une routine efficace sur le long terme nécessite de l’engagement et des ajustements réguliers.

 

Suivi régulier


Utilisez un carnet ou une application de suivi pour mesurer vos progrès et identifier les ajustements nécessaires. Des outils comme Notion, Google Calendar ou des applications dédiées à la gestion de tâches peuvent vous aider à organiser vos journées tout en assurant un suivi de vos habitudes.

 

Automatiser les tâches simples


La technologie peut être votre alliée pour alléger votre emploi du temps. Par exemple, automatiser des tâches comme la gestion de vos emails ou de vos rendez-vous grâce à des outils comme Zapier ou Calendly permet de gagner du temps pour se concentrer sur des activités plus importantes ou sur vous-même.

Lier vos habitudes à des objectifs personnels


Lier vos routines à des objectifs personnels de long terme permet de maintenir une motivation constante. Par exemple, vous pouvez fixer des objectifs liés à votre bien-être (faire 30 minutes de sport par jour, méditer tous les matins, etc.) et les relier à vos objectifs professionnels.

 

7. Les erreurs à éviter

 

Même avec la meilleure organisation, certains pièges sont à éviter pour maintenir un équilibre sain.

 

Surcharger son emploi du temps


Bien qu’il soit tentant de maximiser chaque minute de votre journée, trop de tâches dans un emploi du temps peuvent créer une pression inutile. Laissez des moments libres dans votre agenda pour vous détendre ou gérer les imprévus.

Ne pas prendre de pauses


L’oubli des moments de pause est une erreur fréquente. Si vous ne vous accordez pas de répit, votre productivité peut en souffrir. Prenez des pauses régulières pour faire le plein d’énergie, que ce soit en faisant du sport, en cuisinant ou en profitant de moments de loisirs.

 

Ignorer l’équilibre travail-vie personnelle


L’erreur la plus courante dans l’organisation des entrepreneurs est de tout sacrifier au travail. Si vous ne préservez pas un équilibre entre vos obligations professionnelles et vos besoins personnels, vous risquez de vous épuiser rapidement. Les moments de détente, les loisirs et le temps passé avec vos proches sont essentiels pour recharger vos batteries et maintenir une motivation à long terme.

 

Conclusion : trouver la routine qui vous correspond

 

Il n’y a pas de solution universelle en matière d’organisation et de gestion du temps. La meilleure routine ou la meilleure organisation est celle que vous arriverez à tenir sur le long terme, en fonction de vos besoins et de votre réalité personnelle. Si vous constatez que vous avez du mal à vous tenir à une routine, c’est probablement qu’elle n’est pas adaptée à votre mode de vie, et il est important de la réajuster.

Évitez de suivre des injonctions externes comme « méditation tous les matins », « routine matinale parfaite », ou autres pratiques populaires si elles ne vous conviennent pas. Ce qui compte avant tout, c’est de respecter votre propre rythme et de construire des habitudes qui vous permettent de rester productif sans vous épuiser. Chaque petite victoire est un pas vers une organisation durable et une vie professionnelle épanouie.

En fin de compte, une bonne organisation n’est pas un fardeau à porter, mais une façon de vous soutenir dans l’accomplissement de vos projets. Si vous trouvez une méthode flexible, réaliste et durable, vous pourrez non seulement être productif, mais aussi rester serein et épanoui dans votre travail et votre vie personnelle.

L’organisation ne doit pas être une source de pression. Au contraire, elle doit être une ressource pour vous aider à naviguer dans vos journées sans vous sentir accablé. Commencez avec de petites habitudes que vous pourrez adapter en fonction de vos besoins et de vos objectifs, et vous verrez des résultats durables, tant sur le plan professionnel que personnel.

 

Si vous souhaitez passer à l’action, je vous propose un accompagnement personnalisé avec mon coaching One shot Time to Plan !

Comment optimiser son organisation et sa productivité en tant que freelance : stratégies efficaces pour un équilibre de Vie Pro/Perso

Être freelance, c’est être son propre patron. Cela offre une grande liberté, mais aussi une autonomie qui peut parfois se transformer en un défi. Sans une organisation rigoureuse, la gestion de son temps devient vite un casse-tête. Entre les deadlines serrées, les clients exigeants et l’envie de maintenir une vie personnelle épanouie, il est facile de se laisser submerger.

Dans cet article, je vous propose une approche concrète et personnalisée pour optimiser votre productivité et réussir à mieux gérer votre quotidien de freelance. L’objectif est de trouver un équilibre qui vous permette non seulement d’être productif, mais aussi de préserver votre bien-être.

1. Connaître et respecter son rythme biologique : l’importance des Chronotypes

 

Tout d’abord, comprendre son propre rythme biologique est essentiel pour maximiser sa productivité. Si vous êtes freelance, vous avez la liberté de choisir vos horaires, ce qui peut jouer un rôle majeur dans votre efficacité.

Exemple personnel : En tant que chronotype “Lion”, je suis plus énergique et créative le matin. C’est pourquoi je réserve les premières heures de la journée à mes tâches les plus importantes : rédaction de contenu, planification de mes projets et traitement des mails. Cela me permet d’être concentrée et de produire un travail de qualité lorsque je suis au sommet de ma forme.

À l’inverse, en début d’après-midi, je me permets des pauses pour recharger mes batteries. Travailler en fonction de son chronotype permet non seulement de mieux gérer ses pics d’énergie, mais aussi de ne pas épuiser son corps et son esprit en s’attaquant aux tâches les plus complexes lorsque l’on est fatigué.

2. Prendre soin de son corps pour “booster” son esprit

 

Il est essentiel de ne pas négliger l’impact que l’activité physique a sur la productivité. Travailler de longues heures sans interruption peut sembler efficace, mais cela peut aussi mener à l’épuisement et à une baisse de performance. Pour moi, l’exercice physique est crucial pour maintenir un équilibre de vie sain et soutenir ma productivité.

Je pratique l’Aïkido trois fois par semaine entre midi et deux, un moment qui me permet de me ressourcer. Non seulement l’Aïkido est une activité physique, mais c’est aussi un moment social, où je peux échanger avec des pratiquants passionnés. De plus, je fais également du fitness à la maison trois à quatre fois par semaine en suivant des vidéos sur une application mobile (Trainsweateat). Cela m’aide à garder une bonne condition physique, à évacuer le stress et à rester concentrée.

Pourquoi c’est important pour vous ? L’activité physique libère des endorphines, améliore la circulation sanguine et réduit le stress. En tant que freelance, il est crucial de maintenir un équilibre entre activité mentale et physique. Prendre des pauses actives et intégrer des moments de sport dans votre routine vous aidera à être plus alerte et à éviter le burnout.

3. Optimiser son alimentation pour maintenir un haut niveau d’energie

L’alimentation joue un rôle fondamental dans la gestion de l’énergie au quotidien. Après avoir testé le jeûne intermittent, j’ai réalisé que ce n’était pas adapté à mon corps. Je me sentais faible pendant la journée, ce qui affectait ma capacité à être productive.

Aujourd’hui, je privilégie un petit déjeuner faible en glucides, composé de fromage blanc et de pommes cuites, accompagné d’un café au lait avec mousse grâce à un mousseur électrique. Ce type de petit déjeuner me permet de rester énergique tout au long de la matinée sans provoquer de baisses de régime.

Conseil pratique : évitez les sucres rapides le matin. Privilégiez plutôt des protéines et des graisses saines pour vous donner une énergie durable et éviter les pics de glycémie. Cela contribuera à améliorer votre concentration et à éviter les coups de fatigue en milieu de journée.

4. Structurer sa journée avec un time blocking souple

 

Une des erreurs fréquentes en freelance est de ne pas bien structurer sa journée, ce qui conduit souvent à un travail dispersé et inefficace. Pour éviter cela, j’utilise une méthode appelée time blocking, qui consiste à diviser ma journée en blocs de temps dédiés à des tâches spécifiques.

Exemple concret : ma journée commence tôt, avec une session de travail créatif le matin. Ensuite, je bloque des plages horaires pour les appels avec les clients et les tâches administratives. Je m’assure également de réserver du temps pour les pauses actives, comme ma pratique de l’Aïkido ou des moments de fitness. Ce type de planning me permet de rester concentrée et de ne pas me laisser submerger par les interruptions ou les tâches urgentes.

 

En revanche, je reste flexible en écoutant mon niveau d’énergie : je n’hésite pas à faire une pause ou une sieste si la fatigue se fait ressentir. Mon organisation fluide me permet d’introduire de la flexibilité dans le cadre, en déplaçant mes blocs dans mon agenda si besoin.

 

5. La discipline : un devoir, pas une question de motivation

 

En tant que freelance, il est essentiel de se discipliner. J’ai appris à me convaincre que le travail est un devoir et que, même si la motivation n’est pas toujours présente, il est important de s’y tenir.

Exemple personnel : en matière d’organisation, j’ai une routine bien définie et je m’impose des contraintes qui ont du sens pour moi. Par exemple, je me lève à la même heure tous les jours (et sans réveil) même si je n’ai pas forcément envie de commencer à travailler. Je ne me demande pas si j’ai envie ou non de travailler ; cela fait partie de mes engagements envers mes projets et mes clients. Cette autodiscipline me permet de réaliser des tâches même quand l’inspiration n’est pas au rendez-vous (par contre, je suis rigide, c’est le pendant de la rigueur xD).

6. Ne pas surcharger ses journées pour éviter l’épuisement

 

Un autre aspect important est de ne pas surcharger sa journée. J’ai tendance à sous-estimer le temps nécessaire pour accomplir une tâche, mais cela me permet de ne pas être trop ambitieuse et de rester réaliste.

Exemple personnel : je veille à me fixer des objectifs réalisables chaque jour, plutôt que de tenter de tout faire. En fin de journée, je suis souvent satisfaite de ce que j’ai accompli, même si la journée n’a pas été aussi productive que prévue. Cela m’évite de me sentir découragée et me permet d’apprécier mes réalisations.

Mon emploi du temps n’est ainsi volontairement jamais surchargé car je me connais : je ne peux travailler intensément pendant longtemps. Les moments de “vide” me permettent de mieux gérer l’imprévu, mais surtout, d’être sure de pouvoir réaliser tous mes objectifs quotidiens sans difficulté.

7. L’importance de l’autodiscipline et de la gestion des priorités

 

L’une des grandes forces des freelances est leur capacité à prendre des décisions autonomes. Toutefois, cette liberté peut devenir un piège si elle n’est pas bien gérée. En me basant sur mon profil en Human Design (Générateur 3/5), je sais que mon énergie est plus efficace quand je choisis des projets qui résonnent profondément en moi.

Conseil pratique : apprenez à dire non à ce qui ne vous inspire pas et concentrez-vous sur des projets qui correspondent à vos passions et vos valeurs. Cela vous permettra non seulement de maintenir une motivation élevée, mais aussi de donner votre meilleur de manière durable.

Conclusion : devenir un Freelance organisé et productif

 

En tant que freelance, il est crucial de trouver un équilibre entre les exigences professionnelles et personnelles. En comprenant vos rythmes naturels, en structurant votre journée efficacement, en prenant soin de votre corps et en vous imposant une discipline interne, vous pouvez non seulement optimiser votre productivité, mais aussi préserver votre bien-être.

En appliquant ces conseils au quotidien, vous serez en mesure de mieux gérer votre temps, de rester concentré sur vos objectifs et d’éviter le burnout. La clé réside dans l’équilibre : un corps sain, un esprit organisé, et une approche réaliste de vos capacités.

 

Si vous souhaitez passer à l’action, je vous propose un accompagnement personnalisé avec mon coaching One shot Time to Plan !

Comment améliorer son SEO rapidement quand on est entrepreneur ou freelance ?

En tant qu’entrepreneur ou freelance, le référencement naturel (SEO) est un levier essentiel pour booster la visibilité de votre activité en ligne. Être bien positionné sur les moteurs de recherche comme Google vous permet d’attirer des clients sans avoir à investir massivement dans des publicités payantes. Mais comment optimiser votre SEO rapidement lorsque vous démarrez ? Que vous ayez un site web ou non, il existe des stratégies efficaces à mettre en place pour améliorer votre référencement. Cet article vous donnera des conseils concrets et des exemples pratiques pour y parvenir.

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1. Optimiser votre présence locale avec Google My Business

Si vous êtes entrepreneur ou freelance et que vous n’avez pas encore de site web, la première étape pour améliorer votre SEO rapidement est de créer un profil Google My Business. Cet outil gratuit vous permet d’apparaître sur Google Maps et dans les résultats de recherche locale, même sans site web. C’est crucial pour être localisé par vos clients potentiels dans votre ville.

Prenons mon exemple, Yéza Lucas, coach pour entrepreneurs à Paris. En optimisant mon profil Google My Business, j’ai pu apparaître en première position sur Google pour la requête “coach entrepreneur Paris”. Ce résultat n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une stratégie bien pensée.

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Voici comment optimiser votre profil Google My Business :

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  • Remplissez toutes les informations : assurez-vous que vos coordonnées (adresse, numéro de téléphone, horaires) sont à jour.
  • Ajoutez des mots-clés pertinents : décrivez votre activité en utilisant des mots-clés recherchés par vos clients potentiels. Par exemple, “coach entrepreneur Paris” est un mot-clé que mes clients tapent pour me trouver.
  • Obtenez des avis clients : les avis positifs sont essentiels pour améliorer votre crédibilité et votre référencement. Encouragez vos clients à laisser un avis après chaque service rendu.

En utilisant Google My Business, vous bénéficiez d’une visibilité locale et, même sans site web, vous pouvez attirer des prospects dans votre région. Lorsque vous créerez un site, cette présence viendra compléter et renforcer votre stratégie SEO globale.

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2. Les recommandations LinkedIn : un levier sous-estimé

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Les réseaux sociaux jouent également un rôle dans l’amélioration de votre référencement, en particulier LinkedIn. Ce réseau est devenu incontournable pour les freelances et entrepreneurs. Contrairement à une idée répandue, les recommandations sur LinkedIn n’influencent pas directement votre SEO dans les moteurs de recherche comme Google. Cependant, elles contribuent à renforcer votre crédibilité et votre autorité professionnelle, deux aspects essentiels pour attirer des clients. Un profil LinkedIn bien optimisé, riche en recommandations, vous aide à vous démarquer et peut améliorer votre visibilité dans les recherches sur LinkedIn lui-même.

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Par ailleurs, les mots-clés présents sur votre profil LinkedIn (dans votre titre, vos expériences, et votre résumé) peuvent améliorer votre référencement dans les recherches LinkedIn, ce qui peut indirectement booster votre visibilité globale en ligne. N’oubliez pas de solliciter des recommandations de la part de vos clients et collaborateurs pour renforcer la crédibilité de votre profil.

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3. Référencement thématique vs référencement local

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Image réalisée par Dall-E

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En matière de SEO, il est important de distinguer le référencement thématique et le référencement local.

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  • Le référencement thématique consiste à produire du contenu de qualité autour d’un sujet spécifique lié à votre expertise. Cela peut se faire à travers des articles de blog optimisés pour des mots-clés précis. Par exemple, si vous êtes consultant en marketing digital, écrire des articles sur des sujets tels que “comment améliorer son SEO” ou “stratégie de contenu” vous positionne comme un expert dans votre domaine. Ce type de référencement est particulièrement utile pour attirer un public national ou international, et non limité à une zone géographique. Vous pouvez même viser des mots-clés spécifiques comme “consultant SEO Paris” pour vous placer sur des requêtes thématiques et géolocalisées.

 

  • Le référencement local, quant à lui, vise à vous positionner sur des requêtes liées à un emplacement géographique précis. Google My Business joue un rôle clé dans cette stratégie, tout comme l’insertion d’expressions géographiques dans votre contenu, telles que “coach entrepreneur Paris”. Ce type de SEO est crucial si votre activité repose sur un public local et si vous avez besoin d’être trouvé par des clients dans une zone spécifique.

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Il est donc essentiel de combiner ces deux approches : produire des contenus thématiques tout en optimisant votre présence pour le référencement local.

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4. Créer du contenu pertinent pour votre audience

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Rédigez du contenu ciblé pour votre audience (exemple personnel de l’Aikido pour mon autre blog)

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Le contenu est roi en SEO, et écrire des articles de blog pertinents et optimisés est l’une des meilleures stratégies pour améliorer rapidement votre référencement. Le contenu thématique vous aide à gagner en autorité dans votre domaine. Par exemple, écrire régulièrement des articles sur des sujets qui intéressent vos clients, comme “les meilleures stratégies pour entrepreneurs” ou “comment optimiser son SEO en freelance”, vous positionnera comme un expert dans votre domaine.

Ces articles doivent inclure des mots-clés pertinents, des liens internes et externes vers des ressources de qualité, et répondre aux questions que se posent vos clients. Une bonne stratégie de contenu améliore la visibilité de votre site sur des requêtes spécifiques, tout en générant un trafic organique de qualité.

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5. Maintenir une fréquence de publication régulière

Image réalisée par Dall-E

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La régularité de publication est cruciale pour l’optimisation de votre SEO. Google privilégie les sites qui sont mis à jour fréquemment avec du contenu frais. En publiant régulièrement des articles de blog ou du contenu pertinent, vous montrez aux moteurs de recherche que votre site est actif et que vous continuez d’apporter de la valeur à vos visiteurs.

Cela ne signifie pas qu’il faut publier chaque jour, mais il est recommandé de garder un rythme constant. Par exemple, publier un article par semaine ou tous les quinze jours est une excellente stratégie pour maintenir une présence régulière dans les résultats de recherche. Si vous ne tenez pas cette cadence, l’engagement de vos lecteurs et votre visibilité pourraient en pâtir.

6. Comprendre l’importance des réseaux sociaux pour booster votre SEO

 

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Les réseaux sociaux sont des leviers puissants pour augmenter votre visibilité et indirectement votre référencement. Chaque partage, like ou commentaire sur vos publications sociales renforce votre autorité en ligne.

LinkedIn, Facebook, Instagram ou Twitter peuvent aider à générer du trafic vers votre site ou votre profil, tout en augmentant votre notoriété. En partageant du contenu de qualité, vous attirez non seulement l’attention de vos abonnés, mais aussi celle des moteurs de recherche qui voient ces interactions comme des signaux positifs. Plus vos contenus sont partagés, plus vous augmentez vos chances d’être mieux référencé.

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7. Vérifier la vitesse de chargement et l’optimisation technique

 

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Un autre aspect souvent négligé en SEO est l’optimisation technique de votre site. Google privilégie les sites qui se chargent rapidement et qui offrent une expérience utilisateur fluide. Voici quelques points à optimiser :

  • La vitesse de chargement : Assurez-vous que votre site se charge rapidement. Utilisez des outils comme Google PageSpeed Insights pour vérifier et améliorer la rapidité.
  • Le design responsive : Votre site doit être optimisé pour tous les types d’appareils, en particulier les mobiles.
  • L’optimisation des images : Compressez vos images pour éviter qu’elles ne ralentissent votre site.

Une bonne optimisation technique améliore non seulement le classement de votre site dans les moteurs de recherche, mais améliore aussi l’expérience utilisateur, ce qui se traduit par un meilleur taux de conversion.

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8. Collaborer avec un expert en SEO

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Si vous voulez aller plus loin dans l’optimisation de votre SEO, il peut être judicieux de faire appel à un expert en référencement. Un consultant SEO  pourra vous aider à définir une stratégie sur mesure, en fonction de vos objectifs et de votre marché. Faire appel à un spécialiste vous permet de bénéficier d’un audit approfondi de votre site, de recommandations concrètes, et d’un suivi pour maximiser votre visibilité en ligne.

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Conclusion

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Améliorer rapidement son SEO en tant qu’entrepreneur ou freelance nécessite de combiner plusieurs leviers : optimisation locale avec Google My Business, réseaux sociaux comme LinkedIn, production de contenu pertinent, et optimisation technique. En appliquant ces stratégies, vous pouvez rapidement booster votre visibilité et attirer de nouveaux clients. Que vous ayez ou non un site web, ces actions concrètes vous permettront de vous démarquer et de vous positionner comme un expert dans votre domaine.

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Comment trouver des clients quand on est coach freelance

 

Trouver des clients en tant que coach freelance est souvent l’une des plus grandes préoccupations, notamment lorsqu’on démarre ou que l’on souhaite développer son activité. Dans le coaching, la concurrence est rude aujourd’hui quand tout le monde peut s’improviser coach. Si les certifications peuvent rassurer certains types de clients, elles ne sont pas la clé pour attirer une clientèle solide. Ce qui fait la différence, c’est la manière dont vous vous positionnez sur le marché, comment vous construisez votre notoriété et surtout, comment vous faites preuve d’autorité et de crédibilité dans votre domaine. Dans cet article, nous allons explorer des stratégies concrètes autour du personal branding, du référencement naturel sur Google, de la preuve sociale et de la stratégie de contenu,  vous aider à attirer des clients.

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1. Le Personal Branding : Faites de votre nom votre marque personnelle

Le personal branding est essentiel pour les coachs freelance. Il s’agit de la manière dont vous vous présentez, comment vous êtes perçu par votre audience, et comment vous construisez une image cohérente autour de votre expertise. Le personal branding va bien au-delà de votre logo ou des couleurs de votre site web. Il s’agit de votre histoire, de votre ton de voix, et de la manière dont vous communiquez avec votre public.

a. Racontez votre histoire

Les gens ne veulent pas seulement un coach, ils veulent quelqu’un avec qui ils se sentent connectés. En partageant votre parcours, vos expériences et les raisons pour lesquelles vous êtes devenu coach, vous humanisez votre marque et créez un lien émotionnel avec votre audience. Si je prends mon exemple personnel, j’ai commencé l‘Aikido et l’entrepreneuriat la même année en 2017, et je fais aujourd’hui le parallèle entre ces deux disciplines qui nourrissent mes réflexions. J’ai également parlé de ma vie personnelle, de mon adoption et de mes différentes communautés (Aikido, entrepreneuriat, réflexions sociétales, couple et sexualité). Ces expériences l’ont conduit à développer une approche unique du coaching. Ce genre de récit authentique attire l’attention et reste en mémoire.

b. Développez une identité unique

Votre personal branding doit se refléter dans tout ce que vous faites, depuis la manière dont vous parlez à vos clients jusqu’à votre présence en ligne. Soyez cohérent : si vous prônez une approche centrée sur le bien-être et la sérénité, votre communication doit refléter cela. Un exemple simple est de choisir un ton bienveillant dans vos publications et d’utiliser des visuels apaisants sur votre site web et vos réseaux sociaux.

2. Le référencement naturel sur Google (SEO) : soyez visible pour vos clients

 

Être visible en ligne est essentiel pour attirer des clients. Si votre site web ou votre contenu n’apparaît pas dans les résultats de recherche, vous passerez à côté de nombreuses opportunités. Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimization) est la stratégie qui consiste à optimiser votre présence en ligne pour apparaître en tête des résultats sur Google.

a. Optimisez votre site web pour le SEO

Votre site web doit être optimisé pour les moteurs de recherche. Cela signifie que vous devez identifier les mots-clés que vos clients potentiels sont susceptibles de rechercher et les intégrer de manière naturelle dans vos contenus. Par exemple, si vous êtes coach en développement personnel, des termes comme “coach en développement personnel à Paris” ou “coach freelance en gestion du stress” doivent figurer dans vos titres, descriptions et articles de blog. Pour ma part, j’ai travaillé le référencement de ma page d’accueil en l’axant sur les mots clés “coach entrepreneur Paris”, ce qui me permet d’être visible en première page Google mais aussi sur Google my business grâce à ma fiche qui contient plus de 54 avis.

b. Créez du contenu régulier pour améliorer votre SEO

Un blog est un excellent moyen de renforcer votre SEO. En publiant régulièrement du contenu utile et pertinent, vous améliorez vos chances d’apparaître dans les résultats de recherche. A titre d’exemple, j’écris depuis 2017 des articles sur de nombreux sujets en lien avec l’entrepreneuriat, du mindset à l’organisation en passant par la définition de ses objectifs, la construction de son offre de service, ou la communication authentique. Ces contenu démontrenr mon expertise tout en améliorant ma visibilité.

3. La Preuve Sociale : l’importance des témoignages et avis clients

Les clients potentiels veulent être rassurés sur la qualité de vos services. C’est là que la preuve sociale entre en jeu. Les témoignages, avis clients et références sont des éléments puissants pour convaincre de nouveaux clients.

 

a. Collectez des témoignages de vos clients satisfaits

Après chaque coaching, demandez à vos clients de laisser un témoignage sur votre site ou sur des plateformes comme Google My Business (qui contribue également à votre référencent naturel). Ces avis servent de validation externe et renforcent la confiance des prospects. Par exemple, vous pourriez partager des témoignages de clients expliquant comment votre approche unique a transformé leur vie. J’ai réalisé des études de cas client ici pour vous donner quelques exemples.

 

b. Utilisez des études de cas

Les études de cas sont un autre moyen de montrer comment vous avez aidé vos clients à atteindre leurs objectifs. Par exemple, vous pouvez décrire un client qui, grâce à votre coaching, a réussi à mieux gérer son stress en entreprise et à retrouver un équilibre de vie. Ces exemples concrets montrent l’efficacité de vos services et aident les prospects à se projeter.

 

4. L’Inbound Marketing et la stratégie de contenu personnalisée

 

L’inbound marketing consiste à attirer les clients vers vous plutôt que de les démarcher directement. La meilleure manière de le faire est à travers une stratégie de contenu bien pensée, où vous partagez des informations précieuses qui répondent aux besoins et aux défis de vos clients.

a. Créez du contenu pertinent et ciblé

Le contenu que vous produisez doit être conçu pour répondre aux problèmes spécifiques de vos clients cibles. Par exemple, si vous êtes coach pour les entrepreneurs stressés, écrivez des articles ou créez des vidéos sur des sujets comme « Comment gérer le stress en tant qu’entrepreneur » ou « Stratégies pour rester productif sans s’épuiser ». Chaque contenu doit être pensé pour apporter une valeur réelle et susciter l’intérêt des personnes qui pourraient avoir besoin de vos services.

b. Utilisez des formats variés

En plus des articles de blog, pensez à varier les formats pour toucher un public plus large. Vous pouvez créer des vidéos courtes sur Instagram, proposer des webinaires ou des podcasts. Yéza Lucas pourrait, par exemple, proposer un webinaire gratuit sur l’utilisation des principes de l’Aikido dans la gestion des émotions et des conflits professionnels. Cela permet non seulement de partager votre expertise, mais aussi de créer un lien plus direct avec votre audience.

c. Les newsletters pour rester en contact avec votre audience

Une newsletter régulière est un excellent moyen de maintenir le lien avec vos prospects et clients actuels. Proposez du contenu exclusif, des conseils, ou des retours d’expérience dans vos emails pour montrer que vous êtes toujours actif et pertinent dans votre domaine. Cela peut aussi être l’occasion de promouvoir de nouveaux services ou des offres spéciales.

5. Les articles invités et les podcasts : étendre votre portée grâce à des médias établis

 

Les articles invités et les apparitions dans des podcasts sont d’excellents moyens de vous positionner en tant qu’expert dans votre domaine tout en atteignant une nouvelle audience. En publiant du contenu sur des sites reconnus, vous bénéficiez de la notoriété de ces plateformes et gagnez en visibilité auprès de prospects potentiels. Cela vous permet de développer votre personal branding tout en générant du trafic vers votre propre site web.

a. Mon expérience avec les articles invités et podcasts

J’ai personnellement utilisé cette stratégie pour élargir ma visibilité en tant que coach freelance. J’ai eu l’opportunité d’écrire des articles invités pour des médias influents comme Maddyness, Frenchweb, Le HuffPost, Les Echos Start, et Webmarketing & Com. Ces publications m’ont permis de partager mon expertise avec une audience plus large et de démontrer ma capacité à allier entrepreneuriat, coaching et principes de l’Aikido.

En plus de ces articles, j’ai également été invité sur plusieurs podcasts pour discuter de l’entrepreneuriat, de la gestion du stress, et de l’Aikido appliqué à la vie professionnelle. Ces invitations ont non seulement renforcé ma crédibilité en tant que coach, mais ont aussi attiré des clients qui ont découvert mon approche à travers ces canaux.

 

b. Comment tirer parti des articles invités et podcasts

Pour maximiser l’impact des articles invités et des apparitions dans les podcasts, il est important de cibler des publications qui touchent votre audience idéale. Commencez par identifier les médias et blogs qui sont lus par vos prospects potentiels, et proposez-leur des sujets qui correspondent à leurs intérêts. Lorsque vous écrivez un article invité, assurez-vous d’inclure un lien vers votre site web ou une page de capture d’emails pour transformer cette visibilité en leads potentiels.

De la même manière, les podcasts vous permettent d’atteindre des personnes qui pourraient ne pas lire de blogs ou d’articles, mais qui consomment du contenu audio pendant leurs déplacements ou leurs temps libres. Prenez contact avec des podcasteurs dans votre domaine et proposez des sujets pertinents qui peuvent intéresser leurs auditeurs.

Ces stratégies vous permettront de bâtir votre notoriété et de diversifier vos sources de clients en attirant des prospects de manière organique.

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6. Les certifications de coach : une option, mais pas une obligation

Beaucoup de coachs se demandent s’ils doivent absolument obtenir une certification pour attirer des clients. Bien que cela puisse rassurer certains, la certification n’est pas une garantie de succès. Ce qui compte avant tout, c’est votre capacité à démontrer vos compétences, à inspirer confiance, et à apporter des résultats.

a. Le poids de l’expérience et de la satisfaction client

Des clients satisfaits et des témoignages positifs sont beaucoup plus puissants qu’une certification pour convaincre de nouveaux prospects. Personnellement, j’ai coaché de nombreux coachs certifié à qui on n’avait pas appris à vivre de leur activité. Je ne suis pas coach certifiée mais ma preuve sociale et mon expertise de terrain ont construit ma légitimité. 

b. Une certification si nécessaire pour certains types de clients

Cela dit, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou avec des entreprises qui demandent des qualifications officielles, avoir une certification peut être utile. Toutefois, ne faites pas de la certification un frein à votre développement : votre valeur est dans ce que vous apportez, pas dans vos diplômes.

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Conclusion : trouver des clients en tant que coach freelance

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Attirer des clients en tant que coach freelance demande de la stratégie et de la patience, mais avec une approche centrée sur le personal branding, un bon référencement, la preuve sociale et une stratégie de contenu efficace, vous pourrez bâtir une clientèle solide. Ne vous fiez pas uniquement aux certifications pour attirer des clients, mais plutôt à votre capacité à créer du contenu pertinent, à démontrer votre expertise, et à humaniser votre marque. À travers ces actions, vous créerez une notoriété durable et établirez votre positionnement en tant que coach freelance de confiance, je le fait depuis 2017, en construisant une image authentique et en démontrant mon expertise mais également ma personnalité et mes valeurs à travers son parcours.

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Vous pouvez télécharger mes 4 ressources pour devenir un coach opérationnel

Si vous êtes déjà sensibilisé au sujet, ma formation Devenir un coach opérationnel en 4 semaines devrait vous intéresser. Elle est basée sur mon expertise de terrain (en plus, je vous suis H24 pendant toute la durée de la formation :D)

[Dossier Stratégie de contenu] Tout sur les coulisses de 7 ans de contenus !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle de production de contenus et de créativité !

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Mon processus d’écriture : immersif et intrusif

On me fait souvent remarquer que je produis beaucoup de contenus.
Je ne m’en cache pas, l’écriture fait partie de mes routines.
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Et pour cause, voici mon processus d’écriture :
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J’écris sur ce qui m’inspire : des conversations, des situations, des événements…la stimulation intellectuelle me nourrit et je capture des moments d’échange pour les transformer en contenu.

Je peux écrire sur commande à condition d’être immergée dans un contexte me permettant de me projeter dans l’univers sur lequel on me demande d’écrire (en assistant à un événement par exemple)

✅ Concernant ma capacité à produire des contenus réguliers s’inspirant de mon quotidien, je sais qu’ils peuvent faire l’objet de malentendus.
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En effet, si de la frustration peut émaner chez mes lecteurs, notamment lorsqu’ils m’ont inspirée, sachez qu’il vaut mieux être à l’origine de mes futurs contenus que de ne rien m’inspirer du tout.
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Et en toute honnêteté intellectuelle, je cite mes sources, sauf lorsque l’anonymat demande à être préservé.
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Et vous, quel est votre processus d’écriture ?

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Je n’écris pas pour vendre

Je n’écris pas pour vendre.

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Je gravite dans le secteur du coaching et de l’infopreneuriat. Mes contenus mettent en avant mon histoire et la narrent de manière authentique.
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Pour autant, je n’écris pas pour vendre.
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Ma vulnérabilité et mes erreurs ne me mettent pas toujours en valeur.
Ma communication envahissante peut être déboussolante.
Les sujets de mes publications ne collent pas toujours avec mon offre de prestation.
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Pourtant, je suis formée au marketing et au copywriting
Pourtant, je pourrais joindre à mes narrations, un appel à l’action
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Mais je suis trop familière aux techniques de vente et de persuasion pour les mettre en application.
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Pour autant, j’aime écrire de manière méthodique et structurée.
Pour autant, j’aime utiliser des figures de style pour m’exprimer.
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Mais mon premier objectif n’est pas d’écrire pour générer des revenus
Mon objectif est d’abord d’aller de l’avant en accouchant de mes contenus
Mon objectif est ensuite de permettre à mes lecteurs de se sentir soutenus
Mon objectif est enfin de me faire plaisir en écrivant de manière régulière et continue
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Et vous, pourquoi écrivez-vous ?
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Mon process pour capitaliser sur mes contenus en 6 étapes

Je produis des contenus depuis 2017.
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En chiffres, cela donne :

✅ 789 publications Instagram sur mon compte Yéza Lucas (et je ne vous parle pas de mes autres comptes thématiques…)

✅ 230 articles de blogs (et je ne vous parle pas de mon blog sur l’aikido)

✅ Un nombre incalculable de newsletters (comptez une par semaine depuis 2017)

✅ Une cinquantaine d’articles invités sur Maddyness, Webmarketing & Com‘ , Frenchweb, Les Echos Start, Le Journal du CM, Le Huffpost et j’en passe

✅ Une vingtaine d’interviews pour des entreprises et médias divers.
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Voici donc mon process pour capitaliser sur mes contenus :
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1/ Publication du contenu sur les réseaux sociaux : Facebook, Instagram et Linkedin
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2/ Publication du contenu en story sur mon compte Instagram, ma page Facebook pro et mon compte Facebook perso.
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3/ Programmation du contenu sur ma newsletter, qui a souvent quelques mois d’avance de contenus car sa fréquence est hebdomadaire contrairement aux posts sur les réseaux sociaux qui sont spontanés et qui peuvent être quotidiens.
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4/ Copier-coller du contenu sur un compteur de mot en ligne :

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? En dessous de 500 mots, j’ajoute le contenu à mon fichier « posts à combiner » pour en faire une brique d’un article thématique sur un sujet spécifique (avec d’autres posts combinés)

? Au dessus de 500 mots, le post peut devenir un article de blog
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5/ Publication de l’article combiné sur mon blog, ou en tant qu’article invité dans un média, si la thématique de l’article colle avec la ligne éditoriale du média.
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6/ Quelques mois (mais également années) plus tard, je rediffuse le contenu en story sur mes réseaux sociaux
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Et vous, comment capitalisez-vous sur vos contenus ?

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[Dossier Entrepreneuriat] Les basiques du business en ligne !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle de business en ligne, de marketing et de e-réputation !

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Et si on en finissait avec les propositions de valeur toutes faites ?

Depuis que je gravite dans l’écosystème de l‘infopreneuriat, j‘ai vu passer un bon nombre de punchlines. Ces slogans, résultant d’une proposition de valeur marketés sont souvent très formatés.
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Et pour cause, les conventions dans le marketing digital invitent les entrepreneurs à définir une cible, une offre, et un positionnement.
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Si l’idée a un fondement, et permet d’éviter l’éparpillement (surtout quand on se lance), la frustration est grande lorsqu’on réalise qu’une proposition de valeur ne nous permet pas toujours de communiquer sur les différentes casquettes de notre activité (et je ne parle même pas des slasheurs).
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Pour ma part, j’ai longtemps mis en valeur l’aspect très opérationnel et “sexy” de mon activité avec une punchline claire : attirer un flux de clients réguliers sans démarcher.
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Mais en réalité, mes prestations ne se limitent pas à cela : 
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– Je travaille sur le mindset et les croyances limitantes des entrepreneurs
– J’interviens dans leur travail d’organisation
– Je les aides à construire une vision et des objectifs clairs
– Etc
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Bref, je ne suis pas une coach spécialisée, et ne rentre donc pas dans une case définie par une proposition de valeur unique.
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Mais la bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas (uniquement) votre proposition de valeur qui attire l’attention de vos clients.
Ce n’est pas non plus elle qui les fera passer à l’acte d’achat.
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Ce qui vous permettra de vendre est un tout : 
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– Votre présence en ligne
– Votre e-réputation (références, avis…)
– Votre référencement
– Votre page à propos
– Vos pages de vente
– Votre capacité à convertir à l’oral
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Dans ce contexte, votre proposition de valeur n’est qu’un élément parmi d’autres.
Alors plutôt que de passer des jours à chercher la petite phrase qui fera fureur et la changer au prochain positionnement, commencez par dire ce que vous faites, avec des mots simples. Le reste suivra 🙂
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C’est un travail que je viens de réaliser et que je vous partage.
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Vous voulez savoir quel est mon métier ?  C’est parti !

Je coache et je forme à l’entrepreneuriat, au marketing digital, au mindset et à l’organisation.

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J’écris pour vous, quand vous me laissez carte blanche.
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J’inspire, avec des retours d’expérience personnelle sur l’entrepreneuriat, l’équilibre de vie pro/perso, le développement personnel et le digital nomadisme.
Et vous ?
Besoin d’être rassuré ?
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Quelques chiffres : 
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✅ 6 ans d’expertise dans l’entrepreneuriat
✅ 6 ans de contenus réguliers
✅ 8 références de médias pour parutions presse
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? 53 avis Google
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? 1ère position des résultats de recherche Google sur la requête « coach entrepreneur Paris »
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Alors qu’en dites-vous ?
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Faut-il avoir un nom de domaine à son nom quand on est entrepreneur ?

Depuis que je coache des entrepreneurs, une question revient souvent : est-il pertinent d’utiliser son propre nom comme nom de domaine professionnel ?
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Je ne suis pas catégorique sur la question, toutefois c’est un choix que j’encourage. Et voici pourquoi.
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1/ On n’a pas besoin de changer de nom de domaine quand on fait pivoter ou évoluer son activité

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Pivoter dans son activité est une étape fréquente chez les entrepreneurs. Dans ce contexte, mieux vaut avoir un nom de domaine personnel (nom + prénom) pour plus de flexibilité. Si votre nom de domaine est un mot clé de votre activité “lecommunitymanager.com“, que vous changez de métier ou de domaine d’activité (de la restauration à l’automobile), un nom de domaine spécialisé deviendra vite obsolète. Certes, vous pourrez toujours le changer ou faire une redirection d’URL, mais la perte de temps ne sera pas négligeable.
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2/ On ancre une marque personnelle forte 

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Un nom de domaine personnel (nom+prénom) vous permet de développer une marque personnelle forte, surtout quand vous êtes freelance. Votre nom de domaine est ainsi à votre image, colle avec le contenu de votre site web, et contribue à booster votre personal branding.
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3/ Un nom de domaine personnel n’impacte pas votre référencement naturel 

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Pas besoin d’utiliser un mot clé “métier” dans votre nom de domaine pour augmenter votre SEO sur Google. Le référencement de votre page d’accueil avec des informations géographiques, ou sectorielles sera suffisant (ex : coach pour entrepreneur à Paris). De plus, vos avis Google et vos articles de blog vont également contribuer à booster votre référencement naturel.
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Conclusion : vous n’avez pas besoin d’avoir un nom de domaine impersonnel pour paraitre professionnel. Un nom de domaine à votre nom ou à celui de votre marque vous permettra d’asseoir votre branding, votre référencement et sera plus durable dans le temps, tant sur le plan économique que marketing.
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Et vous, quel choix avez-vous fait ?
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7 conseils pour rendre plus visible votre entreprise sur le web gratuitement

Depuis plusieurs années, le référencement est devenu ma première source d’acquisition client. En travaillant mon référencement local, j’ai pu arriver en première page Google sur des requêtes spécifiques.
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Voici donc 7 conseils pour développer la visibilité de ton entreprise. Mais n’oubliez pas, il vous faudra régulièrement faire des petits contrôles pour évaluer l’évolution de votre référencement. Bon courage !
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– Pour être visible sur Google, il faut vous demander : qu’est-ce que vous taperiez sur Google si vous cherchiez quelqu’un comme vous ?
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– Pour être bien référencé, mieux vaut ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier (Google my business, site web, réseaux sociaux, sources externes)
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– La preuve sociale (Avis google, commentaires site web, avis page Facebook, nombre d’abonnés Instagram) contribuent au référencement de votre entreprise
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– L’optimisation de votre profil Linkedin lui permet de remonter dans les résultats de recherche du réseau social mais également sur Google
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– Sur un site web, l’optimisation de votre page d’accueil contribue à votre référencement local et vos articles de blog contribuent à votre référencement thématique
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– La notoriété est tout aussi importante que la visibilité pour trouver des clients
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– La confiance se dirige d’abord vers les résultats de recherche non sponsorisés

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[Dossier organisation] L’organisation, une compétence indispensable pour entreprendre !

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle d’organisation et de productivité !

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5 observations personnelles sur l’organisation et productivité :

– Les cartes mentales et les post-it sont très prisés des individus à la pensée en arborescence mais n’aident pas à transformer les idées en actions concrètes
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– Pour s’organiser, on peut utiliser des outils très simples (suite Google par ex)
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– Passer du temps à rechercher le meilleur outil est une belle démonstration de procrastination
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– Le perfectionnisme est une manifestation de la procrastination
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– Dans l’entrepreneuriat, pour se rapprocher de la perfection, il faut oser faire de nombreux essais imparfaits
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Comment gérer son organisation quand on a une pensée en arborescence ?

Si beaucoup d’entrepreneurs ont du mal à s’organiser, c’est en partie car leur pensée se disperse !
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– Ils débordent de créativité et se laissent submerger par leurs idées
– Ils ont du mal à rester focalisé sur un fil directeur et partent dans des digressions
– Ils manque d’esprit de synthèse et d’efficacité
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En conséquence :
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– Leurs rendez-vous et réunions débordent toujours.
– Ils finissent rincés sans avoir traité l’ensemble des sujets souhaités.
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Concrètement, ils n’arrivent pas à passer de l’idée à l’action.
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Cette pensée en arborescence peut-être problématique au quotidien si elle n’est pas canalisée et recentrée.
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Étant moi-même au coeur d’un processus créatif grâce à la production de contenus réguliers, j’ai dû mettre en place un système pour coupler créativité et organisation.
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Aujourd’hui, dès qu’une nouvelle idée me vient, elle est inscrite dans un outil qui me permet de la planifier et traiter ultérieurement.
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Cet outil me permet de ne pas laisser mes idées s’envoler et de la traiter en tant voulu.
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Mettre en place une nouvelle méthode pour optimiser son temps et ses idées peut demander un temps d’adaptation.
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Mais ce temps de restructuration est essentiel, surtout quand on a une pensée en arborescence !
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Peu de gens pourraient faire mon métier 

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Lorsque je présente mon activité professionnelle aujourd’hui, et surtout, mon emploi du temps, certains jugent que je mène une vie oisive.
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– Je travaille peu.
– Je consacre du temps à mes routines sportives, alimentaires et sociales;
– J’organise mon emploi du temps comme bon me semble.
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Dans une société où beaucoup se vantent de travailler jusqu’à pas d’heure, j’ai en effet choisi d’aller à contre-courant.
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Toutefois, mon métier comprend son lot de contraintes (choisies), et que peu pourraient gérer au quotidien :
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–  Je travaille seule, à domicile et je m’auto-discipline chaque jour pour atteindre mes objectifs (sans difficulté)

–  J’ai une capacité à produire des contenus réguliers dans différents domaines (entrepreneuriat, aikido, développement personnel)

–  Je suis efficace, réactive et organisée et peux ainsi travailler bien en peu de temps
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Alors oui, on pourrait dire que j’ai de la chance.
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Mais ma situation professionnelle est le résultat d’une combinaison entre compétences spécifiques (organisationnelles, rédactionnelles, communicationnelles) et de choix de vie (définition de mes priorités).
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Je pourrais bien sûr céder à l’injonction du “travailler plus pour gagner plus”, en meublant mon emploi du temps.
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Mais je n’en ai pas envie. Je garde en effet une vision écologique de ma santé mentale et physique et choisis ainsi de me ménager, tout en profitant des plaisirs de la vie au quotidien (resto entre amis, aikido le midi, voyages au bout du monde, activités culturelles régulières).
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Certains privilégient le travail et diront se reposer quand ils seront mort, pour ma part, je préfère me reposer de mon vivant pour mieux apprécier ma vie quotidienne et mon travail.
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A méditer…et surtout, bonne année !

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[Dossier Intelligence artificielle] : Création de contenu, business en ligne et IA

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus. Ici, on parle d’intelligence artificielle, de ChatGPT et de lien avec l’entrepreneuriat !

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Bonne lecture.

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Mon retour d’expérience personnelle sur ChatGPT en 6 points 

En tant que créatrice de contenu, j’étais un peu réticente à utiliser chatGPT.
Mais suite à un post de The BBoost, qui a suscité ma curiosité, je me suis dit qu’il serait idiot de ne pas tester le potentiel de cette IA en matière de ressources stratégiques et d’idées, notamment sur le plan professionnel.
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Voici mes retours d’expérience :
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1/ Un logiciel bluffant en matière de structuration et de rédaction de contenu 

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Que ce soit pour la rédaction d’un article de blog, d’un mail de vente, pour la création d’un programme de formation ou d’un leadmagnet, ChatGPT sait rédiger de manière synthétique et organisée.
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2/ Une AI pertinente pour développer une stratégie commerciale

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ChatGPT peut trouver les hashtags les plus pertinents par rapport à un secteur d’activité, trouver les mots clés les plus utilisés par notre cible sur Google, ou définir les problématiques principales de clients d’un secteur d’activité

3/ Une AI pour valider notre niveau de compétence sur un sujet 

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ChatGPT nous permet de valider notre niveau de compétence sur un sujet ou une stratégie à opérer dans un domaine d’activité, ce qui peut-être rassurant !
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4/ Attention au piège du travail prémâché 

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Le piège, lorsqu’on peut générer un contenu structuré en quelques secondes, c’est de faire appel à ChatGPT systématiquement, c’est de ne plus chercher à réfléchir. Et plus on devient fainéant, moins on est en mesure de développer sa créativité.
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5/ Les limites de ChatGPT

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L’AI est fabuleuse mais comprend des limites. Elle n’est pas capable de communiquer avec émotion et véhiculer une certaine sensibilité ou vulnérabilité. Et c’est pourtant ce qui peut manger dans une page de vente ou dans tout texte faisant appel au copywiriting. 
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ChatGPT demande (encore) une certaine relecture avant validation lorsqu’il s’agit de la production d’un contenu.
Par ailleurs, ChatGPT n’est pas en mesure de fournir des noms de concurrents, ou des meilleures personnes dans un domaine d’activité, ni des tarifs moyens de prestations de freelance ou d’entrepreneurs.
Enfin, il manque de connaissance sur des domaines spécifiques (j’ai testé avec l’Aikido).
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6/ Les évolutions à prévoir pour ChatGPT

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Pour qu’il soit plus performant, il serait intéressant d’intégrer ChatGPT aux CMS comme WordPress, aux auto-répondeurs (logiciels de newsletters), mais également aux logiciels de création graphiques pour produire des contenus à adaptés aux demandes des utilisateurs : newsletter, articles de blog optimisés pour le référencement, affiches ou visuels à partir d’un script (une première version perfectible existe aujourd’hui sur Canva). Ce n’est qu’une question de temps avant que ces innovations voient le jour.

Conclusion

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ChatGPT, comme Dall-E (intégré dans sa version payante), sont des IA facilitant le travail des professionnels mais également des particuliers. Mais ChatGPT ne doit pas se substituer à l’intelligence humaine, qui moins sollicitée pourrait être amenée à décliner. La créativité est un muscle, qui au repos finit par se ramollir.
Que les consultants et créateurs de contenus se rassurent, ChatGPT ne propose pas de contenus personnalisés, ni “humain”, et cela se voit. Les retours d’expérience personnelle sont des contenus à l’abri de l’invasion de l’iA. Et heureusement !
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Dall-e 3 via Bing : atouts et limites

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Depuis quelques semaines, j’ai testé l’IA pour créer des images à partir d’un texte. Parmi les outils existants, j’ai choisi Dall-E 3, via Bing (oui, le moteur de recherche de Microsoft).
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Après des centaines de prompts (textes), voici mes retours.
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Les atouts de Dall-E 3 via Bing :

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– Le logiciel est gratuit (et sans limite si vous changez d’adresse mail après les 15 prompts gratuits). Vous n’avez pas besoin de vérifier votre adresse email, et pouvez ainsi en générer à l’infini.
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– Le logiciel est très simple d’utilisation : vous tapez le texte, l’image apparaît après 30 secondes environ.
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– Le logiciel est doté d’une grande créativité, c’est bluffant !
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Voyons maintenant les limites de Dall-E 3 via Bing : 

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– Le prompt est limité en nombre de mots, ce qui implique de faire des choix dans notre descriptif d’image
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– Il n’existe pas de possibilité de travailler à partir d’un contenu importé : par conséquent, impossible de vous voir atteindre la lune sur une licorne rose !
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– Les noms propres ne sont pas reconnus : quelques noms de héros de séries TV sont enregistrés dans la base de données, mais vous n’êtes pas sur Google image !
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– Le logiciel a une connaissance sémantique limitée sur des domaines spécifiques : j’ai fait le test avec l’aikido, et clairement, l’IA n’a pas été conçue par des pratiquants 😉
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– Les détails ne sont pas toujours finalisés : vous pouvez vous retrouver dans un décors réaliste, mais avec des humains à 4 doigts ou sans visage (dommage).
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– Il n’y a pas de possibilité d’upgrader cette version et il n’existe pas d’option payante pour avoir accès à une meilleure version (plus rapide, plus précise, sans limite de mots).
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En résumé, Dall-E 3 via Bing est un très bon outil d’IA pour générer des images artificielles réalistes et d’une belle qualité. Toutefois, des limites techniques restent importantes. Par conséquent, il serait difficile de pouvoir proposer des prestations payantes à partir de cette version limitée de Dall-E 3 via Bing (même si ce n’est pas mon attention).
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Si l’IA sera sûrement amenée à évoluer dans les prochains mois voire années, elle reste expérimentale aujourd’hui dans ses versions gratuites.
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Et vous, quelle IA facile d’utilisation conseilleriez-vous pour générer des images artificielles ?
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Conclusion : L’IA, une menace pour les business désincarnés 

Freelances, moins vous incarnerez vos services et plus vite ils seront remplacés par des IA.
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Aujourd’hui, l’intelligence artificielle est capable de créer :
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– des logos
– des visuels
– des articles SEO friendly
– des stratégies social media
– le contenu de leadmagnets
– le plan de formations en ligne.
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Dans ce même contexte, plus vous automatiserez vos activités, plus elles perdront de leur dimension humaine et plus vite elles deviendront remplaçables par des robots.
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Par conséquent, le coaching, la formation en présentiel, les journées d’immersion, ou encore les soins physiques sont des activités qui ne pourront jamais être remplacées par une intelligence artificielle. Ou du moins, pas sans une grande perte de qualité.
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Dans un monde où l’on prône l’automatisation des process et des business pour être plus libre, il devient paradoxalement dangereux pour votre propre entreprise de vous retirer totalement du processus de conception et de vente de vos produits et services.
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Car là où l’humain n’est pas, l’IA l’emportera.

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10 règles élémentaires pour écrire fluidement sur le web

J’entends régulièrement des clients et des proches déplorer leurs capacités rédactionnelles et assimiler ces difficultés à un handicap.

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Il est vrai que lorsqu’on communique sur le web, ou tout simplement, lorsqu’on souhaite s’exprimer à titre professionnel, l’écrit devient incontournable.

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Mais la fatalité n’existe pas. 

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La fluidité rédactionnelle repose sur deux paramètres : 

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– La régularité, favorisant une certaine dextérité rédactionnelle

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– La maîtrise de 10 règles fondamentales de grammaire, de vocabulaire, de syntaxe, de ponctuation, de conjugaison mais également de persuasion que je vais vous dévoiler dans cet article.

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1/ Sur la forme : quelques règles simples pour fluidifier votre écriture 

– Diversifiez les verbes employés

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Développer ses capacités rédactionnelles passe par une diversification de son vocabulaire. 

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Dans ce cadre, il est important d’apporter de la précision dans les verbes employés.

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Concrètement : 

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  • Limiter l’emploi des auxiliaires “Être” et “Avoir » à tout va, car chaque activité, état ou action possède un verbe qui lui est propre.

 

  • Limiter l’usage des verbes “permettre”, “mettre”, “faire” et  « dire » pour les mêmes raisons (liste non exhaustive)

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– Maîtrisez les bases de la ponctuation :

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  • Lisez vos phrases à haute voix pour savoir où placer les virgules dans une phrase
  • Commencez une phrase par une majuscule, et terminer là par un point
  • Pensez à ajouter un espace avant et après les deux points “:”, ne mettez pas de majuscule après les « : », un espace après une virgule “,” et utilisez trois points de suspension, ni plus ni moins “…”

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Heureusement, les correcteurs automatiques et les dictées scolaires d’un lointain passé peuvent nous le rappeler 😉

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– Syntaxe : prêtez attention à la place des mots dans une phrase

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La place de l’adverbe, notamment, est importante. 

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Exemple : 

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Premier jet : vivez vraiment une vie qui vous ressemble

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Correction : vivez une vie qui vous ressemble vraiment

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Par ailleurs, il est important d’adopter des formules propres à l’expression écrite. A titre d’exemple, lorsqu’on pose une question, la place du sujet et du verbe est inversée. On évite également les formules du type “est-ce que”.

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Concrètement, on ne dit pas : “est-ce que vous aimez la grammaire ?” mais “aimez-vous la grammaire ?”.

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La familiarité passe également par l’usage des “mauvais” mots : “des fois” au lieu de “parfois” est un cas courant. 

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Je vous épargne également les expressions courantes à bannir “ la fille à “ au lieu de “ la fille de” , “ je sais pas c’est quoi” au lieu de “ je ne sais pas ce que c’est”, mais qui relèvent surtout de l’expression orale.

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De même, on ne met pas un point d’interrogation quand on s’interroge sans poser de question. 

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Exemple : 

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Erreur : on peut se demander si la place du verbe et du sujet est inversée dans cette phrase ?

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Correction : on peut se demander si la place du verbe et du sujet est inversée dans cette phrase. 

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– Mettez-vous à la place de votre interlocuteur

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Il est important de savoir se mettre à la place de son interlocuteur en lui facilitant la lecture de votre texte. 

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Concrètement : 

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  • Soyez concis et allez à l’essentiel. 
  • Aérez votre présentation en sautant des lignes
  • Insérez des images si vous écrivez un article de blog
  • Soulignez ou mettez en valeur les mots importants
  • Gardez votre fil conducteur même si vous donnez des exemples.

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– Evitez ces fautes d’orthographes les plus fréquentes

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Ne confondez pas le futur et le conditionnel, notamment à la première personne du singulier.

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Exemple : 

  • Demain j’irai au cinéma (futur)
  • Demain, j’irais bien faire un tour au marché” (conditionnel)

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Ne mettez pas de “s” à la deuxième personne du singulier des verbes du 1er groupe à l’impératif.

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Exemples :  “Mange”, “arrête”. 

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Attention également aux fautes d’orthographes fréquentes sur ces mots : 

  • Parmi (sans s), tant pis (en deux mots), au temps pour moi (et non “autant”, même si cette deuxième version commence à être acceptée), plein (invariable)

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2/ Sur le fond : quelques règles de base pour rester convaincant 

 

– Fixez-vous un objectif et gardez-le en tête 

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Concrètement, quelle est l’idée principale de votre propos ? Et si par hasard, vous vous perdez dans votre cheminement de pensées, revenez à l’essentiel en vous demandant :  qu’ai-je envie de dire ?

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Posez-vous cette question à voix haute et répondez-y à voix haute également.

Comme le rappelle Boileau : “Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire viennent aisément” .

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– Visualiser l’audience à laquelle vous écrivez quand vous écrivez 

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Pour être convaincant, il faut s’adresser à un public identifié et pour donner cette impression à l’écrit, il est important de limiter l’usage des verbes pronominaux non conjugués

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Exemple : 

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Premier jet : comment changer sa vie en 1 semaine ?

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Correction : comment changer VOTRE vie en 7 jours ?

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Dans un contenu voué à la vente, attention à ne pas interchanger le vouvoiement et le tutoiement. Optez pour une forme avec laquelle vous êtes à l’aise et gardez-là. 

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De même, faites attention à ne pas confondre le vouvoiement de politesse avec le vouvoiement pluriel. Pour vous aider à y voir clair, demandez-vous toujours si vous vous adressez à une seule personne ou à un groupe ! 

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Attention également à l’usage des injonctions moralisatrices : “tu dois” , “il faut”. Très culpabilisantes, voire agressives, elles peuvent créer une distance avec vos lecteurs. 

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– Apportez de la précision dans le vocabulaire employé

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Je le constate souvent dans les pages de vente de formations que je corrige  : l’argumentaire manque de précision et par conséquent, la projection dans l’univers décrit par l’entrepreneur devient difficile.

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Exemple vu sur une page de vente : 

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Premier jet : grâce à ma formation, vous allez vivre pleinement.

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Correction : grâce à ma formation, vous allez vivre pleinement une vie qui vous ressemble. 

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Avec un complément d’objet direct, la phrase devient tout de suite plus impactante !

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– Donnez des exemples personnels pour humaniser votre argumentaire

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Plus vous donnez des exemples, plus il devient facile de visualiser votre chemin de pensée, ou encore de développer une connexion émotionnelle avec vous (notamment si vous utilisez des exemples personnels). 

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Vous pouvez raconter une anecdote personnelle, ou bien évoquer un cas client par exemple.

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Gardez en tête que les retours d’expériences personnelles sont très efficaces pour créer une connexion émotionnelle avec votre lecteur, qui pourra facilement s’identifier à votre parcours ou votre histoire. C’est tout l’enjeu du storytelling, permis grâce à une technique d’écriture spécifique : le  copywriting (l’art d’écrire pour vendre). 

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– Conclure votre argumentaire par un appel à l’action 

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L’appel à l’action permet à votre lecteur de ne pas refermer la page de votre mail ou de votre article de blog sans rien entreprendre suite à sa lecture. 

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Exemple : 

 

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Conclusion  : 

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Voici quelques règles et principes élémentaires pour écrire fluidement sur le web. Bien sûr, la pratique sera nécessaire au développement d’une certaine dextérité. Toutefois, il ne tient qu’à vous de passer à l’action. Gardez en tête que lorsque vous vous lancez, votre audience est encore petite. C’est donc le bon moment pour faire vos gammes sans trop vous exposer. Par la suite, votre audience se développera en même temps que la qualité de vos contenus. Bonne synchronisation, non ?

Alors qu’attendez-vous pour vous y mettre ! 

 

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Réflexions sur le fitness et l’entrepreneuriat, inspirées de Sissy Mua

Je viens d’écouter l’épisode de podcast InPower de Louise Aubery, avec comme invitée Sissy Mua.
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Aujourd’hui, Sissy n’est plus seulement une fitgirl, mais une entrepreneure à la tête d’un empire (une app, une boutique de vente de vêtement fitness, une boutique de vente de compléments alimentaires). C’est la personnalité fitness la plus influente de France.
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En tant que consommatrice de l’app Trainsweateat, et fidèle abonnée de Sissy Mua depuis le confinement (comme beaucoup d’entre nous), j’ai profité d’un aller-retour d’1h30 de métro pour tendre l’oreille.
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Voici d’abord quelques informations que j’ignorais sur elle :
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– Elle a fait une école d’ingénieur avec une spécialité biologie
– Elle a travaillé seule sur son business jusqu’à 2018
– Elle a été confinée à Paris
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Et voici quelques apprentissages de son mindset entrepreneurial (sous forme de citations).
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3 citations sur le business et l’entrepreneuriat par Sissy mua

– “Ne pas confondre le stress positif et le stress néfaste”.

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Identifier ces deux formes de stress nous permet de prendre les meilleures décisions pour notre business, et savoir si on se lance dans un projet, ou au contraire, si on n’est pas prêt à y aller. C’est avec l’expérience que Sissy, qui s’est mis dans le rouge à plusieurs reprises peut maintenant faire preuve d’une certaine lucidité sur la faisabilité d’un projet. N’oublions pas qu’il est possible de refuser une opportunité car le moment n’est pas opportun. Le timing compte tout autant que le feeling ! 
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– “Le désespoir fait vendre”. 

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Et oui, c’est malheureusement vrai. C’est d’ailleurs les business tournées vers la réussite sociale qui font le plus vendre :
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– La réussite financière, car notre société valorise les riches
– Le dating et la séduction, car la norme sociale est d’être en couple
– Le fitness et le culte du corps, car notre société préfère les personnes minces.
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Cela dit, on peut appâter les gens avec du marketing, et leur vendre quelque chose de bon pour eux. Donnez-leur ce qu’ils désirent, offrez leur ce dont ils ont besoin, pour reprendre un adage connu (Seth Godin, mais je ne m’aventurerait pas sur cette affirmation).
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C’est d’ailleurs ce que fait Sissy dans sa stratégie de marketing, et reconnait elle-même être entrée dans le monde du fitness pour les “mauvaises raisons” (l’apparence physique) mais avoir continué pour les bonnes (la forme physique, le dépassement de soi )
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– “Il ne faut pas faire ce qui ne nous rend pas heureux”. 

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Cette citation semble simpliste mais combien de gens aujourd’hui subissent leur travail ou pensent qu’ils n’ont pas le droit au bonheur dans leur vie personnelle ? L’absence d’épanouissement est un redflag. Le bonheur, un greenflag. En tant qu’entrepreneur, j’ai pendant un temps subi des stratégies marketing avec lesquelles je n’étais pas alignée. Résultats : pas de résultats. Le marketing est énergétique : si vous aimez ce que vous faites, vous rayonnez. Si au contraire, vous appréhendez une technique de vente, ou si encore, vous subissez votre métier, vous rebutez vos prospects.
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Et enfin, une citation de Louise Aubery, : “Un client satisfait en ramène 10, un client insatisfait en fait perdre 10”. 
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C’est tout l’enjeu d’une bonne relation client. En tant qu’entrepreneure, il m’est arrivée à plusieurs reprises de céder à des demandes de remboursement client pour m’éviter une mauvaise e-réputation. Dans un monde où tout va à 100 à l’heure, mieux vaut céder à court terme que de subir à long terme.
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Quelques réflexions sur le fitness, et le business d’une app à succès

Et pour finir, quelques réflexions sur le fitness et l’app Trainsweateat :
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Le fitness, une dynamique contradictoire :
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–  Une discipline ambassadrice du culte du corps et de la perte de poids dans une société où règne encore le diktat de la minceur.
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– Mais une discipline qui permet de développer la confiance en soi et l’intégration sociale, en augmentant sa forme physique et son apparence (sans pour autant proposer de transformation révolutionnaire)
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L’app Trainsweateat, économique et pratique à condition d’être au clair sur ses objectifs :
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– Tout d’abord, l’app est payante (mais à moindre coût), environ une dizaine d’euros par mois, mais les programmes proposés sont nombreux et intégrent les volets fitness et alimentation
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L’app propose un renouveau des programmes (un nouveau toutes les deux semaines environ), sur des thématiques différentes, avec ou sans matériel, ce qui permet de muscler différentes parties de son corps, de ne pas se lasser (et de se désabonner)
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– L’app est agréable à utiliser, les vidéos visuellement belles, et l’ambiance véhiculée par l’équipe donne une dimension humaine appréciable.
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– L’app est intéressante à condition d’être au clair sur ses objectifs. Comme le dit Sissy, on entre dans le fitness pour les mauvaises raisons (la perte de poids) et on y reste pour les bonnes (l’entretien physique), et cela a été mon cas.
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Aujourd’hui, mon corps n’est pas parfait mais je continue le fitness car :
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– C’est pratique et efficace : programme entre 15 et 30 minutes, avec ou sans matériel, à faire depuis chez moi.
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– J’adapte l’intensité du programme à ma forme physique.
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– Il y a suffisamment de vidéos pour ne pas me lasser.
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Je pratique en parallèle l’aikido et la marche régulière qui sont complémentaires, et mange sainement sans me priver. Cette combinaison me permet de rester en forme physique.
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Il manquerait bien sûr un coach personnalisé pour être sûr de bien pouvoir réaliser les exercices, mais le budget ne serait pas le même !
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Sur ce, bonne écoute !
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[Dossier Mindset] Quelques Bullet points de leçons de vie (en vrac)

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Mes 3 grands mantras de freelance pour entreprendre au quotidien

Être entrepreneur, c’est faire face à l’adversité au quotidien.
Avec l’expérience, on tire assez rapidement des leçons de ses erreurs, et plus généralement, une philosophie de vie sur le plan business.
Voici donc mes 3 mantras pour entreprendre sereinement au quotidien.
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1/ Tant que c’est pas signé, c’est pas fait

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Un prospect aura beau vous promettre la lune, si le contrat n’est pas signé, ne vous enflammez pas. Attendez et demandez des actes, et non des mots.
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2/ Si le client crée un malaise avec un retard de paiement, vous devez créer un malaise en le relançant

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Votre argent vous est dû. Ne soyez pas gêné de le demander. Ce n’est pas vous qui êtes responsable de cette situation délicate, c’est votre client qui vous a mis dedans !
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3/Vous êtes votre propre cadre

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Vous n’êtes pas soumis aux ordres d’un patron, vous gérez vos horaires et vos missions. Le cadre, c’est vous. A vous donc d’organiser vos journées, de construire vos routines et optimiser votre emploi du temps en fonction de votre rythme naturel et de votre équilibre de vie pro/perso !
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Entre entrepreneur, c’est certes faire le choix de la précarité mais c’est avant tout faire le choix de sa liberté ! Alors soyez maître de votre relationnel, de votre organisation, et surtout, de vos décisions !
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Bonne réflexion
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33 ans et 33 vérités sur ma vie professionnelle

Sur mon parcours universitaire et mes diplômes :

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– J’ai un parcours classique (et non “atypique” comme la plupart des gens aiment l’affirmer)
– Mes études en science politique n’ont rien avoir avec mon travail actuel mais m’ont permis d’être structurée et synthétique
– Je ne regrette pas d’avoir raté les concours de la fonction publique
– Je n’ai pas de diplôme de coach
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Sur mes routines entrepreneuriales : 

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– Je ne fais pas de yoga et ne médite pas
– Je ne lis pas de romans ni de livres de startupers à succès
– J’ai des routines entrepreneuriales simples mais durable (petit dej, check des notifications et mails, sport)
– Le cadre, l’organisation, la planification et les routines me rassurent
– Je suis accro à mon téléphone et ce n’est pas une déformation professionnelle
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Sur l’argent et les finances : 

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– Je ne fais pas l’autruche sur le plan pro 
– Je paye mes fournisseurs le jour même où je reçois leur facture
– Je n’ai pas peur de relancer un client qui me doit de l’argent
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Sur le marketing et la communication : 

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– J’ai une créativité illimitée en matière de contenu 
– J’aime consommer des contenus courts
– J’adore parler de moi et faire des retours d’expérience
– J’aime écrire des contenus et aimerais être principalement payée pour mes retours d’expérience personnelle
– J’écris pour des leurs paresseux, car je consulte moi-même des contenus en diagonal
– Je ne suis pas sur TikTok
– Je n’utilise pas ChatGPT (et il me fait pas peur)
– Je n’aime pas les lancements de formation en ligne (et déteste ce type de copywriting)
– Je n’aime pas la technique dans le marketing, et ne souhaite pas m’y intéresser
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Sur ma vision de l’entrepreneuriat (et de son mode de vie) :

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– J’aime être freelance et ne cherche pas à scaler (je ne veux pas de salariés, ni de contraintes administratives)
Je travaille pour voyager et m’offrir des moments de plaisir au quotidien
– J’aimerais voyager plus et tirer les avantages d’être freelance
– J’apprécie les interventions en présentiel quand elles sont ponctuelles
– J’aime les déplacements professionnels qui me font voir du pays
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Sur les relations professionnelles au quotidien : 

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– Je n’aime pas le travail en équipe
– Je n’aime pas les visios
– Je n’aime pas le networking 
– Je préfère les échanges asynchrones que les appels énergivores
– Je n’ai pas peur de demander des avis clients
– Je ne pousse pas la vente (même quand ça va pas financièrement)
– Je ne supporte pas l’autorité et les contraintes externes
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Et vous, vous connaissez-vous vraiment bien en tant qu’entrepreneur ? Quels constats tirez-vous de votre vie professionnelle ?
Etre indépendant, c’est s’offrir une meilleure qualité de vie
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3 ans d’accomplissement personnels et professionnels

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Aout 2021
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Hier soir, je me suis remémoré mes trois dernières années. Que s’était-il passé en 3 ans ? J’ai donc décidé d’ouvrir mon petit carnet et d’écrire les chamboulements et avancées dans ma vie personnelle et professionnelle. Et je n’ai pas été déçue !

Sur le plan professionnel : 
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– En 2019, j’ai décidé d’adopter une communication plus vulnérable et de me dévoiler plus dans mes contenus. Un pari risqué mais qui a porté ses fruits !
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– En 2020, je génère des chiffres d’affaires mensuels à 5 chiffres. J’atteins 25 000 euros de CA pour mon meilleur mois. Du jamais vu. Ma stratégie de prise en charge CPF porte ses fruits.
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– En 2021, je simplifie mon business et travaille environ 15h par semaine. J’assume ainsi que je ne cherche pas à faire du chiffres, ni de scaler mon activité mais au contraire de mettre mon activité au service de mon mode de vie. Sur un autre plan, je décide d’ouvrir un PEA, une assurance vie pour assurer ma retraite et prendre en main mes finances professionnelles et mon épargne personnelle.
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Sur le plan personnel : 
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– En 2019, je retrouve ma famille biologique grâce à des tests ADN. Clairement, je n’y croyais pas. Je sais maintenant d’où je viens et qui je suis.
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– En 2020, je pars faire le tour du monde seule, entre voyage et travail. Jamais je n’aurais pensé le faire aussi rapidement.
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– En 2021, je connais l’amour réciproque. J’avais presque perdu espoir. D’autres avancées surviennent également, comme ma décision d’assainir mes relations parentales, d’arrêter la pilule pour des questions de santé, mais également de commencer un nouvel art martial.
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La vie est pleine de surprises mais c’est votre état d’esprit et l’initiation de démarches constructives qui permettront à vos projets de se réaliser !
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Alors, que pouvez-vous initier comme changement dès maintenant ?
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[Dossier] Copywriting : l’authenticité est-elle vraiment au goût du jour ?

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Storytelling : vous n’êtes pas obligé de raconter des success stories pour sortir du lot ! 

Lorsque je propose à mes clients d’écrire sur LinkedIn, une partie d’entre eux freine des quatre fers.
Et pour cause, ils ne s’identifient pas aux publications qu’ils voient défiler sur leur fil d’actualité.
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En effet, narcissisme et egotrip ne sont pas les voies choisies par tous.
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A titre personnel, je pense d’ailleurs qu’il faut éviter de :
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? Tomber dans le narcissisme sans apporter de valeur ajoutée à son audience
? Adopter un style de communication qui ne nous correspond pas
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En revanche, on peut : 
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✅ Communiquer sur des retours d’expérience personnelle sans succes story à l’appui (en exposant une problématique rencontrée dans sa vie d’entrepreneur par exemple, et ce, même si on n’a pas encore trouvé de solution)
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✅ Adopter un support de communication avec lequel on est à l’aise (si vous n’aimez pas l’écrit, n’écrivez pas. Si vous n’aimez pas la vidéo, ne faites pas de vidéo)
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✅ Et surtout, prendre conscience qu’une communication impersonnelle axée sur son seul domaine d’expertise ne suffit pas à sortir du lot (si vous êtes coach et que vous ne parlez que de coaching, sans parler de vous, vous n’intéresserez pas vos clients)
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Il est d’ailleurs difficile de communiquer sur le web, sans avoir recours à des mots, et ce, même si vous êtes un créatif ayant recours à des visuels (graphiste, photographe, peintre …). Concrètement : une image ne se suffit pas à elle-même lorsque vous cherchez à faire ressortir votre personnalité et votre authenticité dans vos contenus et votre communication en ligne.
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Cette communication personnalisée, empreinte de vulnérabilité répond à deux objectifs : 
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? Inspirer confiance, grâce à une communication humaine
? Adopter une stratégie d’acquisition client simple et authentique
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Et vous, quel style de communication est fluide pour vous ? 
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10 secrets autour de six années de contenus réguliers 

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Cela fait maintenant 6 ans que je produis des contenus réguliers pour mon activité d’entrepreneure, mais également pour mon blog d’aikido (aikido-millennials.com depuis 2020). La régularité de mes publications est facilitée par une gymnastique intellectuelle à prendre, mais également par quelques “secrets” que voici :
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? Je lis très peu (sauf des BD et quelques livres de développement personnel )
? Je ne m’inspire pas des autres (et encore moins des entrepreneurs à succès)
? Je ne me relis pas (ou peu) et passe plus de temps à communiquer qu’à écrire
? Je m’inspire de mon environnement (situation, conversation)
? Je ne décide jamais en avance du format de contenu que je vais écrire et l’adapte selon la longueur et la thématique du contenu (post, article, article invité)
? Je n’ai pas de stratégie de contenu car l’expérience me montre que j’aurais une nouvelle idée au moment où j’en aurai besoin
? J’adapte la forme de mes contenus à une lecture en diagonal (titre percutants, introduction, sous titres, images, conclusion, appel à l’action)
? Je relis mes phrases à voix haute pour être sûr qu’elles sonnent bien
?J’écris ce qui sort de mon coeur, sans filtre, pour permettre à mes lecteur de s’identifier à des situations et de créer une connexion avec eux
?Je ne suis pas copywriter et ne sais pas écrire pour vendre (ni écrire sur commande)
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Voici donc 6 secrets autour de 6 années de contenus réguliers : et vous, quels sont les vôtres ?
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Contenus : le piège du Chat GPT

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On n’en parlera jamais assez. Le Chat GPT a bel et bien débarqué.
C’est une nouvelle opportunité pour les créateurs de contenus, de produire une multitude de contenus en un rien de temps.
Pour les procrastinateurs, c’est également l’occasion de s’atteler à la tâche.
Cependant, le web est saturé de contenus.
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L’heure n’est pas à la production de contenus, mais à la distinction des contenus : personnalisation des articles, exposition de sa sensibilité, réalisation de retours d’expérience personnels. Ce type de contenu est le seul que l’intelligence artificielle ne pourra pas concurrencer.
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Mieux, ces contenus sont les rares seuls qui captent encore l’attention des internautes aujourd’hui.
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Je le répète depuis 2017, vous ne devez pas vous limiter à vous exprimer sur votre domaine d’expertise ou sur votre secteur d’activité. Votre vie entrepreneuriale est toute aussi digne d’intérêt !
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Pour être professionnel, arrêtez d’être impersonnel.
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On ne cesse de nous parler d’engagement, pourtant je n’ai jamais vu autant de contenus aussi barbants !
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Certes ChatGPT peut être une perche, mais ne doit pas être une béquille ! 
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Aujourd’hui, pour être un producteur de contenu qui sort du lot, il vous faut :
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✅ Des capacités rédactionnelles (je vous rassure, ça s’apprend)
✅ Une capacité à mobiliser votre créativité de manière continue (inspirez vous de votre quotidien, et vous ouvrirez le champs des possibles)
✅ Ecrire avec votre sensibilité (et toucher votre cible)
✅ Comprendre qu’il faut passer plus de temps à communiquer (70%) qu’à écrire (30%) et ainsi devenir visible
✅ Publier hors de vos propres canaux pour développer votre notoriété (articles invités)
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Ne vous placez pas en concurrence avec ChatGPT, ou avec d’autres producteurs de contenus.
Suivez votre propre calendrier, écoutez votre inspiration et ne doutez pas !
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Bon courage,
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[Dossier] Les salon professionnels : grand messe ou véritable levier d’acquisition ?

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

Un autre regard sur les salons professionnels 

Pendant 5 ans je n’ai fait que de l’inbound marketing.
Mais aujourd’hui, le marché du contenu est de plus en plus saturé.

Je pense proposer des contenus de qualité se différentiant par une réelle vulnérabilité mais ça ne suffit pas.

Nous restons tributaire des algorithmes.

À côté de cela, je ressens le besoin de me reconnecter au monde réel.

Le petit monde névrosé des infopreneurs ne me correspond plus.

Il y a quelques mois, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis mise à la prospection sur des salons (et je suis de nature introvertie). Et surprise ! Non seulement je n’ai pas été épuisée (ma pire crainte est de me vider de mon énergie) et en plus de cela, mes prospects étaient réceptifs ! J’en suis à mon 9e salon depuis la rentrée 2022.

Mais cette réussite ne relève pas du miracle : je sais ce que je vends et suis confiante de la qualité de mon travail.

Pourtant, je n’ai pas perdu 5 ans en mettant les œufs dans le même panier : quand je me suis lancée à mon compte, je n’avais pas d’expérience et il m’aurait été difficile d’aborder les entreprises avec autant d’aisance.

Aujourd’hui, mon expertise me permet de m’orienter vers une double stratégie :
1/ l’inbound marketing, car je sais faire
2/ le terrain, pour toucher une nouvelle cible tout en créant un lien humain.

Quant à la prospection à froid, j’ai encore du mal à ne pas tomber dans le mail semi- automatisé, mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis non 😉

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7 manières de rentabiliser votre présence à un salon professionnel

Ce matin, j’étais au salon B2B Summit, qui s’est tenu au Parc des Princes à Paris.

Un salon professionnel, ce sont des opportunités, mais également beaucoup d’énergie déployée. C’est pourquoi, il est important de rentabiliser sa présence sur place. Voici donc 7 manières de rentabiliser sa présence à un salon professionnel.

1/Se fixer des objectifs

Il est important de préparer son salon en se fixant un ou des objectifs précis :
✅ Nombre de prises de contact
✅ Renseignements sur un secteur d’activité
✅ Réponse à des questions précises…

Sans cela, vous pouvez rentrer bredouille. En effet, plus les salons sont grands, plus le risque de ne pas savoir par quoi commencer est grand.

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2/Préparer en amont sa visite de stand

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Vous cherchez des clients ?

Savez-vous qui sont vos prospects parmi les exposants ?

Il est important de vous renseigner sur les différentes entreprises présentes mais également de préparer votre accroche (pitch) pour aborder les différents stands.

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3/ Privilégier les rencontres en petit comité

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Si les salons proposent de grandes conférences, il existe également des formats plus adaptés au dialogue : ateliers, espace networking…

Si vous souhaitez interagir avec les professionnels présents, choisissez un format d’événement adapté à l’échange.

Rebondissez sur un élément, demandez à votre interlocuteur de présenter son activité, ou encore, jetez-vous à l’eau en affirmant votre objectif de réseautage !

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4/ Trouver un partenaire de visite

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Aller à un salon, c’est banaliser une demi journée voire une journée pour développer votre activité. Le monde, les déplacements, et la configuration de l’événement peuvent le rendre fatigant. Y aller avec quelqu’un peut alors vous donner de la motivation pour vous y rendre. Sur la photo ci-dessus, j’y étais avec Claire Garcia !

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5/ Continuer l’échange après le salon

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La prise de contact ne se limite pas au cadre de l’événement. Au contraire, elle doit se prolonger par une trace écrite, ou une prise de rendez-vous.

Vous n’êtes pas la seule personne que vos prospects verront dans la journée, alors veillez à ce qu’il se souvienne de vous !

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6/ Assister à des conférences ciblées pour mettre à jour ses compétences

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Assister à des conférences ne va pas forcément vous permettre de développer votre réseau ou de trouver des clients.

Toutefois, les conférences vous permettent de mettre à jour vos compétences ou bien de vous rassurer par rapport à ce que vous savez.

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7/ S’immerger dans l’événement pour développer votre créativité

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Avant de me rendre au salon du B2B, je n’avais pas prévu d’écrire une publication sur les salons professionnels. Et pourtant, cette expérience immersive m’a donné 3 idées de contenus (dont ce post) !

Assister à un événement, c’est nourrir sa créativité et développer votre stratégie de contenu. A l’heure de ChatGPT, il est temps de faire du retour d’expérience un contenu à forte valeur ajoutée.

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Salons professionnels : 4 process à automatiser pour favoriser la venue de profils introvertis

Les salons sont la hantise des introvertis. D’ailleurs, j’en suis une.
J’ai dû me faire violence pour me déplacer puis interagir avec d’autres professionnels à cette occasion.
Pourtant, de petites optimisations pourraient faciliter les premières accroches et les échanges pour ce public en retrait.

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1/ Des stands plus avenants aux messages plus ‘intelligibles’

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Il n’est pas toujours facile de déceler les propositions de valeurs des entreprises représentées sur les stands de participants : dans le pire des cas, un simple logo est affiché, et l’entreprise est représentée par un salarié derrière son ordinateur.
Difficile dans ce contexte d’initier une conversation quand on est introverti.

Il pourrait être intéressant d’afficher un message clair, de vulgariser son activité à travers une communication plus simple, et plus claire, et ainsi permettre aux visiteurs de comprendre de quoi il s’agit.

Participer à un salon B2B ne veut pas dire qu’il faut utiliser un langage que ses clients ne comprennent pas

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2/ Des ateliers pratiques

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Les conférences peuvent aborder des sujets intéressants, mais le visiteur reste passif. Pour favoriser les échanges, le format atelier pratique (ou workshop) peut-être plus adapté car l’introverti devient proactif, et ne cherche pas à se donner une contenance pour masquer son inactivité (comme boire son 3e café près de la machine à café, ou pianoter sur son téléphone)

Mieux, avec le format worshop, il apprend, découvre ou monte en compétences dans un contexte plus interactif, voire ludique.

De plus, les travaux de groupe favorisent les échanges entre participants et peuvent créer des synergies au-delà de l’atelier.

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3/ Des prises de rendez-vous en amont

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La réservation de rendez-vous en amont du salon est une motivation plus engageante pour amener un introverti à se déplacer. Le rendez-vous individuel le place dans une situation plus confortable dans cette démarche individualisée

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4/ Des speed-meetings

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Le speed-meeting est le speed-dating professionnel : il favorise les interactions rapides et multiples en un temps moindre. Pour un introverti, ce format cadré est plus accessible qu’un événement de networking dans un salon où il sera livré à lui-même pour se greffer à une conversation de groupe.

L’ensemble de ces solutions existe mais gagnerait à être automatisé pour encourager la venue de profils introvertis, dont le bruit, le monde et la peur de faire le premier génère stress et appréhension.

 

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Conclusion

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Les salons professionnels peuvent être un puissant levier d’acquisition client à condition de préparer sa venue. Si l’heure est au digital, le présentiel et le relationnel restent des valeurs indémodables pour créer des synergies professionnelles. Rappelez-vous qu’il est important de diversifier sa stratégie et de ne pas mettre tous vos oeufs dans le même panier.

 

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[DOSSIER] Marketing digital : arrêtons d’être des clones

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

Vous ne le savez pas encore, mais vous êtes une source d’inspiration

Il y a quelque temps, j’avais publié un petit post appelant à prendre du recul sur les “success stories” des entrepreneurs sur les réseaux sociaux.

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Après quelques semaines de “scroll” supplémentaires sur Linkedin, je vais encore plus loin : les seuls posts trouvant grâce à mes yeux sont les posts authentiques. Ceux qui parlent d’échec, et ceux qui ne finissent pas systématiquement en happy ending.

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Car je pense qu’on peut inspirer par le courage de sa sincérité, au-delà des résultats obtenus.

Au delà des réseaux sociaux, ce sont encore une fois les images réalistes qui m’inspirent le plus :

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– Des personnes authentiques, qui n’affichent pas qu’une façade de leur vie,- Des films montrant des vies “normales” vivant le meilleur et le pire,

– Des publicités montrant la diversité des corps qui existent

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Aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus accepter cette vision sociétale culpabilisatrice, dans laquelle nous ne sommes jamais “assez”.

Aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus tendre vers une norme qui blesse, mais que peu osent questionner.

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Aujourd’hui, j’ai décidé d’être mon propre curseur.

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Et ce n’est qu’en acceptant l’imperfection de ma vie et de mon business, que je pourrais restituer des expériences de plus en plus authentiques.

Pour vibrer votre sincérité, sortez des carcans, acceptez vos imperfections et devez à votre tour, une véritable source d’inspiration.

A vous de jouer !

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Imaginez un réseau social sans like, sans réaction, sans partage et sans “vue”

Je suis sûre que nous ne publierions pas de la même manière.
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Les interactions flattent notre égo et nous incitent à publier toujours plus, quitte à user avec outrance d’un storytelling romancé et séducteur.
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Sur un canal de diffusion sans réactions, nous le chercherions pas à séduire, mais à informer, ou partager des expériences constructives.
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Nous communiquerions moins sur nos victoires personnelles, et nos névroses seraient on ne peut plus maîtrisées.
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✅ C’est ce que l’on trouve dans des réseaux sociaux familiaux, comme Famileo,

✅ C’est ce qu’on commence à trouver sur Telegram et sa diffusion verticale de l’information,

✅ C’est ce que je commence à mettre en place sur mon Linkedin, canal sur lequel je n’ai pas énormément d’engagement.
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Communiquer de manière personnalisée est une excellente chose, à condition d’apporter une vraie valeur à ceux qui vous lisent, et de ne pas céder au diktat des algorithmes. Oui, être authentiquement soi n’est pas chose simple sur le web.
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Alors soyez honnête avec vous-même : vous ne supportez plus les contenus creux et narcissiques de votre réseau ? Filtrez donc vos propres contenus :
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? Parler de vous, c’est ok si vous pouvez faire de votre cas une vérité universelle.

? Une vérité universelle existe quand votre audience s’identifie à vos propos.

? Pour cela, demandez-vous comment ce qui vous permet de vous identifier aux propos de X.
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Bien sûr, on ne supprimer des années d’égo-trip en un claquement de doigts, mais appliquer ces quelques règles nous permettrait de faire un premier écrémage de nos réseaux sociaux, pour redonner de la visibilité à ces réflexions pertinentes, enfouies sous des kilomètres de contenus névrosés.

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Formations marketing : et si on allait à l’essentiel

Depuis que je suis dans l’écosystème de l’infopreneuriat, j’ai suivi beaucoup de formations et accompagnement en marketing.

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Dans ces formations en ligne, l‘essentiel est enveloppé de nombreuses couches de superflus.
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Et disons le clairement, ces formats ne me correspondent pas.
En effet, lorsque sur 45 minutes de vidéos, je trouve 5 minutes de contenu utile, je suis un peu frustrée.
Certes, la formation était bien packagée, les contenus bien soignés sur la forme. Mais le standing ne peut seul être le moteur d’un achat. Il peut même parfois cacher une absence de fond.
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Plus tard, j’ai moi-même créé mes propres formations et vendu des ateliers. Et dans ces cas de figure, j’ai longtemps eu peur de “faire trop court”, ou de ne pas proposer un standing ultra haut de gamme.
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Derrière ces craintes, trois croyances : 
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– celle que les clients veulent des formats longs pour être rassurés sur leur achat.
– celle de ne pas pouvoir facturer “cher” lorsque le format est court
– celle que les clients achètent un beau produit avant un bon produit
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Et pourtant lorsqu’on creuse un peu, on observe qu’une audience réclame souvent quelque chose de clair et concis.
Elle ne cherche pas à perdre des heures dans des formations interminables.
Elle se fiche de l’interface que vous utilisez, si le message est clair et intelligible
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Alors si vous faites partie de la team “cash pistache” (comme m’appelle mon amie Daphné), assumez votre concision et votre simplicité, c’est une grande valeur ajoutée !
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Produisez, proposez, ajustez !
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Vendez-vous vraiment des offres que vous achèteriez ? 

Comme régulièrement, j’ai décidé de me faire accompagner sur des problématiques personnelles et professionnelles.
Ce que j’aime dans ces accompagnements, c’est l’absence d’engagement. De plus, les séances sont courtes (environ une heure) mais efficaces.
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Ce format n’est pas celui qu’on préconise dans l’ écosystème de l’infopreneuriat, dans lequel on construit des offres souvent complexes (des packages), rentables et sécurisantes mais dans lesquelles on ne se met pas assez à la place du client.
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Je m’explique : une offre rentable et sécurisante, c’est une offre qui invite le client à s’engager dans la durée, pour assurer un suivi mais également pour sécuriser son chiffre d’affaires sur quelques mois.
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La démarche est légitime, mais il n’est pas facile, d’un point de vue client, de s’engager lorsqu’on n’a pas encore vu les résultats d’un accompagnement. Cette frilosité touche encore plus une clientèle de particuliers.
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Aujourd’hui, je m’adresse à des entreprises mais je n’ai pas envie de leur proposer quelque chose que je n’achèterais pas moi-même.
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C’est pourquoi, j’ai décidé de proposer du coaching one shot, à la séance, avec un suivi sur un mois.
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L’engagement est ainsi limité mais justifié :
– Une séance de coaching pour débloquer un problème
– Un mois de suivi pour assurer une réactivité pour toute question, relecture ou soutien (mails, notes vocales avec réponse sous 24h)
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J’avais pour habitude de proposer cette option à mes anciens clients.
Aujourd’hui, je l’ouvre à tous.
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Je propose un tarif unique pour un mois d’accompagnement sans engagement
à 400 euros TTC (comprenant le prix de la séance de coaching et le suivi illimité sur un mois)
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Si vous avez une problématique que vous souhaitez régler rapidement, appelons-nous brièvement pour faire un point, vous pourrez ensuite passer à l’action rapidement grâce à une séance de coaching avec moi sans engagement !
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Marketing, non définir votre avatar client n’est pas toujours pertinent

Dans l’écosystème du marketing, on théorise souvent la définition du client idéal. Cette recherche nous permet de savoir avec qui on aimerait travailler, en revanche, elle n’est pas toujours réaliste.

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Lorsqu’on travaille sur des problématiques vastes (développement personnel, thérapies, entrepreneuriat), il n’est pas toujours facile et pertinent de commencer par définir son avatar client.
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Si vous êtes coach en développement personnel, vous pouvez vous adressez à monsieur ou madame tout le monde,
Si vous êtes thérapeute, c’est la même chose.
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C’est pourquoi, il peut être intéressant et stratégique d’aborder en priorité la question du message, avant d’aborder celle de la cible :
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Quelle est votre activité ? Quel message voulez-vous transmettre ? Quelle transformation proposez-vous ?
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Travailler sur votre message et proposition de valeur avant de viser votre cible vous permettra de rayonner en attirant les bons clients à vous.
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C’est tout le principe du marketing énergétique.
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Alors si votre cible est trop large, laissez-là se qualifier elle-même grâce à la vision et au message que vous allez communiquer.
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Bonne réflexion,
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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour entreprendre, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

[Dossier] Pression sociale : s’affranchir des carcans pour mener une vie plus libre

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

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Votre vie n’est pas une checklist d’obligations professionnelles et personnelles

“Tu ne devrais pas tarder pour faire des enfants, après ce sera trop tard”

“Tu es trop difficile, il n’est pas si mal”

“C’est important d’avoir son permis de conduire, au cas où”

“Tu devrais acheter maintenant”

“Il faut que tu te mettes aux cryptos”

“Tu devrais méditer, ça te ferait du bien”

Vie professionnelle :

“Tu devrais redevenir organisme de formation, les clients tombent tout seul”

“Tu devrais passer une nouvelle certification pour être plus crédible”

” T’as pas de KPI ?”

“Tu obtiendrais de meilleurs résultats si tu travaillais plus”

“Tu devrais faire des Reels sur Insta, ça marche bien”

“T’es toujours pas sur Tiktok ?”

Votre vie n’est pas une checklist d’obligations sociales et professionnelles.

Vous n’avez pas à être ambitieux
Vous n’avez pas à prendre de risques
Vous n’avez pas à vivre une vie plombante
Vous n’avez pas à rentrer dans un moule qui vous étrique
Vous n’avez pas à craindre de réveiller les peurs de votre entourage

Je n’ai qu’une vie, mais je l’espère suffisamment longue pour faire toutes les choses que je souhaite, au moment où je l’ai décidé.

D’ailleurs, même lorsque je pourrais avoir des regrets, je me dis que si telle chose ne s’est pas faite, c’est que je n’étais pas prête.

Les pires décisions sont celles que vous prenez sous pression

Agir au bon moment pour soi, c’est vivre une vie alignée et sans regret.
Agir en suivant une pression externe, c’est vivre une vie d’effort, conduisant au remord.

Il n’est jamais trop tard pour corriger le tir.
Et vous, avez-vous (re)pris les rênes de votre vie ?

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Les vacances : reflet d’un mode de vie normé et (souvent) inadapté

Nous sommes en plein mois d’août. Pour beaucoup, c’est un moment de pause estivale plus communément appelé “vacances”. J’emploie des guillemets car la réalité des vacances n’est pas toujours en adéquation avec le sentiment de bonheur qu’elle implique.

Et pour cause :

– Sur le plan sociétal, les vacances représentent une vision normée de ce que devrait être l’aboutissement d’une année de labeur. En termes d’image, les plages de sable fin symbolisent cet accomplissement. Il n’y a qu’à taper le mot “vacances” sur Google image pour en faire le constat.

– Sur le plan social, les vacances représentent un moment de bonheur, et d’oisiveté qu’il est important d’exhiber (les réseaux sociaux accentuent cette tendance, et j’en suis moi-même victime). Les injonctions au voyage ou encore au farniente sont nombreuses et contribuent à l’instauration d’une pression sociale pour faire de cette période, un moment exceptionnel. “Profiter à fond”, ou encore, “déconnecter” sont des mots qui reviennent régulièrement dans les conversations avec notre entourage. C’est un peu comme cette fameuse soirée du nouvel an, dans laquelle il est attendu que l’on fasse quelque chose de festif et tardif.

– Sur le plan biologique, les vacances ne sont pas toujours écologiques. Beaucoup passent d’une période de travail intense à une pause “forcée”. Le rythme est cassé, et le corps ne s’y retrouve pas. La fameuse “déconnexion” est d’ailleurs difficile. C’est un peu comme faire la fête tout le week-end pour décompresser de la semaine.

– Sur le plan “visionnaire”, le concept de vacances nous amène à repenser nos modes de vie. Si l’oisiveté est l’aboutissement d’une vie de travail, pourquoi ne pas repenser son emploi du temps et son organisation personnelle ? C’est dans ce contexte que l’entrepreneuriat (ou le télétravail dans un premier temps) prend tout son sens : gérer son organisation comme on le souhaite et alterner quotidiennement moments de travail et plaisir (et je ne vous parle même pas du digital nomadisme). Pourquoi attendre la retraite pour s’octroyer des moments d’évasion, des projets…

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Non, le Quiet Quitting n’est pas une nouvelle tendance générationnelle !

Le Quiet Quitting n’est pas une nouvelle tendance générationnelle ! Il s’agit simplement du reflet d’une vision (assumée) du travail.

Je vois de plus en plus d’articles évoquant le “quiet quitting”, un anglicisme évoquant le désengagement de salariés désabusés, décidant de faire le minimum syndical.

Cette envolée médiatique sur le sujet soulève une problématique :

Nous n’avons toujours pas compris (et accepté) que nous puissions avoir un rapport différent au travail :

– Le travail peut en effet être au coeur de notre vie et lui donner un sens
– Le travail peut-être une activité alimentaire permettant de financer un mode de vie
– Le travail peut-être une activité épanouissante permettant un équilibre de vie professionnelle et personnelle

Dans ce cadre, ne pas se donner corps et âme pour un job est un scénario possible et ne devrait pas être culpabilisant pour celui qui le choisit.

Or, dans le contexte actuel, le quiet quitting est perçu comme une tendance générationnelle capricieuse au “jemenfoutisme”.

Et si les jeunes avaient tout compris ?
Personnellement, je n’ai pas attendu 2022 pour quiet quitter.

Une hiérarchie trop imposante, une alternance entre pression démesurée et bore out, ainsi qu’un salaire dérisoire et des heures supplémentaires non rémunérées m’ont vite fait comprendre que je ne me tuerais pas au travail.

En 2017, j’ai donc dit stop.

Aujourd’hui entrepreneure, mon rapport au travail est simple : mon activité doit être suffisamment flexible et rémunératrice pour soutenir mon mode de vie.
Elle ne doit pas être stressante ni génératrice de mal être.

Alors même si le Quiet Quitting est surmédiatisé et exploité à outrance par la génération Tiktok, il est le reflet d’un rapport désabusé au travail.

Et si, au lieu de pointer du doigt une tendance médiatique, on prenait enfin en considération les besoins des travailleurs, salariés ou non, génération Z ou non.

A méditer

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Poser ses limites et vivre une vie selon ses valeurs

Lorsque l’on se retrouve dans des situations d’inconfort, et notamment dans les relations interpersonnelles, la question de nos propres limites se pose : comment poser ses limites, et surtout comment les définir ?

Poser ses limites, c’est savoir dire non.
Connaître ses limites, c’est savoir dire non dans une situation particulière.

Cet exercice est intéressant car il permet de faire ressortir nos valeurs les plus ancrées.

– Lorsqu’on ne se sent pas respecté
– Lorsqu’on vit une privation de droit ou liberté
– Lorsqu’on se sent frustrée, colérique, anxieux ou gêné pour une raison X ou Y

Pour ma part, j’ai appris à identifier mes limites dans des situations d’inconfort et de frustrations :
– pendant la crise sanitaire (privation de liberté de mouvement)
– dans les relations professionnelles (humiliation et infantilisation)
– dans mes relations intimes (manque de respect)
– dans mes relations sociales (épuisement relationnel)

Dans ces différentes situations, mon instinct de survie se réveille de manière viscérale pour tirer la sonnette d’alarme. Et cette sonnette, c’est celle de l’affirmation de mes valeurs, à travers l’identification de mes limites.

Me jurant de ne plus ressentir ces émotions négatives, j’ai ainsi fixé des jauges de tolérance (en terme d’effort). Cela me permet de plus facilement m‘affirmer pour vivre une vie alignée, selon mes valeurs.

Aujourd’hui, je m’entoure de personnes me tirant vers le haut,
Aujourd’hui, j’assume ne pas être une fêtarde
Aujourd’hui, j’assume ne pas aimer le bruit et le monde
Aujourd’hui, j’assume ne pas vouloir me tuer au travail et profiter de la vie
Aujourd’hui, j’ai trouvé le mode d’emploi pour mener une vie selon mes valeurs.
Aujourd’hui, j’ai trouvé la clé de mon épanouissement personnel, social et professionnel.

Lorsque vous ne vous sentez pas à l’aise dans une situation,
Lorsque vous ressentez une émotion négative forte,
Lorsque vous vous sentez épuisé
C’est que vous avez atteint vos limites.
Maintenant, il restera à les assumer et les poser.

Et vous, avez-vous identifié vos limites ?

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4 conseils pour vous affirmer dans vos relations interpersonnelles

Au quotidien, il nous arrive de ne pas savoir gérer nos relations personnelles et professionnelles. Non-dits, manque d’affirmation de soi, mensonges, esquives..nos peurs, nos angoisses et notre égo nous amènent à jouer un rôle qui nous empêchent d’avoir des relations saines.
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Alors comment s’affirmer dans nos relations interpersonnelles ?
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En refusant l’attente : Qu’il s’agisse de l’attente d’une réponse d’un futur employeur ou de l’attente d’un message que l’on ne reçoit pas, ce sentiment désagréable génère de l’incertitude et nous sape le moral. A nous de prendre les devants pour être fixé sur une situation de suspens interminable. Oublions notre égo, il s’en remettra !
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En refusant la frustration : non-dit au travail, besoins non comblés dans la sphère privée, ces situations génèrent une bonne dose de frustration qu’il est difficile à gérer. Pour ma part, j’ai décidé d’en finir avec la frustration, et poser carte sur table dans mes relations interpersonnelles : j’ai opté pour une communication 100% authentique et transparente, livrant mes attentes, mes besoins, avec leur lot de vulnérabilité au passage. Encore une fois, laissez votre ego au placard !
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✅ En posant votre cadre : lorsque vous déterminez les contours d’une relation, vous affirmez vos principes, vos valeurs, les interdits, et surtout, le sens que vous voulez faire prendre à une relation. De cette manière, vous tenez les rênes d’une relation personnelle ou professionnelle, et assainissez vos rapports au quotidien.

✅ En poussant votre interlocuteur à se positionner par rapport à ce cadre : une fois le cadre posé, votre interlocuteur peut accepter vos conditions ou les refuser. Précisons que l’indécision n’est pas une réponse (ou tout simplement considérée comme un non). Si le risque d’une affirmation de soi dans les relations interpersonnelles existe, il vous permettra surtout de faire un écrémage dans votre entourage.
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?Et vous, qu’est-ce qui bloque la fluidité dans vos relations personnelles et professionnelles ?

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Je n’aime pas lire (de romans), c’est grave docteur ?

 

Il y a quelques jours, mon père m’a rendu visite. Pour sa venue, et comme à son habitude, il m’a offert un livre. Un roman. L’attention est louable, excepté que je ne lis pas. Ou du moins, peu, et encore moins des romans. Mon père le sait, mais il insiste pour me partager (à tord ou à raison) sa passion de la lecture.

J’ai donc réessayé pour la Xème fois de me remettre à lire des romans.
Mais l’expérience n’est toujours pas concluante : fatigue visuelle, déconcentration…le plaisir n’est pas au rendez-vous.

Et pour cause, mon hyperconnectivité. Je passe un nombre d’heure incalculable devant un écran, et peine à faire des “efforts” en terme de lecture romanesque

Pourtant j’écris régulièrement et fluidement et densément
Pourtant, j’arrive à lire plus facilement des libres pratiques.
Pourtant, je ne fais pas énormément de fautes d’orthographe
Pourtant j’aime les histoires
Pourtant, j’ai beaucoup lu étant plus jeune.

Je me suis donc posé la question : ne pas lire de roman fait-il de moi une personne inculte ? Me provoque-t-il des lacunes au niveau de ma culture générale et de mon développement cognitif et intellectuel ? Dois-je persévérer à l’instar d’un exercice pratique ou attendre le fameux déclic pour m’y remettre en prenant du plaisir ?

Je n’ai pas la réponse.

Aujourd’hui, je ne lis toujours pas mais si demain je lisais,
j’arriverais à m’offrir des petits plaisir à moindre prix
j’arriverais à m’évader en un clin d’oeil
j’apprendrais à ne jamais m’ennuyer

Ce que je sais, c’est que je dois trouver un sens dans ma démarche.
Et le sens ne peut se trouver dans une injonction extérieure.

Alors aujourd’hui, je ne lis toujours pas
Je n’aime toujours pas les musées
Je n’aime toujours pas “les expos”
Je ne médite toujours pas
Je ne fais toujours pas de yoga
Et je suis toujours addict aux écrans.

Chaque chose en son temps, et les choses peuvent ne jamais arriver.
Le mieux est de l’accepter, de l’assumer et ne pas le vivre comme un échec, mais un trait de notre personnalité.

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La vision normée de la réussite, une entrave au bonheur

On a tendance à penser la réussite à travers les injonctions sociétales que l’on subit.

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Le problème, c’est qu’on nous impose une vision normée de la réussite :
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? Un CDI (la sécurité)
? Un bon salaire (la réussite financière)
? Une grande maison (la propriété)
? Une grosse voiture (la réussite matérielle)
? Un conjoint et un beau mariage (le statut social)
? Des enfants (la fertilité et la descendance)
? Un corps de rêve (la séduction)
? Une vie sociale débordante (le bonheur passant par la sociabilité)
? Des vacances au soleil (la vision normée du repos mérité)
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Dans ce contexte, tout modèle alternatif semble moins valorisé : la famille recomposée ou non hétérosexuelle, le célibat, l’entrepreneuriatOr la réussite n’est pas seulement financière, ni sociale ou sociétale :
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La réussite financière est relative. Certes, l’argent peut nous permettre de vivre plus confortablement, mais il est important de rester aligné en gardant en tête ce qui fait vraiment sens pour nous
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✅ La réussite personnelle est une réussite sous-estimée : notre propre évolution et cheminement intellectuel, notre capacité à prendre soin de nous, à bien nous entourer, à progresser dans un domaine d’activité…sont des pavés vers le chemin du bonheur et de l’accomplissement de soi
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✅ La réussite sociale n’est pas celle que l’on pense. Une réussite sociale peut également consister à savoir s’émanciper des normes, de la pression sociale et du conformisme. Elle nous permet d’être pleinement nous, en nous écoutant.
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La réussite organisationnelle joue un rôle essentiel dans notre qualité de vie : car oui, se libérer du temps et ne pas être esclave d’un planning que nous n’avons pas décidé est un signe de liberté et de sérénité au quotidien.
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Si la notion de réussite détient une connotation positive, à nous de mettre derrière ce concept, des éléments que seul nous, savons favorables à notre bonheur personnel.
Faisons fi de la norme et fions nous à notre feeling.

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Introvertis : et si vous arrêtiez de vous forcer à sociabiliser ?

 

Etre introverti, ce n’est pas être timide, car un introverti aime les interactions sociale.

✅ Quand tu es introverti, tu te ressources seul. Quand tu es extraverti, tu te ressources avec les autres.

✅ Quand tu es introverti et qu’on (un extraverti) te dit de te forcer à sortir pour te ressourcer, tu vas juste perdre le peu d’énergie qu’il te reste.

✅ Quand tu es introverti et que tu le sais, tu apprends à dire non pour te préserver, tu déculpabilises, et tu vis ton quotidien de manière plus apaisée.

Ne lutte pas contre ton mode de fonctionnement.

La société est faite pour les extravertis, pour les chronotypes ours, et que sais-je encore. Si le modèle de vie sociale et professionnelle “imposé” ne te convient pas, invente le tien :

✅ Gère tes interactions sociale comme il te semble bon,
✅ Construis un emploi du temps qui correspond à ton rythme naturel (à terme)

Bonne réflexion,

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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour vous affirmer dans votre vie personnelle et professionnelle, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

[Dossier] Adopter un mindset résilient à tout épreuve quand on est entrepreneur

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

A lire, si vous doutez de vos capacités à atteindre vos objectifs

 

Il y a 20 ans, je voulais parler anglais fluidement, aujourd’hui, mon anglais est courant

Il y a 18 ans, je voulais vivre aux Etats-Unis, aujourd’hui, j’ai vécu une année d’échange universitaire en Californie,

Il y a 13 ans, je voulais être plus mince, aujourd’hui, j’ai un corps qui me plait,​

Il y a 10 ans, je voulais posséder MacBook, aujourd’hui j’écris depuis son clavier,

Il y a 8 ans, je voulais retrouver ma famille biologique, aujourd’hui je l’ai retrouvée

Il y a 5 ans, je désespérais de ne pas avoir de relation sérieuse, aujourd’hui j’en vis une.

Il y a 3 ans, je rêvais de porter un hakama et une ceinture noire d’aïkido, aujourd’hui c’est chose faite,

Il y a 2 ans, je voulais réussir à vendre des prestations sans CPF, aujourd’hui, j’y arrive,

Tout vient à point à qui sait attendre.

Lorsque vous vous impatientez, repensez à vos aspirations du passé,

Regardez comme vous avez avancé !

Aujourd’hui, j’ai de nouveaux rêves et projets :

Découvrir le pays du soleil levant,

Me réveiller le matin, et voir nettement,

Ne plus m’épuiser à tout vouloir contrôler,

Découvrir d’autres pièces cachées de mon identité,

Publier dans un grand média papier

Obtenir mon permis B et conduire sans peur,

Ecrire un livre et le publier chez un éditeur,

Mais chaque chose en son temps.

Je vois maintenant les choses sereinement,

Pour chacune de mes aspirations,

je sais qu’il y aura réalisation.

C’est ça, la loi de l’attraction.

C’est à l’aune de vos réalisations passées que vous trouverez la foi pour avancer.

Bonne réflexion,

 

Comment préserver son énergie quand on est entrepreneur

 

En écoutant votre rythme naturel.
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Votre rythme naturel, c’est le message que votre corps vous communique lorsque vous le sollicitez.
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Si votre corps réagit positivement, c’est que vous êtes à son écoute.Si votre corps lutte (de manière chronique) pour réaliser ce que vous lui demandez, c’est que vous n’êtes pas à l’écoute de votre rythme naturel.
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Si je prends mon exemple, je sais que je peux optimiser mes journées de la manière suivante :
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? Matin : réaliser des tâches de fond (deep work)
? Début d’après-midi : appels clients/prospects (ou sieste)
? Fin d’après-midi : activités sportives
? Soirée : film/série ou vie
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Cette division journalière selon notre niveau d’énergie se rapproche de l’approche “chronotype”, 4 profils “animaux” correspondant chacun à des ryhtmes différents (tendance Lion pour ma part). L’alimentation a également un rôle à jouer dans l’écoute de notre corps, et c’est pourquoi un travail sur son profilage alimentaire n’est pas à négliger.
Cette organisation n’est bien sûr pas rythmée à la lettre mais en suivant cette tendance, je m’économise au quotidien.
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Alors fini les routines matinales imposées, les heures de travail inefficaces, le manque de temps pour soi.
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A court et moyen terme, je gagne en sommeil, en énergie, en sérénité et en épanouissement. A long terme, je gagne en années de vie en bonne santé.
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?Et vous, connaissez-vous votre rythme naturel ?
?Le prenez-vous en compte dans votre organisation au quotidien ?

 

 

Comment entreprendre sereinement

 

​​​C’était le sujet du live que nous avons co-animé avec @amel_qouba_coach.therapeute
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Dans ce live, nous nous sommes intéressées au travail à réaliser sur soi (introspection, mindset, et stratégie) pour se reconvertir et/ou se lancer dans l’entrepreneuriat.
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Nous avons évoqué l’ensemble des éléments qui contribuent à entreprendre sereinement :
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✅ L’hygiène de vie et les routines structurantes
✅ La connaissance de son propre fonctionnement intellectuel et biologique
✅ L’aspect pratique et financier
✅ La capacité à demander de l’aide
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Avant de se reconvertir (dans l’entrepreneuriat), voici donc les 3 points à garder en tête :
✅ Faire le point financièrement : aurais-je un chômage ? ai-je un capital personnel ? Une famille qui puisse me soutenir ? Peut-on me prêter de l’argent ? Puis-je emprunter ? Puis-je travailler à mi-temps pour assurer cette transition ? Ai-je suffisamment de ressources financières pour tenir 6 mois à un an ?
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✅ Adopter un mindset (état d’esprit) entrepreneurial : puis-je investir dans de la formation/accompagnement même si je n’ai pas encore de clients ? Suis-je prêt à accepter la précarité financière régulière qu’implique ce nouveau choix de vie ? Suis-je bien entourée ? Ai-je des entrepreneurs dans mon entourage ?
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✅ Prendre des décisions courageuses mais rationnelles : quitter son job avant de vivre de son activité pour franchir le pas de l’entrepreneuriat
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Une fois lancé, on peut entreprendre sereinement et de manière pérenne grâce à une hygiène de vie au quotidien qui implique de :
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✅ Se créer une routine (sportive, méditative…)
✅ Ecouter son rythme naturel (comprendre son chronotype- faire son human design ou tout simplement s’observer)
✅ Adopter une alimentation saine et non restrictive
✅ Dormir suffisamment
✅ Maintenir un niveau de stress bas
✅ Maintenir une hygiène émotionnelle (auto-thérapie par l’écriture, par un travail de respiration ou un accompagnement si on en ressent le besoin)
✅ Remettre en cause ce rythme de vie s’il ne nous correspond plus

 

Etre trop cérébral :  un handicap mais un avantage face à l’adversité

Dans la vie quotidienne, on me dit souvent que je suis trop cérébrale.

Etre trop cérébral, c’est analyser et intellectualiser TOUT ce qui nous arrive, en passant du travail, aux activités extra-professionnelles en passant par la conduite et la vie intime.
Dans ce cadre, notre cerveau devient notre pire ennemi : impossible de lâcher-prise sur des activités oisives, et impossible de se détendre au quotidien et encore moins de détendre son corps.

Je suis régulièrement victime de ce trop plein d’activité cérébrale dans des activités qui ne devraient pas solliciter autant de réflexion.
En aikido par exemple, être trop cérébrale m’empêche de ressentir les sensations et de détendre mon corps. Ce qui est contre-productif (mais je me soigne).

Lorsque je passais mon permis (que je n’ai toujours pas), mon cerveau peinait à analyser toutes les interactions et coordonner mes mouvements. Résultats, je ne prenais aucun plaisir à la conduite, et vivais un état de stress permanent.

Quand on est trop cérébral, on a du mal à déconnecter le mental, et penser nous prend beaucoup trop d’énergie.

En revanche, être cérébral comprend son lot d’avantages, face à l’adversité.

Etre cérébral me permet ainsi d’avoir une très bonne analyse de mes problèmes et de chercher des solutions concrètes.

Etre cérébrale me permet également de routiniser et ritualiser mon quotidien. Concrètement, je fais mon lit le matin, je fais du sport tous les jours, je mange équilibré et j’adopte une discipline de vie et de travail à laquelle je ne derrogerai pas, peu importe mon état émotionnel.

Comme je le dis souvent à mes clients : on ne dirige pas une entreprise avec ses émotions.

Etre cérébral ne se contrôle (malheureusement) pas.
Le lâcher-prise ne se commande pas non plus.
En revanche, l’accepter permet de gagner du temps au quotidien en comprenant son fonctionnement.
Mieux encore, ce fonctionnement peut être avantageux dans certains cas de figure, pour ne pas se laisser déborder par ses émotions.

?Et vous, connaissez-vous votre fonctionnement ? L’acceptez-vous ou essayez-vous de fonctionner différemment ?

 

Entrepreneuriat : 4 conseils pour savoir si vous devez persévérer ou arrêter une activité qui stagne

Cours en ligne

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver de connaiître des moments de stagnation d’activité aboutissant sur une perte de motivation.
Pendant ces moments, la question est souvent la suivante : dois-je persévérer ou me résigner ?

Alors, si vous ne savez pas si vous êtes dans la persévérance ou dans l’acharnement, voici 4 pistes qui vous aideront à prendre une décision :

1/ Quand l’envie n’est plus là, il est temps arrêter

Quand vous perdez toute stimulation intellectuelle liée à la conduite de votre projet entrepreneurial, c’est que vous n’êtes tout simplement plus aligné avec ce dernier. Concrétement, votre activité ne fait plus sens et vous n’arrivez plus à déployer de l’énergie pour la relancer. Dans ce cadre, mieux vaut chercher une autre voie.

2/ Quand le timing financier est mauvais : faire une pause (temporaire)

Si vous êtes dans le rouge, arrêtez-vous ! Non pas pour jeter l’éponge, mais pour vous ressourcer financièrement. Job alimentaire à mi-temps ou à plein temps, prêt, ou épargne personnelle, tous les moyens sont bons pour vous refaire une santé financière. N’oubliez pas que votre priorité est d’abord de pouvoir payer votre loyer et vos dépenses incompressible. On n’entreprend durablement que sereinement.

3/ Quand on apprécie pas le chemin mais que le résultat : changer de voie

Dans l’imaginaire collectif, l’entrepreneuriat est souvent signe de réussite financière. Mais le mythe de l’entrepreneur à succès peut en désillusionner plus d’un. En effet, entreprendre est un long chemin qu’il vaut mieux apprécier pour ne pas être dégoutté de son activité. Si vous voulez devenir riche, mais que vous n’aimez ni votre activité, ni travailler à son développement, vous faites fausse route ! Entreprendre est une activité précaire mais également énergivore (surtout au début). Si vous n’appréciez pas la route, ne l’empruntez pas.

4/ Quand il manque une aide extérieure : persévérer

Vous êtes lancé mais vous ne voyez pas de résultats ? Fixez-vous d’abord une limite de temps pour tester votre activité seul.

Quelques mois suffisent à savoir si vous avez besoin d’une aide extérieure ou non. Si c’est le cas, prenez le temps de choisir la personne qui vous aidera au mieux à booster votre activité. Mais avant cela, vous pouvez déjà vous demander dans quoi vous avez besoin d’aide : s’agit-il de marketing ? De mindset ? De prestataires ? De matériel ? Se former et se faire accompagner est une étape quasi nécessaire pour entreprendre avec succès. Si vous êtes à vos débuts, testez par vous-même, puis choisissez l’aide la plus appropriée (et prioritaire) pour avancer vers le succès !
Voici donc 4 conseils pour vous aider à analyser votre baisse d’activité avec lucidité et prendre la meilleure décision en toute connaissance de cause !
A vous de jouer !

L’agilité mentale : la plus grande force des entrepreneurs

L’une des principales qualités des entrepreneurs est d’être agile.
L’agilité, c’est la capacité à développer une flexibilité mentale pour rebondir dans toutes les situations.

En effet, entreprendre, c’est d’abord tester, observer et réagir.

Par conséquent, voici les 3 compétences maîtrisées par un entrepreneur agile :
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1/ La capacité à pivoter
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Pivoter, c’est entamer un changement dans l’orientation que prend son activité : changer de cible, changer de modèle économique ou même, changer d’activité !
On pivote lorsqu’on réalise que l’on fonce dans un mur, sur le plan économique (mauvaise conjoncture externe ou modèle économique fragile) ou en termes de stimulation intellectuelle (lorsqu’on n’est plus aligné).
Pivoter, c’est accepter la peur du changement et se confronter à l’incertitude. Mais c’est surtout, prendre un nouvel envol pour remettre son entreprise sur de bons rails !
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2/ La capacité à demander de l’aide
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L’humilité est l’une des plus grandes qualités des entrepreneurs qui réussissent. Savoir que l’on ne sait pas faire et accepter de demander de l’aide est un grand pas réalisé autour de la conscience de ses propres limites. Et pour cause, on ne peut pas tout réussir seul et sans aide. En tant qu’entrepreneur mais également en tant que personne, il m’arrive régulièrement de demande de l’aide auprès de professionnels lorsque je réalise que je n’arrive pas à régler les problèmes que je rencontre. Cela me permet de bénéficier d’un miroir qui m’aide à prendre du recul sur moi. Demander de l’aide, c’est accepter une main tendue pour aller de l’avant.
L’égo ne nous permet ni d’être heureux, ni d’entreprendre de manière sereine et pérenne. Alors, laissons le de côté et faisons-nous aider.
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3/ La capacité à rebondir après un échec
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Qui entreprend expérimente. Et qui expérimente se trompe (souvent). L’échec n’est pas un drame, c’est au contraire une manière de mémoriser et d’évoluer. Il est plus facile de bien faire lorsqu’on s’est trompé une fois, car on comprend la cause de son échec. En dédramatisant l’échec, on le transforme en apprentissage, voire même en en tremplin pour s’élever et monter les échelles de manière exponentielle. La vie nous met des bâtons dans les roues, c’est en s’y prenant les pieds qu’on apprend à mieux poser ses pieds pour avancer sur ce long sentier sur lequel nous nous trouvons.
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Bonne réflexion !
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? Si vous sentez que vous n’arrivez pas à vous imposer un cadre, je vous ai préparé un Ebook pour entreprendre sereinement en trouvant le bon équilibre pro/perso ?

[DOSSIER] Marketing digital : attention au syndrome de l’objet brillant

Je commence ici une séries de “dossiers” sur des thématiques spécifiques en lien avec l’entrepreneuriat, le marketing, et le développement personnel. Je parle de dossier, et non d’article, car il s’agit d’une collection de plusieurs petits contenus rassemblés, et non d’un article avec un film conducteur fluide. Cela vous permettra de picorer les sujets qui vous parleront le plus.

Bonne lecture.

 

Payer pour être publié dans un grand média : une bonne idée ?

 

En tant qu’entrepreneur, il peut nous arriver d’être démarché par des journalistes nous proposant un article ou une interview dans un média de renom.

 

Cela m’est déjà arrivé.

 

Et à chaque fois, l’hésitation est là.

 

Etre publié dans un grand médias, c’est avant tout :

– Développer sa notoriété facilement

– Accroître sa visibilité rapidement

 

Mais les sommes à payer ne sont pas anodines.

 

Alors au lieu de vous fournir une réponse catégorique, je préférerais que vous vous posiez les bonnes questions :

 

– Avez-vous un vrai besoin de développer votre visibilité ?

– Avez-vous mis une stratégie dans ce sens ?

– Si elle ne marche pas, savez-vous pourquoi ?

– Pouvez-vous vous permettre de payer 1000, 2000 ou 3000 euros pour cela ?

– Pensez-vous que les retombées seront suffisamment durables pour obtenir un retour sur investissement ?

 

Je me suis posée ces questions, et voici ce qui a motivé ma réponse :

 

– J’ai développé depuis 5 ans, un très bon référencement naturel

– Je trouve régulièrement des clients sans démarcher grâce à ce référencement ainsi qu’une stratégie de contenu rodée

– Ce n’est jamais un contenu unique qui me rapporte l’ensemble de mes prospects

– Ma plus-value est de proposer à mes clients de trouver des clients gratuitement sans démarcher : payer serait une contradiction avec ce que je propose.

 

Voici pourquoi j’ai décliné cette proposition.

 

Bien entendu, c’est à vous de prendre la bonne décision en fonction de votre situation personnelle !

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Communication : le piège de la restitution d’expérience “à succès”

 

Il y a quelques mois, j’ai connu une baisse de régularité dans la publication de mes contenus. C’est une première pour moi qui ait toujours été très régulière. Mais il y a une première fois pour tout, et surtout, un contexte qui peut justifier certains manquements :

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?Un déménagement en cours

?Une priorisation de mes contenus sur mon blog consacré à l’aïkido 

?Une difficulté à répartir mes contenus entre articles personnels et contenus à destination de mes clients

 

Mais au-delà des excuses, un autre argument explique cette baisse de rythme : ma volonté de faire des retours d’expérience “à succès”.

Concrètement, j’ai pour habitude d’attendre une certaine prise de recul sur une situation, ou encore une issue positive pour restituer mon expérience. Or, j’ai pris conscience que je ne pouvais pas toujours attendre le fameux “happy ending” pour aborder un sujet.

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✅D’abord, car je ne connais pas que des expériences à succès

✅Ensuite, parce que cela m’éloigne de mes lecteurs qui pourraient ne plus se sentir représentés par une Xième entrepreneur à succès.

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Or ma marque de fabrique est, pour ceux qui me connaissent, l’authenticité.

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J’ai donc décidé de m’exprimer de nouveau et d’affirmer que dorénavant, je ferais des retours d’expériences sans filtre, quand bien même je serai encore dans le doute ou le questionnement.

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?Un retour d’expérience reste un contenu à forte valeur ajouté même si le succès n’est pas à la clé

?Un retour d’expérience est toujours une longueur d’avance prise sur son audience

?Un retour d’expérience reste avant tout un bilan authentique et singulier d’une personnalité à laquelle votre audience est humainement connectée

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Alors comme moi, ne vous censurez plus et mettez fin au diktat des retours d’expérience à succès

Vous serez plus aligné avec votre communication mais également votre communauté

 

L’urgence, le mauvais levier pour prendre une décision d’achat

En marketing, on utilise un levier spécifique pour pousser à l’acte d’achat : ce levier, c’est la notion d’urgence.

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Concrètement, on crée une opportunité factice ou une illusion de rareté pour créer de la frustration chez le consommateur. Dans ce contexte, le consommateur se retrouve face à un choix : acheter maintenant, sans avoir la tête reposée, ou laisser passer une “opportunité”.

.En tant qu’entrepreneur, j’ai moi-même usé de ce levier pour inviter mes prospects à acheter.

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Mais ce n’est pas une technique avec laquelle je suis à l’aise car :

? la notion d’urgence est souvent un leurre

? le client n’a pas toujours réfléchi et peut regretter sa décision.

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Avec le recul, je comprends maintenant pourquoi les opérations marketing de type “lancement” (de produit) ne me réussissent pas.

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Pour trouver des clients profondément motivés, il est pour moi plus intéressant d’adopter une communication authentique et régulière. 

 

Certes, elle touchera moins de clients d’un coup, mais elle visera des individus ayant pris connaissance de leur besoin et en pleine possession de leurs moyens.

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La rentrée est une belle occasion pour un nouveau départ, mais à condition d’avoir défini vos objectifs en amont !

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Si c’est le cas, je vous propose un coaching individuel pour :

 

✅Voir des résultats avant la fin de l’année

✅Commencer la rentrée en toute sérénité

✅Saisir ce coup de boost que vous avez tant cherché

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C’est le moment d’avancer !

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? Si vous sentez que vous manquez de confiance en vous pour entreprendre, je vous propose qu’on échange sur ce sujet ensemble : envoyez-moi un message vocal (ou texte) sur mon Whatsapp et nous verrons comment je peux vous accompagner au mieux  ?

 

Comment se libérer des injonctions quand on est entrepreneur

Quand on est entrepreneur, il nous arrive régulièrement de subir une pression sociale pour gagner toujours plus d’argent mais également pour rentrer dans des normes en matière de marketing. Cette pression sociale est perverse car elle nous fait intérioriser des injonctions nous poussant à faire des choix avec lesquels nous ne sommes pas alignés. Non conscientes, ces injonctions nous épuisent au quotidien et peuvent nous conduire à une forme de burn out entrepreneurial. Alors comment se libérer de cette pression et de ces injonctions quand on est entrepreneur ? Voici quelques éléments de réponse.

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Echanger son temps contre de l’argent n’est pas une honte !

Depuis que je me suis formée à l’entrepreneuriat, on ne cesse de me dire qu’il ne faut plus vendre son temps contre de l’argent.

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Cela peut être vrai, mais tout dépend de l’objectif que l’on se fixe : scaler ? Maintenir un niveau de chiffre d’affaires stable ? Garder un contact humain au quotidien ?

Certes, échanger son temps contre de l’argent a ses limites dans une perspective de développement exponentiel de son activité.
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Mais il faut déjà se demander quels sont vos objectifs avec des questions très concrètes : 
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– Votre chiffre d’affaires vous convient-il ?
– Si non, de combien souhaiteriez-vous l’augmenter ?
– Pourquoi ?
– Cela implique-t-il un changement dans la structure de votre modèle économique ?
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Sans oublier une question fondamentale : prenez-vous du plaisir au quotidien dans votre activité ?
Plus précisément, il faut demander si le temps que nous consacrons à nos clients est une source de plaisir.
J’ai coaché un certain nombre de thérapeutes pour qui le rapport humain (voire en présentiel) est essentiel à leur quotidien.
J’ai vu des coachs qui se forçaient à proposer des offres de coaching collectif alors qu’ils préféraient coacher en séance individuelle.
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Nous nous formatons en nous formant, mais nous oublions de nous poser les questions essentielles du sens et du plaisir.
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Car sans cela, il est impossible d’être aligné, et sans alignement, toute perspective de développement tombe à néant.
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Reconnectez-vous à vos aspirations réelles.
Oubliez le “il faut” et les notions de succès qui ne vous sont peut-être pas adaptées.
Faites ce qui vous fait vibrer…ou du moins, un premier pas affirmé !
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Entrepreneuriat : on n’est pas obligé de se former à tout ! 

business en ligne
Depuis que je suis entrepreneure, je suis confrontée à la tentation de me former et me spécialiser dans une multitude de thématiques plus ou moins vastes.
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Lorsque j’étais community manager, je voulais me former à la vidéo et à la publicité Facebook.
Depuis que je suis coach, on m’a régulièrement suggéré d’obtenir une certification de coach.
Depuis que j’ai introduit une dimension “développement personnel” dans mes coachings, on me conseille de compléter mon approche avec une formation de thérapeute.
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Alors oui, la tentation de la formation permanente est là.
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Mais cette tentation vient surtout combler une peur : celle de ne pas être à la hauteur.
C’est tout l’enjeu du fameux syndrome de l’imposteur dont beaucoup d’entrepreneurs sont victimes.
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Par conséquent :
– On passe son temps à se former
– On ne capitalise jamais sur ses acquis
– On n’ose pas prendre confiance en soi 
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Mais on n’est pas obligé de se former sur tout ! 
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Ce n’est pas grave de ne pas être un couteau suisse
Ce n’est pas grave de ne pas être le meilleur de son domaine
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Ce qui compte, c’est d’être suffisamment compétent pour aider ses clients
Ce qui compte, c’est d’être au clair avec son champ de compétences
Ce qui compte, c’est de savoir où l’on va professionnellement
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Car formation sans vision, n’est que perdition.
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Il est difficile de penser “outside the box” quand on est entrepreneur

Depuis que je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, j’ai appliqué des bonnes pratiques de marketing et me suis souvent (et inconsciemment) alignée sur des codes qui ne me correspondaient pas toujours.

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Mais l’ennui, avec ce formatage, c’est qu‘il devient extrêmement difficile de penser hors des clous :
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Quand il s’agit de vendre un produit, on pense webinaire, page de vente et appel découverte.
Quand il s’agit de créer une nouvelle offre, on s’aligne sur les tarifs des voisins et on inclut dans son package toutes sortes d’éléments qui ne font pas toujours sens pour nous (accès à une communauté, messagerie asynchrone, accès formation)
Quand on veut consolider une audience qualifiée, on pense volume de liste et publicité.
Quand on veut vendre par mail, on pense mailing quotidien
Quand on n’arrive pas à vendre sur un lancement, on éprouve un sentiment d’échec et de honte.
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Mais sans réelle adhésion, un modèle peut vite devenir un dictat ! 
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Alors certes, ces modèles ont fait leur preuve, mais ils restent des paradigmes et non des vérités universelles ! 
J’ai longtemps suivi et appliqué ces stratégies, mais moins j’étais alignée avec elles, et moins j’arrivais à vendre.
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Et c’est une conversation avec des amis entrepreneurs qui m’a confortée dans l’idée qu’il fallait s’accrocher et persévérer à suivre sa voie, en pensant en dehors des clous.
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Dans ce petit groupe d’entrepreneurs, l’une d’entre elle a expérimenté depuis quelques mois une autre manière de communiquer, en faisant totalement abstraction de ces injonctions liées à la vente :
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– Elle vend sans page de vente
– Elle affiche des tarifs élevés 
– Et elle augmente son chiffre d’affaires de mois en mois. 
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Le secret de sa témérité ?
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– Accepter qu’elle peut échouer
– Suivre son alignement comme unique chemin
– Véhiculer une énergie communicative, proche de ce que j’appelais dans un article, le “marketing énergétique”. 
Alors comment penser hors des clous ? 
– Prenez conscience de ce qui vous gène ou vous prend de l’énergie dans votre communication
– Prenez conscience des injonctions que cette communication implique (il faut, je dois…)
– Demandez-vous maintenant : si vous étiez sûr de vendre, que feriez-vous ?
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Bonne réflexion ….outside the box 😉
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Conclusion

Il est difficile de se libérer des injonctions quand on est entrepreneur. La pression sociale et l’absence de garantie de succès nous amènent à douter et ne pas nous écouter. Et pourtant, sans cette peur de l’échec et de perte de chiffre d’affaires, nous ferions surement des choix plus consentis, et surtout plus alignés pour mener notre entreprise sur la route d’un succès 100% personnalisé.
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Personal Branding: comment s’affirmer dans ses contenus ?

Dans l’écosystème de l’infopreneuriat, on entend à longueur de journée qu’il faut oser être soi dans sa communication et dans ses contenus. Seulement, il n’est pas toujours facile d’assumer sa singularité au regard des critiques négatives qu’elle peut susciter. Cette appréhension de la critique peut nous conduire à ne plus rien publier ou d’attendre une validation extérieure. Mais ce frein psychologique brime notre spontanéité, notre créativité et notre authenticité. Alors comment réussir à s’affirmer dans ses contenus au quotidien ? Voici mon retour d’expérience.

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Avis et conseils : attention à qui vous influence

La semaine dernière, j’ai échangé avec une cliente dont le père critiquait la valorisation de son engagement citoyen dans sa communication.

Prise de doute, elle m’a demandé si communiquer sur cet engagement était inapproprié sur ses réseaux sociaux professionnels.
Sa question a immédiatement résonné en moi car cela fait maintenant 4 ans que je m’interroge régulièrement sur ce sujet, en vivant des périodes de doute.
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Je lui ai donc fait part de deux témoignages personnels : 
J’ai choisi de prendre le risque de communiquer ouvertement sur mes engagements citoyens auprès de mon audience.
Si j’avais écouté une partie de mon entourage, je ne l’aurais sûrement pas fait.
Aujourd’hui, j’ai perdu quelques prospects, j’en ai gagné d’autres, mais au final, mon audience est maintenant avertie, mes clients partagent mes valeurs, et je n’ai pas de frustration dans ma communication.
Autre témoignage : 
J’ai fait le choix de communiquer sur mes expériences de vie personnelles quand elles permettaient à mon audience de s’en inspirer.
Mais sur certains sujets intimes, ma mère m’a fait part de son malaise.
Or, ces sujets sont importants pour moi, et en parler peut aider mon audience.
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Si j’ai fait le choix de ne pas l’écouter, c’est parce : 
– Nous ne sommes pas de la même génération
– Nous n’avons pas la même personnalité
– Nous ne communiquons pas auprès d’un même public.
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Quelques années plus tôt, une entrepreneure d’une cinquantaine d’années m’avait aussi fait la réflexion qu’il fallait vouvoyer son audience pour faire “pro”.
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Mais encore une fois, tout est une question de cible, et d’alignement !
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Alors quand vous doutez, posez-vous les questions suivantes : 
– Ne pas communiquer de telle manière/sur tel sujet vous crée t-il de la frustration ?
– Votre audience est-elle prête à vous suivre si vous êtes 100% vous-même ?
– Que savez-vous de la personne qui vous a donné ces fameux conseils ? Quelle est sa personnalité ? De qui est composé son entourage/sa cible ?  Comment communique-t-elle ? Cette communication vous parle-t-elle ?
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Faites attention à qui vous influence ! 😉
Soyez vigilant : un conseil bien intentionné n’est pas toujours le plus adapté à votre personnalité.
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Comment mieux gérer les critiques négatives sur vos contenus ?

Depuis que je rédige des contenus pour mes différents projets, je réalise que j’affirme de plus en plus mes opinions, et ce, de manière assez spontanée.

Si certains se retrouvent dans cette franchise, d’autres émettent plus de réserves sur cette communication sans filtre.
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Pour tout vous dire, je me suis beaucoup remise en question à la réception de critiques acerbes : 
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– Devrais-je arrondir les angles ou lisser mes contenus ?
– Cette franchise mettrait-elle mon activité en danger ?
– Suis-je assez solide pour encaisser la critique ?
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Après une profonde réflexion, j’ai décidé de ne pas me censurer dans mon expression, quitte à faire un écrémage de mon audience.
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En revanche, toutes les critiques ne sont pas malveillantes, et il me fallait trouver un moyen de mieux les recevoir, sans affectation ni agressivité.
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Je me suis donc demandée : 
– Ce que je ressentais lorsque je recevais une critique : de l’agacement et une envie impulsive de répondre au tac au tac (ce que je ne fais pas)
– Ce qui m’affectait dans la critique  : la sensation qu’on dévalorise mon travail et l’impression d’être critiquée par des gens qui n’ont jamais monté un business, jamais écrit un contenu, jamais pris position sur des sujets épineux
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Pour aller plus loin et mieux gérer la critique, je me suis donnée comme ligne de conduite d‘analyser l’intention derrière la critique : 
– Qui me critique : a-t-on un passif virulent ? La personne a-t-elle des conflits d’intérêt à défendre ?
– Quel est le message de cette critique : une remarque sur le fond ? La forme ? Le ton est-il bienveillant ? Agressif ?
– La critique est-elle constructive ? Son auteur propose-t-il des conseils ? Préconise-t-il des solutions alternatives ?
– Suis-je ouverte à l’échange et au dialogue ? Clairement, vous avez le droit de dire “non”. Lorsque je publie des contenus sur Aikido-millennials par exemple, je fais le choix de ne quasiment plus commenter car répondre me prend de l’énergie pour des critiques attaquant mon grade, ma jeunesse ou ma personne. Ce n’est évidemment pas toujours le cas, mais c’est le choix que j’ai fait pour me préserver.
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C’est maintenant à l’aune de ces critères que j’analyse les critiques qui sont faites à l’égard de mes contenus pour prendre plus de hauteur et moins être dans l’affect.
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Ne nous leurrons pas, je ne suis pas devenue un yogi zen pour autant.
En revanche, je prends le temps de
..et c’est mon écran qui m’en remercie 😉
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Et vous, comment gérez-vous la critique au quotidien ?
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Conclusion

Etre 100% authentique dans ses contenus demande un certain courage pour assumer les critiques potentielles. Mais cela nous permet d’éviter de vivre une frustration chronique : celle de ne pas oser être soi. Alors le jeu en vaut-il la chandelle ? C’est à vous de voir. Mais sachez que si malgré le risque, vous assumez cette communication authentique, vous pouvez être sur d’attirer les bons clients à vous.
business en ligne

L’organisation : la bête noire des entrepreneurs

L’organisation des entrepreneurs est un véritable fléaux !  Et si beaucoup d’entrepreneurs ont du mal à s’organiser, c’est en partie car leur pensée se disperse !

– Ils débordent de créativité et se laissent submerger par leurs idées
– Ils ont du mal à rester focalisé sur un fil directeur et partent dans des digressions
– Ils manque d’esprit de synthèse et d’efficacité

En conséquence.
– Leurs rendez-vous et réunions débordent toujours.
– Ils finissent rincés sans avoir traité l’ensemble des sujets souhaités.

Concrètement, ils n’arrivent pas à passer de l’idée à l’action.

Cette pensée en arborescence peut-être problématique au quotidien si elle n’est pas canalisée et recentrée.

Alors voici quelques conseils concrets pour recadrer son organisation quand on est entrepreneur !

 

L’organisation des entrepreneurs : un fléau très répandu 

organisation des entrepreneurs

Savez-vous quel est le plus gros handicap des entrepreneurs qui m’entourent aujourd’hui ?

Il s’agit de l’absence d’organisation.
 
Or, dans la vie quotidienne, une mauvaise organisation fait perdre en efficacité et en énergie.
 
Ayant pour objectif d’avoir du temps libre au quotidien, j’ai très rapidement travaillé sur mon organisation et suis aujourd’hui régulée comme un militaire.
 
Mais ce n’est évidemment pas souhaitable pour tout le monde ?
 
En revanche, si votre objectif est de profiter de plus de temps libre car vous croulez sous les tâches du quotidien, voici quelques vérités :
 
✅  Vous avez de la place pour vos priorités, même si votre emploi du temps paraît blindé
✅ A terme, vous pouvez  réussir à tout faire, mais il vous faudra déléguer ou reporter les tâches non prioritaires
 Mieux vaut commencer petit mais régulièrement plutôt que ne rien faire parce vous visiez  plus grand
 
Alors certes, je suis indépendante, et n’ai pas d’enfant à charge mais, il y a des choses que vous pouvez mettre en place même avec un emploi du temps chargé :
 
? Vous pouvez déléguer une partie de vos tâches au quotidien (à votre conjoint, à votre femme de ménage, à vos prestataires, et exceptionnellement à votre famille/amis)
? Vous pouvez commencer votre emploi du temps plus tôt ou finir plus tard (pour faire du sport ou lancer votre projet entrepreneuriat par exemple)
? Vous pouvez trouver un outil adapté pour centraliser toutes vos tâches à faire (Google Agenda, avec plusieurs agenda pro et perso par exemple)
? Vous pouvez sacraliser des créneaux pour vos priorités sans y déroger (rendez-vous médicaux, rédaction de contenu, moment pour vous)
 
Dans tous les cas, un planning serré vous invite à être beaucoup plus efficace dans vos tâches du quotidien.
 
C’est pourquoi, une organisation efficace vous permet de vous recentrer sur l’essentiel :
✅ Passer du temps qualitatif avec votre entourage
✅ Prioriser et ritualiser les tâches indispensables à votre activité et à votre bien-être
✅ Déléguer ce que vous ne pouvez pas faire aujourd’hui
 
Ce ne sera peut-être pas parfait, mais si vous gagnez quelques heures de temps et de sommeil dans la journée, vous aurez remporté votre pari sur la durée ! ?
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L’organisation des entrepreneurs peut impacter leur équilibre de vie pro/perso 

organisation des entrepreneurs
Vous est-il déjà arrivé de vous sentir épuisé alors que vous vous êtes trouvé particulièrement inefficace ?

De  vous en vouloir de vous être dispersé et ne pas avoir su respecter vos priorités de la journée ?

De faire des to do list à rallonge sans prendre en compte les imprévus du quotidien ?

Si c’est le cas, c’est que votre organisation mérite d’être optimisée !

Pourquoi votre organisation est-elle aussi importante au quotidien  ?

Une bonne organisation vous permet d’atteindre vos objectifs tout en préservant votre équilibre de vie pro/perso
Elle vous permet d’en finir avec la perte de temps et la procrastination
Elle vous permet d’en finir avec le stress et la culpabilisation

Je coache des entrepreneurs depuis maintenant 4 ans et leur bête noire numéro 1 est très souvent l’organisation :

? Leurs objectifs ne sont pas clairs
? Ils ont une mauvaise estimation du temps des tâches
? Ils ne centralisent pas leurs tâchent dans un agenda unique
? Ils se laissent parasiter par des événements imprévus
? Ils ne font pas de pauses
? Ils ont du mal à concilier équilibre de vie professionnel et personnel
? ils n’ont pas le sens des priorités et procrastinent en réalisant des tâches non prioritaires.

Très souvent, ils finissent leur semaine sur les rotules en culpabilisant de ne pas avoir été efficaces.

Cette absence d’efficacité génère chez eux un grand stress et les plongent dans le cercle vicieux de la procrastination.

Si vous vous reconnaissez dans ce profil, c’est qu’il est temps de reposer les bases de votre organisation pour être plus efficace et plus efficace dans votre quotidien !
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Organisation des entrepreneurs : arrêter de surcharger son planning par peur du vide

organisation des entrepreneurs
On connaît tous une personne qui aimerait que ses journées fassent 72 heures, et qui passe son temps à courir après la montre.Cette personne, c’est peut-être vous.Et vous n’êtes pas seul.Ce qui est étonnant, c’est ce décalage entre le fait de vivre dans une société où être occupé est bien vu, et la quête de temps libre.

Alors posez-vous la question : voulez-vous plus de temps libre ou plus de temps pour pouvoir gérer un planning surchargé ? 

Il est d’ailleurs possible que vous surchargiez votre emploi du temps par peur du vide, de l’ennui ou de l’absence d’activité.

Ça a longtemps été mon cas.

Si votre rapport au temps vous handicape au quotidien, voici mes conseils :

Supprimez (ou limiter) les activités qui ne vous donnent pas de plaisir, et qui ne sont pas essentiels à payer vos factures et à combler votre bien-être. Pour ma part, j’ai réussi à supprimer tous les rendez-vous professionnels inutiles de mon agenda.

✅ Apprenez à laisser reposer votre cerveau en prenant du temps pour vous : marcher, cuisiner, écrire, vous entretenir, dormir… votre niveau de stress va baisser drastiquement et votre qualité de vie faire un bond. Aujourd’hui j’ai appris à m’ennuyer, et je ne cours pas après le temps

✅ Limitez les activités qui ne vous prennent de l’espace mental et qui minent votre moral. Pour ma part, il s’agit des réseaux sociaux, sur lesquels je passe trop de temps. Ils ne parasitent pas mon emploi du temps, en revanche, ils affectent ma santé mentale et m’empêchent de faire le vide.

Et vous, à quelle étape en êtes-vous dans cette quête d’équilibre de vie ?

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Conclusion : 

L’organisation des entrepreneurs est une véritable bête noir. Une mauvaise organisation leur prend ainsi temps et énergie tout en menaçant leur équilibre de vie pro/perso. Souvent sujets à la dispersion, les entrepreneurs n’arrivent pas à se créer un sas de décompression et puisent dans leurs réserves d’énergie, impactant ainsi leur hygiène de vie. Heureusement, des routines peuvent être mises en place pour gagner en efficacité sur la durée.
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Si vous souhaitez mettre fin à la course infernale contre la montre et ne plus subir une organisation plus que bancale, j’ai rédigé un ebook qui va vous intéresser. Et je vous propose de le télécharger en dessous !

Entrepreneuriat : les 5 plus gros risques que j’ai pris et qui en ont valu la peine

 

Depuis que je suis entrepreneure, j’ai fait le choix de prendre certains risques pour être plus alignée dans ma vie professionnelle. Parmi les risques pris, 5 d’entre eux en ont valu la peine, en me permettant d’être plus confiante et épanouie dans la gestion de mon entreprise au quotidien. Voici donc les 5 risques en question : 

 

1/ Changer d’écosystème 

 

Lorsque je me suis mise à mon compte, je gravitais dans l’écosystème de l’économie sociale et solidaire (ESS), qui était une porte d’entrée facile dans l’entrepreneuriat, étant familière avec ce secteur par mon dernier emploi salarié. Mais j’ai rapidement compris que cet écosystème serait “hostile” à mes projets de développer mon activité grâce à un marketing très personnalisé et à des objectifs de chiffre d’affaires ambitieux. Nous n’avions en effet pas le même rapport à l’argent. C’est pourquoi, j’ai préféré prendre mes distances avec l’ESS pour développer mon entreprise dans un nouvel écosystème plus orienté “market” et repartir de zéro. Loi du hasard ou non, j’ai pu bénéficier de nouvelles opportunités qui m’ont permis d’être propulsée sur cette nouvelle scène. Le jeu en valait donc la chandelle. J’ai réitéré l’expérience avec ma sortie de l’écosystème de l’infopreneuriat.

 

2/ Montrer ma vulnérabilité

 

Depuis deux ans, j’ai fait le choix d’être totalement moi-même dans ma communication et d‘afficher ma part de vulnérabilité. Je n’arrivais plus à faire semblant, en affichant une vitrine d’entrepreneur à succès, dénué de faiblesses. J’ai donc commencé par révéler et afficher mes moments de doutes, ainsi que mes échecs. Et contre toute attente, j’ai pu attirer une nouvelle communauté qui s’identifiait à mon parcours et à ma personnalité. Qui l’eut cru ?

 

3/ Changer de métier trois fois

 

De community manager, je suis devenue consultante en communication digitale puis coach pour entrepreneurs (je vous épargne les différents positionnements dans ce dernier métier). Sans surprise, je me suis pris les foudres de coach certifiés, qui m’estimaient illégitime. Et pourtant, aucun client ne m’a demandé de certification. Mieux encore, je leur inspirais confiance tout en leur apportant des résultats concrets. Comme quoi, auto-proclamer son nouveau métier peut avoir du bon.

 

4/ Faire du marketing à ma sauce 

 

Je déteste le marketing digital tel qu’il est proposé aujourd’hui. Je n’aime pas la technique et je ne cherche pas non plus à créer une machine à gaz pour récolter des milliers de mails ni gagner des millions. Mais c’est seulement en prenant conscience de cela que j’ai arrêté les tunnels de vente, les séquences mails, les webinaires et j’en passe. Je fais aujourd’hui du marketing énergétique : j’attire les clients qui me ressemblent en communiquant d’une manière qui me semble plus alignée avec ma personnalité. Et ça marche ! 

 

5/ Affirmez des positionnements personnels 

 

Depuis que j’ai décidé d’être totalement moi sur le plan professionnel, j’ai pris le risque de communiquer sur des sujets qui sortaient du cadre de l’entrepreneuriat : je parle aujourd’hui de développement personnel, de santé naturelle, mais également de politique. Cette posture de l’entrepreneur-citoyen n’est pas sans risque mais elle a permis de polariser ma cible : j’ai bien sûr essuyé quelques pertes mais dans l’ensemble, j’ai fini par attirer des clients qui ont apprécié mon engagement. On attire les clients qui nous ressemblent.

 

Conclusion 

 

Voici donc les 5 plus gros risques pris en 4 ans d’entrepreneuriat. Cette prise de risques était nécessaire car aujourd’hui, je suis totalement alignée sur le plan professionnel, et je travaille avec des entrepreneurs qui souhaitent aujourd’hui le devenir à leur tour ! 

 

Et vous, quels sont les plus gros risques que vous avez pris et qui ont valu le coup ?

 

Envie de développer votre activité en étant 100% aligné ? 

Ma formation Slowpreneur Attraction va vous plaire ! Elle va vous permettre d’attirer des clients réguliers grâce à votre personnalité sans démarcher !

Et cerise sur le gateau, la formation est prise en charge par votre CPF !

 

C’est quoi le courage professionnel ?

Ce matin, grosse claque au réveil ! J’ai reçu le message d’un prospect qui a décidé d’annuler notre appel en raison de mes positionnements sur la crise actuelle. Ce prospect avait autour de lui des proches devenus complotistes et cela l’avait affecté. En outre, nos points de vue divergents sur la situation actuelle ont servi de blocage à notre collaboration.

 

Doute et remise en question : une étape saine dans un processus d’affirmation professionnelle 

J’ai d’abord eu un moment de doute : ai-je fait le bon choix de rentrer dans cette voie ?

Puis d’incompréhension : alors que je venais de publier un post sur la tolérance des avis divergents, et une série de posts sur l’humanité en pleine crise, je me prenais un coup de fouet en pleine figure.

Mais en prenant un peu de recul, je me suis rappelée que mes avancées passent par l’action, l’expérimentation et parfois les erreurs.

C’est dans cette logique d’itération que j’ai pu développé de nombreux projets parallèles à mon activité :

?CM for good, qui était mon collectif de community managers

?Le réseau des freelances de l’ESS et du Développement Durable, une communauté d’entrepreneurs de l’Economie sociale et solidaire et qui vit aujourd’hui toute seule, sur Facebook

?@aikidomillennials , qui est mon blog spécialisé dans l’aikido

?@alerelibre, qui est mon nouveau projet sur Instagram, dans lequel je m’exprime sans filtre sur la crise actuelle, tout en proposant des pistes de changement alternatif et des messages de solidarité et d’humanité.

Je donne également de mon temps :

✅ J’ai rejoint l’équipe de campagne de la Ligue Ile de France en Aikido

✅ Je produis des contenus réguliers pour partager mes réflexions sur l’entrepreneuriat, mais aussi le développement personnel et le digital nomadisme

✅ Je donne du temps de bénévolat pour des interventions (@yossglobal , @novaa.expertise et bientot @wemind.io )

Voici donc ce que mes réflexions m’ont permis de construire, pour moi, mais également pour différentes communautés.

Heureusement, c’est en échangeant avec des personnes bienveillantes (poke @nellydancer , @anneclaire_meret , @steven.renaissance ) que j’ai réalisé que prendre position était un acte courageux, surtout à visage découvert.

 

Ces échanges m’ont également fait prendre conscience du difficile équilibre entre tolérance et ouverture envers l’autre, et devoir personnel d’affirmer ses convictions haut et fort.

Car ce n’est pas dans le silence que le monde change.

Je ne vais pas me faire que des amis mais on dit souvent qu’on est la moyenne des personnes qui nous entourent.

Alors que le vent balaye les feuilles mortes et ramène les fleurs du printemps !

 

Alors, c’est quoi le courage professionnel ?

 

Ce n’est pas la première dois qu’un prospect refuse de travailler avec moi en raison de mes points de vus affirmés : ça m’est arrivée à deux autres reprises.

Ce n’est clairement pas agréable, et cela sème le doute en moi.

Mais aurais-je pu faire autrement ?

Oui j’aurais pu ne rien communiquer.

Mais je n’aurais pas été alignée pour cette décision.

Pourquoi ?

Parce que mon activité professionnelle est imprégnée de ma vie personnelle.
Et inversement.
De même, le projet @alerelibre est imprégné de Yéza Lucas.

De plus, j’ai depuis quelques années entamé un travail d’affirmation de moi, et je ne vais pas tout rayer d’un coup, à la moindre difficulté.

Mais cette difficulté est accentuée par la communication à l’ère des réseaux sociaux.

Ces hauts-parleurs des temps modernes propulsent une opinion au-delà de ce que l’on puisse espérer. Ainsi, chaque message est amplifié, et parfois même, mal interprété.

C’est pour cela que la prise de risque est d’autant plus grande quand on décide d’engager une prise de position personnelle dans une sphère professionnelle.

Mais, si je regarde mon historique professionnel, j’ai déjà pris de gros risques :

✅ Quitter un job difficile à obtenir parce que je ne me sentais pas respectée
✅ Me lancer dans l’entrepreneuriat avec un très faible chômage
Changer de secteur d’activité à deux reprises
✅ Changer de métier à 3 reprises en 3 ans
Assumer ma vulnérabilité dans ma communication professionnelle
✅ Dire merde à des clients qui ne respectaient pas mon travail
✅ Dire merde à l’écosystème de l’infopreneuriat.

Et au final, est-ce que j’en ai subi les conséquences ?

? J’ai certes perdu des abonnés et clients
♥ Mais j’en ai retrouvé d’autres à qui ma communication parlait vraiment

Aujourd’hui, j’assume tout simplement une nouvelle prise de risque.
Plus challengeante, car elle touche un sujet vraiment “brûlant”.

Mais je ne vais pas me justifier sur mes positions
Je ne vais pas chercher à convaincre celui qui n’a regardé qu’en surface les contenus que je propose.

 

Tout comme je ne cherche plus à convaincre un client non convaincu, je ne cherche plus à convaincre un citoyen qui n’est pas prêt à entendre mes propos.
Je sais aujourd’hui comment mettre mon énergie au bon endroit pour rayonner. Et je sais que mes mots touchent d’autres individus.

On dit souvent “une de perdue, 10 de retrouvées”.Pour ma part, je pense que ce sera “10 de perdues, une de retrouvée”

Mais quelle trouvaille !  😀

 

Enfin sortir des dogmes du marketing digital

Bien qu’entrepreneur du web, j’ai pris mes distances avec l’écosystème de l’infopreneuriat et de tous les dogmes qu’il véhicule. Et pour cause, j’en ai été la première victime : je me suis ainsi retrouvée à appliquer des stratégies qui ne me ressemblaient pas et qui se sont avérées inefficaces.

Je tombe régulièrement sur des posts d’entrepreneurs (et notamment de coachs) qui adoptent une posture extrêmement catégorique sur les sujets dont ils s’emparent :
“Tu dois faire ça pour réussir”, “il te faut une seule offre”, “tu dois être plus ambitieux sur ton CA”, “tu dois avoir une vision plus grande que toi”, “tu dois t’inspirer des meilleurs”. Mais…non.

Aujourd’hui, en tant que coach, j’apprends à mes clients à s’écouter, avant de copier machinalement ce qu’on leur a appris. C’est de cette manière qu’ils pourront briller grâce à leur authenticité. Dans cet article, je dénonce 3 tabous qui freine la réussite des entrepreneurs.

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Je “dois” suivre LA stratégie pour réussir.

 

 

Pour mon marketing, on m’a dit qu’il fallait…

STOP.
J’entends de plus en plus d’entrepreneurs regretter d’avoir suivi les conseils d’amis/marketeurs/prestataires qui les ont guidé dans une impasse.
Voici les exemples les plus fréquents : 
– On m’a dit qu’il me fallait un site web
– On m’a dit qu’il me fallait une page de vente
– On m’a dit qu’il me fallait un compte Instagram
– On m’a dit qu’il me fallait qu’une offre
– On m’a dit qu’il fallait que je fasse du high ticket
– On m’a dit que je devais trouver une spécialisation
– On m’a dit qu’il me fallait une niche
Tous ces conseils sont des généralités qui sont devenus des dogmes dans le milieu du marketing digital. 
Le problème des dogmes, c’est qu’ils ne laissent pas place aux particularités et aux individualités.
Or, l’entrepreneuriat est une réalité multiple, et doit donc prendre en compte les aspirations et la situation de chaque entrepreneur.
J’ai moi-même été victime de ces dogmes. Et ça ne m’a pas réussi.
Aujourd’hui, pour développer son entreprise et utiliser le marketing comme un allié, il faut picorer et non gober.
Quand on picore, on prend des petites quantités en prenant ce qu’il y a de bon à prendre pour soi, et en laissant le reste.
Quand on gobe, on digère mal.
Si tu es une éponge, que tu te sens influencé par tous les avis qui te seront donnés, recentre-toi sur l’essentiel :
– Comment aimes-tu vendre ?
– Est-ce pertinent de choisir une seule cible ou offre ?
– Quelle action serait selon toi prioritaire pour trouver des clients ?
Suis ton intuition, écoute ton bon sens, et si tu n’y arrives pas, fais-toi aider de quelqu’un qui te pose les questions, au lieu de te donner les réponses 🙂
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Une communication autocensurée, par peur de sortir du lot 

 

Il y a quelques jours, j’échangeais avec des deux clients, qui souffraient du décalage entre leur communication et la valeur qu’ils sont capable d’apporter (l’un à un futur employeur, l’autre à ses clients).
Leur image n’était pas à la hauteur de leur potentiel et cela était une vraie source de frustration au quotidien.
Mon premier client, en recherche d’emploi, n’arrivait pas à retranscrire l’ensemble de son expertise et de ses qualités humaines sur un CV et une lettre de motivation.
 
Mon second client n’arrivait pas à exprimer avec autant de puissance, la valeur et la transformation qu’il peut apporter à ses clients.
 
Car oui, l’expérience n’est pas toujours synthétisable, et les mots ne peuvent pas toujours retranscrire la pensée. Ce sont là les limites du copywriting, et des propositions de valeur synthétiques, qui nous sont souvent demandées.
 
Alors comment démontrer notre valeur autrement ?
 
En misant sur des éléments de communication concrets pour faire la jonction entre la vitrine (un CV, un site web etc…) et la réalité de notre expertise.
 
Pour cela, plusieurs solutions sont possibles :
– Une mise en avant de travaux pratiques
– Des témoignages
– Des articles de blog ou tout type de contenu
 
Tous les moyens sont bons, du moment qu’ils sont des éléments tangibles reflétant une expertise.
 
Prenons mon exemple :
J’ai à plusieurs reprises pivoté dans mon activité (du community management au consulting puis au coaching, puis à différentes formes de coaching…). Ce qui m’a permis d’affirmer ma légitimité n’est pas la mise à jour de mes services sur mon site internet, ni quelconque certification, mais mes différents contenus, et expertise clients.
 
J’ai pu devenir coach parce que j’ai commencé par coacher (sans demander l’approbation de qui que ce soit en amont), de manière informelle, puis en proposant des services à prix avantageux, et enfin en me servant de mes témoignages clients pour affirmer ma vraie valeur.
 
Ton site web est le dernier élément de ta communication à adapter pour refléter l’ensemble de ta valeur, de ton expertise ou de ton potentiel.
 
– D’abord parce qu’une refonte de site internet est coûteuse
– Ensuite parce qu’il faut un certain recul sur soi, pour trouver les bons mots à afficher sur cette vitrine du web
 
Pour que ta vitrine puisse refléter l’ensemble de ton expertise, commence par apporter des éléments concrets, et rassure ton client, ou ton employeur.
 
Alors, qu’as-tu à me montrer concrètement ? 🙂
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Marketing digital : des process de ventes épuisants, mais contournables

” On se fait une visio ?”

Argh, voici une question à laquelle il est souvent difficile de dire non, et pourtant, tout le monde n’aime pas la visio.
C’est mon cas par exemple.
Je sais que beaucoup de professionnels ont tendance à privilégier la visioconférence car elle permet de voir les interactions de son interlocuteur, mais soyons honnête, je n’aime pas ça.
Et je vais te dire pourquoi  :
La visio peut être perturbante : Regarder l’autre peut empêcher de bien se concentrer sur ses propos : c’est une des raisons pour laquelle je propose des rendez-vous téléphoniques à mes prospects mais également à mes clients en coaching
– La visio peut-être fatigante : être en visio, c’est se concentrer pour paraître présentable, contrôler les émotions sur son visage, en faisant attention à son image, son environnement et ses propos. En plus de cela, il faudra prêter attention aux propres de notre interlocuteur sans être perturbé par le cadre de la visio (le fameux chat qui passe derrière l’écran par exemple)
– La visio ne convient pas aux profils multitâches et hyperactifs : c’est bien évidemment mon cas, comme tu t’en doutes. Je n’arrives pas à me concentrer sur une seule chose lorsque j’écoute : comme pour un podcast, j’ai besoin de réaliser une deuxième activité non intellectuelle, en parallèle. Mais, la pratique de ce multi-tasking est compliquée en visio car souvent très mal vu (oui, je lève un tabou).
Alors, si tu sens que tu es plus performant au téléphone, affirme-le !
Si tu préfères les rendez-vous physiques, propose-les !
Mais restez dans un mode de communication qui sera à ton avantage : ta voix sera plus posée, et tu convertiras mieux 🙂
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Conclusion  :

Il n’est certes pas toujours facile de résister à la pression qui nous pousse à standardiser notre marketing : parce que ça marche pour X, on se dit que cela marchera aussi pour nous.
Ce n’est pas parce que ça a marché pour X que ça marchera pour toi !
Chacun a sa manière d’apprendre et brandir des injonctions catégoriques à tout va peut être nuisible à leurs lecteurs/abonnés/clients.

Ce qui marche pour l’un ne marche pas forcément pour l’autre.

Où est passée la nuance chez ces entrepreneurs devenus dogmatiques ?

Où est passé leur sens de la responsabilité vis à vis de leur communauté ?

La vie, ce n’est pas du tout noir ou du tout blanc.
L’entrepreneuriat non plus.

Alors s’il vous plait, coachs, formateurs, consultants, gourous, faites preuve d’humilité.

Au nom de vos clients et de vos abonnés, arrêtez d’affirmer, mais proposez.

Les recettes toutes faites sont dangereuses.
Donnez plutôt les ingrédients.
Chacun composera sa soupe.

A bon entendeur.

Comment j’ai développé mon authenticité dans ma vie personnelle et dans l’entrepreneuriat

Depuis maintenant deux ans, j’ai fait le pari d’adopter une communication authentique sur le plan professionnel. Cette communication se traduit par une prise de risque : celle de l’exposition de ma sensibilité et de ma vulnérabilité. Deux ans plus tard, je suis totalement alignée avec cette communication qui m’a permis de lever un certain nombre de tabous personnels et professionnels, mais surtout permettre l’identification de mes lecteurs et abonnés. Alors comment développer une communication authentique sans bullshit  ? Comment entamer cette transition ? Voici mon retour d’expérience et mes conseils pour parfaire votre personal branding !

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I- Un constat : l’ennui face à une communication “lisse” 

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communication authentique personal branding

J’ai intégré l’écosystème de l’infopreneuriat, dans lequel, il est valorisé de se mettre en avant. Dans ce cadre, le personal branding a tout à fait sa place. Mais, la plupart du temps, il s’agit d’une communication de surface, dans laquelle, on apprend peu sur la personnalité de l’entrepreneur qui communique. Seulement, une fausse intimité qui fait surface (Instagram est très pratique pour cela). 

Mais en voyant ces entrepreneurs aux vies “parfaites”, j’ai ressenti un décalage. D’autant plus que je m’auto-censurais à parler de sujets “tabous” et “profonds” qui auraient intéressé d’autres entrepreneurs. 

Alors en 2019, j’en ai eu marre de faire semblant, et j’ai fait tomber les masques : j’ai commencé à parler de sujets plus personnels, j’ai commencé à parler d’échecs et d’erreurs, et j’ai commencé à parler d’argent. 

Et contre toute attente, cette vulnérabilité a trouvé écho auprès de mes abonnés grâce à une forte identification à mon parcours. Un pari risqué, mais un défi relevé ! 

 

2 – Communication authentique : exposer sa vulnérabilité étape par étape 

 

communication authentique personal branding

 

On ne passe pas du jour au lendemain d’une communication corporate à une communication sensible. Le mieux est d’y aller petit à petit : d’abord pour vous, et ensuite pour votre audience.

Pour ma part, j’ai commencé à aborder des sujets sur lesquels je me sentais à l’aise de parler avec le recul : mes anciennes erreurs et échecs par exemple. 

Car il est évidemment plus facile de parler avec retrospective d’une période sombre de notre passé professionnel (ou personnel) une fois le problème réglé.

Quand on n’a pas de client, il est toujours plus difficile de le crier haut et fort.

Mais détabouiser l’échec est déjà un premier pas ! Cela a également une vocation cathartique (sans vouloir rentrer dans la psychologie de comptoir ;-))

Par ailleurs, j’ai également fait le choix de communiquer sur des sujets plus personnels et intime, dans la mesure où je ne dissocie pas l’entrepreneur de l’humain (c’est mon point de vue). C’est également pour cela que lorsque je coache des entrepreneurs, je travaille sur l’aspect “business” mais également “développement personnel”.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligé d’adopter une communication similaire à la mienne. Vous devez adopter une communication qui vous ressemble avant tout. Et pour cela, il ne doit pas y avoir de frustrations  : si vous décidez de ne pas aborder un sujet, il faut que cela soit par choix “stratégique” et non par peur. Maintenant, savez-vous distinguer les deux ?

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3 – Communication authentique : puiser sa créativité dans son propre parcours 

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communication authentique

Je ne puise pas ma créativité dans les livres (je lis très peu, voire pas), ni dans des entrepreneurs dits “inspirants”. Je puise ma créativité dans mon quotidien et mon histoire personnelle. 

 

Concrètement, comment cela se traduit-il ?

 

  • Je vais m’inspirer de mes échanges quotidiens avec mes clients, mes amis, mais aussi les personnes que je croise. Je vais tirer les leçons d’une situation que j’ai vécu la veille, et l’utiliser pour écrire un post, un article ou une newsletter. J’ai rendu mon cerveau totalement perméable à mon quotidien pour en faire une source de créativité personnelle et infinie. Résultats : en 4 ans d’entrepreneuriat, je n’ai jamais puisé mes ressources de contenus, et je sais que dans 2 ans, je continuerai à trouver l’inspiration.

 

  • Je m’inspire également de mon parcours de vie personnel, en n’hésitant pas à mobiliser des moments intimes : mon adoption, mes relations personnelles, ma perte de poids. Bien sûr, chaque souvenir mobilisé, a son utilité. Mon but n’est pas de tomber dans le mélodrame, mais d’apporter de la valeur. Et pour rendre mes propos plus parlants et impactants, ces bribes de ma vie intimes peuvent avoir leur place. 

 

Encore une fois, rien ne vous oblige à faire comme moi. Ce qui compte, c’est que vous soyez à la fois à l’aise, et non frustré dans votre communication 🙂 

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4 – Personal Branding : exposer son cheminement et ses réflexions pour inspirer  

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communication authentique

Depuis plus récemment, je commence à exposer mes réflexions en cours sur l’entrepreneuriat ou la vie. Je pose des questions de société, et ouvre la porte à des débats (sans pour autant prétendre faire de la philosophie). 

Ce qu’il est important de retenir ici, c’est que je commence à poser des questions dont je n’ai pas les réponses. Je m’expose en situation de trouble, quand il y a encore un an, j’attendais d’être sortie du tunnel pour m’exprimer. Encore une fois, j’opte pour une posture plus vulnérable et risquée. Mais c’est comme cela que je me reconnais en termes d’image et de communication. 

J’ai récemment exposé publiquement mon manque d’alignement, ma difficulté à lier travail et voyage au Costa Rica, mon pivot vers le développement personnel…tout cela sans avoir forcément trouvé réponse à toutes les questions que je soulève. 

Je vais donc un pas plus loin dans la vulnérabilité. 

Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’angle que j’ai choisi d’adopter, vous pouvez soulever ces débats en faisant parler des clients fictifs par exemple. Cela vous permettra de voir comment sont reçus vos messages et réflexions 🙂

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Conclusion  

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Adopter une communication purement authentique n’est pas chose aisée. Elle invite souvent à sortir de sa zone de confort. Pour y arriver, il faut d’abord avoir pris conscience que l’image que l’on renvoie à travers notre communication ne nous ressemble pas. Or, pour attirer des clients qui vous ressemblent, il va falloir opérer ce petit “switch”. Évidemment, un changement radical n’est pas forcément souhaitable. Commencez par y aller petit à petit, jusqu’à ce que vous soyez à l’aise avec vos nouveaux contenus et qu’ils soient faciles et fluides à produire. Comme disait un certain Boileau : “ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire, viennent aisément”. C’est ainsi que votre communication authentique sera au service d’un personal branding redoutablement efficace ! 

Bilan d’un mois de digital nomad au Costa Rica : entre liberté et fatigue

Pour éviter de subir un troisième confinement français, j’ai décidé de partir au Costa Rica pendant un mois, pays réputé pour sa biodiversité mais aussi sa sécurité. Je viens d’achever un mois en tant que digital nomad au Costa Rica et j’aimerais vous proposer un bilan de ce séjour, sans filtre, comme à mon habitude 🙂  Pendant un mois, j’ai arpenté les différents paysages du pays, découvert sa culture, rencontré des locaux et non locaux. Voici donc mon bilan humain, financier et culturel de ce mois de Pura Vida.

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1 – La “pura vida”, un mode de vie décontracté, auquel nous ne sommes pas habitués 

 

Une soirée détente à Puerto Viejo, cote caribéenne du Costa Rica, ou Bob Marley est un dieu local

 

“Pura vida” est une expression populaire au Costa Rica que l’on utilise à toutes les sauces. C’est une sorte de “Hakuna Matata” local, ce qui signifie “pas de soucis”. Et c’est vrai que les ticos (habitants du Costa Rica), ne sont pas des gens stressés. Ils prennent la vie comme elle vient avec ses aléas, tout en relativisant les malheurs qu’elle apporte.

Les coupures d’électricité, la lenteur du service dans un restaurant…tout cela fait partie de la vie, et que peut-on y faire après tout ?  

En tant que sérieuse “control freak” qui aime planifier ses journées, j’ai dû m’adapter à ce mode de vie plus “slow”, où la notion du temps n’est pas la même que dans nos pays occidentaux. Et c’est vrai qu’il n’y a souvent aucune raison d’être si pressé ?

D’ailleurs, planifier mes différentes excursions en amont a souvent été vain car rien ne se prévoit à l’avance ici et tout se fait au dernier moment. C’est une autre mentalité qu’il faut comprendre pour bien vivre son séjour au Costa Rica.

Heureusement pour moi, les ticos que j’ai rencontrés sont pour la plupart extrêmement généreux et prêt à nous aider dès qu’ils le peuvent (surtout quand la barrière de la langue peut être handicapante). 

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2 – Un émerveillement sur le plan visuel et humain

 

Cascade de Rio Céleste (en vrai il y a 15 touristes derrière moi)

Le Costa Rica est un pays dont la biodiversité est très riche : depuis 30 ans, le pays a entamé une politique de reforestation, comprend 5% de la biodiversité mondiale, et 25% de son territoire est devenu des parcs nationaux protégés. 

J’ai pu observer une faune propre aux pays tropicaux (singes, tapirs, paresseux, toucans, colibris…) et une végétation digne d’une jungle amazonienne. 

Au-delà de ces paysages protégés, le Costa Rica est riche de rencontres stimulantes et régulières. Chaque nouvelle opportunité est une rencontre et chaque rencontre créée une nouvelle opportunité.

Ici les interactions avec les locaux et voyageurs sont faciles !

On rencontre les gens partout : dans les hôtels et auberges de jeunesse, dans le bus, dans les bars, dans les excursions, mais également si on pratique une activité régulière. Je me plaignais à Paris de ne pas voir de nouvelles têtes, le problème a été résolu ici !?

Chaque rencontre est facile, et m’a permis de découvrir les raisons du voyage de chacun et son parcours de vie (pour les digital nomads et backpackeurs) mais aussi de découvrir des lieux inédits et de pratiquer mon espagnol avec les locaux. 

C’est la diversité de ces rencontres qui rend la planification obsolète ! ?
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3 –  Une bonne hygiène de vie sur le plan physique et alimentaire 

 

Les “naturales” sont des fruits mixés, souvent sans sucre ajouté, que l’on commande régulièrement pour se rafraichir et faire passer l’attente du plat qui peut tarder à arriver 😉

 

Pendant ce mois au Costa Rica, j’ai énormément marché : une moyenne de 10 km par jour, auxquelles s’additionne mon sport quotidien (jogging/hiit). 

A côté de cela, j’ai peu bu et n’ai pas abusé de sucreries. Résultats : j’ai perdu du poids.

Au niveau de mes habitudes alimentaires, j’ai peu cuisiné et mon régime était fait de tortillas/avocat/tomates/frijoles(purée de haricot rouge)/fromage, car je n’avais pas le courage de me lancer dans de la cuisine dans des cuisines communes….

J’ai également beaucoup mangé de fruits, sous forme naturelle (ananas, mangues, pipas fresca) ou en jus sans sucres ajoutés. 

Au restaurant, je demandais à changer les papas (pommes de terre) et patacones (bananes plantains) contre des légumes. Car au Costa Rica, la nourriture est grasse, souvent frite et les légumes se font rares (d’ailleurs les ticos sont bien portants…)

Sur le plan bien être, j’ai fait quelques massages pour réduire mon stress du quotidien, et je commence à instaurer le massage dans mes habitudes de vies (ici moins cher qu’en France, mais pas donné pour autant). 

Je ne médite pas à proprement parler (avec un CD de Christophe André) mais je marche souvent seule, et c’est pour moi une façon d’observer la nature en pleine conscience, sans trop réfléchir, et d’apprécier ce qu’elle m’offre (souvent des animaux observés dans leurs activités quotidiennes). 

Bref, en période de pandémie, s’entretenir le corps et l’esprit est la meilleure des choses pour booster ses défenses immunitaires 🙂

Sur le plan sanitaire (Covid), les ticos mettent à disposition des vrais lavabos et du savon devant chaque restaurant et structure touristique, et la prise de température est assez fréquente pour rentrer dans un lieu clos. Le port du masque est obligatoire dans les lieux publics fermés, même si dans les caraïbes et sur la côte pacifique, on peut avoir tendance à facilement l’oublier. Aujourd’hui, le Costa Rica s’en sort bien mieux que la France avec des mesures moins restrictives..mais au delà de ces mesures, je pense que le mode de vie “pura vida” réduit beaucoup le stress et l’anxiété, et renforce également les défenses immunitaires 

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4- Mais des galères du quotidien inévitables 

 

S’assurer d’avoir une bonne connexion wifi, le combat permanent au Costa Rica

 

Partir à l’autre bout du monde comprend aussi son lot de galères, et le Costa Rica n’échappe pas à la règle !

Tout commence par un jetlag, avec un décalage horaire de 7 heures : il faut donc bien penser à calculer l’heure des rendez-vous professionnels pour éviter les incompréhensions. 

Il faut également bien se rappeler que le Costa Rica a différents climats et emporter les vêtements adaptés, ce qui n’a pas été mon cas. Effectivement, le Costa Rica était pour moi, un pays chaud, et humide : je n’avais donc pas prévu assez de vêtements chauds pour San José (la capitale, venteuse, et dont les nuits sont fraîches) et Monteverde, dans les montagnes où j’ai dû demander une couverture supplémentaire à l’hôtel et acheter un legging chaud.

Outre le climat, les moustiques peuvent gâcher une partie de votre séjour. Malgré les différents anti-moustiques, je me suis faite dévorer en me réveillant la nuit pour me gratter, ce qui est extrêmement désagréable. 

L’autre problématique que j’ai rencontré au Costa Rica a été technologique : problèmes de coupures d’électricité dans les Caraïbes (pas très pratique quand on est digital nomad), mauvaise connexion dans beaucoup d’hôtels et difficulté à comprendre les offres d’abonnement locaux pour utiliser internet sur mon téléphone. Résultat : j’ai payé cher (et c’est mon prochain point).

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5 – La question fondamentale du budget au Costa Rica 

 

Au Costa Rica, on paye en Dollars, ou en Colones, la monnaie locale

Le Costa Rica, comme son nom l’indique, n’est pas une destination économique. On le surnomme d’ailleurs la Suisse de l’Amérique latine (et ce n’est pas pour sa verdure et ses vaches). 

Certes, je le savais en théorie en lisant les nombreux commentaires et avis sur le pays en amont de mon voyage. Mais je l’ai surtout expérimenté au quotidien. 

En un mot : TOUT est payant. 

Les plages, les cascades, les parcs, l’ensemble des excursions…quasiment rien n’est gratuit. 

Je comprends évidemment le besoin de protéger les sites naturels, mais j’ai beaucoup eu l’impression d’un touriste qu’on cherche à faire raquer. Par ailleurs, cette billetterie à l’entrée de chaque site “casse” la dimension “découverte spontanée” de la nature car on sait souvent exactement ce qu’on va voir.

Beaucoup de paiements se font en liquide, ce qui rend la comptabilité difficile..heureusement, en tant qu’entrepreneur, j’ai bien traqué mes dépenses pour me faire une note de frais globale à la fin du mois ! 

De plus, la vie locale n’est pas “cheap” : pour un repas au resto, comprenant un plat et une boisson, vous vous en sortez pour l’équivalent de 12 euros. Certes, moins cher qu’en France…mais beaucoup plus qu’à Lisbonne où j’étais en novembre ! 

En dehors des excursions, j’ai également payé cher mes différents hébergements : j’ai dû dépenser presque 900 euros pour me loger. Je précise que je choisissais à chaque fois un hébergement en chambre individuelle avec salle de bain privative, mais j’avais besoin d’être dans ce confort pour bien travailler. 

Autre source de dépense : mon forfait téléphonique avec abonnement local. Bien que l’achat d’une carte Sim ne coûte qu’un dollar, vous aurez besoin d’un forfait internet. J’ai choisi un forfait de 4 gigas que je renouvelais chaque semaine…l’équivalent de 8 euros par semaine. A cela s’ajoutait mon forfait Sosh + mon pass Costa Rica Sosh pour le début de mon séjour et que j’utilise en back up lorsque je n’avais plus de donnés mobiles. 

J’ai donc dû dépenser près de 90 euros de forfait internet ce mois-ci.

Pour mon prochain voyage, je pense changer de forfait et passer chez free qui propose 25 gigas de données mobiles pour 20 euros par mois. 

Mais c’est en dépensant trop d’argent que l’on apprend ?

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6 – Un équilibre de vie difficile à trouver

 

Entre voyage et digital nomadisme

Pendant ce mois au Costa Rica, j’ai beaucoup bougé, pour découvrir le pays mais aussi pour trouver un endroit où je me sente bien. J’ai donc fini ce mois fatiguée, car j’étais plus en mode baroudeuse que nomade “posée”.

J’ai beaucoup culpabilisé de cette situation quand je regardais mes amis digital nomad bien installés au Mexique. Moi, j’étais dans un entre deux, attirée par la conquête du Costa Rica, pas alignée sur le plan professionnel et en quête d’un lieu que j’aurais pu appeler “maison”.  Même en tant que digital nomad.

Alors j’ai pris une décision difficile pour moi : celle de faire un break. J’ai d’abord culpabilisé car je sortais à peine d’une semaine de vacances en Laponie. Mais mon corps et ma tête en avaient besoin. 

Et puis, en observant la vie d’autres digital nomades, j’ai compris ce qu’il me manquait pour me poser  :

  • Des activités extra-professionnelles régulières pour me créer une routine (je n’ai pas pu pratiquer l’aïkido régulièrement)
  • Une vie citadine dans laquelle le piéton reprend ses droits (je vous assure que ce n’est pas le cas au Costa Rica) 
  • Une offre culturelle développée (le Costa Rica est un pays de nature, et non de culture)

 

Et je pense trouver cela dans ma future destination : Oaxaca, Mexico ! Capitale de la gastronomie mexicaine, cette ville me permettra également de pratiquer l’aïkido à main nu (très important pour moi), de déambuler dans les rues et découvrir la culture locale du pays. 


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Conclusion : une belle découverte, mais qui a ses limites

 

Pour conclure cette expérience de digital nomadisme au Costa Rica, je dirais que j’ai vécu une belle expérience dans le pays de la pura vida :  mon premier pays d’Amérique Latine, qui m’a challengé dans ma pratique de l’espagnol, et de la vie seule sur un continent lointain. Sur le plan personnel, j’ai appris à me poser les bonnes questions, me ressourcer pour savoir ce qui me correspondait et ne me correspondait pas. Sur le plan professionnel, j’ai utilisé ce temps pour faire le vide grâce à un break nécessaire. Cap maintenant vers une nouvelle destination, que je souhaite plus posée, et encore plus satisfaisante grâce à cette première expérience au Costa Rica ! Pura vida. 

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?Si vous vous  voulez réveiller le digital nomade en vous et franchir le pas,  mon programme “Reprendre sa vie en main dans un contexte de crise”, va vous plaire !

Programme pris en charge par le chèque numérique à hauteur de 500 euros ?

 

Quelle stratégie d’investissement choisir pour ton entreprise ?

En tant qu’entrepreneur, on nous parle souvent d’investissement. Mais dans quoi ? Quand ? Et comment ? C’est la question que beaucoup se posent. Concrètement, voici sans filtre mon retour d’expérience sur 4 ans d’investissements pour le développement de mon entreprise.

 

La culture de l’investissement : un état d’esprit à adopter avant même de se lancer dans l’entrepreneuriat

Si tu es entrepreneur, as-tu la culture de l’investissement ?

?Pourquoi en parler ?

Parce que c’est la rentrée et que parce que je suis sûre que parmi ceux qui vont me lire, il y a des personnes qui ne se sont pas encore lancées et qui projettent de le faire en cette fin d’année.

?Alors de quoi s’agit-il ?

Il s’agit de comprendre l’intérêt d’investir avant même d’avoir des résultats. Investir dans un local, investir dans de l’accompagnement, investir dans du matériel…

Quand on se lance, on n’a pas forcement beaucoup de ressources, et on a une mentalité de salarié : ne pas prendre de risque sans garantie. Et pourtant, c’est avec en lâchant le cordon ombilicale, que l’on peut de nouveau respirer.

Je m’explique :

Si on attend de pouvoir vivre de son activité avant de lâcher son job, on va attendre longtemps, parce que garder le contrôle sur deux activités nous empêche d’avoir la disponibilité mentale de développer notre activité entrepreneuriale et déployer tout son potentiel.

(Et c’est pareil quand on est entrepreneur : il est difficile de voler de ses propres ailes si notre communication est brimée par un client concurrent par exemple. L’énergie sera mauvaise).

Mais revenons à l’investissement entrepreneurial : investir c’est faire un pari sur sa propre réussite.

Quand je me suis lancée, j’avais 1000 euros de chômage, 845 euros de loyer, et j’avais investi 1200 euros de formation. Et c’est précisément cet investissement qui a été le moteur de mon lancement :

Je me suis dit “Yéza, si tu ne te lances pas, tu auras dépensé (et non investi) pour rien”. Et c’est comme ça que je me suis lancée…non sans peur.

Et ça a marché ! Pas parce que je suis plus douée que les autres, mais parce que je me suis donnée à 200% et que je n’avais pas le choix : je ne pouvais pas rester salariée. J’ai donc suivi ma voie, qui s’est éclairée au fur et à mesure.

Aujourd’hui, j’arrive à distinguer les investissements professionnels et personnels :

Si je me place d’un point de vue personnel, je trouve qu’investir 100 euros de l’heure pour consulter un spécialiste est cher. Je trouve qu’investir près de 1000 euros dans un téléphone est très cher.

En revanche, si je me place d’un point de vue professionnel, je trouve qu’investir 1000 euros en coaching peut valoir le coup, et qu’investir 1000 euros de matériel informatique est un investissement rentable.

Tout est une question de point de vue. Il faut juste savoir avec quel prisme on regarde son projet entrepreneurial 🙂

Mon objectif, c’est de te faire gagner du temps : adopte le bon mindset avant de te lancer, et n’oublie pas de penser en terme d’investissement et non de dépenses tout au long de ta vie entrepreneuriale ?

 

Investissement : comment prendre des décisions rapidement ?

Quand on est entrepreneur, on est amené à prendre des décisions régulièrement. Beaucoup sont difficiles à prendre car elles touchent tes finances ?

Parmi elle, l’investissement.

L’investissement, c’est un mot que l’on entend et entend à longueur de journée quand on est entrepreneur. Et pourtant, investir dans son entreprise, c’est essentiel pour la développer.

C’est pourquoi un entrepreneur serein est un entrepreneur qui peut mobiliser les ressources financières pour accélérer la croissance de son entreprise.

Lorsqu’il contacte un prestataire, il doit avoir un budget à lui consacrer. Prends en compte la fourchette haute, pour ne pas tomber des nues !

Mais comment savoir si c’est un bon investissement ? 

?Un bon investissement doit te faire vibrer malgré la situation d’inconfort dans lequel il peut te mettre au début.

?Un bon investissement implique une prise de décision rapide : tu sais en 7 heures, si tu vas investir au fond de toi ou non. Même si tu prends ta décision finale en 7 jours. 

Pour prendre une décision rapidement en t’écoutant, pose-toi les questions suivantes : 

As-tu la trésorerie pour investir ?

Si c’est le cas : te mets-tu en danger ?

Si ce n’est pas le cas : cet investissement vaut-il la peine que tu mobilises des acteurs externes pour t’aider à investir ? 

En t’écoutant : cet investissement va-t-il faire du bien à ton entreprise  ? Et est-il prioritaire ?

 

Facteur risque : cet investissement va-t-il être rentabilisé ?

Si tu es entrepreneur, tu t’es sûrement dit que ce serait le bon moment pour investir.

Mais tu es peut-être un peu frileux…

Parmi les investissements, l’accompagnement pour développer ton entreprise est une bonne option.

Seulement, les offres d’accompagnement ne manquent pas. Alors comment savoir si tu vas faire le bon choix ?

 

Pour répondre à cette question, je te propose de procéder de la manière suivante :

❇️Fixe-toi 3 objectifs clairs (maximum) à atteindre pour l’accompagnement que tu choisis.

❇️Définis une temporalité raisonnable pour atteindre tes objectifs (tu ne vas pas forcement les atteindre en 1 mois)

❇️En fin d’accompagnement, fais le bilan des bénéfices émotionnels et chiffrés de cet accompagnement : qu’en retires-tu ?

 

Prenons un exemple :

Cette année, j’ai investi dans un accompagnement pour développer mon entreprise sur le plan structurel :

Mes objectifs était :

1) Dépasser les 100K

2) Structurer mes offres.

Ces deux objectifs sont des objectifs mesurables.

 

En revanche, j’ai sous-estimé les bénéfices émotionnels que cet accompagnement allait m’apporter :

Me sentir entourée et soutenue au quotidien

Me sentir sereine avec mes chiffres

M’inspirer du modèle économique de la structure qui m’accompagne

Découvrir de nouvelles opportunités professionnelles grâce au réseau que m’offre cet accompagnement

 

En somme, voici les 3 mots clés qui ressortent de cet accompagnement :

✴️Scalabilité

✴️Méthode

✴️Réseau

 

Maintenant à ton tour :

?Quel est l’investissement prioritaire de la rentrée pour développer ton activité ?

?Quels sont les objectifs chiffrés et mesurables que tu t’es fixé ?

?Quels sont les bénéfices émotionnels que tu pourrais en tirer ?

 

Faire le point : quels sont tes investissements prioritaires ?

C’est le début de l’année, et c’est le moment de se pencher sur tes investissements prioritaires au développement de ton entreprise.

 

En 2020, j’ai profité d’un fort afflux de trésorerie pour investir sur les chantiers suivants :

? Accompagnement au développement de mon entreprise dans un incubateur

? Accompagnement en stratégie financière pour piloter ma société

? Formation juridique pour mettre ma société dans la légalité 

? Accompagnement en publicité Facebook 

? Accompagnement pour gérer mes finances personnelles.

 

A coté de ces accompagnements ponctuels, j’ai collaboré au quotidien avec :

? Une assistante administrative 

? Une assistante opérationnelle

? Une rédactrice web

? Un cabinet comptable en ligne

 

Et des logiciels techniques payants : 

? Un auto-répondeur (Active Campaign)

? Une plateforme d’hébergement de formation (Podia)

? Un logiciel de visio-conférence (Zoom)

Au début, quand j’ai réalisé toutes les investissements que j’avais fait, j’ai pris peur. Mais je me suis rappelée que j’avais fait le choix de développer mon entreprise en créant une société, pour ne plus me limiter. J’ai fait le pari de la réussite de mon entreprise !  

Tous ces investissements ne m’ont pas en danger financièrement mais avec le recul, une partie d’entre eux a été réalisé sous pression entrepreneuriale. Cette de mon écosystème qui me pousse à investir à en perdre parfois le sens.

 

En 2021, j’ai opté pour une autre stratégie : investir uniquement sur ce qui est prioritaire à un moment T.

? Quelques logiciels techniques et de marketing

? Un comptable

? Une assistante administrative

Le reste n’est que ponctuel.

Il faut aussi dire qu’avec ma capacité à redonner régulièrement de nouvelles orientations pour mon activité, faire de lourds investissements structurels n’est pas adapté pour ma situation !

Et toi, as-tu déterminé tes priorités en terme d’investissement ?

 

Conclusion 

Investir dans ton entreprise est essentiel pour développer sa croissance. L’argent est une énergie et c’est donc en le faisant circuler qu’il pourra ainsi prospérer. Cependant, attention à ne pas le dilapider n’importe où et n’importe comment. Si en 2020, j’ai testé l’investissement massif, en 2021, je me suis recentrée sur les investissements essentiels, en misant sur les piliers de mon activité, essentiels à mon fond de roulement. J’investie donc moins, mais mieux, tout en prenant en compte un facteur essentiel de mon activité : ma propension à pivoter régulièrement, qui limitera mes gros investissements structurels. Voici donc mon dernier conseil : avant d’investir massivement, demande-toi d’abord si tu sais quel avenir tu réserves à ton entreprise demain !

 

Comment débloquer un business qui stagne ?

Lorsqu’on est entrepreneur, on passe par des périodes de stagnation qui génèrent du stress et de la frustration. Heureusement tout problème a sa solution ! Et voici les pistes que te propose si tu retrouves bloqué dans une situation inconfortable pour ton entreprise.

Analyser : pourquoi tu n’arrives pas à vendre alors que tu es à fond

T’es t-il déjà arrivé de donner toute ton énergie dans la vente d’un produit et n’avoir aucun retour sur investissement ?

C’est une chose qui arrive à beaucoup d’entrepreneurs.

Ca m’est personnellement arrivée.

C’est très frustrant, et très décourageant.

Mais plusieurs facteurs peuvent expliquer cet “échec” (ou apprentissage) et te permettre de relativiser les choses.

Et les voici :

Tu n’es pas aligné avec le produit que tu vends. Tu te persuades que c’est ce qu’il faut pour tes clients mais ce n’est au fond ni ce qu’ils veulent ni ce que toi tu souhaites pour eux. Tu as lancé ce produit parce qu’on t’a dit que c’est ce qui marcherait le mieux, en te vendant une recette miracle, mais au final, tu ne t’y retrouves pas, et énergétiquement parlant, tes clients le ressentent.

Ton offre n’est pas adaptée au contexte actuel. En période de crise comme c’est le cas aujourd’hui, tes clients n’ont sûrement pas de visibilité sur leur finances et sont peut être plus frileux à investir beaucoup et longtemps. As-tu pensé à une offre de crise ? Ou bien de mieux comprendre ce dont tes clients ont vraiment besoin en ce moment ? De l’accompagnement plus individualisé peut-être ? Sonde tes clients favoris avec une réelle conversation individualisée avec eux.

– Ton offre se noie dans la masse : encore une formation en ligne ! Voici ce que peut se dire ton client. Difficile d’innover, certes, mais il faut pourtant essayer de proposer quelque chose qui sorte du lot pour te démarquer de la concurrence : ta transformation est-elle bien claire ? Le format correspond-t-il à ce que ta cible recherche ? Achèterais-tu ton propre produit ?

-Tu manifestes le manque. Tu as besoin de faire du chiffre d’affaires donc tu vends ton offre, en plein stress, et encore une fois, énergétiquement parlant, ça ne marche pas. Pour attirer l’argent, il faut être déjà bien et détaché de ce besoin. Facile à dire, je sais. Pourtant, ce qui marchera, c’est de lâcher la pression financière pour vendre et te dire que si tu fais 0, ce n’est pas grave, mais que la possibilité est envisageable.

– Tu es à bout de souffle : c’est la fin de l’année, tu n’as pas fait de break depuis un moment et tu déploies toute ton énergie à vendre ce produit, dont tu vas avoir des difficultés à assurer la livraison. Tu n’as pas atteint tes objectifs de fin d’année : est-ce si grave ? Ton égo pourra s’en remettre, crois-moi. Et si tu préparais plutôt 2021 ?

Voici donc quelques raisons qui peuvent expliquer pourquoi tu n’arrives pas à vendre alors que tu te donnes à fond en ce moment. Rien de dramatique, je te rassure, cela fait partie de la vie de l’entrepreneur.

Maintenant regarde en arrière, dans quel état d’esprit étais-tu quand tu as vendu par le passé ? Quels étaient tes tarifs ? Ton offre était-elle différente ? Le contexte a-t-il changé ? Eclaire ton futur à l’aune des résultats passés.

 

Agir : et si tu mettais en place ton propre plan de relance ?

Comme tu le sais, nous vivons un contexte difficile avec la crise sanitaire et économique que nous traversons.

Le gouvernement n’aidera pas les indépendants, et certains entrepreneurs ont du mal à voir l’avenir sereinement.

Alors si tu ne peux pas bénéficier du plan de relance, pourquoi ne créerais-tu pas le tien ?

Et pour ça, je te propose de mettre en place une stratégie :

– Quel est ton plan d’action pour septembre à décembre ?

– Sur combien de temps vas-tu tester cette stratégie ?

– Qu’as-tu prévu de faire si cette stratégie de marche pas à mi-parcours ?

Je te conseille d’opter pour plusieurs scénarios :

– Si la stratégie fonctionne : quelle est l’étape d’après ?

– Si elle ne fonctionne pas, quel est ton plan B ? et ton plan C ?

Mets en place un plan d’action mois par mois jusqu’à la fin de l’année et évalue-le en fin de chaque moi à l’aide d’indicateurs clés pertinents pour ton activité.

De manière générale, je te conseille d’avoir un suivi de ces indicateurs clés de manière hebdomadaire pour que cela ne soit pas un trop gros effort.

Maintenant, que vas-tu faire pour relancer ton activité aujourd’hui ?

Penses-tu y arriver seul ?

Si ce n’est pas le cas et que tu as peur de perdre du temps, je te propose de m’envoyer ta stratégie pour te faire un retour rapide par téléphone (tu peux réserver un appel avec moi dans le lien dans ma bio)

Si par la suite, tu souhaites qu’on mette en place cette stratégie ensemble, je te proposerai un accompagnement et un suivi adapté pour cela.

Alors, prêt à relancer ton activité ?

 

Mon exemple en 2020 :  comment suis-je passée d’environ 3/4K mensuels en 2019 à une moyenne de 10K en 2020 ?  

1/ J’ai fait depuis l’an dernier un gros travail d’alignement avec mon business, pour m’écouter et faire les choses quand je le sens. Je suis de plus en plus sensible aux énergies, et quand je me force à mettre en place des actions de marketing que je n’aime pas, ça ne marche pas.

2/J’ai développé depuis 3 ans une régularité au niveau de mes contenus qui sont de plus en plus qualitatifs (dont une NL par semaine). Ces contenus m’ont permis de consolider ma communauté et de la renforcer (notamment en 2019 ou j’ai mis les bouchées doubles)

3/ J’ai beaucoup travaillé ma stratégie de référencement naturel pour être positionnée sur des mots clés très concurrentiels grâce à des articles de blog, mais également être la numéro 1 sur les requêtes locales (Paris) en recherche de coaching pour entrepreneurs

4/ Je développe ma notoriété à fond avec des articles invités réguliers, mais également des interventions dans d’autres entreprises “influentes” (les webinaires pendant le confinement m’ont permis de renforcer cette notoriété)

5/ Je rends l’investissement plus facile pour mes clients : je suis organisme de formation et facilite les prises en charge (CPF, OPCO) pour mes clients. Par ailleurs, je mets en place des facilités de paiement pour mes clients

6/ J’ai restructuré mes offres, pour les simplifier et être alignée avec ma politique de prix

7/ J’ai délégué mes tâches quotidiennes ou je n’apportais pas de valeur ajoutée (marketing opérationnel, administratif)

8/ Je m’entoure des meilleurs, et baigne dans un environnement ultra stimulant, et n’hésite pas à payer pour bénéficier d’une dynamique de groupe collective

9/ Je garde un mindset entrepreneurial en permanence : je passe à l’action le plus rapidement possible pour tester, peut être raté mais être fixée et réessayer

10/ Je n’hésite pas à demander de l’aide et me faire accompagner pour passer à l’étape supérieure de mon activité

Voici donc comment j’explique le “décollage de mon activité” même en période de crise, mais je reste toujours prudente car aucun entrepreneur n’est à l’abris d’une « rechute ».

Conclusion

Pour débloquer un business qui stagne, 2 étapes sont essentielles : analyser, puis passer à l’action. C’est surtout sur ce deuxième point qu’une partie des entrepreneurs pêche. Voici donc mes pistes pour t’aider à passer à l’action. Si tu te sens désemparé face à la crise que connait ton entreprise, je te propose qu’on échange de vive voix.

Comment sortir des cases et créer ses propres normes

La société, comme le monde de l’infopreneuriat nous impose une pression et des normes auxquelles il est difficile d’échapper. Pourtant, remettre en questions ces normes nous permettrait de mieux nous épanouir au quotidien. C’est en en prenant conscience que j’ai réussi à devenir une entrepreneuse et une femme plus libre. Et voici les ingrédients pour arriver à trouver la recette !

 

S’enlever la pression du quotidien pour mieux vivre sa vie 

Au quotidien, on a tendance à se mettre la pression sur différents points : 

Le travail

La réussite sociale

La réussite en couple

La performance physique

L’attractivité 

Cette pression nous pousse à rentrer dans des cases dans lesquelles on ne match pas forcément.

Toute ma vie, je me suis mise la pression pour rentrer dans ces cases :

? Travail 

? Logement

? Relations intimes

? Loisirs et relations sociales.

Et puis les années ont passé et j’ai commencé à dire “merde”.

Pourquoi subir tant de pression pour être aussi malheureuse ? Et si peu alignée ?

Aujourd’hui, j’ai réussi à me libérer de beaucoup de pression : 

Je me suis enlevée la pression financière

Je me suis enlevée la pression de l’aikido

Je me suis enlevée la pression d’une relation de couple

Je me suis enlevée la pression de mon apparence physique.

Quelle est ma recette miracle ?

Voici mes tips du moment : 

Je lutte contre le stress avec la naturopathie (compléments alimentaires + travail sur la digestion + son binauraux + respiration)

J’écoute mon corps pour réussir à lâcher prise : quand je me sens épuisée, je n’ai pas d’autre choix. 

J’apprends à gérer mes émotions avec l’EFT. Bien sûr, tout n’est pas encore parfait : il reste des choses à améliorer, mais je vis beaucoup mieux ma vie à 30 ans qu’à 20 ans. Et je pense que je serai encore plus épanouie dans 10 ans que maintenant. 

Nous le voyons en ces temps difficiles, la vie est courte, nos moments les plus joyeux peuvent nous être retirés. Alors arrêtons de vouloir rentrer dans des cases qui ne nous correspondent pas. Et vivons bien tant que nous le pouvons ! 

Enlevons-nous toute cette pression pour être totalement nous même et ne pas avoir de regrets pour les 10 prochaines années.

Et toi, te mets-tu la pression au quotidien ? Quelle serait la première action que tu pourrais mettre en place pour t’enlever un poids ?

 

Réussir à sortir des sentiers battus quand on est entrepreneur

Si tu es entrepreneur dans un secteur ultra-concurrentiel, il peut te sembler difficile de te démarquer du lot et devenir visible. Tout le monde applique les mêmes stratégies de marketing et au final, tout le monde se retrouve à dire et à faire la même chose.

Alors comment sortir du lot ?

En suivant ton intuition et en étant toi-même !

Pour cela, écoute-toi, et fais ce qui te parle. Si tu sens que tu devrais communiquer de telle manière à tel moment, vas-y ! Ne pense pas toujours stratégie mais ressens les choses.

Ensuite, apprends à être toi-même au quotidien quand tu entreprends. Pour cela, refuse les stratégiques qui ne te parlent pas, qui te prennent de l’énergie et qui feront de toi un mouton dans la prairie du marketing.

Ose innover et faire ce que personne ne fait (si ça te fait envie).

Quel risque prends-tu ? Une perte de ventes ? Peut-être.

Mais tu auras raté en étant toi-même.

Et mieux vaut échouer en s’écoutant qu’en se disant avec regret qu’on n’aurait pas dû suivre l’avis d’un autre.

Et c’est la même chose si ça marche. Tu auras ainsi la confirmation que t’écouter te permettra de prendre du plaisir au quotidien dans tes actions de communication, mais que tu n’es pas obligé d’en baver pour réussir.

Apprendre à être toi-même, c’est très difficile. Mais c’est un pari qu’il faut oser prendre pour enfin sortir des sentiers battus et se faire un nom dans la place 🙂

Arrêter de chercher l’inspiration chez les autres et devenir sa propre source d’inspiration

Je ne sais pas où tu puises ta créativité, mais pour moi, elle ne vient clairement pas de l’inspiration des autres.

 

Et j’ai mis du temps à l’assumer.

? J’ai pendant longtemps lu des livres sur l’entrepreneuriat,

? Ecouté des longs podcasts

? Assisté à des meetups d’entrepreneurs inspirants

? Observé le feed des réseaux sociaux des entrepreneurs en vogue

Et bien, tu sais quoi ?

Rien de cela ne m’a inspiré pour créer (et tu sais à quel point, je produis des contenus régulièrement depuis presque 4 ans).

Pire que ça, a miné ma créativité : 

Car je plagiais sans le vouloir

Car j’adoptais une communication qui n’était pas “moi”

Car je déprimais à regarder la vie parfaite de ces entrepreneurs qui ne laissent paraître aucune faille

Car analyser le parcours d’un inconnu ne me parlait souvent pas.

J’ai donc décidé d’assumer et d’arrêter de faire semblant de m’inspirer en devenant inclassable.

 

Et je me suis posée une question essentielle : qu’est-ce qui explique ma créativité et ma régularité dans mes contenus depuis 4 ans ? 

L’observation de ma vie quotidienne : mes interactions sociales sur le plan personnel et professionnel 

Mon parcours de vie, ses moments de joie et de drame

Mes relations clients

Mes échecs et mes victoires d’entrepreneure

Mes voyages

Mon lâcher-prise (quand j’y arrive) 

 

C’est tout ça qui forme la recette “magique” de ma créativité aujourd’hui. 

Cette créativité est unique car elle vient de mon expérience personnelle et de mon ressenti. 

Et toi, pourquoi ne créerais-tu pas une belle histoire qui dure ? 

Fais-toi confiance 🙂 

 

Conclusion

Les normes sont dans tous les domaines de ta vie, mais c’est seulement une fois que tu les auras identifiées que tu pourras sortir des cases. Sortir des cases fera peut-être de toi un outsider mais te permettra de mieux vivre ta vie, sans pression ni influence négative. Alors, tu commences quand ?

Ce que mon combat pour la liberté m’a permis d’accomplir pour mon entreprise et ma vie personnelle

La liberté est une valeur essentielle à mes yeux que j’incarne au quotidien à travers mes décisions. C’est au nom de la liberté que je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, mais également au nom de la liberté que je suis devenue digital nomade. Ces accomplissements personnels sont-ils égoïstes ? Peut-être, mais ils m’ont permis d’inspirer une grande partie de ma communauté, qui souhaite également passer à l’action. Cette vision ultra personnalisée que je porte n’est donc pas dépourvue d’impact. Si tu as de valeurs que tu portes au fond de toi, voici comment les exploiter pour mieux vivre de ta vie mais également aider toute une communauté !

La première étape vers ma liberté professionnelle a commencé il y a 3 ans, avec une grosse décision.

 

Il y a 3 ans, j’ai commencé le premier jour du reste de ma vie.

Il y a 3 ans, je quittais mon job salarié. Je me lançais non sans peur, dans le grand bain de l’entrepreneuriat.

Et pourtant, je suis allée au delà de ce que j’aurais pu imaginer :

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé vivre de son activité en quelques mois

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir générer plus de 10 000 euros par mois

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé publier dans des médias de renom

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé investir autant pour me former

Le moi d’il y a 3 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir louer un T2 dans le centre de Paris

Et pourtant, le moi d’aujourd’hui a réussi.

Par chance ?

Certainement pas.

Par travail et détermination oui.

Ai-je eu peur ?

Evidemment.

Mais la peur ne doit pas t’empêcher de passer à l’action. Elle doit être une excitation interne qui te pousse à aller vers ce que à quoi tu aspires réellement.

Alors, si tu t’écoutes vraiment, quelle décision vas-tu prendre ?

 

La deuxième étape a été une prise de conscience : la chance n’existe pas, elle se créé

Il y a quelques jours, j’étais dans la voiture avec ma mère et nous échangions sur mes futurs “voyages” en tant que digital nomade.

Je mets ici le mot voyage entre guillemets car il ne s’agit pas de vacances. Ce qui n’est pas forcément facile à faire comprendre à son entourage.

Mais là n’est pas la question.

Si je t’écris aujourd’hui, c’est parce qu’une de ses remarques m’a fait réagir.

Et cette remarque était la suivante : “tu es une privilégiée de pouvoir voyager comme cela, tout le monde n’a pas cette chance”.

Cette remarque aurait pu paraître anodine, mais j’ai réagi au quart de tour.

NON je ne suis pas plus privilégiée qu’une autre, j’ai fait des choix de vie :

– Celui de me mettre à mon compte, avec toute la prise de risque que cela implique (j’ai quitté un emploi mal payé ou mon chômage équivalait au SMIC) .

– Celui de ne pas avoir de vie de famille à 30 ans parce que ce n’est pas ma priorité actuellement

– Celui d’avoir investi pour me faire accompagner, et mettre en place des stratégies qui ont augmenté mon chiffre d’affaires, et par conséquent, ma trésorerie.

J’ai également des désavantages au quotidien que j’accepte :

La précarité économique

– La précarité sentimentale

– La précarité en termes de logement

Qu’est-ce qui empêche un salarié de quitter son job aujourd’hui ?

– Sa vie de famille

– Son prêt immobilier

Mais ce sont des choix de vie qu’il a fait dès le départ !

Maintenant, mes voyages coûtent-ils cher ?

– J’ai exposé dans un précédent article, et avec transparence, le coût mensuel d’un mois de digital nomadisme au Portugal et en Suède.

– Cela me coûte moins cher que de vivre à Paris

– J’ai aussi fait le choix de quitter mon appartement pour ne pas payer de double loyer (une décision difficile pour moi)

– Je peux aussi faire le choix de voyager dans des destinations plus économiques

– Et d’y rester plus longtemps pour amortir les prix des billets d’avion.

Pour contrebalancer cette remarque, et après avoir écouté ma réponse, ma mère m’a également dit que mes choix de vie étaient courageux, et qu’elle n’aurait pas réussi à faire la même chose.

Et c’est là qu’elle a pointé quelque chose de juste 

La plupart des gens n’auraient pas franchi le pas de l’entrepreneuriat ou du digital nomadisme, par peur.

Et quand j’affirme ça, je l’affirme sans jugement.

Il s’agit juste d’un constat.

Et c’était aussi mon cas il y a 4 ans, ou jamais je n’aurais envisagé l’entrepreneuriat comme une voie professionnelle car trop “risqué”, mais le salariat m’avait tellement fait souffrir que mes peurs ont disparu pour laisser place à l’action.

Et c’était le cas récemment où le traumatisme du premier confinement a ébranlé mon instinct de survie, qui m’a crié à gorge déployée : “FUIS ET RESTE LIBRE”.

La souffrance m’a fait faire des choix qui m’ont fait dépasser mes peurs.

Ce n’est pas de la chance.

C’est du courage.

Heureusement, cela paye.

Alors bien sûr, je suis plus privilégiée qu’une personne non éduquée, et sans aucune ressource. Mais pas plus que monsieur et madame tout le monde qui travaille 35 heures par semaine et qui profite de ses week-end, et de ses vacances.

On a souvent le choix, mais on n’en prend que peu souvent conscience. Et cette prise de conscience est le début d’un nouvel éveil dans ta vie personnelle ou professionnelle :

Tu peux dire non au conformisme d’une vie bien rangée

A la pression sociale du quotidien

A un patron tyrannique

Mais sortir des cases implique de prendre des risques.

Maintenant, tu te sens prêt ?

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La troisième étape a été l’évangélisation de ma communauté : en devenant une source d’inspiration pour les entrepreneurs (mais pas que)

Depuis que je me suis lancée dans l’aventure digital nomade, j’ai essuyé un certain nombre de critiques (minimes certes), qui m’ont donné envie d’écrire ce petit post.

En effet, on m’a reproché (à moi, comme à d’autres digital nomads) d’être irresponsables de partir en période de crise sanitaire.

Je peux comprendre l’argument, même si j’ai du mal avec le jugement. Mais rappelons que les digital nomads sont principalement des travailleurs vivant seuls et qu’en période de confinement, la solitude devient très difficile à supporter. Voyager, pour un entrepreneur digital nomad, c’est acheter sa santé mentale, mais également sauver son business en sauvant sa créativité.

Pour ma part, je ne me suis jamais sentie aussi bien que depuis que j’ai trouvé dans le voyage, le sens de ma vie : je n’ai plus de colère, je suis de plus en plus créative, et mieux encore : j’inspire autour de moi.

Cette faculté d’inspiration est ce que mon amie Céline Afonso Tirel appelle le “self care inspirant” : il s’agit de se chouchouter et de travailler sur son propre bien-être, son propre mode de vie idéal, pour inspirer sa communauté et l’inviter à passer à l’action.

Depuis que je suis digital nomad, j’ai ainsi reçu des messages d’abonnés inspirés par mon mode de vie, et souhaitant eux aussi changer de vie, en prenant conscience que leur vie actuelle ne leur convenait plus et manquait de sens.

Une ancienne cliente, Alexia a même réussi à franchir le pas, en partant un mois seule, et sans ses enfants…au Brésil, son rêve ultime !

C’est pour moi une grande fierté.

Et si on en finissait avec la vision culpabilisatrice ?

On vous parlera souvent de vision professionnelle, mais cela ne fait pas sens pour tout le monde. Pour ma part, impossible de me projeter sur le plan professionnel car je me lasse très vite : ce qui me porte, c’est mon cadre et mon mode de vie. Plus tôt on le sait, plus tôt on l’assume.

Sur le plan professionnel, je fais en sorte de me créer le cadre le moins contraignant possible (d’où l’entrepreneuriat), en accord avec mon mode de vie (le digital nomadisme) et de mes forces (le coaching, grâce à une forte empathie).

Maintenant, la nature du coaching, elle peut changer. C’est pour ça que je reste ouverte à différentes opportunités sur le plan professionnel : depuis que je suis entrepreneure, je me suis concentrée sur le coaching business, car j’ai évolué dans un écosystème qui me demandait de me spécialiser.

Mais aujourd’hui, je réalise que je peux apporter bien plus qu’un accompagnement professionnel : je me sens capable d’aider des individus à changer de vie, sur le plan professionnel mais également personnel, en les poussant à passer à l’action.

Mes nombreuses expériences personnelles m’ont permis de vivre des épreuves qui sont aujourd’hui des briques que je peux utiliser pour aider mes clients à aller de l’avant !

Vous savez maintenant comment mon activité va évoluer 

De votre côté, je vous invite en ce début d’année à vous saisir des questions qui vous trottent dans la tête depuis un petit moment et y trouver la réponse la plus alignée avec vos aspirations : sans culpabilité, en laissant votre cœur trouver la voie.

Vous serez ainsi au bon endroit, au bon moment.

Et pour moi, c’est aujourd’hui, le Costa Rica  

La pura vida ! 

 

Conclusion

 

Et si demain nous retrouvions nos vies d’avant ?

Et si demain nous pouvions nous déplacer librement ?

Et si demain nous pouvions nous enlacer sans nous restreindre ?

Et si demain 2020 n’était qu’un mauvais souvenir ?

Et si, et si…ces suppositions sont basées sur un espoir, qui nous fait tenir, mais qui peut aussi nous clouer dans un immobilisme déconcertant.

L’absence de réponse, le manque de vision, nous empêche souvent de prendre des décisions, et nous rend dépendant des conjectures externes.

Et si, au contraire, on sortait de cette dépendance et qu’on devenait acteur de nos vies ?

Acteur de notre vie professionnelle, en prenant la décision de faire ce qui nous plait vraiment, entreprendre, ou quitter un job qui ne fait plus sens.

Acteur de notre vie personnelle, en décidant de ne pas subir une situation qui ne nous convient plus, et changer de cadre de vie ou d’être entouré des bonnes personnes.

Ce n’est peut-être pas le bon moment me diriez-vous ?

Au contraire, j’en suis persuadée !

Choisissons de nous laisser guider par nos rêves et non par nos peurs.

J’ai décidé d’agir, même si ma peur de partir seule était très forte.

J’ai décidé de dire au revoir à une vie que je connaissais, même si je prends le risque de ne pas la retrouver.

L’urgence a été pour moi un déclic pour cette nouvelle vie que je ne connais pas encore et qui se vivra au jour le jour. Je l’accepte maintenant.

Dans cette situation exceptionnelle, arrêtons de rester prudent car le pire est déjà là.

Redonnons du sens à nos vies, et vivons les pleinement.

YOLO.

 

3 étapes pour réussir à lâcher prise dans ta vie personnelle et professionnelle

Le lâcher-prise, on en entend parler à longueur de journée, mais sans vraiment réussir à le mettre en place. Pour ma part, j’ai essayé moult méthodes pour arriver à lever le pied sur mon activité comme dans ma vie personnelle, mais peu se sont avérée vraiment efficaces. J’ai donc décidé d’expérimenter ma propre méthode : voici donc mes 3 clés pour lâcher prise au quotidien ! 

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Etape 1 : pour lâcher prise au quotidien, il faut se lâcher les baskets pour se laisser enfin vivre !

lâcher prise au quotidien

Il y a quelques mois, je me suis lancée un défi : me foutre la paix.

Oui, l’expression est vulgaire mais le besoin était réel.

On a pour habitude de foutre la paix aux autres mais jamais à soi-même.

Et pourtant c’est indispensable pour vivre sereinement son quotidien.

Alors qu’ai-je fait concrètement ?

J’ai lâché prise au quotidien sur le plan professionnel : n’ayant pas pris de vraies vacances, j’ai commencé l’année sur les rotules. Fatigue, énervement, et mauvaise énergie. Sur les conseils de ma naturopathe, j’ai donc décidé d’arrêter de mettre mon focus sur mon activité et prendre un peu de recul.

J’ai lâché prise au quotidien au niveau de mon corps : j’avais pris un kilo et demi du fait du stress et de quelques apéros estivals, avec quelques boutons en prime. Au lieu de me focaliser sur cela, j’ai écouté mon corps, au niveau de mon alimentation mais également au niveau de mon activité physique : moins de cardio, plus de renfo !

J’ai enlevé de mon emploi du temps tout ce qui me prenait de l’énergie : j’ai décidé d’enlever toute source de stress et d’anxiété. C’est pourquoi, j’ai pris la grosse décision de changer de dojo en aikido, et de me concentrer sur ma pratique, et mon nouveau blog, en faisant abstraction des critiques.

Quels résultats ?

– Sur le plan professionnel, je me sens beaucoup plus reposée et d’attaque pour la rentrée. Cette quiétude m’a également permis d’attirer de nouveaux clients. Je crois aux énergies et quand on dégage du stress, du manque ou de l’épuisement, rien de bon ne vient à nous. Inversement, lorsqu’on est plus posé et détendu, les bonnes choses viennent à nous : c’est la loi de l’attraction.

  • Au niveau de mon hygiène de vie, j’ai décidé d’écouter mon ressenti, manger moins, dormir plus et devine quoi ? J’ai reperdu le kilo et demi en trop que j’avais pris et ai retrouvé une peau plus saine. Je remercie particulièrement ma naturo pour m’avoir donné les clés pour déstresser car bouton et prise de poids viennent d’une seule cause : le stress.

– Au niveau de mes sources d’anxiété, je me suis sentie soulagée en prenant cette grande décision de changer de dojo. J’ai bien sûr culpabilisé au début, me trouvant lâche de ne pas continuer dans ce club qui m’a accueillie pendant presque 4 ans. Mais en m’écoutant, j’ai préféré faire ce qui allait soulager mon mental. Tout comme sur le plan professionnel il y a 4 ans, une page avait besoin d’être tournée pour avancer.

Voici donc le bilan d’une semaine où je décide de me laisser tranquille. Les résultats ne se sont pas fait attendre. Et toi, te laisses-tu respirer ?

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Etape 2 : pour lâcher prise au quotidien, il faut réussir à instaurer des temps pour se ressourcer

lâcher prise au quotidien

Et oui, cette fois c’est décidé et planifié !

Si vous me suivez depuis un petit moment, vous avez dû voir que je n’ai pas pris de vacances cet été et que j’ai commencé l’année sur les rotules.

En fait, je n’avais pas anticipé le break estival, ni écouté mon réel besoin intérieur de faire une pause. J’avais certes dit à mes clients que je ne serais pas disponible pour assurer les coachings, mais en dehors de ça, mon cerveau cogitait, et je répondais à mes mails pro. Une déconnexion partielle qui non seulement me prenait de l’énergie, mais surtout qui m’empêchait de prendre du recul sur mon activité.

Résultat des courses : je n’ai évacué aucun stress.

Plus généralement, je n’ai jamais fait de vrais breaks depuis les études et depuis que je suis entrepreneur, cet entre deux permanent travail/pause ne m’a pas réussi et a beaucoup pesé sur ma fatigue mentale.

Cet été a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : j’ai connu une fatigue qui a précédé un gros désalignement professionnel. Heureusement pour moi, j’en ai rapidement tiré les leçons. C’est pourquoi, j’ai décidé de me ménager en cette fin d’année pour attaquer la rentrée avec un plein d’énergie.

Plus de vacances, c’est plus de temps pour laisser reposer mon corps (qui enchaîne les insomnies en ce moment), et surtout plus de place pour de la créativité, en prenant un certain recul sur mon activité.

Si les meilleures idées viennent dans la douche, ce n’est pas pour rien ! 😉

Alors comme j’ai toujours un peu de mal à ne rien faire, j’ai choisi de me mettre dans des conditions un peu extrêmes cette année en partant….en Laponie ! 

Et oui, je me fais vraiment plaisir. Au programme, chien de traineau, rennes, équitation, ski & raquette, et si la chance me sourie, observations des aurores boréales ! 

Je marque ainsi le coup en fêtant la nouvelle année dans ce cadre exceptionnel et en suivant ma nouvelle philosophie anti-covid : YOLO (you only live once).

J’avais prévu d’aller en Laponie dans un an, mais l’incertitude de l’état du monde en 2020 m’a donné envie de précipiter les choses et de profiter…dès que c’est possible ! C’est de cette manière que j’ai pu lâcher prise au quotidien pendant cette période hivernale !

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Etape 3 : pour lâcher prise au quotidien, il faut réussir à calmer son stress durablement 

lâcher prise au quotidien

Il t’arrive sûrement d’être stressé dans ton quotidien d’entrepreneur.

Depuis la crise sanitaire, j’ai eu quelques montées de stress extrêmes qui ont eu des répercussions physiques sur mon corps.

J’ai par exemple eu des dérèglements hormonaux qui m’on crée des plaques d’acnée au début du confinement.

Pour régler ce problème, j’ai d’abord consulté une dermatologue :

Traitement prescrit : des cachets qui m’ont rendue malade pendant 3 jours, et des crèmes qui brûlaient la peau (que je n’ai même pas essayées)

Puis j’ai contacté une gynécologue :

Traitement prescrit : un changement de pilule en augmentant la dose. Je n’ai pas voulu tenter l’expérience, et je me suis tournée vers une autre ressource : la naturopathie.

La naturopathie a été une révélation !

Je n’ai jamais vraiment été très convaincue de l’efficacité de la médecine alternative, même si je n’y ai jamais été fermée.

J’ai tout de même décidé de jouer le jeu en contactant une naturopathe bien notée sur Google (comme quoi les avis Google my business, ça sert, et je le dis et redis à mes clients ?)

J’ai donc été accueillie pendant 1h30, et ai reçu une prescription longue comme le bras que je vais te résumer.

Cette prescription est aujourd’hui la base de ma recette anti-stress :

Pour régler le fond du problème, nous avons travaillé sur la digestion : des compléments alimentaires m’ont permis de restructurer ma flore intestinale (car beaucoup de problèmes de peau viennent de la digestion, elle même perturbée par le stress)

Nous avons également travaillé sur l’apaisement de mon mental avec des sons binauraux, pour me détendre au quotidien, notamment lors des sessions de travail intense, et avant de dormir (les liens hypertextes renvoient vers les playlists que j’écoute)

Nous avons travaillé sur la respiration avec des exercices de cohérences cardiaques pour réguler le stress quotidien

Et nous avons convenu qu’il allait falloir me déconnecter de l’actualité en éteignant la radio (éteinte depuis maintenant avril) et en m’offrant des vacances (ce que je me suis forcée à faire, et ai réussi !)

Résultats : plus un bouton en deux semaines !

 

Aujourd’hui, je complète cette routine avec des éléments essentiels à mon quotidien :

Changer régulièrement d’environnement de travail (bosser dans un café) ou de cadre de vie (sortir de Paris)

Me faire plaisir : partir en vacances, m’offrir une part de gâteau, un massage, etc.

Laisser ma colère s’exprimer pour réussir à me calmer par la suite (j’ai besoin de laisser mes émotions s’exprimer, et non de les neutraliser)

Transcrire par écrit mes problèmes et trouver une solution pour chacun d’entre eux

 

 

Et toi, comment gères-tu ton stress pour lâcher prise au quotidien ?

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Conclusion

Voici donc mes 3 étapes pour lâcher prise au quotidien, mais surtout se sentir plus serein au quotidien. Bien sûr, il ne s’agit que de mes recommandations personnelles, qui ne correspondent pas à tout le monde. Mais je suis une contrôle freak dure à cuire 😉 Si tu as ta propre méthode pour lâcher-prise dans ta vie personnelle ou professionnelle, sans bullshit et facile à appliquer, tu peux commenter cet article ! Hâte de te lire 🙂

 

lâcher prise au quotidien

Apprendre à se connaître pour se créer une vie sur mesure

L’entrepreneuriat et le développement personnel sont intimement liés. On ne peut entreprendre fluidement, sans s’épuiser si on ne prend pas en compte ses aspirations personnelles. Il est donc essentiel de penser à la vie à laquelle on aspire au quotidien. Certains parleraient de vision, je parlerais plutot de vie sur mesure. Mais pour cela, une petite introspection est nécessaire : connaitre ses atouts, ses points faibles, ses sources d’énergie, et d’épuisement…tous ces éléments vont te permettre de construire une vie sur mesure avec laquelle tu seras parfaitement alignée ! Cet article va donc te révéler… le secret du bonheur !

 

Capitalise sur tes forces pour arrêter de lutter au quotidien 

Pour bien commencer l’année sans t’épuiser, j’aimerais qu’on fasse un point sur ce qui va t’aider à aller de l’avant, fluidement : 

Et cette chose, c’est la connaissance de toi ! 

Original non ? 😉

Plus concrètement, je te propose de faire un point sur tes forces et tes faiblesses, pour en prendre conscience, mais surtout prendre les bonnes décisions à l’aune de cette connaissance de toi :  

Pour t’aider, j’ai fait le travail pour moi, et voici ce que ça donne.

 

Mes forces physiques et mentales et sociale :

 

– Des talents artistiques précis (écriture, chant, dessin)

La résilience à beaucoup d’épreuves de la vie

– Un bon système immunitaire qui me permet de rester en bonne santé

– Un bon cardio, qui me permet de ne pas m’épuiser physiquement

– Une bonne mémoire auditive pour retenir l’information utile

– Une grande persévérance/autodiscipline pour atteindre mes objectifs

– Du courage pour prendre des décisions difficiles mais nécessaires 

– Une grande capacité d’empathie pour me mettre à la place des autres

– Une capacité de sociabilisation pour interagir avec les autres

– Un sens de l’humour pour dédramatiser des situations ou faire de l’autodérision

 

Mais même étant née la Saint-Parfait, je ne suis pas dénuée de quelques défauts…dont j’ai conscience : 

 

Mes faiblesses intellectuelles et physiques et sociales : 

 

Des limites artistiques : mauvais sens du rythme, pas de capacité liée aux travaux manuels 

– Une incompréhension des chiffres et calculs qui sortent de ma logique 

– Une réticence pour tout ce qui révèle de la technique, qui me semble trop complexe

– Une faible acclimatation aux conditions climatiques extrêmes (la sélection naturelle aura raison de moi) 

– Une mauvaise capacité de concentration pendant une activité passive (lecture, films, musées…)

– Une mauvaise orientation dans l’espace

– Une mauvaise vue malgré une forte correction

– L’impossibilité de rester debout statique pendant longtemps 

– Une faible tolérance au bruit et à la foule (bon à savoir pour les activités sociales)

 

Transformer une faiblesse en force  : le cas de l’impatience.

 

On voit souvent l’impatience comme un vilain défaut. Mais être impatient peut également avoir du bon. Et principalement dans la sphère professionnelle.

Être impatient, ce n’est pas juste être une boule de nerfs au bord de l’explosion.

Non, être impatient, c’est aussi être proactif. Et voici comment l’impatience se transforme en qualité : 

 

– En relançant un client ou un partenaire jusqu’à obtenir une réponse #modewarrior. Relancer ne veut pas dire être impoli mais montre qu’on n’est pas dépendant du bon vouloir des autres pour obtenir une réponse. 

 

– En passant à l’action pour voir des résultats : plutôt qu’attendre que les résultats arrivent tout seul, être impatient permet de prendre les devants et initier de nouvelles actions, les tester et en tirer des conclusions ! 

 

– En acceptant de se prendre des murs, pour apprendre plus vite : en continuité du point précédent, être impatient, peut aussi dire, être moins réfléchi, mais cela permet de faire des erreurs rapidement, et se relever plus facilement. 

 

– En étant synthétique et en allant à l’essentiel : être impatient, c’est aller au plus vite pour atteindre son objectif. Ca peut également vouloir dire, avoir un esprit de synthèse, et éviter les blablas (les longues conversations et réunions stériles notamment)

 

Mais ce qui compte c’est de vivre une impatience heureuse. Et pour cela, deux règles : 

Bien connaître son fonctionnement interne pour savoir ce que nous savons et ne savons pas supporter

– Apprendre à mieux gérer ses émotions pour arrêter de contrôler ce qui ne vient pas de nous

 

Tout le monde ne peut pas se transformer en Yogi Zen. L’impatience est un tempérament, une part de notre personnalité. Le problème ne vient pas de l’impatience mais du degré de stress qu’elle peut générer. Et sur ce stress, on peut heureusement agir !

Outre le cas de l’impatience, cette prise de conscience de mes qualités et défauts me permet de savoir ce qui me correspond et ce qui ne me correspond pas dans la vie sur le plan personnel mais également entrepreneurial.

C’est ainsi en m’écoutant que je gagne du temps et de l’énergie, en déléguant ou refusant de faire ce qui ne me correspond pas. Du sommeil, en étant plus sereine au quotidien, mais également de l’argent car sur le plan énergétique, je deviens plus alignée 🙂 

C’est à ton tour ! 

? Quelles sont tes forces et tes faiblesses ?

? Maintenant liste les décisions personnelles et professionnelles que tu dois prendre cette semaine : si tu dois les prendre en connaissance de tes atouts et faiblesses, que vas-tu faire ? 

 

Construire ton business model idéal 

 

  • Quand on se lance dans l’entrepreneuriat, on a tendance à adopter les business models classiques que nous propose notre secteur d’activité.
  • Pour les freelances et entrepreneurs du digital, c’est la même chose. Peu de modèle “disruptif” comme on dit, et beaucoup de mimétisme.

 

Et pourtant, ces modèles ne nous correspondent pas forcément.

Et c’est en échangeant avec Laure Matsoukis que j’en ai vraiment pris conscience.

Dans l’écosystème des infopreneurs dont je fais partie, on utilise des modèles basés sur le marketing intensif. Et laisse-moi te dire que j’ai horreur de ça.


Faire des lancements.
Des tunnels et des pages de ventes.
Des séquences mails automatiques.
Des promotions à longueur de journée.
Des notions d’urgence qui n’en sont pas.
De la publicité en continue.

Bref, je ne m’y reconnais pas.

C’est pourquoi, j’ai décidé d’arrêter de faire semblant d’aimer ça, et de n’écouter que mon ressenti. Et pour cela, écoute les réactions de ton corps quand tu dois réaliser une action liée à ton business (marketing, communication, comptabilité, rendez-vous…)..

Te sens-tu vibrer pour cela ?
Au contraire, as-tu des réactions épidermiques ?

Alors comment créer ton business idéal ?

✅ Liste tout ce que tu aimes dans ton activité : quel temps souhaiterais-tu consacrer à ces tâches ? Quelle part de ton business model représenteraient-elles ?

✅ Liste tout ce que tu détestes dans ton activité : ces tâches sont-elles utiles ? Quelle solution te permettrait de ne plus avoir à les faire ?

✅ Liste les personnes dont tu aurais besoin pour t’entourer et te sentir serein au quotidien : de quels profils as-tu vraiment besoin : quel est le profil prioritaire en ce moment ?

✅ Maintenant, comment aimerais-tu te sentir au quotidien ? Qu’est-ce qui t’en empêche encore aujourd’hui ?

✅ Comment aimerais-tu développer ta clientèle ou vendre ton offre ? Qu’est-ce qui te valoriserait le plus et t’épuiserait le moins ?

? Maintenant, quelle est la première action – aussi petite soit-elle – à réaliser dès aujourd’hui et qui te permettra de sortir ce ton cercle vicieux et commencer à construire ton business model idéal ?


?Tu te sens déboussolé et tu as besoin d’une lumière extérieure, on peut en parler de vive voix ! Pour ça, tu peux réserver un créneau dans mon agenda, le lien est dans la bio 🙂

 

Garde en tête que si ton business n’a pas encore été créé par d’autres, tu en seras le précurseur ! ?

 

Construire ton cadre de vie idéal (avec un budget illimité) 

 

Que ferais-tu de tes journées si tu avais un budget illimité ?

La semaine dernière, je me suis demandée comment j’organiserais ma vie si j’avais un budget illimité.

 

Et voici, mes conclusions : 

Sur le plan professionnel, je coacherais des amis dans des lieux sympas /je ferais des immersions d’entrepreneurs à l’étranger/Je vendrais mes contenus dans un ebook.

Au niveau de ma qualité de vie au quotidien, je dormirais dans de la literie d’hôtel et j’aurais une baignoire.

Au niveau de mon bien être, j’irais dans un spa/jacuzzi/massage privé tous les soirs.

  • Sur le plan divertissement, je me payerais Canal on demand pour regarder tous les films qui me font envie et je prendrais des cours de chant Disney acapella avec Evynn Howens 
  • Au niveau de mes déplacements, je passerais mon permis à la pampa OU j’aurais un budget uber illimité.
  • Sur le plan “mode de vie”, je voyagerais (Suisse, Japon, Islande, Ecosse, Laponie, Birmanie, Bouthan, Nouvelle-Zélande, Tanzanie). Bref, je vivrais dans différents endroits en fonction de l’envie du moment.

 

Peut-être aurais-je même une maison en Suisse près d’un lac et un pied à terre au Japon (dans un ryokan). 

 

Au niveau accomplissement personnel, je ferais le pèlerinage de Shikoku et je l’offrirai à un ami ET je dormirai dans le nouveau camping Ghibli construit au Japon en 2021. 

J’ai donc repris tous ces points et me suis rendue compte que l’argent n’était quasiment pas une barrière pour réaliser mes rêves. Je peux en effet commencer petit (ce que je fais déjà avec mon mode de vie actuel) et planifier ces différents projets dans le temps.

 

? Conclusion : une  vraie libération et une foi en l’avenir ! 

Et toi qu’est-ce qui t’empêche encore de mener ta vie de rêve ?

 

Construire tes vacances idéales 

Il y a deux ans, je suis partie en vacances en Croatie avec une amie. 

Je vais te faire une confidence : malgré les photos postées sur les réseaux sociaux et les paysages de rêves, mes vacances n’étaient pas à l’image de ce qu’elles auraient pu être.

Pourquoi ?

Parce que je n’ai pas assez insisté sur le choix de la destination. 

 

Construire des vacances à mon image : ce que j’aurais dû faire

Nous sommes parties en Croatie, mais au fond de moi, j’aurais préféré le Monténégro ou la Slovénie. Moins de plages, moins de touristes, plus de paysages montagneux.

Je n’ai pas assez insisté sur le choix de destination et j’aurais dû.

J’ai eu du mal à supporter la chaleur et l’humidité croate et je ne parle pas du nombre délirant de touristes (oui je sais, c’était la pleine saison dans le pays qui a accueilli le tournage de Game of Thrones. What did you expect Yéza ? ?) Résultats : je n’étais pas du tout dans mon élément et comme j’avais ma part de responsabilité, je me suis un peu renfermée sur moi-même, ce qui n’est pas très agréable pour l’autre quand on voyage accompagné.

Mais la leçon de l’histoire est la suivante : ce voyage m’a permis de revoir ma définition personnelle du mot vacances, qui est sûrement différente de celles de beaucoup de personnes (si je gagne un voyage aux Caraïbes pour bronzer sur des plages de sable fin, tu peux être sûr que je revends mon billet).

 

Revenir à l’essentiel  : ce que m’ont permis ces vacances

 

Ces vacances m’ont tout de même permis de réfléchir et de penser à moi. Quelle est ma vérité ? Qu’est-ce qui me fait me sentir bien ? Qu’est-ce qui est facile pour moi ?

Et bien, voici le résultat de mes réflexions.

Ma voix intérieure m’a suggéré les choses suivantes : 

 

▪ Lâcher prise sur mon activité pour y porter un regard plus neuf 

▪ Choisir la voie la plus facile quand elle se présente 

▪ Faire plus de choses qui me font vraiment plaisir pour mieux ressentir le bonheur 

▪ Passer plus de temps avec ma famille 

▪ Ne pas dépendre des autres pour agir et faire les choses qui me semblent essentielles à mon bien être, même seule. 

 

Résultats : j’ai bloqué quelques jours pour moi à mon retour sur Paris pour : 

 

▪ Prendre le temps de me poser,

▪ Regarder de nouvelles séries sur Netflix,

▪ (Re) manger équilibré,

▪ Courir et faire de l’aikido,

▪ Profiter de l’air frais,

▪ Profiter de la ville désertée,

▪ Me balader sur mon beau vélo,

▪ Etre reconnaissante pour mon cadre de vie

 

Et planifier quelques petites escapades en dehors de Paris. 

Et si c’était aussi ça les vacances ?

? Et toi, que te suggère ta voix intérieure en ce moment ?

 

 

Conclusion :  comment avancer dans la vie 

 

Ces derniers temps, je me suis beaucoup plaint de la situation que nous connaissons tous actuellement.

J’avais besoin d’exprimer ma colère et mon sentiment d’injustice.

Cela m’a fait du bien d’extérioriser mes sentiments, mais je me suis malgré moi retrouvée dans une spirale négative, en dégageant les mauvaises énergies.

Il m’aurait été difficile de me contenir et de rester neutre. Cependant, j’ai ressenti le besoin d’aller de l’avant par la suite.

En effet, lorsqu’une situation qui ne nous convient pas se présente à nous, il existe 3 choix :

 

? La subir : mais ce n’est pas du tout dans ma nature de subir une situation que je trouve injuste.

? Se rebeller en agissant : mais n’ayant pas trouvé un rassemblement assez fort pour lutter, j’ai vite abandonné cette idée

? Fuir en prenant de la distance : dans ce contexte, la fuite n’est pas lâche, mais une façon de me préserver. J’ai donc choisi de prendre une distance physique avec mon lieu de vie : Paris.

 

Et c’est lors d’une insomnie, que j’ai construit mon plan de voyage 2021.

 

Mes objectifs avec ce plan de vie sont les suivants :

⭐ Changer d’environnement, pour aérer mon esprit qui manquait d’air frais

⭐ Découvrir d’autres cultures, de France, d’Europe et d’ailleurs

⭐Trouver un endroit où je me sens bien pendant la tempête et après.

 

Mes avantages :

✅ Ma trésorerie me permet de voyager modérément (et je peux sous-louer mon appartement)

✅ Mon métier est 100% digitalisé

✅ Je suis bien entourée sur le plan business grâce à de bons investissements réalisés en 2020.

 

Je vois une belle réussite dans tout ce processus de prises de décisions :

✅ J’arrive à voyager seule

✅ Je décide de m’écouter et de vivre en mode YOLO

 

Alors, si toi aussi, tu te demandes si tu peux avancer dans la vie, pose-toi les questions suivantes :

 

✔ Vis-tu dans un environnement apaisé ?

✔ Que peux-tu faire face à une situation qui te révolte ?

✔Qu’est-ce que tu rêves de faire et que tu t’empêches de faire sur le plan pro ? et personnel ?

✔ Quel serait le premier petit pas que tu puisses faire MAINTENANT?

 

Bonne réflexion !

 

 

 

 

 

Comment réussir à garder le cap pour votre entreprise pendant la crise en 2021

Personne n’est à l’abri d’une crise économique et la pandémie que nous avons subi en 2020 a touché tous les secteurs, tous pays confondus, en mettant toutes les activités à l’arrêt pendant plusieurs semaines. Dans ce contexte, comment entreprendre pendant la crise ? Je vous donne mes meilleurs conseils pour gérer au mieux cette situation particulière et savoir mettre tout ce temps au profit de votre business !

 

Repenser votre business model à l’heure de la crise 

 

Le Covid-19 a impacté beaucoup d’entreprises tributaires d’entreprises clientes. 

Que nous soyons à la tête d’un business en ligne ou non, nous ne sommes pas immunisés car l’économie ne fonctionne pas en vase clos.

 

Cela dit, il y a des secteurs plus affectés que d’autres par cette crise sanitaire et économique : 

✔ L’événementiel

✔ Le tourisme

✔ La restauration

 

Cet épisode dramatique peut être une belle occasion de repenser votre business model et de rebondir. 

 

➰ En numérisant une partie de son activité comme ça peut être le cas d’entreprises du secteur événementiel.

➰ En proposant des circuits locaux/court comme on pourrait le faire dans le secteur du tourisme et de la restauration 

➰ En développant une activité parallèle (side project) avec un modèle économique simple

➰ En créant un métier flexible et adaptable en cas de crise .

 

Ce qui ne tue pas rend plus fort, entend-on souvent. Alors n’oublions pas la crise une fois passée. Servons nous en pour construire des business plus solides, plus flexibles et plus résilients

Pour survivre en tant qu’individu, soyons résistant.

Pour survivre en tant qu’entrepreneur, soyons adaptable.

Pour repenser votre business model à l’heure de l’effondrement, soyons visionnaire.

 

Réussir à lâcher prise pendant la crise

Ca fait maintenant presque un an que nous connaissons des restrictions sanitaires liées à la crise du COVID et ce n’est pas fini.

Je ne vous cache pas que les premiers mois ont été difficiles :

  • Mentalement parce que je ne pensais pas vivre une situation comme cela un jour et que la transition était inexistante
  • Professionnellement parce que comme beaucoup, j’ai connu un ralentissement d’activité les premiers jours du confinement.

 

J’ai d’abord eu un sentiment de désespoir :

  • Plus de vie sociale
  • Plus de loisirs 

 

Puis de peur :

  • Peur d’une crise économique plombant mon activité
  • Peur des investissements déjà engagés pour développer mon activité .

 

Chaque matin, quand je me réveillais, je ne réalisais toujours pas la situation dans laquelle nous étions.

Puis, au bout de quelque temps, mon cerveau a accepté la situation.

 

Sur le plan personnel :

J’avais fait le deuil de ma vie sociale pour le temps jugé nécessaire.

J’ai réalisé que j’étais très bien entourée en observant les personnes qui prenaient de mes nouvelles.

J’ai accepté l’idée que toute idée de projet ou de planification était impossible.

 

Sur le plan professionnel 

 

J’ai échangé avec d’autres entrepreneurs pour connaître leur ressenti.

J’ai compris que j’avais fait les bons choix en terme d’investissement en voyant loin

Je n’ai pas arrêté de communiquer et j’ai voulu resserrer le lien avec ma communauté.

 

Alors comment passer de la déprime à l’action ?

 

  • En adaptant son organisation au confinement.

 

Pour moi ça ne change pas grand chose, mais j’ai introduit des moments pour des activités oisives à distance (aikido, chant, sport d’intérieur).

 

  • En voyant loin

 

La crise est un épisode temporaire, et je veux dès maintenant préparer l’après. j’agis aujourd’hui pour dans quelques mois. C’est de cette manière qu’il faut penser l’entrepreneuriat.

 

  • En étant reconnaissante

 

D’être bien avec moi-même, de savoir m’autodiscipliner, d’être créative, mais également d’avoir de la trésorerie, et une activité en ligne. 

 

  • En utilisant ma capacité de résilience

 

Pour m’adapter au changement, et le vivre du mieux possible, mais également pour puiser dans ma créativité pour adapter ma communication et mon activité. 

 

Et vous, comment vivez-vous cette période inédite ?

 

Pourquoi continuer à entreprendre en 2021, dans un contexte incertain ?

Pourquoi devenir entrepreneur en 2021 ?

J’ai récemment échangé avec des aspirants entrepreneurs qui se posaient la question de se lancer en cette période incertaine.

Ils étaient bloqués par un certain nombre de peurs qui les empêchaient de franchir le pas :

 

✅ Stabilité d’un job salarié

✅ Peur de ne pas joindre les deux bouts

✅ Absence de visibilité sur la durée de cette crise économique

 

Et c’est tout à fait compréhensible.

Seulement, le risque est dans l’ADN de l’entrepreneuriat.

Reste à définir si ce risque est modéré ou non.

 

? Vous mettez-vous en danger financièrement en vous mettant à ton compte ?

? Avez-vous un chômage d’au moins un an ou des ressources personnelles de côté ?

 

Ces questions sont essentielles à qui veut se lancer dans l’entrepreneuriat.

Par ailleurs, vous ne pouvez pas contrôler la conjoncture économique car elle est extérieure à vous.

Mais cette conjoncture n’est pas défavorable à tous !

 

Au contraire, certains entrepreneurs surfent sur la vague :

 

Les formateurs ayant digitalisé leur contenus

Les coachs

– Les entreprises qui font de la livraison

– L’industrie du papier toilette 😉

 

Vous aussi vous pouvez trouver un secteur qui cartonne !

Bien sûr, cela ne suffira pas à décoller d’un coup. Il vous faudra également définir un positionnement clair sur votre marché pour sortir du lot.

De même, il faudra construire une stratégie solide pour trouver des clients rapidement.

Tout ce travail demande de l’énergie mais en vaut la peine si vous rêvez de lancer votre projet entrepreneurial.

Et n’oubliez pas que vous n’êtes pas pas seul. D’autres entrepreneurs sont passés par là et pourront vous apporter soutien et conseils.

 

Lorsque je me suis lancée en 2017, j’ai énormément travaillé mon réseau pour obtenir le plus de recommandations de cet écosystème entrepreneurial.

 

Aujourd’hui, j’apporte également mon regard à des entrepreneurs débutants.

Et pour ceux qui sont vraiment déterminés, je les accompagne pour franchir le pas.

Si c’est votre cas, vous pouvez m’appeler pour échanger de vive voix.

 

L’entrepreneuriat est une opportunité qui s’offre à vous,  saisissez-là 🙂

 

Bilan : ce que m’a appris la crise économique que nous traversons 

Lorsque la crise est arrivée en 2020, j’étais paniquée.

Cette situation inédite m’avait mise dans tous mes états.

 

Deuxième confinement, j’ai décidé qu’on ne m’y reprendrai pas, et j’ai décidé d’adapter mon mode de vie à ces événements inédits, pour ne pas les subir.

C’est de cette manière que j’ai décidé soudainement d’être digital nomade pour trouver une flexibilité dans mon cadre de vie et de travail.

Sur ce point, j’ai compris qu’il fallait vivre au jour le jour, prendre des vols sans retour, et prendre une décision de dernière minute pour courir dans le pays le plus “safe”. De même, je réserve des Airbnb sur une courte durée au cas où la situation changerait.

C’est de cette même manière que j’ai décidé d’adapter mes contenus mais également mes offres au contexte actuel.

Il ne s’agit pas de changer mon positionnement ou ma ligne éditoriale mais d’être à l’écoute de mon audience.

Lorsqu’on entreprend il faut une grande capacité d’adaptation. Si tes clients ont peur de l’avenir et n’arrivent pas à se projeter, essaye de leur proposer des offres de courte durée, à moindre prix, mais qui bien sûr te demanderont moins de travail.

L’adaptation est une grande force qui vous permettra de devenir un entrepreneur résilient et ne pas subir une situation inconfortable.

 

Conclusion

 

Voici donc mes conseils pour mieux vivre 2021 :

– Prenez des décisions rapidement et rectifiez le tir si besoin.

– Trouvez ce qui vous donne de l’énergie en faites-en votre ressource

– Reconnectez-vous à ce qui vous est essentiel pour retrouver vos repères

 

2021 est là. Vous allez pouvoir entamer cette transition en douceur.

Comment construire des relations clients et prestataires durables

Pourquoi est-il aussi important de construire une relation client durable quand on est entrepreneur ? Etre entrepreneur, c’est avant tout savoir bien s’entourer. Partenaires, clients et prestataires sont plus que précieux pour avancer dans un écosystème où il ne fait pas bon d’être seul. Qu’il s’agisse de scaler ou tout simplement de limiter sa charge mentale au quotidien, construire des relations clients et prestataires durables est essentiel pour développer son entreprise sereinement. Mais comment s’y prendre pour instaurer une véritable confiance dans son entourage professionnel ? Pour ne pas commettre d’impairs ? Ou ne pas perdre du temps avec les mauvais collaborateurs ? Voici mes pistes.

 

I – Une relation client durable est avant tout une relation basée sur la confiance (fiabilité)

relation client durable

Comment bien choisir son prestataire dans le cadre d’une relation client durable

 

Dans ma vie personnelle comme professionnelle, je fais régulièrement appel à des personnes pour m’aider à aller de l’avant.

Seulement, il m’est arrivé à plusieurs reprises de perdre mon temps avec les mauvaises personnes :

  Des personnes peu sympathiques (rédhibitoire pour moi)

  • Des personnes peu encourageantes (en tant que coach, je suis très sensible à la bienveillance)
  • Des personnes peu pédagogues (explication vaseuses et non fondées comme si elles répétaient bêtement ce qu’elles avaient elles même appris sans comprendre)
  • Des personnes dont l’offre est floue (ce manque de clarté me refroidit et me donne l’impression qu’on veut m’arnaquer)
  • Des personnes qui manquent de légitimité (sans preuve sociale, j’ai du mal à voir un professionnel ou du moins envisager une collaboration de long terme)
  • Des personnes sûres d’elles aux résultats mitigés : certaines personnes n’ont aucun scrupule à brandir des résultats et une méthode qui ne marche pas pour tous..c’est pour moi un défaut d’humilité et de maturité professionnelle
  • Des personnes directives et non à l’écoute “fais ça” : là aussi, c’est le coach en moi qui parle : quand vous avez un client frileux en face de vous, rassurez le, ne le brusquez pas !

Ce que m’illustre ce constat : ce n’est pas parce qu’on est un sachant qu’on est un bon enseignant. La pédagogie tout comme l’empathie doivent être travaillées quand elles ne sont pas “naturelles”.

Je choisis les professionnels avec qui je travaille à l’aune des points vus plus haut.

Par conséquent, si vous sentez qu’un professionnel n’est pas fait pour vous, “n’attendez pas, changez !! »

 

Maintenant, comment trouver un prestataire fiable ?

 

Si vous commencez à développer votre entreprise, vous avez peut-être été confronté à la problématique du recrutement.

Pour passer à la vitesse supérieure de votre activité, il faut vous entourer d’une équipe, constituée de personnes de confiance.

Mais pour cela, il va falloir que vous soyez au clair sur vos besoins et vos attentes vis à vis d’un prestataire pour faire le bon recrutement.

Et surtout, trouver un prestataire fiable, ce qui n’est pas toujours tâche facile !

Certains vont par exemple vous faire faux bond du jour au lendemain en disparaissant dans la nature.

Mais c’est le revers de la médaille de travailler avec des freelances : flexibilité peut ainsi être synonyme d’absence d’engagement.

Au delà de ce manque de professionnalisme, il convient surtout d’identifier les bons indicateurs d’un prestataire fiable.

 

Et pour ça, voici mes 3 recommandations :

Vérifiez qu’il soit digne de confiance (avis clients, références, recommandations, présence en ligne)

Estimez si il a une vraie valeur ajoutée dans ses missions

Soyez sûr que la délégation ne soit pas chronophage : vous ne devez pas revérifier tout ce qu’il fait.

J’espère que ces recommandations pourront vous aider à gagner du temps dans votre recrutement !

 

Plus généralement, quelles sont les clés d’une bonne relation client durable ?

 

Il y a quelques jours, j’ai échangé avec une amie qui n’était pas contente de son assistante. Elle lui reprochait plusieurs choses dont des coûts cachés, et une relation déséquilibrée.

Si vous souhaitez commencer une relation saine avec un prestataire, il y a quelques étapes préliminaires à mettre en place :

– Vous demander ce que vous voulez déléguer et surtout pourquoi (parce qu’on vous a dit de le faire, parce que vous manquez de temps, parce que vous n’êtes pas compétent)

– Vous demander quelle relation prestataire vous souhaitez construire : affirmer une position hiérarchique ? De leadership ? Trouver un collaborateur ? Devenir un coaché/apprenant ?

– Quels sont les principes/valeurs sur lesquels vous êtes intransigeant et sur lesquels vous pouvez être flexible : ton utilisé borderline/réactivité des échanges ?

– Quel mode de communication utilisez-vous au quotidien pour échanger ? Avez-vous des points téléphoniques/physiques réguliers ?

– Avez-vous des process en place pour suivre les tâches du quotidien ?

Voilà comment construire des relations saines avec vos prestataires de service.

A vous de jouer !

 

II –  Une relation client durable est avant tout une relation équilibrée (plus de rapport hiérarchiques)

relation client durable

Comment vous faire respecter par vos prospects ?

 

Récemment, un prospect m’a contactée car intéressé par l’une de mes formations. Ayant un certain budget sur son compte CPF, il a souhaité compléter la formation en ligne avec quelques heures de coaching.

Je lui a annoncé un tarif, qui était légèrement supérieur à ce qu’il avait sur son compte CPF.

Il devrait donc compléter la différence (d’environ 200 euros).

Il m’a directement demandé de lui faire “un geste commercial” sans enlever d’heures de coaching, pour que la prestation rentre tout pile dans son budget CPF.

J’ai refusé.

Et surtout, je lui ai expliqué pourquoi :

Je prends du temps à éduquer mes clients et mon audience sur la notion d’investissement pour développer son activité sereinement, à travers des contenus réguliers.

Je ne fais pas de ristourne sur demande, et encore moins sur une formation financée à 90% par le CPF. C’est contraire à mes valeurs.

Les prises en charge sont un plus, une cerise sur le gâteau et non un moyen de “dilapider” son argent.

 

Définissez vos besoins réels en formation

Estimez combien vous pouvez investir

Voyez ensuite si vous pouvez bénéficier d’une prise en charge pour compléter

 

Pensez comme un entrepreneur, et donnez-vous les moyens de réussir ?

 

De manière générale, comment construire une relation client durable et saine ?

 

Il y a quelques jours, je me posais la question de qui étaient mes clients idéaux et…je les ai visualisés en 2 secondes ! 

– Ils sont responsables, et mettent en place les conseils que je leur donne

– Ils sont réfléchis et savent identifier leurs points de blocage

– Ils savent investir, et comprennent la valeur d’un accompagnement personnalisé

– Ils ne sont pas chronophages mais autonomes

– Ils sont flexibles au niveau des créneaux de nos rdv

– Ils ont le sens de l’humour et c’est agréable de les coacher

– Ils voient ce que je leur apporte, et je n’ai pas à prouver ma valeur auprès d’eux 

– Ils sont stimulants et m’inspirent dans leur parcours 

– Ils sont challengeants et me permettent de monter en compétence

– Ils pourraient être mes amis (et parfois le sont) et je peux être totalement moi-même avec eux

Ces clients ne courent pas les rues, me diriez-vous !

 

Peut-être, mais mieux vaut mettre votre énergie à rechercher vos clients idéaux plutôt que d’attirer “monsieur tout le monde” qui ne voit pas en vous la valeur ajoutée que vous pouvez lui apporter. 

Pas plus tard qu’hier, je discutais avec une amie consultante qui avait une grande peur : avoir ses clients insatisfaits. 

Le problème de cela, c’est qu’elle se pliait en quatre pour les satisfaire et travaillait plus que prévu. Elle n’osait pas non plus demander à ses clients de décaler un rdv qui ne l’arrangeait pas. Elle avait sans le vouloir une relation déséquilibrée avec ses clients, et par conséquent n’était pas libre.

Une relation client durable et saine est une relation entre collaborateurs, sur un même pied d’égalité, sans sacrifice.

Une relation client durable et saine n’implique pas d’être disponible H24, mais vous fixer vos propres règles en accord avec vos valeurs et les faire respecter.

Une relation client durable et saine implique que votre client reconnaisse votre expertise et vous considère à votre juste valeur. Cela implique qu’il ne discute pas vos tarifs et vous traite avec respect.

?Alors, avez-vous défini qui étaient vos clients idéaux ?

?Savez-vous construire une relation saine avec vos clients ? 

 

III – Une relation client durable est avant tout une relation basée sur l’écoute (compréhension des besoins de vos collaborateurs) 

relation client durable

Vos prospects ne savent pas ce dont ils ont vraiment besoin

 

Je me rends compte en échangeant avec des prospects plutôt “novices” qu’ils n’ont souvent aucun sens des priorités pour développer leur activité.

Par conséquent : ils vont investir au mauvais endroit au mauvais moment.

Quand on ne dégage pas de chiffre d’affaires, il serait urgent de commencer à se faire accompagner sur les bases du business avant d’investir dans une identité visuelle.

Quand on cherche à créer une communauté, il serait urgent de commencer par une stratégie de contenu et de communication avec de réfléchir à son site web.

Par ailleurs, beaucoup de prospects cherchent des solutions rapides à des problèmes structurels dont ils n’ont pas conscience.

Obtenir des likes sur un réseau social n’est pas la solution pour vivre de son activité, ni même la garantie d’un bon taux d’engagement.

Obtenir des certifications ne va pas non plus aider à trouver des clients.

En revanche, avoir une vision pour son business, et une stratégie de développement, oui.

Le prospect ne sait souvent pas ce dont il a besoin car il mobilise sa faible connaissance d’un sujet dont vous êtes l’expert. Ne vous laissez donc pas déstabiliser. Si vous voulez aider votre prospect :

✔️Proposez lui le meilleur pour lui (quitte à déléguer)

✔️Refusez sa demande si elle est inadéquate ou absurde

✔️Faites de la pédagogie : c’est votre rôle d’expert.

 

J’entends souvent ce vieil adage : “donnez leur ce dont ils ont besoin, vendez-leur ce qu’ils veulent”.

C’est un peu “tricky” : aller dans le sens du client peut certes aider à vendre, mais rompt totalement avec l’idée d’ “éducation” du client. 

Votre prospect peut faire les mauvais choix, mais s’en rendra compte…peut être trop tardivement.

Si vous voulez l’aider, proposez lui de tester par lui même pendant une période définie (3 mois par exemple), si ses finances lui permettent une phase de test, et d’ensuite évaluer sa stratégie. Si elle n’a pas marché, vous crédibilité en sortira renforcée.

Je m’adresse maintenant aux prospects en questions : laissez les experts vous guider, vous gagnerez en temps, en énergie et à terme, en argent. Acceptez d’avoir à remettre en cause votre mode de fonctionnement. Acceptez des conseils déstabilisants et faites preuve d’humilité pour avancer.

Je suis professionnelle, experte mais aussi prospect. Je sais me placer des deux côtés et reconnaître quand mes demandes sont inappropriées par rapport à mes besoins. Et c’est quand un professionnel m’en fait rendre compte, que je me rends compte que j’ai affaire à un véritable expert.

Prospects, pensez au bien de votre entreprise, et remettez-en vous aux experts, pour construire un business prospère.

 

Marre de courir après vos prospects : mais visez-vous les bons clients ?

 

Visez-vous les bons clients ?

L’une des plus grandes peurs des entrepreneurs est de perdre leurs clients. Et pour cela, ils n’hésitent pas à casser leurs tarifs. Le problème, c’est qu’on ne peut pas devenir une entreprise rentable avec un raisonnement basé sur la peur.

Mais la question de fond est : ces prospects après qui vous courrez sont-ils vraiment les bons ?

Et bien non !

Le bon client, c’est votre client idéal :

Celui qui achète parce qu’il croit en la transformation que vous pouvez lui apporter

Celui qui sait investir sur lui pour réussir

Celui que vous n’avez pas besoin de convaincre.

Alors comment trouver le client idéal ?

En définissant une politique tarifaire avec laquelle vous êtes aligné

En affirmant votre mode de fonctionnement

En filtrant les prospects “touristes”

Oui, c’est une stratégie plus risquée

Mais vous allez gagner du temps à ne plus vous entretenir avec des prospects non qualifiés.

Et c’est dans ce cadre que j’ai décidé d’afficher mes tarifs, même si c’est souvent déconseillé car, je suis alignée avec mes tarifs, j’ai des conversations plus fluides lors de mes appels découvertes et je filtre les prospects qui n’auraient de toute manière jamais été convaincus par ce que je leur propose.

Et vous, visez-vous les bons clients ?

Maintenant, faut-il relancer un prospect disparu  dans le cadre d’une relation client durable ?

 

A qui cela n’est-il pas déjà arrivé ? Rien n’est moins agréable que de se retrouver désemparé devant des prospects qui font les morts ? Comment réagir ? Harceler ou laisser tomber ?

Vous prenez le temps d’organiser un rendez-vous téléphonique avec votre prospect, de lui rédiger une belle proposition commerciale et POF ! Plus de prospect, disparu !

C’est très frustrant mais c’est courant. Et je vous rassure, vous n’êtes pas le seul à vous remettre en question.

Mais tu te demandes sûrement pourquoi tu t’es fait “ghoster” par ton prospects.

 

Alors voici les raisons de ce silence :

– Le prospect n’a pas trouvé votre proposition intéressante et il n’a pas pris la peine de vous répondre

– Le prospect n’a pas fait de votre offre une priorité et s’est laissé submergé par son quotidien.

 

C’est très simple mais c’est souvent ces deux raisons qui poussent votre prospect à faire le mort.

Maintenant, devez-vous relancer un client  ?

OUI, une première fois pour être fixé sur la réponse du prospect. Relancez entre une semaine et 10 jours après avoir envoyé votre proposition commerciale. Vous pouvez dire à votre prospect que vous avez besoin de vous organiser et qu’il vous faut une réponse, même négative.

Puis NON pour le harceler en permanence : mettez-vous à la place d’un prospect “lâche” ou qui n’ose pas vous dire non : répondriez-vous si vous vous faisiez harceler de messages ? Vous avez la réponse 🙂

Le silence est malheureusement une réponse. Et vous pouvez appliquer cette règle dans votre vie personnelle également !

Maintenant, comment éviter d’avoir un prospect qui disparaît ?

Finissez votre entretien en lui proposant un deuxième rendez-vous téléphonique pour faire le point sur sa décision.

Annoncez-lui une deadline pour réserver sa place dans un programme.

Jouez la carte de l’empathie : en lui disant que c’est très désagréable de ne pas avoir de réponse et que tu préférerais une réponse négative à un silence.

Et en amont : mettez en place un questionnaire de présélection pour éviter les “touristes”

Vous n’êtes pas responsable du comportement de votre prospect. Si malgré un appel découverte qualitatif et une relance, le prospect ne revient pas à vous, c’est que votre collaboration ne devait pas se faire

Et puis comme on dit, un de perdu, 10 de retrouvés  ! 

 

Pour conclure : êtes-vous bien entourés ?

 

A delà de la relation client et prestataire, c’est la question de l’entourage que cet article pose. Et c’est ultra important quand on est solo preneur de bien s’entourer.

Laissez moi vous donner un exemple de relation authentique et durable avec une amie et collaboratrice entrepreneure.

J’ai eu le plaisir de croiser le chemin de Céline Alfonso Tirel, lors de mon passage à Bordeaux. Cela fait presque deux ans que nous échangeons avec Céline via messages interposés, et nous savions que le feeling passerait de manière évidente de visu. Et tel fut le cas !

Et c’est d’ailleurs grâce à Danilo Duchesnes que cette mise en relation a été possible !

Nous avons abordé des sujets très divers et deux heures n’ont évidemment pas suffit à tout balayer. Parmi les sujets abordés :

La gestion de la vie pro/perso quand on est entrepreneur et les difficultés à “couper”

L’hygiène de vie au quotidien

La confiance en soi sur le plan pro et perso

La loi de l’attraction

Les relations clients et le besoin de cadrer

 

Céline fait partie de mes relations client durable qui m’enrichissent. Alors voici mon conseil : cultivez votre réseau et cultivez-le bien !

Vous n’avez pas besoin d’aller dans des rendez-vous mondains. Faites de l’individuel et créez des relations profondes avec vos relations

Si vous êtes éloignés géographiquement des grandes villes, regardez qui sont les entrepreneurs locaux, ou faites des visios en one to one le cas échéant.

Prenez régulièrement des nouvelles de votre réseau et donnez en en retour

Entourez-vous des meilleurs pour aller de l’avant et vous tirer vers le haut

Un bon réseau est une énorme valeur ajoutée car c’est une source de stimulation intellectuelle énorme mais également d’opportunités professionnelles. C’est pourquoi, accédez à un réseau peut être payant. Alors commencez par sortir de votre isolement, pensez qualité et non quantité, et ce, même si comme moi, vous êtes introverti (et oui! ).

Et vous, vous sentez-vous bien entouré sur le plan entrepreneurial ?

 

La trentaine : une révolution personnelle et entrepreneuriale en 5 points

Il y a quelques jours, je regardais des photos de moi d’il y a deux ans. J’en ai tiré le constat que j’avais bien changé…mais en mieux ! Mon apparence physique est aussi le reflet de ce qu’il se passe dans ma tête. Mon corps évolue ainsi avec moi. Mais plus généralement, de gros changements physiques et psychologiques s’opèrent quand on se rapproche de la trentaine. Et bien sûr, en tant qu’entrepreneur, notre activité suit le mouvement. Alors pour mieux vivre cette période transitoire, prendre conscience de ces changements permettra de les accompagner…en douceur.

 

1 – L’affirmation de soi, l’un des premiers changements remarquables de la trentaine

Depuis mes 28 ans, je commence à m’affirmer dans tous les domaines de ma vie. Ce travail d’affirmation de moi, est la résultante d’années de travail introspectif que le développement personnel m’a permis de réaliser. Depuis quelques années, j’arrive enfin à m’affirmer, et à me faire confiance. 

Cela me permet aussi d’assumer mes différentes aspirations et mon rythme, souvent en décalage avec mon entourage. Finies les vacances fêtardes et subies, maintenant je pars seule. Finis les événements mondains énergivores, maintenant je décline les invitations. 

Je me recentre sur ce qui me stimule et me donne de l’énergie. 

Je coupe ainsi toute source de fatigue, et opère un tri sélectif au niveau de ma vie sociale.

Par ailleurs, cette affirmation de soi, me permet également de refuser l’inacceptable et prendre conscience de ma propre valeur. 

Refuser l’inacceptable sur le plan professionnel avec des relations employeurs déséquilibrées et malsaines. J’ai d’ailleurs fait le choix de quitter le monde ultra hiérarchisé du salariat à 27 ans. 

Refuser l’inacceptable sur le plan personnel, en mettant fin à toute relation médiocre et irrespectueuse sur le plan amical, familial, ou intime. Ma personnalité, tu l’aimes ou tu la quittes ! 

 

2 – Les changements physiologiques : un cap à passer !

Depuis environ un an, je constate des changements physiologiques dans mon corps : quelques cheveux blancs apparaissent sur ma tête, mes cheveux changent également de nature en étant moins épais qu’avant.

Sur le plan émotionnel, ma peau réagit différemment à l’environnement externe et au stress (le confinement m’a fait connaître de grands dérèglements hormonaux), et mon corps devient plus sujet aux insomnies que je commence à apprivoiser. Pour gérer mon stress au quotidien, je mets en place des routines que mes rendez-vous réguliers chez ma naturopathe me permettent de conserver. 

Sur le plan nutritionnel, mon envie de mieux me nourrir a également eu des impacts positifs sur mon poids (j’ai perdu 5 kilos depuis 6 mois grâce à cette nouvelle façon de me nourrir), mais rend mon corps beaucoup plus intolérant aux écarts et excès. 

En étant à l’écoute de mon corps, j’arrive ainsi à vivre plus sereinement. 

 

3 – Un changement de vie plus aligné avec ses valeurs 

C’est à 30 ans que je décide de quitter ma vie parisienne pour parcourir le monde tout en entreprenant une crise ? Une révolution ?

Peut-être les deux ! Mais un choix parfaitement aligné avec mon évolution. 

Je suis donc devenue digitale nomade, sans chez moi fixe, et de plus en plus ouverte à de nouvelles rencontres.

L’envie de voyage qui m’avait quitté depuis mon échange universitaire aux Etats-Unis 10 ans plus tôt m’est soudainement revenue. La crise sanitaire que nous connaissons aujourd’hui n’est peut-être pas la meilleure période pour entreprendre ces changements de vie soudains, mais pour moi, c’est au contraire un véritable défi ! Mon mode de vie itinérant prend tout son sens aujourd’hui, d’autant plus que je n’aurais sûrement jamais entrepris ces changements sans cette “urgence”. 

 

4 – Une quête d’alignement professionnel qui passe par une reconnexion à ses aspirations profondes

Cette année, j’ai opéré un nouveau pivot sur le plan entrepreneurial. J’ai décidé d’écouter mon intuition et me reconnecter à ce qui me faisait vraiment vibrer.

Plus de stratégie ou de plan d’action dicté par d’autres. Plus de voie toute tracée ou de vision prédéfinie. Plus de pression de chiffre d’affaires et de passage à l’échelle.

Je construis un business à mon image, et me pose les vraies questions : qu’ai-je envie pour ma vie personnelle ? Comment mon activité peut-elle s’adapter à cette vie personnelle ? 

Au lieu de chercher à construire quelque chose de noble et plus grand que moi ayant pour finalité de servir la terre entière, j’assume que mon entreprise aura pour mission de servir ma vie personnelle, que je veux équilibrée, pleine d’aventures…et de plaisir. 

Ne dit-on pas qu’on ne peut aider les autres qu’une fois que l’on se sera aidé soi-même ? 

Cette année est donc celle de la quête de sens, de la remise en question des modèles préétablis et de l’affirmation de moi sur le plan professionnel ! 

C’est une véritable prise de risque, mais ne suis-je pas une entrepreneure après tout ? 

 

5 – Une connexion aux énergies spirituelles et une ouverture à l’ésotérisme

Depuis la fin de mes 28 ans, je m’ouvre au grand monde du développement personnel pour trouver des réponses à des questions personnelles : ma quête d’identité et d’origines, mes relations sentimentales, mais également des problèmes physiologiques. 

Bien qu’encore novice, ces pratiques alternatives m’ont ouverte à un nouveau monde, et m’ont guidée vers un chemin qui m’était encore inconnu.

L’hypnose m’a permis de me relancer dans la recherche de ma famille biologique en me reconnectant à mes questionnements les plus profonds. 

Les soins énergétiques ont soigné problèmes d’oreille interne et de maux de transports.

La naturopathie m’a permis de rééquilibrer mes dérèglements hormonaux. 

Je m’ouvre aujourd’hui (encore à petite dose) à l’astrologie et aux oracles pour comprendre mes insomnies. 

 Bien sûr, il faut être ouvert à ces pratiques pour en voir les fruits.

Mais c’est l’absence de résultat et le côté trop terre à terre de la médecine traditionnelle qui m’a ouverte vers ces nouvelles pratiques qui sont arrivées dans ma vie au moment où j’en avais le plus besoin. 

J’arrive aujourd’hui à faire des demandes à l’univers, et comprendre le fonctionnement de la loi de l’attraction. 

Je n’arrive pas encore à lâcher prise sur tout mais je sais que c’est en y arrivant un peu plus chaque jour que je pourrais plus facilement me laisser émerveiller et surprendre par la vie.

 

Conclusion 

La trentaine est une véritable révolution sur tous les plans de ma vie, en me permettant de me reconnecter à moi, mais également au monde grâce au travail énergétique que j’entreprends. A la veille de la grande conjonction, cet événement astral exceptionnel tombée le jour du solstice d’hiver, je sens tous mes sens se mettre en éveil. je sens également mon besoin de me reconnecter à mes aspirations les plus profondes pour moi aussi être totalement alignée.

 

Comment faire des choix difficiles m’a permis de développer ma capacité de résilience

Comme beaucoup d’entre nous, ma vie a été parsemée d’événements que je pourrais qualifier d’épreuves. Certaines d’entre elles m’ont incité à faire des choix, qui ont changé ma vie. Ces choix n’ont bien sûr pas toujours été faciles, mais m’ont permis de développer ma capacité de résilience et de devenir une personne plus forte, tant sur le plan professionnel que personnel. Dans cet article, je vais vous exposer quatre choix qui m’ont rendue plus forte et plus résiliente.

 

1 – Me lancer dans l’entrepreneuriat après l’électrochoc du salariat

 

En 2017, j’ai pris la décision de quitter mon premier vrai job salarié pour me jeter dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Une des décisions les plus importantes de ma vie qui n’a pas été sans risque. A peine entrée sur le marché du travail après 9 mois de chômage, je “crache” sur la première opportunité que l’on m’offre : mais qu’étais-je en train de faire ? 

Pour certaines personnes de mon entourage, ma décision était de la pure folie. Mais pour moi, c’était un mal nécessaire pour une vie professionnelle épanouie. Impossible de garder un job qui ne me permettait pas d’exploiter mon potentiel, ne respectait pas mes valeurs ni ma personne. 

J’ai donc pris un gros risque en démissionnant : celui de perdre le peu de stabilité que j’avais réussi à acquérir dans ma vie professionnelle : je me suis lancée avec un chômage, certes, mais sans garantie de clients ni de réussite.

Alors, que penser de cette décision radicale, presque quatre ans plus tard ?

Qu’elle a été la meilleure décision de ma vie sur le plan professionnelle !

Grâce à cela, j’ai pu me créer un job sur mesure dans lequel je fais ce que j’aime (du coaching et des contenus), j’ai des clients qui me respectent et j’en vis mieux que lorsque j’étais salariée. Il aura fallu un électrochoc (le fait de ne pas me sentir respectée par ma cheffe) pour prendre une décision qui m’aura poussée, au nom de mes valeurs (principalement le besoin d’indépendance et de dignité) à fuir le salariat. J’ai donc développé une grande capacité de résilience pour arriver sur une voie avec laquelle je me sens aujourd’hui alignée.

 

2 – Changer de vie brutalement pour voyager 

Autre élément électrochoc dans ma vie : le confinement. 

Le premier confinement a été un véritable traumatisme pour moi, car brutal et soudain. 

Je n’ai jamais subi un état de choc aussi fort dans ma vie, et cette situation était pour moi surréaliste. 

Je me suis sentie terriblement seule, car ma vie sociale était réduite à néant, ma liberté de mouvement a également été impactée. Et le manque de contact physique s’est également fait cruellement ressentir.

Je me suis jurée que je ne revivrai jamais ça. 

A l’annonce du deuxième confinement, j’ai donc pris la décision soudaine et urgente de quitter Paris pour m’envoler pour Lisbonne. Je ne voulais plus “voir” de Covid. Je ne connaissais personne là-bas et ne parlais pas portugais. J’ai donc dépassé ma peur de voyager seule grâce à ce moteur en moi qu’était la fuite de cette prison dans laquelle j’avais passé six mois.

Une fois sur place, j’ai rencontré beaucoup de digital nomads, et une semaine plus tard, j’ai annoncé à mon propriétaire que je quittais mon appartement.

Non sans doute, car encore une fois, je crachais sur une belle opportunité : un appartement au centre de Paris, que j’avais eu du mal à obtenir en tant qu’indépendante. 

Mais ma vie parisienne n’avait plus aucun sens et je ne pouvais pas rester dans l’espoir qu’elle reprenne un jour. J’ai donc dit au revoir à mes amis, et à l’aïkido, le ciment de cette vie citadine, pour vivre de nouvelles aventures.

Après l’Europe, me voici donc en route vers le Costa Rica, une destination inespérée pour moi, qui n’étais pas attirée par l’Amérique Latine, et donc le niveau d’espagnol laisse encore à désirer. Mais c’est un véritable défi, que je me félicite de relever. 

Sans ce traumatisme qu’a été le confinement, je n’aurais jamais pris d’aussi bénéfiques décisions dans ma vie personnelle mais aussi professionnelle.

 

3 – Découvrir mes origines pour assouvir ma quête d’identité 

Étant adoptée, j’ai décidé il y a un an de partir à la recherche de mes origines personnelles. Les liens du sang ne sont peut-être pas ce qu’il y a de plus important, mais pour quelqu’un qui ne connaît pas la tête de ses géniteurs, ni sa propre histoire, cette question peut rapidement devenir fondamentale.

Je me suis donc inscrite sur un site pour réaliser un test ADN, pour connaître mes origines ethniques. Les résultats m’ont également permis de retrouver ma famille biologique.

L ’annonce de cette révélation a été un véritable choc : je ne pensais pas que ces tests me permettrait de retrouver des membres de ma famille. Aucun accompagnement psychologique n’est d’ailleurs prévu à l’annonce de ces révélations par le site. C’est pourquoi, il faut être prêt mentalement pour découvrir de sombres vérités. 

J’ai ainsi rencontré ma mère biologique qui m’a raconté mon histoire, et la violente cause de ma naissance : un viol. Ce viol, je ne l’avais même pas imaginé en 30 ans d’existence. 

J’ai passé deux semaines sous le choc en pleurant sans pouvoir m’arrêter. Mais après ces deux semaines, le choc avait été encaissé. Je savais d’où je venais, je pouvais donc aller de l’avant.  J’ai donc accepté mon histoire et cela m’a permis de devenir une personne plus forte, comme beaucoup d’enfants adoptés. 

 

4 –  Arrêter les relations toxiques pour apprendre à m’estimer

Depuis ma vingtaine, j’ai voulu ouvrir mon coeur et expérimenter des relations sentimentales. Ca ne s’est jamais passé comme dans les Disney qui ont bercé ma tendre enfance. Le parcours amoureux d’un millennial célibataire dans les années 2010 est balisé par une consommation des relations, comme on consommerait un fast-food : rapide, pas cher, et mauvais. 

Comme sur le plan professionnel, j’ai connu l’absence de respect, le manque d’estime de moi et d’amour propre qui m’ont fait accepter des choses que je n’aurais pas dû. 

J’ai ainsi essuyé beaucoup de déception, ressenti beaucoup de colères et versé beaucoup de larmes. Et c’est d’ailleurs une larme de trop qui a fait déborder le vase. 

Puis un jour, j’ai décidé de ne plus subir ces relations médiocres.

J’ai décidé que je voulais être aimée car je le méritais. 

Et que j’accepterais d’attendre tant que je ne trouvais pas quelqu’un qui me respecte pleinement. 

J’ai donc mis fin à une relation qui comptait pour moi peu après mes 30 ans, pour aller de l’avant. 

J’ai pesé le pour le contre, et j’ai pris conscience que cette relation n’évoluerait jamais. Que j’allais devoir faire des compromis qui ne me convenaient pas. Alors je me suis projetée vers un futur plus radieux en imaginant comment serait ma relation idéale, et clairement, ce n’était pas ce que je connaissais avec cette personne. 

Aujourd’hui, je n’ai pas encore trouvé la personne qui me correspondait mais je ne regrette pas cette décision difficile qui m’a permis d’affirmer mon amour propre et prendre conscience de ma valeur sur le plan personnel. Je refuse à présent de vivre des relations médiocres sous prétexte qu’elles me permettent de me sentir moins seule. 

Je mérite mieux que ça et j’en ai aujourd’hui conscience.

Je sais vivre seule, et je préfère cela à une relation non équilibrée.

Je n’ai pas besoin d’être en couple pour être heureuse. 

Je n’ai pas fait tout ce travail introspectif pour rien ! 😉

 

Conclusion 

 

Voici donc les quatre décisions difficiles qui m’ont fait devenir une personne plus résiliente sur le plan personnel et professionnel. Pour chacun de ces choix, j’ai connu une bonne dose de souffrance et de doute, mais à chaque fois, pour un changement plus joyeux dans ma vie. Chacun de ces choix m’a fait avancer vers une vie plus alignée dans des domaines bien différents. 

Voici donc la leçon que je tire de ces moments difficiles : un traumatisme externe, suivi d’une décision difficile est le signe qu’un élément cloche dans votre vie. C’est donc une véritable sonnette d’alarme qui vous permettra de faire évoluer votre vie…en mieux ! Si vous sentez que la goutte d’eau a fait déborder le vase, il est temps de le vider, et de planter de nouvelles graines pour une vie plus saine et plus accomplie.

2020 : Bilan d’un mois de digital nomadisme en Europe

J’achève mon premier mois de digital nomadisme au Portugal et en Suède, et j’ai pu faire le bilan de ces 30 jours sur différents aspects :  sur le plan relationnel, bien être, créativité, mais également financier. En toute transparence, c’est mon deuxième séjour de digital nomade, en deux ans. Mais celui-ci est différent car je suis partie seule et c’était un grand défi sur le plan personnel. Dans cet article, je vais donc te livrer en toute transparence mes conclusions. Peut-être t’aurais-je donné envie de franchir le pas également ? 😉

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1 – Sur le plan relationnel, des rencontres enrichissantes

Nicolau – café tendance des digital nomads à Lisbonne

En 30 jours de digital nomadisme, j’ai fait plus de nouvelles rencontres qu’en quelques années à Paris. Cela peut sembler caricatural mais c’est pourtant vrai. Les communautés en ligne de digital nomads sont nombreuses  (merci Facebook !) et favorisent les rencontres dans la vie réelle. Et notamment au Portugal où il est si facile de rencontrer des entrepreneurs tous les jours.
J’ai d’ailleurs décidé de me mettre en coloc avec 2 entrepreneurs que j’avais rencontrés quelques semaines plus tôt ! Je n’aurais jamais fait cela en France !
En une semaine à l’étranger, j’ai pris la décision importante de quitter Paris, en rendant mon appartement. Bref, à l’étranger, de grandes décisions, impulsées par un nouvel écosystème (celui des digital nomads) m’ont poussé à changer de vie.
Si au Portugal, les rencontres sont faciles, c’est moins le cas dans les pays nordiques où la culture et la météo s’y prêtent moins. En Suède, le climat rend les rencontres moins faciles et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai décidé d’écourter mon séjour, mais j’ai tout de même rencontré 3 personnes différentes en une semaine !

Voici donc ma conclusion : lorsqu’on se retrouve seul dans une ville, il faut faire plus d’efforts pour rencontrer de nouvelles personnes, et c’est une des raisons pour lesquelles on se bouge plus ! A Paris, mon (ex) ville de résidence, je ne faisais pas d’effort car j’avais déjà un cercle d’amis proches qui ne me poussait pas à faire de nouvelles rencontres.

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2 –  Sur le plan bien-être, un apaisement au quotidien

Je me suis lancée dans le digital nomadisme par urgence : celle des restrictions sanitaires à Paris. Je n’étais plus du tout satisfaite de la qualité de vie sur place et le premier confinement m’avait psychologiquement traumatisée. C’est donc en pleine pandémie, que j’ai décidé de partir ! 
Hors de question de revivre cela une deuxième fois. C’est pourquoi, j’ai décidé de prendre un billet d’avion juste après les annonces présidentielles de fin octobre.
J’ai opté pour le Portugal et la Suède, car ce sont des pays où les restrictions Covid sont moindres : on peut circuler sans masque, les bars/resto sont ouverts et la vie sociale n’a pas été détruite.  De manière générale, je consulte le site de Tourdumondiste pour être au fait des dernières restrictions par pays dans le monde.
J’ai donc pu faire de nouvelles rencontres et même pratiquer l’aikido !

Pratique de l’aikido à Lisbonne

Par ailleurs, la vie étant moins chère au Portugal, j’ai pu profiter des sorties/resto/shopping/massage à moindre prix. La belle vie 😉
Au final, toute la colère en moi, que je portais depuis Paris avait disparue. J’étais enfin apaisée (tout en gardant un regard critique sur la situation, et avec un recul que la vie à l’étranger peut nous apporter sur son propre pays)
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3 – Au niveau de ma créativité : un énorme boost ! 

Depuis que je suis partie de France, j’ai réussi à développer ma créativité avec des idées de contenus foisonnants, mais également réussi à me réaligner !
J’avais en effet perdu la motivation et le sens de mon activité depuis quelques mois et j’ai pu les retrouver grâce à un nouveau contexte qui m’a fait prendre du recul sur mon activité et ma vie personnelle.
J’ai donc de nouvelles idées d’offres, de contenus, et j’y vois plus clair sur mon activité !
Par ailleurs, j’ai adopté une nouvelle communication où j’ai décidé d’être 100% moi-même, sans filtres et en toute authenticité (je me suis même mise à la vidéo comme tu peux voir sur mon profil Instagram).
J’ai pu tester la chanson pour faire passer des messages, dévoiler ma courbe de chiffre d’affaires en toute transparence et révéler les erreurs d’entrepreneur que j’ai commises en 2020.
J’ai donc renoué avec ma créativité mais surtout mon authenticité.
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4 – Sur le plan financier : un bilan encourageant

Comme je te le disais plus haut, j’ai pris la décision de quitter Paris et de rendre mon appartement. C’est un soulagement sur le plan financier, mais surtout psychologiquement, je me suis libérée et détachée de cette ville.
Alors voici mon bilan détaillé de ce mois de digital nomadisme au Portugal (3 semaines) et en Suède (2 semaines) :
Les plus : 
– Courses : 166 euros (contre une moyenne de 400 euros à paris)
– Santé : pas de dépense de santé ce mois de novembre
– Divertissement (sorties, massages) : 142 euros (contre une moyenne de 250 euros à Paris)
– Avion/train : 577 euros (contre une moyenne de 300 habituellement)
Les moins : 
– Uber/transports du quotidien: 195 euros (contre une moyenne de 40 euros à Paris)
– Resto/café : 370 euros  (contre une moyenne de 250 euros à Paris)
– Airbnb : 150 euros (égale aux derniers mois)
J’ai arrondi les chiffres pour plus de simplicité dans l’interprétation de mes résultats.
Au total : 1630 euros dépensés (hors budget) : ce qui est presque ma moyenne habituelle hors appartement à Paris.
 A terme, je suis donc gagnante car j’économise 1000 euros de loyer parisien + wifi + électricité + Taxe d’habitation.
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Bilan d’un mois de digital nomadisme : je re-signe ! 

Je suis donc lancée pour une nouvelle vie de digital nomad jusqu’à ce que je me lasse ! En France, mais également à l’étranger.
Je me sens plus épanouie, créative et me retrouve gagnante sur le plan financier. Alors quelle sera ma prochaine destination ? Si les restrictions Covid ne sont pas trop importantes, je pense tester un petit tour de quelques mois en Asie début 2021.
Et pour ne pas me contenter de te faire rêver, j’aimerais te proposer de me rejoindre à terme dans des immersions à l’étranger entre entrepreneurs. Mais c’est un projet pour 2021, et je t’en reparlerai bientôt 🙂

Faut-il prouver sa légitimité en tant que coach débutant ?

Quand on est entrepreneur, on se forme en permanence pour monter en compétence, mais aussi parce qu’on a le sentiment de manquer de légitimité. On appelle ça le syndrome de l’imposteur. Pourtant, ce n’est pas se former sur tout et n’importe quoi qui te permettra de monter en compétence. C’est au contraire le fait de passer à l’action ! Ta légitimité en tant que coach débutant n’est pas à prouver, voilà pourquoi !

Peux-tu coacher si tu es toi-même en apprentissage ?

Si tu as l’impression de ne rien savoir, dis-toi que certains savent encore moins que toi. Et c’est à eux que tu peux transmettre tes compétences et ton savoir-faire. Voici donc mon conseil pour passer à l’action et te sentir légitime :

  • Travaille avec des clients qui en savent moins que toi
  • Inspire-toi des méthodes que tu découvres en te formant (celle de tes formateurs)

Si tu es coach et que tu attends de tout savoir avant de coacher, tu ne coacheras jamais. C’est la même chose si tu es consultant, peu importe le domaine. La meilleure façon de progresser, c’est de te confronter au terrain, aux retours clients…bref, à la réalité !

Prenons mon exemple : je me suis lancée dans l’entrepreneuriat comme community manager, parce que c’est ce que je faisais dans mon job salarié (au passage, je n’ai pas de diplôme en communication et j’ai pourtant été recrutée). Je me suis formée aux bases de l’entrepreneuriat, mais je ne me suis pas formée sur des compétences techniques.

Et c’est d’ailleurs, une des erreurs principales que font les entrepreneurs débutants : par peur de ne pas être légitime aux yeux de leurs clients, ils enchainent formation technique sur formation technique. Alors que pour vivre de son activité, mieux vaut se former à l’entrepreneuriat (tu as de la chance, c’est mon métier ?)

Le community management m’ayant vite lassée, je me suis improvisée consultante en communication digitale pour proposer du conseil et faire moins d’opérationnel. Lorsque tu fais de l’opérationnel, tu finis par toucher petit à petit à la stratégie. Il suffit pour ça d’être curieux, d’échanger sur le sujet avec des entrepreneurs plus avancés que toi, et de tenter ta chance. C’est encore plus facile quand tu as vraiment envie de changer de métier pour faire quelque chose de plus stimulant ?

A quel moment peux-tu te sentir légitime ?

Après quelques temps sous la casquette de consultante, je me suis auto-proclamée coach pour entrepreneurs parce que les retours de l’époque m’avaient montré que j’avais l’empathie et le cadre pour être coach et aider des entrepreneurs (et particuliers). Pourtant je n’ai pas de certification de coach.

Est-ce que j’ai des diplômes et fait des études dans ces secteurs d’activité ? Non. Est-ce que mes clients me demandent si je suis certifiée ? Non. Est-ce que j’apporte des résultats à mes clients ? Oui

Alors, à quel moment peux-tu te sentir légitime ?

  • Quand tu en sais plus que les personnes à qui tu proposes tes services
  • Quand tu estimes que tu as les bases dans ton métier
  • Quand tu as envie d’aller de l’avant et accepte que le terrain renforcera ton expertise

Un débutant est-il légitime à parler d’un sujet qu’il ne maîtrise pas ?

J’ai reçu un certain nombre de critiques plus ou moins acerbes sur un article publié sur mon nouveau blog Aikido Millennials (je n’ai même pas encore communiqué dessus). On me reprochait d’être une débutante ignorante, qui devrait se renseigner avant d’écrire.

La raison pour laquelle j’ai créé ce blog n’est pas pour diffuser “ma science” mais pour poser des questions, proposer des réflexions sans forcément y apporter de réponse. Je donne mon avis personnel, qui changera sûrement avec la pratique et l’expérience. En attendant, j’y expose mon point de vue de débutante, qui peut être celui d’une ignorante, mais également, celui d’une personne qui manque encore de clés.

C’est en passant par ces étapes de réflexion et de questionnement que tu peux faire évoluer ta vision et donner du sens à tes actions.

Étant parallèlement entrepreneure comme tu le sais, je pense qu’on n’est pas obligé d’être un expert pour pouvoir s’exprimer. Si j’avais attendu d’être expérimentée pour écrire mes premiers articles, je n’aurais pas connu la “réussite” entrepreneuriale que j’ai connue. Certes, quand je relis mes premiers articles de blog d’il y a 3 ans, je tique. Mais je ne les effacerai pas pour autant. Ils ont fait partie de ma construction en tant qu’entrepreneur.

Aujourd’hui, je pense que c’est grâce à des initiatives individuelles (comme mon blog) mais également avec des réflexions partagées que l’Aikido, tout comme l’entrepreneuriat, pourra évoluer. Car pour faire survivre une discipline ou un business, il faut l’adapter au contexte dans lequel il baigne, mais également remettre en question un mode de fonctionnement si nécessaire.

Pour cette même raison, Aikido Millennials est un espace de réflexion qui participe à ma construction. Et je suis certaine que mes pensées vont évoluer. C’est pourquoi, comme tout débutant dans une nouvelle discipline, il faut les interpréter comme de la maladresse et non de l’arrogance. Et c’est précisément avec ce même cheminement constructif que tu peux développer n’importe quelle activité et booster ta confiance en toi!

Et si tu ne sais plus par quoi commencer pour relancer ton activité, tu peux réserver un appel découverte !

La pression entrepreneuriale, l’un des tes pires compagnons de route

Que tu sois entrepreneur confirmé ou tout juste lancé, tu dois régulièrement te confronter à la pression entrepreneuriale. La pression entrepreneuriale, qu’est-ce que c’est ? C’est tout simplement le sentiment d’obligation de réussite. Et cette pression vient de deux sources : ton entourage et toi-même.

L’entourage, source inépuisable de pression sociale

Ton entourage, c’est ton premier cercle amical, familial et professionnel. Celui qui te pose régulièrement cette question ” alors, ça marche (encore) ?”. Comme s’il était attendu que tu finirais à un moment ou un autre par te casser la figure.

“Alors, ça marche ?” réduit en plus ton entreprise à son chiffre d’affaires. Or, quand on est entrepreneur, on peut connaître des instabilités, et surtout au début quand on n’a pas encore trouvé son modèle économique. Si la question “alors, ça marche ?” t’agace, je te conseille de dire franchement à ton entourage que tu n’as pas envie d’en parler car tu ressens trop de pression à chaque fois que le sujet de l’entrepreneuriat est abordé.

Etre trop dur avec toi-même, ou comment te comparer aux autres et t’interdire l’échec

Outre l’entourage, l’autre source de pression entrepreneuriale, c’est toi-même.  Tu te compares aux autres dont tu ne connais pas ton fonctionnement interne. Tu t’empêches la moindre erreur. Tu vois la réussite entrepreneuriale comme une courbe exponentielle.

Or, l’entrepreneuriat, ce sont des hauts et des bas :

  • Des petites victoires
  • Des périodes de stagnations
  • Des périodes de créativité
  • Des périodes de doute
  • Des périodes de break

Pour entreprendre sereinement sans pression, voici 3 clés essentielles :

  • Connaître les périodes de rush et les périodes calmes dans ton activité : Tu le sauras quand tu auras stabilisé ton modèle économique et que tu feras rentrer des clients régulièrement dans tes programmes/offres. La connaissance de ta saisonnalité entrepreneuriale te permettra de mieux t’organiser, prendre des vacances et destresser au quotidien.
  • Rendre constante la croissance grâce aux investissements : Il n’y a pas de croissance sans investissements.
  • Savoir investir : lorsque tu te lances, il est conseillé de réinjecter tes recettes dans l’entreprise pour la développer. Quand tu es déjà lancé et que ton entreprise roule, la règle s’applique également : tu peux réinvestir une partie de tes recettes dans le développement de ton entreprise.

Fais le point maintenant :

  • As-tu déjà investi dans le développement de ton entreprise ?
  • Dans quoi (formation, accompagnement, consulting, matériel…) ?
  • Pour quel budget ?
  • Quel bilan tires-tu de cet investissement ? Si tu développes la culture de l’investissement, tu ne le verras plus comme une dépense mais comme un pari sur ta réussite entrepreneuriale. Et c’est de cette manière que ton entreprise va décoller !
  • Casse les tabous les montagnes russes entrepreneuriales : l’entrepreneuriat, ce sont des montagnes russes émotionnelles mais également économiques. Certes, tu peux stabiliser ton modèle économique, et limiter l’instabilité, mais tu ne pourras pas tout contrôler. Tu restes un entrepreneur et tu n’auras jamais la stabilité et la visibilité financière d’un salarié. Mais tu as fait un choix qui comporte bien d’autres avantages dont l’enrichissement personnel et financier fait partie. Pour mieux vivre ton quotidien et mieux supporter la pression entrepreneuriale, accepte que l’instabilité fasse partie de ton quotidien, et vis avec.

Accepter les montagnes russes entrepreneuriales c’est :

  • Prendre en main ses finances personnelles (car ce n’est pas l’Etat qui va te la payer)
  • Profiter des moments où tu surfes sur la vague pour investir, ou te faire plaisir
  • Utiliser le creux de la vague pour faire du travail de fond (repenser ton modèle économique, développer ta créativité..)

Comment je réagirais si j’étais parent d’un étudiant futur entrepreneur

Il n’y a rien de pire qu’un entourage qui croit tout connaître au secteur professionnel tu t’intéresses. Généralement, ces personnes n’y connaissent strictement rien, encore moins quand il s’agit d’entreprendre. Quel étudiant n’a jamais entendu son entourage lui dire de chercher une autre orientation ? Que le métier qui le fait rêver est dans un secteur complètement bouché ou voué à disparaître ? Il n’y a rien de mieux pour réduire à néant la motivation d’un étudiant… heureusement certains ont bien plus de caractère qu’on ne le pense. Tous ces clichés, je les ai entendus, très souvent même.

Et pourtant, je pense plutôt bien m’en sortir pour quelqu’un qui s’est formé sur le tas, en créant son job sur mesure. Si tu te laisses guider par ton entourage non expert pour faire des choix déterminants, tu risques de passer à côté de ton bonheur.

Quand je prends du recul sur ma situation, voici ce que je retiens :

  • Toutes les décisions que j’ai prises ont marché (prendre des cours d’aïkido et de chant, quitter Bordeaux pour bouger à Lyon, puis déménager à Paris, me lancer dans l’entrepreneuriat, ne pas renoncer à trouver un appartement qui me plaise, même en étant indépendant)
  • Toutes celles que j’ai subies ont raté (suivre des cours de latin au collège, passer mon permis, intégrer une classe prépa, passer des concours de la fonction publique).

Si j’avais un enfant aujourd’hui, Je serais mal placée pour lui mettre la pression vers une voie dite d’excellence qui ne lui conviendrait pas. Je choisirais de l’encourager et le soutenir dans ses démarches pour son projet, que ce soit dans un secteur bouché ou qui n’existe pas encore. Je veillerai à ce qu’il se donne le moyen de ses objectifs, en le responsabilisant dès le plus jeune âge sur les choix qu’il fait. En d’autres termes, je l’aiderais à suivre la carrière qui le rendra épanoui et je me servirais de ma propre expérience pour l’aider à mieux vivre avec la pression entrepreneuriale.

Il est tout à fait possible de faire ce que l’on aime. Et on peut même gagner du temps en s’écoutant, ou en écoutant ses enfants.

Faire les choses quand on sent que c’est le bon moment

On a tous entendu nos parents nous dire un jour ou l’autre :

  • T’as pensé à repasser le permis ?
  • Tu songes à acheter ?
  • Et ta retraite, tu y penses ?
  • Comment ça, tu ne penses pas voter ?

Ces questions paraissent insignifiantes mais relèvent d’une grosse pression sociale exercée sur chacun d’entre nous, et particulièrement les jeunes trentenaires. Et je ne parle même de la pression liée au fait de fonder une famille, de décrocher un CDI et bien d’autres.

Alors sortir des cases est-il un gros risque ? Oui, si l’on se soucie du regard des autres. Non, si l’on veut vivre une vie épanouie. Il est tout à fait normal que les marqueurs de pression sociale ne fassent pas sens chez chacun de nous.

Si l’on prend mon exemple de jeune trentenaire :

  • Ai-je pensé à acheter ? Oui. Pourquoi est-ce que je n’achète pas ? Parce que je me vois à Paris les 3 prochaines années, et qu’acheter seule sur Paris implique d’acheter une mini surface à tarif exubérant. Je n’ai donc pas envie d’investir dans une cage à poule. Je préfère laisser ces quelques années passer et voir si j’achète toujours seule, et toujours sur Paris.
  • Ai-je pensé à repasser le permis ? Ça m’a traversé l’esprit. Mais je ne me suis jamais réveillée le matin en me disant “ah si j’avais mon permis”. Et pour cause, j’habite Paris, je n’en ai absolument pas besoin, et je préfère économiser pour un voyage plutôt que donner 70 euros à une auto-école pour faire des tours de périph.. Peut-être un jour, en aurai-je vraiment l’utilité, et c’est à ce moment là que je le repasserai.
  • Ai-je pensé à ma retraite ? Oui, mais c’est dans looooooogtemps. D’ici là, 1000 réformes seront passées. Et je n’ai pas choisi un métier pour m’assurer la meilleure retraite du monde mais pour le plaisir de mes longues années de travail.

Toutes ces phrases entendues bien trop souvent à mon goût ne font pas sens pour l’instant. Ce qui fait sens pour moi aujourd’hui :

  • Faire un métier qui me plaise, car le travail fait partie intégrante de ma vie
  • Prendre du plaisir sans me restreindre au quotidien pour profiter de ma jeunesse, et de la vie parisienne (sinon aucun intérêt de vivre à Paris)
  • Commencer à développer des revenus passifs, en m’intéressant à mes finances personnelles (car je sais que c’est moi qui vait composer ma retraite d’entrepreneure)

Si je devais te donner un conseil, ce serait celui-ci : fais les choses qui font sens pour toi, au moment où elles font sens pour toi, sinon, tu risques de le regretter.  Ne te laisse pas guider par la pression sociale ou le concept de réussite car la réussite est ressentie et non écrite. Et elle est surtout personnelle, donc propre à chacun.

Depuis quelques années, j’ai réussi à m’affranchir d’un grand nombre de conventions sociales et je m’en porte mieux ! Et toi, as-tu réussi à prendre de la distance par rapport à la pression entrepreneuriale et sociale ? As-tu réussi à écouter tes aspirations ? Je serais ravie d’échanger avec toi et connaître ton ressenti !

 

Tu te limites dans le développement de ton activité !

Beaucoup d’entrepreneurs se limitent dans leur développement car ils ont peur de la suite : que va-t-il se passer en dépassant le plafond des 33 000 euros ? Et celui des 70 000 euros ? Alors ils dépensent une énergie monstrueuse à ne pas augmenter leur chiffre d’affaires, à décaler des factures et s’assurer de rester micro-entrepreneur. Mais pourquoi freiner le développement de ton activité ?!

Changer de statut pour te rapprocher de tes objectifs

Qui dit croissance, dit activité qui répond à un vrai besoin et donc qui fonctionne ! Pour servir d’autant plus de clients et avoir plus d’impact, pourquoi se limiter ? Alors, certes, l’inconnu fait peur, mais tu n’es pas seul. Mais comment passer en société sans te sentir propulsé dans la jungle administrative ? Voici mon résumé.

Pour ma part, j’ai décidé de franchir le cap cette année en fermant ma micro-entreprise et en créant ma société sous forme d’EURL. J’ai choisi ce type de société car je souhaitais une structure avec peu de charges. Mais comme chaque situation est différente, le mieux est de contacter un cabinet d’expert-comptable pour savoir ce qui est le plus adapté à ta situation.

J’ai choisi un expert-comptable en ligne, Dougs, car moins cher, et travaillant avec un logiciel qui traite les recettes e-commerce (tous ne le font pas).

Savoir s’entourer pour le bon développement de ton activité

Je voulais freiner les investissements dès le départ, mais j’ai vite compris que tout allait commencer avec des investissements. A cette étape de mon résumé, on a déjà :

  • La création de société (avec l’ouverture d’un compte bancaire chez Shine)
  • L’apport de fond ou la cession de commerce (mais je vais t’épargner ces détails)
  • La comptabilité mensuelle

Ensuite, viennent les investissements pour me faire accompagner sur le volet financier et juridique :

  • Le comptable compte mais n’a pas de stratégie de développement financier pour mon entreprise. C’est pourquoi je me suis également faite accompagner par LMK Training sur 6 mois, que je ne regrette pas !
  • une formation chez Learny Lawyers qui va me permettre d’être en conformité juridique avec la loi en ce qui concerne mes mentions légales, mes factures, ma politique de confidentialité et autres documents juridiques obligatoires. Mon assistante se chargera de suivre la formation et de mettre en place les différents dispositifs.

Voici donc les investissements juridiques, financiers et comptables de la création d’une société.

J’ai décidé de travailler depuis le début d’année avec une assistante administrative (Christelle Fasquel) à qui je délègue toute ma relation client sur le volet administratif. Et c’est un véritable soulagement !

Puis les investissements en termes de marketing et de marketing opérationnel :

  • Je suis supervisée par un incubateur(L’incubateur 56) qui me permet d’avoir une vision et une stratégie globale sur mon business (pendant un an)
  • J’ai une assistante opérationnelle à qui je délègue les tâches techniques du marketing (et qui coordonne une agence pour des tâches de marketing spécifiques, car tarif très attractif)
  • Des investissements ponctuels en publicité Facebook, et en copywriting.

Ces investissements cumulés peuvent sembler onéreux, mais contribuent à la croissance et au développement de mon entreprise.

Ne pas avoir peur d’investir pour booster le développement de ton activité

Pourquoi ai-je fait ce choix d’investir ? Parce que je fais le pari de la réussite de mon entreprise. Parce que j’ai de la trésorerie pour pouvoir investir.

Alors, bien sûr, ça fait peur. Pour ne rien te cacher, j’étais paniquée au début. Puis j’ai eu un déclic (après une séance d’hypnose) et voici ce que je me suis dit : « J’ai créé ma société, alors autant se lancer à fond et ne pas faire les choses à moitié ! »

Je n’ai jamais regretté le moindre investissement depuis mon lancement (même quand je n’ai pas appris autant que je le voulais, j’apprenais à comprendre comment les formateurs structuraient leurs accompagnements). Je me fais confiance, et je sais que je vais y arriver.

Au final :

  • J’ai appris à investir
  • J’ai appris à déléguer
  • J’ai appris à me comporter en vrai chef d’entreprise

Et maintenant, je peux encore mieux coacher les entrepreneurs qui veulent aller encore plus loin dans le développement de leur activité !

Et toi, te limites-tu dans le développement de ton activité…ou souhaites-tu passer à l’étape supérieure ? Si tu souhaites passer à la vitesse supérieure le développement de ton activité, je te propose qu’on en parle de vive voix

La pression sociale, comment la gérer au mieux quand on est entrepreneur

Entre les préjugés, l’avis de l’entourage et la pression de la réussite, il n’est pas toujours simple de rester focus dans son quotidien d’entrepreneur. Je te partage quelques conseils pour réussir à gérer au mieux la pression sociale de l’entrepreneur et que tu sois beaucoup plus serein jour après jour.

Les perturbateurs émotionnels : les principales entraves à l’atteinte de ton objectif

Comme beaucoup de personnes, il doit t’arriver de te projeter sur différents plans comme ta vie familiale et sentimentale, ta réussite professionnelle, ton accomplissement personnel. Mais souvent, des entraves à ta réussite viennent barrer ton chemin. Elles sont souvent émotionnelles :

  • Des proches qui ne te soutiennent pas
  • Une attache affective qui t’empêche d’y voir clair
  • La peur de l’ambition face au regard des autres (être en décalage par rapport à son entourage)

Et pourtant lorsque tu as un objectif auquel tu tiens vraiment, il faut apprendre à faire abstraction de ces perturbateurs émotionnels. Et ça demande du courage. Pour retrouver la clarté d’esprit pour prendre des décisions et tendre vers ton objectif, je dirai qu’il y a trois indicateurs :

  • Suivre ta décision, quand elle te paraît évidente. L’évidence est propre à chacun, et peut parfois tarder à se manifester, sur le plan professionnel comme personnel. En finir avec une relation toxique (client ou relation intime) peut sonner juste en théorie, mais il faut parfois du temps avant que cela fasse vraiment sens pour toi, et que la décision devienne évidente à prendre.
  • Ne pas te faire violence dans l’atteinte de ses objectifs. Se faire violence, ça ne marche pas. Pourquoi ? Car tu stimules une mauvaise énergie, et mets en évidence ton propre manque d’alignement avec l’objectif que tu t’es fixé.  Si tu t’épuises à vouloir atteindre un objectif et que tu n’y prends pas de plaisir, tu peux remettre en question cet objectif : peut-être est-il trop ambitieux ? Peut-être ne te correspond-il pas ? Peut-être l’a-t-on implicitement choisi pour toi ?

Et c’est là qu’arrive notre troisième et dernier indicateur.

  • T’éloigner des personnes qui ne vont pas dans le sens de ta réussite. Et parmi ces personnes, certaines vont te vouloir du bien ! C’est bien ça le piège des perturbateurs émotionnels. Ces personnes qui te disent aujourd’hui que l’entrepreneuriat est risqué mais qui n’ont jamais entrepris de leur vie, que ta filière est bouchée alors qu’ils ne connaissent pas le secteur, que telle personne est mauvaise, en se basant sur des “on dit que”, que tu es trop ou pas assez ambitieux dans tes projets professionnels, que tu es trop exigeant dans tes relations personnelles. Ces remarques ne sont d’ailleurs pas toujours malveillantes mais ignorantes, car ces personnes ne se mettent pas à ta place. Elles pensent à ta sécurité, et non à tes ambitions qu’elles trouvent souvent trop risquées. Les gens qui t’aiment veulent ton bien mais leurs conseils ne vont pas toujours vers ce qui est bon pour toi.

En suivant ces trois principes, j’ai pu arrêter des relations toxiques sur le plan professionnel et personnel, y voir clair sur les personnes qui pourraient m’enrichir sur ces deux plans.

Pression sociale : fais les choses quand tu les sens et non quand on te dit de les faire

Lorsque j’étais chez mes parents pendant les vacances, des questions récurrentes sont revenues sur la table.

  • T’as pensé à repasser le permis ?
  • Tu songes à acheter ?
  • Et ta retraite, tu y penses ?
  • Comment ça, tu ne penses pas voter ?

Ces questions paraissent insignifiantes mais relèvent d’une grosse pression sociale exercée sur chacun d’entre nous, et particulièrement les jeunes trentenaires. Et j’en oublie sûrement d’autres. Alors sortir des cases est-il un gros risque ? Oui, si l’on se soucie du regard des autres. Non, si l’on veut vivre une vie épanouie. A toi de voir ?

Mais au-delà de la question du risque, se pose la question du sens. Chacun de ces marqueurs de pression sociale ne font pas sens chez chacun de nous. Si l’on prend mon exemple de jeune trentenaire :

  • Ai-je pensé à acheter ?  Pourquoi est-ce que je n’achète pas ? Parce que je me vois à Paris les 3 prochaines années, et qu’acheter seule sur Paris implique d’acheter une mini surface à tarif exubérant. Je n’ai donc pas envie d’investir dans une cage à poule. Je préfère laisser ces quelques années passer et voir si j’achète toujours seule, et toujours sur Paris.
  • Ai-je pensé à repasser le permis ? Ca m’a traversé l’esprit. Mais je ne me suis jamais réveillée le matin en me disant “ah si j’avais mon permis”. Et pour cause, j’habite Paris, je n’en ai absolument pas besoin, et je préfère économiser pour un voyage plutôt que donner 70 euros à une auto-école pour faire des tours de périph.. Peut-être un jour, en aurai-je vraiment l’utilité, et c’est à ce moment-là que je le repasserai.
  • Ai-je pensé à ma retraite ? Oui, mais c’est dans looooooogtemps. D’ici là, 1000 réformes seront passées.

Et je n’ai pas choisi un métier pour m’assurer la meilleure retraite du monde mais pour le plaisir de mes longues années de travail. Toutes ces phrases qu’on répète ne font pas sens pour tout le monde, et peuvent ne pas faire sens à un moment de notre vie. C’est mon cas aujourd’hui.

Ce qui fait sens pour moi aujourd’hui :

  • Faire un métier qui me plaise, car le travail fait partie intégrante de ma vie
  • Prendre du plaisir sans me restreindre au quotidien pour profiter de ma jeunesse, et de la vie parisienne (sinon aucun intérêt de vivre à Paris)
  • Commencer à développer des revenus passifs, en m’intéressant à mes finances personnelles (car je sais que c’est moi qui vais composer ma retraite d’entrepreneure)

Donc voici mon conseil : fais les choses qui font sens pour toi, au moment où elles font sens pour toi, sinon, tu risques de le regretter.

Ne te laisse pas guider par la pression sociale ou le concept de réussite car la réussite est ressentie et non écrite. Et elle est surtout personnelle, donc propre à chacun. Depuis quelques années, j’ai réussi à m’affranchir d’un grand nombre de conventions sociales et je m’en porte mieux !

Accepter de devenir inclassable et prendre de la distance par rapport à la pression sociale

Il est arrivé qu’une cliente me contacte parce qu’elle était face à une situation gênante. L’un des entrepreneurs qu’elle considérait comme l’une de ses références lui a reproché de s’être fortement inspirée de ses contenus pour écrire ses pages de vente. Et pourtant, elle avait attaché une attention particulière à ne pas plagier les contenus qu’elle consultait pour s’inspirer.

Surprise de son accusation, elle s’est tout de suite excusée et s’est engagée à refaire sa page de vente. Mais le problème, c’est qu’elle n’avait pas la moindre idée de comment refaire un contenu qui lui semblait satisfaisant.

Quand j’ai eu ma cliente au téléphone, j’ai mis en valeur deux points :

  • D’une part, de ne pas placer ses références sur un piédestal, sinon elles la considéreront toujours comme un petit concurrent et non comme un entrepreneur égal à elle. Et pour être considérée comme un égal, la première chose est d’oser affirmer son offre si elle se sent alignée avec.
  • D’autre part, cette mésaventure lui a permis de se rendre compte qu‘il est mieux de commencer à créer à partir de son ressenti et de sa propre inspiration. Et cela même avant de s’inspirer. Le problème de l’inspiration, c’est le plagiat involontaire car il est difficile de trouver le bon équilibre entre inspiration et copie.

Evidemment, il peut sembler effrayant de commencer à créer sans s’inspirer des autres, sans références. Et pourtant, c’est le chemin que j’ai choisi. On m’a toujours dit qu’il fallait avoir des références connues, des entrepreneurs à succès, des Tim Ferris et des Steve Jobs… Le problème, c’est que ces messieurs sont à des années-lumière de ce que je fais et ne m’inspirent pas.

Ce qui peut m’inspirer, c’est un entrepreneur qui est plus avancé que moi, mais dont les pieds touchent encore le sol. Mais aujourd’hui, j’ai choisi une autre voie : ne plus m’inspirer pour créer, et devenir ma propre référence. Oui ça semble terrifiant, et pourtant je pense que c’est la meilleure manière de rester créatif, en écoutant son ressenti, sans se préoccuper de “ce qui se fait” ou “ne se fait pas”.

C’est de cette manière que j’ai réfléchi à un lancement de formation il y a quelques jours alors que :

  • je n’avais pas du tout prévu de lancer une formation
  • je ne me suis pas inspirée de ce qui se fait déjà en terme de formations en ligne/lancement de produits (je sais ce qui se fait – ça ne m’intéresse pas – et le marché est saturé).

Comment suis-je passée de l’envie d’arrêter de faire des formations en ligne à la rédaction éclair d’un plan de formation ?

  • En partant des besoins de mes prospects en call découverte (écoute du marché)
  • En listant ce qui m’épuise dans la création de formations en ligne et en trouvant des solutions alternatives

Sans me mettre de pression…je teste.  Et derrière cette anecdote de ma cliente et la manière d’envisager les formations en ligne aujourd’hui, on peut voir qu’une tendance se créé : celle de vouloir rentrer dans les cases.

Il peut s’agir de la case des standards du marketing, la case des entrepreneurs qui méditent, la case des entrepreneurs qui lisent des livres de startuppers à succès. Et je ne te blâme pas si tu es dans ces cases, parce que moi aussi j’ai essayé d’y rentrer (sans succès). Et même sur le plan personnel, j’ai voulu rentrer dans des cases : la case des introvertis, la case des hypersensibles, la case des zèbres (parce que même “atypiques”, ces profils sont des cases dans lesquelles beaucoup se rangent)… Alors certes, les cases rassurent, mais nous classent par rapport à une norme. Et la norme, c’est un dictat ?

C’est pourquoi, j’ai accepté d’être inclassable. Je ne cherche plus à me positionner par rapport à des catégories.

Je suis entrepreneure mais pas start-uppeuse, coach mais sans approche théorique, zèbre au QI incalculable, j’écris mais je lis peu, je suis introvertie mais sociable, je suis arabe mais qu’en surface. Le monde n’est pas fait pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases. Comme je te le disais, les cases briment les idées et la créativité. Je vais te donner un exemple : il y quelques années, en 2015, j’ai participé à un événement organisé par une association de développement durable à Lyon. A la fin de la journée, les participants devaient présenter un projet utile pour les citadins : j’ai présenté l’ébauche d’un projet de trottinette en libre-service.

Personne n’en voyait d’intérêt. Quatre ans plus tard, la trottinette en libre-service explose dans les grandes villes de France.

Si aujourd’hui, le secteur de la mobilité durable n’est plus ma voie, cet exemple montre qu’une approbation extérieure ne fera que ralentir, voire brimer ta créativité et tes ambitions entrepreneuriale (mais pas que).

Tous les entrepreneurs à succès que tu vois aujourd’hui ont suivi leur propre voie. Et sur le coup, ils se sont senti seuls. Alors accroche-toi, écoute-toi, et la reconnaissance viendra. Et si tu as besoin d’y voir plus clair, tu peux réserver un appel découverte pour découvrir mes méthodes de coaching !

 

Booste ton mindset pour le développement de ton business !

Qui n’a jamais connu ce moment où notre famille demande ce qu’on veut faire de notre vie alors qu’on en a tout juste une vague idée ? Et bien sûr l’entourage est là pour saboter le peu de confiance en nous soumettant son avis alors qu’il ne connait rien à ce secteur ! Alors comment faire sauter les barrières dressées par nous-mêmes ou l’entourage ? Je t’explique ici comment booster le développement de ton business. C’est aussi une histoire de mindset ?

Ne te limite aux avis peu fondés de ton entourage à propos de ton business

Il y a quelques années, lorsque je cherchais mon premier job après mes études, on m’avait tenu un drôle de discours. Toute jeune diplômée d’un Master en science politique, je cherchais du travail dans le secteur de l’éducation au développement durable. Mon entourage m’a bien sûr dit que c’était bouché.

Et lorsque je me présentais à des événements, en parlant de ma recherche d’emploi, on me disait toujours que c’était mon secteur était bouché. Et évidemment, ce sont encore ces mêmes personnes qui ne connaissent rien à ton secteur qui te diront comment trouver du boulot. Si je leur avais dit que j’avais voulu être coach, elles m’auraient dit que c’est trop concurrentiel.

Et pourtant, je ne m’en sors pas trop mal pour quelqu’un qui s’est formé sur le tas, en créant son job sur mesure. Si tu te laisses guider par ton entourage non expert pour faire des choix déterminants, tu risques de passer à côté de ton bonheur.

Plus généralement, si je prends du recul sur ma situation, voici ce que je retiens :

  • Toutes les décisions que j’ai prises ont marché (prendre des cours d’aïkido et de chant, quitter Bordeaux pour bouger à Lyon, puis déménager à Paris, me lancer dans l’entrepreneuriat, ne pas renoncer à trouver un appartement qui me plaise, même en étant indépendant)
  • Toutes celles que j’ai subies ont raté (suivre des cours de latin au collège, passer mon permis, intégrer une classe prépa, passer des concours de la fonction publique).

Concrètement, si j’avais un enfant aujourd’hui :

  • Je ne lui mettrais pas la pression vers une voie dite d’excellence qui ne lui conviendrait pas
  • Je l’accompagnerais et le soutiendrais dans ses démarches pour son projet, et ce, même si cette filière est a priori bouchée, et même si je ne sais pas si ce métier existe (il existera peut-être demain, ou bien, il le créera peut-être lui-même, s’il sent un besoin sur le marché)
  • Je veillerai à ce qu’il se donne le moyen de ses objectifs, en le responsabilisant dès le plus jeune âge sur les choix qu’il fait

J’ai eu la chance de pouvoir coacher des étudiants qui ont eu le courage d’affirmer une voie alternative : celle de l’entrepreneuriat et de l’intrapreneuriat. Et je suis admirative de leur volonté, car à leur âge je n’envisageais même pas l’entrepreneuriat comme une voie.

Quel est le secret de ces étudiants-entrepreneurs ?

  • Une auto-discipline de fer
  • Des parents entrepreneurs qui soutiennent leur enfant
  • Une humilité en acceptant l’aide extérieure

Alors doit-on en baver avant de faire ce que l’on aime ?

Non. Et on peut même gagner du temps en s’écoutant, ou en écoutant ses enfants. Car combien de collégiens, lycéens et étudiants ai-je vu abandonner une voie choisie par leurs parents car elle ne correspondait pas à leur propre choix ? Beaucoup trop.

Alors si tu as des enfants, encourage-les. Si toi-même tu n’es pas à ta place dans ton job ou ton activité, réagis ! Ce n’est pas simple de changer de vie, d’état d’esprit mais si ça bouillonne en toi alors fonce !

Comprends l’importance de se fixer des objectifs pour avancer

Il y a quelques semaines, je suis allée rendre visite à de la famille en Bretagne. En pleine période estivale, ma cousine de 17 ans souhaitait perdre un peu de poids pour être à l’aise en maillot de bain. Je lui ai alors demandé quelles étaient ses objectifs concrets en termes de perte de poids ? Mais avant tout, pourquoi voulait-elle en perdre : pour elle ? Pour les autres ?

Donner du sens à ses objectifs est essentiel à qui veut s’y tenir.

Une fois ses objectifs fixés, je me suis proposée de l’aider : je ne suis pas experte en nutrition mais j’ai perdu 15 kg lorsque j’avais 16 ans, et plus récemment, presque 4 kg pendant le confinement. Je connais donc les mécanismes de la perte de poids et surtout comment éviter de les reprendre !

Comme tu t’en doutes, la réussite sur ce plan tient dans un combo sport + alimentation. Je lui ai donc fait un petit programme. Pour le mettre à exécution, nous avons travaillé ensemble sur une séance de hiit (exercices fractionnés comprenant 30 secondes de cardio, et 30 secondes de renforcement musculaire/récupération active).

Après la séance, je l’ai vu totalement découragée. Et voici ce que je lui ai dit :

  • Ne te compare pas à un coach fitness ni à moi (car ça fait 15 ans que je fais du cardio)
  • Si tu veux y arriver, tu ne dois pas renoncer à la moindre difficulté
  • Le corps a une mémoire : il retient et s’améliore avec le temps
  • Regarde ce que tu ne savais pas faire il y a quelques mois ou années et que tu sais aujourd’hui faire à force de persévérance

Et je lui ai donné mon exemple :

  • Il y a 3 ans, je commençais l’aikido et je n’étais pas franchement douée. Aujourd’hui, j’ai encore un long chemin à faire, mais il m’arrive d’aider des aikidokas plus débutants que moi. J’ai donc pris conscience de ma progression.
  • Il y a 3 ans, je lançais mon activité entrepreneuriale. Je ne pensais pas me verser plus d’un smic. Aujourd’hui, je considère que j’ai des revenus confortables et que je suis une privilégiée (mais qui a travaillé dur pour en arriver là)
  • Il y a 3 ans, je ne pouvais pas envisager de manger du salé le matin. Aujourd’hui, j’ai changé cette habitude et suis capable de manger du saumon, des oeufs et autres protéines qui font du bien à mon corps. La pâte à tartiner ne sort plus du placard !

Et voici ce que l’on peut retenir des personnes qui arrivent à atteindre leurs objectifs :

  • Elles savent s’auto-discipliner (ne plus acheter de sucreries, c’est déjà la première base de l’auto-discipline)
  • Elles ne perdent jamais de vue leur objectif ( c’est pourquoi donner du sens à un objectif est essentiel )
  • Elles savent savourer les mini-victoires ( 500 grammes de perdu c’est une victoire et surtout un signe d’encouragement)
  • Elles savent que le succès n’est pas rectiligne (Dans tout succès, on passe par des phases de stagnation, qui sont normales)
  • Elles prennent du plaisir sur le chemin de leur succès (appliquer la règle des 80/20 de mon ami Brice Pellerin : 80% d’alimentation saine, 20% de plaisir coupable)

C’est d’ailleurs pour cette dernière raison que les régimes alimentaires restrictifs ne marchent pas, et qu’ils sont le meilleur moyen de reprendre tout le poids que l’on a perdu. Je t’ai volontairement donné un exemple qui n’a rien à voir avec le business mais je voulais te montrer à quel point forger ton mindset peut avoir un impact sur ta vie perso comme sur le développement de ton activité.

La vie est un marathon, il faut donc apprécier le chemin autant que la fin ! Tu as besoin d’être accompagnée ? Tu peux réserver un appel découverte pour qu’on en discute !

Les 9 étapes pour promouvoir une offre de formation en ligne

En tant qu’entrepreneur, il est important d’avoir des offres claires et définies pour que ton client idéal comprenne ce que tu peux lui apporter. Une des questions qui doit te préoccuper est : comment faire pour promouvoir une offre de formation en ligne ou une offre (ou ton offre actuelle) de façon efficace ?

Lancer une formation en ligne ou une offre n’est pas chose facile, la vendre encore moins ! Mais avant cela, revenons sur le concept même de l’offre : qu’est-ce qu’une offre concrètement ? Et bien, cela peut être une proposition de service, un produit, ou bien un programme par exemple !

Alors voici mes 9 conseils pour faire les choses de manière méthodique et réussir à vendre ta formation en ligne comme les plus grands ! A toi les ventes !

1 – Lance et promouvoir une offre de formation en ligne qui te botte vraiment

Lancer une offre de formation en ligne demande de l’énergie, alors mieux vaut construire quelque chose qui te stimule vraiment !

Qu’as-tu envie de proposer à tes clients ? Pourquoi te limites-tu à de la prestation de service si tu as envie de proposer un programme d’accompagnement de groupe ?

Je vais te donner deux exemples :

Actuellement, une de mes clientes naturopathe a choisi de lancer un nouveau programme d’accompagnement à la réduction de la fatigue chronique en parallèle de ses consultations en cabinet.

Ce nouveau programme agit comme un renouveau dans son activité et lui donne de l’énergie et du sens au quotidien.

Pour ma part, j’ai lancé Slowpreneur Attraction pour accompagner plus d’entrepreneurs à développer leur activité et mobiliser l’intelligence collective et la force du groupe pour leur permettre d’obtenir des résultats encore plus prometteurs.

Ce n’est pas parce que tu es freelance et que lancer des offres “ne se fait pas” dans ton domaine que tu ne peux pas créer la tienne. Fais-toi plaisir et ose !

2 – Construis une trame de base pour lancer et promouvoir ton offre de formation en ligne

Pour lancer ton offre de formation en ligne en bonne et due forme, il faut que tu te poses des questions simples mais essentielles :

  • A quel objectif répond ton offre ?
  • A qui s’adresse-t-elle ?
  • Quelle est la “douleur” principale de ta cible ?
  • Comment vas-tu l’aider à passer d’un point A à un point B (transformation) ?
  • Combien va coûter cette offre (ou du moins un ordre de tarif) ?

Une fois que cette étape est réalisée, tu vas pouvoir contacter les principaux intéressés. Pour être sûr de répondre à leurs attentes, tu peux leur proposer de répondre à un questionnaire en quelques minutes. Cela te permettra de récolter des informations précieuses pour lancer et vendre une formation en ligne qui répond) un réel besoin.

3 – Contacte des prospects qualifiés

A qui vends-tu cette offre de formation en ligne ?

Telle était l’une des questions soulevées dans le point précédent et c’est certainement l’une des premières à laquelle tu dois être capable de répondre. Une fois que tu as défini ta cible, tu vas pouvoir lui présenter ton offre de formation en ligne.

Mais d’abord : sais-tu où trouver ta cible sur le web ? Sur quels réseaux sociaux est-elle présente ? Est-elle déjà abonnée à ta newsletter ? Peux-tu la toucher grâce à la publicité Facebook ?

Il faut que tu définisses une stratégie pour entrer en interaction avec ta cible ?

Dans mon cas, j’utilise principalement ma newsletter pour sonder ma cible. Mais il est tout à fait possible d’utiliser un groupe Facebook ou une communauté Instagram pour le faire !

Ensuite, prépare un petit pitch pour présenter ton programme, ses avantages et ses résultats. Note les points de blocages de tes prospects et entretien après entretien, rode ton discours pour éclaircir ces points ou adapter ton programme à la demande !

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4 – Définis un mode de vente pour promouvoir une offre de formation en ligne

Ton offre de formation en ligne est-elle accessible à tout moment ? Est-elle uniquement ouverte à certaines dates ? Ces questions te permettent de définir une stratégie de promotion de ton offre.

Si tu veux ouvrir ton offre à des périodes spécifiques, je te conseille de faire des lancements.

Un lancement, c’est une communication réalisée à un moment T, pour vendre ton offre. Généralement, il se fait par mail avec plusieurs mails préparés en amont et une notion d’urgence ( tarif qui va augmenter, nombre de place limité, date de clôture du programme).

Le lancement demande beaucoup d’énergie mais peut te permettre d’avoir de beaux résultats rapidement.

Dans mon cas, je n’aime pas les lancements. C’est pour ça que je préfère vendre en continue, avec une stratégie dite “d’evergreen”.

Je redirige ainsi mes prospects réguliers vers l’offre que je souhaite leur vendre. Pour cela, je compte sur ma stratégie d’inbound marketing pour obtenir des appels prospects grâce à une stratégie de contenu régulière. Ponctuellement, je fais appel à un consultant pour faire venir plus de prospects qualifiée grâce à la publicité Facebook.

5 – Définis un mode de conversion des clients

Comment vends-tu ton offre à ton prospect ? L’achète-t-il directement ? Ou bien a-t-il besoin de s’entretenir avec toi en direct pour passer à l’acte d’achat.

Si ton offre de formation en ligne coûte moins de 500 euros, tu peux la vendre de manière automatisée, grâce à un webinaire  (avec un appel à l’action vers ton offre en fin de conférence) ou une séquence mail automatisée (avec notion d’urgence).

Si ton offre coûte plus de 500 euros, je te conseille de vendre par téléphone ou en visio. Pourquoi ? Parce que plus l’engagement financier est important, plus ton prospect va avoir besoin d’être rassuré. C’est un levier psychologique à connaître dans la vente 🙂

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6 – Définis un mode de gestion de ton offre de formation en ligne

Comment délivres-tu ton offre ? C’est une question essentielle qui te permettra de mieux t’organiser.

Vas-tu proposer de l’accompagnement individuel ? Du collectif ? Des lives en direct ? Des vidéos enregistrées ? Les deux ?

Cette question pose une réflexion sous-jacente : celle de la scalabilité. Si ton objectif est de travailler moins, pour servir plus de clients (et gagner plus), travailler sur une offre à la fois rentable et scalable peut être intéressant !

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7 – Crées une page de vente pour toucher ton prospect et le rassurer

Comment convaincre sur les bien-fondés de ton offre ? Grâce au pouvoir des mots, et du copywriting en particulier !

C’est le travail d’une page de vente. La page de vente, c’est un argumentaire pour vendre en faisant appel à l’émotionnel. C’est de cette manière que tu vas pouvoir toucher ton prospect, qui reste un humain doté d’une psychologie avant tout.

Soulever les points douloureux chez ton prospect, le projeter vers ce qui pourrait lui arriver de meilleur avec ton offre (transformation) et de pire en ne faisant rien (le coût de l’inaction), ce sont des points essentiels pour déclencher le mécanisme d’achat chez lui.

Quelques points pour réaliser ta page de vente : la méthode AIDA

  • Attention (susciter l’intérêt du prospect dès les premières phrases)
  • Intérêt (qu’est-ce que ton client a à gagner en achetant ton offre)
  • Désir (comment projeter le client dans un futur idéal grâce à la transformation apportée par ton offre)
  • Action (fais un appel à l’action clair et répété avec une notion d’urgence)

Un classique du marketing. Rajoutons à cela la preuve sociale pour rassurer ton prospect. Témoignages, références et avis ne seront jamais de trop sur une page de vente !

8 – Traque tes ventes et analyse les résultats

As-tu bien vendu ?

Si tu ne sais pas, ce que tu n’as pas traqué tes résultats. Avant toute chose, définir des résultats c’est bien, les évaluer par rapport à un objectif c’est mieux.

Ne pas se fixer d’objectifs de vente a été mon erreur pendant un bout de temps. Résultats : impossible de savoir si j’étais dans le rouge ou dans le vert.

Aujourd’hui, pour ne pas avancer à l’aveugle, je définis des objectifs de vente, même si je ne les atteins pas. Ils me servent de cap vers lequel avancer en priorité.

Je te conseille de tenir un tableau pour analyser le nombre de vente, mais également la provenance de ces ventes afin de savoir où concentrer tes efforts pour la prochaine fois ! Car même si tu n’obtiens pas les résultats que tu souhaites, pars du principe que la vente est un processus d’itération permanent. Sers-toi du raté d’aujourd’hui pour construire la réussite de demain ?

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9 – Rectifie le tir et adapte ta formation en ligne

Tire les leçons de tes ventes pour ajuster ta nouvelle stratégie. Pour cela, pose-toi les questions suivantes :

  • As-tu pris du plaisir à vendre ?
  • Que n’as-tu pas aimé ? Pourquoi ?
  • Quelles sont tes frustrations ?
  • Que ferais-tu la prochaine fois que tu n’as pas fait jusqu’à présent ?

Voici donc mes 9 conseils pour promouvoir une offre de formation en ligne de manière méthodique ! Et si tu as envie d’aller plus loin en passant par un accompagnement, appelle-moi !

Comment qualifier ton réseau intelligemment sans networker ?

La semaine dernière, j’ai eu une réflexion sur mon entourage et mon réseau professionnel, et je me suis posé la question : qui compose vraiment mon réseau ?Alors, j’ai réalisé un petit exercice que je vais te partager. Il m’a permis de tirer profit de mon réseau grâce à une méthode en 4 points. A ton tour de mieux qualifier ton réseau !

1 – Classer ton réseau

Dans ton écosystème entrepreneurial, tu vas avoir trois types de personnes : 

  • Les personnes dont le stade de développement est moins avancé que le tien
  • Les personnes qui sont au même stade de développement et de réflexion que toi
  • Les personnes inspirantes dont le projet est à un stade supérieur au tien

Je te propose de classer ton réseau et de faire le ratio entre ces trois catégories.

Si tu as plus de personnes dont le stade de développement est supérieur au tien, c’est une très bonne chose. Ces personnes vont te tirer vers le haut. Si tu as plus de personnes dont le niveau de développement est égal au tien, tu vas avoir besoin de plus de stimulation extérieure pour t’inspirer et développer ton activité.

Si tu as plus de personnes dont le niveau est moins avancé que le tien, ce n’est pas bon, parce que tu ne vas pas pouvoir t’élever.  Alors que faire si le ratio n’est pas bon ? Je te propose trois stratégies !

2 –  Les trois stratégies pour mieux qualifier ton réseau professionnel

L’objectif d’un réseau qualifié est qu’il puisse te nourrir intellectuellement mais également te proposer des mises en contact intéressantes pour toi. C’est pour ça qu’être entouré des bonnes personnes est un enjeu crucial dans l’entrepreneuriat.

Voici donc les trois stratégies que je te propose de mettre en place : 

Pour atteindre les personnes dont le niveau de développement est supérieur au tien

Il existe plusieurs façons de qualifier ton réseau et attirer de nouvelles personnes. Parmi ces solutions, tu peux :

  • proposer une interview ! Les gens aiment parler d’eux. En plus, l’interview est également un moyen d’échanger de manière informelle et être bien identifié par la personne en question.
  • apporter une réflexion personnelle et percutante sur leur activité (et propose leur un quick call pour en discuter).
  • demander à ton premier cercle une mise en relation avec la personne en question, ou une mise en relation avec une personne qui gravite autour de la personne en question.

Pour renforcer la qualité des relations avec les personnes dont le stade de développement est égale au tien

Tu peux leur proposer des Codev en binôme, pour développer une réflexion collective autour de vos projets respectifs. Cette réflexion vous permettra de vous enrichir mutuellement des apports de l’autre. L’échange donnant-donnant, rien de mieux !

Pour optimiser ton temps avec les personnes dont le niveau de développement est moins avancé que le tien

Tu peux leur proposer des rendez-vous collectifs, et leur proposer un accompagnement à tarif préférentiel. Cet accompagnement n’a pas pour simple objectif de gagner de l’argent, mais permettra à ces personnes de s’engager vis-à-vis d’elles-même et vis à vis de toi. Quand on paye, on s’engage. C’est ce que je constate avec mes clients en coaching. C’est également ce que j’ai constaté quand je me suis lancée dans l’entrepreneuriat et que j’ai investi une grosse somme d’argent en formation. Pour rentabiliser un investissement, on se bouge.

Et c’est comme ça que tu peux rendre service à ces personnes qui ne demandent qu’à développer leur activité ?

3 – Proposer des rencontres conviviales pour qualifier ton réseau et garder un lien

C’est une manière alternative de développer un réseau qualitatif de proximité. N’aimant pas le networking de masse, j’organise des rencontres avec ma communauté, les Slowpreneurs pour sortir de la communication virtuelle et nous rencontrer dans le monde réel. 

C’est rencontres te rendront plus accessibles et te permettront également de saisir des opportunités insoupçonnées.

Si tu n’aimes pas le networking, ces rencontres vont te permettre de prendre le temps d’approfondir la relations avec les entrepreneurs présents car peu nombreux et donc plus disposés à échanger. Ma dernière rencontre avec les membres de ma communauté était un vrai succès : une dizaine de participants dans un lieu convivial où l’on s’entend. 

Les inébranlables slowpreneurs, c’est une communauté d’entrepreneurs qui a fait le choix d’entreprendre en prenant le temps de construire un business solide mais également des relations durables.

Des liens se sont crées entre les membres et j’ai pu mettre un visage sur les membres de ma communauté que je n’avais pas encore rencontrés 🙂

Tu peux qualifier ou requalifier ton réseau intelligemment avec les stratégies que je t’ai donné. Quand on entreprend, le réseau est essentiel, donc ne le néglige pas ?

Et si tu sens que tu as besoin d’y voir plus clair sur ton projet entrepreneurial, je reste à ta disposition pour un entretien découverte !

Comment entreprendre pendant la crise ?

Personne n’est à l’abri d’une crise économique et la pandémie que nous avons subi en 2020 a touché tous les secteurs, tous pays confondus en mettant toutes les activités à l’arrêt pendant plusieurs semaines. Dans ce contexte, comment entreprendre pendant la crise ? Je vous donne mes meilleurs conseils pour gérer au mieux cette situation particulière et savoir mettre tout ce temps au profit de votre business !

Prenez soin de vous pour mieux prendre soin de votre business

Se retrouver à l’arrêt pendant plusieurs semaines peut avoir un impact sur votre moral et c’est normal. Si en plus vous devez rester confiné à la maison, la situation peut être encore plus difficile à gérer.

Je vous conseille de prendre soin de vous pour être totalement disponible et efficace pour votre business. Quelques conseils de base peuvent être appliqués :

  • Faites du sport ! Rester en mouvement permet de vous décharger du stress, de penser à autre chose et de vous donner un nouvel objectif. Si vous n’êtes pas un grand sportif, vous pouvez commencer par du yoga ou encore de la marche rapide. L’essentiel est de pratiquer une activité qui vous plait et que vous pourrez conserver sur la durée !
  • Faites attention à votre alimentation. En restant à la maison ou en ayant moins de travail, on peut être tenté de se lasser aller et de craquer plus facilement pour le grignotage. Préparez de bons petits plats, quitte à prendre de l’avance, et optez plutôt pour des encas sains et faciles à préparer par vous-même. Se faire plaisir oui, mais attention aux abus !
  • Gardez le contact avec les autres. Il n’y a rien de pire que l’isolement pour faire baisser votre moral. Prenez des nouvelles de votre entourage, appelez vos amis. Si vous devez rester à la maison, pensez aux visio pour ne pas vous couper du monde !
  • Gardez un rythme habituel. Lorsqu’on a moins de travail, il est bien sûr tentant de ralentir le rythme et de faire des pauses ou des siestes bien plus souvent. Vous avez tout à fait le droit de prendre plus de temps pour vous mais attention à ne pas perturber votre rythme, ce sera encore plus difficile de le retrouver lorsque votre activité reprendra à 100%
  • Prenez le temps d’encaisser la situation ! Vous saurez gérer au mieux la période que vous traversez en prenant du recul. Même si ce n’est pas toujours facile, prendre le temps d’accepter la situation vous apportera bien plus de sérénité plutôt que de l’ignorer et foncer à tout prix !

 Prendre soin de vous, c’est prendre soin de votre mindset pour mieux entreprendre pendant la crise ! Votre business vous dira merci !

Posez vous les bonnes questions pendant la crise

Entreprendre pendant la crise est certes difficile à vivre mais il peut être judicieux de s’en servir pour vous poser les bonnes questions.

  • Est-ce que votre situation pro/perso vous satisfait à 100% ?
  • Qu’aimeriez-vous changer ou améliorer ?
  • Quels sont vos objectifs ? Sont-ils vraiment atteignables ?
  • Est-ce que vous aimez vraiment ce que vous faites ?
  • Avez-vous vraiment besoin de tout ce que vous avez ou attendez dans votre vie ?

A partir de ces réponses, vous saurez si vous êtes dans la bonne direction ou si vous avez besoin de revoir votre objectif professionnel et/ou personnel.

Une remise en question liée à un tel événement peut avoir bien plus de conséquences positives qu’on ne l’imagine. D’ailleurs vous pouvez vous poser ce genre de questions à tout moment de votre vie !

Prenez du temps pour votre business

Une crise peut être l’élément déclencheur pour vous pousser à revoir votre business modèle. La pandémie et le confinement de 2020 ont poussé de nombreuses entreprises à revoir leur fonctionnement et leur positionnement.

  • En digitalisant une partie de votre activité : certaines entreprises du secteur évènementiel n’ont pas hésité à proposer des events en ligne. Si vous êtes coach, vous pouvez par exemple proposer des séances en ligne en groupe ou en session individuelle.
  • En créant de nouveaux produits : les formations en ligne sont idéales pour proposer de nouveaux services et compléter votre business ! Vous pouvez proposer un format qui ne nécessite pas de rdv avec vous ou proposer une offre à un autre tarif qui comprend un accompagnement individuel par exemple
  • En privilégiant les circuits courts : les restaurateurs ont dû s’adapter et proposer des formules à emporter et opter pour les producteurs locaux. Non seulement, cela a un impact écologique puisqu’il n’y a plus de transports pour importer des produits du bout du monde, et un effet économique. Les producteurs locaux sont valorisés et les plats peuvent bien souvent être de meilleure qualité !
  • En développant un side project (ou projet secondaire) : les professionnels du marketing ou les copywriters vous le diront. Il n’est pas nécessaire d’avoir des bureaux ou des rdv en présentiel toutes les semaines pour bien vivre de votre activité ! Si vous le pouvez, pourquoi ne pas songer à un business en ligne ?

Ces différentes possibilités vous permettent de vous adapter à différentes situations, de réagir rapidement et surtout, de solidifier votre activité !

Soignez votre communication

Quel que soit le contexte économique il est important de veiller à votre communication, et cela s’avère encore plus important en cas de crise. Pour cela, la création de contenus est indispensable ! Vous devrez prendre en compte :

  • La communication autour de vos nouvelles offres ou produits
  • Des habitudes de votre client idéal sur le web pour adapter la meilleure stratégie
  • La création d’un calendrier éditorial pour anticiper la création de contenus et prendre de l’avance

Ces points demanderont bien sûr une certaine rigueur et je vous recommande de soigner les liens avec votre communauté. Prenez le temps de répondre à vos messages, aux commentaires, à répondre à des demandes de rdv. Ces derniers éléments renforceront votre branding ! Dernier conseil, si vous êtes à l’aise avec ce format, proposez des lives pour interagir de façon directe avec votre communauté !

Comment lancer un business et entreprendre pendant la crise ?

Si vous envisagez de créer votre propre business, vous devez garder à l’esprit que le bon moment n’existe pas ! Il est évident qu’une crise comme celle de 2020 est particulière et peut vous faire hésiter mais je vous conseille justement de profiter de cette opportunité pour :

  • Affiner votre stratégie de communication
  • Prendre de l’avance sur la création de contenus
  • Créer vos supports de communication
  • Rejoindre des communautés en ligne (groupes Facebook, Meetup, Slack) pour élargir votre réseau professionnel
  • Proposer vos prestations à tarif plus abordables auprès d’associations qui ont moins de moyens : cette solution est idéale pour trouver vos premiers clients tout en construisant votre portfolio !
  • Vous former pour approfondir vos compétences
  • Trouver des services complémentaires pour générer des revenus passifs (comme la formation en ligne par exemple)

 

En résumé, une crise touche tout le monde, et tous les business. Le plus important est d’avoir le bon mindset et de savoir réagir. Tout le monde souhaite vendre mais il est important d’adapter votre business et votre communication à la situation. Montrez-vous à l’écoute de votre communauté, consolidez les liens, identifiez de nouveaux besoins et de nouvelles offres. Prenez également à prendre des nouvelles de vos clients pour savoir comment ils vivent la situation de leur côté. Cela contribuera à renforcer votre relation avec eux, et de manière indirecte votre collaboration ! Et si vous avez besoin d’aide pour y voir plus clair ou pour avoir un regard extérieur sur votre façon d’entreprendre pendant la crise, nous pouvons convenir d’un appel découverte pour voir comment je peux vous aider !

10 leçons d’entrepreneuriat que m’a appris l’aïkido (3e version)

Il y a quelques temps, j’ai écrit deux articles (le premier ici et le second ici)dressant les parallèles entre l’entrepreneuriat et la pratique de l’aïkido. Aujourd’hui en période post-covid, le monde économique est en pleine mutation et les entrepreneurs doivent se restructurer pour s’adapter à ce nouveau contexte. Tout comme les aikidokas qui ont du développer des capacités de résilience pour renforcer leur pratique malgré un fort niveau de contrainte. Dans cet article, je détaille donc les 10 nouvelles leçons d’entrepreneuriat que l’aïkido m’a appris plus récemment. 

 

Leçon n°1  : Rechercher la perfection est un frein à la progression 

Stage de Paques, Nimes – Kodokan Paris 15 (Mai 2018)

En aïkido, ce qu’on recherche, c’est le mouvement et la fluidité. Rester statique pour essayer de trouver le mouvement parfait ne fonctionne pas car il nous déconnecte de notre partenaire (Uke) et rompt ainsi la relation. Par exemple, dans le cadre d’un travail en miroir, ce qu’on recherche, c’est la coordination avec son partenaire, mais pour cela, il faut de nombreuses tentatives pour trouver l’harmonie avec entre Uke (celui qui attaque) et Tori (celui qui fait la technique). En restant mobile et en s’essayant à de nouveaux mouvements, on finit par ajuster sa distance, trouver le bon timing et renforcer la relation avec son partenaire.

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : ce n’est pas grave si nos initiatives ne fonctionnent pas. Ce qui compte, c’est le passage à l’action, tout en rectifiant le tir si jamais l’essai n’est pas concluant. Si je veux tester une nouvelle offre ou un lancement de formation, il faudra le lancer à un moment ou un autre. Le plus tôt sera le mieux pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné (audience, tarif, positionnement, proposition de valeur…) et faire mieux la prochaine fois. Passer à l’action, arrêter de se poser trop de questions permet ainsi d’expérimenter, ressentir, et ajuster si besoin. 

Rechercher le geste parfait, c’est perdre en fluidité en se mettant ses propres freins. Pour tendre vers la progression, mieux vaut être dans le mouvement pour s’en rapprocher. 

 

Leçon n°2 :  Suivre son ressenti pour faire les choses facilement 

Cours d’armes en plein air – Kodokan Paris 15 (mai 2020)

Comme vu dans la première leçon, ce qui compte en aïkido, c’est le mouvement et la fluidité. Pour arriver à un bon niveau de fluidité, il faut faire les choses comme on les sent, en essayant de ne pas contrôler tout ce qui se passe. Des exercices yeux fermés sont parfois proposés pour permettre aux aikidokas de moins utiliser leur mental, et plus écouter et ressentir les sensations de leur corps. A terme, on finit capter des sensations. Ces nouvelles sensations permettent à l’aikidoka de prendre conscience de ce qui n’est pas bon (pas le bon placement par exemple), puis plus tard, de trouver la solution pour rester dans cette fluidité

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : ce qu’on recherche, c’est la fluidité, ou le “flow” comme on le dit souvent. Ce “flow” permet d’être dans le meilleur de son énergie pour faire les choses facilement, sans effort. C’est en somme, être dans la bonne énergie. Cette recherche de fluidité est très utile pour rester créatif : produire des contenus par exemple. Si je lutte à écrire 3 mots, mieux vaut reposer mon stylo et recommencer plus tard, quand je serai dans une meilleure énergie et que ma pensée sera plus claire. 

Lorsque les choses ne viennent pas, c’est que le corps, ou l’idée n’est tout simplement pas prêt.

 

Leçon n°3 : Le déclic vient avec le travail

Cours de jo enfant – Kodokan Paris 15

En aïkido, il nous arrive souvent de fournir beaucoup d’efforts sans voir les résultats de notre travail. Cela peut être très frustrant. Mais un beau jour survient le déclic ! Pourtant, ce déclic ne vient pas seul, il est l’aboutissement de mois de travail, pendant lequel le corps a fini par assimiler ce qu’on lui demandait. Pour réussir à faire une chute enlevée fluidement, il faut travailler pendant un certain temps son placement, mais également ses appréhensions face à une chute qui peut paraître impressionnante. C’est une fois la peur domptée que Uke peut chuter avec facilité et sans se blesser.  

Dans l’entrepreneuriat c’est la même chose : lorsqu’on se met à son compte, on travaille beaucoup au début. Ce travail nous demande beaucoup d’efforts et d’énergie pour nous faire connaître, nous rendre visible, fluidifier nos rendez-vous prospects, et écrire nos premiers contenus. Au début tout semble laborieux. Mais un beau jour, c’est le déclic : de nouveaux clients affluent d’un coup, un média accepte notre publication, et c’est le cercle vertueux qui se met en marche ! Mais jamais tous ces déclics n’auraient pu advenir sans travail fourni en amont. 

On a souvent tendance à se comparer à des personnes plus avancées que nous, pour qui tout semble fluide. Mais on oublie de regarder le chemin parcouru par ces aikidokas et entrepreneurs. Au lieu de comparer son intérieur à l’extérieur des autres, comparons nous à ce que nous étions hier, avant travail et déclic. 

 

Leçon n°4 : Accepter les contradictions de la discipline 

Cours d’armes à Montsouris – Olympiades Aikido Club (mai 2020)

L’aïkido est une discipline qui comprend ses propres contradictions : d’un côté, la spontanéité et la fluidité recherchées, de l’autre, le cadre et les règles propres à l’art martial. Lorsqu’on pratique les armes en aïkido, il faut une certaine réactivité, tout en se tenant à une pratique très codifiée (nombre de pas, rituel de salutation…). Lorsqu’on débute en aïkido, il est difficile de faire la part des choses, et savoir ce qui est attendu de nous. Il est ainsi très compliqué d’aller vers de la fluidité sans maîtriser l’outil (son propre corps ou ses armes). Le juste milieu peut se trouver pour un débutant quand il est en confiance, ce qui lui permet de se lâcher, tout en appliquant les quelques principes qu’il connaît (les déplacements de base par exemple). 

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : il faut à la fois garder la tête froide pour ne pas diriger une entreprise avec ses émotions, et à la fois utiliser ses émotions dans sa communication pour la rendre plus humaine. Là encore, même si les contenus ont une portée émotionnelle, il faudra une rigueur et une discipline de publication. Il s’agit donc de jongler entre objectivité pour renforcer son mindset entrepreneuriat (état d’esprit), émotions pour humaniser l’entreprise et discipline pour construire une entreprise pérenne. 

Tout est une question d’agilité et de connexion entre ces trois éléments complémentaires : rigueur (assiduité en aïkido /régularité dans l’entrepreneuriat), attitude (shisei/professionnalisme), lâcher-prise (spontanéité/ communication émotionnelle)

 

Leçon n°5  : On va là où on regarde 

En aïkido, le regard donne la direction : si je regarde le sol, je vais m’écraser au sol. Si je regarde mon adversaire, je peux le surveiller en cas d’attaque et anticiper ses coups. Tout est une question d’intention et de direction. A de nombreuses reprises, j’ai oublié de regarder mon partenaire pour me focaliser sur ses mains ou son arme ( qui m’a coûté quelques baffes). L’aïkido nous apprend aussi à regarder ce qui compte vraiment et ne pas être aveuglé par l’objet brillant (la main, ou l’arme). 

Dans l’entrepreneuriat c’est la même chose : la question du regard est primordiale pour développer son entreprise dans le sens qu’on souhaite lui faire prendre. Concrètement, il s’agit de la vision : où dois-je regarder ? Devant mes pieds ? Ou au contraire, voir loin pour maintenir le cap ? L’e syndrome de l’objet brillant va-t-il me détourner de mon objectif long terme ?  La réponse est dans la question ? J’ai personnellement commencé à développer ma vision entrepreneuriale et personnelle il y a un peu plus d’un an, et ça m’a grandement aidée dans ma volonté d’automatiser une partie de mon activité et lever le pied pour me consacrer à ma vie personnelle et à mes activités extra-professionnelles ! Pour tenir la route, il faut un cap, que seul le regard fixe. 

 

Leçon n°6 : Pivoter pour mieux rebondir (surtout dans un contexte de crise)

Aikido en période post-covid – Kodokan Paris 15 (juin 2020)

En aïkido, il existe un mouvement qu’on appelle pivot. Le pivot permet de se rééquilibrer tout en faisant volte face à son adversaire. Ce pivot implique un déséquilibre nécessaire pour retrouver un positionnement stable. Et c’est le principe même des déplacements en aïkido : les chutes permettent de rebondir, les enkas ert tenkans de se repositionner pour maintenir de solides appuis. Sans ces déplacements, dont le pivot fait partie, l’aikidoka perdrait l’équilibre et se ferait dominer par son adversaire. 

Mais pivoter, c’est également adapter sa stratégie à un contexte actuel comme celui de la crise post-covid : dans ce contexte, l’aïkido a dû adapter sa pratique. D’abord en visio, l’aïkido s’est ensuite pratiqué en plein air grâce à la pratique des armes et de l’aiki-taiso (mouvements de corps de l’aïkido) permettant ainsi aux aikidokas de travailler au mieux leurs postures, souvent délaissées au quotidien, au profit de la relation avec le partenaire. 

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : les pivots permettent de faire prendre une nouvelle direction à son entreprise pour la faire grandir, ou opérer des mutations pour l’adapter à une nouvelle stratégie de développement. Pivoter est inconfortable car c’est une action qui amène notre entreprise dans une direction que l’on ne connaît pas encore. Tout comme en aïkido, ce déséquilibre est nécessaire pour retrouver une stabilité et une sérénité. Dans le contexte actuel post-covid, certains entrepreneurs ont du digitaliser leur activité pour la faire perdurer : c’est donc un pivot important qui valorise la résilience de l’entrepreneur. 

En accusant un coup comme celui de la crise que nous connaissons aujourd’hui, nous exerçons notre faculté de résilience pour garder la tête hors de l’eau. Dans son malheur, et dans sa nouvelle pratique en plein air, l’aikido a su donner une plus grande visibilité à sa discipline, qui peut s’en servir pour la prochaine rentrée qui s’annonçait plutôt difficile ! L’entrepreneur lui, peut se former pour transformer et adapter son activité au contexte actuel.

 

Leçon n°7  : Lever les freins psychologiques à la réussite

En aïkido, le débutant expérimente beaucoup de moments d’appréhension : les chutes, qui peuvent donner l’impression de se vautrer contre le tatami, l’attaque d’un uke dont la forte corpulence peut générer un sentiment de peur, et les moments de déséquilibres, difficiles à accepter quand on a l’habitude d’être en permanence dans le contrôle. Une fois les blocages levés, la pratique est beaucoup plus fluide et dynamique. Mais pour lever ces blocages, il faut des années de pratiques, des partenaires bienveillants, et une bonne pédagogie. 

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : on est souvent victime de croyances limitantes qui entravent notre réussite :  “je ne suis pas légitime”, “je ne peux pas demander tant”, “je n’y arriverai jamais”, “ma vie n’intéresse pas les gens” sont des phrases qui reviennent souvent.  Une fois les croyances limitantes levées, l’entrepreneur peut développer son plein potentiel. Mais avant cela, un travail psychologique sur soi est essentiel pour arriver à atteindre ses objectifs : c’est pourquoi, en tant que coach, j’ai choisi d’adopter une approche liant business et développement personnel. 

Chaque activité, qu’elle soit professionnelle ou récréative a une dimension psychologique lié au désir de performance et à l’égo. Pour performer, il faut justement se mettre dans les bonnes disposition pour lever ces blocages : s’entourer de personnes stimulantes, mais également de “miroirs” de notre progression, tel un coach peut l’être pour son coaché, et tel un sensei peut l’être avec son élève. 

 

Leçon n°8 : Investir sur soi 

Pour progresser en aïkido, un double investissement est nécessaire : un investissement en temps (lié à la tenue d’un objectif de progression clair, avec les passages de grades) et un investissement financier (même moindre, pour acquérir la bonne tenue, le bon matériel ou accéder aux stages qualifiants). Sans la rigueur et la discipline qu’impliquent la tenue d’objectifs clairs, il est impossible de voir des résultats satisfaisants. On peut passer des années à pratiquer l’aïkido sans progresser si on ne se fixe pas d’objectifs clairs et si on ne se donne pas les moyens d’y arriver. La pratique seule ne suffit pas.

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : pour passer un palier, il faut investir sur soi : du temps, car on sait que les graines que l’on plante aujourd’hui ne seront récoltées que dans un bon moment. Et de l’argent car sans formation ni accompagnement, on peut passer des années à vivoter au lieu de faire décoller son entreprise. Investir permet de s’engager pleinement, obtenir un regard extérieur et prendre l’autoroute au lieu de passer par les détours d’une route de campagne. 

Investir dans son attitude, sa posture, ses outils et surtout, dans la réussite de ses objectifs est le meilleur moyen d’arriver à les atteindre. Un investissement, c’est un engagement vis à vis de soi, en faisant le pari de sa réussite.

 

Leçon n°9 : Croiser les pratiques pour trouver un style qui nous correspond 

En aïkido, chaque dojo a sa propre manière d’enseigner, selon la fédération à laquelle il appartient, mais également selon la pratique du sensei. En tant que coach, j’attache beaucoup d’importance à la pédagogie : je sais que j’ai besoin d’explications concrètes pour comprendre les choses. J’ai également besoin de croiser les pratiques pour assimiler ce que j’ai appris. C’est pourquoi au bout de ma troisième année, j’ai décidé de rejoindre un deuxième club en parallèle du premier. Ces deux approches me permettent ainsi de prendre du recul sur ce qui m’est enseigné et de mieux assimiler l’apprentissage. Avec les années, l’aikidoka développe son propre style, et c’est de cette manière qu’il se sera découvert pleinement. 

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : on baigne dans un univers de coachs et de sachants dont les méthodes diffèrent toutes les unes que les autres. Dans cette jungle de l’entrepreneuriat (et surtout, de l’infopreneuriat), on peut facilement s’y perdre. Je conseille à tout entrepreneur de ne pas copier ligne par ligne une stratégie vue chez un mentor, mais plutôt de ne prendre que ce qui lui parle vraiment, et de laisser de côté ce qui ne lui correspond pas. Appliquer une méthode qui n’est pas “soi” va générer un problème d’alignement et donc des résultats médiocres. En revanche, croiser les approches et prendre le meilleur d’entres elles, puis à terme, trouver son propre style est une bonne solution ! 

L’analogie favorise la synthèse. C’est un processus naturel qui permet de mieux assimiler la connaissance, mais également d’apprendre de manière plus éclairée grâce à la prise de recul.

Leçon n°10 : Trouver son lâcher-prise tout en étant dans l’action 

Cours d’armes – Olympiades Aikido Club (juin 2020)

En aïkido, il est conseillé de se relâcher ses muscles pour fluidifier ses mouvements. Mais rien n’est moins aisé, surtout quand on est débutant. Alors comment lâcher prise quand on est tout crispé du poids de la journée et du stress quotidien ? En étant dans l’action mais en prenant du plaisir ! La meilleure façon de se détendre est de prendre du plaisir. Tout simplement. Et cette notion de plaisir peut être oubliée quand on tient un objectif de performance trop élevé, mais également quand on se sent brimé dans son élan, par un des remarques ou un manque de valorisation.

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : des objectifs trop ambitieux peuvent nous amener à finir sur les rotules tout en oubliant de prendre du plaisir à entreprendre. C’est pourquoi j’attache une grande importance à la notion d’alignement pour entreprendre sans s’épuiser, conserver son énergie et donner du sens à son quotidien d’entrepreneur. Lorsque je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, j’écrivais des contenus sans stratégie en tête. Je prenais du plaisir à écrire mes articles, et c’est ce qui m’a permis de trouver mes clients, car j’étais dans une bonne énergie, sans chercher à trouver des clients “tout de suite”.  

Dans l’aïkido tout comme dans l’entrepreneuriat, le lâcher prise est essentiel à l’atteindre de ses objectifs, mais pour y arriver, il faut arrêter d’être obnubilé par l’objectif, et apprécier le chemin. 

 

Conclusion

Voici donc les 10 leçons d’entrepreneuriat que m’a appris l’aïkido. Par analogie, l’aïkido me permet d’adopter un nouveau regard sur l’entrepreneuriat, et réciproquement. Aujourd’hui, mon entreprise grandit, et ma pratique de l’aïkido s’améliore, et ce, dans un contexte particulièrement difficile. C’est de cette manière que mon entreprise tout comme l’aïkido deviendront de plus en plus résilients ! Si vous êtes entrepreneur, et que vous souhaitez prendre du recul sur votre activité, l’aïkido est un bon moyen pour cela.

 

? Pour essayer l’aïkido dans un Club dont l’ambiance est bonne, Olympiades Aikido club (13e) et Kuroba Aikido (9e)  sont de bon choix, on s’y retrouvera peut-être 😉

? Pour découvrir mon blog aikido, c’est ici 

En espérant vous y croiser dès la rentrée sur les tatamis, et d’ici là, au parc Montsouris (Olympiades) ou Georges Brassens (Kodokan) 

 

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5 principes pour atteindre ses objectifs professionnels et personnels

J’aimerais te parler aujourd’hui du lien qu’il existe entre la manière de réussir dans sa vie professionnelle et personnelle. Plus précisément, j’ai établi des principes de vie applicables à ma vie privée, ma pratique de l’aikido et du chant, mais également à l’entrepreneuriat. Ces principes permettent d’atteindre ses objectifs personnels et professionnels. 

 

Et les voici ! 

 

Principe n°1 : se détendre et lâcher prise pour atteindre ses objectifs

 

Et oui, le fameux ? Evidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais relâcher te permettra d’être moins stressé et par conséquent être plus précis dans tes gestes (aikido), laisser l’énergie circuler (chant) mais également aborder les difficultés du quotidien avec plus de recul (vie privée). Sur le plan entrepreneurial, le lâcher-prise te permet d’obtenir les résultats pour lesquels tu as travaillé : une fois l’effort engagé, laisse la magie opérer (ce qui ne dépend pas de toi). 

 

Mes astuces pour lâcher prise : 

  • passer moins de temps avec mon téléphone (pas toujours facile) 
  • détendre mon corps (et mon esprit) avec un massage par mois

 

Principe n°2 : être régulier pour atteindre ses objectifs

 

La régularité dans toute pratique de toute discipline est un fondamental pour obtenir des résultats. Mieux vaut courir 30 minutes plusieurs fois par semaine qu’une fois 1h30 et ne plus rien faire pendant des mois. 

Dans des disciplines techniques comme le chant ou l’aikido, il est essentiel de pratiquer régulièrement pour que le corps intègre des postures qui deviendront des automatismes. C’est pourquoi je pratique l’aikido entre 3 et 5 fois par semaine. 

Dans l’entrepreneuriat, je ne le dis jamais assez, c’est la régularité de ta communication, et de ton travail qui donnera des résultats. C’est pourquoi il est essentiel d’instaurer des habitudes et un certain cadre (pas forcément très contraignant mais juste présent). Pour ma part, je produis des contenus réguliers depuis près de 3 ans, et ils sont à 80% responsables de l’acquisition de ma clientèle. 

Dans la vie personnelle, les habitudes permettent une bonne hygiène de vie mais également un rituel (une routine) matinale par exemple. Bien sûr, l’objectif est de développer un plus grand bien être dans ta vie personnelle. Il faut garder en tête le pourquoi de tes actions/habitudes/gestes sinon tu les dénatures de leur sens initial et tu perds la motivation. 

 

Principe n°3 : Trouver les mentors qui nous correspondent pour atteindre ses objectifs

 

Pour réussir à atteindre les objectifs que tu t’es fixés, des mentors bienveillants vont pouvoir te guider (et te permettre d’aller plus vite). Evidemment, il faut que le courant passe. Ce que j’attends d’un mentor : de l’écoute, de la pédagogie, de la bienveillance et de l’encouragement. 

Pour le chant, je n’ai pas encore trouvé : j’ai eu plusieurs profs qui ne me correspondaient pas et j’ai mis trop de temps à comprendre que chaque pédagogie n’était pas adaptée : trop de vocalises, trop de respiration, trop de blabla, trop de rythme, trop de contraintes au niveau du registre imposé…

Maintenant, je me suis imposée une règle : si le feeling ne passe pas après 3 séances, je passe à un autre mentor. 

Et j’ai connu la même chose sur le plan personnel en rencontrant des psys et en testants des médecines alternatives. Le problème quand on ne connait pas une discipline, c’est qu’il est difficile de juger par soi-même ce qui est bon ou pas pour soi. 

Pour l’aikido, j’ai choisi de combiner deux approches pour mieux intégrer les retours qui me sont faits. Je sentais que je n’étais plus réceptive à l’approche de mon premier club, et par conséquent, j’ai testé une autre pédagogie. “Aller voir ailleurs” m’a permis de prendre du recul sur ce qui m’était enseigné dans mon premier club.

Quand on entreprend, c’est la même chose : pour avancer plus vite vers son objectif, on a besoin de mentors, ou de guides. Bien entendu, tous ne nous correspondent pas. Si tu ressens un sentiment d’incompréhension, de frustration et de blocages, c’est que ce mentor n’est pas fait pour toi : alors change ! 

Garde en tête qu’un mentor doit te permettre d’avancer ! 

Principe n°4 : Savoir faire les bons investissements pour atteindre ses objectifs

Pour arriver à tes objectifs, il va falloir investir.  Du temps et de l’énergie, certes. Mais souvent aussi de l’argent. 

L’investissement en argent, c’est un véritable engagement. Et bonne nouvelle, il donne des résultats ! 

Le problème, c’est qu’on est souvent frileux à l’idée d’investir…par peur de dilapider ses économies sans obtenir de résultats. 

Alors qu’est-ce qu’un bon investissement et quand investir ? 

 

Un bon investissement :

  • Peut-être légèrement inconfortable : il nous fait sortir une somme que l’on a pas l’habitude de débourser…MAIS nous responsabilise ! 
  • Arrive au moment où l’on ressent le besoin d’un coup de pouce pour passer à la vitesse supérieure et atteindre le prochain palier. 

J’ai investi à plusieurs reprises dans l’entrepreneuriat pour me former et être coachée. Je savais en théorie ce que je devais faire, mais j’avais besoin qu’une personne me parle à moi personnellement et m’aide à développer ma propre entreprise. 

Plus j’avance dans l’entrepreneuriat, plus j’ai des besoins personnalisés (car sur le plan théorique, je sais ce qu’il faut faire) , et plus mes investissements sont couteux. 

C’est la même chose pour le chant, ou j’ai accepté de m’engager sur un trimestre dans une école quand j’étais au cours à la séance sans engagement par le passé. Cet engagement représente un gros investissement mais me permettra de me placer dans un autre état d’esprit : je décide de faire du chant une priorité.

Au niveau de l’aikido, j’ai également investi dans une double inscription dans un autre club pour croiser deux pédagogies mais également pratiquer plus et améliorer mon niveau.

Sur le plan personnel, je suis prête à mettre le budget pour débloquer des croyances limitantes et vivre mieux mon quotidien !

 

Quand tu hésites à investir poses-toi deux questions : 

  • Quel est le coût de l’inaction  ?
  • Cet investissement te met-il en danger financièrement ? 

Principe n°5 : être indulgent avec soi-même pour atteindre ses objectifs

 

Et je suis certainement la plus mal placée pour te donner ce conseil ?

Avoir des objectifs ambitieux est une très bonne chose. Seulement plus l’objectif est ambitieux, plus la difficulté est présente. Il faut donc te laisser une marge de progression et donc d’indulgence. 

Je suis mal placée pour te parler d’auto-indulgence parce que je suis trop dure avec moi-même. En revanche, lorsque j’arrive à relativiser mes périodes de “stagnation” et adopter une vision plus globale, comprenant ma progression passée et mon objectif futur lointain, j’arrive à me satisfaire de mon travail. 

Car plus l’objectif est ambitieux, moins le progrès est linéaire. Voir parfois dégressif ! 

atteindre ses objectifs

Le chemin vers le succès 

Pour arriver au prochain palier, on tombe parfois dans une période de régression. C’est ce que le schéma montre au sujet de l’entrepreneuriat.

Je l’ai également éprouvé dans ma pratique sportive avec l’aikido ou j’ai parfois l’impression de régresser et de ne plus savoir faire les choses : mais c’est tout simplement parce que je prends conscience de ce que je ne sais pas. C’est parfois très déboussolant. 

 

Pour éviter d’être frustré, il est important de comprendre deux choses : 

  • Accepter l’évaluation
  • Ne pas prendre les choses personnellement 

 

Accepter l’évaluation externe te permet de ne pas t’auto-évaluer (ou flageller) et laisser une période extérieur et professionnelle t’évaluer de manière bienveillante (d’ou l’intérêt d’un bon mentor).Ne pas prendre les choses personnellement te permet de prendre de la hauteur par rapport à une critique (constructive). Ce n’est pas parce qu’on t’apprend à redresser la barre du gouvernail de ton entreprise, de ta pratique sportive ou d’introduire plus de diplomatie dans ta parole que l’on te critique en tant que personne. Seuls tes actes sont évalués. Il ne tient qu’à toi de les changer. Tu deviendras ainsi la meilleure version de toi-même, tout en restant toi-même ?

Voici donc mes 5 principes pour mieux atteindre tes objectifs professionnels et personnels et mieux vivre ta vie au quotidien ! 

 

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atteindre ses objectifs

14 leçons à retenir du Livre de Stan Leloup : Votre empire dans un sac à dos

Je viens de terminer le premier et nouveau livre de Stan Leloup le fondateur de Marketing Mania. J’ai acheté son livre après avoir assisté à sa conférence aux Editions Eyrolles, il y a quelques semaines. Je n’ai pas acheté ce livre pour “apprendre” sur le marketing, mais pour découvrir un angle d’approche singulier : celui de la psychologie humaine. Je propose ici un résumé de livre des 14 chapitres de Votre empire dans un sac à dos avec une reformulation personnelle. Bien sûr, ce résumé n’est pas exhaustif et ne vous empêchera pas d’acheter le livre de Stan qui est très bien structuré, et facile à lire. Ce résumé n’est pas une critique littéraire mais une synthèse pour aller à l’essentiel des enseignements de Stan Leloup.

Partie 1 : savoir vendre est un super pouvoir 

 

stan leloup

Chapitre 1 : comment convaincre des inconnus de vous envoyer de l’argent 

 

Pour vendre il faut se mettre à la place du client (la psychologie humaine) mais également comprendre le parcours client.

 

Il existe 3 critères pour vendre : 

  • La curiosité : si quelqu’un possède une information vous concernant ou concernant votre entreprise il aura déjà capté votre attention.
  • L’égo : on flatte votre égo grâce à un produit ou service 
  • L’appartenance  : l’appartenance à une tribu/un groupe social nous fait acheter un produit/service pour éviter l’exclusion du groupe

Pour apprendre à vendre, il faut trois étapes : 

  • Comprendre les bases de la psychologie humaine
  • Observer ce qui marche déjà ailleurs et le répliquer
  • Tester par soi-même des choses pour ses propres projets

Stan Leloup explique les prémices du copywriting il y a 50 ans en donnant quelques exemples de premières lettres de vente personnalisées. Aujourd’hui au 21e siècle, rien n’a changé. Les règles du jeu sont les mêmes : on  ne peut pas être libre si on ne sait pas vendre (on perd son indépendance si on n’est pas un bon vendeur car d’autres vendent en exploitant notre travail).

Pour survivre au 21e siècle, Stan invite également à regarder la réalité de son entreprise ou de sa situation en face : ce n’est pas parce qu’on est un bon petit soldat (ou une dinde) que le tapis rouge nous sera déployé. Il faut savoir s’affirmer et affirmer ses propres règles pour survivre et cela passe par le fait de sortir des cases que la société nous propose.

Stan prend deux exemples : 

  • la dinde qui est nourrie pendant 1000 jours par le fermier, puis meurt le 1001 jour à l’occasion du repas de ThanksGiving : pourtant le fermier avait l’air d’être son meilleur ami jusqu’à là ! 
  • Les étudiants en école de commerce suivent un parcours sans faute jusqu’à l’obtention de leur diplôme pour finir dans une tour à la Défense dans laquelle ils ne s’épanouissent plus.

Morale de l’histoire : ne soyez pas une dinde. Ce n’est pas parce que les choses se passent bien aujourd’hui que ce sera le cas demain. 

 

Chapitre 2 : la vérité sur l’art scandaleux du marketing 

Dans ce chapitre, Stan Leloup nous invite à comprendre la notion d’expérience : l’expérience permet de vendre, en ne répondant pas un besoin qu’on pourrait identifier mais à des besoins cachés : il donne l’exemple d’un restaurant de pancake convoité des thaïlandais, et dont le produit a été designé pour la fonction Boomerang d‘Instagram. Le besoin n’est donc pas de manger le meilleur pancake, mais de vivre l’expérience de manger un pancake dans un lieu populaire ! 

Stan invite également à comprendre la notion de besoin : les besoins ne sont pas forcément physiologiques mais psychologiques (crâner, combler un manque) et sociaux (créer du lien social, appartenir à un certain groupe social, affirmer son statut social ) ..

Par conséquent, il faut redéfinir le marketing qui ne se limite pas à la vente mais à  : 

  • L’écoute des besoins
  • La connaissance de son marché
  • La communication et la publicité 

Un bon marketing reconnecte un produit à un besoin, mais pas forcément le besoin le plus évident auquel pourrait répondre le produit. 

Stan Leloup donne l’exemple de l’IPhone, souvent controversé. L’IPhone ne sert pas seulement à téléphone, mais est “simplement une manière plus efficace de remplir des besoins qui existaient déjà avant son invention” (à savoir des besoins de reconnaissance sociale et de lien social)

Partie 2 : Analyser et manipuler les besoins humains 

stan leloup

Chapitre 3 :  Les besoins cachés de votre futur client 

 

“La solution à un problème de marketing n’est jamais la surenchère de promesses. Souvent notre produit ne se vend pas car nous n’avons pas identifié un vrai besoin”

 

Pour vendre, il faut comprendre les besoins cachés, inavoués et inavouables de ses clients.

Exemple : dans le domaine de la séduction, c’est la confiance en soi qui est le besoin caché du client, et pas seulement la recherche d’un partenaire sexuel.

Autre exemple : Dans le domaine des transports, Uber répond au besoin de certitude (prix, fiabilité et traçabilité de la voiture via une application mobile) “l’esprit humain n’aime pas l’incertitude  que les taxis n’apportent.

Pour synthétiser, la pyramide de Maslow fait un très bon état des lieux des besoins humains  : d’abord physiologiques, ces besoins se transforment en besoin de sécurité une fois comblés, puis en besoin d’appartenance (besoins sociaux) puis besoins d’estime et enfin d’accomplissement de soi.

 

 

Chapitre 4  : manipuler la peur : survie et sécurité 

On n’agit pas contre un danger si nous ne percevons pas les conséquences immédiates de ce danger, si nous ne l’avons pas placé dans notre top 100 des priorités.

Prenons l’exemple de Stan Leloup : il sait qu’il devrait  arrêter d’utiliser les poêles anti-adhésives Tefal pour éviter les risques de cancer dans 15 ans. Mais ce n’est pas un besoin urgent pour lui donc préfère mettre son énergie et ses priorités ailleurs. 

Pour aller plus loin, Stan Leloup donne un autre exemple qui nous concerne tous : la question des retraites et de l’épargne : on ne met pas assez d’argent de côté pour notre retraite parce que notre moi futur est une autre personne à nos yeux et donc on se mobilise pas pour elle (priorité au moi actuel) 

Question que pose Stan Leloup dans ce cas précis : comment aider les gens à considérer leurs besoins futurs aussi sérieusement que leur désirs de consommation au présent ?

Grâce au pouvoir de la visualisation. 

Pour acheter un produit ou un service, il faut que les conséquences de notre non-action soient immédiates, réelles et viscérales.

Pour qu’un besoin soit viscéral, il faut : 

  • Une conséquence claire et visuelle : Stan prend l’exemple des hommes vegan ou végétarien appelés les “soy boy”. Leur peur : devenir une femme s’ils continuent à manger du soja (à cause de la molécule phyto-oestrogène qu’il contient)

 

  • Un mécanisme d’action simple à expliquer : Stan Leloup met en valeur le lien de cause à effet : si on est déjà vigilant envers la technologie, il est facile de croire le lien entre wifi et cancer. Si, non, compliqué. Pareil pour les poêles Tefal ! 

 

  • Une dimension morale : Stan reprend l’exemple du Soy Boy, qui devient en soit une insulte mais également sociale et morale : celui qui mange trop de soja va perdre sa virilité : ce qui est non accepté dans notre société actuelle.

Stan Leloup donne d’autres exemples : celui des alarmistes du réchauffement climatique ou de l’effondrement : “vos interlocuteurs ne vous prendront au sérieux que si vous leur racontez une bonne histoire, qui colle avec leurs idées préexistantes.”

Chapitre 5 : vendre l’amour : besoin d’appartenance

Dans ce chapitre, Stan Leloup fait un focus sur le tribalisme, à savoir la communauté. 

Notre besoin d’appartenance à un groupe social est ancestral et aujourd’hui, la tribu prend les apparences d’une communauté d’individus.

Dès notre tendre enfance, nous manifestons notre besoin d’appartenance pour ne pas être rejeté.

Dès notre enfance, nous comparons notre tribu aux tribus concurrentes. 

Chaque tribu développe sa propre culture et ses propres codes. Ne pas les respecter, c’est risquer l’exclusion. 

 

Stan Leloup développe les 4 stades d’évolution d’une tribu : 

  • Une tribu est fondée pour servir une fonction : un objectif commun
  • Une tribu développe sa propre culture : elle a des codes et rituels partagés 
  • Une tribu devient une fin en soi : les rituels restent et sont signe d’appartenance
  • Une tribu devient une religion : elle s’organise autour de valeurs sacrées invisibles mais qui fédèrent (c’est le cas d’Apple, dont les fans sont souvent apparentés à des membres d’une secte, les “Apple Addict) 

Dans la vie, on peut décider de rejoindre une tribu ou créer la sienne.

Comment gagner de l’argent grâce au tribalisme ? 

  • En s’insérant dans une tribu existante (et en surfant sur cette audience) 
  • En créant sa propre tribu (Personal Branding) 

 

Chapitre 6 : l’économie du statut : besoin d’estime 

Pour se faire accepter dans une tribu, il faut acquérir du statut.

Il y a pour ça trois manières d’y arriver : 

  • 1 – Etre utile aux membres
  • 2-  Être publiquement associé à des individus qui réussissent ou qui ont un statut 
  • 3-  Attaquer les ennemis de la tribu 

Le statut demande un sacrifice (souvent financier) pour montrer la difficulté à l’obtenir : une Rolex par exemple. 

Le signalement du statut est partout mais le contre signalement aussi : c’est adopter une réaction inverse de la réaction que le statut devrait nous faire avoir.

Exemple : pour exprimer qu’on est riche, on pourrait penser qu’il faille devoir rouler en Jaguar, mais en réalité, le contre signalement montre que les gens très riches n’ont pas besoin de prouver leur richesse et roulent dans une voiture chic mais sobre 

 

Chapitre 7 : commercialiser le sens de la vie : besoin d’actualisation et de transcendance de soi 

Nous sommes les seuls mammifères à nous poser la question du sens de la vie, surtout en moment de crise existentielle (adolescence, crise de la cinquantaine).

Pour ne pas être en crise existentielle, il faut que nos désirs et notre réalité soient alignés. 

C’est quand ils ne le sont pas qu’on tombe dans des crises : boursière avec la spéculation, humaine avec le manque d’alignement personnel et professionnel.

Nous cherchons la gamification dans notre vie personnelle et professionnelle pour donner du sens à notre vie.

Nous avons un désir d’immortalité en créant des choses qui vont rester derrières nous (famille, business…).

Le sens de la vie se vend : dans les jeux vidéos qui donnent souvent une quête de Graal ou une mission divine par exemple. Ou bien dans le domaine de la séduction pour lequel les Love Coachs vendent l’amour comme but ultime de l’accomplissement de soi (cf. Pyramide de Maslow).

 

Partie 3 : trouver une idée de business

stan leloup

Chapitre 8 : comment trouver une bonne idée de business

 

Une bonne idée est rarement originale : Stan Leloup cite le cas d’Instagram qui s’est inspiré d’une idée en vogue : se géolocaliser sur un réseau social (Burbn).

La seule manière de voir si une idée est bonne, c’est de la tester et d’observer les résultats. 

Il faut utiliser les feedbacks pour faire évoluer son idée et l’adapter aux besoins du marché.

Pour Burbn : le check-in n’intéressait pas les utilisateurs. Ce qu’ils voulaient c’était partager des photos à leur communauté. L’app s’est donc transformée en Instagram et a développé des fonctionnalités autres : les filtres.

Objectif : permettre à n’importe qui de publier des photos “pro” sur Instagram.

Stan Leloup prend ensuite l’exemple de son entreprise qu’il connait encore mieux : 

Marketing Mania connaît son succès actuel grâce à l’acharnement de Stan dans l’écriture de pages de vente liées à son ancienne activité dans le domaine de la séduction. 

C’est d’ailleurs grâce à son argumentaire de vente qu’il s’est démarqué sur son marché et non juste en reproduisant ce que faisaient ses concurrents.

Les bonnes idées viennent : 

  • D’un problème qu’on a rencontré
  • D’un besoin identifié chez les autres

“une bonne idée de business est un problème que vous pouvez résoudre de manière unique”  Stan Leloup

Autre paramètre à prendre en compte pour repérer les besoins des clients : la douleur est plus motivante que le plaisir (on vend plus facilement de l’aspirine que des vitamines). 

Le problème doit donc être dur, urgent, reconnu.

Stan Leloup s’intéresse à une autre problématique souvent posée par les entrepreneurs débutants :

Faut-il choisir un business passion?

Oui, à condition de ne pas oublier le besoin du client ! Sinon, il s’agira d’un simple Hobby.

Stan fait la différence entre les passions de niveau 1 et passions de niveau 2.

  • La passion de niveau 1 serait la collection de timbre.
  • La passion de niveau 2 serait le fait de prendre du plaisir dans un business/activité rentable. 

Heureusement, on peut vivre d’une passion de niveau 2, à plusieurs conditions : 

  • Sentir que vous êtes utile
  • Etre bon dans ce que vous faites
  • Etre en contrôle de vos projets et de l’équipe qui vous entoure (savoir vous auto-gérer et manager une équipe)

 

Chapitre 9 : comment vous différencier si votre idée est déjà prise 

 

Chaque bonne idée à un concurrent : sans concurrent, pas de marché.

Il existe 7 stratégies pour se différencier dans un marché concurrentiel : 

1 – Se spécialiser 

C’est à dire, créer sa niche pour sortir du lot.

2 – Etre le meilleur pour répondre aux besoins d’un type de client, à un moment donné

Ce qui compte, c’est la satisfaction du client : il faut être à l’écoute de son besoin et cerner tous les leviers psychologiques, et étudier les solutions existantes pour proposer quelque chose de plus adapté à un moment T.

3 – Etre pionnier sur un nouveau canal marketing 

Être un précurseur du web pour devancer la concurrence

4 – Arriver avec un vrai avantage concurrentiel sur son marché

Développer une compétence profonde et rare et l’appliquer sur un marché qui ne la connaît pas.

5 – Développer des compétences profondes pour se démarquer et percer sur un marché

Les compétences profondes sont rares (demande des années de pratique), précieuses (elles aident un business), transférables (à plusieurs activités).

Exemple : le Copywriting (l’art d’écrire pour vendre) et le Personal Branding (développer sa marque personnelle). Ces deux compétences profondes répondent aux trois critères ci-dessus.

6 – Utiliser sa personnalité

Ressortir du lot grâce à son authenticité et à son style.

7 – Se construire un avantage inattaquable : construire une “douve économique” (devenir la référence sur son marché)

Objectif : construire pendant vos trois premières années un avantage qui facilitera les 15 prochaines années. 

Exemple : Google (LA référence pour accéder à l’information facilement), Tesla (une marque qui a la confiance des consommateurs), un système logistique mondial (Amazon).

 

Chapitre 10 : identifier votre client idéal en 4 questions indispensables 

L’erreur que font beaucoup d’entrepreneurs est de s’adresser à tout le monde sur un ton impersonnel. Au contraire, quand on est un indépendant, mieux vaut écrire comme si on s’adressait à un ami. C’est ce qui a valu le succès de Tim Ferriss dans l’écriture de la semaine de 4h. 

Stephen King, lui adresse tous ses livres à sa femme : c’est la seule à qui il pense quand il écrit et imagine ses réactions.

Pour toucher votre client idéal, il faut le sonder, et pour cela : 

  • Poser des questions ouvertes
  • Ecouter ses réponses.

 

Question n°1 : quel est votre principal problème ?

Poser la question permet de voir ce qui vient en priorité à l’esprit de votre prospect et donc la dimension sociale, psychologique ou d’égo, du problème qui vient en premier.

Exemple : quelqu’un qui veut perdre du poids peut le faire pour plusieurs raisons : 

  • Trouver un conjoint
  • Mieux s’aimer 
  • Se challenger

Question n°2 : A quoi ressemblerait votre vie si vous n’aviez pas ce problème ?

Cette question permet à votre client de se projeter et de rêver

Il faut viser les personnes qui ont envie de vivre leur rêve ou leur objectif maintenant et pas ceux qui y songent faiblement.

Question n°3 :  Avez-vous essayé de résoudre ce problème ?

La question permet d’adapter la solution au client mais surtout de comprendre dans quelle disposition mentale est le prospect par rapport à la résolution de ce problème (enthousiaste, défaitiste).

Question n°4 : quelles sont vos influences sur ce problème ? 

Quelles sont les idées reçues dans sa tribu et comment se positionne votre message par rapport à son entourage (contradiction ou affirmation)

Pour mieux cerner le besoin du client, un sondage ouvert et ciblé peut permettre de voir la manière dont le prospect s’exprime et le titiller par la suite pour aller plus loin.

Un appel avec le prospect peut également rendre le problème encore plus réaliste. L’appel permet à votre prospect de dire des choses qu’il n’écrirait pas dans un sondage écrit et donc de libérer sa parole à l’oral. 

Stan Leloup s’intéresse ensuite à la question de l’avatar (le persona, le client idéal). L’avatar est en réalité un guide pour vendre. C’est une vision du client qu’on aimerait avoir et qui existe. Par la suite, on peut développer plusieurs avatars mais mieux vaut commencer avec un au début. 

 

Chapitre 11 : testez votre idée avec un investissement de zéro euro

Le problème des entrepreneurs, c’est qu’ils sont souvent très lents à se lancer par peur du risque. Or, on ne peut savoir si un produit/service marche qu’en testant l’idée auprès de clients.

La créativité d’un entrepreneur n’est pas dans sa grande idée mais dans sa capacité à la mettre en place concrètement et rapidement.

Pour cela, il faut partir de suppositions plus ou moins évidente et passer à l’action. 

 

Exemples de suppositions : 

  • Les gens achètent des bijoux/chaussures
  • Je peux créer le produit rapidement
  • Je peux donner une meilleure expérience utilisateur/client que ce qui existe déjà 

A partir de là, on passe à l’action ! 

On commence par créer un prototype et le lancer pour voir si l’idée/projet fonctionne.

On peut aussi commencer manuellement quelque chose qui sera automatisé plus tard.

C’est le cas de Marketing Mania, qui veut lancer une plateforme de mise en relation entre copywriter et entreprise et qui commence avec en créant deux Google forms : pour connaître la demande des entreprises (missions) et pour lister les copywriters en recherche de missions.

Pour tester un produit ou service, on peut également tester le système de prévente (ou “lancement inversé”) pour vendre un produit avant même d’avoir perdu du temps ou de l’énergie à le créer. Un conseil pour une formation en ligne : être honnête sur le fait que vous vendez en prévente et proposer quelques modules déjà créés. 

C’est également ce que font les développeurs de jeux vidéos qui proposent des jeux en “early access”, des versions bêta pour les joueurs qui font remonter leurs feedbacks aux développeurs tout en bénéficiant d’une première version du jeu gratuite ou à tarif préférentiel. De plus, tenir le rôle de la personne qui fait des feedbacks est valorisant pour le joueur/utilisateur.

Maintenant comment surmonter la peur de l’échec ? 

Pour cela, projetez-vous dans des scénarios catastrophes réalistes : quelles sont les pires choses qui puissent arriver si vous échouez ? Sont-elles si dramatiques que ça ? Cet échec n’est-il pas avant tout un échec social (ou d’égo)? 

Maintenant, raisonnez dans le sens inverse : quel est le coût de votre inaction ? N’est-il pas pire ? 

Partie 4 : vendre votre produit

stan leloup

Chapitre 12 : écrire le pitch du siècle 

La vente ne se limite plus au travail du commercial extraverti. Et pour cause, un introverti peut vendre aujourd’hui grâce à l’écrit (le copywriting) sur internet (avec des pages de vente pour produits et services). 

Mais il y a une structure à adopter pour être efficace dans ses ventes. Cela s’appelle, l’arc narratif. Et voici comment il se structure : 

Pointer le problème : se mettre à la place du client et décrire sa situation (non satisfaisante) actuelle

Conceptualiser et montrer la solution : le miracle pour en finir avec une situation pénible

Visualiser le résultat : c’est une projection de la vie du client sans le problème. Une vision pour le faire rêver et le pousser à acheter votre produit ou service. 

Formuler l’appel à l’action : pour permettre au client d’acheter le produit après cet argumentaire de vente.

Bien sûr, ce descriptif est sommaire et il faudra rentrer dans un niveau de détail plus important pour écrire de belles pages de vente (rajouter de la preuve sociale par exemple).

Pour réussir à bien vendre, il ne faut pas tomber dans la malédiction du technicien (expression de Stan) et se cacher derrière des caractéristiques techniques. 

Pour vendre un stylo, on ne vend pas l’encre mais l’écriture. Pour vendre une location de voiture, on ne vend pas le moteur, mais la liberté de voyager sans contraintes. 

Pour toucher votre prospect, il faut viser son cerveau droit (ses émotions, son caractère irrationnel) car la vente est une histoire d’émotions ! 

 

Chapitre 13 : Trouver des clients grâce à la méthode du “camion de glaces”

 

Un marketeur a deux tâches essentielles :

  • Capter l’attention de prospects qualifiés 
  • Vendre à ces prospects

Pour vendre des glaces mieux vaut placer son camion de glace au bord de la mer qu’au sommet d’une montagne. Au sommet d’une montagne, il faut vendre des crêpes au Nutella, ça marche mieux car ça répond au besoin des skieurs.

Quelles sont les stratégies de développement possible sur le web et IRL?

 

1 – Le SEO :

Avantage : permet de ressortir dans les résultats de recherche grâce à des articles de blog bien référencés ou un travail sur les mots clés. Le trafic est très qualifié grâce au ciblage des bons mots clés

Inconvénient : stratégie de long terme dont les résultats tardent à venir

 

2 – Les contenus :

Avantage : démarrage sans budget, peut être ludique et plaisant grâce à un style de communication personnalisé

Inconvénient : stratégie de long terme, besoin de consacrer du temps régulier à la production de contenus (articles, vidéos, podcast…)

 

3- La publicité payante :

Avantage : résultats immédiats

Inconvénient : cher, et annulation des résultats dès qu’on arrête de payer

 

4- La stratégie d’influence

Avantage : surfer sur une audience plus grosse que la sienne, sans faire de gros efforts, grâce aux interviews de personnes connues, ou d’interviews de vous dans des médias, ou encore des articles invités (contribution gratuite dans un média influent) 

Inconvénient : irrégularité de cette stratégie qui dépend du bon vouloir des médias/influenceurs sur lesquels on souhaite être visible

 

5- Les partenariats :

Avantage : permet sans effort de faire venir des sources de trafic (détournement de trafic comme dirait Stan)

Inconvénient : gérer plusieurs partenariats et mesurer l’efficacité de ceux-ci n’est pas toujours simple : quel partenaire m’a ramené quel client ? C’est un problème de traçabilité (tracking)

 

6- Le réseau : 

Avantage : il faut aimer parler aux gens, mais ça permet de créer des relations humaines plus profondes en rencontrant les personnes dans la vraie vie 

Inconvénient : ne se suffit pas pour développer sa notoriété et sa visibilité sur le web 

 

Par quoi commencer pour développer sa visibilité en ligne ?

  • Commencer par tester ces différentes sources pour voir celle qui nous correspond le mieux
  • Mesurer les résultats
  • Ne garder que celle(s) qui fonctionnent vraiment
  • Laisser la magie opérer (l’effet boule de neige) 
  • Développer une autre source de trafic pour la laisser mûrir à son tour

C’est de cette manière que Stan a commencé par un podcast (après avoir testé le blogging sans grand succès) puis quelques années plus tard, s’est essayé à YouTube pour ensuite.

 

Chapitre 14 : travailler moins et gagner plus grâce à l’effet de levier 

C’est grâce à l’effet de levier qu’une entreprise peut augmenter son chiffre d’affaires sans faire plus d’effort : c’est ce qu’on appelle le scale.

Pour réussir à mettre en place cet effet de levier, il faut des process bien précis que n’importe quel exécutant qui arrive dans l’entreprise pourrait reproduire. 

C’est le cas de McDonald’s qui a pu s’étendre dans le monde entier grâce à son système de franchise, mis en place par Ray Kroc.

Le niveau 1 d’un business : échanger son temps contre de l’argent 

Lorsque vous vous lancez dans un business, votre équation est la suivante : temps passé = argent gagné. Puis vous allez comprendre que pour gagner plus en travaillant moins, il faudra activer d’autres leviers. Cela vous permettra de travailler SUR votre business et non DANS votre business.

Le niveau 2 d’un business:  augmenter ses compétences pour vendre plus cher

Plus vous êtes formé, plus vous apportez de la valeur, et cette valeur a un coût. Elle vous permet par exemple de passer de community manager à consultant en communication digitale. 

Avantage : vous prenez de la hauteur en apportant un regard stratégique et passez moins de temps à faire de l’opérationnel.

Le niveau 3 d’un business : automatisez ses tâches 

Quand une tâche devient répétitive, c’est le signal qu’elle doit être automatisée. Il y a des outils qui permettent cela : 

Pour éviter des ping-pongs de mails pour prendre un rendez-vous : utilisez des outils comme Calendly ou Youcanbookme

Pour publier des publications sur les réseaux sociaux : programmez les avec des outils comme Hootsuite ou Buffer.

Le niveau 4 d’un business : déléguer ses tâches 

Quand une charge de travail survient et que vous n’avez aucune valeur ajoutée pour ces tâches, vous pouvez les déléguer auprès d’un expert.

Ca peut être le cas de l’administratif par exemple.

Ou bien de l’ “automation” pour envoyer des emails de marketing grâce à des séquences mails automatisés ! 

On peut également déléguer une prise de décision auprès d’un expert qui rejoint votre équipe : un consultant en management ou RH par exemple.

Le niveau 5 d’un business : investir dans d’autres business

Stan ne rentre pas dans ce niveau de détail car très haut niveau de développement.

La question finale que pose Stan Leloup est la suivante : que faire de son temps libre ?

Option 1 : continuer l’effet boule de neige en scalant encore plus et en gagnant encore plus d’argent

Option 2 : profiter de ce succès pour se reposer.

Conclusion 

Il ne faut pas attendre le bon moment pour se lancer.

Tout business commence par les bases : faire les choses soit même pour comprendre les basiques avant de passer à la vitesse supérieure.

Pour en savoir plus sur le livre de Stan Leloup, je vous invite à commander son livre !

10 nouvelles leçons d’entrepreneuriat que m’a appris l’aïkido en 2020

Il y a quelques mois, j’écrivais un article sur les 5 leçons d’entrepreneuriat que m’avait appris mon sensei en une semaine. Aujourd’hui, en 2020, l’aïkido m’a encore appris de nouvelles leçons d’entrepreneuriat que je vais partager et qui aideront peut-être certains à entreprendre autrement, avec plus de recul et de sérénité.

 

Leçon n°1 : ne pas confondre vitesse et précipitation

                                  

C’est une leçon qui m’est souvent rappelée par mes différents senseis sur les tatamis : la vitesse et la précipitation sont des notions qui peuvent sembler similaire, mais qui sont pourtant bien différentes. 

La vitesse, c’est faire les choses avec dynamisme et fluidité. 

La précipitation, c’est se jeter la tête la première dans un mur ou sur un danger, et surtout sans réflexion. 

La vitesse n’est possible que lorsque les bases solides sont déjà posées. 

Sur le plan entrepreneurial, on peut être plus rapide et efficace dans sa capacité d’exécution lorsqu’on est à l’aise avec ce qu’on fait (son métier) et lorsqu’on sait comment le faire (cf. les outils utilisés). 

Se précipiter par pression interne ou externe n’amène jamais à de bons résultats. Et j’en ai déjà fait les frais. J’ai voulu construire un business sans vision entrepreneuriale lors de mon lancement il y a quelques années. J’ai voulu augmenter mon chiffres d’affaires sans vision financière, et j’ai payé le prix (au sens propre du terme).

Aujourd’hui, j’ai une vision entrepreneuriale et j’anticipe les obstacles financiers, administratifs mais aussi physiques, dans le cadre de l’aïkido par exemple. 

 

Leçon n°2 : éviter les hacks pour intégrer des bonnes pratiques

 

 

大田区立池雪小学校

Il y a quelques jours, mon sensei montrait une technique compliquée d’aïkido. Pour aider les débutants, certains élèves plus gradés leur proposaient une version simplifiée de la technique (en tout cas visuellement). Le problème c’est que ces élèves gradés ont mis des années à comprendre comment trouver ce raccourci. Un débutant sans expérience ne pourra pas réussir ni comprendre cette solution raccourcie sans être passé par une phase de recherche et l’expérimentation. 

De manière générale, en aikido, plus les techniques ont l’air simple, plus leur maîtrise est compliquée car le débutant ne voit pas les subtilités derrière la simplicité.

Sur le plan entrepreneurial, c’est la même chose : on ne peut pas se contenter de hacks pour construire un business solide. Les hacks servent à faire grossir des chiffres (des likes, des abonnés), mais ces chiffres ne permettent pas d’avoir des abonnés qualifiés. Car ce qui permet d’obtenir des abonnés qualifiés, c’est la relation de confiance qui se crée avec le temps grâce aux contenus apportés à sa communauté et grâce à la preuve sociale apportée par l’entrepreneur qui veut développer sa notoriété : ses témoignages clients, sa e-réputation, la qualité de ses contenus. 

La simplicité vient avec le temps, mais toute activité demande de passer par une phase d’apprentissage qui prendra le temps qu’il faut pour intégrer les différentes leçons et process.

 

Leçon n° 3 : accepter le lâcher-prise pour faire circuler les énergies 

Dans l’aïkido, le lâcher prise est un des principes fondamentaux de la discipline : dans un art martial où la connexion à l’autre est essentielle, il est impossible de réaliser des techniques sans être à l’écoute de la direction que donne l’adversaire (Uke). Et la seule manière d’être attentif à ces mouvements est le relâchement de ses muscles. Il faut être détendu pour être à l’écoute de l’autre. 

Une fois détendu, il est plus facile de se laisser aller, et tomber (au sens propre du terme). On dit souvent en aïkido, qu’il faut accepter d’abandonner la partie de son corps qui est saisie (souvent le bras). C’est d’ailleurs en acceptant le déséquilibre qu’on chute pour mieux remonter. 

Dans l’entrepreneuriat, abandonner un membre revient à déléguer : quand on délègue, on abandonne une partie de son bébé (son entreprise). Mais cette étape est essentielle pour aller de l’avant et se concentrer sur l’essentiel. 

Par ailleurs, dans l’entrepreneuriat, on prône souvent le lâcher-prise pour laisser circuler les énergies : quand on s’acharne sur une tâche ou qu’on se met une pression mentale énorme pour réaliser un objectif, on ne véhicule que des ondes négatives. Le mieux est de faire sa part du travail et se détendre en attendant le meilleur advenir (et il adviendra !) .

Lorsque je me dis que j’ai absolument besoin d’argent, je manifeste le manque (facile à dire je sais). Mais je sais dans ce cas précis, que ce sentiment de frustration est la dernière attitude à adopter pour obtenir satisfaction. Le mieux est de définir un objectif et de se donner les moyens d’y arriver tout en prenant du temps pour se vider l’esprit et laisser l’univers (ou la magie) opérer. 

 

Leçon n°4  : apprendre de l’autre (même des plus débutants)

大田区立池雪小学校

Quand j’ai commencé l’aïkido, je pensais qu’en tant que débutante, je faisais perdre du temps aux gradés (je le pense encore à certains moments). Je mettais du temps à comprendre ce qu’on me demandait, et j’étais étonnée de leur bienveillance et de leur patience. Plus tard, j’ai compris qu’ils apprenaient également avec moi : mes réflexes de débutante leur avaient permis d’adapter leur niveau au mien, de voir que ce qui marche avec un autre gradé ne fonctionne pas avec un débutant et ainsi de balayer leurs certitudes. Ils ont également pu développer une approche plus pédagogique de l’aïkido : faire c’est une chose, transmettre s’en est une autre. 

Dans l’entrepreneuriat, le process est le même : j’apprends de mes clients, peu importe leur niveau. Mes clients me permettent de redescendre sur terre quand j’ai l’impression d’avoir tout compris. Avec mes clients, je dois m’adapter à leur niveau d’expérience, mais également composer avec leurs peurs et leurs appréhensions. Ce n’est pas parce que les choses sont faciles pour moi, qu’elles le sont pour les autres (ni que je sais les expliquer). 

J’ai donc développé des outils pédagogiques, des méthodes et questionnements qui me permettent d’être une meilleure coach. C’est donc grâce à leurs questionnements que j’avance. 

Leçon n°5 : toujours rester vigilant (même quand la partie semble gagnée)

En aïkido, certains gradés peuvent avoir tendance à baisser leur garde face à un débutant (surtout de ma taille), ne sentant pas de menace venir. Mais la menace n’est pas forcément une question de taille, mais une question de réflexe. A tout moment, je peux en coller une à celui qui s’approche trop.

C’est pourquoi, l’un des principes de l’aïkido est de toujours rester attaquant. Ce n’est pas parce qu’on a porté une attaque qu’on peut baisser sa garde, car il peut revenir. 

On explique également qu’il faut garder un espace vital (de la taille de ses bras) autour de soi pour ne pas laisser de fenêtre d’ouverture à l’autre. C’est cet espace vital qui permet d’être en sécurité. 

Dans l’entrepreneuriat, on peut avoir tendance à se reposer sur ses lauriers assez facilement :  quand on connaît une période de forte demande de clients,  ou quand on dépend d’un gros client qui nous rémunère suffisamment pour ne plus avoir à nous soucier de rien. 

Or, c’est une erreur que j’ai moi même commise : pendant près d’un an, j’ai dépendu d’un client et cette dépendance m’a fait totalement oublier de travailler sur le développement de mes offres et de communiquer régulièrement. J’en ai payé le prix quand cette collaboration s’est achevée. 

De même, je vois souvent des freelances qui se noient sous un flux de demande clients pendant une période donnée puis qui oublient de développer leur stratégie de communication en parallèle, faisant passer la demande client en priorité. Et à chaque fois, la même chose se produit : quand la demande se tasse, ils se retrouvent à vivre une période d’accalmie et doivent prospecter des clients. Or, s’ils avaient mis en place une communication régulière, en sacralisant des plages horaire pour cela, ils auraient eu un flux de clients réguliers. 

Leçon n° 6 : développer une agilité physique et mentale 

L’aïkido fait travailler sa souplesse et son agilité physique (avoir de bons appuis, savoir détendre ses muscles). Cette agilité permet à l’attaquant (uke) ou à celui qui fait la technique (tori) de s’adapter au gabarit et au niveau de son adversaire et de mieux revenir quand le contact avec l’autre est perdu. C’est seulement dans ce contexte qu’on peut trouver le point d’équilibre dans sa relation à l’autre. N’oublions par que dans aikido, le “ai” signifie l’union, l’harmonie avec l’autre. 

Si les deux aikidokas ne s’écoutent pas, ils se retrouveront dans une position de force, de confrontation et d’opposition qui est à l’encontre de l’ADN de l’aïkido. Mais surtout, cette attitude empêche le développement de capacité d’adaptation et d’agilité. 

Quand je pratique avec un aikidoka du double de mon poids, s’il décide de ne pas jouer le jeu et m’écrase avec son bras ou bloque mes techniques, il m’aura certes mise K.O, mais n’aura rien appris à la maîtrise de sa force physique, et n’aura absolument pas tenu compte de notre interaction. En revanche, s’il  s’adapte à mon gabarit, il aura appris à être plus agile, et maîtriser sa puissance. 

Dans l’entrepreneuriat, il est capital de développer des capacités d’agilité mentale : c’est d’ailleurs une des raisons qui explique le succès des méthodes agiles/lean startups/design thinking. Le point commun entre ces méthodes et de s’adapter à la demande du client, de tester et d’itérer pour obtenir un résultat harmonieux, et adapté à la demande. Cette agilité s’applique également au cas du freelancing, où le freelance mobilise sa flexibilité mentale pour trouver un point d’équilibre avec ses collaborateurs : flexibilité au niveaux des horaires, des budgets et des méthodes appliquées au clients. Bien sûr, cette flexibilité n’est possible que si le freelance reste aligné avec ses valeurs. 

 

Leçon n°7 : arrêter de s’auto-évaluer sans référentiel fiable 

L’auto-évaluation, et surtout, l’auto-bashing est une pratique courante en aïkido. Or, il est difficile d’évaluer sa propre progression seul, par manque d’objectivité. En aïkido, ce sont les passages de grade qui nous permettent de savoir si on a évolué et progressé ou non. 

Quand j’ai commencé l’aïkido, je refusais de passer des grades par peur du jugement. Puis mon sensei m’a “forcée” à les passer et depuis mon niveau s’est vraiment amélioré. L’évaluation en aïkido consiste à réaliser des techniques de manière bien construite. Ce qui est attendu de l’aïkidoka : construction technique claire, contrôle de l’adversaire, attitude martiale et…maîtrise du japonais ! 

Sur le plan entrepreneurial, on utilise des KPI (des indicateurs clés) mesurables pour évaluer sa progression. Le chiffre d’affaires, le trafic d’un site web et l’évolution du nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux en sont quelques exemples.

Et pourtant, on a souvent tendance à dénigrer ou surestimer (en fonction du degré de confiance en soi) ses avancées. On oublie de regarder sa courbe de progression, et on regarde ce qu’il reste à parcourir. Prendre conscience de ses avancés permet d’aborder l’avenir plus sereinement. Mais pour cela, il est capital d’avoir un regard objectif avec soi même que seuls des indicateurs mesurables et fiables peut permettre.

 

Leçon n°8 : savoir dans quoi on s’engage 

Quand on commence l’aïkido, on a souvent aucune idée dans quoi on s’engage : le process d’apprentissage est plus long que dans beaucoup d’arts martiaux. Non seulement, il faut des années avant de pouvoir utiliser l’aïkido dans la vie de tous les jours (même si ce n’est pas l’art martial que je recommande si vous voulez vous défendre dans la rue), mais en plus, il faut un temps pour que le corps intègre des réflexes contre intuitifs. 

Dans mon club, on dit souvent qu’on est débutant jusqu’au premier Dan (donc au moins 4 ans après avoir commencé). 

Par conséquent, ce qu’on recherche au quotidien, ce n’est pas la performance, mais l’écoute de nouvelles sensations, le déblocages de tensions dans notre corps, et la réduction de nos appréhensions. 

Quand on décide d’entreprendre, le chemin est tout aussi long. Pour développer une activité rentable, avec laquelle on est aligné, le chemin est long. Mais tout comme dans l’aïkido, ce n’est pas tellement la fin que l’on cherche, mais surtout d’apprécier la route engagée. 

Entreprendre demande une certaine préparation mentale et financière : il faut avoir un bagage psychologique solide pour lutter contre la peur paralysante, accepter les risques qui font partie de l’ADN de l’entrepreneuriat, accepter l’incertitude de l’avenir, et avoir les ressources pour subvenir à ses besoins, investir et épargner au quotidien. 

 

Leçon n° 9 :  Prendre conscience de ses propres limites pour passer un cap 

En aïkido, il existe un moment très frustrant : ce moment où l’on prend conscience de ses propres limites, ou plutôt celles de son corps. Ce sentiment est très déroutant car il révèle une dissonance cognitive entre ce que l’esprit comprend, et ce que le corps peut faire. Je suis consciente que pour passer un nouveau palier, je vais devoir apprendre à relâcher mon corps, mais je n’arrive pas à contrôler mes tensions ni mes appréhensions. Toutefois, cette prise de conscience de ses propres limites n’intervient qu’après un certain niveau. Et permet de garder une certaine humilité. Au bout de trois ans, je me rends compte que je ne sais plus faire une technique qui me semblait basique : ikkyo. Or, je comprends que plus le niveau augmente, plus les acquis sont remis en question. Ce qui permet de comprendre que rien n’est jamais acquis et qu’il faudra toujours apprendre pour passer à l’étape supérieure.

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : on prend conscience que l’on ne sait rien pour passer un cap supérieur. Je sais que pour atteindre mes objectifs, je vais devoir me faire accompagner, déléguer ou mieux organiser mon temps. Je sais que la route est encore longue pour y arriver et que je ne dois garder un rythme de travail régulier malgré mes exploits quotidiens. Cette prise de conscience parfois douloureuse est une prise de rappel de notre vulnérabilité et permet ainsi de moins nous mettre en danger. Sans peur et sans douleur, nous serions voué à notre propre perte.  

 

Leçon n°10 :  prendre du plaisir pour trouver du sens à sa pratique 

leçons d'entreprenariat

Dans l’aïkido, ce qui fait tenir au quotidien, c’est à la fois, un club avec une bonne ambiance mais surtout trouver du plaisir dans sa pratique (clairement ça ne vient pas tout de suite, d’où l’intérêt de trouver un club avec une bonne ambiance). Si je viens trois fois par semaine, c’est d’une part pour progresser mais pas que. Je prends maintenant plus de plaisir dans ma pratique car mon corps est plus détendu, et peut accepter de nouvelles techniques, de nouvelles chutes et de nouveaux adversaires. 

Si on me demande si ce que je recherche dans l’aïkido, je dirai que j’aime voir que mes appréhensions diminuent, que j’arrive à me connecter à mon adversaire, et me laisser aller (pas encore complètement). Il y a bien sûr des hauts et des bas mais je pense que mon corps s’habitue à aux tatamis.

Tout comme la course à pied que je pratique régulièrement, l’aïkido est devenu une pratique dont je peux difficilement me passer. 

Dans l’entrepreneuriat,  je constate la même chose : j’aime me lever le matin et travailler à mon rythme sur des sujets que j’aime, avec des clients avec qui j’aime travailler. J’aime leur apporter de la valeur, et écrire pour leur communiquer mes messages (mon canal de communication privilégié). 

Il y a certes des contraintes dont la précarité fait partie, mais ces contraintes, je les ai choisi. Je sais pourquoi je me lève le matin, je me sens alignée avec ce que je fais et c’est encore une fois le chemin que je parcours plus que la destination qui m’apporte un épanouissement et un alignement au quotidien. 

.

Conclusion 

Ces 10 leçons d’entrepreneuriat que m’a appris l’aïkido reflète bien la convergence entre ces deux activités. Je vois d’ailleurs de plus en plus d’entrepreneurs sur les tatamis. Ces deux activités complémentaires me nourrissent et me permettent d’être plus épanouie, à l’écoute de mon corps, et des autres. En tant qu’entrepreneur, je pense qu’il est bien d’avoir une activité sportive ou récréative en parallèle de son activité pour apprendre à lâcher prise et se libérer des tensions du quotidien. Cette activité pratiquée à fréquence régulière contribue au bon équilibre entre vie professionnelle et personnelle, de contribuer à sa propre quête de sens, et plus concrètement, de diminuer les risques de saturation et burn-out.  Les meilleurs entrepreneurs que j’ai rencontrés sacralisent du temps pour eux. Ce temps n’est pas perdu, au contraire, il permet de gagner en productivité et surtout en bien-être pour continuer ce long marathon qu’est l’entrepreneuriat. 

 

? Pour essayer l’aïkido dans un Club dont l’ambiance est bonne, Olympiades Aikido club (13e) et Kuroba Aikido (9e)  sont de bon choix, on s’y retrouvera peut-être 😉

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Lancer et vendre une formation en ligne : les 6 questions à se poser

Beaucoup d’entrepreneurs rêvent secrètement de lever le pied de leur business en mettant en place un système de revenus passifs. Parmi les options qu’ils envisagent, la formation en ligne revient souvent. Après avoir essayé de lancer et vendre une formation en ligne, ils se mettent à vite déchanter. Pourquoi ? Parce que la théorie et la pratique diffèrent dans ce cas précis. Et oui, lancer et vendre une formation n’a rien d’automatique et encore moins au début. Ceci dit, il y a quand même moyen de bien vendre sa formation en ligne grâce à la checklist en 6 points que je te propose. Il s’agit de 6 réflexions de fond et non de 6 astuces. 

1 – As-tu une communauté pour lancer et vendre une formation en ligne ? 

Tu as une idée de formation et tu veux la lancer, c’est super ! Mais à qui vas-tu la vendre ? 

Cette question est la première à se poser. Tu peux avoir une idée théorique de qui est ton persona (ta cible) mais dans les faits, il faut te demander : cette cible gravite-t-elle autour de toi ? L’as tu déjà sensibilisée à ton approche, avec tes contenus ? En sommes : pourquoi te ferait-elle confiance ?

Le marché de la formation en ligne est saturé. Les concurrents sont ultra nombreux et proposent des contenus sur la même thématique que la tienne, peut être même moins cher. Mais je ne te dis pas ça pour te décourager, bien au contraire ! Je veux simplement que tu aies conscience des réalités du marché pour éviter de te casser la figure. 

Si l’écosystème entrepreneurial est très concurrentiel, je reste persuadée qu’il y a de la place pour tous, même pour vendre une formation en ligne. Pourquoi ? Parce que chaque entrepreneur a son public, sa communauté, qui lui est fidèle et qui achètera chez lui par affinité. 

Je suis sûre que tu as tes habitudes chez des commerçants, que ce soit pour faire tes courses ou aller à la pharmacie. Pourtant, tu choisis un commerce et non un autre parce que tu sens que tu as plus d’affinité avec la marque, ou le commerçant en question. Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose. C’est pourquoi, il te faut une communauté soudée, fédérée autour de ta marque ou de ta personne pour vendre un produit concurrentiel. 

Comment créer une communauté ? J’en parle dans cet article, publié dans Frenchweb, mais également dans cet article publié sur mon blog. 

2 – Coaching : faut-il en avoir fait pour lancer une formation en ligne ?

vendre une formation en ligne

C’est l’éternelle question. Et pourtant les avis sont partagés. Alors voici mon avis : avoir fait du coaching avant de vendre un produit (une formation en ligne) peut être avantageux. Une expérience de coaching va d’une part t’apprendre à bien identifier les besoins de tes clients pour ensuite proposer un produit standardisé (la formation en ligne) qui va pouvoir débloquer des centaines ou des milliers d’entrepreneurs sur cette thématique. D’autre part, tu vas pouvoir utiliser les outils et exercices proposés à tes clients en coaching à une plus large audience dans le cadre de la création d’une formation en ligne. 

Pour autant, avoir fait du coaching est-il un pré-requis à la création et à la vente d’une formation en ligne ? 

Non. Tu peux vendre ta formation en ligne grâce au soutien inconditionnel de ta communauté. 

C’est le cas d’Antoine BM, qui a débuté avec une petite liste d’abonnés à qui il vend ses formations par mail. Aujourd’hui, il fait plus de 50 000 euros de chiffre d’affaires mensuel, en vendant des petits produits (formation d’entrée de gamme) auprès d’une audience ultra qualifiée. 

Bien sûr, si tu n’as pas de communauté, et que tu veux vendre une formation en ligne très rapidement, tu peux convertir une audience grâce à la publicité Facebook, mais ça va te couter plus cher. En effet, il te faudra d’abord sensibiliser une audience froide (qui ne te connaît pas) à un produit d’appel gratuit, puis ensuite recycler cette même audience vers ton produit payant. Si tu comptes le fait qu’il faille tester une publicités avec différents, textes, visuels et audiences, le budget pub va commencer à être élevé. C’est certes possible mais je ne te le recommande que si tu décides de faire de la publicité ton canal d’acquisition privilégié. 

3 – Tarif : à quel prix dois-tu vendre tes cours en ligne ?

vendre une formation en ligne

Si tu as déjà fait de la veille concurrentielle, tu verras que l’éventail des tarifs de la formation en ligne est très grand. On peut trouver des formations en ligne à moins de 100 euros, et d’autres à plus de 5000 euros. Mais pour t’aider à définir le tarif qui te correspondra le mieux, je vais te donner quelques précisions sur les tarifs pratiqués : 

On peut catégoriser les formations en ligne en trois catégories : 

  • Les formations d’entrée de gamme (ou produit d’appel) : ces formations ont pour objectif de sensibiliser tes prospects à une thématique, mais également de sensibiliser ton audience à ton travail. Une formation d’entrée de gamme, ou petit produit se vend à moins de 200-300 euros. 
  • Les formations de milieu de gamme sont plus développées, et touchent une audience souvent plus sensibilisée : elles se vendent entre 300 et 700 euros (fourchette indicative).
  • Les formations haut de gamme sont souvent plus longues et se vendent entre 700 et 1000 euros. Le tarif est souvent justifié par un contenu plus dense, un accès à une communauté privilégiée et des options d’accompagnement individualisés.
  • Les formations de luxe : vendues à plus de 1000 euros, leur tarif est justifié par la notoriété du formateur, la durée de la formation, le suivi et les possibilités de prise en charge (Pole Emploi, CPF, Datadock).

Mais cette classification des formations en ligne par tarif n’est qu’indicatives: j’ai simplement théorisé des tendances pour t’aider à comprendre la logique de pricing des formations. 

Par ailleurs, on voit souvent des infopreneurs justifier le tarif de leur formation par le nombre d’heures de vidéos qu’ils proposent. Cet indicateur a longtemps été une critère de prix car il rassurait les clients qui avaient une donnée tangible pour mesurer la valeur de cet achat.

Or, le nombre d’heures de vidéo ne garantie pas la qualité des contenus de la formation en ligne : si sur 40 minutes de vidéo, on a 5 minutes d’utile à retirer et 35 minutes de blabla, la formation perd de sa valeur. 

Donc comment trouver le bon tarif pour vendre ta formation en ligne ? 

Et bien tu vas le faire au ressenti : il faut que tu sois d’abord conscient de la valeur de ta formation, et de la manière dont elle va aider ton audience. Ensuite, il faut que tu sois à l’aise avec le prix que tu affiches : il ne doit être ni trop bas, ni te faire rougir. Enfin, tu vas sûrement te planter au début, mais ce n’est pas grave car l’entrepreneuriat, c’est du test and learn comme on dit dans le milieu ! ?

4 – lancement ou Evergreen : comment vendre ta formation en ligne ?

lancer une formation en ligne

Pour vendre une formation en ligne, il existe deux principaux moyens : le lancement et le mode evergreen. 

Le lancement, c’est un mode de vente assez classique dans le monde de l’infopreneuriat. Lancer une formation, c’est faire de la vente de ta formation un moment exceptionnel, rare, et daté. Le lancement de formation demande beaucoup d’énergie mais peut être très efficace car il véhicule un sentiment d’urgence d’achat, avec date d’ouverture et de fermeture de formation.  Il augmente ainsi la valeur perçue de la formation.

Un lancement peut aussi stimuler une audience, en lui proposant un tarif attractif pour la formation en ligne, notamment quand il s’agit d’un premier lancement. Par exemple : la formation sera vendue à tel tarif pendant 7 jours, mais sa valeur réelle est de tant. Pour le coup, cette deuxième technique de lancement n’augmente pas la valeur perçue de la formation mais invite à saisir une opportunité irrésistible car urgente. 

C’est comme les soldes ou les promos chez Intermarché. 

Si tu choisis de vendre ta formation en ligne en organisant un lancement, réfléchis en amont à la fréquence des lancements et aux tarifs de chacun d’entre eux. 

Si tu ne veux pas faire de lancement, tu peux aussi vendre ta formation en Evergreen. Evergreen kesako ? Il s’agit de vendre ta formation en continue sans créer d’événement particulier. Autrement dit, ta formation sera accessible à tout moment de l’année par qui veut l’acheter. 

Comment vendre une formation en ligne en evergreen ?

Il te faudra sûrement créer des tunnels de vente. Oui ce mot peut te piquer les yeux ! 

Un tunnel de vente peut prendre la forme d’un entonnoir : tu proposes via ton site web (ou tes réseaux sociaux) un contenu gratuit en échange d’un mail (formation gratuite, ebook…) qu’on appellera aussi “leadmagnet”. Une fois inscrit à la formation gratuite, qui peut durer quelques jours (ou quelques mails), l’abonné sera redirigé vers une formation payante qu’il pourra acheter si la formation gratuite lui a donné l’envie d’aller plus loin.

Sur le papier, ce mode de vente peut sembler plus reposant car il s’intègre dans un système automatisé. En revanche, il lui manque un élément essentiel : la notion d’urgence, qui pousse l’abonné à l’action. Il est très difficile d’avoir aujourd’hui des revenus réguliers satisfaisant en vendant des formations en Evergreen. 

Même les plus grands noms de la formation en ligne sur le marché français (Antoine BM, Stan Leloup) proposent des lancements pour vendre leurs formations. 

En revanche, il est également possible de vendre des formations en one to one. C’est mon cas lorsque je propose mes formations en ligne à des prospects qui ne peuvent pas encore se payer mes accompagnements individualisés. Bien sûr, ce mode de vente n’est pas scalable, mais grâce à une conversation, une vente peut être opérée. 

Mais je ne veux pas t’influencer, à toi de te faire ta propre expérience ?

 

5 – Modèle économique : quelle stratégie pour vendre un cours en ligne ?

vendre une formation en ligne

Une entreprise qui vend des formations en ligne peut adopter des modèles économiques différents : 

  • Un modèle 100% formation en ligne
  • Un module mixte : formation et coaching 

Une entreprise qui mise sur la formation en ligne pour réaliser l’intégralité de son chiffre d’affaires doit réfléchir à une stratégie adaptée  en se posant les bonnes questions : 

 

?Quel type de formation vend-t-elle (entrée de gamme, milieu de gamme, haut de gamme) ?

?Combien de formation a-t-elle dans son pipe ?

?Fait-elle des lancements ? Des promos ? A quelle fréquence ? 

?Vend-elle en evergreen ? A-t-elle un budget publicité adapté à son objectif de chiffre d’affaires ? 

?A-t-elle une communauté soudée ?

?Propose-t-elle de l’accompagnement ponctuel en soutien de la formation ? 

?Est-elle organisme de formation ? Organisme certifiée ? Éligible au CPF ?

?A-t-elle besoin de se faire exonérée de TVA ?

 

Ce sont des questions que je me suis posée et que Uston et Nathalie Dewez m’ont aidée à résoudre.  

Par ailleurs, ces questions vont permettre à une entreprise de rédiger un business plan théorique sur la vente de formations en ligne. 

 

Une entreprise qui choisi un modèle mixte (coaching/consulting  et formation en ligne) va également devoir se poser des questions de fond  :

?Quelle est la part de CA de mes formations en ligne dans mon chiffre d’affaires ?

?Ai-je envie de l’augmenter ? Comment puis-je procéder pour cela ?

?Ai-je envie d’être exonéré de TVA sur l’ensemble de mon activité ?

 

Se pose en plus la question du mixte formation/coaching : 

?Ai-je envie de vendre un accompagnement personnalisé dans mon package de formation ? De combien d’heures ? 

Ces questions de fond vont te forcer à avoir une vision entrepreneuriale sur ton business et choisir dans quelle direction l’orienter. On te parle souvent de tips et de trucs pour vendre tes formations. C’est important. Mais moi, je voudrais que tu aies une vision plus globale sur ton modèle économique en tant que formateur. 

6 – Comment gérer un flop dans la vente de sa formation ?

lancer une formation en ligne

Rater son lancement, ne pas faire de vente. C’est la pire peur du formateur. C’est en plus une double peur : la peur de ne pas augmenter son chiffre d’affaires et la peur d’assumer une humiliation devant son audience.

Mais je vais te rassurer sur ces deux points. La qualité de ta formation compte, mais ça ne suffit pas pour la vendre. 

La vente d’une formation en ligne dépend de plusieurs facteurs : 

  1. Le titre de ta formation
  2. Le contenu de ta page de vente 
  3. Le besoin de tes abonnés
  4. La qualité de tes mails de vente 
  5. L’engagement de ta communauté
  6. La date de ton lancement

Avec l’ensemble de ces paramètres, difficile de prévoir une réussite pour chaque formation. Donc rassure-toi, si tu ne vends pas, ce n’est pas parce que tu es mauvais, mais parce qu’il a sûrement manqué un de ces éléments. 

Donc pour compenser ce manque de chiffre d’affaires, tu peux rebondir et relancer ta formation en tirant les leçons de tes échecs. Ca finira bien par marcher ! Sinon, fais-toi aider ?

Par ailleurs, ton audience ne va pas t’humilier parce que tu n’as pas réussi à vendre. 

Déjà, d’une part, parce que pour beaucoup de formations en ligne, ton audience ne pourra pas savoir si tu as vendu ou non (elle achète une formation,  consomme la formation et n’interagit pas avec toi ni les autres clients de la formation en ligne).

En revanche, si ton audience voit que tes ventes ont été mauvaises (elle voit peut de monde dans le groupe privé de formation ou toi même tu trouves qu’animer la formation avec aussi peu de monde n’est pas très rentable), tu peux jouer la carte de la transparence ! 

Et oui, au lieu de cacher cet échec (temporaire), tu peux être honnête et ton audience t’en remerciera. 

C’est ce qu’a fait Stan Leloup qui a confessé dans deux newsletters successives l’échec de son lancement d’un stage en présentiel.

Quand une grande référence de l’infopreneuriat avoue qu’il a échoué, c’est un soulagement et une pression qui s’envole pour toute son audience. Si tu n’es pas dans le déni, tu pourras rectifier le tir : 

  • En sondant tes abonnés qui n’ont pas acheté 
  • En comparant les réponses aux 6 critères que j’ai mentionné un peu plus haut

Si tu la joues franco, ton audience t’en remercieras et aura déjà oublié cet échec demain. 

Je passe beaucoup de mon temps à jouer la carte de l’honnêteté et de la vulnérabilité avec mon audience dans ma newsletter, et en faisant cela, je ne fais que renforcer le sentiment d’identification de mon audience à ma personne. 

Alors, tu n’as pas réussi à vendre ? Tant mieux, tu vas pouvoir en tirer quelque chose et aider ton audience à progresser autant que toi. 

….et d’ailleurs, si tu en parlais dans ta prochaine formation ? ?

 

Conclusion 

Dans cet article, je t’ai détaillé les six points que me semblaient essentiels au lancement de ta formation en ligne. Comme tu l’as vu, j’ai voulu apporter des points de réflexion profonde et stratégique, et non des hacks pour vendre rapidement. Le métier de formateur en ligne est nouveau, il n’a pas encore assez de recul pour connaître tous ses secrets. Mon objectif dans cet article est de te faire comprendre que vendre des formations en ligne est un vrai choix de business model,  mais également de projet entrepreneurial. Il demande à ce que tu sois aligné avec ce même projet. Tu es formateur par envie de transmettre et non par facilité. Créer et vendre une formation en ligne demande du travail, de l’investissement personnel et financier, et une vision : transmettre son savoir, ses compétences, et ses apprentissages à une majorité d’individus. C’est avec une vision plus grande que toi que tu vas pouvoir scaler grâce à la formation en ligne. Alors, que veux-tu transmettre ?

 

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vendre une formation en ligne

Organisation : les 5 raisons qui empêchent d’organiser sa vie personnelle et professionnelle

Beaucoup d’individus (entrepreneurs ou non) ont des difficultés à s’organiser au quotidien. Organiser sa vie personnelle et professionnelle demande de la rigueur, de l’anticipation et de la planification. Pour certains, c’est mission impossible ! Alors si tu penses que tu ne vas pas arriver à reprendre en main les rênes de ta vie, voici les principaux blocages à ton organisation quotidienne.

1 – Organiser sa vie sans se fixer d’objectif est un travail vain 

organiser sa vie
Certes, toutes les tâches ne demandent pas d’avoir un objectif mais ce dernier aide à trouver la motivation en nous.

Les objectifs, je ne le répète jamais assez, c’est la direction vers laquelle tendre. Une fois ton objectif en tête, il est plus facile de séquencer les tâches qui te permettent d’atteindre ce même objectif.

Par exemple : 

Si tu veux perdre du poids, il serait intéressant de savoir combien de kilos et en combien de temps.

Si tu veux augmenter ton chiffre d’affaires, c’est la même chose !

Ensuite, il faut hiérarchiser de manière logique les actions à réaliser pour atteindre cet objectif. Pour ça, tu peux faire appel à ton bon sens dans un premier temps.

Si on reprend nos deux exemples : 

Si tu veux perdre du poids : commence par faire un bilan de ce que tu manges, de ton activité physique, et arrête d’acheter les choses qui ne font pas de bien à ton corps. Arrête le grignotage. Rien que ça, c’est une bonne première étape !

Si tu veux développer ton activité en ligne : commence par savoir ce que tu veux proposer comme activité (et pourquoi), ensuite teste ton activité, crées une communauté et seulement ensuite, tu travailleras sur des produits ou services dérivés..mais pas dès le départ !

Sans objectif, pas de vision, pas d’évaluation, et donc, pas d’organisation !

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2 – Définir des objectifs prioritaires est indispensable pour ne pas sombrer dans l’eparpillement

organiser sa vie
Avoir des objectifs est une très bonne chose, mais en avoir trop est contre productif.

C’est la même chose avec toutes les activités et tâches que tu réalises pendant ta semaine.

Beaucoup d’entrepreneurs et d’individus ont tendance à se faire des to-do list à rallonge qu’ils ne tiennent jamais.

Résultat : ils sont déçus, déprimés et pensent qu’ils ne sont pas performants.

La première chose pour ne pas se noyer dans les vagues du quotidien, est de savoir s’écouter et connaître son rythme de sommeil, mais aussi sa capacité de concentration et de saturation pendant la journée.

La semaine dernière, je discutais avec une entrepreneure qui surchargeait son planning pour réussir à atteindre tous ses objectifs, mais finissait sur les rotules, sans y arriver.

Et voici ce que je lui ai dit ” En théorie, tu peux travailler 10 heures par jour, te lever à 5 heure du matin, travailler toute la matinée, aller faire les courses, aller chercher tes enfants à l’école, faire du sport, et faire à manger. Mais en pratique, si tu t’écoutes, tu sais que ça va t’épuiser. Donc allège ta journée et répartis les tâches différemment dans ta semaine. Y a-t-il vraiment une urgence qui nécessite de tout faire en une journée ?”

Alors qu’est-ce qu’une priorité ? 

✔ Une priorité ne peut pas attendre : par rapport à des facteurs externes par exemple.
✔ Elle répond à un besoin intérieur : besoin de se ressourcer, voir sa famille, faire du sport…
✔ Elle est limitée:  je dirais 3 priorités maximum, pour s’y tenir !

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3 –  Organiser sa vie sans estimation du temps des tâches est chronophage

organiser sa vie

L’organisation n’est pas synonyme de performance, mais d’efficacité. Beaucoup de personnes ont du mal à le comprendre et s’imposent des emplois du temps de warrior.

Résultat : tu t’es laissé 2 heures pour écrire un article, mais tu sais qu’en réalité tu vas en mettre 4. Pourquoi ne pas t’écouter ? Qui te juge ? 

Mets 4 heures si tu en as besoin, et apprends avec le temps à réduire le temps de rédaction. L’habitude de rédiger va déjà te permettre d’être plus efficace avec le temps.

Prévois large et profite du temps libre qu’il te reste pour te reposer ou savourer le fait de savoir que tu tiens ton planning !

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4 –  Organiser ta vie en procrastinant est contre productif

organiser sa vie
Si tu n’es pas à l’origine d’un projet, et que celui-ci ne te motive pas, il est fort possible que tu procrastines.

La procrastination est-elle le mal absolu ?

Non pas forcément, si  :

▪ Tu acceptes qu’elle fasse partie de ton mode de fonctionnement
▪ Elle n’affecte pas les autres
▪ Elle n’a pas de conséquences sur ton état mental (stress, auto-bashing…)
▪ Et surtout que tu arrives à estimer la durée de la tâche sur laquelle tu penses procrastiner !

Mais ce qui est intéressant, c’est de comprendre l’origine de cette procrastination :

 L’absence de motivation pour faire quelque chose : parfois, c’est la pression sociale qui t’amène à penser que tu as envie de faire quelque chose alors qu’au fond de toi, si tu t’écoutes, tu sais que tu n’as pas envie.

▪ Une motivation externe : tu n’arrives pas à te motiver pour toi autant que tu arrives à le faire pour les autres. Seule la pression externe te stimule (avec les deadlines par exemple)

▪ La difficulté d’avoir un cadre d’organisation : avoir une routine quotidienne t’ennuie ? Ca peut se comprendre ! Par contre, sans routine, arrives-tu à organiser tes journées et tes tâches comme tu le souhaites ? C’est ça la vraie question ? Avoir un cadre ne veut pas forcement dire avoir un cadre rigide. Au contraire, il peut être souple pour pouvoir s’y tenir !

Une fois que  tu sais pourquoi tu proscrastines, et que tu arrives à analyser ton mode de fonctionnement, tu vas pouvoir comprendre si la procrastination est un problème ou non.

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5 – Organiser ta vie en comptant sur ta seule motivation est illusoire 

organiser sa vie
Si tu fonctionnes à la motivation (à l’opposé de la discipline et des habitudes), tu vas avoir un pic d’énergie pendant une courte période et une période d’inertie qui va suivre. C’est comme si tu avais un pic de glycémie dans ton corps sans insuline pour le réguler.

La motivation ce sont tes émotions, qui fluctuent selon des paramètres externes.

Si on utilises une métaphore :

Le sucre, c’est la motivation.
L’insuline, ce sont les habitudes.

Les deux vont de pair.

Pour t’organiser au quotidien, il faut compter sur les habitudes et non la motivation. Car tu ne sais jamais quand vient et repart cette dernière.

Et ne pas canaliser ta motivation peut t’épuiser : si tu as un pic d’énergie et que tu décides de courir 1h30 cet après midi, c’est super ! Mais il y a peu de chances que tu tiennes régulièrement sur le long terme sans entrainement au préalable.
Mieux vaut commencer par 20/30 minutes une à deux fois par semaine pour déconstruire l’image éreintante de la course à pied.

Sur le plan business, c’est la même chose : Tu ne peux pas tout organiser en fonction de ta motivation (la paperasse que tu n’auras jamais envie de faire, les quelques tâches rébarbatives qui font partie du quotidien, la communication tous les 36 du mois…).

Comme je l’avais dit à une cliente il y a quelques temps : on ne gère pas une entreprise avec ses émotions. 

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Conclusion : comment organiser ta vie personnelle et professionnelle  ?

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▪ Prends conscience des facteurs qui t’empêchent de t’organiser au quotidien

▪ Dès aujourd’hui, mets en place une action qui va te permettre d’opérer un changement (même une toute petite action)

▪ Fais le bilan dans une semaine (pour commencer) : comment te sens-tu ?

Si pour le moment, tu sens que tu as besoin de t’engager vis à vis d’une personne extérieure, tu peux t’engager auprès d’un ami/d’un collègue.

Si tu sens qu’un investissement financier permettrait de t’engager dans un démarche pour organiser ta vie et ton business, je te propose qu’on échange de vive voix sur le sujet ! 

Bonne lecture !

 

Administratif et finances : pourquoi se faire accompagner pour sa micro-entreprise

Cela fait maintenant deux ans que j’ai lancé ma micro-entreprise. Rétrospectivement, je suis satisfaite du chemin parcouru et du développement de mon activité. En revanche, j’ai connu quelques difficultés d’ordre administratif et financier au cours de ces deux années. 

La raison ? Une mauvaise anticipation de mes charges, une absence de vraie vision financière et des obscurités administratives. En 2019, j’ai fait le choix de gagner du temps et me libérer d’une charge mentale en délégant une partie de ces tâches à des experts. Faut-il investir dans de l’accompagnement administratif et financier en micro-entreprise ?

Je réponds à cette question dans mon article.

Micro-entreprise : identifier les experts adaptés à notre situation et à nos besoins

 

Lorsque j’ai dépassé le seuil de ma franchise TVA en début d’année, j’ai mis du temps à trouver un bon cabinet d’expert-comptable adapté à ma situation : il me fallait trouver un cabinet qui accepte de travailler avec les micro-entreprises (beaucoup refusaient), assujetties à la TVA, et qui comprenne mon activité mixte (avec une part de paiement via Stripe). Après une mauvaise expérience, j’ai opté pour Dougs, dont les outils étaient tout à fait adaptés à ma situation et où je pouvais contacter un expert-comptable pour du conseil illimité. 

En parallèle, je commence des démarches pour devenir organisme de formation pour faciliter la prise en charge de mes accompagnements pour mes clients. J’ai également fait appel à une experte pour m’accompagner jusqu’à devenir organisme de formation référencé sur la plateforme Datadock. J’ai fait appel à une autre experte pour ces questions administrative : il s’agit de Nathalie Dewez que j’ai recommandé à plusieurs entrepreneurs de mon réseau. Grâce à Nathalie, tout entrepreneur ayant généré du chiffre d’affaires en 2018 peut prétendre à une prise en charge pour mes accompagnements ! 

Quelques mois plus tard, je réalise en m’informant, que je pourrais être potentiellement exonérée de TVA en tant qu’organisme de formation. Je me pose en parallèle des questions sur mon statut juridique : est-il le plus adapté par rapport à mon charges et sources de dépenses ?

Suite aux recommandations d’une amie, je décide alors de faire appel à Uston, qui m’a aidée à développer une vraie vision financière pour mon activité. 

Micro-entreprise : Définir une vraie vision financière pour son activité 

 

Uston m’a enlevé une épine dans le pied sur la question des bons choix stratégiques à adopter pour développer mon activité. Ils ont su me poser les bonnes questions pour trouver les options qui me correspondraient le mieux. Nous avons établi ensemble quel était le profil de mes clients, comment je voyais l’avenir de mon activité (coaching/formation) et opté pour l’option la plus pertinente pour ma micro-entreprise : nous avons donc décidé que je sois exonérée de TVA pour la totalité de mon activité et Uston m’a accompagnée dans les démarches pour y parvenir. 

Concernant mon questionnement sur mon statut juridique, Uston m’a aidée à avoir une vision 360° sur mon activité grâce à des tableaux de trésorerie et des questions pertinentes. Nous avons passé en revue mes charges, mes sources de dépenses et investissements, mon salaire, mes recettes et ma trésorerie en général. Par rapport à ces informations, nous avons convenu qu’il serait mieux que je reste en micro-entreprise cette année. 

Uston m’a également permis d’anticiper mes impôts à venir et mon changement de régime fiscal. Chose à laquelle je n’aurais jamais pensé seule. En échangeant avec Uston, j’ai bien compris que ce qui plombait beaucoup d’entrepreneurs aujourd’hui, c’est le manque d’information concernant nos démarches administratives et financières. C’est ce qui m’a coûté près de 4000 euros de TVA redevable en début d’année.Lorsqu’on est entrepreneur, on devrait se focaliser sur son activité, c’est ça qu’à compris Uston. 

 

Conclusion  

 

Quand on est en micro-entreprise, l’entrepreneuriat peut sembler plus facile : les charges sont moins élevée et les démarches facilitées. Néanmoins, ne pas avoir de vision pour son activité et ne pas anticiper les charges et dépenses peut être fatal. J’en ai moi-même déjà payé le prix. La difficulté à comprendre les démarches administratives et financières à réaliser peut nous pousser à l’erreur ou à l’inaction. C’est pour cela que je conseille vivement de se faire accompagner pour pouvoir se focaliser sur notre coeur de métier. 

 

Si toi aussi tu veux bénéficier de mon accompagnement, réserve ton appel découverte : https://calendly.com/yezalucas/appel-decouverte

 

 

[Bilan] Entrepreneuriat : deuxième année, on sort du bac à sable

A l’heure où j’écris cet article, j’achève ma deuxième année d’entrepreneuriat et je suis encore vivante. On parle souvent du cap des trois ans pour une entreprise. Alors laisse-moi te proposer un bilan de ma deuxième année : plus difficile, plus déterminante et plus challengeante que la première. La première année, c’est encore le bac à sable : tes charges sont faibles, tu as l’excitation du lancement, et tu découvres un monde encore inconnu. La deuxième année est différente : l’excitation des débuts s’est atténuée, et tu te retrouves confronté à de nouvelles réalités : plus de charges, de nouveaux enjeux de développement, l’éternelle question de l’alignement à laquelle s’ajoute la construction d’une vision de long terme réaliste. Dans cet article, je reviens sur les trois phases déterminante de ma deuxième année d’entrepreneuriat. 

Année 2 : de nouvelles contraintes administratives et financières

Après une bonne première année d’entrepreneuriat où j’ai réalisé presque 42 000 euros de chiffre d’affaires, je me trouve confrontée à de nouvelles réalités financières : l’augmentation de mes charges depuis l’été 2018, et l’assujettissement à la TVA depuis le début de l’année. 

En réalité, j’aurais dû mieux surveiller mon chiffre d’affaires fin d’année 2018 pour éviter de dépasser le plafond et subir une régularisation de près de 4000 euros de TVA. Avec le recul, j’aurais également dû réfléchir plus longuement au lieu de choisir le premier cabinet d’experts comptable trouvé sur internet. 

Résultat : je me suis retrouvée à payer cher une prestation de déclaration de TVA jamais réalisée à un tarif bien trop onéreux pour une micro-entreprise (tout ça avec le dédain d’un comptable qui n’avait aucune considération pour une entreprise qui faisait moins de 100K annuels). J’ai donc fini par apprendre à faire mes déclarations seules en choisissant un cabinet d’expert plus adapté à mes besoins (Dougs). On apprend de ses erreurs paraît-il : la deuxième année a été celle de l’apprentissage si l’on en croit cela. 

Par ailleurs, pour toucher une clientèle ayant moins de moyens financiers, j’avais décidé de créer des offres “petits budgets”. J’espérais proposer de l’accompagnement à ces entrepreneurs en passant moins de temps avec ces clients (des points mensuels au lieu de points hebdomadaires + du suivi par mail) en leur proposant une prestation à tarif plus abordable.

Une grosse erreur : pour réaliser un accompagnement qualitatif, j’ai compris qu’il fallait un vrai suivi hebdomadaire de vive voix pour aider mes clients au mieux. Je me suis donc vue rattraper ce manquement en proposant des points de suivi rapprochés pour le même budget. Je travaillais donc à perte. Il m’a fallu quelques mois pour comprendre que le coaching avait une vraie valeur et que celle ci n’était pas négociable. 

Cette erreur d’appréciation a été le fruit d’un mauvais alignement.

Année 2 : un gros travail de recherche d’alignement professionnel et personnel 

Cette deuxième année entrepreneuriale m’a permis d’entamer un travail en profondeur sur mon alignement professionnel mais également personnel. 

J’ai commis l’erreur de vouloir reproduire les mêmes techniques de marketing d’entrepreneurs qui m’inspiraient, et j’avais également voulu copier leur style. Je me suis vite rendue compte que ma communication était trop agressive et qu’elle ne me ressemblait pas. Elle ne plaisait d’ailleurs pas à mes abonnés. 

C’est avec le temps que j’ai pu trouver un style qui me correspondait : simple, mais pédagogue, avec une petite dose d’humour. Et devine quoi ? Les retours sur mes contenus ont été beaucoup plus positifs ! En terme de copywriting comme dans le marketing, ne te pose pas la question de ce qu’il faut faire, mais de ce que tu as envie de faire. Si tu mets en place une stratégie de communication à ton image, tu n’auras pas de problème pour faire passer un message. Le secret, c’est d’entreprendre avec ta personnalité. 

Ma quête d’alignement a également conquis ma vie personnelle (tout est lié). J’ai découvert le développement personnel et j’ai lu plus de 30 livres en quelques mois. Beaucoup ne m’ont pas touchée, mais quelques uns ont été déterminant pour ma construction personnelle et professionnelle : 

  • Jen Sincero, “Tu vas tout déchirer”
  • Lyvia Cairo, “ Créer sa vie en étant soi” 
  • Lise Boubeau, “Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même”
  • Raphaëlle Giordano, Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une
  • Frédéric Fanget, “Oser”

A côté de cette initiation au développement personnel, j’ai entamé de gros chantiers dans ma quête d’identité : recherche de mes origines et rencontre avec ma famille biologique, essai de médecines alternatives : hypnose, magnétisme, mémoire cellulaire….

Ces bouleversements ont mis en stand by mon activité pendant presque deux mois. Si au début, j’ai eu du mal à accepter qu’il fallait que je me recentre sur mon développement personnel en priorité, j’ai fini par lâcher prise sur mon activité professionnel. Deux mois plus tard, j’étais alignée, avec un regain d’énergie, et mon activité a alors redémarré. 

Année 2 : la construction d’une vision réaliste pour mon activité 

Quand on est entrepreneur, on entend en permanence que le succès repose dans la réussite financière : beaucoup d’entrepreneurs se fixent des objectifs élevés : 100K la première année, 1 million au bout de quelques années. Ces objectifs ambitieux sont louables. Mais ce ne sont pas les objectifs de tout le monde même si l’écosystème entrepreneurial tend à nous faire penser que nous avons tous pour volonté et pour vocation d’être extrêmement riche.  

Avec le recul, j’ai fini par assumer que ces objectifs financiers n’étaient pas les miens. Je me suis mise à mon compte pour être libre pas pour devenir millionnaire. Maintenant que je suis libre, je veux bien gagner ma vie mais au delà de sommes qui n’ont pas de sens pour moi. 

Je veux que cet argent me permette de voyager, de me faire plaisir et d’investir, mais rien de plus. 

Et surtout, je veux garder du temps libre dans mon emploi du temps pour faire des choses qui font sens pour moi : du sport en journée, des temps de pause, prendre le temps de cuisiner, faire un voyage en train en pleine journée en semaine. C’est de cette manière que je me sens privilégiée. C’est de cette manière que je me sens riche. 

Et c’est d’ailleurs en faisant le point sur mes valeurs et mes besoins, que j’ai réalisé que je ne pouvais plus continuer à faire du coaching à la chaîne comme je le faisais pour un client. A la fois, parce que cet accompagnement n’était pas assez qualitatif à mon goût et parce que mobiliser deux jours par semaine à hauteur de 13 coaching par jour ne correspondait pas du tout à ce que je voulais pour mon activité. J’avais besoin de liberté, de choisir mes horaires et ne pas dépendre d’un client.

Un jour, une amie m’a dit “ je veux que cette journée soit représentative de ma vie”. Et c’est là que j’ai eu un déclic : mes journées n’étaient pas représentatives de ma vie idéale. 

Aujourd’hui, je veux continuer d’accompagner un certain nombre de personnes dans le développement de leur activité et pour que cet accompagnement soit qualitatif, je ne veux pas accompagner plus dix clients en parallèle. Je veux également leur faciliter l’accès à mes accompagnements, c’est pourquoi je suis devenue organisme de formation référencé Datadock pour proposer une prise en charge de mes accompagnements (sous conditions) et que j’engagerai mes démarches pour être organisme de formation certifié dès la rentrée 2019.

Liberté, authenticité, accessibilité sont les valeurs que je développe dans cette vision de long terme pour mon activité. Et je crois en la pérennité de mon développement parce que j’ai le mindset pour réussir : 

  • Le besoin d’expérimenter pour avancer
  • Le besoin d’apprendre parce que je ne saurai jamais assez
  • L’instauration d’habitudes et de rituels pour tester ma rigueur sur le long terme
  • La force mentale pour réaliser les objectifs que je me suis fixés

C’est avec cet état d’esprit que j’avance. Et même lors de périodes de doutes, je sais que je m’en sortirai car je crois en moi, quoiqu’il arrive.

Et c’est cet état d’esprit entrepreneurial que je veux te transmettre ?

 

Conclusion 

Après une première année sous le signe de la découverte, ma deuxième année entrepreneuriale est parsemée de difficultés et de défis à relever : nouvelles réalités financières, quête d’identité, alignement professionnel et vision réaliste pour mon activité. Cette confrontation à ces nouvelles réalité m’on fait sortir du bac à sable pour rentrer dans la cour des grands. L’aventure vient donc à peine de commencer, car entreprendre, c’est l’histoire d’une vie basée sur un choix de vie : le seul possible pour moi. Et l’année 3 ? En théorie, elle devrait être celle de la stabilité, mais en pratique, on sait tous que quand on signe pour une vie d’entrepreneur, cette sacro-sainte stabilité reste illusoire. Mais quand on en a fait le deuil, on ne peut qu’aller de l’avant dans cette nouvelle vie ! 

 

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Les 3 choses à ne pas déléguer dans ton entreprise

Quand on est entrepreneur et qu’on fait grandir son entreprise, on entend souvent qu’il faut déléguer des tâches.

D’ailleurs, en m’inspirant pour écrire ce mail, je suis tombée sur trois pages de recherche Google, qui m’indiquaient comment déléguer. Mais pratiquement aucune sur “ce qu’on ne devrait pas déléguer”.

Et pourtant, je pense qu’il y a un certain nombre de choses sur lesquelles il faut garder le contrôle pour rester aux rênes de ton entreprise : sur le plan sur le plan de l’incarnation de ta marque, sur le plan des finances, et sur celui de l’organisation.

1 – Le contenu et la stratégie de marque : l’erreur que commettent les entreprises qui “scalent”


Quand une entreprise grossit, elle veut optimiser son temps en sous-traitant des tâches qu’elle avait pour habitude de réaliser elle-même. Parmi elle, on peut compter la création de contenu.

Il est parfaitement légitime et compréhensible de ne ne plus pouvoir assurer la production de contenu de manière aussi intense que lorsqu’on est une petite boite/freelance avec plus de temps et moins de moyens.

Pourtant, si tu as commencé à habituer ton audience à ta patte, à ton style et que tu as une vraie relation avec elle, il serait dommage de tout arrêter et de rompre cette précieuse connexion nouée avec elle.

Les contenus ne servent pas qu’à optimiser ton SEO. Ils te permettent d’apporter une vraie valeur ajoutée à ton entreprise (expérience + expertise + angle choisi/point de vue).

Si tu délègues toute la production de contenu, ton entreprise ne sera plus incarnée. Elle sera une pale copie de ce qu’on trouve aujourd’hui sur le web : une boite qui produit des articles fades sur des sujets bateaux en espérant remonter dans les premiers résultats d’une requête Google spécifique.

Un peu dommage non ?

Attention, je ne dis pas qu’il ne faut rien déléguer ! Par contre, je pense qu’il faut que tu gardes un lien privilégié avec ta communauté. Pour moi, ce lien passe par ma newsletter, dans laquelle je m’adresse directement à mes abonnés. Je sais qui la lit, je sais qui clique, je visualise ces personnes en train de lire mes contenus, et je les écris pour elles.

Si tu veux vendre, si tu veux que ta communauté s’identifie à ta marque, il faut que tes contenus soient incarnés (par toi, par ton équipe).

La vente c’est de l’émotionnel. Si ta communication est creuse, si tes abonnés ne ressentent plus ce lien privilégié avec toi, ils se sentiront abandonnés. Et ils iront chercher de l’humanité ailleurs.

Je suis d’ailleurs contente d’avoir contribué à quelques succès d’entrepreneurs que j’ai accompagnés sur ces questions de personal branding/incarnation des contenus :

▪ Une cliente qui a pu trouver son premier client grâce à la création d’un site web à son image

▪ Une amie qui a pu obtenir un gros client grâce à un article écrit à 4 mains (ensemble) sur la thématique du copywriting

▪ Des clients qui ont pu obtenir leurs premiers clients grâce à des articles invités ultra-personnalisés

▪ Une amie qui a pu obtenir une mission de freelance grâce au travail réalisé ensemble pour valoriser sa personnalité

▪ Une autre amie qui, suite à un échange constructif, a choisi de personnaliser sa newsletter en proposant du contenu beaucoup plus inspirationnel issue de son expérience

2 – Garde une main sur la comptabilité et l’administratif 


La compta et l’administratif sont des sujets qui provoquent de l’urticaire chez beaucoup d’entrepreneurs. Quand on se lance en micro-entreprise, ces sujets sont relativement simples : pas de compta, deux trois papiers à remplir, et le tour est joué.

Quand on voit son entreprise grandir, on réalise que les choses ne sont plus aussi simples qu’avant : plus de charges, une TVA à gérer, plus de paperasse, des questions sur les changements de statut…

Quand j’ai été assujettie à la TVA en début d’année, j’étais paniquée par les démarches administratives que cela impliquait. J’ai directement fait appel à un cabinet d’expert comptable qui ne comprenait pas ma situation, et qui m’a vite facturé cher.  Et dans l’histoire, je ne savais toujours pas faire une déclaration de TVA.

C’est en prenant conscience de mes dépenses que j’ai décidé de reprendre la main sur ma comptabilité. J’ai fait appel à un autre cabinet moins cher, qui m’a montré comment réaliser mes déclarations, et qui m’a permis d’être autonome. Aujourd’hui, je maitrise cette part de mon activité et réalise des économies.

Aujourd’hui, j’ai une vraie vision sur mes finances et ma comptabilité. Je sais quelles sont mes sources de dépenses, mes recettes et je ne suis plus stressée de ne pas savoir quel est l’état de mes finances.

Mon conseil : ne délègue pas quelque chose que tu ne maitrises pas. 

C’est la même chose pour toutes tes démarches administratives :  bien sûr que tu peux déléguer des démarches complexes, mais fais attention à bien comprendre ce qui se passe quand tu n’es pas là. 

J’ai délégué une partie des démarches pour devenir organisme de formation (je suis d’ailleurs référencée Datadock depuis la semaine dernière, youpi! Mais je t’en reparlerai très prochainement).

Mais je veux rester indépendante et capable de comprendre les process et les étapes qui m’ont permis d’obtenir ces résultats.

3 – L’autodiscipline et l’organisation ne dépendent que de toi 


Tu pourras toujours vouloir tout déléguer mais personne ne va gérer ta discipline et ton organisation pour toi.

Quand tu es chef d’entreprise, tu ne diriges pas ton entreprise avec tes émotions ou ta motivation mais avec ta rigueur et ta discipline. 

Définir tes priorités, produire des contenus à fréquence régulière, rendre des livrables à temps, communiquer sur ton activité, faire du sport, travailler ton développement personnel…toutes ces tâches demandent de l’énergie et de la discipline. Mais elles font partie d’un mindset pour entreprendre.

Pour être un bon chef d’entreprise, il faut que tu puises en toi la force pour t’autodiscipliner. Comment veux-tu diriger des prestataires ou des équipes si tu ne sais pas te cadrer toi-même ?

Et pour ça, définir tes objectifs va t’aider (je sais, j’en parle souvent).

?Quelles actions souhaites-tu avoir réalisé pour les trois mois à venir ?
?D’ici un an ?
?Ce que tu fais aujourd’hui tend-t-il vers ta vision entrepreneuriale de long terme ?
?Vers ton projet de vie ?

Si tu n’arrives pas à envoyer une newsletter chaque semaine parce que tu as peu d’abonnés, essaye de penser que tu écris à 1000 personnes.

Si tu penses que ta stratégie de contenu ne sert à rien, peut être ne priorises-tu pas les contenus qui marchent ?

Si ton réseau n’est pas assez développé, rencontre une nouvelle personne par semaine.

Les petits pas forment les grands projets. Mais tout part de toi. Personne ne pourra être motivé pour toi.

 

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Les 5 clés pour maitriser ton pitch d’entrepreneur

Je parle souvent de storytelling entrepreneurial ou de pitch, pour inscrire son histoire dans les mémoires et laisser une trace écrite sur le web. Ce storytelling est un excellent moyen de devenir mémorable. Mais il existe également une autre manière de marquer les esprits : en travaillant son storytelling à l’oral : c’est l’art du pitch. Cet exercice est intéressant pour les entrepreneurs plus à l’aise à l’oral, qui peuvent rayonner grâce à leur charisme et leur éloquence. Mais il est également très intéressant pour les entrepreneurs plus réservés qui vont alors pouvoir développer leur aisance et faire entendre leur voix grâce à la prise de parole en public. L’enjeu du storytelling parlé, ou pitch est de trouver le bon équilibre entre plusieurs orientations :  synthétiser son pitch tout en faisant rêver son auditoire, romancer sans mentir, humaniser une entreprise tout en restant professionnel. La solution est de maîtriser les 5 clés du storytelling oratoire.

1 – Pour maîtriser ton pitch : adopte une présentation claire et adaptable

 

Les prises de parole qu’elles soient ponctuelles ou régulières ne sont jamais faciles et peuvent varier d’un public à l’autre. Des facteurs tels que le trac ou le nombre de personnes présentes peuvent jouer dans ta présentation orale. C’est la raison pour laquelle il est important d’être à l’aise avec ton discours. Cela te permettra de capter l’attention plus facilement et petit à petit, parler en public deviendra un réel plaisir !

Le storytelling de ton histoire, c’est d’abord une bonne présentation de toi. Un pitch, adaptable en fonction de la situation, de l’audience et du temps auquel on fait face.

✔ Qui est mon interlocuteur ?

✔ Qu’est-ce qu’il a besoin de retenir de mon histoire ?

✔ Quel angle vais-je choisir pour me présenter ?

✔ Comment puis-je captiver son attention ?

Ces questions permettent de vraiment prendre en compte le contexte pour savoir comment présenter ton storytelling et de t’exprimer efficacement

Tu ne vas pas pitcher ton histoire de la même manière en une minute et en cinq minutes.

Dans la première situation (pitch en une minute), à l’occasion d’un événement de networking, voici ce que tu peux dire :

✔ Ton nom

✔ Ce que tu fais

✔ A qui tu t’adresses

✔ Pourquoi tu le fais

 

Dans la deuxième situation, tu peux entrer plus en détail sur chacun des points vus dans la première situation.

 

Mon conseil : maîtrise les deux versions  pour réussir tes présentations à coup sûr ?

2 – Un bon pitch est une histoire répétée 

Pour devenir mémorable, c’est la même histoire que tu devras répéter. C’est grâce à cela qu’on associera ton entreprise à un projet humain, avec un storytelling qui marque les esprit.

Lorsque je me fais interviewer, je raconte la même histoire de mon lancement dans l’entrepreneuriat : les mots peuvent changer, mais j’accentue sur les mêmes points déterminants de mon histoire  et laisse peu de place à l’improvisation. C’est ce que j’ai fait lorsque j’ai témoigné de ma reconversion à l’occasion de l’apéro de Pose ta Dem’ :

De chargée de communication et événementiel dans une association, je suis devenue coach pour entrepreneurs (spécialisée dans le Personal Branding).

 

Les points clé du pitch :

Un milieu familial pas du tout familier à l’entrepreneuriat

La galère de 9 mois de chômage

La déception d’un bullshit job

Un questionnement de fond sur ce que je veux vraiment

Construire mon projet entrepreneurial en étant salariée

Me lancer et vivre de mon activité en trois mois

Switcher 2 fois de métiers en un an et demi d’entrepreneuriat

Mon conseil pour se lancer

 

Grâce à cette structure, je mémorise facilement mon pitch et interagit avec mon audience (qui ne s’endort pas). Maîtriser les points essentiels me permet de m’exprimer avec aisance et donc de convaincre le public.

3 – Montre l’humain qui est en toi pour que ton public s’identifie à ton histoire

 

Peu importe ton histoire, qu’elle soit semée d’échecs ou que tu fasses un sans faute, ce qui compte c’est de la rendre captivante. Tu peux raconter des anecdotes, faire rire ton audience, insister sur tes moments de doutes, de peur ou d’excitation.

Le storytelling oratoire passe par une grande part de communication non verbale : pour cela, il est important d’apprendre à poser ta voix, travailler ton intonation en fonction de l’émotion que tu cherches à véhiculer, et parler avec des gestes. Au delà des mots, c’est ta posture et ton attitude qui restera en mémoire. Le non-verbal a un pouvoir que beaucoup de personnes sous-estiment !

Si tu n’as pas l’habitude de prendre la parole en public, tu peux t’entraîner avec des mises en situation en demandant à un groupe d’amis ou d’autres entrepreneurs de t’écouter et te faire un retour sur ta présentation. Cela te permettra

  •         d’identifier tes points forts ou des points à travailler,
  •         de mieux structurer ton discours
  •         de mettre en pratique des techniques d’expression
  •         de gagner en confiance avant de te lancer !

Pour ma part, j’ai travaillé à avoir des transitions logiques, à supprimer quelques tics de langues, et des “euuuh” à outrance ?

Lorsque je suis interviewée, je raconte toujours mes échecs, et mes erreurs pour humaniser mon projet :

 

https://www.youtube.com/watch?v=8kn9OD_s4Ww&t=729s

J’humanise mon parcours dans cette interview donnée aux Geeks des Chiffres

Si tu regardes les speakers des TEDx, tu verras que tout leur discours est en fait une présentation théâtrale du sujet sur lequel ils s’expriment. Pourquoi les TEDx sont si faciles à regarder ?

  • Le temps de présentation est limité
  • L’histoire du speakers est à 100% incarnée et humanisée
  • Le public est pris à parti

 

Exemple de TEDx théâtral 

4- Valorise tes réussites pour laisser une trace positive 

 

L’objectif d’un storytelling oratoire est, ne l’oublions pas, de laisser une bonne impression. C’est pourquoi, il est important de valoriser tes réussites, ou le cheminement vers une situation meilleure.

Beaucoup d’entrepreneurs ont tendance à banaliser leurs exploits, et ne voir que leurs échecs. Mais si tu raisonnes comme ça, quelle image vas-tu laisser à ton audience ?

Imagine-toi à un entretien d’embauche, où tu ne racontes que tes échecs et minimise tes exploits : qui voudrait travailler avec toi ?

Pense à ce que tu as accompli jusqu’ici : ton lancement, ton changement d’état d’esprit, tes réussites professionnelles, tes réussites matérielles, ton réseau…je suis sûre que tu te sous-estimes ?

Dans le podcast L’entrepreneur en vous, je témoigne de mon passage de salariée à freelance

 

Avant de raconter tes réussites, il faut déjà que tu en prennes conscience. Voici donc un petit exercice que je te propose :

  • Repense à la situation dans laquelle tu étais il y a un an
  • Regarde la situation où tu es aujourd’hui
  • Qu’as-tu appris : sur toi ? En terme de compétences ? De rencontres ?

Quand j’ai fait cet exercice pour la première fois, je me suis rendue compte que j’avais énormément avancé depuis un an !

5  – Apporte de la valeur grâce à ta générosité et à ton expertise

 

Lorsque tu t’exprimes, tu racontes une histoire mais tu délivres également de la valeur à ton auditoire ou ton audience. C’est de cette manière qu’on aura envie de travailler avec toi.

Dans chacune des interviews que j’ai données, j’ai offert des conseils sur différents angles de l’entrepreneuriat :

Les Geek des Chiffres : comment apprendre à se connaître pour entreprendre

Tiime : les conseils administratifs pour entreprendre 

Surf en freelance : donner et être généreux dans ses contenus

Les formateurs libres : quels outils pour se lancer dans l’entrepreneuriat en ligne

Going freelance : Mon mode de vie de freelance

Bien dans ta boite : le personal branding

L’entrepreneur en vous : le passage de salarié à freelance

Chill : l’alimentation et l’hygiène de vie des entrepreneurs

Super freelance : créer une communauté

Pose ta dem’ : pitcher en 8 minutes 

 

Je redirige également le public vers mes contenus gratuits pour qu’ils puissent jauger la valeur de mes contenus.

C’est cette générosité et cette accessibilité qui te permettra de devenir un entrepreneur à la fois sympathique et mémorable.

Petit conseil : accepte les interviews, elle vont contribuer à divulguer ton nom ou ta marque ? C’est encore cette stratégie qu’on choisit des entrepreneurs à succès tels que Oussama Ammar, Antoine BM ou Lyvia Cairo !

Conclusion

Le storytelling, ce n’est pas qu’à l’écrit, c’est également une histoire racontée. Elle implique de travailler ton histoire de manière humanisée et positive. Ta communication non verbale va également jouer un rôle essentiel dans l’impression que tu vas laisser. Mais pour rester en mémoire, il faut d’abord te montrer généreux et accessible.

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

5 leçons d’entrepreneuriat que m’a appris l’aikido cette semaine

Je reviens tout juste d’une semaine de vacances dans le sud ou j’ai fait un stage d’aikido…et je n’avais pas prévu d’écrire un article parlant de cet art martial. Mais j’ai laissé mon imagination suivre son cours.

Cet article était censé rester une newsletter, mais au vue de sa longueur et des retours positifs reçus par mes abonnés, je suis suis décidé à le publier sur mon blog.

Sans surprise, tu l’auras deviné, j’ai fait un lien entre la pratique de l’aikido et l’entrepreneuriat !

Et voici les 5 leçons que j’ai apprises de mon sensei cette semaine :

 

Leçon n°1 : Commencer tôt ne va pas forcément t’aider


Lors d’un échange avec mon sensei, je lui avais dit que j’aurais aimé commencer l’aikido plus tôt, pour avoir plus de réflexes. Je pensais qu’il allait me dire que plus on commence jeune, plus la pratique devient facile en étant adulte….mais non.

Pour lui, commencer jeune, c’est souvent commencer avant d’être vraiment réceptif à la pratique et à sa complexité. C’est commencer avant d’avoir le recul et la maturité pour comprendre ce qu’on fait. Et c’est surtout commencer à un moment où on devrait plutôt s’amuser. Les grands maîtres de l’aikido ont souvent débuté leur pratique à plus de 20 ans.

Pour l’entrepreneuriat, je m’étais dit la même chose : si j’avais commencé à créer ma première entreprise à 18 ans, peut-être que je serais mille fois plus avancée que là où je suis aujourd’hui.
Mais à 18 ans, je ne voulais pas créer une entreprise. Je n’étais pas prête, et j’avais besoin de passer par une voie plus classique pour savoir si cette dernière pourrait me correspondre ou pas.

Donc si tu repenses à ce que tu aurais pu faire si tu t’étais bougé plus tôt, n’aie pas de regrets. Ce n’était pas le bon moment. Tu n’étais pas encore prêt.

“Ne te compare pas aux autres” 

En aikido, ça peut être frustrant de voir que certains ont commencé en même temps que toi et t’ont dépassé. Et quand tu regardes ceux qui sont plus avancés que toi, tu te dis que tu as encore du chemin à faire. Ca a été mon cas. Mais en y réfléchissant, me comparer ne me fera pas progresser. Et quand on analyse bien : je n’étais pas aussi assidue que ceux qui ont commencé en même temps que moi. Donc pas de mystère, tout s’explique.

Dans l’entrepreneuriat, c’est pareil. Il y a mille raisons qui peuvent expliquer qu’untel soit devant toi. Et comme disait Oussama Ammar “Te comparer, c’est comparer ton intérieur à l’extérieur des autres”.

Et de toute façon, qu’est-ce qui compte vraiment : arriver le premier ou tout simplement arriver à destination sans trop de blessure ? 

Leçon n°2 : les choses prennent le temps qu’elles prennent, mais…pourquoi es-tu si pressé ? 


Si tu me connais, tu sais que mon défaut n°1 est l’impatience. Quand j’ai compris comment fonctionne le shmilblik,  je veux voir des résultats rapidement.

Mais dans la vie, les choses ne fonctionnent pas comme ça.

En aikido, l’apprentissage est assez long. Il faut d’abord apprendre, puis comprendre et parallèlement mettre en pratique. C’est d’ailleurs pareil quand on entreprend.

L’apprentissage n’est pas très compliqué. L’apprentissage, c’est du savoir. En aikido, ce sont les noms des techniques en japonais par exemple. Dans l’entrepreneuriat, ce sera les bases du marketing et de la comptabilité.

La compréhension est l’étape supérieure : pourquoi est-ce que je fais les choses ? Pourquoi, est-ce que j’avance mon pied droit et non mon pied gauche ? (En aikido, la réponse est souvent : pour éviter de m’en prendre une). Pourquoi est-ce que je ne vais pas commencer par passer des semaines à faire mon site web quand je lance mon entreprises ? (En entrepreneuriat, la réponse est : parce que ce n’est pas la priorité pour faire décoller mon Chiffre d’affaires).

La mise en pratique est la vérification des deux précédentes étapes : on ne peut pas savoir si nos actions marchent si on ne les teste pas. En aikido, c’est tester une attaque ou une technique. En tant qu’entrepreneur, c’est tester un argumentaire de vente, ou un plan de lancement.

Il est difficile d’apprendre et de mettre en application ce savoir simultanément. Il faut parfois faire des erreurs pour que les choses fonctionnent enfin. Mais quand tu as choisis une voie qui te passionne, vas-tu renoncer au bout de quelques mois parce que tu ne vois pas de résultats ? 

Leçon n°3  : Le problème est dans ta tête 

Quand j’ai des blocages en aikido, mon sensei me dit toujours que le problème est dans ma tête, pas dans mon corps. Mon corps sait faire tous les mouvements que je lui demande. Le problème, ce sont mes craintes et mes appréhensions, qui elles, sont essentiellement psychologiques. 

La difficulté en aikido, c’est de déconstruire tous les réflexes et toutes les peurs qu’on a accumulé depuis toujours, par notre éducation, et par les règles de vie en société. Nos corps sont en permanence tendus alors qu’en aikido, on prône le relâchement et le lâcher-prise. C’est ce lâcher-prise qui nous permet de chuter sans crainte et de mieux revenir.

Dans l’entrepreneuriat, c’est la même chose : nos peurs, ce sont nos croyances limitantes. Sans peur, on pourrait gravir des montagnes. Sans auto-censure, on oserait plus. Mais on a peur de s’affirmer, d’assumer un projet différent ou une une approche différente. La première chose à faire pour mettre fin à ces croyances limitantes est de les identifier : qu’est-ce qui me bloque ? Pourquoi ai-je peur ? Quelle est la pire chose qui pourrait m’arriver si je passe à l’action, si je fais autrement ? 

“C’est en pratiquant qu’on enlève les appréhensions” 

Plus tu es régulier, plus tu dédramatiseras les actions que tu appréhendes : en aikido, si tu as peur de chuter, fais 100 chutes à ton rythme et tu verras que chuter ne sera plus un problème. Quand tu es entrepreneur, si tu as peur de te voir à l’écran, réalise une capsule vidéo par jour, et tu verras que tu finiras par te regarder en face.

De plus, la régularité améliore la pratique. Plus tu mets en place une routine, plus tu deviens bon dans ce que tu fais. Je pratique l’aikido 2 à 3 fois par semaine, sans me poser la question de si j’ai envie d’y aller ou pas. J’écris une newsletter et un article par semaine sans me demander si je suis motivée ou non. Et devine quoi ? Je m’y tiens ?

Les déclics viennent avec la régularité, alors ne les attends pas. Ils viendront tout seul si tu es constant. 

Leçon n°4 : La contrainte construit 

 


Mon sensei m’a dit cette phrase il y a quelques jours : en aikido, la contrainte construit. Sans contrainte, on fait ce qu’on veut, on ne fait pas d’erreur, on ne progresse pas, et on n’avance pas. 
En aikido, la contrainte c’est le uke, l’adversaire. Sans lui, la pratique ne serait plus de l’aikido mais du Tai Chi, des mouvements à réaliser individuellement sans travail avec l’autre. En aikido, la contrainte nous permet d’avancer en arrivant à contourner le danger dans la mesure du possible, ou de l’épouser quand il est là. 

Quand on entreprend, la route n’est pas droite, et nos trajectoires ne sont pas rectilignes. Ce sont ces contraintes (administratives, concurrentielles, budgétaires, personnelles) qui nous permettent d’avancer et de faire avec ce que l’on a. La plus grande qualité d’un entrepreneur est la résilience, cette capacité à rebondir après un échec. Tout comme la chute en aikido permet de mieux revenir, la résilience permet de se construire dans l’adversité.  Et je sais de quoi je parle, j’ai essuyé de nombreux échecs, et je sais aujourd’hui que rater fait partie du jeu ?

“Quand tu as raté de 15 manières différentes, la 16e fois c’est la bonne, puisque il n’y a plus d’options pour rater” 

Quand on a coché toutes les cases de l’échec (et qu’on en retient les leçons), on ne peut qu’avancer parce que toutes les mauvaises options ont déjà été testées. C’est ce que me dit mon sensei : continue d’essayer, de rater, et à un moment, ça finira par marcher. 

C’est la même chose si tu es entrepreneur : tu as essayé dix fois la prospection agressive et ça n’a pas marché ? Essaye la prospection subtile et ciblée, peut-être que ça marchera ! Au pire, il te reste encore des options : l’inbound marketing, la publicité…essaye 15 options, et la 16e marchera ?

Leçon n°5 : l’aikido, c’est la construction d’une relation avec l’autre, car on n’avance pas seul 

Dans cette même logique de prise en compte des éléments externes pour avancer, mon sensei insiste sur la construction d’une relation avec l’autre. Dans son fondement, l’aikido, c’est l’harmonisation entre deux corps qui s’écoutent. C’est pourquoi, l’une des règles fondamentales est de toujours garder le contact, même dans la contrainte. L’autre nous aide à avancer car c’est avec lui qu’on avance et construit notre pratique. 

Dans l’entrepreneuriat, le rôle du réseau et des relations est capital pour développer son activité. On n’avance pas seul : on a besoin pour avancer d’ouvrir des portes et saisir des opportunités. Et ces opportunités se créent dans le contact et le dialogue. C’est pourquoi cultiver son réseau est essentiel. Je suis en ce moment en train de lire “Réveillez le millionnaire qui est en vous” de Marc.V HANSEN et Robert. G. Allen, et dans lequel les auteurs insistent sur la nécessité de construire une équipe (l’effet de levier) pour gagner devenir millionnaire. Sans aller jusqu’à gagner des millions, on peut adopter ce vieil adage “seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin” 

“Ecouter les besoins de l’autre pour réussir à se développer “

Dans cette même perspective de relation à l’autre, un club d’aikido retrouve les mêmes problématique qu’une entreprise : recruter de nouveaux adhérents qui resteront fidèles au club. Pour appâter les curieux, il faut attiser leur curiosité avec des arguments qui leur parlent. Qu’est-ce que recherchent les gens aujourd’hui dans les arts martiaux ? Savoir se défendre ? Maîtriser leurs peurs ? Devenir zen ? Ce sont ces questions que se pose mon club pour parler à un public plus jeune. Pour attirer un nouveau public, il faut que la discipline réponde à leurs attentes tout en étant accessible. Il faut trouver les bons mots pour les toucher, sans mentir sur la réalité de la discipline, ni dénaturer la pratique. C’est le juste milieu à trouver pour vendre sans perdre son âme. 

Ce juste milieu est à trouver pour n’importe quel entrepreneur qui cherche à attirer de nouveaux clients. Comment faire venir des clients à lui quand le voisin propose un tarif plus attractif ? Comment toucher un public qui ne nous connaît ni d’Eve ni d’Adam ? En développant une bonne proposition de valeur qui prend en compte les problématiques des clients : l’écoute des besoins est ainsi à la base de toute action de marketing. Rajoute à ça, une pointe de storytelling, et tu peux être sûr que tes prospects ne choisiront pas ton concurrent ?

 

Conclusion

Voici donc les 5 leçons de mon sensei apprises cette semaine.Il existe donc bel et bien un parallèle entre la philosophie des arts martiaux et l’état d’esprit de l’entrepreneur. 

 

 

? Pour découvrir mon blog aikido, c’est ici 

 

 

 

Les trois points de vigilance à garder en tête quand on est entrepreneur

La semaine dernière, j’ai organisé un autre événement de CoDéveloppement avec des entrepreneures (nous étions 4 femmes) de tout horizon.

Si tu n’es pas familier avec le concept du CoDev, le principe est simple : il s’agit de réunir des professionnels pour les aider à travailler sur leurs problématiques grâce au croisement de plusieurs regards externes (ici, les trois autres entrepreneures). De ces regards croisés émergent des idées et de nouvelles pistes de développement pour l’entrepreneur à qui c’est le tour d’exposer la problématique.

Plusieurs problématiques ont ainsi été abordées par chacune d’entre nous et j’aimerais faire un focus sur les trois principaux points évoqués. Peut-être te reconnaitras-tu parmi ces différents points ?

La priorisation des objectifs et des tâches 

Quand on est à son compte, il est difficile d’avoir assez de recul pour établir ses priorités. On est souvent seul, et on se perd dans l’océan des tâches à réaliser pour développer son activité. 

L’une des entrepreneures présentes au CoDev a évoqué la difficulté d’alimenter régulièrement son blog et de mettre en place une communication impactante en raison du temps consacré à ses clients. 

Elle était “en mode sous-marin”. Ce mode de fonctionnement est souvent adopté par les freelances en pleine mission chronophage avec un client. 

Le problème, c’est que lorsque l’on sort la tête de l’eau après une mission aussi intense..rien ne se passe ! Personne ne nous attend et notre stratégie de contenu et de communication n’a pas bougé d’un iota. Il faut donc repartir à la pêche aux clients (joie?).

Inversement, en faisant de la production de contenu une priorité (ne serait-ce que de se bloquer un créneau de deux heures par semaine), on se rend visible même lorsqu’on est en mission. Et c’est cette visibilité qui permet d’enchaîner des missions sans avoir de périodes de latence liées à un manque de communication.

Pour revenir à cette entrepreneure, sa priorité a donc été de prendre du temps pour son propre marketing dans son emploi du temps et se traiter comme si elle était son propre client. 

A terme, bien prioriser ses tâches permet de bien comprendre ce qu’il est important de faire maintenant pour atteindre ses objectifs de juin. Et pourtant, on a souvent cette fâcheuse tendance à réaliser des tâches non prioritaires au quotidien alors qu’elles pourraient être reportées à dans quelques mois au profit de quelque chose de plus important aujourd’hui. 

Si ton objectif est de capturer 500 nouvelles adresses mail, n’est-il pas plus important de produire un leadmagnet de qualité et de communiquer dessus, plutôt que de refaire ta page de service ? ?

Le développement de nouvelles références et de sources d’inspiration

Un autre point soulevé a été le développement de nouvelles références pour élargir sa palette d’exemples mais également de sources d’inspiration. 

Quand on est coach ou formateur, il est important de diversifier ses exemples pour ne pas avoir à se répéter mais surtout, pour explorer de nouveaux modèles de développement. 

Si on n’a qu’une ou deux sources d’inspiration, on va avoir tendance à calquer son business model sur ces deux références et adopter une communication similaire (j’ai déjà fait cette erreur par le passé).

Résultat : tu deviens une version cheap de l’entrepreneur que tu copies ?

Alors que si tu développes de nouvelles références en partant de personnes qui t’inspirent vraiment, tu seras d’une part plus aligné avec ta communication, et d’autre part, tu auras réussi à conduire ton audience là où elle ne t’attend pas. C’est de cette manière que tu deviendras à ton tour remarquable. 

Aujourd’hui, dans le microcosme des freelances du digital, ce sont toujours les mêmes noms qui sont cités (aller, je les cite) : Stan Leloup, LiveMentor, Antoine BM, Oussama Amar… trouver de nouvelles références peut-être un moteur d’inspiration pour ton business model, et par ricochet, pour construire ta propre marque.

Si tu veux vendre des formations en ligne à X euros parce que machin qui est connu vend des formations à X euros, et que tu penses que tu n’as rien à apporter de plus que lui, alors là, oui, tu pars perdant ! 

Par contre, si tu penses que tu as une valeur à délivrer qui vaut XX euros parce que ton travail vaut tant et qu’en plus tu t’es inspiré de nouveaux modèles qui vendent des formations plus chères, alors vends ta formation à XX euros. L’argent n’est souvent pas le vrai problème dans l’histoire. Le problème, c’est souvent toi ?

Plus tu élargis tes références, plus tu enrichis ton répertoire, plus tu apportes de la valeur à ton audience, plus tu te démarques du lot et plus tu t’élèves.

Les mauvaises raisons de faire les choses

Il nous arrive parfois, de nous lancer à corps perdu dans une tâche ou dans le développement d’une offre sans nous poser les bonnes questions. 

Proposer une offre pour des clients qui n’auraient pas de budget par exemple. Quand on propose ce type d’offre malgré soi, ça signifie qu’on ne croit pas en la valeur de son travail. Et c’était le cas d’une de nos entrepreneures. 

Comme je le disais plus haut, l’argent n’est pas un problème. Le problème, c’est ton syndrome de l’imposteur et ton mauvais argumentaire de vente. Si ton client ressent que ton produit ou ton service est LA solution pour changer sa vie ou son activité, il y mettra le prix. Sinon il te dira qu’il n’a pas d’argent pour toi, mais cela ne l’empêchera pas d’acheter le dernier IPhone (parce qu’Apple, lui sait vendre ?)

Une de nos participantes au CoDev nous a présenté sa difficulté à vendre un petit produit. Son objectif était de commencer par vendre ce petit produit pour ensuite vendre un autre produit plus cher. Mais la question que je lui ai d’abord posé était la suivante : 

“Si ton objectif est de vivre de ton activité, comment penses-tu y arriver en quelques mois avec la vente d’un petit produit ? Tu consacreras le même temps et la même énergie à vendre un petit qu’un gros produit”.

Encore une fois, il s’agit là d’une mauvaise raison de faire les choses : si l’objectif est de voir grand alors voyons grand ! 

Jeudi dernier, j’écoutais la matinale de France Inter (mon côté bobo), ou Barbara Cassin, philosophe et invitée réagissait sur l’affluence de dons pour la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame :

“C’est beaucoup plus facile d’obtenir 500 000 euros que d’en obtenir 50 000” affirme la philosophe.

En effet, plus une cause, un projet, un produit ou un service coûte cher, plus il suscite de l’intérêt et plus il prend de la valeur. Donc en proposant un produit au rabais parce qu’on pense qu’il sera plus accessible est une mauvaise raison de vendre ce produit de cette manière. 

Conclusion

Pour conclure sur ces trois points, je dirai que ce CoDev nous a donc permis à chacune de prendre du recul sur nos activités respectives grâce à la force du collectif et à la puissance d’un regard extérieur ?

 

Cet article est extrait de ma newsletter du 22 avril 2019. Si tu veux recevoir les prochains articles, abonne-toi ! 🙂

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

Entrepreneuriat : comment définir ses objectifs pour avancer

Si tu es entrepreneur, tu dois être animé par l’envie de développer ton activité, te faire connaître et en vivre. Et c’est bien normal.Mais comment mesures-tu ton succès ? Beaucoup d’entrepreneurs naviguent dans le flou, sans réels objectifs ni ambitions quant à leur projet. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur de ne pas y arriver. Et pourtant, définir ses objectifs ne veut pas dire être aveuglement ambitieux. Le but d’un objectif est qu’il soit atteignable, réaliste et mesurable. Pour y voir plus clair, je te propose de te fixer trois types d’objectifs.

Définir ses objectifs financiers pour développer ton Chiffre d’Affaires

définir ses objectifs
Les objectifs financiers sont probablement les plus difficiles à estimer pour les entrepreneurs. Pourtant, il est difficile, voire impossible d’estimer son succès sans le mesurer.

✔ Commence d’abord par te demander combien tu as besoin d’argent pour vivre.
✔ Demande-toi ensuite, combien tu voudrais pour vivre.
✔ Si tu es déjà lancé, avec combien d’argent vis-tu aujourd’hui ?
✔ Et enfin, quelles sont tes charges en tant qu’entrepreneur.

Je te conseille d’estimer ces objectifs à partir de ta situation actuelle, et combien tu voudrais gagner dans un an. Une fois cela défini, établis un rétroplanning pour voir quel Chiffre d’Affaires intermédiaire serait envisageable dans six mois, et dans trois mois. 

Une fois ce Chiffre d’Affaires défini, il va falloir déterminer comment tu vas réussir à l’atteindre. Encore une fois, tu peux partir de ta situation actuelle si tu es lancé :

▪ A combien vends-tu tes prestations ?
▪ Comment trouves-tu tes clients ?
▪ Combien as-tu de clients par mois ?

Si tu sens que ta stratégie actuelle n’est pas efficace, c’est le moment d’essayer autre chose pour arriver à atteindre tes objectifs financiers.

Exemple : 

➰ La prospection t’épuise ? Et si tu essayais une stratégie d’inbound marketing à la place ?

➰Tu penses que tu n’arriveras pas à trouver assez de clients pour atteindre ton objectif ? Et si tu augmentais tes prix ? Ce qui compte ce n’est pas le nombre de clients mais la valeur de chaque client.

Si tu n’es pas lancé, construis des estimations sur la base de ce que tu observes chez tes concurrents.

? Tes objectifs financiers sont le moteur du développement de ton activité. Sans eux, tu ne pourras pas voir si ton activité croit et si elle devient pérenne. C’est pour cela qu’il ne faut pas les négliger.

Définir ses objectifs de notoriété pour développer ton image de marque

 

définir ses objectifs
Tes objectifs de notoriété te permettent d’évaluer la puissance de ton image de marque sur le web et sur le terrain.

Ta notoriété, c’est ta e-réputation et ton personal branding.

Tu peux choisir parmi les objectifs suivants  en fonction de leur pertinence pour ton activité :

▪ Nombre de relations sur Linkedin
▪ Nombre d’abonnés à ta newsletter
▪ Nombre d’abonnés à un réseau social pertinent pour toi
▪ Visiteurs uniques mensuels sur ton site web
▪ Nombre d’articles invités
▪ Livre publié
▪ Ebook mis en ligne
▪ Nombre d‘interview données 
▪ Nombre de conférences données
▪ Nombre de contenus publiés et communiqués (c’est la stratégie de contenu)

Tous ces bullets points sont des indicateurs et ils varient en fonction des envies et besoins de chaque entrepreneur pour son activité.

? Ces objectifs sont essentiels au développement de ton activité car c’est grâce à eux que tu vas pouvoir te faire connaître et construire une image de marque à la hauteur de ce que tu voudrais être.

Des objectifs de qualité de vie pour maintenir un équilibre entre ta vie professionnelle et personnelle 

définir ses objectifs

Les objectifs de qualité de vie sont importants car ils permettent de prendre du recul par rapport à l’entrepreneuriat et redonner de la place à ta vie personnelle.

Ils te permettent ainsi de mettre en place une organisation qui te permet d’avoir des objectifs de réussite personnelle.

Ils peuvent être les suivants :

▪ Réussir son permis de conduire
▪ Perdre X kilos
▪ Nombre de livres lus
▪ Gagner un marathon
▪ Commencer des cours de chant
▪ Devenir bénévole pour une cause qui nous est chère
▪ Se marier
▪ Aller visiter tel pays
▪ Changer d’appartement (je cherche toujours d’ailleurs ?)

? Ces objectifs sont essentiel à tout entrepreneur en quête de sens. Ils te permettent de prendre du recul par rapport à ton activité et comprendre qu’il ne faut pas délaisser ta vie personnelle au profit de ta vie professionnelle.

Travailler sur tes objectifs de manière régulière t’intéresse mais tu as peur de pas réussir à t’y tenir ?  Tu peux réserver un créneau ici  et je te rappelle ?

coaching pour entrepreneurs

Pourquoi j’ai refusé un cdi dans la boite de mes rêves

Il y a quelques mois, j’ai refusé un CDI dans une super startup. Et pourtant, il y a trois ans, j’aurais rêvé d’avoir ce job, et j’aurais tout donner pour l’obtenir. Mais aujourd’hui, coach pour freelances et entrepreneurs indépendante, j’ai dû refuser cette opportunité pour des questions de sens et d’alignement. Suis-je inconsciente ? Non, je ne pense pas.

Si aujourd’hui tu es freelance, tu verras sûrement des opportunités de ce type s’offrir à toi. Dois-tu les accepter ? Tout dépend de tes objectifs !

Dans cet article, j’aimerais t’expliquer ce que tu dois prendre en compte pour reswitcher de l’entrepreneuriat au salariat.

Freelancing ou salariat : quel statut reflète le mieux ton état d’esprit ?

Si tu hésites à reswitcher avec le salariat comme c’était mon cas, il faut te demander si tu le bon état d’esprit pour être entrepreneur (ou freelance). En effet, Il existe bien deux types de freelances. Mais duquel fais-tu parti ?

Le premier type « le freelance par défaut » .

C’est un freelance qui s’est lancé dans le freelancing, en attendant de trouver mieux. Il n’a pas réussi à trouver l’emploi de ses rêves, il aime la liberté et la flexibilité que lui apporte sa condition de freelance et se satisfait de revenus corrects qui lui permettent de payer son loyer.

Ce freelance ne travaille pas sa marque personnelle (ou personal branding), ni sa communication. Il assure des prestations de services et trouve ses missions au fil de l’eau sans réelle stratégie de développement.

Ce freelance peut arriver à vivre de son activité mais n’est pas animé par son métier : c’est un prestataire de services. Il pourrait accepter un emploi salarié si l’opportunité se présentait à lui.

 

L’autre type de freelance est le « freelance entrepreneur ».

Il a une vision de son activité à long terme et se fixe des objectifs ambitieux. Si au départ, il ne vivait pas de son activité, il a très vite réussi à générer des revenus satisfaisants (en quelques mois) grâce à sa stratégie de communication et au développement de sa marque personnelle.

Il aime son indépendance : il ne veut pas subir de lien de subordination dans ses relations professionnelles et aime être maître de son organisation, de ses mouvements et de ses décisions.

L’entrepreneuriat est dans son ADN : il aime se former, itérer, pivoter et n’hésite pas à prendre des décisions majeures pour faire évoluer son entreprise. Sa vision à long terme de son business lui permet d’investir dans sa boite comme un vrai chef d’entreprise et n’hésitera pas à se former, car il sait qu’il aura un retour sur investissement.

Il ne prend pas de décisions en fonction de sa trésorerie actuelle mais à l’aune de la vision de son projet à long terme. Il est ainsi motivé par des objectifs fixés et une stabilité économique à court terme.

Si tu me connais, tu sais que je fais partie de cette deuxième catégorie de freelances. L’inadéquation entre ma vision de l’entrepreneuriat et l’opportunité de Cdi m’a amenée à prendre une décision que je qualifierais de courageuse.

 

Le CDI est-il compatible avec tes objectifs à long terme ?

 

Le personal branding et le salariat : deux réalités difficilement conciliables

 

Quand je me suis lancée en freelance, je me suis rapidement fixé des objectifs de notoriété ainsi que des objectifs financiers. 

En terme de notoriété, j’ai choisi de mettre en place une stratégie de Personal Branding.

J’ai ainsi voulu faire de ma marque personnelle un véritable outil de différenciation.

J’ai donc travaillé sur mon histoire, mes valeurs et développé un style de copywriting (écriture) qui m’est propre afin de créer une relation de proximité avec mon audience. C’est cette stratégie qui m’a permis de générer un flux de clients régulier sans avoir à démarcher.

Ma stratégie de contenu m’a ainsi permis de vivre de mon activité en trois mois.

Aujourd’hui, accepter un CDI m’amènerait à faire une croix sur le développement de ma marque personnelle, car je serais une salariée noyée dans l’identité d’une entreprise plus grosse que moi et il ne me serait pas facile de communiquer librement sur mon activité entrepreneuriale en parallèle. Je me serais sentie bridée dans ma communication. Par ailleurs, si ton employeur te propose de signer une clause d’exclusivité, il te sera difficile de travailler en parallèle avec d’autres clients.

Certes, il est possible d’exprimer ta singularité en tant que salariée…MAIS, ce n’est pas toi à qui les clients vont acheter, mais à l’entreprise dans laquelle tu travailles.

Tu deviens remplaçable et n’apportes pas une valeur unique. 

Ta vision à long terme de ton activité est-elle en adéquation avec un CDI à plein temps ?

J’ai d’abord eu une vision à un an de mon business. mais rapidement, j’ai compris qu’il fallait voir plus loin, sur quelques années. J’ai donc développé une vision à long terme de mon activité :

C’est cette vision qui m’a permis de prendre des décisions en fonction de mes objectifs de demain et non de ma situation financière d’aujourd’hui.

A long terme, je veux développer un chiffre d’affaires conséquent, mais surtout devenir encore meilleure en me formant davantage. De cette manière, je pourrai apporter beaucoup plus de valeur à mon audience et à mes clients.

En acceptant un CDI, ma valeur serait confondue avec celle de mon entreprise. Que je travaille une heure, cinq heures ou une journée, la valeur de ce que j’apporte est la même. Les clients ont payé un forfait, ils ont donc le droit à autant d’assistance qu’ils le veulent. Ma motivation en prend donc un coup.

D’autre part, un CDI garantie un revenu fixe peu importante la quantité d’effort fournie et la valeur apportée. Par conséquent, il m’est difficile de trouver la motivation pour travailler plus (ou mieux) quand je sais que ma rémunération restera inchangée.

En restant freelance, je peux mettre en place des process pour optimiser mon temps et ma productivité tout en gagnant plus d’argent.

Comment ?

  • En automatisant des tâches rébarbatives (les publications sur les réseaux sociaux, les prises de rendez-vous)
  • En investissant dans des formations (pour monter en compétences et apporter ensuite une valeur supplémentaire à mes clients)
  • En mettant fin au rapport “temps/argent” et en instaurant un nouveau deal : valeur apportée/argent
  • Et en délégant des missions techniques (WordPress, SEO…)

Grâce à l’ensemble de ces process, je deviens un freelance « haut de gamme » , le freelance de type « entrepreneur » qui sait exactement où il va.

Et toi, sais-tu où tu vas ?

L’entrepreneuriat : certes, une prise de risque mais une mine d’or pour monter en compétences 

Je n’ai jamais autant expérimenté et appris qu’en étant entrepreneure. Pourquoi ?

Parce que je suis dans un état de stress permanent : je teste et j’apprends au fur et à mesure que des opportunités se présentent à moi : au niveau de mes tarifs, au niveau de mes offres, au niveau de ma méthode mais également au niveau de ma relation clients. Je ne suis pas dans une zone de confort, ce qui m’oblige à faire beaucoup plus attention aux conséquences de mes actions.

C’est ce contact en permanence avec le terrain qui me permet d’apprendre et de conseiller au mieux les entrepreneurs que je coach car mes compétences et mes connaissances sont sans cesse actualisées (en plus du fait que je me forme très régulièrement).

 

Conclusion 

Dans ta vie de freelance, des perches vont t’être tendues. Tu peux certes les saisir, mais toutes ne sont pas bonnes à prendre. Lorsqu’une opportunité se présente à toi, pose toi la question de la compatibilité de cette opportunité avec tes objectifs. Quelle vie veux-tu vraiment ? Quelle est ta situation actuelle ? Quels sont tes projets pour les prochains mois ? C’est à l’aune de ces projets personnels que tu pourras prendre la décisions la plus adaptée pour que tu restes aligné avec tes valeurs et ta vision entrepreneuriale (ou de ton avenir professionnel)

Si tu veux devenir un freelance de type « entrepreneur », tu peux t ‘abonner à mon mailing et recevoir des conseils pratiques pour vivre (bien) de ton activité, mais surtout adopter un style de vie qui te correspond.

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

 

 

 

 

Comment construire son offre de services et fixer ses tarifs?

Construire son offre de services et de définir ses tarifs en tant que freelance est incontournable quand on se lance dans l’entrepreneuriat. Elle est la troisième étape après la définition de sa cible et l’étude de marché. Cette question de l’offre commerciale est revenue chez plusieurs de mes clients récemment, c’est pourquoi j’ai voulu traiter ce sujet aujourd’hui. Comment construire son offre de service et fixer tes tarifs ? On en parle juste en dessous.

Comment construire une offre de services claire ?

Ton offre de services, ou offre commerciale, ce sont les services que tu vas proposer à ta clientèle.
Que tu vendes des services ou des produits, les questions restent les même :

– Qu’est-ce que tu vends ?
– A qui ?
– A quel prix ?

Ces questions paraissent simples aux premiers abords, mais il n’est pas toujours aisé de faire ressortir une offre claire.

Si tu te lances, je te conseille de proposer quelque chose de simple, que tu maîtrises. La complexité pourra venir plus tard.

Si tu es coach, commence pas des offres de coaching. La formation en ligne viendra plus tard quand tu auras une communauté.

Si tu es rédacteur web ou copywriter, commence par te sentir à l’aise avec la rédaction et ensuite, tu pourras proposer de la stratégie éditoriale.

Comment définir les bons tarifs ?

 


La question des tarifs revient souvent chez les freelances.

Dans un premier temps, définis ton tarif jour en t’inspirant des tarifs moyens de tes concurrents en fonction de leur niveau d’expérience.

Fais la même démarche avec ton tarif horaire (le coût horaire d’une prestation vendue à l’heure sera souvent plus élevé que le coût horaire d’une prestation vendue à la journée).

Maintenant, essaye d’estimer le volume de travail que te prendrait l’une des prestations que tu proposes : combien de temps prend le design d’un logo ? La rédaction d’un article ? La mise en place d’une stratégie sociale média ?

?Si un logo te prend 7 heures de travail et que tu as un Taux Journalier Moyen (TJM) de 400 euros. Un logo = 400 euros.

Faut-il afficher tes tarifs sur ton site web ?

Tout dépend de ton métier. Chez les consultants, coachs et freelances créatifs, on ne les affiche pas. Pourquoi ? Pour ne pas bloquer le potentiel échange entre prospects et freelances. Un tarif élevé affiché  peut-être rédhibitoire pour un prospect. En revanche, le même tarif enrobé d’une explication de vive voix par le freelance de la valeur apportée grâce à cette prestation peut changer la donne. Le marketing et la vente relèvent de l’émotionnel. Sans échange direct avec ton prospect, tu ne pourras que difficilement lui vendre tes services.

Tarification au forfait, au temps passé ou au résultat ? 

offre de services

La facturation au temps passé est tout simplement la facturation à l’heure ou à la journée : le mode de facturation le plus basique. Elle est judicieuse pour le client si ton tarif horaire n’est pas très élevé. Elle est judicieuse pour toi si tu estimes la durée de la mission à quelques heures maximum.

Lorsqu’un client te propose de réaliser une prestation régulière (ou encore que tu estimes à plus de deux jours de travail la mission en question), il peut être intéressant (principalement pour le client) de partir sur un facturation au forfait :

Au lieu de facturer 5 jours à 400 euros qui ferait 2000 euros, tu peux proposer à un client retissant, un forfait à 1500 euros qui comprend un certain nombre de points que vous aurez vu ensemble. L’idée du forfait, c’est de partir sur un accord gagnant-gagnant.

Une garantie de revenu pour toi, peut importe le résultat (et le temps passé), un montant encadré pour le client.

La facturation au forfait te permet ainsi d’inclure un certain nombre de prestations dans le forfait, peut importe le temps passé sur la mission.

La facturation au forfait est avantageuse…si tu travailles vite ?

La facturation au résultat te permet de sortir du rapport temps/argent en instaurant une prestation basée sur le résultat.

Tu te fixes un objectif avec ton client sur une durée de temps que vous estimez ensemble. Tu factures la valeur apportée au client pour atteindre son objectif.

 

Concrètement par quoi commencer pour construire ton offre de services ?

offre de services

Par des prestations personnalisées !

Tu peux certes rédiger tes offres de services sur ton site web mais ce n’est pas ça qui va pousser ton client à acheter tes prestations !

Ce qui va faciliter la vente, c’est l’échange direct avec ton prospect, par téléphone ou de visu :

– Rassure-le
– Propose-lui une offre sur mesure adaptée à ses besoins
– Sois réactif à ses messages

Quand tu auras pris la main, et que tu seras plus à l’aise avec ce que tu proposes, tu pourras proposer tes prestations plus standardisées.

Tu vas te tromper au début, dans tous les cas ! 

▪ N’ai pas peur de proposer un tarif un peu trop élevé.
▪ N’ai pas peur de proposer des choses que tu n’as pas encore faites (dans la mesure du réalisable)
▪ N’ai pas peur de te planter parce que de toute façon tu vas te tromper !

▪ Personne ne peut évaluer le temps que prendra une prestation s’il n’a jamais réalisé cette prestation au moins une fois !
▪ Personne ne peut prévoir qu’un client sera pénible
▪ Personne ne peut prévoir des aléas inattendus sur un projet

Donc plante-toi, remets-toi en question et avance. 

J’ai mis plus d’un an à construire des offres claires mais il aura fallu que j’en passe par des erreurs pour en arriver là. Et ce que je propose aujourd’hui peut encore changer demain ! ?

Donc lance-toi, test, évalue la pertinence des offres et continue.
Et n’oublie pas d’augmenter tes tarifs régulièrement parce qu’avec le temps, tu prends de la valeur…et tu payes des charges ?

 

Conclusion

Définir son offre de service et fixer ses prix est une étape indispensable mais difficile en début d’activité. Quand on manque d’expérience et qu’on sous-estime sa valeur, trouver l’offre adéquat au prix juste n’est pas chose aisée. Mais une offre, ça se modifie tout comme un prix. Tu peux donc expérimenter, itérer et te tromper. Tu es entrepreneur,  tout ce que tu fais n’est jamais vraiment gravé 😉

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

 

offre de services

Les 10 erreurs d’entrepreneur que j’ai commises en 2018

2019 est là. Le petit monde de l’entrepreneuriat a fait son bilan et a exposé ses projections pour 2019. Et je n’ai pas échappé à la règle. Comme de nombreux entrepreneurs, j’ai mis en place une stratégie avec des objectifs ambitieux à la clé. Comme de nombreux entrepreneurs, j’ai tiré les leçons de mes erreurs et je compte les partager avec toi. Pourquoi ? D’abord parce que je souhaite que 2019 soit l’année de la transparence, et ensuite parce que je ne veux pas que tu les comettes à ton tour ! Tu es prêt ? C’est parti, je te dis tout ! Voici donc les 10 erreurs d’entrepreneur que j’ai commises en 2018.

Erreur n°1 : ne pas avoir de vision entrepreneuriale

Ce n’est que fin 2018 que je me suis vraiment posée pour me questionner sur mon entreprise : comment vois-je mon entreprise dans quelques années ? Qu’ai-je envie que l’on retienne de moi dans 10 ans ? Quels sont mes objectifs financiers ? Quels sont mes objectifs de vie ?

Ces questions introspectives sont essentielles pour avancer dans son business, tout comme dans la vie. Et pourtant je ne m’étais jamais donné le temps d’y réfléchir.

J’ai construit mon activité entrepreneuriale sur le tas et dans la précipitation, sans vision de mon activité, et sans objectifs particuliers si ce n’est d’en vivre. Or vivre de son activité, c’est bien. Mais ce n’est pas suffisant à long terme pour être épanoui dans sa vie.

Ce qu’il faut c’est :

  • Des objectifs financiers ambitieux
  • Des objectifs de notoriété
  • Des objectifs de qualité de vie

Rajoutons à cela, des limites de temps et des résultats quantifiables.

Sur ce point, je n’y étais pas. Je me focalisais sur mon chiffre d’affaires mensuel, sans m’être demandé ce que je voulais pour moi à long terme, ni pour mon entreprise.

En 2019, j’ai des objectifs précis et ambitieux, un plan d’action, et un entourage stimulant pour rester motivée!  

Erreur n°2 :  me reposer sur mes lauriers

Mi-2018, j’ai commencé à travailler avec un très bon client qui me proposait une mission stimulante avec rémunération intéressante à l’appui.

Le problème, c’est que pendant les trois premiers mois de cette missions, j’ai complètement délaissé mes autres activités : réseautage, contenus, partenariats…

En septembre, j’ai eu un éclair de lucidité en me disant que je ne voulais pas dépendre d’un client. J’ai donc réactivé ma communication. Mais l’entrepreneuriat n’est pas un moteur à essence mais bien du Diesel ! Il a fallu attendre quelques mois pour voir les résultats de mes nouveaux efforts.

Morale de l’histoire : être un entrepreneur libre c’est être un entrepreneur qui ne dépend pas d’un client !

En 2019, j’établis mes objectifs financiers sans prendre en compte le fait de travailler ou non avec un gros client. Un gros client rapporte de l’argent mais ne doit pas constituer la base d’un modèle économique. Une bonne stratégie doit être plus globale, et prendre en compte un business model basé sur des clients plus “classiques” mais identifiables venant d”une stratégie marketing pensée en amont : l’inbound marketing par exemple.

Erreur n°3 : parler au mauvais persona

J’ai longtemps pensé que je visais un public : les freelances.

Alors oui c’est vrai. Mais les freelances, c’est large ! J’ai donc dû prendre le temps de me poser et me demander : qui achète mes coachings ? Qui achète mes formations ?

Et là, j’ai établi plusieurs types de persona (ou cibles).

Je n’ai jamais compris l’exercice du persona théorique où l’on doit définir ses clients idéaux. J’ai donc préféré faire l’exercice après coup, avec plus d’expérience et de clients.

Il en est ressorti que j’avais plusieurs profils de clients MAIS rassemblés autour de deux choses : l’envie de réussir (et donc d’investir) ET un capital sympathie pour moi (personal branding).

En 2018, j’ai passé trop de temps à m’adresser à des curieux qui n’achèteraient pas mes services, même au prix le plus bradé.

En 2019, je m’adresse donc à ceux qui sont dans une dynamique positive et ambitieuse, tout comme moi ! On n’est bien la moyenne des gens qui nous entourent, non ?

Erreur n° 4 : brader les prix de mes formations en ligne

L’année dernière, j’ai lancé mes premières formations en ligne. Les retours de mes clients ont été positifs. En revanche, mon marketing l’était beaucoup moins.

Ayant peur de ne pas vendre, j’ai fait beaucoup de promotions qui pouvaient certes être justifiées, mais qui enlevaient une partie de la valeur de mes contenus payants. Je m’épuisais donc à communiquer sur un produit qui perdait de sa valeur perçue, alors que sa valeur réelle était forte (retours clients).

2019 sera donc basé sur la rareté et le regain de valeur perçue. De cette manière, seuls les plus motivés s’investiront.

Erreur n° 5 : avoir voulu être comme mes références

L’an passé, j’ai suivi un certain nombre d’entrepreneurs et étudiais leurs stratégies de marketing. Un problème s’est posé quand j’ai voulu calquer leur stratégie à ma situation. Ca ne marchait pas. Pourquoi ?

Parce que nous ne partions pas sur les mêmes bases : pour avoir une stratégie de marketing efficace, il faut d’une part être authentique (ce qui est difficile quand on s’inspire trop d’autres marketeurs), et d’autre part, adapter une stratégie à sa propre situation (qui était bien différente des marketeurs que je suivais).

Quand on a une petite audience comme moi, on ne peut pas appliquer une stratégie qui marche uniquement sur une grosse audience. Et ça, je l’ai réalisé fin 2018.

Cette année 2019, j’arrête de m’inspirer et j’agis selon mes propres règles.

Erreur n° 6 : ne pas avoir bien adapté ma communication à mes différents réseaux sociaux

En 2018, j’étais multicanal :  mailing, blog, réseaux sociaux. Mais ma communication n’était pas adaptée à ces différents réseaux qui ont chacun leurs éléments de langage.

Ma stratégie de contenu était un peu confuse : Mes contenus partaient de ma newsletter ou de mon blog : mais leur communication était souvent un copier-coller sur LinkedIn, Facebook et Twitter. Résultat, l’engagement sur ces réseaux était beaucoup trop faible. Quant à Instagram, j’ai mal suivi l’évolution de l’algorithme de ce réseau social en plein essor.

Aujourd’hui, mes publications sont différenciées sur ces différents réseaux sociaux et mon engagement est beaucoup plus fort (surtout sur Linkedin et Instagram).

Erreur n°7 : être victime du syndrome du FOMO

Trop de sources d’inspiration, trop de sollicitations : j’étais victime du syndrome du FOMO (Fear Of Missing Out). Mon téléphone vibrait en permanence, les notifications rouges m’agressaient au quotidien, ma boite mail était une bombe à retardement et mon budget formation a explosé.

Je pensais que tout était bon à prendre. Alors que non ! Avec un objectif et une stratégie plus claire, j’aurais arrêté de suivre autant d’entrepreneurs et j’aurais suivi les sources d’inspiration qui me conduisaient vers mon objectif principal.

Aujourd’hui, j’ai coupé presque toutes mes notifications, je me suis désabonnée à un certain nombre de newsletters, et j’ai choisi de me faire coacher sur des points spécifiques plutôt qu’acheter des formations qui me promettaient monts et merveilles.

Erreur n° 8 : être focus sur mes chiffres au lieu de consolider les bases

Avoir des objectifs ambitieux, c’est bien. Mais pour y arriver, il faut d’abord consolider les bases. Et ça, je m’en suis rendue compte un peu tard en 2018 :

  • Mon SEO n’était pas au point
  • Ma stratégie de communication était un peu bancale
  • Mon audience nouvelle (je venais de changer ma ligne éditoriale)

Mais l’excitation de faire des ventes en ligne a pris le dessus sur ma rationalité.

Le problème, c’est que cette énergie n’est pas bonne et elle évoque principalement un sentiment de manque. C’est d’ailleurs le développement personnel qui m’a fait comprendre qu’à force de trop demander, on n’a pas, car c’est le lâcher-prise qui véhicule des énergies positives.

Facile à dire hein ?

Et pourtant c’est vrai. Quand je suis frustrée par mes résultats à la virgule près : rien ne marche. Lorsque je laisse fleurir mon jardin entrepreneurial, tout pousse ! 🙂

Erreur n° 9 : avoir négligé les vrais outils de marketing

J’ai longtemps pensé que le marketing digital n’était pas mon truc. Et pourtant je l’enseigne. J’ai longtemps pensé que je pouvais faire sans. C’est vrai au début, quand on se lance. Mais pour passer à la vitesse supérieure, ces outils nous tirent vers le haut. Surtout quand on veut automatiser une partie de son business comme c’est mon cas.

Quand on se lance, on commence par :

  • Des contenus
  • Une communauté
  • Des canaux de communication

Quand on veut passer à la vitesse supérieure, on doit en passer par :

  • La publicité
  • Les tunnels de vente
  • Le référencement naturel avancé

Et en 2019, je fais le choix d’investir et d’avancer sur ces trois derniers points.

Erreur n° 10 : ne pas écouter mon corps

2018 a été une année fatigante, physiquement et mentalement. Physiquement parce que je me levais tôt, j’avais une activité physique et intellectuelle intense, et je suis partie voyager. Mentalement parce que je ne lâchais jamais prise.

Résultat : en novembre, mon corps m’a lâchée. Pendant 3 semaines, j’ai enchaîné fièvre, toux, migraine et manque d’énergie. Et c’est là que j’ai compris que pour continuer et tenir la distance, mes pauses seraient de véritables ressources : d’abord pour me reposer, et ensuite pour trouver de nouvelles idées. On n’avance pas sans prise de recul !

Cette année, je m’impose des pauses et je m’y tiens car je suis convaincue que c’est en lâchant prise et en me faisant confiance que je vais atteindre les résultats que je me souhaite ! 😀

 

Conclusion

Voici donc les dix erreurs d’entrepreneur que j’ai commises en 2018. Et je suis contente d’être tombée dedans car je ne comprends les choses qu’en les expérimentant. Je suis également contente d’avoir commis ces dix erreurs car maintenant, je sais comment avancer et je me suis donné les moyens d’aller bien plus loin. Et je souhaite pouvoir t’aider à éviter de perdre un an.

 

Si tu souhaites échanger sur ta stratégie et tes orientations pour 2019, je te propose qu’on s’appelle (c’est gratuit) et qu’on aille ensemble dans une bonne direction !

Freelance : 6 étapes pour passer à la vitesse supérieure !

Cela fait maintenant plus de deux ans que je coach des entrepreneurs de tous niveaux et profils. Au total, j’ai dû coacher plus de 500 entrepreneurs et parmi eux, je remarque que ceux qui réussissent à passer à la vitesse supérieure dans leur activité ont un point commun : le bon état d’esprit. Ce mindset, comme on l’appelle communément dans le jargon entrepreneurial, est ce qui leur permet de booster leur chiffre d’affaires mais surtout, de se mettre dans une disposition mentale qui leur permettra d’aller toujours plus loin. Et ce mindset, il se construit en six étapes pour passer à la vitesse supérieure et que je te résume dans cet article.

 

1- Forme-toi et investis

freelance vitesse supérieure

S’il y a bien une chose qui peut-être douloureuse chez un freelance, c’est la question de l’argent. Et oui, il est toujours plus agréable d’en recevoir que d’en donner ! Et pourtant, il faut que tu comprennes que l’argent que tu dépenses dans le cadre de ton activité entrepreneuriale n’est pas perdu mais investi.

  • Tu investis dans du matériel pour fournir un travail de qualité.
  • Tu investis dans des locaux pour travailler dans un environnement calme et stimulant.
  • Et tu investis dans des formations pour monter en compétence et devenir un meilleur freelance.

Et c’est sur ce dernier point que j’aimerais revenir.

J’ai investi plus de 2400 euros de formation et à chaque fois sans regret. Car à chaque formation, j’apprends et je mets en pratique de nouvelles stratégies que j’apprends à mon tour à mes clients. De cette manière, je monte en compétence, j’apporte plus de valeur aux freelances que je coach et je peux répercuter cette valeur ajoutée sur mes prix.

Tes compétences ne suffisent pas à faire de toi le meilleur freelance. Il te faut sans cesse les actualiser, mais surtout étudier et tester de nouvelles méthodes pour ne pas devenir obsolète dans le pire des cas, mais surtout, pour devenir le meilleur de ta thématique, dans le meilleur des cas !

Et c’est ton objectif principal car oui, le reste peut être délégué.

2- Délègue les tâches qui peuvent être réalisées par d’autres

freelance personal branding

Au fur et à mesure que tu vas avancer dans ton activité, tu vas te confronter à des tâches rébarbatives qui te prendront plusieurs heures de ton temps dans la semaine. Cumulées, ces tâches peuvent vite devenir chronophages.

Alors stop !

Regarde maintenant ton planning de la semaine.

Quelles sont les tâches dont l’exécution pourrait être réalisée par quelqu’un d’autre ?

  • Ton service client ?
  • La mise en page des articles de ton blog ?
  • La veille informative ?

Tu ne dois pas avoir la main sur tout !

Consacre ton précieux temps aux tâches dont ta présence est essentielle, qui peuvent être :

Ce à quoi tu es moins bon et ce à quoi tu n’es pas essentiel peuvent être délégué.

Encore une fois c’est un investissement mais rentable à moyen terme !

Le temps que tu ne passe plus à faire des choses où tu n’apportes que peu de valeur sera consacré à travailler sur ce à quoi tu excelles !

Et pour exceller, tu dois apporter de la valeur à ton audience.

3- Apporte une vraie valeur à ton audience !

entrepreneur mindset

Apporter de la valeur, tout le monde en parle. Mais c’est essentiel pour te démarquer dans la jungle concurrentielle de l’entrepreneuriat !

Pour apporter de la valeur à ton audience et la fidéliser, il faut que tu sois généreux avec elle en lui donnant ce qu’elle veut.

Et ce qu’elle veut dans un premier temps ce sont des petits conseils faciles à mettre en pratique, qui vont l’aider dans son quotidien.

En le faisant régulièrement, ton audience va se transformer en vrai fan et toi en vraie référence pour elle.

Alors tu te dis sûrement que si tu en donnes trop, elle ne t’achètera jamais rien.

Et bien si ! Car tu dois comprendre la différence essentielle entre le gratuit et le payant :

  • Le gratuit c’est un contenu simple, croustillant, dont les effets sont immédiats.
  • Dans tes contenus gratuits, tu montres ton expertise et tu aides tes clients régulièrement dans leur quotidien.
  • Dans tes contenus gratuits, tu poses des questions pour interpeller ton audience et tu lui donnes des pistes de réponses.

Le payant, c’est différent.

  • Tu fais payer la part de ton audience qui veut aller plus loin dans la mise en pratique des conseils que tu donnes en gratuit.
  • Tu la fais payer parce que tu vas lui donner une stratégie pour réussir et non des bouts de connaissances.
  • Tu la fais payer pour lui ouvrir les portes d’un système que tu as construit pour passer à la vitesse supérieure.
  • Et tu la fais payer pour l’accompagner personnellement dans ce processus.

Une fois que tu as distingué le gratuit du payant, tu peux t’attaquer à ton modèle économique !

4 – Construis un modèle économique pérenne

freelancing

Le freelance avancé n’a pas peur de ne pas avoir d’argent pour finir le mois. Il a dépassé ce stade. En revanche, ce qui l’inquiète est la pérennité de son modèle économique.

Il a certes des rentrées d’argent qui viennent de missions ponctuelles plus ou moins régulières. Mais, son objectif est de construire un modèle stable pour avoir une vision financière sur plusieurs mois voire plus.

Si tu es dans ce cas de figure, tu dois tester des modèles économiques pour ton activité :

  • SI tu factures à l’heure, tu peux t’essayer à la facturation au forfait, qui peut te donner une visibilité financière pour un mois ou plus.
  • Si tu factures déjà au forfait, tu peux tester la facturation à l’abonnement (avec ou sans engagement).
  • Si tu factures au temps passé, tu peux facturer au résultat ou à l’objectif : avec un abonnement mensuel illimité par exemple, tu te fixes un objectif à atteindre avec ton client: certes, tu ne comptes pas tes heures mais tu t’engages chaque mois à travailler sur l’objectif fixé et peut ainsi renouveler l’abonnement jusqu’à ce que l’objectif soit atteint.
  • Si tu fais du coaching, tu peux te lancer dans la formation en ligne.
  • Si tu vends des produits en boutique physique, tu peux développer un e-commerce.

Bien sûr, tu n’as pas de garantie que tout marchera rapidement, mais à moyen terme, tu auras déjà une vision financière pour ton activité. Et tu seras alors plus serein.

Et pour que ta vision financière soit ambitieuse, il faut que tu lèves les barrières mentales qui t’empêchent de voir plus grand !

5 – Sois ambitieux et dépasse tes barrières mentales

freelance business

C’est l’ambition qui te portera loin ! Facile à dire, je sais, mais c’est vrai.

Quand j’étais au lycée, ma prof de français de Terminal répétait toujours cette phrase : Qui vise 10 tombe à 8.

Si tu veux la moyenne, vise plus haut ! C’est en étant ambitieux que tu vas obtenir des résultats à la hauteur de tes attentes.

Quand je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, je n’espérais pas plus du pauvre salaire que j’avais en étant salariée (1600 euros).

Un peu plus tard, j’ai pris conscience que je pouvais arriver à 2000 euros, en travaillant efficacement. 2000 euros était donc devenu une somme mentalement acceptable pour moi.

Puis j’ai continué à travailler et à augmenter doucement mon tarif journalier, et un jour j’ai réussi à obtenir 3000 euros de CA mensuel.

Et là je me suis dis que 3000 euros était un revenu acceptable pour moi et ainsi de suite. Tu me suis ?

Peut-être que comme moi, tu te mets des barrières mentales et t’empêche de voir plus grand et d’imaginer gagner plus d’argent. Mais quand tu arrives pas à pas à déconstruire ces barrières, tu arrives à des résultats que tu n’aurais pas pu espérer quelques mois plus tôt.

Alors comment déconstruire ces barrières ?

En travaillant sur toi, mais aussi en lisant !

6 – Ouvre le champ des possibles en lisant

freelance blocage

J’ai toujours pensé que je n’aimais pas lire. Les lectures de classe prépa littéraire puis de science politique m’avaient vaccinée.

Puis, j’ai découvert cette année le développement personnel. Et là j’ai compris que la lecture ne se résumait pas aux romans.

Et maintenant, je lis du développement personnel pour travailler sur moi, mais également sur mon entreprise.

Et sur le plan entrepreneurial, la lecture va vraiment te permettre d’ouvrir le champs des possibles et casser les barrières mentales dont je te parlais précédemment.

La lecture va également te permettre de réaliser un travail introspectif sur toi pour te connaître et surtout, travailler sur ta vision entrepreneuriale.

Pourquoi t’es tu lancé dans ce projet ? Que vas-tu apporter au monde (sans prétention)?

C’est grâce à la lecture que j’ai compris que la personne que j’étais hier n’a aucune importance et que j’ai compris que je travaille dès aujourd’hui à la personne que je serai demain.

C’est grâce à la lecture que j’ai compris l’impact énorme qu’ont nos pensées sur notre succès. Et c’est d’ailleurs pour cela que je me suis lancée il y a quelques mois le défi : un mois de pensées positive.

Il faut que tu t’autorises à voir les choses en grand, et que tu casses ces barrières mentales qui te bloquent aujourd’hui.

Alors, que lis-tu ?

 

Conclusion

 

Ces six points répondent aux questionnements que tu te poses quand tu passes de freelance débutant à freelance avancé. C’est avec ces six étapes que tu passes à la vitesse supérieure de ton business. Et je veux continuer à t’accompagner dans ton évolution.

? Je lance très prochainement un programme de formation dont le nom est “Le déclic de l’entrepreneur”.
Le Déclic de l’entrepreneur, c’est une formation exclusive en groupe restreint. Pendant 5 semaines, je m’engage à débloquer le projet de 5 entrepreneurs sélectionnés minutieusement. 
Pour participer à la présélection, je te propose de remplir ce petit questionnaire (ça prend 5 minutes) pour mieux cerner ton profil et voir si je retiens ton nom pour cette première édition ?

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

Trois leçons de digital-nomadisme apprises en un mois

Cela fait maintenant quelques semaines que je suis rentrée de mon petit tour d’Europe centrale, et j’ai aujourd’hui envie de partager avec toi quelques enseignements de cette première expérience de digital nomadisme.

Mais rappelons d’abord le contexte : je suis partie 28 jours avec une amie entrepreneure (Charlotte) à la conquête de 8 villes européennes : Amsterdam, Berlin, Varsovie, Cracovie, Prague, Vienne, Bratislava, Budapest. Nous avons marché 322 kilomètres pour compenser l’absorption d’une certaine quantité de glucides.

C’est donc l’Europe centrale que nous avons choisi pour ce premier voyage. Première expérience de voyage avec Charlotte, première expérience de digital nomadisme et en fin de compte un bilan très positif ! Mais si c’était à refaire, je changerais quelques paramètres pour mieux profiter de cette période de digital nomadisme. Et ce sont ces leçons de digital nomadisme que je veux partager avec toi.

1 – Sois organisé tout en étant flexible

Partir à la conquête de l’Europe, c’est un très beau projet ! Il a d’ailleurs fait rêver un certain nombre de personnes de mon entourage. Mais ce rêve de liberté ne peut être réaliste sans un sens des responsabilités.

Le sens des responsabilité, nous l’avons toutes les deux ! Et heureusement, car c’est grâce à cela que nous avons pu conserver nos routines quotidiennes tout au long du voyage : séance d’abdo matinale, jogging et lecture pour moi (j’y ai même intégré l’écriture manuscrite;)).

Pas de problème de réveil, pas de problème d’organisation, ni d’auto-discipline chez nous !  Notre planning hebdomadaire était très cadré (sur le papier) : les mardis et les jeudis, nous devions travailler toute la journée, et le reste du temps, profiter du voyage et découvrir ces capitales européennes.

Dans les faits, notre organisation a légèrement changé. Nous avons rajouté petit à petit des heures de travail dans la semaine, avant et après les visites. S’ajoutent à cela des heures de train où nous en profitions pour travailler davantage.

En fin de compte, nous travaillions parfois jusqu’à 10 heures par jour ! On est donc bien loin du voyage idéal que nous avions organisé.

Les journées du mardi et du jeudi – nos seules journées de travail (en théorie)

Si pour certain, ce voyage aurait pu être l’occasion de se laisser aller et ralentir un peu la cadence, chez nous, c’était totalement l’inverse !

Pourquoi cette boulimie du travail ?

  • Par culpabilisation de ne pas avoir travaillé assez sur deux jours
  • Parce que nous préparions toute les deux un lancement de formation à cette même période (mauvais timing)
  • Par difficulté à lâcher complètement prise sur le travail

Et cette dernière raison est capitale pour garder de l’énergie et tenir le grand marathon de l’entrepreneuriat !

2 – Respire et lâche prise pour ne pas t’épuiser

Les jours de visite étaient officiellement nos jours off, mais n’étaient pas pour autant de tout repos. En un mois, nous avons marché plus de 300 km. Pourquoi ? Il nous a semblé plus simple de marcher une heure dans une ville que comprendre un plan de métro en allemand.

On a donc décidé de faire fonctionner notre podomètre, jusqu’à là basé sur une moyenne de 5 km quotidiens à Paris (grand maximum).

Mais marcher, c’est aussi sentir une ville et la découvrir comme un local. En prenant le train et en marchant, nous nous sentions vraiment en immersion (sans pour autant sociabiliser, mais je reviendrais sur ce point). Les transports en commun n’auraient pas forcément permis ce sentiment. Et par ailleurs, la marche compensait les gros gâteaux que nos estomacs ont supportés tout au long du voyage.

Mais nous aurions dû apprendre à lâcher prise.

Sieste à Varsovie

Lâcher prise, qu’est-ce que ça veut dire ?

  • Se tenir à un nombre maximal d’heures de travail par jour
  • Remplacer une partie du temps de travail par de la lecture ou de l’écriture
  • Se mettre un peu plus en mode avion (j’ai intégré cette habitude à mon retour en France)

La déconnexion, c’est très dur quand on n’a pas de cadre comme un salarié pourrait l’avoir. Quand on est entrepreneur, on fixe son propre cadre. Et plus tes objectifs sont ambitieux, plus tu ajoutes des heures de travail supplémentaires à ton emploi du temps.  

Mais on oublie beaucoup que le burnout n’est pas une spécificité des salariés. Quand on est entrepreneur, la pression est extrêmement forte : si tu ne fais rien, tu n’as rien à la fin du mois. La pression ne vient donc pas d’un patron mais d’un engagement envers toi-même, qui est selon moi, beaucoup plus forte.

En se levant entre 6h30 et 7h00 du matin, en se couchant vers minuit, en ayant passé la journée à marche plus de 15km ou travaillé 10 heure (au choix), il est difficile de tenir le rythme.

Si nous étions parties plus d’un mois, nous aurions certes relâché la cadence et nous aurions eu raison ! 😉

3 – Profite d’une immersion totale pour faire des rencontres 

L’un des regrets que nous avons eu et de ne pas avoir assez sociabilisé avec la population locale (ou non locale) dans chacune des villes dans lesquelles nous avons séjourné.

En nous entendant très bien et en parlant la même langue, il nous était plus facile de rester entre nous. Mais avec le recul, je pense qu’il aurait été intéressant et enrichissant sur le plan humain de rencontrer plus de monde.

Bus direction Prague !

Mais à notre décharge, quelques raisons explique notre insociabilité :

  • Nos logements n’étaient pas toujours proches du centre
  • Notre fatigue quotidienne nous prenait beaucoup d’énergie

A tout digital nomad qui souhaite partir à la conquête du monde, je recommanderais donc les choses suivantes :

  • Trouver un logement dans le centre-ville
  • Travailler dans des espace de coworking ou cafés
  • Rechercher des événements où se rendre en soirée

Nous étions tellement fatiguées que sortir tard nous semblait être une épreuve. Notre organisation a donc eu un impact négatif sur notre vie sociale (en revanche, on aura appris à se connaître par coeur).

Moment chill à Cracovie !

Si toi, digital nomad, tu décides de partir à l’aventure, je t’invite fortement à prévoir des moments de socialisation dans ton aventure entrepreneuriale 🙂

Mais ne me méprends pas, j’ai passé 4 semaines très agréables en compagnie de Charlotte à la découverte de l’Europe.

Nous avons compensé notre absence de vie sociale par :

  • Des moments de fou rire
  • Des expériences insolites
  • Du coaching croisé

On n’a pas tout perdu au change 😉

Conclusion

Si je souligne ici les trois enseignements de ma première expérience de digital nomadisme, je reste tout de même très satisfaite de cette aventure. J’ai choisi de mettre en avant les axes d’amélioration en vue de mon prochain voyage, et en vue du tien 🙂

Aujourd’hui, je sais comment se déroulera ma prochaine expérience, mais surtout, j’ai les ressources pour améliorer mon quotidien d’entrepreneure parisienne ! J’ai en effet appris à mettre en place de nouvelles routines dans mon voyage que j’applique aujourd’hui et qui me sont bénéfique. Mes lectures de voyage et mon initiation au développement personnel m’ont également appris à mieux me connaitre et à mieux vivre ma vie d’entrepreneure.

Aujourd’hui, j’ai 28 ans, une vision entrepreneuriale, des objectifs, et je sais que j’ai besoin d’aventures et de lâcher-prise pour me sentir pleinement épanouie dans ce que je fais.

Et toi, quels enseignements tires-tu de ton expérience de digital nomadisme ?

 

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on parle entrepreunariat ?

 

L’heure du bilan : trois choses à retenir d’un an d’entrepreneuriat

Cette semaine, je conclus ma première année d’entrepreneuriat : le 19 juillet dernier, je quittais mon emploi salarié pour me lancer dans le grand bain. Il y a bien mille enseignements que je pourrais tirer de cette belle et expérimentale année, mais j’ai décidé dete restituer les trois principaux.

I –   Sois à 200 % pendant ta année de lancement

leçons entrepreneuriat

La première année, c’est une année test, c’est pourquoi tu dois tout donner. Concrètement, ça veut dire quoi ? Il faut envoyer du pâté !

Comment ? En affirmant ta présence digitale, en te faisant un nom dans ton domaine d’activité, et en travaillant ton storytelling !

Pendant un an, j’ai coaché des entrepreneurs, et j’ai fait le constat de trois blocages qui les empêchent de passer le cap de la première année :

  • Un manque de disponibilité
  • Un manque d’ambition  
  • Un manque d’organisation

Laisse-moi revenir sur chacun de ces trois points :

  • La disponibilité, qu’est-ce que c’est ?

C’est le fait de choisir de faire passer son entreprise avant tout. On ne peut pas être disponible quand on est balancé entre entrepreneuriat et salariat, quand on a des soucis familiaux trop proéminents, quand on n’a pas les ressources financières nécessaires à son lancement.

Entreprendre demande d’avoir énormément d’énergie sur le long terme. Si cette énergie est court-circuitée par des facteurs externes, difficile de se lancer dans les bonnes conditions.

  • Élève-toi avec des objectifs ambitieux !

Pour cela, pose-toi les bonnes questions : combien veux-tu gagner par mois ? Comment vas-tu affirmer ta marque personnelle dans un milieu ultra concurrentiel ?

Tu dois apprendre à sortir de l’ombre pour raisonner comme un entrepreneur. Ce n’est que de cette manière que tu pourras connaître le succès dont tu rêves.

Pourquoi est-ce que j’insiste sur l’importance de se fixer des objectifs ambitieux ? Parce que sans cette stimulation entrepreneuriale, impossible de sortir de la médiocrité. Alors certes, on survit, mais est-ce vraiment un choix de vie ?

  • Tu penses être organisé ?

Qu’as-tu fait de ta journée ? De ta semaine ?

Listez les éléments qui te parasitent et réduis-les, revois ton planning de la semaine avec rigueur et réalisme : combien de temps te donnes-tu pour telle tâche ? Quelle place t’accordes-tu pour du temps libre, repos ou activités non entrepreneuriales ? Tout doit rentrer en compte pour que tu sois le maître du temps ! L’organisation est une compétence indispensable quand on est freelance.

II – Saisis les opportunités pour faire évoluer ton activité

leçon entrepreneuriat

Une opportunité, c’est quoi ?

Une possibilité de tester quelque chose de nouveau pour ton activité.

Je m’explique : on te proposera des missions pour lesquelles tu n’as jamais réalisé de prestations par le passé. Tu te sens illégitime, et le syndrome de l’imposteur (qui ne t’a jamais quitté) refait surface.

Pour savoir si l’opportunité est à saisir ou non, poses-toi les questions suivantes :

  • La mission me paraît-elle “simplement” difficile OU impossible ?
  • Mon intuition me dit-elle d’y aller ?
  • L’évolution de mon activité dépend-t-elle de ce type de mission ?

A partir des réponses que tu fourniras à ces questions, il te sera plus facile de savoir si tel événement est une opportunité ou un “piège”.

Si ton intuition vous dit d’y aller, adopte le vieil adage “fake it until you make it”. Après tout, personne n’a besoin de savoir que c’est ta première fois !

Si tu as besoin d’aide, sous-traite, fais-toi aider, mais ne refuse pas une opportunité qui peut te faire évoluer 😉

Les opportunités m’ont permis de passer d’exécutante, à consultante puis à coach. J’ai énormément appris, monté en compétences, et mon syndrome de l’imposteur a été un réel moteur pour me surpasser. Il y a un an, je n’aurais jamais imaginé que je serai arrivée jusqu’ici aujourd’hui.

Mes seuls regrets étaient lorsque je n’étais pas alignée. 

III – Reste aligné pour garder ta cohérence

leçon entrepreneuriat

J’ai toujours pensé que l’alignement était un concept de développement personnel flou et loin de mes préoccupations. Et pourtant, il m’a vite rattrapé.

Être aligné, ça veut dire quoi ? Etre en cohérence avec toi-même dans tes actions, pour transmettre suffisamment d’énergie lors de ta communication.

Si tu n’es pas raccord avec ce que tu fais, on le sentira, et on le verra. Entreprendre ce n’est pas seulement faire du chiffre d’affaires, mais construire un projet de long terme cohérent.

Il m’est arrivée à plusieurs reprises de ne pas être alignée avec ce que je faisais : lors de missions, à l’occasion d’animation d’événements, dans des projets associatifs…et dans ces cas concrets, impossible de mettre de l’énergie dans ce que j’entreprends.

Aujourd’hui, je ne veux plus me retrouver dans ce genre de situation. Si je ne suis pas en cohérence avec moi-même dans un projet, je ne vais pas plus loin et stoppe net.

J’ai finalement compris ce qu’était la quête de sens, qui va bien au delà de la recherche d’impact positif (pour la société ou la planète). Ce qui fait sens pour moi aujourd’hui n’est plus ce qui faisait sens pour moi il y a un an.

Si je m’écoute, je vois que je me lève le matin, heureuse et motivée, pour coacher des entrepreneurs dans leurs projets, et les aider à surmonter leurs difficultés quotidiennes.

Ma quête de sens est l’éducation et la recherche d’une meilleure pédagogie pour accompagner les entrepreneurs d’aujourd’hui mais également de demain.

 

Il y a plus de 3 leçons d’entrepreneuriat que je tire de cette première année, mais ce sont bien celles-ci qui ont guidé mon projet et son évolution. Si tu souhaites toi aussi te fixer des objectifs claires et atteignables, je te propose d’en parler de vive voix

De Community Manager à Coach pour entrepreneurs : comment l’entrepreneuriat m’a permis de switcher rapidement sans diplômes

Juillet 2017 : je décide de quitter mon emploi salarié pour me lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Suite logique de mon dernier poste de chargée de communication, je me lance comme Community Manager en freelance.

Juin 2018, presque un an plus tard, je me retrouve coach pour entrepreneurs du digital.

En un an, je suis passée de coachée à coach. En un an, j’ai pu créer des passerelles dans l’écosystème entrepreneurial où tout peut devenir possible. Comment ai-je pu switcher si vite sans prérequis ? Je vous dis tout ci-dessous 🙂

 

Je me lance comme Community Manager… en me formant sur le tas

 

yéza lucas community manager

Je n’ai pas fait d’études en communication. Et pourtant c’est bien un poste de chargée de communication que je décide de quitter fin 2017. Un poste où je me suis auto-formée aux outils et pratiques du social media. Je lis, je bricole et en tire des conclusions.

Certes, ce n’était pas suffisant pour me dire professionnelle des réseaux sociaux, mais je me lance malgré tout en freelance comme Community Manager. Fake it until you make it était devenu mon crédo. Mes rencontres avec des Community Managers indépendants et expérimentés m’ont permis d’affirmer mes tarifs, définir mon offre et mieux gérer mes relations clients.

Car oui, en plus de devoir lutter contre le syndrome de l’imposteur du Community Manager, j’ai du aussi apprendre à devenir un entrepreneur : Urssaf, Accre, comptabilité et aux joies de l’entrepreneuriat. Le défi était donc double !

C’est de mes relations clients que j’ai le plus appris car, même si c’est une évidence, la pratique vaut 1000 théories : gérer les rapports humains d’une mission, accepter des missions sans vraiment maitriser les compétences demandées et se surpasser pour être au niveau….tous ces éléments m’ont fait monter en compétence plus que si j’avais été formée dans une école de Community Management (qui existaient d’ailleurs à peine au moment de mes études).

De l’opérationnel, je passe à l’accompagnement stratégique…et commence à affirmer ma valeur ajoutée.

consultante communication digitale yeza lucas

Cette montée en compétence m’a fait passer du Community management au Consulting en Social Media. Après quelques mois de Community Management opérationnel, je décide de proposer une approche plus stratégique à mes clients : leur apporter plus de valeur ajoutée en leur proposant des stratégies social média et en les accompagnant dans le développement de leur présence digitale. Mieux rémunérées, ces missions étaient également moins rébarbatives et plus stimulantes. Me voilà donc consultante en communication digitale.

Mon objectif en tant que consultante est d’accompagner mes clients sur la stratégie en déléguant au maximum les tâches opérationnelles que je ne souhaitais plus réaliser. Je déléguais également les missions à trop petit budget. L’avantage de déléguer ? Mon prospect/client ne se retrouve pas seul, et moi j’affirme ma valeur comme consultante à la fois plus chère, et disposant d’un réseau suffisamment conséquent pour déléguer rapidement.

Pour sans cesse monter en compétences, je décide de créer mon propre collectif de professionnels de la communication digitale avec CM for Good. Que fait concrètement le collectif ? Il propose des réunions thématiques bi-mensuelles pour aider les membres à répondre à leurs problématiques actuelles. Le collectif produit également des contenus réguliers sur le social media pour affirmer l’expertise de ses membres. Chaque membre apporte sa patte au collectif et la fusion de ces différents profils en fait une communauté forte qui se renouvelle sans cesse.

Le consulting social media m’a également fait prendre conscience d’un besoin. Celui de l’accompagnement personnalisé, et du besoin pour mes clients d’être autonome. C’est comme cela que j’ai construit mon offre de coaching entrepreneurial.

 

J’identifie un fort besoin en coaching et entame un switch à fort impact entrepreneurial

coach personal branding yéza lucas

C’est d’abord en aidant mes amis entrepreneurs gracieusement (et oui, on ne fait pas payer les amis paraît-il) que je me suis rendue compte du vrai besoin d’accompagnement d’entrepreneurs freelances. Egalement cofondatrice d’une communauté de freelances, je réalisais régulièrement des vidéos de questions/réponses pour aider les membres à régler leurs problématiques entrepreneuriales. Avec une première cliente issue de ces vidéos, je me suis décidée à construire une offre de coaching en Personal Branding à destination de freelances et startups.

Le coaching est je pense une vraie vocation chez moi : le one to one entre un coach et un élève est une chose que j’ai commencé à pratiquer durant mes études en proposant du soutient scolaire en anglais en présentiel mais également par skype. La gratification directe que l’on reçoit de son élève n’a pas de prix pour moi.

Le coaching me permet d’ailleurs d’augmenter mes tarifs car la valeur d’un coaching personnalisé est une valeur inestimable pour un élève (comme pour un client). Je travaille donc moins en apportant plus de valeurs et en recevant une meilleure rémunération que mes activités de consulting. What else ?

N’ayant jamais pensé à l’époque de faire du coaching mon métier, je renoue avec mes anciens jobs étudiants. Je réussis après quelques mois à me défaire du syndrome de l’imposteur causé par la pression exercée sur les coachs pour être certifiés. Je réalise que je n’ai pas besoin d’être certifiée pour être pédagogue. J’abandonne l’idée et lui préfère les témoignages clients comme preuve sociale.

Je finis par monter d’un cran en rejoignant l’équipe des Mentors chez LiveMentor où je deviens coach plus généraliste pour entrepreneurs. Je ne me limite plus au Personal Branding et je dois pouvoir répondre à tout type de besoins liés au digital. Pourquoi LiveMentor m’a choisi ? Parce que la pédagogie LiveMentor invite tous les mentors à être interchangeable et égaux en matière de compétences. Ce qui fait un bon coach ce n’est pas ses connaissances, mais sa capacité à être un bon pédagogue, en faisant d’un cas particulier un exemple pour tous.

Aujourd’hui je veux continuer à monter en compétences même en tant que coach. C’est pourquoi apprendre de mes élèves va me permettre de ne pas rester dans ma zone de confort et stagner intellectuellement.

 

Entre juillet 2017 et juin 2018, j’ai pris énormément de valeur grâce aux switchs que permet l’entrepreneuriat. Je me suis formée sur le tas, j’ai saisi des opportunités et n’ai pas rencontré de barrières liées à mes diplômes car dans ce écosystème entrepreneurial, on ne regarde pas les CV mais les références et avis clients ! L’entrepreneuriat est le meilleur diplôme pour montrer en compétences et faire entendre son nom grâce au Personal Branding. Peu importe que vous finissiez entrepreneur ou non, cette expérience sera votre meilleure expérience professionnelle. Et si toi aussi, tu saisissais l’occasion pour switcher ?

Tu as trouvé ces conseils utiles ? Je te propose de recevoir mes conseils hebdomadaires en rejoignant mon mailing privé (gratuit) dans lequel tu vas recevoir des contenus inspirants mais aussi pratiques pour passer à la vitesse supérieure de ton activité. Une fois inscrit, tu bénéficies d’un premier coaching par mail.

?Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle ?

 

Le Personal Branding pour les freelances slasheurs

Slasheur, multipotentiel, scanner, zèbre…tous ces termes très en vogue traduisent une réalité concrète chez les freelances : la difficulté de choisir une voie. Faire un choix est souvent perçu comme un enfermement, particulièrement pour ces profils atypiques que tout intéresse.

Si tu te reconnais dans l’appellation slasheur, tu dois retenir une chose : il te faut travailler ton Personal Branding et ta communication pour être compris ! Et ce n’est pas chose aisée.

Dans cet article, tu vas apprendre à véhiculer un message clair pour t’épanouir dans tes diverses activités tout en étant compris par tes prospects.

 

Qui est slasheur ?

 

Tiphaine Vidal – Slasheuse assumée de l’ESS

Les slasheurs sont des personnes qui exercent plusieurs activités professionnelles par choix. Un étudiant travaillant à Starbucks le week-end n’est donc pas un slasheur.

Concrètement, tu es slasheur si tu es  :

  • Un comédien / dirigeant d’agence de communication
  • Une prof de Yoga/ fundraiseur
  • Une coach/conférencière
  • Un consultant web/chauffeur de Uber

Tous ces exemples existent !

Pourquoi les avoir choisi ? Parce qu’ils ont su oser se lancer et développer diverses activités. Ils ont dessiné des métiers à leur image et assument de ne pas rentrer dans un cadre prédéfini pour eux. Aujourd’hui, ils gagnent leur vie et sont épanouis dans leurs différentes activités.

Tous les métiers sont slashables à condition de faire preuve d’une grande organisation et d’une redoutable élasticité cérébrale ! De plus, si  tu fais le choix du slashing, assure-toi que tes diverses activités soient « rentables » sinon tu vas perdre ton énergie sur des activités certes plaisantes mais chronophages compte tenu du temps investi.

Si tu refuses de faire des choix professionnels et que tu souhaites combiner plusieurs activités, tu vas devoir trouver un fil conducteur, une motivation interne entre ces différentes activités. C’est cela qui te permettra d’être clair avec ton propre storytelling !

 

Trouve le fil conducteur pour mieux communiquer

 

Si tu es slasheur, ta communication doit être claire pour que l’on te comprenne. Et pour cela, il faut comprendre toi-même même les raisons et les connexions de tes différentes activités. Tu dois donc donner un sens à ton slashing.

Poses-toi les questions suivantes :

  • Pourquoi exerces-tu plusieurs activités professionnelles ?
  • Y-a-t-il un lien entre elles ?
  • Peux-tu raconter ton histoire d’entrepreneur slasheur (storytelling) ?

Ces questions vont te permettre d’y voir plus clair sur ta stratégie de Personal Branding en tant que slasheur. Tu vas devoir expliquer pourquoi tu as fait le choix du slashing et surtout, faire rêver ta communauté grâce à un bon storytelling.

 

Rebecca Sfedj, entrepreneure slasheuse que j’ai interviewée est un très bon exemple.

Coach/Conférencière/ Formatrice/ Responsable de deux associations (Coexister et Noise), Rebecca exerce aujourd’hui diverses activités qui l’épanouissent.

Son fil conducteur ? Deux axes : Des projets tournés vers le vivre ensemble (Coexister, Noise) et l’estime de soi (coaching)

Sa stratégie de Personal Branding ? Un storytelling essentiellement tourné autour de la difficulté à trouver sa voie quand on est un multipotentiel. Elle a d’ailleurs fait un TEDx sur cette thématique. Aujourd’hui, Rebecca assume entièrement son statut de slasheuse qui lui sert plus qu’il ne l’handicape !

Autre exemple: Tiphaine. Tiphaine est une freelance très engagée pour des causes solidaires : elle travaille d’ailleurs dans le milieu de l’Economie Sociale et Solidaire avec son entreprise.

Son engagement lui permet d’être dévouée à des projets à impact positif dans le cadre de son activité de fundraiser/consultante en gestion de projet (avec son entreprise : www.ethik-partner.com) mais également avec son activité de professeure de yoga !

Et oui car Tiphaine a fait de l’accessibilité l’une de ses valeurs et enseigne le Yoga aux enfants et personnes en situation de handicap.

Même si elle sépare ses deux activités sur deux sites web, on retrouve une cohérence entre ses deux activités grâce à l’une de ses grandes valeurs qui crée une cohérence entre ses deux activités.

 

Adapte ton message à ton audience

 

Assumer ton statut de slasheur te permet de mieux le vivre, mais tu dois toutefois adapter ton message à ton public. Le networking est un excellent exercice pour tester ta capacité d’adaptabilité.

 

En fonction du contexte événementiel où tu es, tu dois :

  • Soit te présenter en tant que slasheur
  • Soit présenter l’une de tes activités

Ce deuxième point peut être très frustrant. Et pourtant, tu ne seras que plus crédible si tu te fais comprendre par ton interlocuteur.

 

Prenons l’exemple de notre chef de projet web/ chauffeur Uber :

 

 

S’il est invité à un événement lié au Digital, il n’aura aucun intérêt à raconter qu’il est chauffeur Uber le soir. Ce détail n’apporte aucune plus-value à ses interlocuteurs et pire encore, cela peut même le discréditer :

Un chef de projet web qui est chauffeur Uber a sûrement des problèmes financiers liés à son activité pour devoir trouver un complément de revenu en tant que VTC. Même si ce n’est pas le cas, c’est très clairement ce qui viendra à l’esprit des personnes qui t’écoutent.

Cet exemple révèle l’importance de savoir pitcher ton activité lorsque tu es amené à te présenter dans un contexte professionnel. Le pitch du slasheur est un enjeu de sa crédibilité !

 

Je te propose donc un petit exercice :

  • Pitch tes activités en tant que slasheur
  • Demande-toi  si ce pitch est adapté à toute situation
  • Si non, pitch tes différentes activités séparément

Alors ça donne quoi ?

Les slasheurs ont aujourd’hui le vent en poupe. Le terme se popularise et les exemples se multiplient. Pourtant, si tu veux réussir ton slashing, il te faudra travailler en conséquence ton Personal Branding et ta communication pour être compris. Ce n’est que de cette manière que tu pourras briller dans tes diverses activités !

 

Tu es slasheur et tu ne sais pas comment travailler ton Personal Branding ? Je te propose de commencer par télécharger le Guide du Personal Branding pour maitriser les bases de la création et du développement de ta marque personnelle.

 

?Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle ?

3 astuces pour travailler avec des clients à petit budget

Tu es freelance et tes clients n’ont jamais de budget pour toi ? Pas de panique, il est possible de travailler avec des clients à petit budget en y trouvant ton compte.

Si tu débutes en freelance, tu vas rapidement te confronter à la réalité de l’entrepreneuriat : le fossé entre ton tarif officiel et le budget de tes clients. Cette prise de conscience peut s’accompagner d’un sentiment de déception.

Toutefois tu ne dois pas subir tes missions ! A toi de refuser ce qui te semble injuste et négocier pour une collaboration plus équitable.

Dans ce court article, je te donne mes astuces pour ne pas perdre ton temps et ressortir gagnant !

 

1 – Cadrer et limiter le temps passé sur la mission

freelance argent

Un prospect te contacte pour une mission équivalent à 5 jours de travail par mois. Admettons que ton tarif journalier moyen (TJM) est de 400 euros/jour. Logiquement tu te dis : 400 x 5 = 2000 €. Pas de chance, ton prospect t’annonce un budget de 1000 €.

Si ton client ne peut pas augmenter son tarif, fais lui d’abord comprendre qu’en acceptant de travailler avec lui, tu vas opérer quelques ajustements pour que tu y trouves toi aussi ton compte pour 1000 € de mission.

Pense d’abord à limiter le temps passé sur la mission en question : si la mission comprend une partie de tâches opérationnelles (community management par exemple), pense à limiter le nombre d’actions dans le mois (passer de 5 publications par semaines à 3, toujours dans le cadre d’une mission de Community Management).

Tu peux également proposer un accompagnement stratégique, en troquant ton rôle d’exécutant contre un rôle de consultant. En apportant du conseil à ton client, tu lui permettras de gérer lui même les tâches opérationnelles ou de les déléguer à un stagiaire si le temps lui manque.

SI tu es webdesigner, tu pourras proposer une arborescence pour le site internet de ton client, l’accompagner sur le choix du thème et son installation, mais refuser de faire l’optimisation SEO de tous les articles et pages du site.

Garde en tête que si tu acceptes ne mission chronophage mal payée, tu vas manquer des opportunités de meilleures missions par manque de temps. Prends du recul !

 

2 – Inviter ses clients à faire de la cooptation

freelance argent

Une autre solution envisageable pour travailler avec un client à petit budget est de lui proposer de baisser ton tarif en échange d’un rôle d’apporteur d’affaires de la part de votre client.

Tu pourras ainsi effectuer une remise sur le prix total d’une mission à condition que d’ici la fin de la mission, ton client t’ait envoyé des prospects (des personnes qui te contactent de sa part). At toi de négocier le nombre de prospects et le prix de la remise.

Sur une mission à 1000 euros par mois, tu peux effectuer 300 euros de remise contre deux prospects venant de la part de ton client par exemple.

En fin de mission, n’oublie pas de lui demander de te donner un avis/témoignage pour enrichir ta e-réputation et tes profils sociaux.

Tu dois faire comprendre à ton client que s’il n’a pas d’argent, il doit être proactif et user de son temps pour solliciter son réseau de manière efficace.

Il refuse ? Tu refuses

 

3 – Pratiquer l’échange de compétences avec ses clients

freelance budget

Il existe enfin une dernière possibilité de coopération avec un prospect sans budget : l’échange de compétences. Il est très pratique et courant entre freelances.

Tu peux demander une somme symbolique pour une mission, et en plus de cela, ajouter une demande d’échange de compétences avec ton prospect.

Tu es graphiste, et tu collabores avec un photographe ? Ce dernier peut te faire gratuitement des photos professionnelles pour ton site internet en échange d’un logo et d’une somme symbolique.

J’ai pour ma part pratiqué l’échange de compétences pour la réalisation de mon site web avec une webdesigner : paiement d’une somme symbolique et proposition de coaching en Personal Branding contre la réalisation de mon site web. Une très belle collaboration !

Si vous êtes freelance, je te conseille de t’entourer d’un réseau de partenaires avec qui tu pourras mettre en place des collaborations régulières en pratiquant l’échange de compétences.

 

Conclusion

Travailler avec des clients à petit budget peut sembler fastidieux si vous ne cadrez pas la mission. En tant qu’entrepreneur tu dois être force de proposition pour ne pas te laisser écraser par une collaboration non équitable. En proposant un accord gagnant-gagnant, ton client prendra compte de ta valeur et tu remontras en même temps dans ta propre estime.

 

Tu ne sais pas comment instaurer une collaboration équitable dans ton activité ? Je te propose d’en parler de vive-voix 🙂

 

 

Freelance : trois conseils pour gérer son organisation

Depuis que je me suis lancée dans le coaching d’entrepreneurs, une chose me saute aux yeux : leur manque d’organisation. Ne pas gérer son organisation est à la source d’une grande partie des difficultés qu’ils rencontrent : manque de temps, stress, problèmes de priorisation des tâches, difficultés à concilier vie professionnelle et personnelle… et j’en passe !

Pour tenir dans la durée en tant que freelance, il va falloir te fixer un cadre et pour ça, il faut savoir gérer son organisation !

Un freelance qui sait gérer son organisation réalise deux fois plus de tâches, en deux fois moins de temps, tout en gardant du temps pour lui. Révolutionnaire, n’est-ce pas ?

Alors concrètement, par où commencer  pour gérer son organisation ? Voici donc 3 conseils pour gérer son organisation quand on est freelance.

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1 – Pour gérer son organisation, il faut des objectifs 

gérer son organisation

Entreprendre n’est pas une mince affaire, et sans gérer son organisation, la tâche sera fastidieuse. Ton organisation, c’est ta visibilité sur votre projet. En t’organisant, tu acceptes de te fixer des objectifs dans le temps en y travaillant un peu chaque jour. Tu vas ainsi diminuer ton stress, car c’est l’anxiété qui crée la panique.

Parmi les entrepreneurs que j’ai pu coacher, certains se noyaient dans un verre d’eau en affirmant qu’ils manquaient de temps pour faire tout ce qu’ils avaient prévu de faire. Et pourtant lorsque je décomposais les différentes tâches qu’ils s’étaient fixés, je me suis rendue compte de quelque chose de flagrant :

  • Un manque de vision stratégique de leur projet à moyen terme
  • Duquel découle un manque de priorisation des tâches
  • Et un manque d’évaluation de la durée des tâches

J’ai commencé par leur apprendre à être régulier pour en faire moins mais régulièrement :

– La mise en place d’un planning éditorial hebdomadaire est une solution pour produire des contenus à fréquence régulière

– L’instauration de deux à trois séances de sport par semaine à heure fixe est indispensable pour une bonne forme physique et mentale

– La prise d’un rendez-vous de réseautage (afterwork, déjeuner) par semaine te permet d’élargir ton réseau dans la durée.

Cette régularité te permet de te ménager plus de temps libre dans ta journée, et surtout moins te fatiguer au quotidien.

 

 

2 – Pour gérer son organisation, il faut un planning hebdomadaire 

gérer son organisation

Premier élément essentiel à l’organisation de ta vie entrepreneuriale, la planification de ta semaine va te donner une visibilité et une sérénité sur les sept prochains jours.

Fixe-toi des objectifs et tâches raisonnables à accomplir pour chaque jour, mais n’oublie pas d’inclure tes rendez-vous clients, tes démarches administratives, tes temps de lecture et d’inspiration, et surtout ton temps libre (hobbies, sorties…) !

En tant qu’entrepreneur, tu as la chance de pouvoir gérer ton emploi du temps comme bon te semble, alors profite-en ! A toi de définir si tu souhaites travailler le week-end, pratiquer une activité sportive en journée, travailler depuis chez toi ou depuis un espace de coworking. Tu es le maître du temps, et pour cela, tu dois apprendre à évaluer le temps de chacune de tes tâches.

Que tu sois digitalisé ou que tu préfères le papier, tu dois trouver un outil pour poser à plat ton emploi du temps hebdomadaire. Pour ma part, j’utilise Trello, un très bon outil de gestion de projet/tâches collaboratif en ligne.

Chaque dimanche, j’élabore mon programme de la semaine en incluant mes missions clients, le temps consacré à ma stratégie de Personal Branding (animation de mes communautés, rédaction d’articles et newsletter, communication sur les réseaux sociaux), mais également mes activités extra-professionnelles (Aïkido, course à pied, chant) et surtout, une place pour l’imprévu ! Car oui, en tant qu’entrepreneur, tu n’es jamais à l’abri d’événements qui te dépassent !

Trello, logiciel collaboratif en ligne

3 – Pour gérer son organisation, il faut se chronométrer 

gérer son organisation

Si tu ne sais pas encore évaluer la durée d’une tâche (écrire un article, répondre à un mail, rédiger une proposition commerciale), il est important de commencer par te chronométrer. Tu n’es pas obligé d’utiliser un chronomètre, mais tu peux tout simplement te réserver des plages horaires pour effectuer une tâche.

Exemple d’une journée type :

 

  • De 9h à 11 h : Rédaction d’un article
  • De 11h à 12h : Traitement des mails/ Veille sur les Réseaux sociaux
  • De 12h à 14h30 : Pause déjeuner et jogging
  • De 14h30 à 15h : Sieste
  • De 15h à 16h : Rendez-vous client
  • De 16h30 à 17h30 : Rédaction d’une proposition commerciale
  • De 17h30 à 18h00 : Traitement des mails

Certains entrepreneurs sont également adeptes de la méthode Pomodoro, qui préconise une séquence de 25 minutes de travail suivie d’une courte pause de 5 minutes. Méthode qui peut être efficace mais que je n’utilise pas personnellement car mes tâches régulières de rédaction impliquent plus de 25 minutes de concentration. Le tout est de se tenir à la plage horaire fixée pour réaliser tes différentes tâches !

Ta journée n’a pas besoin d’être pénible pour être efficace : tu peux te ménager de longs temps de pauses, écouter ton organisme et adapter ton programme en fonction de tes moments de productivité. Si comme moi (et beaucoup d’entre nous), tu fonctionnes au ralenti après la pause déjeuner et que estimes devoir faire une sieste : dors !

Il ne s’agit pas d’une perte de temps mais au contraire, d’un gain de productivité dans ta journée. Tu n’es pas salarié, tu n’as pas de contrainte horaire, alors travaille moins, mais travaille mieux ! 🙂

 

Tu n’as pas le temps dis-tu ? Et si tu commençais par le prendre  ? 😉

 

Conclusion 

Freelances, tu es chef d’entreprise, business(wo)men, mais peut être aussi parent, sportif, ou fâché avec l’administration. Et tu vas devoir concilier toutes ces vies dans une journée. Certes, tu n’es pas un chat et tu n’as pas neuf vies, mais tu as une vision et un devoir d’organisation. Pour gérer ton organisation, applique ces trois conseils et donne m’en des nouvelles 🙂

 

 

 

Je me lance un défi : un mois de pensées positives pour mieux vivre ma vie d’entrepreneure (et pas que).

En écoutant un podcast d‘Antoine BM il y a quelques temps,  j’ai eu une révélation : j’ai décidé de faire de ma vie mon propre paradis grâce à des pensées positives. 

Construire son paradis, selon Antoine, c’est simple : il suffit de faire la liste des choses que tu aimes faire et que tu n’aimes pas faire. Et surtout avec qui tu aimes faire et ne pas faire ces choses.

A partir de cette inspiration et d’une petite baisse de morale dernièrement, je me suis lancée un défi : un mois de pensée positive.

Qu’est ce que cela signifie ? Un mois à me forcer à voir la vie du bon côté pour ensuite faire le bilan de mon niveau de bien-être. Et pour cela j’ai également décidé d’écrire un petit bilan de journée quotidien (que je t’épargne ici).

Voici donc mes plus gros enseignements de ce mois de pensées positives.

 

Trois listes magiques à faire

 

 

Pour reprendre les propos d’Antoine BM, je me suis mise à réaliser deux listes : ce que j’aime faire, et ce que je n’aime pas faire.

Ces deux listes ne se limitent pas à la sphère entrepreneuriale, elles concernent tous les domaines de votre vie : travail, amis, sorties, vacances, cadre de vie, sport…

A partir de ces deux listes, il est facile de voir ce qui te rend heureux et ce qui te rend malheureux. J’en ai rajouté une troisième pour être plus exhaustive.

Voici les miennes (dans le désordre):

 

Ce que j’aime faire : 

– Sortir entre amis (resto, verre, théâtre, vacances)

– Ecrire pour moi (articles, interviews)

– Chanter

– Courir

– Pratiquer l’aïkido

– Cuisiner

Coacher des entrepreneurs

– Prendre du temps pour moi (bien-être en institut, buller sur Netflix, faire des siestes…)

– Rencontrer de nouvelles personnes stimulantes

 

Ce que je n’aime pas faire :

– Le travail chronophage

– Subir une relation de subordination

– Etre dans une mission d’exécution (et non de conseil) dans mon activité de freelance

– Ne pas avoir mon indépendance de freelance

– Faire des expos

– Aller à la plage

– Prendre le métro

 

Une fois cette seconde liste faite, vois si tu peux supprimer des éléments. L’objectif est de transformer la liste de ce que tu n’aimes pas faire en une liste de ce que tu n’aimes pas faire et n’auras plus à faire !

 J’ai complété les deux listes d’Antoine BM avec une autre liste  :

 

Ce qui me challenge :

– Animer des ateliers d’une longue durée

– Créer une formation en ligne

– Parler en public devant une grosse audience

– Rester positive pendant un mois

– Me lancer des défis

 

Cette troisième liste est très importante car elle vous servira de moteur pour tes projets entrepreneuriaux. Sans moteur, tu ne te dépasseras pas et tu seras frustré. Et toi, quelles sont tes trois listes?

Trois secondes par pensée négative seulement

En tant qu’être humain, les pensées négatives viennent forcement à nous. Même en se lançant un défi pour positiver, certaines pensées arrivent toujours à noircir le tableau.

Ca m’est bien évidement arrivée. En tant qu’entrepreneure qui se challenge en permanence, penser à l’échec est inévitable.

Mais pas de panique : il faut tout simplement contrôler ces pensées négatives pour qu’elles ne t’envahissent pas. C’est pourquoi j’ai décidé leur donne une durée de vie de 3 secondes.

3 secondes pour traverser mon esprit et repartir.

Et ça marche !

« Au moment où ma peur de l’échec, mon syndrome de l’imposteur reprend le dessus, je laisse la pensée passer puis je me ressaisie » 

Ma motivation ? Passer une bonne journée (et réussir mon défi).

 

Qu’est ce que je fais de mes pensées négatives ?

Je les rationalise.

  • J’ai peur d’échouer ? Est-ce que penser à l’échec me fera plus réussir que penser à mon succès ? Non, au contraire.
  • J’ai peur qu’un tel ne m’apprécie pas ? Je sonde la personne qui sème le doutent en moi.
  • Un prospect qui devait m’appeler ne l’a toujours pas fait ? Je prends les devant, j’appelle.
  • Je bloque sur une idée que je n’arrive pas à développer ? J’arrête et je retente demain. Si l’inspiration ne vient pas aujourd’hui, c’est qu’il y a une raison.

Quand tu comprends que tu ne te sentiras pas mieux en broyant du noir, tu vas vite arrêter de provoquer des pensées négatives !

Ta vie d’entrepreneur te donne des avantages non négligeables : profites-en !

Trois jours de pensées positives et je vois la vie en rose. J’adopte une pensée Y.O.L.O*, et l’applique à mon activité : l’entrepreneuriat. Je veux absolument profiter de tous les avantages que m’offre ma vie de freelance.

Je commence par les lister : 

Voyager quand je veux

– Travailler d’où je veux

– Me lever à l’heure que je veux

– Tester sans cesse de nouveaux projets

– Tester de nouvelles offres commerciales

En gardant ces cinq avantages en têtes, je sais maintenant quelles missions j’accepterai ou refuserai pour maintenir ces cinq libertés. J’y vois clair et je repars sur des bons rails.

Si tu es entrepreneur, je te conseille de te focaliser sur les avantages inouïes que tu as par rapport au salariat, en terme de créativité et de liberté. C’est pourquoi, pour vivre au mieux ta vie d’entrepreneur, il faut te mettre dans le bon état d’esprit : oser tenter de nouvelles choses, banaliser l’échec et profiter de tes avantages.

 

Je te propose deux nouvelles listes à faire :

Liste 1 : liste des avantages de l’entrepreneuriat par rapport au salariat

Liste 2 : liste des inconvénients de l’entrepreneuriat par rapport au salariat

N’es-tu pas en train de prendre les inconvénients des deux statuts par hasard ?

*Y.O.L.O : you only live once

 

Fais le point sur les choses positives et négatives qui t’arrivent : vas-tu si mal ?

Quand des éléments négatifs viennent perturber ton quotidien et te plombent le moral, tu vas te sentir envahi par un sentiment d’impuissance. Résiste !

Pour cela, fais la liste de toutes les choses négatives qui t’arrivent en ce moment.

Puis fais la liste des éléments positifs qui te sont arrivés depuis le début de ton aventure entrepreneuriale.

Compte les éléments négatifs et positifs. Quelle liste est la plus grande ?

Parmi les éléments négatifs, tu vas sûrement pouvoir alléger ta peine en te posant les questions suivantes :

  • Quelles sont les choses négatives qui m’arrivent sur lesquelles j’ai un pouvoir?
  • Quelles sont celles qui sont indépendantes de ma volonté ?

Fais ensuite une to do liste en rajoutant les éléments négatifs qui peuvent être changées par toi.

Oublie celles qui ne dépendent pas de ta volonté : de toute façon tu ne peux rien y faire à part développer un sentiment de frustration.

Cette méthode te forcera à agir contre ton propre malheur quand tu le peux et lâcher prise sur ce que tu ne peux pas contrôler.

Tu verras,  ça te changera la vie.

Pour conclure : force-toi à voir le verre à moitié plein et l’autre moitié se remplira  

Penser de manière positive quand on est un entrepreneur français c’est un vrai défi. On se noierait dans un verre d’eau si on le pouvait.

Et pourtant, il faut se forcer à se ressaisir d’une part, pour voir le verre à moitié plein, car finalement, tout est une question de point de vue, et non de réalité objective.

D’autre part, c’est ta force mentale qui te permettra d’arriver à des objectifs ambitieux.

Comme le dit très bien Alice Moitié, photographe « Certains pensent que les idiots sont optimistes mais quand tu penses que tu vas avoir le train, tu cours plus vite ».

Alors aujourd’hui, je termine mon défi avec ces derniers mots, me souhaite une excellente année entrepreneuriale et te souhaite à toi aussi de te lancer d’ambitieux défis et de les partager !

 

 

?Et si tu veux parler entrepreunariat, je te propose qu’on s’appelle ?

 

Tu as trouvé ces conseils utiles ? Je te propose de recevoir mes conseils hebdomadaires en rejoignant mon mailing privé (gratuit) dans lequel tu vas recevoir des contenus inspirants mais aussi pratiques pour passer à la vitesse supérieure de ton activité. Une fois inscrit, tu bénéficies d’un premier coaching par mail.

À tout de suite j’espère 🙂

Freelance, parler d’argent ne doit pas être un tabou !

L’argent est un sujet extrêmement tabou en France. Ne pas parler d’argent est envisageable quand on est salarié, car on reçoit un salaire tous les mois. En revanche, éviter le sujet quand on est freelance revient à un suicide entrepreneurial.

Prendre conscience de sa valeur et savoir négocier son tarif sont des compétences tout aussi importantes que maitriser son domaine d’expertise. Pour bien vivre de son activité entrepreneuriale et ne pas la subir, il faut savoir s’affirmer, mais avant tout se fixer des objectifs financiers.

1 — Prendre conscience de sa valeur

Être freelance, c’est proposer son expertise à des clients en demande de compétences qui ne peuvent être mobilisées en interne. Une entreprise peut ainsi faire appel à un freelance pour des besoins occasionnels et précis, mais également pour son regard extérieur à l’entreprise.

Dès lors, le freelance n’apporte pas seulement des compétences techniques à son client, mais peut lui permettre une prise de recul par rapport à ses activités. Ce positionnement du freelance-consultant lui donne une valeur bien plus élevée qu’un simple exécutant. Le freelance dépasse ainsi le simple rôle de prestataire de service.

« Prendre conscience de sa valeur c’est oser augmenter ses tarifs. »

En tant que freelance, ta valeur va augmenter au fur et à mesure des expertises que t’apporteront tes missions, tes side projects et le développement d’une stratégie de personal branding. En mettant en place une stratégie de personal branding, tu vas attirer un flux de clients régulier. Cette convoitise t’apportera une valeur — bien trop souvent sous-estimée — mais qui pourra justifier une augmentation de tes tarifs dans le temps. Ce n’est qu’en prenant conscience de cette valeur que tu vas pouvoir oser affirmer tes tarifs et les augmenter.

Retiens bien qu’une entreprise qui part en quête du freelance le moins cher du marché ne saura reconnaître cette valeur et prendra le risque de voir ses activités se dégrader. C’est pourquoi, si tu te retrouves en concurrence avec d’autres freelances qui se bradent à moins de 250 euros la journée, n’essaye même pas de rivaliser : fuis.

Pour respecter tes valeurs, il va falloir t’affirmer et oser dire non. Non lorsque le client te demande de travailler plus gratuitement (demande un avenant à votre contrat), non lorsque le prix proposé est trop bas, non lorsque le client veut te faire travailler sans avoir signé le contrat ou versé ton acompte, non lorsqu’il te demande de travailler dans ses locaux à plein temps. Dire non c’est apprendre à te faire respecter comme professionnel auprès de tes clients mais surtout de ton réseau ! Si tu as la réputation d’être une personne de valeur et de conviction, tu attireras des personnes en phase avec tes principes. Si ce n’est pas le cas, ta réputation de freelance lowcost va se répandre. Au final, tu gagneras à être ferme !

https://www.facebook.com/136164895246/videos/si-on-payait-tout-le-monde-comme-les-freelances/177267973202894/

La négociation commerciale entre freelances, avec une touche d’humour

2 — Se fixer des objectifs financiers

Se comparer aux prix du marché est un indicatif pour définir tes tarifs mais vous ne devez pas systématiquement vous aligner dessus. Pourquoi ? Parce que tout va dépendre des objectifs financiers que tu te fixes.

Tu dois en priorité être pragmatique et estimer les revenus nets mensuels que tu souhaites obtenir. Pour cela, il va falloir prendre en compte, les charges que tu vas payer (mensuellement ou trimestriellement), les impôts, les frais professionnels (déductibles de TVA ou non selon le statut juridique de ton entreprise) et tes dépenses incompressibles (loyer, téléphone, assurance, santé, courses…). À titre indicatif, dans mon secteur (la communication digitale), on peut commencer à 350 euros la journée.

L’idée n’est pas seulement de pouvoir payer tes factures, mais de vivre… et bien ! Tu aimes le théâtre ? Aller au resto ? Prendre des vacances ? Garde en tête qu’en tant qu’entrepreneur, personne ne va te payer quoique ce soit donc c’est à toi de faire tes calculs pour que tu puisses poser des jours sans que cela devienne un gouffre financier.

« Garde en tête qu’en tant qu’entrepreneur, personne ne va te payer quoi que ce soit. »

Prenons mon exemple : je souhaite pouvoir changer d’appartement et recherche un T2 meublé dans le centre de Paris. J’estime à environ 1000 euros le prix mensuel du loyer. Pour pouvoir me permettre cette nouvelle location, il faut que je génère entre 3000 et 4000 euros mensuels nets sur la durée (+ de bons garants).

Pour atteindre cet objectif, je commence dès maintenant. J’ai commencé mon activité de freelance à 400 euros la journée. Depuis, je pratique une hausse régulière de mon TJM (Tarif Moyen Journalier). Pour annoncer cette augmentation, je commence à changer mon tarif sur Malt(qui est la référence en termes de plateforme de freelancing), puis j’introduis mon nouveau tarif au fur et à mesure de mes échanges avec mes nouveaux prospects et clients. Pour faciliter cette augmentation, je n’indique jamais sur mon site mes tarifs.

Mais en plus de ce tarif indicatif, je pratique tous les jours la négociation commerciale avec mes prospects et clients pour que mon activité soit rentable et me permette de tendre vers mon objectif financier.

3 — Négocier pour ne pas s’écraser

Si tu es freelance, tu as probablement reçu des propositions de missions sous-payées pour effectuer un travail chronophage. Tu t’es peut-être même dit que ce n’était pas fairplay mais qu’on ne refuse pas une proposition de travail. Et bien si !

Encore une fois, ton objectif n’est pas de survivre de ton activité mais d’en vivre, et bien ! Pour cela, la négociation commerciale te permet de te placer dans un rapport de force plus sain avec ton prospect. La négociation commerciale est une discussion entre deux professionnels cherchant à se mettre d’accord sur une offre gagnant-gagnant. Cette pratique va à la fois te permettre de te positionner comme un expert, prendre confiance en ta valeur et t’empêcher de travailler à perte. Au fur et à mesure de tes échanges, tu vas rapidement savoir si un prospect a un budget ou non. Pour cela, pose (subtilement) des questions à ton interlocuteur pour savoir comment se porte son activité, s’il a des salariés, s’il se paye… Tu adapteras ensuite ton offre au budget de ton prospect.

« Tu vas rapidement savoir si un prospect a un budget ou non. »

Une entreprise refuse de négocier avec toi ? Ne la retiens pas. Tu ne feras pas le poids face à la concurrence à très bas prix de l’écosystème du freelancing… et des stagiaires. En revanche, si un prospect accepte de négocier le prix de la prestation, prépare-toi à lui faire une proposition commerciale gagnant-gagnant.

Qu’entends-je par gagnant-gagnant ? Une prestation cadrée, où tu vas partir de ton TJM pour proposer un forfait ou un tarif en adéquation avec la charge de travail demandée. Par exemple, si le client veut tant d’argent, la prestation coûtera telle somme. S’il n’a pas le budget, tu pourras proposer de supprimer quelques options de ta prestation. Il n’y a aucune raison que le prospect s’en sorte gagnant et pas toi !

Comment finaliser une bonne négociation ? Grâce à la rédaction d’une bonne proposition commerciale.

Exemple de proposition commerciale

Une bonne proposition commerciale va te permettre de concrétiser une négociation grâce à une synthéthisation écrite de tes engagements. Elle mettra en avant ton professionnalisme et augmentera tes chances d’obtenir un contrat.

Quelle différence avec un devis ? Elle est beaucoup plus détaillée et liste l’ensemble des tâches que tu réaliseras pendant la mission, les conditions de travail, une proposition d’outils de travail et un planning. Elle a pour objectif de rassurer ton client. Si cette proposition est acceptée, tu enverras ensuite un devis à ton client, qui une fois signé aura valeur de contrat.

Négocier c’est ainsi s’affirmer par son professionnalisme et son expertise.

Conclusion

Le rapport des freelances à l’argent est encore bien souvent trop tabou. Beaucoup n’en parlent pas et adoptent une dangereuse posture de salarié. Affirmer ses prix et négocier fait partie du rôle de l’entrepreneur de même que traiter des courriers administratifs. Pour t’affirmer et affirmer tes tarifs, tu dois oser négocier et accepter de prendre le risque de te voir refuser une mission si elle est contraire à tes valeurs et à l’estime que tu portes de toi-même. Mais surtout, parler d’argent ne doit pas être tabou dans un écosystème entrepreneurial où chacun fait du business pour pouvoir vivre d’une activité qui lui tient à cœur et profiter autant qu’un salarié d’un confort de vie appréciable.

Tu as trouvé ces conseils utiles ? Je te propose de recevoir mes conseils hebdomadaires en rejoignant mon mailing privé (gratuit) dans lequel tu vas recevoir des contenus inspirants mais aussi pratiques pour passer à la vitesse supérieure de ton activité. Une fois inscrit, tu bénéficies d’un premier coaching par mail.

À tout de suite j’espère 🙂

 

Et si tu souhaites bénéficier de mon accompagnement, réserve ton appel découverte 😉

Comment réaliser une newsletter percutante et lue ?

Pourquoi proposer un article sur la rédaction de ta newsletter ? Et bien parce que tout le monde envoie des newsletters mais rares sont celles qui n’atterrissent pas dans nos spams.

Nous recevons tous les jours des emails de promotion de biens et de services mais la banalité de leur contenus, cumulée au syndrome d’infobésité nous dissuadent de les lire.

Fort de ce constat, il est indispensable de repenser la conception et la rédaction de ta newsletter pour qu’elle soit ouverte, lue et surtout interactive.

1 – Une bonne newsletter est d’abord une newsletter ouverte 

Ton premier objectif sera l’ouverture de ta newsletter par tes  destinataires. Pour cela, tu vas devoir être stratégique et rédiger le bon message au bon moment.

Il va également falloir que tu penses au préalable au choix de ton nom d’expéditeur, qui devra être ton prénom et ton nom pour éviter d’atterrir dans les courriers indésirables de tes destinataires (si tu es un entrepreneur indépendant ou freelance. Ton nom de marque sinon).

Une bonne newsletter, c’est d’abord un bon objet de mail.

stratégie contenu

Il vous faut absolument travailler le titre de ton objet pour que ta newsletter soit ouverte.

  • Cela implique de te mettre à la place de ton destinataire en te demandant : « quel titre d’email me donnerait envie d’ouvrir le message ? » Personnellement je privilégie les titres courts qui suscitent ma curiosité et me donnent envie d’en savoir davantage sur le contenu du mail.
  • Je choisis également des mots-clés et des dates qui vont attirer l’attention de mon destinataire.
  • Il m’arrive également d’agrémenter mes objets d’emojis pour sortir du lot des mails.

Exemples de titres de mes newsletters dépassant les 50 % d’ouverture :

Une bonne newsletter, c’est une newsletter envoyée à la bonne heure.

mailing privé

En fonction de ton secteur d’activité, tu vas devoir réfléchir au moment auquel tu vas envoyer ta newsletter pour maximiser son taux d’ouverture.

  • Pour ma part, j’envoie une newsletter hebdomadaire à un profil d’entrepreneurs, freelances et indépendants. C’est pourquoi je privilégie mes envois le matin, avant 9h, pour que mes emails arrivent en tête de liste dans la boite de réception de mes destinataires.
  • Certains privilégieront un envoi entre midi et deux pour permettre aux destinataires de lire leur newsletter pendant la pause déjeuner.
  • D’autres préféreront la fin de journée, avant la sortie du travail, vers 17h30.

Garde en tête qu’une newsletter envoyée au mauvais horaire, c’est une newsletter qui aura peu de chance d’être lue par la suite, donc fais le calcul avant de l’envoyer !

Une bonne newsletter, c’est une newsletter envoyée à une audience qualifiée.

newsletter lue

Si tu décides d’envoyer ta newsletter au monde entier, je crains que cela soit un mauvais calcul stratégique. Pour que votre email ait de l’impact, il faut qu’il soit reçu et lu par une audience qualifiée.

Une audience qualifiée, quèsaco ? C’est une liste de personnes (donc de mails) susceptible d’être intéressée par tes contenus. Il peut s’agir de personnes du même secteur d’activité que toi, de tes clients, ou de personnes intéressées par un centre d’intérêt que tu auras défini au préalable.

  • Pour ma part, j’utilise LinkedIn pour qualifier mon audience : lorsque j’ai envoyé ma première newsletter via mailchimp, j’ai importé ma liste de contact LinkedIn dans le logiciel via cette astuce.
  • J’ai ensuite envoyé un premier mail de demande d’accord de newsletter à l’ensemble de mes contact (environ 500 à l’époque). Ce premier mail m’a permis non seulement d’interagir avec mon audience (mes destinataires) mais surtout de ne pas l’obliger à recevoir un mail mensuel sur une thématique particulière qu’elle n’aurait pas voulu recevoir.
newsletter lue

Première Newsletter envoyée en juin 2017 pour sonder mon audience sur une thématique particulière à cette période

  • Cette démarche implique d’avoir au préalable consolidé un réseau qualitatif de relations sur LinkedIn (ou Facebook) comprenant des professionnels de ton secteur d’activité (pour moi l’entrepreneuriat aujourd’hui) développé en amont de l’envoi de ta newsletter.
  • C’est enfin, la régularité de ta newsletter qui te permettra de développer ton audience, car tu l’auras habituée à recevoir un emailing de ta part à fréquence régulière. Cette régularité augmentera tes taux d’ouverture et améliorera tes statistiques (nombre d’abonnés, taux de clic et d’ouverture)

2 – Une bonne newsletter raconte une histoire.

Une newsletter devrait être une histoire racontée à des destinataires attentifs. Elle doit permettre d’engager une conversation avec ton audience. Pour cela elle doit être structurée et interactives.

Une bonne newsletter doit se lire comme un fil conducteur

Pour les newsletters de type “mosaïque”

Les newsletters de type “mosaïque” sont souvent utilisées par les site e-commerce, les associations et entreprises. Il s’agit d’une newsletter qui présente plusieurs informations et comprennent plusieurs visuels liés à ces différentes informations (d’où le nom “mosaïque”)

Dans ce type de mailing, il doit avoir une cohérence entre l’introduction et le reste de tes contenus. L’introduction d’une newsletter peut se résumer à un mot du rédacteur de la newsletter (toi ou ton entreprise). Il peut également faire un état des lieux des tendances mensuelles de ton secteur (pour les newsletters de type “mosaïque”).

emailing

Exemple de l’accroche d’une de mes anciennes newsletters “mosaique” sur une thématique spécifique (l’économie sociale et solidaire)

 

Pour les newsletters de type “storytelling”

Ce type de newsletter prend la forme d’une simple mail envoyé à un ami (souvent utilisé par les consultants et indépendants). Dans ce cadre, le fil conducteur c’est le sujet principal de l’email : une newsletter = un sujet. Dans ce type de newsletter, on privilégie un ou deux appels à l’action maximum. L’appel à l’action découle de la thématique du mail.

Extrait d’une de mes newsletters de type “storytelling” avec un appel à l’action utilisé plusieurs fois

Il est également intéressant d’avoir une structure générale sur laquelle vont se greffer tes contenus.

Je garde une arborescence quasi identique pour l’ensemble de mes newsletters, ce qui permet à mon lecteur de ne pas perdre ses repères et piocher les informations qui l’intéressent facilement.

  • Pour accrocher tes lecteurs, tu dois agrémenter ta newsletter de visuels. Ces visuels faciliteront la lecture de ton mail et donner envie de cliquer sur les liens que tu proposes.
  • Concernant ma newsletter, j’intègre un lien hypertexte derrière chaque visuel pour rediriger mon lecteur vers l’article mis en valeur. Je soigne également mes boutons de « call to action » pour inviter au clic dans la subtilité.
  • Il faut t’assurer que tu n’as pas de problèmes d’affichage d’images, qui pourraient dissuader ton destinataire d’aller jusqu’au bout de la lecture. Pour cela, Mailchimp, le logiciel que j’utilise, t’informe lorsque les dimensions de tes images sont trop grandes.

Tu dois proposer des contenus à forte valeur ajoutée à to audience

emailing

Pour ma part, j’écris régulièrement et propose des interviews, et articles personnels dans chacune de mes mailings. L’objectif de ces contenus est que l’on vous identifie comme un expert. Ils racontent mon histoire sous un angle professionnel et authentique. Ma newsletter est ainsi un storytelling de mon entreprise dont chaque nouveau chapitre est à découvrir le mois prochain.

  • Pourquoi les gens s’intéressent-ils à mon histoire ?

Parce que d’un point de vue professionnel, mes expériences et mes conseils -résumés dans mes différents articles – leur parlent. Ils ont donc envie de cliquer sur les différents liens que je propose pour se nourrir d’informations utiles à leur propre entreprise et au développement de leur réseau.

« A chaque newsletter envoyée, je reçois au moins un email de réponse »

 

  • Comment savoir si mes newsletters sont impactantes ?

Parce qu’elles sont interactives et engagent une conversation avec mon audience. A chaque newsletter envoyée, je reçois au moins un email de réponse : parfois pour me féliciter, parfois pour me notifier de petites erreurs (preuve qu’elle est lue attentivement) et parfois pour me proposer des opportunités professionnelles.

lettre d'information

Extrait d’une de mes newsletters récentes (sur l’entrepreneuriat et le freelancing)

Ce que je m’efforce à faire est d’apporter une plus-value dans mon domaine d’activité en faisant découvrir de nouveaux acteurs à mon réseau, en lui donnant des conseils et en l’informant de mes évolutions. De cette manière, je crée une newsletter unique à forte valeur ajoutée.

 

La newsletter peut-être vue comme un simple canal de marketing digital pour assurer la promotion de ses produits et services. Mais une newsletter c’est avant tout un contenu écrit qui peut, tout comme un article, être très engageant et qualitatif en racontant une histoire. Avec ta newsletter, tu vas pouvoir créer des opportunités d’échanges et d’interactions régulièrement, c’est pourquoi elle va devenir un enjeu essentiel de ta stratégie de personal branding.

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

 

 

Trois conseils pour réaliser des interviews mémorables

 

L’interview est l’un des outils de communication les plus en vogue pour obtenir de la visibilité. Cet exercice permet de mettre en valeur des talents de journaliste pour l’interviewer et des talents diverses pour l’interviewé.L’interview s’intègre dans le cadre d’une stratégie de contenu rodée. Toutefois, pour ne pas sombrer dans la banalité des questions bateau, l’interview doit être travaillée en amont et en aval. Ce travail de collaboration entre deux protagonistes produira ainsi un contenu mémorable. Voici mes conseils !

Règle n°1 de l’interview : pose des questions pertinentes à ton interviewé

 

Pour obtenir un contenu passionnant, il faut d’abord poser des questions pertinentes. Cela implique de s’être informé au préalable sur le parcours de l’interviewé. D’une part pour ne pas poser des questions auxquelles ce dernier aurait déjà répondu des dizaines de fois par le passé, et d’autre part pour cerner la singularité de l’interviewé, de son histoire et de son parcours.

Pour ce deuxième point, adopter un angle spécifique et te positionner t’aidera grandement. Il faut te demander quelle facette de ton interviewé tu souhaites révéler. Son activité professionnelle ? Son évolution ? Ses engagements extra-professionnels ?

Maintenant, lorsque tu rédiges tes questions, il va falloir à la fois te mettre à la place de ton interviewé et de ton audience ; tu vas devoir poser des questions intéressantes pour ton interviewé, qui aura envie de s’investir dans cette interview et développer ses réponses. Mais tu vas aussi devoir te mettre à la place des ton audience, qui devra restée captivée jusqu’au bout de l’interview.

Le maître de l’interview, c’est toi. C’est donc toi qui devras cadrer, recadrer et diriger la conversation. Parce qu’une bonne interview, c’est aussi un échange. 

Règle n°2 de l’interview : mets en valeur ton interviewé

 

Justine Arma, Social Media Manager interviewée en janvier 2018 – Crédit photo : Bérénice A

 

Pour moi, l’interview a pour objectif de valoriser une personne et de la mettre en valeur. Pour cela, différents moyens peuvent être utilisés. Etant une spécialiste des interviews écrites, je choisis d’avoir recours à beaucoup de visuels pour agrémenter la lecture, mais surtout rapprocher mon lecteur de mon sujet.

Je demande systématiquement à mes interviewés des photos d’eux pour les inviter à se mettre en avant. Ce n’est souvent pas chose facile, car une partie d’entre eux n’a jamais été confrontée à ce genre d’exercice. Mes interviewés n’ont d’ailleurs pas toujours de photo en haute résolution d’eux. Je les invite alors à se faire photographier avec Ever, pour obtenir des photos rapidement, à moindre coût et de bonne qualité. L’interview écrite n’est pas seulement informative, elle doit aussi être visuellement esthétique. C’est pourquoi ces photos rendent l’interview humaine, réaliste et agréable à lire.

 

Interview de Marion Derouvroy, cofondatrice de Trafalgar Maison de Portraits

 

Note également que la plateforme sur laquelle sera publiée l’interview a elle aussi son importance. Il te faut un blog dont le CMS te permet une jolie mise en forme ou bien, pensez à publier sur Medium si tu n’a pas d’autre support de diffusion.

Par ailleurs, la mise en valeur de l’interviewé passe par un travail de retranscription, de réécriture et de mise en forme de l’interview. Tous les interviewés n’ont pas les mêmes capacités rédactionnelles mais mon rôle consiste à gommer ces différentes en entreprenant un travail de reformulation et de valorisation des citations les plus importantes. Mon objectif reste le même : maintenir mon lectorat captivé jusqu’à la fin de l’interview.

Interview de Rebecca Sfedj : 2 heures d’audio et beaucoup plus de retranscription 😉

Assures-toi enfin que ton interviewé soit disponible pour toi: cela implique qu’il ne bâcle pas ses réponses. Tu dois lui faire comprendre qu’il s’agit d’une interview qualitative et non d’un questionnaire. C’est seulement de cette manière que tu pourras sublimer l’interview et gagner en visibilité mutuellement.

Règle n°3 de l’interview : gagnez en visibilité mutuellement

 

Interview vidéo avec l’humoriste Karim Duval (c’est moi l’interviewée)

Ne nous le cachons pas, l’interview est un exercice qui a pour objectif de gagner en visibilité réciproquement. Il implique que tu investissent du temps dans la communication autour de ce contenu de qualité (un contenu écrit c’est 30% de production et 70% de communication] mais que ton interviewé relaye également sa communication sur ses réseaux.

Pour moi, cette condition est devenue non négligeable : je ne fais pas d’interview si l’interviewé ne s’engage pas à communiquer sur ses propres réseaux sociaux.

Si tu interview un influenceur, on attendra de lui qu’il t’apporte une visibilité. De ton côté, tu révéleras des facettes méconnues de sa vie à son audience. Lui, suscitera un engagement accru autour cette communication de la part de son audience, et toi, tu te feras connaître en tant qu’interviewer. Il faut que tu t’assures avant de réaliser l’interview que ton interviewé repartage le contenu sur ces propres réseaux sociaux, auprès de sa propre communauté.

Mais rassures-toi, interviewer des influenceurs n’est pas la condition sine qua none de ta réussite ! Tu peux interviewer une personne dont le profil te semble intéressant par rapport à ton domaine d’activité par exemple. Pour ma part, j’ai été contactée à plusieurs reprises pour des propositions de missions suite à des interviews sur lesquelles j’avais communiquéees ; mes prospects connaissaient l’interviewé et se sont donc intéressés à mon interview.

 

Un bon taux d’engagement pour ce partage de mon interview par Trafalgar Maison de portraits

 

J’ai eu plusieurs projets d’interview dans mon activité :

Le projet FreelancESS, où j’interviewais chaque semaine un freelance de l’Economie Sociale et Solidaire. Ces interviews me permettent d’interagir avec ma communauté et mettre au mieux en valeur les entrepreneurs en question. Grâce à ces interviews, je permets à ces freelances de communiquer sur un contenu qualitatif et visuellement engageant dont ils sont fiers d’avoir contribué.

Le projet Entrepreneurs du quotidien, où j’interviewais dont l’objectif était de valoriser ces entrepreneurs, souvent loin des projecteurs, qui ont choisi de construire la vie de leur rêve, grâce à une prise de risque, une bonne dose de passion, et un travail quotidien.

Aujourd’hui, mon nouveau projet d’interview est celui d’expert en marque personnelle : des interviews d’influenceurs de leurs thématiques, qui ont su créer leur communauté autour d’une marque personnelle forte. Tu peux retrouver les interviews sur mon blog. Cette fois, ces interviews ne seront pas hebdomadaires mais mensuelles 🙂

 

Règle n°4 de l’interview : comment interviewer des influenceurs ?

Comme vu plus haut, interviewer des influenceurs te permet de surfer sur une audience plus grosse que la tienne. Si tu n’as pas la possibilité de les contacter, plusieurs solutions s’offrent à toi :

  • Tu peux interviewer des proches de cet influenceur : c’est la stratégie de Antonin Archer de Nouvelle Ecole qui a interviewé Alice Zagury, numéro 2 de The Family, avant de pouvoir interviewer Oussama Amar, THE référence dans l’écosystème startup/entrepreneuriat.
  • Tu peux faire des cas pratiques sur ces influenceurs : étudier leur stratégie de marketing, de Personal Branding ou leur relation avec leur communauté. Tu vas ensuite communiquer sur cet article et taguer la personne en question. C’est ce que j’ai fait avec Bruno Maltor dont j’ai réalisé le cas pratique, et qui m’a gentiment répondu par un commentaire sur mon blog.

Conclusion

L’interview est en 2019, un excellent moyen de développer ta visibilité. Ecrit, audio, vidéo, le support n’a pas d’importance du moment que tu le maîtrises. Si la réalisation d’interview peut paraître fastidieuse, elle peut être un très bon retour sur investissement, notamment si tu produis des contenus mémorables.

A toi d’identifier les références à interviewer, leur poser des questions pertinentes et à ton tour développer ta visibilité grâce à ces interviews d’exception.

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

 

 

 

 

Freelance : n’oublie pas tes valeurs pour entreprendre !

La quête du sens, quand on est freelance, est un questionnement récurrent. D’ailleurs, le simple fait de se lancer en freelance est souvent le fruit d’une réflexion profonde sur son avenir professionnel. Pour ma part, je me suis jetée dans le grand bain de l’entrepreneuriat parce que l’une de mes valeurs les plus profondes, la liberté, s’est manifestée en opposition à une situation qui ne me correspondait plus, le salariat.

C’est donc souvent dans l’adversité que tu vas pouvoir identifier tes valeurs. Et ces valeurs sont essentielles pour te connaître et entreprendre en construisant ton Personal Branding.

Définis tes valeurs et utilises-les pour construire ta marque personnelle

La question de fond qui va te permettre de trouver tes valeurs est la suivante : qu’as-tu réussi à transformer chez toi que tu veux transmettre au monde (valeurs) ?

Replonge dans ton passé, et pense à ce que tu as pu réussir : un succès à un examen, l’obtention d’un job, la prise de parole devant une salle pleine, une négociation difficile, une perte de poids, un défi extrême…

Maintenant, note, les qualités humaines que tu as su mobiliser pour arriver à cet exploit. Le courage ? La persévérance ? L’humour ?

C’est grâce à cette énergie profonde qui est en toi que tu vas pouvoir aider d’autres personnes à accomplir des exploits.

Pour être plus explicite, je te livre mon exemple personnel :

Mon raz-le-bol du salariat m’a fait donné le courage de me jeter dans l’entrepreneuriat. Et c’est la quête de liberté qui a guidé mon action.

Quand j’étais plus jeune, j’ai entrepris un régime alimentaire qui m’a fait perdre 15 kilos en un an sans les reprendre. C’est à ce moment que j’ai découvert que la persévérance faisait partie de mes valeurs et que je souhaitais la transmettre.

Depuis plus d’un an et demi, je produis des contenus réguliers où j’apporte de la valeur à ceux qui me lisent. Et c’est grâce à la rigueur que j’ai pu vivre de mon contenu en trois mois.

Aujourd’hui, je suis coach pour entrepreneurs et si je reçois des retours positifs, ce n’est pas grâce à mes compétences techniques mais ma grande empathie qui me permet de me mettre à la place de la personne que je coach. Je me mets également à la place des lecteurs qui me lisent pour leur proposer des contenus adaptés à leur problématiques et faciles à lire !

Toutes ces valeurs font partie de moi et je les rappelle régulièrement à ma communauté au travers de mes contenus. Elles sont indissociables de ma marque personnelle et sont les piliers de l’univers que je me suis crée.

 

Tes clients n’achètent pas ce que tu vends mais ce que tu inspires

Et c’est pour cela que tu dois inspirer confiance !

Quand tu travailles ton Personal Branding, tu travailles sur le message que tu veux faire passer (ta proposition de valeur), la construction de ton univers (sur le plan graphique, mais également environnemental), et sur les valeurs que tu incarnes (tes grands principes).

C’est cette image singulière qui va te permettre de rallier une certaine catégorie de personnes à ton projet car ils s’identifieront aux valeurs que tu portes. Et ce sont ces “fans” qui achèteront tes produits ou services, non pas parce que ce sont les meilleurs, mais parce qu’ils adhérent au système de valeur que tu leur proposes.

S’ils n’adhéraient pas à ce système de valeurs, ils iraient chez ton concurrents qui propose des prestations similaires mais avec un autre système de valeurs.

La bonne nouvelle, c’est donc qu’il y a de la place pour tout le monde dans la jungle concurrentielle de l’entrepreneuriat. Il y a de la place pour tout le monde à condition de creuser sa niche.

Ton objectif n’est pas de parler à tout le monde mais de parler à une certaine catégorie de personnes. Et pour être le plus authentique, ne t’autocensure pas dans tes propos, ni dans tes contenus.

Laisse-moi te donner un exemple :

Dans le petit monde de l’infopreneuriat, quelques noms ressortent : Antoine BM, Grégory Lagrange, Stan Leloup, Olivier Roland.

Pourquoi ?

Parce qu’ils ont crée un système autour d’eux, chacun le sien, basé sur leur histoire, leur personnalité et leurs valeurs. Mais tous connaissent un franc succès.

Ils ont chacun leur vision du marketing, leur canaux de communication, et ont ont donc chacun leur communauté. Ils ne cherchent pas à conquérir la communauté des autres car la leur leur suffit à vendre. Et ils vendent grâce à leur Personal Branding (et une notoriété de quelques années sur le web).

Et toi aussi tu peux construire ton système de valeur et devenir LA référence de ton domaine d’activité. Tout est une question de positionnement. Et je peux t’aider à le trouver 🙂

TON PREMIER COACHING PAR MAIL GRATUIT

Et comme toute relation commence par la confiance, je te propose de rejoindre mon mailing privé (gratuit)dans lequel tu vas recevoir hebdomadairement des contenus inspirants mais aussi pratiques pour passer à la vitesse supérieure de ton activité. Une fois inscrit, tu bénéficies d’un premier coaching par mail.

A tout de suite j’espère 🙂

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

Storytelling : Freelance, tu dois écrire ton histoire pour devenir remarquable !

Depuis que je me suis lancée dans l’entrepreneuriat je remarque que trop de freelances font une énorme erreur qui les empêche de sortir du lot : ils se cachent derrière leurs services et ne créent pas ou peu de contenus les mettant en avant. En tant que coach, je suis évidemment en concurrence avec énormément d’autres coachs et formateurs. En revanche, je sais parler de moi, susciter de l’émotion auprès de mon audience. Le résultat ? Quand arrive une mission, c’est à moi que l’on pense en premier. Et si toi aussi tu devenais remarquable en écrivant ton histoire ? Le storytelling est une des clés de la réussite entrepreneuriale et j’en parle dans mon article.

Storytelling : derrière une histoire, il y a un entrepreneur à mettre en valeur

Voilà, c’est fait, c’est moi.

Je te l’accorde, ce n’est pas facile de parler de soi et de se dévoiler sur le web. Beaucoup de freelances ne voient pas l’intérêt du storytelling et sous-estiment son pouvoir. Pourtant il faut se jeter à l’eau Pourquoi ferait-on appel à toi spontanément si on ne sait pas que tu existes ? Tu penses vraiment que les entreprises tombent sur ton site internet au hasard d’une recherche Google ? A moins d’être un As du référencement, ça n’arrivera jamais.

Pour que l’on te voit et que l’on t’entende, il faut te montrer et t’exprimer.

Mais avant de parler de toi, il faut t’assurer que ton e-réputation est impeccable. Autrement dit, il faut professionnaliser tes réseaux sociaux, exit les photos de profil duckface et les dessins de toi(pour les graphistes). Sois pro, c’est par tes réseaux sociaux que va passer ta communication digitale et ton personal branding . De même, si tu ne l’as pas déjà fait, communique avec ton vrai nom et non un pseudonyme. Ce professionnalisme créditera ta parole. Enfin, il faut que tes réseaux sociaux affichent un lien qui redirige vers ton site internet/ blog/ Medium si tu souhaites faire de l’écriture ton principal canal de communication.

Parle de toi pour faire parler de toi

Lorsque je me suis lancée dans l’entrepreneuriat, je suis partie de presque rien. Pas de potentiels clients, aucune connaissance du marketing MAIS une formation (LiveMentor), qui m’a ouvert les yeux sur la réalité du freelancing. Ce que j’y ai appris et retenu ? Un freelance qui s’exprime est un freelance qui ne galère pas.

Tu te demandes bien ce que tu pourrais bien raconter ? Si tu es peu expérimenté, tu peux évoquer ton parcours, tes réussites et échecs et inclure ce type de contenu dans ta ligne éditoriale. Ton objectif est de susciter de l’émotion dans tes contenus. Tu comprendras ainsi que ce qui intéresse ton audience (même s’il s’agit de tes amis au début), c’est toi et non tes compétences !

Quand tu auras professionnalisé ton audience, ce sera la même chose. Si un prospect pense à toi, ce sera parce qu’il aura entendu parler de toi, et sera intéressé par le storytelling autour de ta vie professionnelle. Pense à rédiger des contenus en rapport avec ton parcours.

Exemple : “Comment le chômage m’a ouvert les portes de l’entrepreneuriat social”, un article que j’ai proposé à Maddyness sur une période difficile pour moi qui a été la recherche d’emploi, et comment j’en ai tiré des bénéfices (avec le recul).

“Aujourd’hui on me contacte principalement parce que j’ai un profil LinkedIn ultra-actif sur lequel je partage énormément de contenus, et parce que j’écris une newsletter ultra personnalisée, envoyée à une audience qualifiée”

Mon site internet ? C’est juste une vitrine qui rassure mes prospects. Mon métier n’est pas rédactrice mais je fais en sorte d’apporter des contenus à valeur ajoutée en faisant attention aux bases du SEO : choix des mots clés, optimisation des textes, stratégie éditoriale mais ça ne fait pas tout. Encore une fois, quand on tape « coach en Personal Branding », on ne tombe pas sur Yéza Lucas en première page Google. C’est triste, mais ce n’est pas un problème puisque je fais sans Google, notamment grâce aux réseaux sociaux.

Exemple : “Si je ne m’étais pas lancée”, une publication Facebook qui a suscité l’émotion chez mon audience, car j’ai su me dévoiler devant ma communauté.

Pour ma part, j’ai choisi l’écrit comme support de communication, mais il est tout à fait possible de vous mettre au podcast ou à la vidéo si tu te sens plus à l’aise ! Après, ce sera à toi de privilégier le canal qui marche le mieux pour toi 🙂

Oui ça prend du temps, mais ça ramène des clients.

N’oublie pas que tu passeras 50% de ton temps à travailler avec des clients, et le reste devra servir en partie à ton personal branding (newsletter, articles, contenus de tout type, site web).

storytelling freelance
Exemple de personal branding sur Instagram

Le personal branding, c’est une stratégie de long terme qui te permettra de te faire un nom dans ton domaine d’expertise, et devenir LA référence. Elle implique de l’organisation, de l’émotion et dois susciter des réactions. Avec l’essor du web et de techniques de communication comme le marketing de contenu, il semblerait que celui qui ne s’exprime pas n’existe pas. Alors tu dois sans cesse réfléchir à des contenus de qualité qui te permettront de te valoriser. Pour cela, tu peux par exemple mettre en place une stratégie de contenu qui comprend:

  •  Un site internet Des pages web et des articles avec une optmisation seo correcte
  • Un calendrier éditorial qui reprend tes idées de contenu sur un blog et réseaux sociaux
  • Une newsletter régulière pour garder un lien plus proche avec ta communauté

Tu vas à un événement qui peut intéresser ton réseau ? Communique dessus ! Tu rédiges un article qui peut aider ta communauté ? Partage-le ! (et pas juste sur ton blog que personne ne lit). Tu travailles en équipe ou dans un super espace de coworking ? Fais-nous rêver ! Tu as passé une semaine épouvantable ? L’autodérision marche aussi ! Tu bloques ? Deviens interviewer !

En prenant cette habitude, tu verras qu’il y a plein de façons de communiquer et qu’il y a de nombreuses raisons de le faire. Cela te demandera un petit effort au début, surtout si tu es timide mais cela deviendra petit à petit un réflexe ! On a envie d’en savoir un peu plus sur ton quotidien d’entrepreneur, alors n’hésite pas !

Interviewer des influenceurs de son secteur d’activité permet de se faire connaitre

En t’exprimant, tu franchis un pas, et prends confiance en toi. En t’exprimant, tu inspires confiance. Gardes toujours à l’esprit que ton histoire c’est ta marque, et que tu es ton propre produit. Pour rester attractif, il faut que tu te renouvelles en terme de contenus (traiter de sujets différents), que tu restes constant dans ta communication (faire un planning éditorial de type Trello, c’est très bien pour ta stratégie de contenu ), et que tu entretiennes une relation de proximité avec ton audience. Pour cela tu peux par exemple organiser des lives sur tes réseaux sociaux où tu aborderas une thématique différente et tu peux par exemple inviter des personnes lors de ces moments privilégiés.

Tu as trouvé ces conseils utiles ? Je te propose de recevoir mes conseils hebdomadaires en rejoignant mon mailing privé (gratuit) dans lequel tu vas recevoir des contenus inspirants mais aussi pratiques pour passer à la vitesse supérieure de ton activité. Une fois inscrit, tu bénéficies d’un premier coaching par mail.

 

Je te propose qu’on s’appelle si tu veux qu’on travaille là-dessus ?

storytelling freelance

Micro-entreprise : 10 étapes pour survivre dans la jungle administrative

Tu lances ta micro-entreprise ? Le mot freelance raisonne en toi comme un son de liberté ? Minute, pas si vite !

As-tu créé ton  statut ? Ouvert un compte bancaire ? Dit bonjour à l’URSSAF, gérer tes affaires avec Pole Emploi ?

Tu vois bien, tu es trop  pressé !

En créant ton statut de micro-entrepreneur, tu vas déclencher l’avalanche administrative.

D’ailleurs, en parlant de statut juridique, tu confonds peut-être les termes freelance, micro-entrepreneur, auto-entrepreneur et indépendant ? Ne t’inquiète pas, seul “micro-entrepreneur” est un statut juridique 😉

On ne t’a dit pas tout sur les démarches de la micro-entreprise  alors laisse-moi te donner quelques conseils pour bien démarrer.

 

 1 – Quitte ton job dans les meilleurs termes possible pour monter sa micro-entreprise

micro-entreprise

Si tu es salarié, le mieux est de quitter ton boulot dans les meilleures conditions possibles. D’abord parce qu’une rupture conventionnelle te permettra de bénéficier du chômage (détail non négligeable quand on se lance dans un business précaire). Et ensuite parce que si ta micro-entreprise gravite dans le même secteur d’activité et réseau que ton ancienne entreprise, il est quand même plus aisé de pouvoir bénéficier de ton ancien réseau, et de l’appui et des recommandations de ton ancien employeur.

**Astuce pour cumuler chômage et activité de sa micro-entreprise** 

Si tu es déjà salarié micro-entrepreneur et que tu as généré du chiffre d’affaires, Pôle Emploi te considèrera un ancien salarié micro-entrepreneur une fois au chômage* . Cela te permettra de cumuler intégralement les revenus de ton activité entrepreneuriale et ton chômage (les revenus issus de la micro-entreprise ne doivent pas dépasser 70 % de tes anciens revenus).

Plus de détails  dans cet article

Note qu’il ne faut pas que tu sois lié à ton entreprise par une clause d’exclusivité pour créer ta micro-entreprise en parallèle.

*Il y a un vide juridique à ce sujet, donc le mieux est de se renseigner en amont auprès de Pôle Emploi.

 

2 – Crée ton statut de micro-entrepreneur (ex auto-entrepreneur)

micro-entrepreneur

Pour cette étape qui te fera passer du côté de l’entrepreneuriat, une chose à faire :

  • Rends-toi  sur ce site : (lien direct vers la page de déclaration d’activité) et remplis le formulaire P0 PL
  • Choisis ton domaine d’activité et ton activité
  • Une fois basculé sur le formulaire, choisis l’un des trois domaines (artisanale/commercial/libéral ) pour déterminer la nature de ton activité. Si tu es dans le « conseil en communication » comme moi, la case libérale est automatiquement cochée
  • Remplis tes informations personnelles et coordonnées
  • Si tu as un conjoint, remplis les informations le concernant
  • Coche l’ACRE* si tu penses  pouvoir en bénéficier (tu as 45 jours pour la demander si tu n’es pas en possibilité de la demander maintenant) mais sache que tu pourras la demander qu’une seule fois dans ta vie !
  • Déclaration de patrimoine : coche uniquement si  tu montes une EIRL
  • Déclaration sociale : Choisis tes options de déclaration de chiffre d’affaires (CA) : trimestrielle ou mensuelle
  • Option fiscale : choisis celle qui t’arrange, en fonction de ta situation et du chiffre d’affaires que tu penses réaliser. Si tu penses réaliser un chiffre d’affaires faible, le prélèvement obligatoire ne sera peut-être pas la meilleure solution pour toi.
  • Signature : tu signes et tu attends (deux petites semaines grand max ! )

*Depuis 2019, tu bénéficies automatiquement de l’ACRE

Ca y est, tu as le papier de l’Insee avec ton numéro SIRET ! Félicitations, tu es micro-entrepreneur !

3- Fais de Pôle Emploi l’allié de ta micro-entreprise

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  • Demander le chômage

Une fois ta rupture conventionnelle signée et ton contrat terminé, inscris-toi à Pôle Emploi et fournis-leur ton attestation employeur via ton espace personnel. Tu recevras une réponse sous quelques temps te confirmant ton ouverture de droits pour ton indemnisation.

  • Déclarer son chiffre d’affaires mensuellement

Ensuite, tu devras mensuellement déclarer ton chiffre d’affaires à Pôle Emploi grâce à ce formulaire à remplir et à remettre à Pôle emploi via ton espace personnel. Tu devras également déclarer ton chiffre d’affaires.

  • Donner la déclaration P0 (le précédent formulaire)

Lors du démarrage de ton activité, n’oublie pas de fournir à Pôle Emploi le formulaire P0 (formulaire orange) que tu a rempli pour déclarer ton début d’activité.

 4 – Banque et assurance : ne perds pas trop de temps

micro-entreprise

  • La RC Pro  : ça dépend pour qui

Si tu es micro-entrepreneur, il est conseillé de souscrire à une assurance pro aussi appelée Responsabilité Professionnelle. Elle devient obligatoire selon ton domaine d’activité et si tu engages la responsabilité de personnes travaillant avec toi.

  • Trouver une banque pour professionnels pas trop couteuse

Pourquoi ouvrir un compte professionnel ? Parce que malgré ce qu’on entend, ouvrir un compte courant pour son activité entrepreneuriale peut couvrir un risque : celui que ta banque ne laisse pas l’URSAFF prélever sur ton compte. Ce qui peut conduire à des pénalités de retard. J’ai donc choisi de ne pas prendre ce risque (mais tu entendras sûrement d’autres sons de cloche).

Après quelques recherches, j’ai opté pour AXA Banque et sa formule pour micro-entrepreneurs car la carte bleue est gratuite.* D’autres recommandent beaucoup QWONTO ou SHINE.

 

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Ce tableau comparatif aide à y voir plus clair, mais l’offre Axa freelance dont je bénéficie sans forfait mensuel n’y figure pas

*On te demandera d’effectuer un certain montant de dépenses par trimestre avec la carte (entre 450 et 900 euros en fonction de si tu as plus ou moins de 30 ans). Mais pas de panique ! Si tu ne dépenses pas cette somme, Tu auras  payer une pénalité de 7 euros par trimestre ! Ce n’est pas la mer à boire comparé aux frais bancaires d’autres offres professionnelles.

5- Déclare ton chiffre d’affaires facilement pour ta micro-entreprise

micro-entreprise

Si tu es en profession libérale, l’URSSAF est chargée du recouvrement de tes cotisations sociales. C’est à elle que tu devras déclarer ton chiffre d’affaires mensuellement ou trimestriellement. Il t’est possible, grâce à la dématérialisation de déclarer ton chiffre d’affaires en ligne en t’inscrivant sur le portail auto-entrepreneur.

Ta première déclaration de chiffre d’affaires s’effectue dans un délai de 3 mois suivant la date de début d’activité, afin de laisser le temps aux administrations compétentes de mettre à jour votre situation.

Pour plus de précision sur ton cas, un tableau récapitulatif explique le jour où tu dois déclarer.

 

Bon à savoir

Si tu bénéficies d’allocations de Pôle Emploi ou de minima sociaux, il est conseillé d’opter pour la déclaration mensuelle afin de pouvoir transmettre plus rapidement les justificatifs aux différents organismes.

Attention, si tu as choisi un mode de déclaration trimestriel, tu devras attendre l’année prochaine pour passer en mensuel.

Pour plus de précision sur ton cas, un tableau récapitulatif explique le jour où tu dois déclarer.

  6- Les impôts : ce qu’il faut savoir 

auto-entrepreneur

Quelques choses à savoir à propos des impôts :

  • Lors de la création de ton entreprise, tu recevras un courrier des impôts, il s’agit d’un questionnaire relatif aux locaux dans lesquels tu exerces ton activité, à renvoyer sous 15 jours dès réception du courrier
  • Concernant le mode de recouvrement, j’ai choisi l’option prélèvement libératoire comme vu plus haut donc mes impôts seront prélevés trimestriellement sur mon chiffre d’affaires (un pourcentage qui ne dépassera pas les 2, 2%). *
  • Concernant la création de ton espace professionnel en ligne, sache que tu n’auras pas besoin d’en créer un avant de payer ton C.F.E, soit un an après la création de ton entreprise. Tu te préoccuperas de cela quand tu recevras un courrier des impôts !

* Si tu penses faire un très petit chiffre d’affaires, cette option n’est peut être pas la meilleure pour toi car tu payeras des impôts peu importe ton chiffre d’affaires

7 – La sécurité sociale des indépendants : comment ça marche

micro-entrepreneur

Le RSI c’est la sécurité sociale des indépendants dont l’affiliation est automatique et obligatoire lorsque tu crée votre statut mais le R.S.I. est également l’organisme gérant depuis janvier 2013 le régime unique de retraite et retraite-complémentaire obligatoire des artisans et commerçants. Par contre, la profession libérale cotisera elle, selon sa profession, auprès d’une des caisses adhérentes à la CNAVPL (la CIPAV pour mon cas).

Le RSI a disparu pour devenir la sécurité sociale des indépendants donc le mieux reste de s’informer des dernières annonces du gouvernement. Sache qu’il n’y à ce jour pas de démarches à faire .

8 – Choisis une mutuelle adaptée à ton activité

Je te conseille d’opter pour Wemind, la mutuelle des freelances, qui s’adapte à ta situation et propose des prix attractifs. Bien sûr, il existe d’autres mutuelles mais celle-ci peut t’intéresser si tu es micro-entrepreneur. Il existe également Alan, qui est recommandé par beaucoup de freelances.

 9- Simplifie la comptabilité de ta micro-entreprise grâce à des logiciels en ligne !

micro-entreprise

Pour te faciliter la vie avec la comptabilité, des logiciels en ligne sont la pour t’aider. Voici ma sélection :

  • Tiime AE* pour générer tes factures, devis et tenir votre registre (obligatoire) : très simple d’utilisation et gratuit, tu prendras facilement en main le logiciel grâce à son interface fluide.
  • Dougs pour gérer ta comptabilité en synchronisation directe avec ton compte bancaire: Très pratique pour pré-remplir les déclarations de TVA

* attention : si tu deviens assujetti à la TVA, Tiime AE deviendra obsolète car le logiciel ne prend pas en compte cette dernière. Tu pourras alors passer sur un logiciel comme Henrri par exemple (gratuit).

 10 – Demande de l’aide pour gérer les difficultés liées à ta micro-entreprise 

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En cas de doute ou de craintes, plusieurs solutions :

Maintenant il ne te reste plus qu’à kiffer, on ne s’est pas donné tout ce mal pour rien non ?

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